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Le vampire commun ? Quoi de plus normal pour une ainoko chiroptère buveuse de sang après tout. Le tout serait de faire en sorte de tenir sa soif de sang, que cela reste pour la nourriture et pas qu’elle se mette à aimer le sang pour le sang. Ce n’était pas gagné vu la tête qu’elle faisait à sa proposition.
Ne fais pas cette tête, c’est du sang de donneur, il est très bien conservé, je te promets que tu ne verras pas la différence. Ne le prend pas mal Anzai, mais je n’ai pas envie que tu agresse un pauvre type dans la rue à chaque fois que tu auras un petit creux.
Il avait essayé de mettre une légère note d’humour dans ses paroles, espérant faire passer la pilule plus facilement auprès de la jeune chiroptère.
Et en cas d’extrême urgence, si le besoin s’en fait vraiment sentir, peut-être que je t’en donnerais un PETIT PEU du mien.
Insistant bien sur le « un petit peu », il voulait qu’elle prenne de bonnes habitudes et pas qu’elle commence à le considérer comme un sandwich ambulant. Bon il était bien placé pour savoir qu’interagir avec sa part animal était parfois délicat, en témoignait le long et éprouvant travail qu’il avait fait pour faire de son pouvoir de transformation ce qu’il est aujourd’hui. Petit espoir, les efforts qu’il déployait pour se montrer agréable avec elle commençaient à payer puisqu’elle accepta de le gratifier d’un petit sourire et d’une phrase gentille si l’en est.
Le reste du voyage se passa dans le silence, Ran laissait son regard fureter partout, parfois dehors, parfois sur la jeune femme, détaillant, mais sans perversité, les courbes harmonieuses qu’arborait son corps. Il sentait parfois aussi le regard de la jeune femme, preuve qu’elle devait aussi se livrer au même exercice. A un moment, leurs regards se croisèrent et c’est là que Ran eut une petite réflexion pour lui-même. Tous deux avaient un regard particulier, elle avec ses grands yeux semblables à deux rubis étincelants et lui avec ses yeux vairons, l’un mauve et l’autre vert. Leur arrivé au manoir des Meiroo mit fin à ce petit jeu et sitôt que le chauffeur ouvrit, Ranmaru descendit de la voiture, attendant que la jeune femme remette sa cape et il lui tendit la main, espérant que cette fois, elle serait plus réceptive à sa gentillesse et sa galanterie, non pas qu’il la croyait faible, il la savait très forte et la respectait mais cela n’empêchait pas la Neko de se montrer agréable quand même.
Nous y voilà, bienvenue chez moi et accessoirement chez toi aussi maintenant^^
Ne fais pas cette tête, c’est du sang de donneur, il est très bien conservé, je te promets que tu ne verras pas la différence. Ne le prend pas mal Anzai, mais je n’ai pas envie que tu agresse un pauvre type dans la rue à chaque fois que tu auras un petit creux.
Il avait essayé de mettre une légère note d’humour dans ses paroles, espérant faire passer la pilule plus facilement auprès de la jeune chiroptère.
Et en cas d’extrême urgence, si le besoin s’en fait vraiment sentir, peut-être que je t’en donnerais un PETIT PEU du mien.
Insistant bien sur le « un petit peu », il voulait qu’elle prenne de bonnes habitudes et pas qu’elle commence à le considérer comme un sandwich ambulant. Bon il était bien placé pour savoir qu’interagir avec sa part animal était parfois délicat, en témoignait le long et éprouvant travail qu’il avait fait pour faire de son pouvoir de transformation ce qu’il est aujourd’hui. Petit espoir, les efforts qu’il déployait pour se montrer agréable avec elle commençaient à payer puisqu’elle accepta de le gratifier d’un petit sourire et d’une phrase gentille si l’en est.
Le reste du voyage se passa dans le silence, Ran laissait son regard fureter partout, parfois dehors, parfois sur la jeune femme, détaillant, mais sans perversité, les courbes harmonieuses qu’arborait son corps. Il sentait parfois aussi le regard de la jeune femme, preuve qu’elle devait aussi se livrer au même exercice. A un moment, leurs regards se croisèrent et c’est là que Ran eut une petite réflexion pour lui-même. Tous deux avaient un regard particulier, elle avec ses grands yeux semblables à deux rubis étincelants et lui avec ses yeux vairons, l’un mauve et l’autre vert. Leur arrivé au manoir des Meiroo mit fin à ce petit jeu et sitôt que le chauffeur ouvrit, Ranmaru descendit de la voiture, attendant que la jeune femme remette sa cape et il lui tendit la main, espérant que cette fois, elle serait plus réceptive à sa gentillesse et sa galanterie, non pas qu’il la croyait faible, il la savait très forte et la respectait mais cela n’empêchait pas la Neko de se montrer agréable quand même.
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Ranmaru Meiroo
Ainoko Libre
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568
Réputation :
294
Maître de :
Sacha Anateiva
Anzaï regarda le chaton avec sérieux. Elle lui répondit sans ciller :
"- Je suis, certes, pas l'un des animaux les plus sympathique, mais je suis aussi une humaine ! Je me plierais à ce régime sans broncher puisque tu le souhaite. De plus, je n'ai jamais, Ô grand jamais, tué quelqu'un de complètement innocent..."
Et comme les cœurs purs sont plutôt rare sur cette Ile, la nourriture ne manque pas. Enfin, Anzaï ne mentait pas, elle n'a jamais songé à s'attaquer à un enfant ou à une petite vieille pour se nourir. Après, si sa proie était aussi une proie des Kakon et qu'elle devait l'éliminer, elle en profitait un petit peu...
"- Je n'ai pas l'habitude de mordre mon maitre...Et je ne souhaite pas que vous vous soumettiez à ça...Je suis capable de tenir plusieurs jours sans hémoglobine...Ne vous inquiétez pas, je ne vous prendrais pas pour mon casse-croute..."
Quoique...Il avait l'air bien appétissant...plein de vie, robuste...Enfin, si Ranmaru ne l'avait pas mentionné, Anzaï n'y aurait pas pensé.
Le voyage continua dans le silence. Le neko observait lui aussi la jolie brune. Leur regard se croisèrent, et Anzaï remarqua que ses yeux étaient vairons : l'un était mauve, l'autre était vert. Un joli regard, en soi. Enfin, le chaton en lui même n'était pas désagréable pour les yeux, il était relativement bien formé, et les trait de son visages étaient harmonieux.
Enfin, la voiture s'arrêta devant une immense demeure. Anzaï remit sa capuche. Ranmaru descendit le premier, et fit preuve de la même galanterie qu'au début du voyage. Cette fois, Anzaï hésita un instant, puis, elle prit la main du neko pour descendre du véhicule. Un certaine façon de lui montrer que ses effort pour déglacer la chauve-souris n'était pas vain, et qu'il n'était pas le seul à faire des effort pour sociabiliser leur relation. Anzaï devait s'habituer des le début, il serait son maitre, elle devrait lui obéir, autant commencer par de petites choses.
Nous y voilà, bienvenue chez moi et accessoirement chez toi aussi maintenant^^
Nom d'un chihuahua...Voilà une demeure digne des plus grand rêves de l'ainoko !
Le manoir était d'une beauté à couper le souffle, une odeur florale l'embaumait, et la lumière solaire se reflétait sur la crépit blanc, éblouissant douloureusement Anzaï, qui plissa les yeux.
"- Taisha toute puissante..." Murmura t'elle.
Elle regrettait à ce moment là d'être un animal nocturne, et de ne pouvoir se prélasser sous ce soleil lumineux.
Ils entrèrent, et arrivèrent dans un grand hall tout aussi magnifique que l'extérieur. Ils se dirigèrent ensuite vers les quartier de Ranmaru...
"- Je suis, certes, pas l'un des animaux les plus sympathique, mais je suis aussi une humaine ! Je me plierais à ce régime sans broncher puisque tu le souhaite. De plus, je n'ai jamais, Ô grand jamais, tué quelqu'un de complètement innocent..."
Et comme les cœurs purs sont plutôt rare sur cette Ile, la nourriture ne manque pas. Enfin, Anzaï ne mentait pas, elle n'a jamais songé à s'attaquer à un enfant ou à une petite vieille pour se nourir. Après, si sa proie était aussi une proie des Kakon et qu'elle devait l'éliminer, elle en profitait un petit peu...
"- Je n'ai pas l'habitude de mordre mon maitre...Et je ne souhaite pas que vous vous soumettiez à ça...Je suis capable de tenir plusieurs jours sans hémoglobine...Ne vous inquiétez pas, je ne vous prendrais pas pour mon casse-croute..."
Quoique...Il avait l'air bien appétissant...plein de vie, robuste...Enfin, si Ranmaru ne l'avait pas mentionné, Anzaï n'y aurait pas pensé.
Le voyage continua dans le silence. Le neko observait lui aussi la jolie brune. Leur regard se croisèrent, et Anzaï remarqua que ses yeux étaient vairons : l'un était mauve, l'autre était vert. Un joli regard, en soi. Enfin, le chaton en lui même n'était pas désagréable pour les yeux, il était relativement bien formé, et les trait de son visages étaient harmonieux.
Enfin, la voiture s'arrêta devant une immense demeure. Anzaï remit sa capuche. Ranmaru descendit le premier, et fit preuve de la même galanterie qu'au début du voyage. Cette fois, Anzaï hésita un instant, puis, elle prit la main du neko pour descendre du véhicule. Un certaine façon de lui montrer que ses effort pour déglacer la chauve-souris n'était pas vain, et qu'il n'était pas le seul à faire des effort pour sociabiliser leur relation. Anzaï devait s'habituer des le début, il serait son maitre, elle devrait lui obéir, autant commencer par de petites choses.
