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Bon, j'ai sa main froide dans la mienne, et je l'entraine sur le chemin. Je savais que ce matin, j'aurais dû me réchauffer...mais bon, j'ai hérédité de la couleur du piaf, mais absolument pas de son duvet doux et chaud : la poisse. Franchement, c'est à croire que je suis un "Mort-Vivant". D'ailleurs, cela me rappelle mon dernier client...le lendemain de notre soirée, il avait eu une attaque, et avait été déclaré mort. Quand, dans la soirée suivante, le gars des pompes funèbres était venu le chercher, il s'était rendu compte que le cadavre, et ben, il était vivant ! Diantre, j'en rigole encore. Obligé d'annuler le certificat de décès, et ça, c'est vraiment du fort. Comme quoi, les Tenshi peuvent se tromper parfois. D'ailleurs, à cette période là, moins de gens avait cotoyé l'hosto.
Enfin, sachant que Yuugi, le quartier du Risque, n'était pas la porte à côté...et que, déesse du vent, je n'ai pas de moyens de transports du style voitures, et ben, je lâchais la main de l'humaine et lui déclarait, non sans un sourire amusé et avec cette voix nipponne :
"Je préviens, c'est mon seul moyen de transport...alors, ça va secouer un peu. Je n'ai pas l'habitude d'être accompagné."
Vu que je me fiche de bousiller ma veste, je l'enlevait et l'attachait, grâce aux manches, autour de mon bassin. Ben oui, la bousiller me dérange pas, la destroyer, c'ets une autre histoire.
Alors, sans le moindre préavis, je fit sortir ma paire d'ailes grises. Alors là, je sens qu'elle va crisser...quoique, vu son caractère, j'en sais strictement rien de ses réactions !
Quoiqu'il en soit, je m'approchais d'elle, et la prit par la taille. Alors, je lui murmurait, de ma véritable voix, rauque...ben oui, je ne peux pas activer ma capacité d'imitation dans ces circonstances. Un vol à deux, c'ets plus dur à gérer qu'un en solo !
"Accroche toi, mais ne les gêne pas s'il te plait...j'y tiens à mes ailes."
C'est ainsi que commença ma grande épopée. Hein ? je m'écarte encore du sujet ? Pff...plus de sens de l'humour dans cette baraque.
Je commençait alors à battre des ailes, et mes pieds quittèrent le sol, les siens suivants le mouvement. Bientôt, le vent nous balayait le visage, alors que j'affichai un sourire béat d'extase. Être libre, dans les airs, vivre au gré des vents de Dame Arashi, existe-t-il vie plus agréable ? J'en doute fortement...
Notre vol dura une petite quinzaine de minutes. J'aperçus le Raven's Claw, un bar branché de la ville tenue par une petite Meiroo. D'ailleurs, c'est le seul truc qui me zappait le morale. Quasiment tous les commerces sont réagit par ces saloperies de 7 Familles. Pour nous, les "honnêtes citoyens" il ne reste plus que l'ouverture de commerce indépendant, dur à diriger à cause de la concurrence, ou les jobs 100% illégaux.
Cela me faisait penser que j'avais pour intention, y'a de cela une dizaine d'année, d'ouvrir une boutique. De quoi ? J'avais arrêté d'y penser, sachant que j'aurais besoin de personnels. Mais bon, peut-être que Kumi-chan pourrait m'aider à l'élaboration d'un tel projet, qui sait ?
Enfin, après nous avoir déposer au sol, je m'écartait d'elle et rétracté mes ailes. On pouvait voir à présents mes deux tatouages sur les omoplates. Des sortes d'ailes je dirais...
Mais bon, rapidement, j'enfilais de nouveau ma veste et je lui déclara :
"Cet endroit se nomme Yuugi, soit, le quartier du Risque. En fait, c'est le quartier de base des restaurants, casinos et bars en tout genre. Les plus connus étant : le Tetsuya pour les casinos, le Yutaka pour les restau', et le Raven's Claw pour les Bars. D'ailleurs, on est devant le Raven là."
Tout en parlant, j'avais fini de remettre mes cheveux en place...il faut dire que ce petit vol avait déglingué mon catogan ! Déjà que généralement, on dit que mes cheveux mi-long sont mal coiffé, mais alors là, je manquait clairement de style.
S'en en dire plus, j'ouvrit les portes du bar et je nous emmenait à une table, prés de la fenêtre, mais un peu à l'écart des autres clients présents, surtout des Ainokos. D'ailleurs, on pouvait notre deux Meiroo, un Yume, un Hikari, un Kakon, et trois Ankoku trainant avec les corbacs'. Bon, pour les Hikari, je dirais rien...leur dernière édition du Kitai m'a plut, et seul eux peuvent obtenir des infos avec autant de discrétion, grâce à leur génétique d'insecte. Non, c'est la seule des 7 familles qui m'impose le respect...même si j'avoue que cette série de disparition a tendance à me plaire...
Quoiqu'il en soit, un serveur arriva vers nous. A première vu, il s'agissait d'un ainoko, mais asservit au vu du collier, ce qui laisse à penser que c'est un esclave perso du gérant, ou un acheter uniquement dans le but de servir les clients. Tournant mon regard vers Kumi, je lui dit :
"Choisit ce que tu veux. Pour moi, ce sera un rhum'coca."
J'avais décidé d'arrêter les imitations, et aussi, ma voix semblait profonde et lointaine, de part son timbre rauque et puissant. D'un certain côté, il valait mieux que j'arrête d'imiter aujourd'hui, mes cordes vocales ont besoin de repos parfois.
Alors que le serveur s'occupait de nous servir, je croisa les bras et prit mes aises, pour ensuite demander à la miss :
"Bon, que veux-tu savoir sur notre île "Merveilleuse" ?"
Enfin, sachant que Yuugi, le quartier du Risque, n'était pas la porte à côté...et que, déesse du vent, je n'ai pas de moyens de transports du style voitures, et ben, je lâchais la main de l'humaine et lui déclarait, non sans un sourire amusé et avec cette voix nipponne :
"Je préviens, c'est mon seul moyen de transport...alors, ça va secouer un peu. Je n'ai pas l'habitude d'être accompagné."
Vu que je me fiche de bousiller ma veste, je l'enlevait et l'attachait, grâce aux manches, autour de mon bassin. Ben oui, la bousiller me dérange pas, la destroyer, c'ets une autre histoire.
Alors, sans le moindre préavis, je fit sortir ma paire d'ailes grises. Alors là, je sens qu'elle va crisser...quoique, vu son caractère, j'en sais strictement rien de ses réactions !
Quoiqu'il en soit, je m'approchais d'elle, et la prit par la taille. Alors, je lui murmurait, de ma véritable voix, rauque...ben oui, je ne peux pas activer ma capacité d'imitation dans ces circonstances. Un vol à deux, c'ets plus dur à gérer qu'un en solo !
"Accroche toi, mais ne les gêne pas s'il te plait...j'y tiens à mes ailes."
C'est ainsi que commença ma grande épopée. Hein ? je m'écarte encore du sujet ? Pff...plus de sens de l'humour dans cette baraque.
Je commençait alors à battre des ailes, et mes pieds quittèrent le sol, les siens suivants le mouvement. Bientôt, le vent nous balayait le visage, alors que j'affichai un sourire béat d'extase. Être libre, dans les airs, vivre au gré des vents de Dame Arashi, existe-t-il vie plus agréable ? J'en doute fortement...
Notre vol dura une petite quinzaine de minutes. J'aperçus le Raven's Claw, un bar branché de la ville tenue par une petite Meiroo. D'ailleurs, c'est le seul truc qui me zappait le morale. Quasiment tous les commerces sont réagit par ces saloperies de 7 Familles. Pour nous, les "honnêtes citoyens" il ne reste plus que l'ouverture de commerce indépendant, dur à diriger à cause de la concurrence, ou les jobs 100% illégaux.
Cela me faisait penser que j'avais pour intention, y'a de cela une dizaine d'année, d'ouvrir une boutique. De quoi ? J'avais arrêté d'y penser, sachant que j'aurais besoin de personnels. Mais bon, peut-être que Kumi-chan pourrait m'aider à l'élaboration d'un tel projet, qui sait ?
Enfin, après nous avoir déposer au sol, je m'écartait d'elle et rétracté mes ailes. On pouvait voir à présents mes deux tatouages sur les omoplates. Des sortes d'ailes je dirais...
Mais bon, rapidement, j'enfilais de nouveau ma veste et je lui déclara :
"Cet endroit se nomme Yuugi, soit, le quartier du Risque. En fait, c'est le quartier de base des restaurants, casinos et bars en tout genre. Les plus connus étant : le Tetsuya pour les casinos, le Yutaka pour les restau', et le Raven's Claw pour les Bars. D'ailleurs, on est devant le Raven là."
