Aujourd’hui était une bien belle journée, ensoleillée, chaude, et sûrement très agréable, les enfants jouaient avec l’eau de la fontaine au centre du parc…enfin je crois, je dormais tranquillement à ce moment là. C’est assez difficile d’être une créature nocturne, tout les habitants potentiels vivent le jour et vont ce coucher quand, moi, je me lève… Mais bon, il y a toujours une personne perdu, qui plus est seule, qui traîne un peu trop tard le soir… vous n’avais jamais entendu quand vous été petit, une histoire que vous racontait votre mère pour vous faire peur, alors que vous êtes rentrer la nuit tombé?

«  tu sais mon fils/ma fille, si tu reste trop tard dehors, le soir, pendant que la nuit tombe, le moment ou tout le monde rentre chez eux pour retrouver leur famille au chaud dans leur maison, tu va rencontrer un Koumori, tu va pensé que c’est une personne comme les autres et tu aura bien raison, tu ne va pas t’en méfier, mais dès que tu aura le dos tourné, il te sautera dessus, boira tout ton sang sans en laisser une seule goûte et te laissera là ou il t’aura trouver, et tu mourra… »

Haa… je soupira , je ne suis qu’une légende pauvre petite créature que je mangerais, elle aprendra que même les mythes sont encore vrai…et pour cause, ma race, les chauve-souris vampire, pour dire mon nom en entier, à sensé avoir disparu depuis un moment déjà. Pourtant je suis encore vivant. Mais ça que très peut de gens le savais. J’ai remarquer que tout les gens de moins de soixante ans, ne connaissait pas mon espèce, les plus vieux pourrais me reconnaître mais c’est pas sure. Enfin je vais pas m’en plaindre, je peux chasser tranquille comme cela…

Bref je commentait à avoir faim, et rien n’ai mieux que le parc pour ne pas être vu. La végétation est abondante, les branches des arbres tombent, les feuilles cachent très bien la vue. L’odeur de la foret est partout donc si jamais quelque un a l’odorats passait, il était presque impossible ils puisse sentir le sang couler ou a moins que ce ne soit ma prise… Donc l’endroits parfait maintenant il ne fallais puis que attendre la proie intéressante. Je marchait tranquillement, les mains dans les poches, le long du chemin en petit cailloux, je continua, normalement à quelque mètre, il y avait une petite place avec un banc et une barrière qui en péchait les passants d’aller dans le ruisseau un petit peu plus bas. Tout autour, il y a des saules pleureurs donc parfait pour ce cacher… Je m’adossa a cette barrière, elle oscilla un peu, il faut dire que je ne suis pas léger du haut de mes 1 mètre 95, heureusement je ne suis que musclé, comment je pourrais avoir de la graisse si je ne bois que tu sang…. Aujourd’hui, enfin plutôt ce soir, j’étais habiller d’un simple pantalon, noir, droit et d’une chemise, blanche avec les plus haut boutons détacher… et au pied, j’avais mes vieilles Doc Martens, noir, coquer et toutes égratignées… j'y attendais là, un passant, mon diner...