Nous y voilà, bienvenue chez moi et accessoirement chez toi aussi maintenant^^
Nom d'un chihuahua...Voilà une demeure digne des plus grand rêves de l'ainoko !
Le manoir était d'une beauté à couper le souffle, une odeur florale l'embaumait, et la lumière solaire se reflétait sur la crépit blanc, éblouissant douloureusement Anzaï, qui plissa les yeux.
"- Taisha toute puissante..." Murmura t'elle.
Elle regrettait à ce moment là d'être un animal nocturne, et de ne pouvoir se prélasser sous ce soleil lumineux.
Ils entrèrent, et arrivèrent dans un grand hall tout aussi magnifique que l'extérieur. Ils se dirigèrent ensuite vers les quartier de Ranmaru...
Invité
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Bon, apparemment, le Neko s’était inquiété pour rien, Anzai savait se tenir et ne risquait donc pas de s’attaquer à n’importe qui. Du moins au gens innocents, valeur rare sur cette île, mais ça enlevait quand même tous les autres esclaves, donc pas de risque de se retrouver avec un maître furieux venue réclamer des compte ainsi que la quasi-totalité des habitants de la demeure Meiroo, généralement de bons fêtards, souvent blagueurs mais pas méchants.
Je suis rassuré Anzai et ne t’inquiètes, je te fais confiance. Et puis il n’a jamais été question que tu me mordes, je m’y serais prit autrement, alors je te prierai d’arrêter de regarder ma carotide avec cet air rêveur.
Ran faisait encore un peu d’humour pour la détendre mais on ne savait jamais, autant bien clarifier la situation vu qu’elle commençait à le regarder avec… appétit ?
Ils arrivèrent dans la grande demeure familiale et Ran eut le plaisir de voir que la chiroptère acceptait cette fois sa galanterie. C’était peut-être par obligation mais c’était déjà un bon début. Ran remarqua aussi que c’était leur premier contact physique, la main d’Anzai, malgré ses occupations était restée douce et sa peau n’était pas aussi froide qu’il l’aurait cru. Le neko eut également l’agréable surprise de voir le visage de son esclave devenir plus expressif. Elle était sous le coup de la surprise, visiblement peu habituée aux demeures aussi luxueuses, ses précédents maîtres n’avaient jamais du être des membres de l’une des sept grandes familles alors. Ran lui fit un sourire encourageant et l’invita à la suivre. La demeure des Meiroo était un curieux mélange de styles et d’architectures, le grand hall était de style occidental et le reste de la maison se découpait comme une demeure traditionnelle japonaise, avec les coursive en bois le long des bâtiments et les panneau séparant les pièce tout en jouissant d’un confort de grand luxe, en bref, un truc très joli.
Bienvenue chez les Meiroo Anzai, suis-moi, mes quartiers sont par-là.
Ran emmena la jeune femme avec lui, ses appartements étaient plus loin dans la maison, heureusement, leur position faisait que le soleil n’entraient pas toute la journée, en plus, il avaient eu des travaux d’agrandissement récemment, prenant sur des pièces inutilisés situé à ses côtés, vu qu’il ne vivait plus seul comme avant, il avait vite eu besoin d’espace. Pendant qu’il marchait, Ran lui parla.
Tu vas vivre dans mes quartiers, tu y auras ta chambre ou tu seras tranquille. Saches également que j’ai deux autres esclaves personnelles qui y vivent : Yuya et Kallen. Ce sont des filles très gentilles, par contre, évites de leur faire peur d’une manière ou d’une autre. Ce n’est pas que je n’ai pas confiance en toi mais elles sont timides et assez facilement intimidables.
Ils arrivèrent et Ran lui ouvrit le panneau pour l’inviter à entrer, l’intérieur était resté assez simple, un salon décoré dans le style japonais, et équipé de tout le confort moderne, deux canapés autour d’une table basse, une cheminée simple, un frigo, une petite cuisine dans un coin et diverse autres meubles. Ran avait également sa grande salle de bain privé avec une grande baignoire. La chambre du jeune Neko était assez simple, un grand lit contre un mur, des armoires avec ces diverses affaires et un bureau très peu utilisé. Il y avait également deux autres chambres, une première, pour ses deux esclaves, qu’il avait fait agrandir pour qu’elle soit à l’aise et une seconde inoccupée qu’il réservait à Anzai.
Apparemment, les filles ne sont pas là, elles ont dû aller aider au manoir ou sortir faire les courses, si ces deux là se mettent à faire du shopping, elles en ont pour un moment. Et bien Anzai, permets-moi de te souhaiter la bienvenue chez moi et chez toi aussi^^
Je suis rassuré Anzai et ne t’inquiètes, je te fais confiance. Et puis il n’a jamais été question que tu me mordes, je m’y serais prit autrement, alors je te prierai d’arrêter de regarder ma carotide avec cet air rêveur.
Ran faisait encore un peu d’humour pour la détendre mais on ne savait jamais, autant bien clarifier la situation vu qu’elle commençait à le regarder avec… appétit ?
Ils arrivèrent dans la grande demeure familiale et Ran eut le plaisir de voir que la chiroptère acceptait cette fois sa galanterie. C’était peut-être par obligation mais c’était déjà un bon début. Ran remarqua aussi que c’était leur premier contact physique, la main d’Anzai, malgré ses occupations était restée douce et sa peau n’était pas aussi froide qu’il l’aurait cru. Le neko eut également l’agréable surprise de voir le visage de son esclave devenir plus expressif. Elle était sous le coup de la surprise, visiblement peu habituée aux demeures aussi luxueuses, ses précédents maîtres n’avaient jamais du être des membres de l’une des sept grandes familles alors. Ran lui fit un sourire encourageant et l’invita à la suivre. La demeure des Meiroo était un curieux mélange de styles et d’architectures, le grand hall était de style occidental et le reste de la maison se découpait comme une demeure traditionnelle japonaise, avec les coursive en bois le long des bâtiments et les panneau séparant les pièce tout en jouissant d’un confort de grand luxe, en bref, un truc très joli.
Bienvenue chez les Meiroo Anzai, suis-moi, mes quartiers sont par-là.
Ran emmena la jeune femme avec lui, ses appartements étaient plus loin dans la maison, heureusement, leur position faisait que le soleil n’entraient pas toute la journée, en plus, il avaient eu des travaux d’agrandissement récemment, prenant sur des pièces inutilisés situé à ses côtés, vu qu’il ne vivait plus seul comme avant, il avait vite eu besoin d’espace. Pendant qu’il marchait, Ran lui parla.
Tu vas vivre dans mes quartiers, tu y auras ta chambre ou tu seras tranquille. Saches également que j’ai deux autres esclaves personnelles qui y vivent : Yuya et Kallen. Ce sont des filles très gentilles, par contre, évites de leur faire peur d’une manière ou d’une autre. Ce n’est pas que je n’ai pas confiance en toi mais elles sont timides et assez facilement intimidables.
Ils arrivèrent et Ran lui ouvrit le panneau pour l’inviter à entrer, l’intérieur était resté assez simple, un salon décoré dans le style japonais, et équipé de tout le confort moderne, deux canapés autour d’une table basse, une cheminée simple, un frigo, une petite cuisine dans un coin et diverse autres meubles. Ran avait également sa grande salle de bain privé avec une grande baignoire. La chambre du jeune Neko était assez simple, un grand lit contre un mur, des armoires avec ces diverses affaires et un bureau très peu utilisé. Il y avait également deux autres chambres, une première, pour ses deux esclaves, qu’il avait fait agrandir pour qu’elle soit à l’aise et une seconde inoccupée qu’il réservait à Anzai.
Apparemment, les filles ne sont pas là, elles ont dû aller aider au manoir ou sortir faire les courses, si ces deux là se mettent à faire du shopping, elles en ont pour un moment. Et bien Anzai, permets-moi de te souhaiter la bienvenue chez moi et chez toi aussi^^
Ranmaru Meiroo
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Sacha Anateiva
[HRP :
Si, mes précédent maitres étaient les Kakon ^^ Le truc, c'est que chez eux, c'est pas aussi chaleureux et lumineux tu imagines bien ]ses précédents maîtres n’avaient jamais du être des membres de l’une des sept grandes familles alors.
Anzaï esquissa un sourire suite à la plaisanterie du neko. Elle le suivit ensuite, détaillant chaque pièce : elle remarqua ainsi la variante d'architecture : le hall ayant un style occidental, mais lorsqu'on avançait un peu, on retrouvait les pièces typiquement orientale. Le tout rendait bien, c'etait harmonieux, sans être trop tape à l'œil. Anzaï se sentit bien immédiatement. Une fois qu'elle fut sure que le soleil ne la toucherait pas de ses rayons, elle enleva sa cape qui lui tenait trop chaud. Elle mit le vêtement sur le premier porte manteau qu'elle trouva. Ils se dirigèrent ensuite vers les quartiers de Ranmaru. Sur le chemin, le chaton explique sa situation à Anzaï. Il avait deux autres esclaves, Kallen et Yuya. Vu la manière ou le neko prévint la chiroptère de ne pas les effrayer, Anzaï en déduit qu'elle sont humaines. Deux humaines, un chat, et un vampire...Joli tableau...
"- Pas de soucis, je ne souhaite pas passer pour un monstre..."
Ah ! Anzaï imaginait bien les deux petites mortelles totalement soumises et vénérant leur sauveur. Ça, ça risquait de l'énerver, elle ayant été élévé avec pour seul principe celui de cacher ses faiblesses...Enfin, elle devait s'y faire, cette époque était finit...Elle ne servait plus les Kakon, mais les Meiroo. Les Meiroo étant les plus fêtards de tout Migoto no Shima. Enfin, peut être allait-elle avoir droit à un peu d'action si Meiroo lui confiait une mission particulière...En lien avec l'un de ses pouvoirs...