Tout en parlant, j'avais fini de remettre mes cheveux en place...il faut dire que ce petit vol avait déglingué mon catogan ! Déjà que généralement, on dit que mes cheveux mi-long sont mal coiffé, mais alors là, je manquait clairement de style.
S'en en dire plus, j'ouvrit les portes du bar et je nous emmenait à une table, prés de la fenêtre, mais un peu à l'écart des autres clients présents, surtout des Ainokos. D'ailleurs, on pouvait notre deux Meiroo, un Yume, un Hikari, un Kakon, et trois Ankoku trainant avec les corbacs'. Bon, pour les Hikari, je dirais rien...leur dernière édition du Kitai m'a plut, et seul eux peuvent obtenir des infos avec autant de discrétion, grâce à leur génétique d'insecte. Non, c'est la seule des 7 familles qui m'impose le respect...même si j'avoue que cette série de disparition a tendance à me plaire...
Quoiqu'il en soit, un serveur arriva vers nous. A première vu, il s'agissait d'un ainoko, mais asservit au vu du collier, ce qui laisse à penser que c'est un esclave perso du gérant, ou un acheter uniquement dans le but de servir les clients. Tournant mon regard vers Kumi, je lui dit :
"Choisit ce que tu veux. Pour moi, ce sera un rhum'coca."
J'avais décidé d'arrêter les imitations, et aussi, ma voix semblait profonde et lointaine, de part son timbre rauque et puissant. D'un certain côté, il valait mieux que j'arrête d'imiter aujourd'hui, mes cordes vocales ont besoin de repos parfois.
Alors que le serveur s'occupait de nous servir, je croisa les bras et prit mes aises, pour ensuite demander à la miss :
"Bon, que veux-tu savoir sur notre île "Merveilleuse" ?"
Kanata Haru
Ainoko Libre
Nombre de messages :
156
Réputation :
0
Maître de :
Rien, si ce n'est mes choix...Et, officiellement, Maître de Mikomi, et Sukô.
Esclave de :
Ma foi ? Mes responsabilités ? Peut-être, oui. (Et je n'appartiens pas à Sukô !)
Commentaires :
A Droit à un Bonus au Choix
Donc, résumons, Kumi avait été trahit (?) par celui qu'elle aimait, ce retrouvant esclave sur une île de dégénéré, donc elle ne connaissait toujours pas le nom, qui par-dessus le marché, est peuplé d'une nouvelle race qui lui était inconnue. Et maintenant la voilà, entraîné à l'extérieur de ce qu'on pourrait appeler un marcher par un "Ainoko " du nom de Haru Kanata... Comprend prenait-elle cette situation? Comme tous bons humains, mal. Elle ne comprenait rien à rien de ce qui se passait sur l'île et était un peu effrayée par le "Gris "...
Finalement, ils finirent par s'arrêter, enfaîte, celui qui l'avait acheté avait arrêté, elle, ne fit que suivre le mouvement, trop occuper par ses penser, elle ne le regardait pas, elle avait ses yeux qui visaient... le vide, comme un peu absente...
"Je préviens, c'est mon seul moyen de transport...alors, ça va secouer un peu. Je n'ai pas l'habitude d'être accompagné."
-Hmm...
Quelle réponse! Bien évidemment, elle n'avait rien compris, elle était prise par des questions existentiels, qu'es qu'elle devrait faire? Pourquoi l'avait-on envoyé ici? Et surtout, où était-elle?! Depuis le début de toute cette histoire, la jeune femme n'avait toujours pas su si elle était toujours au Japon, son pays natal, ou si on l'avait expédié à l'autre bout de la planète... Mais après quelques minutes de réflexion, c'était évident qu'elle était toujours au Japon, les seules personnes qu'elle avait entendu parler parlait tous sa langue... Un genre de "Flap! " ce fit entendre, comme si quelque chose se dépliait, mais elle ni porta pas attention, toujours son regard dans le vide...
*Tiens, j'me demande aussi...*
Ses pensées furent interrompu, deux mains étaient venues la prendre par la taille, là elle trouvait ce geste très déplacé, peut-être l'avait-il acheté, mais elle s'en foutait complètement, elle ne voulait pas être touché! Prête à mordre, elle posa ses mains sur celle qui entourait sa taille et releva sa tête...
En quelque seconde, son regard agressif c'était changé pour un petit regard d'étonnement, au lieu de s'arrêter sur les yeux or de celui qui la tenait, elle s'était arrêtée sur deux grands appendices loger à l'arrière du dos de celui-ci, constituer de plumes grise, ses grandes ailes la surprenait un peu, mais la fascina, elle n'aurait jamais cru voir ça de sa vie, sur des oiseaux oui, mais sur ce qui ressemblait au début à un être humain, jamais!
*Hé bien là! J'ai compris pourquoi on le considère comme les autres de sa race!*
Elle se retint de toucher les plumes grises, de peur de faire mal, après tout, peut-être était-ce sensible, elle lui demanderait plus tard, quand elle aurait compris...
"Accroche toi, mais ne les gêne pas s'il te plait...j'y tiens à mes ailes."
-Heu... D'accort
Kumi, qui ne regardait pas Haru, mais plutôt les ailes de celui-ci, passa timidement ses bras autour de lui, elle se sentait bien baka de sa réaction, le contact avec les autres n'était pas son fort, même qu'elle essayait de l'éviter le plus possible. Elle avait remarqué que sa voix avait changé, un peu plus rude et enroué que la précédente, la jeune femme ne fut pas vraiment étonnée de ça, après tout, il l'avait averti qu'il pouvait modifier sa voix...
Un premier battement d'aile se fit, Kumi ferma les yeux, ne voulant regarder le sol une fois dans les airs, les deux quittèrent le sol assez rapidement, les yeux fermer s'était assez agréable, mais quand Kumi ouvrir les yeux pour regarder un peu, un fort battement se fit voyant le sol s'éloigner, c'était bien la première fois qu'elle quittait la terre ferme, ses bras se resserra autour de "L'ange gris", elle s'imaginait glisser des mains de celui-ci et s'écraser contre le sol, ah! Kumi ne la trouverait pas très drôle...
Le vole qui ne durât que quelques minutes, lui paru duré une éternité, concentré sur le fait de ne pas glisser et s'écraser contre le sol et finir morte... Quand ses pieds touchèrent enfin la terre, elle quitta rapidement les bras de l'homme, pas question de se revoler de si tôt! Du moins, pas avant quelques explications! Le Ainoko rétracta ses ailes dans un "Flap! ", c'était donc ça le son qu'elle avait entendu... Il remit rapidement son veston.
"Cet endroit se nomme Yuugi, soit, le quartier du Risque. En fait, c'est le quartier de base des restaurants, casinos et bars en tout genre. Les plus connus étant : le Tetsuya pour les casinos, le Yutaka pour les restau', et le Raven's Claw pour les Bars. D'ailleurs, on est devant le Raven là."
C’était bien qu’il lui explique certaine chose, mais la, ce n’était pas vraiment des informations nécessaire, c’était un peu parlé pour rien dire, mais bon, elle le laissait parler... Il poussa ensuite la porte, elle le suivit jusqu'à une table écartée de tous, ce qui fessait un peu son affaire, car elle se sentirait mal dans cette foule de nouvelle race... Un serveur de la même race que presque tout le restaurent vint les servir, l’humaine remarqua tout de suite le collier, il était semblable à celui qu’elle portait, s’était, bien évidement, un esclave...
"Choisit ce que tu veux. Pour moi, ce sera un rhum'coca."
-Je prendrait une vodka fraise, merci
C'était inhabituel de la voir boire de l'alcool, mais vue les circonstances, elle pouvait bien se le permettre et si ça la rendait un peu "paf" ce ne serait pas de refus, question de se détendre un peu... Quand l'Ainoko esclave partie, le "Perroquet" pris ses aise et pris la parole par la suite
"Bon, que veux-tu savoir sur notre île "Merveilleuse" ?"
*Île merveilleuse?!*
C'était sur, cette fois il se moquait bien d'elle, ce serait surement l'enfer pour elle ici, du moins, c'était ce qu'elle pensait... La jeune femme réfléchis, non pas qu'elle manquait de questions, mais par quoi commencer...
-Justement, votre île "Merveilleuse" comme tu le dis, elle se situe ou? Et pourquoi je suis ici moi? Aussi, j'aimerais savoir d'où viens ta race...
