Nom : Aucun, mais on murmure celui des Ankokus.
Prénom : Reï et Leï
Âge : 40 ans.
Sexe : Masculin, deux fois !
Sexualité : Bisexuel, de vrais jumeaux.
Statut : Esclaves TRES rebelles !
Pouvoir :
Comme tout les Ankokus ils ont des cornes, et comme toutes les bêtes à cornes ils savent s'en servirent. Ne vous laissez par abusés par leurs allures frêles car c'est trompeur et leur capacités sont bien au delà de celle que peut laisser croire leurs fines carrures.
Physique :
Pratique de décrire les jumeaux car ils sont parfaitement identiques. Chez certains autres un grain de beauté ou un détail minime les différencie mais ce n'est pas le cas ici. Mesurant tout les deux un mètres quatre-vingt trois pour 74 kilos ils sont de musculature fine et gracile tout en restant étonnamment puissants. Mais cette force, pourtant réelle, ne se retrouve pas dans leurs traits. De visages doux ils ont un menton gracieux et de fines lèvres naturellement rosées commes'il venaient de s'embrasser. Leur nez est fin et leurs yeux possèdent des iris vert émeraudes dont il savent moduler l'expression pour captiver leurs entourages. Ils ont des cheveux doux au touché et qui forment plusieurs mèches rebelles et indisciplinées de couleur vert pâme et ce jusqu'à mi-nuque. Et enfin la caractéristique des Ankokus surmonte tout cela en deux cornes couleur ivoire, légèrement rugueuses et fort solidement ancrée à leurs crânes.
Sinon en termes de vêtement ils ne supportent QUE le smoking, en tissus noir à reflets verdâtres. Avec chemise de flanelle à jabot et mocassin de cuir noir vernis assortit.
Caractère :
Ces deux visages de chérubins angéliques portent des cornes, et ce n'est pas pour rien. Si un Ankoku fait peur, deux ce n'est même pas quantifiable en termes de langage parlé. Car si il y a bien une chose que sont Reï et Leï c'est bien des Monstres.
Immoraux, violents, féroces, sadiques et surtout joueurs ils peuvent sembler innocents alors qu'il jouent à décider qui d'eux deux achèvera une victime agonisante. Il faut dire que pour ces ankokus tout n'est que jeux et rires et qu'il est très rare qu'ils se laissent dominer par plus fort qu'eux. Ils ne reconnaissent donc aucune autorité et n'en font qu'à leurs têtes, associant leurs esprits pervertis pour faire deux fois plus de mauvais tours, quitte à en faire payer de leurs vies leur entourages.
En marge de cela ils sont très vulnérables si on les sépare, et sont totalement perdus sans l'autre moitié d'eux-même. Si on en menace un l'autre perd tout ses moyens et se met à supplier qu'on lui laisse son frère, s'ils prennent des risques à deux alors ce n'est pas grave, mais qu'un seul des deux puisse survivre à l'autre leur est intolérable.
Histoire :
Tout a commencé il y a 40 ans. Une ankoku accoucha sous X et laissa deux jumeaux parfait dans la luxueuse clinique où elle avait sortit ces deux être de son corps. Personne ne sut jamais qui et comment elle s'appelait, mais certaines rumeurs folles firent mention de Yuki Ankoku et de Suzu, son jeune frère comme parents des deux jumeaux, d'autres affirmèrent qu'une Akoku influente c'était faite violée lors d'un assassinat ayant mal tourné mais impossible de savoir la vérité. Toutes les théories les plus folles deviennent possibles quant on parle d'être aussi abjectes que les membres de cette famille maudite.
Orphelins abandonnés, ils furent en tout logique placés dans un centre spécialisé pour les enfants nés sous X. Mais rapidement Reï et Leï se distinguèrent des autres enfants, turbulents il n'hésitaient pas à donner des coups de têtes à leurs camarades pour avoir biberons, tétines, jouets. Même si leurs cornes n'étaient que deux bosses à peine naissantes sur leur tête ils avaient déjà l'instinct violent et fonceur des Ankokus. Et cela ne leur passa pas en grandissant bien au contraire. En maternelle ils semaient la zizanie et distribuaient des coups de poings en faisant tourner en bourrique de personnel enseignant grâce à leurs airs innocents. Mais même avec les meilleures bouilles du monde leurs cornes poussaient et les angelots se firent vite cernés comme des diablotins. En primaire ils furent exclus plusieurs semestres pour coups et blessures sur un camarade de classe, vol, revente de matériel volé et attouchements sur une professeur non consentante. Puis en collège ils firent à nouveaux exclus puis renvoyés de plusieurs établissements pour les même raison, auxquels se rajoutèrent une affaire de viol présumé et une rumeur d'arrangements avec certains professeurs pour les laisser coucher avec eux.
Ils n'allèrent pas plus loin de toutes façons, multi-récidivistes et redoublants, ils arrêtèrent leurs études avant leurs diplômes et se mirent à chercher la seule façon de laisser libre court à leur sauvagerie : intégrer des gangs. Se faisant vite repérer et embauché par divers groupes de truands de plus en plus importants, ils devinrent des têtes connues des forces de polices et firent plusieurs fois des passages en prison allant de quelques mois à deux ans fermes pour la plus grave de leur faute, un meurtre dans une maison de repos où ils avaient voulus déposséder les petits vieux de leurs bijoux, montres et objets de valeur.
Mais à chaque fois les juges se trouvaient extrêmement cléments à leurs égards. Comme si une volonté, dans l'ombre, œuvrait pour les épargner. Reï et Leï avaient beau ne pas avoir eut de brillantes études ils n'en étaient pas bête pour autant et rapidement ils firent le lien entre ces clémences juridiques, la famille Ankokus et leur mystérieuse mère dont ils n'avaient jamais eu de traces.
Ils allèrent donc chez les Ankokus les inconscients, forçant les portes, abîmant un peu les hommes de mains récalcitrant à les laisser approcher les hauts dirigeants et forcèrent tant et si bien que si au beau matin ils commençaient tout juste à tabasser des sous-fifres trainant dans les rues à vendre des drogues, le soir même ils étaient dans les luxueux appartements des hauts dirigeants, habillés de smoking neufs volés dans une garde-robe à leur taille et fumant des cigarillos. Ils attendaient les maître des lieux : Suzu et sa chère soeur Yuki.
Lorsque ces derniers rentrèrent chez eux, voyant leur salons, leurs chambres et surtout leurs homes de mains dévastés ils se mirent dans un rage sans précédent et non seulement Reï et Leï finirent dans une mare de sang mais en plus les deux dirigeants des Ankokus firent enfermer les deux terreurs, pour 7 ans cette-fois-ci.
Ils avaient beau faire peut-être partie de la Famille, deux jumeaux fous de sang et de violence n'avaient pas leurs places parmi les Ankokus, du moins pas les Ankokus libres. C'est ainsi qu'après 7 ans de prison ils sortirent pour retrouver directement d'autres barreaux : ceux de la cage d'un vendeur d'esclaves !
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