Enfin, Ranmaru montra sa chambre à Anzaï. Elle était assez simplement meublé, c'etait une chambre de mec quoi...Anzaï balaya la pièce du regard. Elle remarqua que deux chambres se suivaient juste à coté. La première était occupé, à en jugé par les vêtements éparpillés et les deux lit défait, la seconde était clean, personne n'y dormait. La chauve-souris comprit que cette chambre lui était réservée.
"- Hein ? Mais...Je...J'ai...Je vais avoir...Une chambre...Pour...pour moi...Toute...toute seule ?"
Anzaï n'en revenait pas. Une chambre rien que pour elle ? Où elle pourrait ranger ses petites affaire ? Passer un peu de temps tranquillement en écoutant quelques vieux cds de rock de ses parents ? Waza ! C'était le paradis ! Un sourire radieux illumina la mine habituellement sombre de la jolie brune.
Apparemment, les filles ne sont pas là, elles ont dû aller aider au manoir ou sortir faire les courses, si ces deux là se mettent à faire du shopping, elles en ont pour un moment. Et bien Anzai, permets-moi de te souhaiter la bienvenue chez moi et chez toi aussi^^
Donc Ranmaru et Anzaï étaient seule pendant quelques temps encore ? Ils allaient pouvoir parler boulot en toute tranquillité...Enfin, le travail ne préoccupait pas la chiroptère pour le moment, et elle regarda Ran, les yeux pétillants :
"- Merci, Ranmaru...Je crois que...J'ai eu de la chance de...Tomber sur vous...au marché..."
C'était vrai, elle voyait la différence entre les Meiroo et les Kakon, et ça lui plaisait. Les prochaines années de sa vie allaient être plus sympathique, et déjà, elle commençait à plus apprécier le chaton qui avait recueillit le prédateur...
"- Pas de soucis, je ne souhaite pas passer pour un monstre..."
Ah ! Anzaï imaginait bien les deux petites mortelles totalement soumises et vénérant leur sauveur. Ça, ça risquait de l'énerver, elle ayant été élévé avec pour seul principe celui de cacher ses faiblesses...Enfin, elle devait s'y faire, cette époque était finit...Elle ne servait plus les Kakon, mais les Meiroo. Les Meiroo étant les plus fêtards de tout Migoto no Shima. Enfin, peut être allait-elle avoir droit à un peu d'action si Meiroo lui confiait une mission particulière...En lien avec l'un de ses pouvoirs...
Enfin, Ranmaru montra sa chambre à Anzaï. Elle était assez simplement meublé, c'etait une chambre de mec quoi...Anzaï balaya la pièce du regard. Elle remarqua que deux chambres se suivaient juste à coté. La première était occupé, à en jugé par les vêtements éparpillés et les deux lit défait, la seconde était clean, personne n'y dormait. La chauve-souris comprit que cette chambre lui était réservée.
"- Hein ? Mais...Je...J'ai...Je vais avoir...Une chambre...Pour...pour moi...Toute...toute seule ?"
Anzaï n'en revenait pas. Une chambre rien que pour elle ? Où elle pourrait ranger ses petites affaire ? Passer un peu de temps tranquillement en écoutant quelques vieux cds de rock de ses parents ? Waza ! C'était le paradis ! Un sourire radieux illumina la mine habituellement sombre de la jolie brune.
Apparemment, les filles ne sont pas là, elles ont dû aller aider au manoir ou sortir faire les courses, si ces deux là se mettent à faire du shopping, elles en ont pour un moment. Et bien Anzai, permets-moi de te souhaiter la bienvenue chez moi et chez toi aussi^^
Donc Ranmaru et Anzaï étaient seule pendant quelques temps encore ? Ils allaient pouvoir parler boulot en toute tranquillité...Enfin, le travail ne préoccupait pas la chiroptère pour le moment, et elle regarda Ran, les yeux pétillants :
"- Merci, Ranmaru...Je crois que...J'ai eu de la chance de...Tomber sur vous...au marché..."
C'était vrai, elle voyait la différence entre les Meiroo et les Kakon, et ça lui plaisait. Les prochaines années de sa vie allaient être plus sympathique, et déjà, elle commençait à plus apprécier le chaton qui avait recueillit le prédateur...
Invité
Invité
La glace fondait petit à petit entre eux. Anzai, méfiante au début, commençait à agir de manière beaucoup plus naturelle, commençait-elle à apprécier son nouveau maître ? En tout cas il l’espérait. Le plus dur si on peut dire, ce sera de la présenter aux deux autres esclaves qui ne sont absolument pas prévenue de la situation.
Non rassures-toi, le problème n’est pas là, disons qu’elles ont chacune leur petit caractère, Yuya en particulier qui est très jalouse, donc je n’ai guère envie que tu t’accroches avec elle.
De toute façon, friction il y aura entre ces trois-là, il n’y avait plus qu’à espérer que ce sera sans dégâts. Le neko montra le reste de ses appartements à la jeune femme qui semblait toute confuse quand elle se rendit compte que la seconde chambre serait rien que pour elle.
Oui, cette chambre est pour toi, tu es libre de l’aménager comme bon te semble.
Cela avait du avoir l’effet d’une bombe car l’Anzai froide et distante qui s’autorisait à peine un sourire de coin laissa un grand sourire lumineux prendre place sur son visage. Cela lui donnait un certain charme et enterrait le fait qu’elle ne soit qu’une tueuse froide avide de sang. C’était aussi une jeune femme qui aimait les choses simples comme avoir sa petite intimité. Ran lui rendit son sourire, il semblait presque que la jeune chiroptère se mit à bégayer, peut-être n’avait-elle pas l’habitude d’être aussi joyeuse. Elle l’avait même appelé par son prénom, preuve qu’elle l’acceptait d’une certaine manière.
Ce n’est pas la peine de me remercier Anzai, chez moi, tout le monde est bien traité.
Il l’invita ensuite s’assoir sur le canapé et s’installa en face d’elle.
Bon par contre faudra qu’on aille faire quelques emplettes aussi, je n’ai pas de vêtements à ta taille, Yuya et Kallen sont plus petites et plus fines que toi, les leurs ne t’irait pas non plus. Je crois qu’ils font une nocturne ce soir au centre commercial, nous irons à ce moment-là. Nous avons encore un peu de temps avant que le soleil se couche, tu as sans doute des questions.
Non rassures-toi, le problème n’est pas là, disons qu’elles ont chacune leur petit caractère, Yuya en particulier qui est très jalouse, donc je n’ai guère envie que tu t’accroches avec elle.
De toute façon, friction il y aura entre ces trois-là, il n’y avait plus qu’à espérer que ce sera sans dégâts. Le neko montra le reste de ses appartements à la jeune femme qui semblait toute confuse quand elle se rendit compte que la seconde chambre serait rien que pour elle.
Oui, cette chambre est pour toi, tu es libre de l’aménager comme bon te semble.
Cela avait du avoir l’effet d’une bombe car l’Anzai froide et distante qui s’autorisait à peine un sourire de coin laissa un grand sourire lumineux prendre place sur son visage. Cela lui donnait un certain charme et enterrait le fait qu’elle ne soit qu’une tueuse froide avide de sang. C’était aussi une jeune femme qui aimait les choses simples comme avoir sa petite intimité. Ran lui rendit son sourire, il semblait presque que la jeune chiroptère se mit à bégayer, peut-être n’avait-elle pas l’habitude d’être aussi joyeuse. Elle l’avait même appelé par son prénom, preuve qu’elle l’acceptait d’une certaine manière.
Ce n’est pas la peine de me remercier Anzai, chez moi, tout le monde est bien traité.
Il l’invita ensuite s’assoir sur le canapé et s’installa en face d’elle.
Bon par contre faudra qu’on aille faire quelques emplettes aussi, je n’ai pas de vêtements à ta taille, Yuya et Kallen sont plus petites et plus fines que toi, les leurs ne t’irait pas non plus. Je crois qu’ils font une nocturne ce soir au centre commercial, nous irons à ce moment-là. Nous avons encore un peu de temps avant que le soleil se couche, tu as sans doute des questions.
Ranmaru Meiroo
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Les deux petites humaines avaient leur caractères ? Oh, vraiment ? Voilà qui était étonnant...Anzaï se voyait déjà en train de perdre son sang froid. Enfin, il n'y avait pas de raison pour que ça se passe mal, ça se trouve, les trois femelles s'entendrait à merveille...Enfin, c'etait tout de même peu probable, car déjà, Anzaï n'avait pas un caractère faible, et elle était plutôt têtue. Après tout, si les deux demoiselles lui cherchaient des noises, il n'y avait pas de raison pour qu'elle se laisse marcher sur les pieds. Enfin, Anzaï répliqua d'un ton assuré :
"- Si elles mettent de la bonne volonté, il n'y a pas de raison pour que ça se passe mal...Je ne suis pas belliqueuse pour ce genre de broutilles, et les conflit féminins ne m'intéresse pas."
En effet, la chiroptère n'était pas du genre à piailler pour rien, ou à casser du sucre dans le dos. Malgré son ancienne profession qui nécessitait de la discrétion, elle est plutôt franche et direct. Si quelque chose ne va pas, elle le dira sans passer par quatre chemins inutilement.
Et puis cette Yuya n'avait aucune raison d'être jalouse d'Anzaï, puisque cette dernière n'avait rien de plus que l'humaine.