Son ton n'était pas très amical, elle ne cherchait pas rire, ou à virer ses phrases d'une drôle de façon, elle voulait des réponses claires du Ainoko à la voix rauque... Quand les boissons demander arriva, Kumi en pris tout de suite une gorgée, ce bon liquide l'apaisa, elle n'était pas une amateure d'alcool, mais cette fois, c'était d'un réconfort pour elle...
Finalement, ils finirent par s'arrêter, enfaîte, celui qui l'avait acheté avait arrêté, elle, ne fit que suivre le mouvement, trop occuper par ses penser, elle ne le regardait pas, elle avait ses yeux qui visaient... le vide, comme un peu absente...
"Je préviens, c'est mon seul moyen de transport...alors, ça va secouer un peu. Je n'ai pas l'habitude d'être accompagné."
-Hmm...
Quelle réponse! Bien évidemment, elle n'avait rien compris, elle était prise par des questions existentiels, qu'es qu'elle devrait faire? Pourquoi l'avait-on envoyé ici? Et surtout, où était-elle?! Depuis le début de toute cette histoire, la jeune femme n'avait toujours pas su si elle était toujours au Japon, son pays natal, ou si on l'avait expédié à l'autre bout de la planète... Mais après quelques minutes de réflexion, c'était évident qu'elle était toujours au Japon, les seules personnes qu'elle avait entendu parler parlait tous sa langue... Un genre de "Flap! " ce fit entendre, comme si quelque chose se dépliait, mais elle ni porta pas attention, toujours son regard dans le vide...
*Tiens, j'me demande aussi...*
Ses pensées furent interrompu, deux mains étaient venues la prendre par la taille, là elle trouvait ce geste très déplacé, peut-être l'avait-il acheté, mais elle s'en foutait complètement, elle ne voulait pas être touché! Prête à mordre, elle posa ses mains sur celle qui entourait sa taille et releva sa tête...
En quelque seconde, son regard agressif c'était changé pour un petit regard d'étonnement, au lieu de s'arrêter sur les yeux or de celui qui la tenait, elle s'était arrêtée sur deux grands appendices loger à l'arrière du dos de celui-ci, constituer de plumes grise, ses grandes ailes la surprenait un peu, mais la fascina, elle n'aurait jamais cru voir ça de sa vie, sur des oiseaux oui, mais sur ce qui ressemblait au début à un être humain, jamais!
*Hé bien là! J'ai compris pourquoi on le considère comme les autres de sa race!*
Elle se retint de toucher les plumes grises, de peur de faire mal, après tout, peut-être était-ce sensible, elle lui demanderait plus tard, quand elle aurait compris...
"Accroche toi, mais ne les gêne pas s'il te plait...j'y tiens à mes ailes."
-Heu... D'accort
Kumi, qui ne regardait pas Haru, mais plutôt les ailes de celui-ci, passa timidement ses bras autour de lui, elle se sentait bien baka de sa réaction, le contact avec les autres n'était pas son fort, même qu'elle essayait de l'éviter le plus possible. Elle avait remarqué que sa voix avait changé, un peu plus rude et enroué que la précédente, la jeune femme ne fut pas vraiment étonnée de ça, après tout, il l'avait averti qu'il pouvait modifier sa voix...
Un premier battement d'aile se fit, Kumi ferma les yeux, ne voulant regarder le sol une fois dans les airs, les deux quittèrent le sol assez rapidement, les yeux fermer s'était assez agréable, mais quand Kumi ouvrir les yeux pour regarder un peu, un fort battement se fit voyant le sol s'éloigner, c'était bien la première fois qu'elle quittait la terre ferme, ses bras se resserra autour de "L'ange gris", elle s'imaginait glisser des mains de celui-ci et s'écraser contre le sol, ah! Kumi ne la trouverait pas très drôle...
Le vole qui ne durât que quelques minutes, lui paru duré une éternité, concentré sur le fait de ne pas glisser et s'écraser contre le sol et finir morte... Quand ses pieds touchèrent enfin la terre, elle quitta rapidement les bras de l'homme, pas question de se revoler de si tôt! Du moins, pas avant quelques explications! Le Ainoko rétracta ses ailes dans un "Flap! ", c'était donc ça le son qu'elle avait entendu... Il remit rapidement son veston.
"Cet endroit se nomme Yuugi, soit, le quartier du Risque. En fait, c'est le quartier de base des restaurants, casinos et bars en tout genre. Les plus connus étant : le Tetsuya pour les casinos, le Yutaka pour les restau', et le Raven's Claw pour les Bars. D'ailleurs, on est devant le Raven là."
C’était bien qu’il lui explique certaine chose, mais la, ce n’était pas vraiment des informations nécessaire, c’était un peu parlé pour rien dire, mais bon, elle le laissait parler... Il poussa ensuite la porte, elle le suivit jusqu'à une table écartée de tous, ce qui fessait un peu son affaire, car elle se sentirait mal dans cette foule de nouvelle race... Un serveur de la même race que presque tout le restaurent vint les servir, l’humaine remarqua tout de suite le collier, il était semblable à celui qu’elle portait, s’était, bien évidement, un esclave...
"Choisit ce que tu veux. Pour moi, ce sera un rhum'coca."
-Je prendrait une vodka fraise, merci
C'était inhabituel de la voir boire de l'alcool, mais vue les circonstances, elle pouvait bien se le permettre et si ça la rendait un peu "paf" ce ne serait pas de refus, question de se détendre un peu... Quand l'Ainoko esclave partie, le "Perroquet" pris ses aise et pris la parole par la suite
"Bon, que veux-tu savoir sur notre île "Merveilleuse" ?"
*Île merveilleuse?!*
C'était sur, cette fois il se moquait bien d'elle, ce serait surement l'enfer pour elle ici, du moins, c'était ce qu'elle pensait... La jeune femme réfléchis, non pas qu'elle manquait de questions, mais par quoi commencer...
-Justement, votre île "Merveilleuse" comme tu le dis, elle se situe ou? Et pourquoi je suis ici moi? Aussi, j'aimerais savoir d'où viens ta race...
Son ton n'était pas très amical, elle ne cherchait pas rire, ou à virer ses phrases d'une drôle de façon, elle voulait des réponses claires du Ainoko à la voix rauque... Quand les boissons demander arriva, Kumi en pris tout de suite une gorgée, ce bon liquide l'apaisa, elle n'était pas une amateure d'alcool, mais cette fois, c'était d'un réconfort pour elle...
Invité
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Franchement, je ne pensais pas qu'elle aurait aussi peur de quitter la Terre ferme. Moi, je suis plutôt mal à l'aise au sol, je préfère de loin le contact avec Arashi-sama. Mais bon, c'est probablement dû à sa race ! C'est la première fois que je côtoie réellement une humaine, alors bon, je ne suis pas habitué.
Enfin, je peux constater que le son de sa voix peut être mélodieuse et agréable. Alala, c'est vraiment mieux d'entendre les gens parler, que de les voir marmonner ! Pendant un moment, j'avais peur d'avoir chopper l'unique autiste du marché, pour dire !
Enfin, alors que j'avalais une gorgée de ma boisson, les questions débutèrent. J'avoue être assez pieux, et avoir toujours aimé l'histoire de mon île...alors, ces questions, elles étaient parfaites pour moi ! Et puis, peut-être que j'arriverais à la mettre à l'aise, faut pas oublier mon humour de piaf aussi !
"Le nom de cette île est "Migoto no Shima", d'où mon expression. Elle se situe au large des côtes Japonaises. Il y a de cela une centaine d'année, suite à des mouvements de plaques océaniques, notre île est née. En réalité, je suis certain que c'est l'œuvre de notre Grande Déesse, Taisha."
J'étais conscient que ma voix rauque, et mon regard lointain, doux, et aimant, devait donner un certain décalage. J'aime mon île, je déteste ceux qui se prennent pour ses Chefs ! Ces sales monstres chieurs et énervants ont oublié à QUI ils doivent leurs existences, QUI nous a toujours protégé, QUI nous a rendu fort ! Ils oublient tous Dame Taisha, notre mère à tous. Ils oublient Dame Arano, qui protège notre environnement. Dame Arashi, qui règne sur nos vents. Dame Rika, qui nous apporte la connaissance. Dame Motenashi qui protège nos familles. Dame Igaku, qui nous permet de vivre. Dame Kyouki qui rend nos vies plus palpitante.
Ils en oublie les Dieux, Sire Chi qui nous prête ses Terres. Sire Seisui qui nous offre l'eau à profusion ! Sire Tsuku qui nous protège du froid. Sire Shukumei qui construit nos vies. Sire Youkou qui nous éclaire. Et Sire Kage qui équilibre la balance de notre existence.