Enfin, une chose était surprenante, Ranmaru ne se prenait pas du tout au sérieux, et l'orgueil ne l'étouffait pas : Il avait beau être un maitre héritier de l'une des sept plus grande famille, il restait un homme simple. Et ça, Anzaï l'appréciait. Elle n'aurait pas supporté de vivre une fois de plus avec un libre aux chevilles enflé : soit elle se serait enfui, soit...Elle l'aurait tué...Pour elle, les deux étaient des jeux d'enfants...Mais là, elle risquait de passer pas mal de temps dans ce manoir. C'était une bonne chose d'ailleurs.
Ranmaru s'installa sur un canapé, et Anzaï se plaça en face de lui. Il lui proposa même de faire du shopping, puisqu'il n'avait pas de vêtements à sa taille, étant donné que les deux humaines étaient un peu plus frele que la chauves-souris. Du shopping ? Depuis combien de temps Anzaï ne s'était pas adonné à cette activité que tant de femmes chérissaient ? Hum...En fait, elle n'en avait jamais fait de sa vie...Mais rien que le fait d'en parler la faisait rêver...Elle qui avait toujours crut n'être qu'une machine à tuer...Elle était aussi une jeune femme, et sa situation précédente lui avait fait oublier ce "détail". Elle avait déjà une idée de comment elle souhaitait s'habiller : les star de rock japonais dans leur tenues gothiques la faisait baver...Bien sur, elle n'irait pas jusqu'à se percer les narines, mais des mitaines en résille étaient envisageables...En espérant que Ranmaru n'aurait rien contre...
Et puis peut être pourrait-elle racheter les cds de ses parents qu'elles avait été obligé de vendre dans la brocante du coin pour voyager plus facilement, après leur mort...
Déjà, elle s'imaginait allongé sur son lit en écoutant sa musique. Elle stoppa sa rêverie, et demanda :
"- Je...n'ai pas d'argent, vous vous en doutez...C'est...vous qui payerez ?"
Question stupide, qui voulait-elle que ce soit ? Soudain, elle eut l'impression de ne plus être une simple esclave. Enfin, elle ne devait pas l'oublier, et ce n'était pas le cas. D'ailleurs, elle le prouva.
"- Pour tout ce que vous faites pour moi, je souhaite vous remercier de la façon que vous voulez...Mais j'ai crus comprendre que quelque chose chez moi vous intéressait, et que vous aviez des projets pour moi...Peut être pourriez vous m'en faire part maintenant, puisque nous avons un peu de temps..."
Méconnaissable. Ce Ranmaru l'avait totalement changé. Et rapidement en plus ! Il faut croire que bien arroser le bourgeon suffit à ce qu'elle se transforme en jolie rose (à épines). Enfin, elle était plus chaleureuse avec Ranmaru, ce n'était pas pour cela que ça serait pareil pour les deux autres...Enfin, il fallait voir, attendre qu'elle reviennent pour être sur que tout se passerait bien...Ou pas...
"- Si elles mettent de la bonne volonté, il n'y a pas de raison pour que ça se passe mal...Je ne suis pas belliqueuse pour ce genre de broutilles, et les conflit féminins ne m'intéresse pas."
En effet, la chiroptère n'était pas du genre à piailler pour rien, ou à casser du sucre dans le dos. Malgré son ancienne profession qui nécessitait de la discrétion, elle est plutôt franche et direct. Si quelque chose ne va pas, elle le dira sans passer par quatre chemins inutilement.
Et puis cette Yuya n'avait aucune raison d'être jalouse d'Anzaï, puisque cette dernière n'avait rien de plus que l'humaine.
Enfin, une chose était surprenante, Ranmaru ne se prenait pas du tout au sérieux, et l'orgueil ne l'étouffait pas : Il avait beau être un maitre héritier de l'une des sept plus grande famille, il restait un homme simple. Et ça, Anzaï l'appréciait. Elle n'aurait pas supporté de vivre une fois de plus avec un libre aux chevilles enflé : soit elle se serait enfui, soit...Elle l'aurait tué...Pour elle, les deux étaient des jeux d'enfants...Mais là, elle risquait de passer pas mal de temps dans ce manoir. C'était une bonne chose d'ailleurs.
Ranmaru s'installa sur un canapé, et Anzaï se plaça en face de lui. Il lui proposa même de faire du shopping, puisqu'il n'avait pas de vêtements à sa taille, étant donné que les deux humaines étaient un peu plus frele que la chauves-souris. Du shopping ? Depuis combien de temps Anzaï ne s'était pas adonné à cette activité que tant de femmes chérissaient ? Hum...En fait, elle n'en avait jamais fait de sa vie...Mais rien que le fait d'en parler la faisait rêver...Elle qui avait toujours crut n'être qu'une machine à tuer...Elle était aussi une jeune femme, et sa situation précédente lui avait fait oublier ce "détail". Elle avait déjà une idée de comment elle souhaitait s'habiller : les star de rock japonais dans leur tenues gothiques la faisait baver...Bien sur, elle n'irait pas jusqu'à se percer les narines, mais des mitaines en résille étaient envisageables...En espérant que Ranmaru n'aurait rien contre...
Et puis peut être pourrait-elle racheter les cds de ses parents qu'elles avait été obligé de vendre dans la brocante du coin pour voyager plus facilement, après leur mort...
Déjà, elle s'imaginait allongé sur son lit en écoutant sa musique. Elle stoppa sa rêverie, et demanda :
"- Je...n'ai pas d'argent, vous vous en doutez...C'est...vous qui payerez ?"
Question stupide, qui voulait-elle que ce soit ? Soudain, elle eut l'impression de ne plus être une simple esclave. Enfin, elle ne devait pas l'oublier, et ce n'était pas le cas. D'ailleurs, elle le prouva.
"- Pour tout ce que vous faites pour moi, je souhaite vous remercier de la façon que vous voulez...Mais j'ai crus comprendre que quelque chose chez moi vous intéressait, et que vous aviez des projets pour moi...Peut être pourriez vous m'en faire part maintenant, puisque nous avons un peu de temps..."
Méconnaissable. Ce Ranmaru l'avait totalement changé. Et rapidement en plus ! Il faut croire que bien arroser le bourgeon suffit à ce qu'elle se transforme en jolie rose (à épines). Enfin, elle était plus chaleureuse avec Ranmaru, ce n'était pas pour cela que ça serait pareil pour les deux autres...Enfin, il fallait voir, attendre qu'elle reviennent pour être sur que tout se passerait bien...Ou pas...
Invité
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Bon, à priori, Anzai y mettrait de la bonne volonté et Ranmaru avait confiance en Yuya et Kallen pour savoir qu’elles en feraient autant, elles n’étaient pas belliqueuses, en fait, il aurait sans doute fallut qu’Anzai saute sur Ran en plein salon devant elles pour espérer faire sortir Yuya de ses gonds, mais fort heureusement, ce genre de situation n’avait qu’un très faible pourcentage de chance de se produire.
Je t’ai prévenue pour que tu le saches mais comme elles sont très gentilles, je suis sûr que tout se passera très bien.
En tout cas, le Neko eut une nouvelle fois la preuve que la jeune chiroptère était une jeune femme comme les autres. Il n’y avait qu’à regarder son air rêveur lorsqu’il prononça le mot « shopping », un peu plus et elle se serait mise à baver. En tout cas, elle semblait décontenancé par tant de gentillesse vu qu’elle se demandait même qui payer, ce qui tir a un petit rire, pas moqueur, au Neko qui la trouvait adorable dans cette situation.
Bien sûr Anzai et comme ce n’est pas un souci de ce côté-là, tu pourras te faire plaisir autant que tu le souhaites.
Comme il le disait, avec lui, tout le monde était bien traité et en plus il aimait faire plaisir aux gens. La discussion redevint plus sérieuse après car Anzai lui demandait pour qu’elle projet il l’avait acquise. Maintenant qu’ils étaient au calme, ils allaient pouvoir en discuter. Ran prit une mine plus sérieuse mais sans perdre son visage sympathique.
Tu as raison, il est temps que je t’explique tout. Comme je te l’ai déjà dit, je ne t’ai pas acheté par lubies ou pour faire de toi une gentille esclave ménagère, j’ai besoin de tes talents. J’ai entendu parler de la famille Sakki, je sais des choses sur vous et vos capacités, c’est de ça dont j’ai besoin mais pas en tant que tueuse, en tant que chasseuse et traqueuse, j’ai besoin que tu trouves quelqu’un pour moi…
Laisses-moi t’expliquer plus en détails. Tu as peut-être entendue parler de ces mystérieuses disparitions d’Ainokos appartenant à des grandes familles ou faisant preuve de talents hors du commun. Et bien l’un d’entre eux est un Meiroo, plus précisément, il s’agit de Meiroo Yuë, mon petit cousin et accessoirement l’héritier direct de la famille. C’est un petit garçon, un Neko âgé seulement de 10 ans. Sa disparition à mis la famille dans le trouble, même si de l’extérieur, ca ne se voit pas et Jiki, notre chef de famille est maintenant d’une humeur exécrable en quasi-permanence. Comme elle n’a pas confiance en les Kaijuu vu les faibles résultats de la police de l’île, elle m’a chargé d’enquêter de mon côté sur la disparition de Yuë.
Ran marqua une petite pause, le temps de laisser Anzai assimiler tout ça puis il reprit.
Et c’est là que j’ai besoin de toi pour m’aider. J’ai essayé diverses méthodes sans résultats hors je sais que ta famille est réputé très doué pour la traque, vous pouvez suivre la piste de quelqu’un uniquement avec son sang. Ce que je te demande est simple en soi, nous avons du sang de Yuë et j’aimerai que tu t’en serves pour m’aider dans mes recherches et remonter si possible jusqu’à lui. Je te demande rien de plus, pas même de te battre. Si nous le trouvons je m’en occuperais moi-même ou je demanderais l’aide des forces de sécurité au pire, je ne te forcerais pas à risquer ta vie.