Je sais que plus j'y pense, plus mon regard se fait sombre, plus mes yeux étincelle de rage. J'ose espérer qu'elle ne le voit pas, mais je sais que c'est dur de cacher cela, cette colère qui me ronge en les voyant agir de façon aussi décaler. Les 7 Familles ont brisé notre équilibre, les disparitions ne sont que justice selon moi ! Mais je dois rester silencieux à ce suje,t où je sais que la Prison sera mon dernier lieu de vie. Je sais qu'alors mes ailes me seraient ôtées, et que je perdrais ce qui fait de moi un Libertin, un Oiseau, un être vivant par et pour les Airs.
Moi ? Prêtre d'Arashi ? Non...Dame Arashi ne possède que des prêtresses, et des servants. Je la sert, dans mon mode de vie je la vénère, elle et Mère Taisha.
Enfin, je sais que mon silence et mon regard qui fut noir et sombre peuvent effrayer mon hôte. Mais bon, en pensant à Dame Arashi, mon regard est redevenu calme et prospère. Ainsi, de mon étrange voix, qui n'appartient qu'à moi, je poursuivit :
"Pour expliquer "pourquoi" tu es ici, il faut d'abord savoir qu'il y a 100 ans, un groupe de scientifiques venu du Japon est arrivé sur cette nouvelle île qu'étais alors la notre. Ils l'ont gardé secrète, et ils ont construit un laboratoire de recherche. Après, cela dépend du point de vue.
De manière scientifique, un accident à eu lieu, tuant les scientifique et répandant un produit qui fit muter la faune, donnant naissance à notre race.
De mon point de vue, cet accident fut créer par Dame Taisha, Notre Mère à tous. Notre Déesse."
Mon regard s'était fait plus doux, et moins sérieux...plus tendre en somme. Je suis sûr qu'elle doit me prendre pour un fou, mais bon, on est croyant ou on ne l'ai pas.
"Mais voilà, alors que notre race prospéré, les humains retrouvèrent notre île il y a 20 ans. J'ai participé à cette guerre, et je peux te dire qu'elle n'était pas magnifique. Les Humains voulaient faire de nous des cobayes, des animaux de foire. Nous avons perdus pas mal des nôtres à cause de cela, et certains nous ont trahit...leur sentence fut l'esclavage.
La Guerre dura entre une et deux années, je ne sais plus trop. Nous, les Ainokos, gagnèrent cette-dernière. En échange de notre silence, et de notre discrétion, et par peur de nous voir les envahir, vos chefs politiques décidèrent de nous envoyer des Humains. En somme, tu es la "Monnaie d'échange" pour la sauvegarde de ton pays."
La fin de ma phrase était ironique à souhait. Le comportement des Humains m'énervait...et les plus jeunes Ainokos aussi. Le comportement de ces-derniers devenant trop similaire à celui de ces êtres indignes qui ont détruit la vie de bien des nôtres.
Faire la guerre change un homme...et je me souvient encore de cette bataille avec les humains, où nous étions vu comme des Erreurs de la Nature, des être inférieurs juste bon à être des cobayes. Mais les Divinités étaient alors avec nous, nous donnant la force, la rage, le courage, et la ruse pour affronter ces égocentriques de première.
Et pourtant, la femme qui me faisait face me semblait différent de ces autres humains, et des ainokos qui commençaient à perdre leur lien avec la nature.
Terminant cul-sec mon verre, je la regarda droit dans les yeux, et lui déclara, avec un sourire :
"Tu n'es pas chanceuse...comme bien des gens. Mais bon, d'autres questions ?"
Alors que je parlais, je remarqua que l'un des Ankoku se dirigeait vers ma table. Pestant à voix basse, je me retint de l'envoyer balader quand il se stoppa face à ma table, non, notre table à Kumi et moi.
"On fait ami-ami avec une Humaine ?
- Disons que je suis plus raffiné que toi, et préfère comprendre plutôt que frapper et rester idiot.
- Comment oses-tu ? Sais-tu qui je suis ?!
- Quelqu'un qui me dérange et me dégoute...Dégage."
Bon, j'y suis allé trop loin...je voix déjà la force de bourrin de ce bœuf me foncer dessus. Quand, soudain, son téléphone sonne. Bonheur absolu, son poing se stop juste devant mon nez. Je suis chanceux aujourd'hui !!
"Oui ? Euh..Bien chef, oui chef. A vos ordres."
A peine a-t-il raccroché que je ne put empêcher ma langue bavarde de s'exprimer :
"On rentre jouer les toutoux, Ankoku ?"
Bon, là, pas de mot...mais j'ai reçu un super crochet du droit. Tss, ma lèvre est coupé, et je saigne. Fait chier, ils sont énervant ces bourrins ! Ok, je suis juste un Kanata, et un Kanata sans gêne de Aras...mais quand même ! C'ets abuser !
Je le voit partir alors qu'il se fout de ma tête, pendant ce temps, je me retient de le fusiller du regard, ou d'aller faire une connerie. Faisant signe au serveur que tout va bien, je me réinstalla, et les gens commencèrent à m'ignorer.
Le Kakon partit, suivit des deux autres Ankoku. Ne restait plus dans la salle qu'un Hikari, qui semblait trouver la chose amusante, et le Tenshi, qui flânait et draguer une esclave ainoko.
"Tss...ce que je peux haïr ces familles. Enfin, d'autres questions ?" dis-je tout en essuyant, à l'aide d'une serviette en papier, le liquide rouge qui coûlait de ma bouche.
Enfin, je peux constater que le son de sa voix peut être mélodieuse et agréable. Alala, c'est vraiment mieux d'entendre les gens parler, que de les voir marmonner ! Pendant un moment, j'avais peur d'avoir chopper l'unique autiste du marché, pour dire !
Enfin, alors que j'avalais une gorgée de ma boisson, les questions débutèrent. J'avoue être assez pieux, et avoir toujours aimé l'histoire de mon île...alors, ces questions, elles étaient parfaites pour moi ! Et puis, peut-être que j'arriverais à la mettre à l'aise, faut pas oublier mon humour de piaf aussi !
"Le nom de cette île est "Migoto no Shima", d'où mon expression. Elle se situe au large des côtes Japonaises. Il y a de cela une centaine d'année, suite à des mouvements de plaques océaniques, notre île est née. En réalité, je suis certain que c'est l'œuvre de notre Grande Déesse, Taisha."
J'étais conscient que ma voix rauque, et mon regard lointain, doux, et aimant, devait donner un certain décalage. J'aime mon île, je déteste ceux qui se prennent pour ses Chefs ! Ces sales monstres chieurs et énervants ont oublié à QUI ils doivent leurs existences, QUI nous a toujours protégé, QUI nous a rendu fort ! Ils oublient tous Dame Taisha, notre mère à tous. Ils oublient Dame Arano, qui protège notre environnement. Dame Arashi, qui règne sur nos vents. Dame Rika, qui nous apporte la connaissance. Dame Motenashi qui protège nos familles. Dame Igaku, qui nous permet de vivre. Dame Kyouki qui rend nos vies plus palpitante.
Ils en oublie les Dieux, Sire Chi qui nous prête ses Terres. Sire Seisui qui nous offre l'eau à profusion ! Sire Tsuku qui nous protège du froid. Sire Shukumei qui construit nos vies. Sire Youkou qui nous éclaire. Et Sire Kage qui équilibre la balance de notre existence.
Je sais que plus j'y pense, plus mon regard se fait sombre, plus mes yeux étincelle de rage. J'ose espérer qu'elle ne le voit pas, mais je sais que c'est dur de cacher cela, cette colère qui me ronge en les voyant agir de façon aussi décaler. Les 7 Familles ont brisé notre équilibre, les disparitions ne sont que justice selon moi ! Mais je dois rester silencieux à ce suje,t où je sais que la Prison sera mon dernier lieu de vie. Je sais qu'alors mes ailes me seraient ôtées, et que je perdrais ce qui fait de moi un Libertin, un Oiseau, un être vivant par et pour les Airs.
Moi ? Prêtre d'Arashi ? Non...Dame Arashi ne possède que des prêtresses, et des servants. Je la sert, dans mon mode de vie je la vénère, elle et Mère Taisha.
Enfin, je sais que mon silence et mon regard qui fut noir et sombre peuvent effrayer mon hôte. Mais bon, en pensant à Dame Arashi, mon regard est redevenu calme et prospère. Ainsi, de mon étrange voix, qui n'appartient qu'à moi, je poursuivit :
"Pour expliquer "pourquoi" tu es ici, il faut d'abord savoir qu'il y a 100 ans, un groupe de scientifiques venu du Japon est arrivé sur cette nouvelle île qu'étais alors la notre. Ils l'ont gardé secrète, et ils ont construit un laboratoire de recherche. Après, cela dépend du point de vue.
De manière scientifique, un accident à eu lieu, tuant les scientifique et répandant un produit qui fit muter la faune, donnant naissance à notre race.
De mon point de vue, cet accident fut créer par Dame Taisha, Notre Mère à tous. Notre Déesse."
Mon regard s'était fait plus doux, et moins sérieux...plus tendre en somme. Je suis sûr qu'elle doit me prendre pour un fou, mais bon, on est croyant ou on ne l'ai pas.
"Mais voilà, alors que notre race prospéré, les humains retrouvèrent notre île il y a 20 ans. J'ai participé à cette guerre, et je peux te dire qu'elle n'était pas magnifique. Les Humains voulaient faire de nous des cobayes, des animaux de foire. Nous avons perdus pas mal des nôtres à cause de cela, et certains nous ont trahit...leur sentence fut l'esclavage.
La Guerre dura entre une et deux années, je ne sais plus trop. Nous, les Ainokos, gagnèrent cette-dernière. En échange de notre silence, et de notre discrétion, et par peur de nous voir les envahir, vos chefs politiques décidèrent de nous envoyer des Humains. En somme, tu es la "Monnaie d'échange" pour la sauvegarde de ton pays."
La fin de ma phrase était ironique à souhait. Le comportement des Humains m'énervait...et les plus jeunes Ainokos aussi. Le comportement de ces-derniers devenant trop similaire à celui de ces êtres indignes qui ont détruit la vie de bien des nôtres.
Faire la guerre change un homme...et je me souvient encore de cette bataille avec les humains, où nous étions vu comme des Erreurs de la Nature, des être inférieurs juste bon à être des cobayes. Mais les Divinités étaient alors avec nous, nous donnant la force, la rage, le courage, et la ruse pour affronter ces égocentriques de première.
Et pourtant, la femme qui me faisait face me semblait différent de ces autres humains, et des ainokos qui commençaient à perdre leur lien avec la nature.
Terminant cul-sec mon verre, je la regarda droit dans les yeux, et lui déclara, avec un sourire :
"Tu n'es pas chanceuse...comme bien des gens. Mais bon, d'autres questions ?"
Alors que je parlais, je remarqua que l'un des Ankoku se dirigeait vers ma table. Pestant à voix basse, je me retint de l'envoyer balader quand il se stoppa face à ma table, non, notre table à Kumi et moi.
"On fait ami-ami avec une Humaine ?
- Disons que je suis plus raffiné que toi, et préfère comprendre plutôt que frapper et rester idiot.
- Comment oses-tu ? Sais-tu qui je suis ?!
- Quelqu'un qui me dérange et me dégoute...Dégage."
Bon, j'y suis allé trop loin...je voix déjà la force de bourrin de ce bœuf me foncer dessus. Quand, soudain, son téléphone sonne. Bonheur absolu, son poing se stop juste devant mon nez. Je suis chanceux aujourd'hui !!
"Oui ? Euh..Bien chef, oui chef. A vos ordres."
A peine a-t-il raccroché que je ne put empêcher ma langue bavarde de s'exprimer :
"On rentre jouer les toutoux, Ankoku ?"
Bon, là, pas de mot...mais j'ai reçu un super crochet du droit. Tss, ma lèvre est coupé, et je saigne. Fait chier, ils sont énervant ces bourrins ! Ok, je suis juste un Kanata, et un Kanata sans gêne de Aras...mais quand même ! C'ets abuser !
Je le voit partir alors qu'il se fout de ma tête, pendant ce temps, je me retient de le fusiller du regard, ou d'aller faire une connerie. Faisant signe au serveur que tout va bien, je me réinstalla, et les gens commencèrent à m'ignorer.
Le Kakon partit, suivit des deux autres Ankoku. Ne restait plus dans la salle qu'un Hikari, qui semblait trouver la chose amusante, et le Tenshi, qui flânait et draguer une esclave ainoko.
"Tss...ce que je peux haïr ces familles. Enfin, d'autres questions ?" dis-je tout en essuyant, à l'aide d'une serviette en papier, le liquide rouge qui coûlait de ma bouche.
Kanata Haru
Ainoko Libre
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Rien, si ce n'est mes choix...Et, officiellement, Maître de Mikomi, et Sukô.
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Ma foi ? Mes responsabilités ? Peut-être, oui. (Et je n'appartiens pas à Sukô !)
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Avant que les explications débute, l'Ainoko, qui se disait "Maitre" de Kumi, pris une gorgée de sa boisson, ce qui laissa quelque seconde à celle-ci d'observer la pièce. Oui, les Ainokos lui fessait peur. Non, elle ne voulait pas fuir, elle voulait comprendre, pourquoi? Ces bêtes étaient toutes très anormal pour elle, pour le destin voulait-il se joué d'elle comme ça? Pourquoi n'était-elle plus aux bras de celui qu'elle aime? Tout ca allais rester un mystère pour elle, puisse que, elle n'aurait surement plus accès à sa terre Natal, là ou elle est née, ou elle a aimé...
La voix rude de son interlocuteur la fit sortir de ses pensées, elle devait absolument se concentrer, sinon, elle "zapperait " toutes les informations qu'elle voulait...
"Le nom de cette île est "Migoto no Shima", d'où mon expression."
Alors, il ne s'était pas moqué d'elle, Kumi se senti un peu gênée vue la réaction un peu excessive qu'elle avait apport sur le mot "Merveilleuse", il ne voulait pas se moquer d'elle, il parlait vraiment de cette île, sous son nom...
"Elle se situe au large des côtes Japonaises. Il y a de cela une centaine d'année, suite à des mouvements de plaques océaniques, notre île est née. En réalité, je suis certain que c'est l'œuvre de notre Grande Déesse, Taisha."
*Déesse Taisha? Oh non, par pitié, faite que je ne sois pas tombée sur un croyant compulsif!*
L'humaine n'était pas du genre croyante, même qu'elle se fondait souvent sur des fait scientifique, elle ne croyait quand ça... et le destin, c'était une chose qui la rassurait, que toute sa vie était tracée, que la vie était organisée pour bien finir... C'était absurde pour certaine personne, comme le pensait Kumi pour toute religion, mais elle respectait ce choix... Si on devait nommer une qualité de la jeune femme, se serait surement, le respect... Pour elle chaque être vivant à droit aux respects, autant pour vivre, que pour mourir dans les meilleures conditions...
En revenant aux Divinités, Kumi souhaitait aussi ne pas avoir à apprendre à prier ou faire quoi que ce soit pour eux, elle n'avait pas la patience pour ça... Observent toujours "L'homme-oiseau", elle se rendit compte que son regard changeait souvent, il passait de la sérénité à la colère, puis à la paix d'esprit, ce fut ce dernier regard qu'il eue avant de reprendre la parole de cette voix au ton bizarrement grave...
"Pour expliquer "pourquoi" tu es ici, il faut d'abord savoir qu'il y a 100 ans, un groupe de scientifiques venu du Japon est arrivé sur cette nouvelle île qu'étais alors la notre. Ils l'ont gardé secrète, et ils ont construit un laboratoire de recherche. Après, cela dépend du point de vue.
De manière scientifique, un accident à eu lieu, tuant les scientifique et répandant un produit qui fit muter la faune, donnant naissance à notre race.
De mon point de vue, cet accident fut créer par Dame Taisha, Notre Mère à tous. Notre Déesse."
Il fut encore question de cette Déesse, mais cette fois, il parla aussi de l'être humain... Alors, l'humain fut le premier Bipède sur cette terre? C'était intéressant tout de même, d'après lui c'était sa "Reine" qui avait tout créé, tout inventé, mais une parcelle de l'homme était derrière tout ça, le sujet commençait un peu à l'intéresser...
Voilà maintenant qu'il avait un regard amoureux, bien sûr, c'était en pensent à cette divinité, qui n'existait surement pas aux yeux de Kumi, tout ce cinéma commençait un peu à lui tomber sur les nerfs... Non, elle n'était pas jalouse, au moins c'était ce qu'elle pensait, mais elle le trouvait énervent à la fin... Il reprit encore la parole, toujours avec ce regard qui énervait tant l'humaine...
"Mais voilà, alors que notre race prospéré, les humains retrouvèrent notre île il y a 20 ans. J'ai participé à cette guerre, et je peux te dire qu'elle n'était pas magnifique."