Ran lui fit un sourire, Anzai était un cadeau tombé du ciel mais il ne l’a considérait par seulement comme un objet et il allait lui prouver.
Si nous réussissons, je te promets que tu pourras passer ta vie ici en paix, loin du marché et des horreurs qui ont composés ta vie jusqu’ici.
Je t’ai prévenue pour que tu le saches mais comme elles sont très gentilles, je suis sûr que tout se passera très bien.
En tout cas, le Neko eut une nouvelle fois la preuve que la jeune chiroptère était une jeune femme comme les autres. Il n’y avait qu’à regarder son air rêveur lorsqu’il prononça le mot « shopping », un peu plus et elle se serait mise à baver. En tout cas, elle semblait décontenancé par tant de gentillesse vu qu’elle se demandait même qui payer, ce qui tir a un petit rire, pas moqueur, au Neko qui la trouvait adorable dans cette situation.
Bien sûr Anzai et comme ce n’est pas un souci de ce côté-là, tu pourras te faire plaisir autant que tu le souhaites.
Comme il le disait, avec lui, tout le monde était bien traité et en plus il aimait faire plaisir aux gens. La discussion redevint plus sérieuse après car Anzai lui demandait pour qu’elle projet il l’avait acquise. Maintenant qu’ils étaient au calme, ils allaient pouvoir en discuter. Ran prit une mine plus sérieuse mais sans perdre son visage sympathique.
Tu as raison, il est temps que je t’explique tout. Comme je te l’ai déjà dit, je ne t’ai pas acheté par lubies ou pour faire de toi une gentille esclave ménagère, j’ai besoin de tes talents. J’ai entendu parler de la famille Sakki, je sais des choses sur vous et vos capacités, c’est de ça dont j’ai besoin mais pas en tant que tueuse, en tant que chasseuse et traqueuse, j’ai besoin que tu trouves quelqu’un pour moi…
Laisses-moi t’expliquer plus en détails. Tu as peut-être entendue parler de ces mystérieuses disparitions d’Ainokos appartenant à des grandes familles ou faisant preuve de talents hors du commun. Et bien l’un d’entre eux est un Meiroo, plus précisément, il s’agit de Meiroo Yuë, mon petit cousin et accessoirement l’héritier direct de la famille. C’est un petit garçon, un Neko âgé seulement de 10 ans. Sa disparition à mis la famille dans le trouble, même si de l’extérieur, ca ne se voit pas et Jiki, notre chef de famille est maintenant d’une humeur exécrable en quasi-permanence. Comme elle n’a pas confiance en les Kaijuu vu les faibles résultats de la police de l’île, elle m’a chargé d’enquêter de mon côté sur la disparition de Yuë.
Ran marqua une petite pause, le temps de laisser Anzai assimiler tout ça puis il reprit.
Et c’est là que j’ai besoin de toi pour m’aider. J’ai essayé diverses méthodes sans résultats hors je sais que ta famille est réputé très doué pour la traque, vous pouvez suivre la piste de quelqu’un uniquement avec son sang. Ce que je te demande est simple en soi, nous avons du sang de Yuë et j’aimerai que tu t’en serves pour m’aider dans mes recherches et remonter si possible jusqu’à lui. Je te demande rien de plus, pas même de te battre. Si nous le trouvons je m’en occuperais moi-même ou je demanderais l’aide des forces de sécurité au pire, je ne te forcerais pas à risquer ta vie.
Ran lui fit un sourire, Anzai était un cadeau tombé du ciel mais il ne l’a considérait par seulement comme un objet et il allait lui prouver.
Si nous réussissons, je te promets que tu pourras passer ta vie ici en paix, loin du marché et des horreurs qui ont composés ta vie jusqu’ici.
Ranmaru Meiroo
Ainoko Libre
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Sacha Anateiva
"Se faire plaisir"...Rarement Anzaï avait eut le loisir d'entendre cette expression, c'etait tout nouveau.
Enfin, après ces quelques bonnes nouvelles, Ranmaru commença à parler boulot.
La mission qu'il lui confiait était simple, cependant, retrouver un gamin de 10 ans avec des oreilles et une queue de chats pouvait prendre du temps, étant donné le nombre incalculable de Neko sur l'ile.
Mais rien d'inédit pas la chasseuse, elle retrouverait le gosse...
"- Ok...En effet, l'odeur du sang est une piste, et j'utilise également le contrôle des chauves-souris pour inspecter les lieux discrètement...De ce fait, je pourrais surveiller l'ile tout le temps...Enfin, la nuit surtout...D'ailleurs, je compte en envoyer quelque unes dans les lieux les plus suspect, comme le Yuugi, ou encore le Aka no Hiryuu...Les trafiquants d'enfants se retrouvent souvent dans ce genre de lieux, et après le rapport des chauves-souris, j'irais enquêter moi même sur place..."
Anzaï poussa un petit rire ironique lorsque Ranmaru lui assura que ce n'était pas la peine qu'elle se batte, qu'il enverrait tout le beau monde à la place.
"- Tss...Je crois que vous ne mesurer pas la situation...Si les ravisseurs se rendent compte que c'est moi qui les traque, ils n'hésiterons pas à me tomber dessus, et là, je n'aurais pas d'autres choix que de me battre, et risquer ma vie...Enfin, si c'est ça qui vous inquiète, vous pouvez être tranquille, car moi, ça ne m'inquiète pas du tout...Ce n'est pas la première fois que je joue dans une mission à risque, loin de là...J'étais aux services des Kakon autrefois, ne l'oubliez pas..."
Elle n'avait pas été arrogante, elle voulait juste faire comprendre à Ranmaru qu'il ne fallait pas, mais alors surtout pas qu'il s'inquiète. Risquer sa vie ? Elle en avait l'habitude...Forcement, en tant que tueuse à gage, on ne se fait pas que des amis.
"- Enfin, après, si vous m'ordonnez de ne pas prendre de risque, je m'y tiendrais, même si ça risque de ne pas être simple..."
Effectivement, elle avait quelques connaissances dans les milieux à risque, particulièrement dans le Yuugi, où elle avait passé beaucoup de temps.
Ce soir, elle commencerait à envoyer trois chauves-souris avant de partir faire les courses avec Ranmaru, puis elle profiterait de sa nouvelle vie. En fait, elle était contente d'avoir une mission importante sur les bras, sans ça, elle avait peur de s'ennuyer. Enfin, une fois qu'elle aurait retrouver le petit Yuë, la vie deviendrait un long fleuve tranquille...Ran ne lui demandait même pas de faire le ménage, ni de soulager ses désirs, elle serait presque libre...Officieusement en tout cas...Officiellement, elle restait l'objet du Meiroo.
Déjà, elle commençait à cogiter sur l'identité du responsable de ses rapts...
"- Depuis combien de temps Yuë a-t'il disparus ? Et qu'en est-il des autres disparition ? Si je me souvient bien, elles sont survenue en même temps, à quelques jours d'intervalle...Hum...Si je retrouve le petit Meiroo, j'aurais également une chance de retrouver les autres disparut...Donc si vous entendez la moindre infos ou rumeur, faites-m'en part d'accord ? Ça me serra utile pour l'enquête....Après j'irais inspecter les lieux suspects..."
Sa mine sérieuse avec sa main sous son menton la rendait encore plus mignonne. Pourtant, elle n'était pas un modèle de "mignonne" jeune femme, mais ces sourcils froncé et sa bouche en cœur rajoutait un petit quelque chose. De plus, elle avait plus parlé pour elle même, elle faisait presque abstraction de la pièce et du neko...
Enfin, après ces quelques bonnes nouvelles, Ranmaru commença à parler boulot.
La mission qu'il lui confiait était simple, cependant, retrouver un gamin de 10 ans avec des oreilles et une queue de chats pouvait prendre du temps, étant donné le nombre incalculable de Neko sur l'ile.
Mais rien d'inédit pas la chasseuse, elle retrouverait le gosse...
"- Ok...En effet, l'odeur du sang est une piste, et j'utilise également le contrôle des chauves-souris pour inspecter les lieux discrètement...De ce fait, je pourrais surveiller l'ile tout le temps...Enfin, la nuit surtout...D'ailleurs, je compte en envoyer quelque unes dans les lieux les plus suspect, comme le Yuugi, ou encore le Aka no Hiryuu...Les trafiquants d'enfants se retrouvent souvent dans ce genre de lieux, et après le rapport des chauves-souris, j'irais enquêter moi même sur place..."
Anzaï poussa un petit rire ironique lorsque Ranmaru lui assura que ce n'était pas la peine qu'elle se batte, qu'il enverrait tout le beau monde à la place.
"- Tss...Je crois que vous ne mesurer pas la situation...Si les ravisseurs se rendent compte que c'est moi qui les traque, ils n'hésiterons pas à me tomber dessus, et là, je n'aurais pas d'autres choix que de me battre, et risquer ma vie...Enfin, si c'est ça qui vous inquiète, vous pouvez être tranquille, car moi, ça ne m'inquiète pas du tout...Ce n'est pas la première fois que je joue dans une mission à risque, loin de là...J'étais aux services des Kakon autrefois, ne l'oubliez pas..."
Elle n'avait pas été arrogante, elle voulait juste faire comprendre à Ranmaru qu'il ne fallait pas, mais alors surtout pas qu'il s'inquiète. Risquer sa vie ? Elle en avait l'habitude...Forcement, en tant que tueuse à gage, on ne se fait pas que des amis.
"- Enfin, après, si vous m'ordonnez de ne pas prendre de risque, je m'y tiendrais, même si ça risque de ne pas être simple..."
Effectivement, elle avait quelques connaissances dans les milieux à risque, particulièrement dans le Yuugi, où elle avait passé beaucoup de temps.
Ce soir, elle commencerait à envoyer trois chauves-souris avant de partir faire les courses avec Ranmaru, puis elle profiterait de sa nouvelle vie. En fait, elle était contente d'avoir une mission importante sur les bras, sans ça, elle avait peur de s'ennuyer. Enfin, une fois qu'elle aurait retrouver le petit Yuë, la vie deviendrait un long fleuve tranquille...Ran ne lui demandait même pas de faire le ménage, ni de soulager ses désirs, elle serait presque libre...Officieusement en tout cas...Officiellement, elle restait l'objet du Meiroo.
Déjà, elle commençait à cogiter sur l'identité du responsable de ses rapts...
"- Depuis combien de temps Yuë a-t'il disparus ? Et qu'en est-il des autres disparition ? Si je me souvient bien, elles sont survenue en même temps, à quelques jours d'intervalle...Hum...Si je retrouve le petit Meiroo, j'aurais également une chance de retrouver les autres disparut...Donc si vous entendez la moindre infos ou rumeur, faites-m'en part d'accord ? Ça me serra utile pour l'enquête....Après j'irais inspecter les lieux suspects..."
Sa mine sérieuse avec sa main sous son menton la rendait encore plus mignonne. Pourtant, elle n'était pas un modèle de "mignonne" jeune femme, mais ces sourcils froncé et sa bouche en cœur rajoutait un petit quelque chose. De plus, elle avait plus parlé pour elle même, elle faisait presque abstraction de la pièce et du neko...
Invité
Invité
Le travail ne semblait pas la rebuter et à voir sa réaction, on sentait que c’était une professionnelle dans la matière, son instinct de traqueuse lui dictait déjà plusieurs pistes.
C’est un bon plan, cependant je ne pense pas que Yuë ait été enlevé par de simples trafiquants d’enfants, les hybrides ne quittent pas l’île et comme esclave il n’a aucune valeur vu que dès qu’il serait acquis, le maître devrait affronter ma famille.
Ce qui était un très mauvais plan, les Meiroo était certes les fêtards de l’île mais ils étaient également l’une des sept grandes familles, des gens à ne surtout pas se mettre à dos. En plus Ran était connue par certains qui savaient que son pouvoir de transformation, accentué par ses gênes de chat sauvage, pouvait en faire un fauve qui n’avait rien d’un gentil chaton câlin.
Et il n’y a pas eut demande de rançon. Sa disparition est liée à neuf autres tout aussi étranges…
Elle lâcha un petit rire après et lui rappela qu’elle ne craignait absolument pas le danger, Ran savait qu’elle pouvait très bien se défendre mais le problème n’était pas là, il lui fit simplement un sourire.
Dans ce cas, tu n’as qu’à faire en sorte qu’ils ne sachent pas que tu les traques. Tu sais très bien te défendre, je n’ai aucun doute là-dessus et je n’ai jamais dit que tu allais y aller seule, vu que je serais avec toi. Je te demande juste de ne pas faire d’excès de zèle. Et justement je ne suis pas un Kakon, même si ca semble idiot, je ne suis pas le genre de personne à envoyer une jeune femme, aussi forte soit-elle, dans la gueule du loup sans rien dire. Je détesterais que tu sois blessée ou pire à cause de moi…
C’était le bien le Neko ça, toujours gentil et prévenant même avec quelqu’un de la trempe d’Anzai, ce n’était pas de l’irrespect envers elle, il était comme ça tout simplement.
Cela va faire quelques semaines maintenant et certains craignent déjà le pire mais moi je suis persuadé qu’il est encore vivant, comme les autres, sinon quel intérêt de l’enlever ? On a retrouvé l’une des griffes d’Igami Yari après son enlèvement. Niveau infos, on n’a pas grand-chose, il y a essentiellement ce que les Hikari ont dévoilé dans le journal Kitai. J’ai déjà essayé d’aller voir la police pour obtenir des infos et inspecter les preuves mais… ca n’a rien donné. Celle qui m’a accueillit est une espèce de louve qui n’a pas l’air de porter les hommes dans son cœur, elle m’a proprement jeté à coup de pied. Une Kaijuu… Nala… je crois, ou un truc comme ça. Jolie femme mais un peu violente.
Ranmaru vit la mine que tirait Anzai et ne put empêcher un petit rire de sortir de sa bouche, elle avait l’air tellement sérieuse avec le menton dans la main et tellement mignonne aussi.
Pardon. Tes pistes sont intéressantes mais ce sera un travail peut-être très long et je n’ai pas l’intention de fouiller qu’en ville. L’île est grande et regorge de cachettes valables, la forêt, les montagnes… j’espère que tu aimes te promener car nous allons souvent sortir le soir. Quelque chose me dit que nous n’avons pas à faire à des ravisseurs comme les autres…
C’est un bon plan, cependant je ne pense pas que Yuë ait été enlevé par de simples trafiquants d’enfants, les hybrides ne quittent pas l’île et comme esclave il n’a aucune valeur vu que dès qu’il serait acquis, le maître devrait affronter ma famille.
Ce qui était un très mauvais plan, les Meiroo était certes les fêtards de l’île mais ils étaient également l’une des sept grandes familles, des gens à ne surtout pas se mettre à dos. En plus Ran était connue par certains qui savaient que son pouvoir de transformation, accentué par ses gênes de chat sauvage, pouvait en faire un fauve qui n’avait rien d’un gentil chaton câlin.
Et il n’y a pas eut demande de rançon. Sa disparition est liée à neuf autres tout aussi étranges…
Elle lâcha un petit rire après et lui rappela qu’elle ne craignait absolument pas le danger, Ran savait qu’elle pouvait très bien se défendre mais le problème n’était pas là, il lui fit simplement un sourire.
Dans ce cas, tu n’as qu’à faire en sorte qu’ils ne sachent pas que tu les traques. Tu sais très bien te défendre, je n’ai aucun doute là-dessus et je n’ai jamais dit que tu allais y aller seule, vu que je serais avec toi. Je te demande juste de ne pas faire d’excès de zèle. Et justement je ne suis pas un Kakon, même si ca semble idiot, je ne suis pas le genre de personne à envoyer une jeune femme, aussi forte soit-elle, dans la gueule du loup sans rien dire. Je détesterais que tu sois blessée ou pire à cause de moi…
C’était le bien le Neko ça, toujours gentil et prévenant même avec quelqu’un de la trempe d’Anzai, ce n’était pas de l’irrespect envers elle, il était comme ça tout simplement.
Cela va faire quelques semaines maintenant et certains craignent déjà le pire mais moi je suis persuadé qu’il est encore vivant, comme les autres, sinon quel intérêt de l’enlever ? On a retrouvé l’une des griffes d’Igami Yari après son enlèvement. Niveau infos, on n’a pas grand-chose, il y a essentiellement ce que les Hikari ont dévoilé dans le journal Kitai. J’ai déjà essayé d’aller voir la police pour obtenir des infos et inspecter les preuves mais… ca n’a rien donné. Celle qui m’a accueillit est une espèce de louve qui n’a pas l’air de porter les hommes dans son cœur, elle m’a proprement jeté à coup de pied. Une Kaijuu… Nala… je crois, ou un truc comme ça. Jolie femme mais un peu violente.
Ranmaru vit la mine que tirait Anzai et ne put empêcher un petit rire de sortir de sa bouche, elle avait l’air tellement sérieuse avec le menton dans la main et tellement mignonne aussi.
Pardon. Tes pistes sont intéressantes mais ce sera un travail peut-être très long et je n’ai pas l’intention de fouiller qu’en ville. L’île est grande et regorge de cachettes valables, la forêt, les montagnes… j’espère que tu aimes te promener car nous allons souvent sortir le soir. Quelque chose me dit que nous n’avons pas à faire à des ravisseurs comme les autres…
Ranmaru Meiroo
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Sacha Anateiva
Protecteur le chaton ? A fond ! Il répugnait à envoyer Anzaï seule inspecter les endroits dangereux. Taisha toute puissante...Il n'avait pas la moindre idée de la vie qu'elle avait mené avant...Enfin, après tout, ce n'était pas de sa faute, il allait certainement s'en vouloir si elle se faisait avoir...ce qui, en soi, n'était que très peu probable. En tout cas, ça n'était jamais arrivé à Anzaï de se faire avoir, alors pourquoi maintenant...
Enfin, les ravisseurs n'avait pas réclamé de rançon, pourtant la première choses à faire lorsqu'on capture un gosse d'une famille aussi riche...Non, autre chose devait les intéresser...Mais quoi ?
De plus, il n'avait pas été le seul à disparaitre, neuf autres avaient suivit Yuë...De neuf races différentes qui plus est, si Anzaï se souvenait bien...Elle avait lut l'annonce dans le Kitai, mais elle ne s'en était pas préoccupé, ayant d'autres soucis en tête.
En réfléchissant au cause, une idée illumina son cerveau...
"- Et si...C'était des scientifiques humains ou pas, qui avaient fait le coup ? Pour cloner des ainokos ?! C'est probable...C'est monstrueux..."
Elle écouta Ranmaru donner ses préventions.
"- Hum...Vous voulez m'accompagner ? Et puis, si je suis blessé, ça ne sera pas de votre faute, mais tout simplement de la mienne, j'aurais sans doute commis une erreur dans mon plan...Enfin, ça n'est presque jamais arrivé, et je ne suis pas du genre à foncer dans le tas sans réfléchir...Donc vraiment, 'faut pas vous inquiéter..."