Avait-elle bien compris? La guerre a eu lieu il y a 20 ans et il y a participé... Quelque chose ne collait pas, comment pouvait-il y avoir participé, il avait l'air si... jeune! Voilà que son questionnement la tracassait, quel âge pouvait-il bien avoir? Avant cette information, il ne lui aurait surement pas donné plus de 40 ans, mais maintenant... Voilà qu'elle l'observait beaucoup, toujours sans gène, elle cherchait quelque chose, qui pourrait lui indiquer son âge, seul truc qu'elle connaissait n'était pas très subtil... Alors, il ne lui laissait que deux choix, sois lui demandé ou continuer de chercher sans le savoir pour autant et être prise à lui demander... Mais voilà qu'il continuait, elle n'avait pas le temps de demander quoi que ce soit...
"Les Humains voulaient faire de nous des cobayes, des animaux de foire. Nous avons perdus pas mal des nôtres à cause de cela, et certains nous ont trahit...leur sentence fut l'esclavage."
La jeune femme reconnaissait bien là les humains, cette race pouvant faire de grandes choses, mais pouvant faire paraitre les êtres humains pitoyables... Pourquoi voulait-il dominé cette nouvelle race? Kumi n'en avait aucune idée, surement une question d'orgueil... Mais ce qu'elle savait par exemple, ses que c'était un geste stupide... Non seulement, la race des Ainokos avait perdu plusieurs de leurs compagnons, mais se dut être de même pour ces compatriote à elle... Le nombre d'humain sacrifié pour prendre possessions d'eux... Sa propre race la décourageait... Elle soupira...
"La Guerre dura entre une et deux années, je ne sais plus trop. Nous, les Ainokos, gagnèrent cette-dernière. En échange de notre silence, et de notre discrétion, et par peur de nous voir les envahir, vos chefs politiques décidèrent de nous envoyer des Humains. En somme, tu es la "Monnaie d'échange" pour la sauvegarde de ton pays."
Ah! Voilà enfin pourquoi elle était ici! C'était encore un coup minable de sa race, pour se protéger, il fallait en mettre d'autre en péril... Elle ne voulait pas être une monnaie d'échange, elle avait encore une vie à vivre elle! Elle n'était pas découragée à ce point, elle aimait un homme et elle voulait lui rendre service, mais voilà où elle était rendue maintenant! Ah! Le gouvernement, elle l'avait pas mal loin en ce moment...
"Tu n'es pas chanceuse...comme bien des gens. Mais bon, d'autres questions ?"
Alors qu'elle allait poser une autre question, la jeune femme vue un autre Ainoko s'approcher, Haru sembla fulminé en silence. Peut-être que vous trouverez ça comme une réaction absurde, mais Kumi préféra se taire, bizarrement elle préférait attendre que l'autre sois passé... Mais comble du malheur, celui-ci s'arrêta devant leur table, se sentent tout de suite mal-à-l'aise, l'humaine prit une gorgée de sa boisson, qui fut aussi sa dernière, vue qu'elle avait bue pendant que l'Ainoko expliquait...
Ne portant pas attention à ce qui se passait entre les deux de même race, l'humaine regardait son verre, cherchant des questions qu'elle pourrait bien poser à son informateur... Puis un son de cellulaire se fit entendre. Ah! Alors, il avait de la technologie eux aussi?! Comment s'en procurait-il s'il ne pouvait sortir de l'île? Ses yeux étaient levés vers l'Ainoko qui tenait le téléphone cellulaire, celui-ci lui donna froid dans le dos, il paraissait du genre moins commode...
"On rentre jouer les toutoux, Ankoku ?"
Il avait la langue bien pendu le simili-maitre, il avait dit ça comme si de rien n'était, un humain normal lui aurait surement donné une bonne correction... Puis sous les yeux de Kumi, l'Ainoko agissait comme aurait réagis un humain, donnant un bon coup au visage de Haru... Elle figea sur place, qu'aurait-elle pu faire, bien évidemment, il était plus fort qu'elle, et l'affronter d'un simple regard lui aurait causé toutes les misères du monde...
Elle posa son regard inquiet sur l'Ainoko battu, celui-ci ne sembla pas en si mauvais état, mais tout de même... Sa lèvre saignait, il prit une serviette de table pour arrêter l'hémorragie, mais ce n'est pas ce qui rassura la jeune femme...
"Tss...Ce que je peux haïr ces familles. Enfin, d'autres questions ?"
-Est-ce que ça va aller?
Est-ce que ça comptait pour une question? Enfaîte, Kumi se fichait pas mal des questions, c'était simplement venu par habitude, s'inquiéter un peu pour tout, c'était bien elle... Il haïssait ces personnes?
-Tu ne devrait pas aimer les humains non plus...
Elle avait marmonné ses derniers, c'était plus pour elle qu'elle disait ça, mais c'était vrai, l'Ainoko avait agis en pur humain, cette réaction de violence... son regard était un peu de côté, comme si elle pensait, elle réfléchissait à comment elle vivrait ici... serait-elle traité de cette même façon? C'était bien la preuve qu'elle n'avait pas écouté plus tôt...
Reprennent un peu ses esprits, elle redressa la tête et regarda son simili-maitre, c'était avec lui qu'elle devrait passer le reste de ses jours, elle devait lui obéir? Elle soupira, du moins, ce ne sera surement pas ennuyant... Ni même de tout repos... Enfin...
L'humaine revint sur la dernière interrogation qu'il lui avait demandé, la dernière scène qui s'était passé lui avait fait perdre toutes questions...
-Je ne croit pas avoir d'autre question...
Elle lui afficha un mince sourire, non pas qu'elle était contente, ou fière, mais elle restait polie malgré tout...
La voix rude de son interlocuteur la fit sortir de ses pensées, elle devait absolument se concentrer, sinon, elle "zapperait " toutes les informations qu'elle voulait...
"Le nom de cette île est "Migoto no Shima", d'où mon expression."
Alors, il ne s'était pas moqué d'elle, Kumi se senti un peu gênée vue la réaction un peu excessive qu'elle avait apport sur le mot "Merveilleuse", il ne voulait pas se moquer d'elle, il parlait vraiment de cette île, sous son nom...
"Elle se situe au large des côtes Japonaises. Il y a de cela une centaine d'année, suite à des mouvements de plaques océaniques, notre île est née. En réalité, je suis certain que c'est l'œuvre de notre Grande Déesse, Taisha."
*Déesse Taisha? Oh non, par pitié, faite que je ne sois pas tombée sur un croyant compulsif!*
L'humaine n'était pas du genre croyante, même qu'elle se fondait souvent sur des fait scientifique, elle ne croyait quand ça... et le destin, c'était une chose qui la rassurait, que toute sa vie était tracée, que la vie était organisée pour bien finir... C'était absurde pour certaine personne, comme le pensait Kumi pour toute religion, mais elle respectait ce choix... Si on devait nommer une qualité de la jeune femme, se serait surement, le respect... Pour elle chaque être vivant à droit aux respects, autant pour vivre, que pour mourir dans les meilleures conditions...
En revenant aux Divinités, Kumi souhaitait aussi ne pas avoir à apprendre à prier ou faire quoi que ce soit pour eux, elle n'avait pas la patience pour ça... Observent toujours "L'homme-oiseau", elle se rendit compte que son regard changeait souvent, il passait de la sérénité à la colère, puis à la paix d'esprit, ce fut ce dernier regard qu'il eue avant de reprendre la parole de cette voix au ton bizarrement grave...
"Pour expliquer "pourquoi" tu es ici, il faut d'abord savoir qu'il y a 100 ans, un groupe de scientifiques venu du Japon est arrivé sur cette nouvelle île qu'étais alors la notre. Ils l'ont gardé secrète, et ils ont construit un laboratoire de recherche. Après, cela dépend du point de vue.
De manière scientifique, un accident à eu lieu, tuant les scientifique et répandant un produit qui fit muter la faune, donnant naissance à notre race.
De mon point de vue, cet accident fut créer par Dame Taisha, Notre Mère à tous. Notre Déesse."
Il fut encore question de cette Déesse, mais cette fois, il parla aussi de l'être humain... Alors, l'humain fut le premier Bipède sur cette terre? C'était intéressant tout de même, d'après lui c'était sa "Reine" qui avait tout créé, tout inventé, mais une parcelle de l'homme était derrière tout ça, le sujet commençait un peu à l'intéresser...
Voilà maintenant qu'il avait un regard amoureux, bien sûr, c'était en pensent à cette divinité, qui n'existait surement pas aux yeux de Kumi, tout ce cinéma commençait un peu à lui tomber sur les nerfs... Non, elle n'était pas jalouse, au moins c'était ce qu'elle pensait, mais elle le trouvait énervent à la fin... Il reprit encore la parole, toujours avec ce regard qui énervait tant l'humaine...