Quelques semaines ? Oui, logique...De plus, pour chacune des victimes, une griffe, un poil, ou une plume avait été retrouvé. Le raisonnement de Ranmaru était logique, tout les disparut étaient probablement encore vivant, aucun intérêt sinon.
"- Une Kaijuu ? Nailah Kaijuu ? Hum, pas étonnant qu'elle vous ait envoyé balader...Elle ne porte ni les hommes, ni les Meiroo dans son cœur...Étant donné que vous êtes les deux, vous n'aviez aucune chance...Donc hormis le Kitai, nous n'avons aucune pistes sures...Hum...C'est pas beaucoup...On va faire confiance aux Hikari hein ! En espérant qu'il se penchent correctement sur l'affaire, ce qui n'est pas gagné...Il va falloir trouver par nous même..."
Ranmaru voulait revisiter toute l'ile. La campagne y comprit. En effet, le travail sera long.
"- Il est possible que les ravisseurs se soit installé dans un endroit isolé, et qu'il soit nombreux...Pour tenir en cage neuf victimes, il vaut mieux qu'ils soit nombreux...Mais ne vous inquiétez pas, la nuit n'a pas de secret pour moi, j'y vois comment plein jour, je vous guiderais..."
Ça risquait d'être long...Et risqué...Ce que craignait Anzaï, c'est que les coupables en aient finit avec la gamin Meiroo et les autres, et qu'ils s'en débarrassent...A cette idée, elle serra les poings, qu'elle se mit à mordre en plissant les yeux. Un filet de sang s'échappa d'entre ses doigts, et elle ne s'en rendit pas compte tout de suite.
"- Merde..."
Elle se mit à lécher la plaie, et elle se leva pour la passer sous un robinet d'eau froide pour la nettoyer.
"- Malheureusement, je ne suis pas un vrai vampire, et je ne cicatrise pas en un clin d'oeil...C'est balot..."
Elle regarda les deux trou qui s'étaient formé sur le dos de sa main avec regret.
"- Ça le fait pas si je me mord moi même...Je suis pas maso..."
Elle regarda dehors. Le soleil se couchait, ils allaient bientôt pouvoir sortir.
"- Dans une heure, j'appelle trois chiroptères, et je les envois en ville...Plus tard, j'en enverrais en campagne."
Enfin, les ravisseurs n'avait pas réclamé de rançon, pourtant la première choses à faire lorsqu'on capture un gosse d'une famille aussi riche...Non, autre chose devait les intéresser...Mais quoi ?
De plus, il n'avait pas été le seul à disparaitre, neuf autres avaient suivit Yuë...De neuf races différentes qui plus est, si Anzaï se souvenait bien...Elle avait lut l'annonce dans le Kitai, mais elle ne s'en était pas préoccupé, ayant d'autres soucis en tête.
En réfléchissant au cause, une idée illumina son cerveau...
"- Et si...C'était des scientifiques humains ou pas, qui avaient fait le coup ? Pour cloner des ainokos ?! C'est probable...C'est monstrueux..."
Elle écouta Ranmaru donner ses préventions.
"- Hum...Vous voulez m'accompagner ? Et puis, si je suis blessé, ça ne sera pas de votre faute, mais tout simplement de la mienne, j'aurais sans doute commis une erreur dans mon plan...Enfin, ça n'est presque jamais arrivé, et je ne suis pas du genre à foncer dans le tas sans réfléchir...Donc vraiment, 'faut pas vous inquiéter..."
Quelques semaines ? Oui, logique...De plus, pour chacune des victimes, une griffe, un poil, ou une plume avait été retrouvé. Le raisonnement de Ranmaru était logique, tout les disparut étaient probablement encore vivant, aucun intérêt sinon.
"- Une Kaijuu ? Nailah Kaijuu ? Hum, pas étonnant qu'elle vous ait envoyé balader...Elle ne porte ni les hommes, ni les Meiroo dans son cœur...Étant donné que vous êtes les deux, vous n'aviez aucune chance...Donc hormis le Kitai, nous n'avons aucune pistes sures...Hum...C'est pas beaucoup...On va faire confiance aux Hikari hein ! En espérant qu'il se penchent correctement sur l'affaire, ce qui n'est pas gagné...Il va falloir trouver par nous même..."
Ranmaru voulait revisiter toute l'ile. La campagne y comprit. En effet, le travail sera long.
"- Il est possible que les ravisseurs se soit installé dans un endroit isolé, et qu'il soit nombreux...Pour tenir en cage neuf victimes, il vaut mieux qu'ils soit nombreux...Mais ne vous inquiétez pas, la nuit n'a pas de secret pour moi, j'y vois comment plein jour, je vous guiderais..."
Ça risquait d'être long...Et risqué...Ce que craignait Anzaï, c'est que les coupables en aient finit avec la gamin Meiroo et les autres, et qu'ils s'en débarrassent...A cette idée, elle serra les poings, qu'elle se mit à mordre en plissant les yeux. Un filet de sang s'échappa d'entre ses doigts, et elle ne s'en rendit pas compte tout de suite.
"- Merde..."
Elle se mit à lécher la plaie, et elle se leva pour la passer sous un robinet d'eau froide pour la nettoyer.
"- Malheureusement, je ne suis pas un vrai vampire, et je ne cicatrise pas en un clin d'oeil...C'est balot..."
Elle regarda les deux trou qui s'étaient formé sur le dos de sa main avec regret.
"- Ça le fait pas si je me mord moi même...Je suis pas maso..."
Elle regarda dehors. Le soleil se couchait, ils allaient bientôt pouvoir sortir.
"- Dans une heure, j'appelle trois chiroptères, et je les envois en ville...Plus tard, j'en enverrais en campagne."
Invité
Invité
En tout cas, le travail allait sérieusement avancer avec l’aide de la jeune chiroptère, elle était du genre volontaire mais partait un petit peu trop en supposition hasardeuse au yeux du Meiroo. Des scientifiques avec des fabriques de clones, c’était un peu trop SF.
Ne nous perdons pas ne conjoncture Anzai. On ne sait rien de ce que veulent ces types, ces enlèvements ont peut-être une signification plus symboliques si ca se trouve. En fait, je me fous de savoir ce que veulent ces types, je dois retrouver mon cousin, si on peut retrouver les autres victimes ou des indices menant à elles en même temps, ce sera génial. Et si quelqu’un essaye de se mettre sur mon chemin… alors il découvrira que je peux aussi devenir un fauve quand je suis en colère…
Ran se reprit quand il se rendit compte que son visage avait du devenir peu sympa et que ses ongles commençaient à ressembler à des griffes, faut dire qu’il l’aimait bien le petit Yuë et que cette histoire l’énervait un peu.
Ne t’inquiètes pas Anzai, je sais aussi être discret quand il le faut et si je te sais seule, je ne pourrais pas m’empêcher de m’inquiéter, c’est plus fort que moi.
Il n’y pouvait rien, c’était dans sa nature, il ne pouvait pas agir autrement, même avec quelqu’un comme Anzai, pourtant habituée au danger. Ils évoquèrent ensuite les premiers éléments que le Neko avait obtenus ainsi que son plan de recherche étendus.
J’ai déjà fait appel à des privée et des ainokos canins au flair reconnue mais ils n’ont rien trouvé. C’est pour ça que j’ai besoin de toi, les chauves-souris sont tes yeux partout où tu le souhaites et les traces de sang sont bien plus persistantes dans la durée pour quelqu’un comme toi.
Allons bon, voilà que la jeune femme était stressé par le boulot avant même d’avoir commencé. Ran ne savait pas trop à quoi elle avait occupé ses pensés mais ça l’avait assez travaillé pour qu’elle se morde la main au sang. Elle se lécha puis alla à l’évier pour se laver, Ran se leva pour la suivre. Une fois la plaie nettoyé, il prit délicatement la main de la jeune femme et lui fit un petit bandage pour soigner le vilain bobo suivit d’un petit baisemain galant.
Et voilà, inutile de stresser Anzai et si tu as des soucis, tu peux m’en parler tu sais.
Il regarda dehors à la remarque de la jeune femme, c’est vrai que le temps passait et que le soleil avait déjà bien décliné, la nuit n’allait pas tardé.
Bon et elles font quoi les deux autres dans tout ça ?
Trouvant que ces deux autres esclaves tardaient un peu, Ran ouvrit un panneau et sortit sur le couloir extérieur. Il croisa un intendant qu’il interpella.
Oui Ranmaru-sama ?
Vous n’auriez pas vu Yuya et Kallen par hasard ?
Oui, l’une de vos cousines fait une petite fête dans ses quartiers et manquaient de personnel, vos servantes sont allés aider là-bas.
Avec Jiki dans cette humeur ? Y’en a qui ont pas peur à ce que je vois. Bon comment je vais les mettre au courant de la situation moi ?
Elles ont déjà été prévenues.
Ha ? Et elles en ont dit quoi ?
Rien de particulier. Ha si ! Je crois que Yuya-san a parlé de vous arracher les yeux ou quelque chose comme ça.
Aie, c’était à prévoir. Bon je vais sortir, faites-moi préparer une voiture je vous prie.
Bien Ranmaru-sama.
Et mettez un utilitaire en stand-by, on ne sait jamais…
Des fois qu’Anzai ait de grosses envies de shopping. Il congédia l’homme et revint auprès de sa nouvelle collaboratrice.