"Mais voilà, alors que notre race prospéré, les humains retrouvèrent notre île il y a 20 ans. J'ai participé à cette guerre, et je peux te dire qu'elle n'était pas magnifique."
Avait-elle bien compris? La guerre a eu lieu il y a 20 ans et il y a participé... Quelque chose ne collait pas, comment pouvait-il y avoir participé, il avait l'air si... jeune! Voilà que son questionnement la tracassait, quel âge pouvait-il bien avoir? Avant cette information, il ne lui aurait surement pas donné plus de 40 ans, mais maintenant... Voilà qu'elle l'observait beaucoup, toujours sans gène, elle cherchait quelque chose, qui pourrait lui indiquer son âge, seul truc qu'elle connaissait n'était pas très subtil... Alors, il ne lui laissait que deux choix, sois lui demandé ou continuer de chercher sans le savoir pour autant et être prise à lui demander... Mais voilà qu'il continuait, elle n'avait pas le temps de demander quoi que ce soit...
"Les Humains voulaient faire de nous des cobayes, des animaux de foire. Nous avons perdus pas mal des nôtres à cause de cela, et certains nous ont trahit...leur sentence fut l'esclavage."
La jeune femme reconnaissait bien là les humains, cette race pouvant faire de grandes choses, mais pouvant faire paraitre les êtres humains pitoyables... Pourquoi voulait-il dominé cette nouvelle race? Kumi n'en avait aucune idée, surement une question d'orgueil... Mais ce qu'elle savait par exemple, ses que c'était un geste stupide... Non seulement, la race des Ainokos avait perdu plusieurs de leurs compagnons, mais se dut être de même pour ces compatriote à elle... Le nombre d'humain sacrifié pour prendre possessions d'eux... Sa propre race la décourageait... Elle soupira...
"La Guerre dura entre une et deux années, je ne sais plus trop. Nous, les Ainokos, gagnèrent cette-dernière. En échange de notre silence, et de notre discrétion, et par peur de nous voir les envahir, vos chefs politiques décidèrent de nous envoyer des Humains. En somme, tu es la "Monnaie d'échange" pour la sauvegarde de ton pays."
Ah! Voilà enfin pourquoi elle était ici! C'était encore un coup minable de sa race, pour se protéger, il fallait en mettre d'autre en péril... Elle ne voulait pas être une monnaie d'échange, elle avait encore une vie à vivre elle! Elle n'était pas découragée à ce point, elle aimait un homme et elle voulait lui rendre service, mais voilà où elle était rendue maintenant! Ah! Le gouvernement, elle l'avait pas mal loin en ce moment...
"Tu n'es pas chanceuse...comme bien des gens. Mais bon, d'autres questions ?"
Alors qu'elle allait poser une autre question, la jeune femme vue un autre Ainoko s'approcher, Haru sembla fulminé en silence. Peut-être que vous trouverez ça comme une réaction absurde, mais Kumi préféra se taire, bizarrement elle préférait attendre que l'autre sois passé... Mais comble du malheur, celui-ci s'arrêta devant leur table, se sentent tout de suite mal-à-l'aise, l'humaine prit une gorgée de sa boisson, qui fut aussi sa dernière, vue qu'elle avait bue pendant que l'Ainoko expliquait...
Ne portant pas attention à ce qui se passait entre les deux de même race, l'humaine regardait son verre, cherchant des questions qu'elle pourrait bien poser à son informateur... Puis un son de cellulaire se fit entendre. Ah! Alors, il avait de la technologie eux aussi?! Comment s'en procurait-il s'il ne pouvait sortir de l'île? Ses yeux étaient levés vers l'Ainoko qui tenait le téléphone cellulaire, celui-ci lui donna froid dans le dos, il paraissait du genre moins commode...
"On rentre jouer les toutoux, Ankoku ?"
Il avait la langue bien pendu le simili-maitre, il avait dit ça comme si de rien n'était, un humain normal lui aurait surement donné une bonne correction... Puis sous les yeux de Kumi, l'Ainoko agissait comme aurait réagis un humain, donnant un bon coup au visage de Haru... Elle figea sur place, qu'aurait-elle pu faire, bien évidemment, il était plus fort qu'elle, et l'affronter d'un simple regard lui aurait causé toutes les misères du monde...
Elle posa son regard inquiet sur l'Ainoko battu, celui-ci ne sembla pas en si mauvais état, mais tout de même... Sa lèvre saignait, il prit une serviette de table pour arrêter l'hémorragie, mais ce n'est pas ce qui rassura la jeune femme...
"Tss...Ce que je peux haïr ces familles. Enfin, d'autres questions ?"
-Est-ce que ça va aller?
Est-ce que ça comptait pour une question? Enfaîte, Kumi se fichait pas mal des questions, c'était simplement venu par habitude, s'inquiéter un peu pour tout, c'était bien elle... Il haïssait ces personnes?
-Tu ne devrait pas aimer les humains non plus...
Elle avait marmonné ses derniers, c'était plus pour elle qu'elle disait ça, mais c'était vrai, l'Ainoko avait agis en pur humain, cette réaction de violence... son regard était un peu de côté, comme si elle pensait, elle réfléchissait à comment elle vivrait ici... serait-elle traité de cette même façon? C'était bien la preuve qu'elle n'avait pas écouté plus tôt...
Reprennent un peu ses esprits, elle redressa la tête et regarda son simili-maitre, c'était avec lui qu'elle devrait passer le reste de ses jours, elle devait lui obéir? Elle soupira, du moins, ce ne sera surement pas ennuyant... Ni même de tout repos... Enfin...
L'humaine revint sur la dernière interrogation qu'il lui avait demandé, la dernière scène qui s'était passé lui avait fait perdre toutes questions...
-Je ne croit pas avoir d'autre question...
Elle lui afficha un mince sourire, non pas qu'elle était contente, ou fière, mais elle restait polie malgré tout...
Invité
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J'avais remarqué que lors de mon monologue, elle avait parfois été troublée...mais j'étais tellement prit dans mes paroles, que je n'avais pas put correctement analyser ce trouble, et ce questionnement. Par contre, ce qui m'avait clairement confronté dans l'idée qu'elle valait la peine d'être observée, s'était sa réaction au sujet des actes de sa race.
Enfin, alors que je pestait, fulminait même, contre ces saletés de Grandes Familles, j'entendis une question qui eut pour effet de, comment dire, m'abasourdir !
J'avoue levait les yeux rapidement, avec un air de merlan frit. Venait-elle de me demander si j'allais bien ?! Euh...on est sûr que je viens de lui annoncer qu'elle était condamnée à vivre ici, dans l'esclavage le plus total et la soumission parfaite, et tout ça à cause de sa race ? Et ben...elle le prend plutôt bien la miss.
"Hein ? Euh...ouais. J'ai connu bien pire."
C'est la seule chose que je trouva à lui répondre, alors que j'avais enfin arrêter la légère hémorragie. Saleté de bête à corne ! Incapable de contrôler sa force ! Ok, je suis mal placé pour répondre...je ne sait pas tenir ma langue en place, comme tout perroquet qui se respecte : j'ai une grande gueule.
Euh, elle vient de marmonner là ? Oui...j'en suis certain. Attendez, j'ai un temps d'arrêt là, laissez moi remettre en route les deux-trois neurones qui me restent. Ok ! Connexion au réseau qui me sert de cervelle rétablie. Elle a bien dit ce que j'ai crut entendre...Tss...
"Je n'aime pas les humains, c'est vrai. Ils sont venus briser le paradis qu'étais notre île, rien qu'avec leur parole, leurs idées, et leurs actes. La vie à Migoto ne sera jamais plus comme avant...et puis, je hait les Ankoku, et pas qu'eux."
Posant mes coudes sur ma table, elle me déclara ne plus avoir de question...cependant, je n'avais pas terminé mes explications, cherchant un moyen de m'être en ordre mes idées...histoire de calmer ma rage, ma haine et ma colère.
"Les Ankoku, les Kakon, les Meiroo, les Kaijuu, les Hikari, les Tenshi et les Yume. Il est impératif que tu retiennes ces noms. Ce sont les 7 Familles dirigeantes de notre île. Elles mènent la politique, gèrent les échanges, mettent en place des zones de travail...et pas mal d'autre chose encore."
Je sais que, à présent, les clients ont arrêté de nous écouter en douce. Pourquoi ? Car le Tenshi vient de partir, avec une probable cousine éloignée des Meiroo au bras.
Le Hikari ? Lui je m'en fout ! Ou qu'il soit, je sais qu'il doit écouter ce qui se passe...c'est la seule raison de vivre de ces insectes : le savoir. Plus curieux qu'eux, on crève je suppose !
"Les Ankoku dirigent le Marché, et tous ce qui a attrait à activité commerciale de l'île. Enfin, dans la lumière...en réalité, ce sont les fournisseurs numéros un des Kakon. Eux, officiellement, ils offrent du plaisir. Officieusement, ce sont des criminels, des proxénètes, des voleurs...
Pour les Meiroo, bof, ils font la fête et gèrent les lieux comme celui-ci. Les Kaijuu sont les "garants de la Loi et de la Paix". Les Tenshi, des médecins en générale, et des scientifiques. Les Hikari sont les pros de l'info...c'ets eux qui gérent le journal de l'île. De vrais curieux. Enfin, les Yume sont la neutralité, la "sagesse" auto-proclamée de l'île."
Si on écoutait bien le timbre de ma voix, il était dur et moqueur...sauf pour les Hikari, on aurait dit que je parlais de la pluie et du beau temps à leur sujet. Je croit qu'elle n'a pas besoin de dessin pour savoir que je n'aime pas ces familles...mais bon, même si elle me le demande, je n'ai pas suffisamment confiance en elle pour lui dire le "pourquoi" du "comment" de cette haine.
J'enlevais alors mes coudes de la table, et m'étirait. Je fit un signe rapide au serveur, lui indiquant de nous redonner une dernière tournée de boissons. j'en avait bien besoin après tout cela.
"Voilà, je pense que tu connais l'essentiel à présent. Autre chose, évites le plus possible le quartier nommé Kagen. Disons qu'une humaine là-bas, qu'elle est un maître ou non, finira probablement dans le lit de quelqu'un...de gré, ou de force. C'est le quartier fétiche des Kakon, et de la "Hebi no Kajin"...Une proxénète reconnue, mais sur laquelle personne ne sait rien. Le Journal lui a même dédié un article, pour dire !"
Ok, je fait dans l'ironie et le cynisme ! Il faut avouer que je viens de lui balancer une partie de notre histoire, une grosse part de politique, et les lieux à éviter pour ne pas se faire violer, et agresser ! En fait, ça en fait pas mal.
D'ailleurs, nos verres vient d'arriver...et je boit le mieux cul sec. A peine cela fait, je lui dit :
"Dés que tu as finis, on va faire des courses. J'ai aucun vêtement pour femmes chez moi...va falloir qu'on t'en achète, surtout que j'y connais rien en mode féminine.
Au passage, le vol t'a dérangé ? Car si c'est le cas, on va y aller à pieds. Je n'aime pas être enfermé dans une auto...cela me met mal à l'aise."
J'avais troqué ma voix rauque. On quittait le domaine du sérieux, le domaine où je me devais d'être 100% moi-même. Non, là, on entrait dans le domaine du commun, le domaine où l'humour est de mise, le domaine où je peux jouer sur les intonations, les voix, les genres et les gens.
Et puis, il serait amusant de voir sa tête une fois dans les boutiques. Entre les Ainokos de "ver à soie" et ceux "d'araignées"...le commerce du vêtement avaient ses Rois ! (et Reines)
Enfin, alors que je pestait, fulminait même, contre ces saletés de Grandes Familles, j'entendis une question qui eut pour effet de, comment dire, m'abasourdir !
J'avoue levait les yeux rapidement, avec un air de merlan frit. Venait-elle de me demander si j'allais bien ?! Euh...on est sûr que je viens de lui annoncer qu'elle était condamnée à vivre ici, dans l'esclavage le plus total et la soumission parfaite, et tout ça à cause de sa race ? Et ben...elle le prend plutôt bien la miss.
"Hein ? Euh...ouais. J'ai connu bien pire."
C'est la seule chose que je trouva à lui répondre, alors que j'avais enfin arrêter la légère hémorragie. Saleté de bête à corne ! Incapable de contrôler sa force ! Ok, je suis mal placé pour répondre...je ne sait pas tenir ma langue en place, comme tout perroquet qui se respecte : j'ai une grande gueule.
Euh, elle vient de marmonner là ? Oui...j'en suis certain. Attendez, j'ai un temps d'arrêt là, laissez moi remettre en route les deux-trois neurones qui me restent. Ok ! Connexion au réseau qui me sert de cervelle rétablie. Elle a bien dit ce que j'ai crut entendre...Tss...
"Je n'aime pas les humains, c'est vrai. Ils sont venus briser le paradis qu'étais notre île, rien qu'avec leur parole, leurs idées, et leurs actes. La vie à Migoto ne sera jamais plus comme avant...et puis, je hait les Ankoku, et pas qu'eux."
Posant mes coudes sur ma table, elle me déclara ne plus avoir de question...cependant, je n'avais pas terminé mes explications, cherchant un moyen de m'être en ordre mes idées...histoire de calmer ma rage, ma haine et ma colère.
"Les Ankoku, les Kakon, les Meiroo, les Kaijuu, les Hikari, les Tenshi et les Yume. Il est impératif que tu retiennes ces noms. Ce sont les 7 Familles dirigeantes de notre île. Elles mènent la politique, gèrent les échanges, mettent en place des zones de travail...et pas mal d'autre chose encore."
Je sais que, à présent, les clients ont arrêté de nous écouter en douce. Pourquoi ? Car le Tenshi vient de partir, avec une probable cousine éloignée des Meiroo au bras.
Le Hikari ? Lui je m'en fout ! Ou qu'il soit, je sais qu'il doit écouter ce qui se passe...c'est la seule raison de vivre de ces insectes : le savoir. Plus curieux qu'eux, on crève je suppose !
"Les Ankoku dirigent le Marché, et tous ce qui a attrait à activité commerciale de l'île. Enfin, dans la lumière...en réalité, ce sont les fournisseurs numéros un des Kakon. Eux, officiellement, ils offrent du plaisir. Officieusement, ce sont des criminels, des proxénètes, des voleurs...
Pour les Meiroo, bof, ils font la fête et gèrent les lieux comme celui-ci. Les Kaijuu sont les "garants de la Loi et de la Paix". Les Tenshi, des médecins en générale, et des scientifiques. Les Hikari sont les pros de l'info...c'ets eux qui gérent le journal de l'île. De vrais curieux. Enfin, les Yume sont la neutralité, la "sagesse" auto-proclamée de l'île."
Si on écoutait bien le timbre de ma voix, il était dur et moqueur...sauf pour les Hikari, on aurait dit que je parlais de la pluie et du beau temps à leur sujet. Je croit qu'elle n'a pas besoin de dessin pour savoir que je n'aime pas ces familles...mais bon, même si elle me le demande, je n'ai pas suffisamment confiance en elle pour lui dire le "pourquoi" du "comment" de cette haine.
J'enlevais alors mes coudes de la table, et m'étirait. Je fit un signe rapide au serveur, lui indiquant de nous redonner une dernière tournée de boissons. j'en avait bien besoin après tout cela.
"Voilà, je pense que tu connais l'essentiel à présent. Autre chose, évites le plus possible le quartier nommé Kagen. Disons qu'une humaine là-bas, qu'elle est un maître ou non, finira probablement dans le lit de quelqu'un...de gré, ou de force. C'est le quartier fétiche des Kakon, et de la "Hebi no Kajin"...Une proxénète reconnue, mais sur laquelle personne ne sait rien. Le Journal lui a même dédié un article, pour dire !"
Ok, je fait dans l'ironie et le cynisme ! Il faut avouer que je viens de lui balancer une partie de notre histoire, une grosse part de politique, et les lieux à éviter pour ne pas se faire violer, et agresser ! En fait, ça en fait pas mal.
D'ailleurs, nos verres vient d'arriver...et je boit le mieux cul sec. A peine cela fait, je lui dit :
"Dés que tu as finis, on va faire des courses. J'ai aucun vêtement pour femmes chez moi...va falloir qu'on t'en achète, surtout que j'y connais rien en mode féminine.
Au passage, le vol t'a dérangé ? Car si c'est le cas, on va y aller à pieds. Je n'aime pas être enfermé dans une auto...cela me met mal à l'aise."
J'avais troqué ma voix rauque. On quittait le domaine du sérieux, le domaine où je me devais d'être 100% moi-même. Non, là, on entrait dans le domaine du commun, le domaine où l'humour est de mise, le domaine où je peux jouer sur les intonations, les voix, les genres et les gens.
Et puis, il serait amusant de voir sa tête une fois dans les boutiques. Entre les Ainokos de "ver à soie" et ceux "d'araignées"...le commerce du vêtement avaient ses Rois ! (et Reines)
Kanata Haru
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Rien, si ce n'est mes choix...Et, officiellement, Maître de Mikomi, et Sukô.
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Ma foi ? Mes responsabilités ? Peut-être, oui. (Et je n'appartiens pas à Sukô !)
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