Bien, nous allons pouvoir y aller bientôt. Le travail est certes important mais il faut aussi nous détendre un peu. Laisses-moi t’inviter à ta première séance de shopping sans contrainte^^
Ne nous perdons pas ne conjoncture Anzai. On ne sait rien de ce que veulent ces types, ces enlèvements ont peut-être une signification plus symboliques si ca se trouve. En fait, je me fous de savoir ce que veulent ces types, je dois retrouver mon cousin, si on peut retrouver les autres victimes ou des indices menant à elles en même temps, ce sera génial. Et si quelqu’un essaye de se mettre sur mon chemin… alors il découvrira que je peux aussi devenir un fauve quand je suis en colère…
Ran se reprit quand il se rendit compte que son visage avait du devenir peu sympa et que ses ongles commençaient à ressembler à des griffes, faut dire qu’il l’aimait bien le petit Yuë et que cette histoire l’énervait un peu.
Ne t’inquiètes pas Anzai, je sais aussi être discret quand il le faut et si je te sais seule, je ne pourrais pas m’empêcher de m’inquiéter, c’est plus fort que moi.
Il n’y pouvait rien, c’était dans sa nature, il ne pouvait pas agir autrement, même avec quelqu’un comme Anzai, pourtant habituée au danger. Ils évoquèrent ensuite les premiers éléments que le Neko avait obtenus ainsi que son plan de recherche étendus.
J’ai déjà fait appel à des privée et des ainokos canins au flair reconnue mais ils n’ont rien trouvé. C’est pour ça que j’ai besoin de toi, les chauves-souris sont tes yeux partout où tu le souhaites et les traces de sang sont bien plus persistantes dans la durée pour quelqu’un comme toi.
Allons bon, voilà que la jeune femme était stressé par le boulot avant même d’avoir commencé. Ran ne savait pas trop à quoi elle avait occupé ses pensés mais ça l’avait assez travaillé pour qu’elle se morde la main au sang. Elle se lécha puis alla à l’évier pour se laver, Ran se leva pour la suivre. Une fois la plaie nettoyé, il prit délicatement la main de la jeune femme et lui fit un petit bandage pour soigner le vilain bobo suivit d’un petit baisemain galant.
Et voilà, inutile de stresser Anzai et si tu as des soucis, tu peux m’en parler tu sais.
Il regarda dehors à la remarque de la jeune femme, c’est vrai que le temps passait et que le soleil avait déjà bien décliné, la nuit n’allait pas tardé.
Bon et elles font quoi les deux autres dans tout ça ?
Trouvant que ces deux autres esclaves tardaient un peu, Ran ouvrit un panneau et sortit sur le couloir extérieur. Il croisa un intendant qu’il interpella.
Oui Ranmaru-sama ?
Vous n’auriez pas vu Yuya et Kallen par hasard ?
Oui, l’une de vos cousines fait une petite fête dans ses quartiers et manquaient de personnel, vos servantes sont allés aider là-bas.
Avec Jiki dans cette humeur ? Y’en a qui ont pas peur à ce que je vois. Bon comment je vais les mettre au courant de la situation moi ?
Elles ont déjà été prévenues.
Ha ? Et elles en ont dit quoi ?
Rien de particulier. Ha si ! Je crois que Yuya-san a parlé de vous arracher les yeux ou quelque chose comme ça.
Aie, c’était à prévoir. Bon je vais sortir, faites-moi préparer une voiture je vous prie.
Bien Ranmaru-sama.
Et mettez un utilitaire en stand-by, on ne sait jamais…
Des fois qu’Anzai ait de grosses envies de shopping. Il congédia l’homme et revint auprès de sa nouvelle collaboratrice.
Bien, nous allons pouvoir y aller bientôt. Le travail est certes important mais il faut aussi nous détendre un peu. Laisses-moi t’inviter à ta première séance de shopping sans contrainte^^
Ranmaru Meiroo
Ainoko Libre
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294
Maître de :
Sacha Anateiva
Anzaï fronça les sourcils lorsque Ranmaru parla de conjonctures. Elle leva son doigt, et repliqua avec tout son sérieux.
"- Mais comment croyez vous que les Ainokos sont née ? Je sais que ça peut paraitre un peu farfelu, mais après tout, pourquoi pas !"
La chauve-souris fut surprise de voir le visage du félin changer en un instant. Il était passé de sympathique à presque féroce. De plus, il parla de "devenir un fauve". Était-il capable de littéralement se transformer ? Rare sont les ainokos qui ont réussit à étendre leurs gênes animaux jusqu'à ce point. Enfin, Anzaï n'insista pas, jugeant bon d'attendre le moment venue pour rencontrer le gros chat bleu.
Elle souria lorsqu'il déclara qu'il allait s'inquiéter si elle partait seul. Anzaï comprit qu'il se ferait véritablement un sang d'encre si elle menait elle même, sans aide, cette mission.
"- Très bien très bien...Nous travaillerons ensemble alors...Et ne vous inquiétez pas, on le retrouvera le petit Yuë..."
Même les ainokos du chien n'avait rien trouvé. Tsss, les ravisseurs étaient des doués...Et c'etait pas une bonne nouvelle.
"- En effet, le sang ne ment jamais, donc c'est une des piste les plus fiable."
Ranmaru pensa la main blessé d'Anzaï, et y déposa un baisé galant. Bizarrement, la chauve-souris vit le sang lui monter aux joues, lui donnant un teint rosé contrastant avec sa peau pâle.
"- Merci...Non, je n'ai pas de soucis...A part cette histoire, ça va...J'ai juste peur qu'il se débarrasse du gamin une fois qu'ils s'en seront servit..."
Après cela, Ranmaru sortit, trouvant que les deux humaines tardaient un peu. Il se retrouva dans le couloir, où un servant marchait. Il l'interpella, et prit des nouvelles des deux humaines. Apparemment, celles-ci étaient déjà au courant de la nouvelle recrue. Yuya avait vraiment l'air d'être jalouse...C'était amusant, Anzaï avait hâte de rencontrer les deux esclaves...
Ran fit préparer une voiture, et prévoyait le nécessaire au cas où la chiroptère ramènerait beaucoup de souvenir. Elle n'avait pas prévu de dévaliser les magasin, juste de s'offrir une tenus ou deux tout au plus...Avec quelques cds aussi...Ah non, si elle partait comme ça, elle risquait de ne pas s'en sortir et de ruiner la famille Meiroo...Enfin, pour les ruiner, il fallait faire fort déjà...
Le soleil avait presque disparut, et à cette hauteur, il ne représentait plus une contrainte pour la chauve-souris. Elle prévoyait de prendre sa cape néanmoins, juste au cas ou...
Elle acquiesça d'un signe de tête lorsque Ran parla de se détendre. Après avoir autant cogité, Anzaï avait besoin de reposer ses neurones, et s'adonner à quelques plaisirs féminins...
"- Je vous suis..."
Elle suivit Ranmaru, et ils se dirigèrent vers la voiture...
"- Mais comment croyez vous que les Ainokos sont née ? Je sais que ça peut paraitre un peu farfelu, mais après tout, pourquoi pas !"
La chauve-souris fut surprise de voir le visage du félin changer en un instant. Il était passé de sympathique à presque féroce. De plus, il parla de "devenir un fauve". Était-il capable de littéralement se transformer ? Rare sont les ainokos qui ont réussit à étendre leurs gênes animaux jusqu'à ce point. Enfin, Anzaï n'insista pas, jugeant bon d'attendre le moment venue pour rencontrer le gros chat bleu.
Elle souria lorsqu'il déclara qu'il allait s'inquiéter si elle partait seul. Anzaï comprit qu'il se ferait véritablement un sang d'encre si elle menait elle même, sans aide, cette mission.
"- Très bien très bien...Nous travaillerons ensemble alors...Et ne vous inquiétez pas, on le retrouvera le petit Yuë..."
Même les ainokos du chien n'avait rien trouvé. Tsss, les ravisseurs étaient des doués...Et c'etait pas une bonne nouvelle.
"- En effet, le sang ne ment jamais, donc c'est une des piste les plus fiable."
Ranmaru pensa la main blessé d'Anzaï, et y déposa un baisé galant. Bizarrement, la chauve-souris vit le sang lui monter aux joues, lui donnant un teint rosé contrastant avec sa peau pâle.
"- Merci...Non, je n'ai pas de soucis...A part cette histoire, ça va...J'ai juste peur qu'il se débarrasse du gamin une fois qu'ils s'en seront servit..."
Après cela, Ranmaru sortit, trouvant que les deux humaines tardaient un peu. Il se retrouva dans le couloir, où un servant marchait. Il l'interpella, et prit des nouvelles des deux humaines. Apparemment, celles-ci étaient déjà au courant de la nouvelle recrue. Yuya avait vraiment l'air d'être jalouse...C'était amusant, Anzaï avait hâte de rencontrer les deux esclaves...
Ran fit préparer une voiture, et prévoyait le nécessaire au cas où la chiroptère ramènerait beaucoup de souvenir. Elle n'avait pas prévu de dévaliser les magasin, juste de s'offrir une tenus ou deux tout au plus...Avec quelques cds aussi...Ah non, si elle partait comme ça, elle risquait de ne pas s'en sortir et de ruiner la famille Meiroo...Enfin, pour les ruiner, il fallait faire fort déjà...
Le soleil avait presque disparut, et à cette hauteur, il ne représentait plus une contrainte pour la chauve-souris. Elle prévoyait de prendre sa cape néanmoins, juste au cas ou...
Elle acquiesça d'un signe de tête lorsque Ran parla de se détendre. Après avoir autant cogité, Anzaï avait besoin de reposer ses neurones, et s'adonner à quelques plaisirs féminins...
"- Je vous suis..."
Elle suivit Ranmaru, et ils se dirigèrent vers la voiture...
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Ranmaru Meiroo
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Sacha Anateiva
Rien de particulier. Ha si ! Je crois que Yuya-san a parlé de vous arracher les yeux ou quelque chose comme ça.
tu exageres XD
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