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La cariolle continuait de rouler, craquant a chaque bosse, secouant sans menagement les "marchandises" qu'elle transportait. A chaque creu ou renflement de la route, le chariot sautillaient, faisent s'entrechoquer les differentes choses entreposées dedans. Des "choses" avec deux bras, deux jambes, tenues par de lourdes chaines meurtrissantes...
Des esclaves, aussi bien des humains que des mutants, des Ainokos comme ils s'appelaient, tous privés de libertée et reduis en esclavage par la societée Ainoko. Cela faisait des jours qu'il cahotaient sur les routes, s'entrechoquant, se cognant sur avec leurs chaines. Les corps etaient entreposés sans aucune hygiene, vetus d'un pagne. Sun Jian avait reussit a convaincre les hussiers de conserver ses vetements et objets dans un coffre et de lui rendre une fois arrivé sur le marché, car il vaudrait bien plus avec que sans ses beaux vetements, enfin, beau, comparativements au loques des autres esclaves, oui. Mais comparés au vetement de qualitée superieures des maitres ainokos...
Il avait des meurtrissures au poignet et aux chevilles, a cause des lourdes chaines metalliques qui le retenaient captif.
Pendant le trajet, nombres d'esclaves decederent des conditions de vie, de survie plutot, plus que précaires. L'air des chariots empestait l'urine, les excrements diverses ainsi que la sueur... et, plus acre, plus persistante, encore plus desagreables, laissant comme un gout pateux dans la bouche... l'odeur de la maladie et de la mort... l'air ambiant puait la mort. Deux fois par jour, a l'aube et au crepuscule, trois gardes venaient sortir les corps des esclaves en bousculant ceux qui etaient encore en vie, n'accordant meme pas un regard au mourant qu'ils evacueraient a la prochaine tournée...
Jian souffrait de ces conditions, mais moin que certain, il n'avait pas encore sombrer dans la folie, ou tres legerement, lorsque le convois arriva a destination. Il etait couvert de crasse, de sang et de sueur. Il faisait une chaleur insounetable tellement les corps vivants etaient nombreux dans chaque carriole, alors que l'espace confiné rendait l'air rare et lourd.
Ils descendirent en file indienne, reliés par leurs chaines de poignets et de chevilles, ainsi que par le collier de force autour de leur cou, ils descendirent lentement du chariot, eblouis par la lumiere ils s'arretaient, mais le fouet les faisais réavancer plus vite.
Touts les esclaves furent parqués dans une grande grange, certes plus grande qu'un chariot, et de beaucoups, mais ils etaient tellements nombreux dedans que l'espace etait tout aussi confiné. Pendant des jours ils resterent la, certains moururent encore, mais les corps ne furent pas enlevé. Pendant trois jours, ce furent comme s'il avaient étés oubliés. Plus de nouritures, plus de visites, plus d'eau... L'on pourrait croire qu'ils en profiteraient pour discuter, faire conaissance, et pourquoi pas tenter un plan d'evasions, mais ils etaient tous ereintés, incapables ne serait-ce que tu moindre petit effort. Tous restaient assis dans leur coin d'ombre, la mine pale et le visage tendu.
A l'aube du quatrieme jour, six hommes arriverent dans la piece, un visiblement notaire ou intelectuel, avec une tablette et un stylo, et cinq gardes costauds. Dix esclaves furent enmenés apres avoir donner leur nom, dans l'ordre, au scribe, qui partit avec sa tablette et les gardes escortant les esclaves. Ils sortirent, et une vingtaines de personnes virent leur distribuer des rations d'eau et de nouriture, de maigre rations...
Le lendemain, dix autres esclaves furent enmenés, le surlendemain encore... et a chaque fois c'etait pareil, l'on ne les revoyais JAMAIS, aucun des esclaves. De nombreux jours passerent ainsi, dans l'ombre de la grange, a boire et a manger le stric minimum necessaire a leur survie. Un peu moin de la moitiée des esclaves avaient été enmenés, ceux qui l'avait pus s'etait mis au fond de la grange, pour etre ainsi choisis en derniers... Jian n'avait pas pus, et ce fut son tour. Le notaire lui demendant son nom, il repondit "Sun", puis son prénom, il repondit "Jian". L'homme sembla satisfait et lui fit signe de marcher vers la sortie. Trainant des pieds, alourdis par ses chaines, il sortit, et encore une fois Jian fut aveuglé par la lumiere du soleil qu'il n'avait pas vu depuis si longtemp.
Neufs autres esclaves furent sortis avec lui, et une marche vers un batiment commenca, a quelques centaines de metres.
Situé au milieu de la file d'esclave, Sun Jian marchait, regardant par dessus l'epaule des gars de devant, tentant d'apercevoir leur destination. On les amena dans un batiment relativement petit, avec une odeur... etrange, malsaine. Il etaient dans la grande et unique piece, hormis une petite adjacente, du batiment, et sur le coté, menant a quelque chose de petit, une porte noire, sans savoir pourquoi, Jianl n'etait pas rassuré.
Un homme visiblement assez riche, et habituer a la vente d'esclaves, se tenait assi en tailleur sur des coussins, il examina les esclaves les un apres les autres. Il acquiesca pour les deux premiers, qui furent placé sur la coté, derriere le riche Ainoko.
Le troisieme homme etait pitoyable, mal en point, mourant, le riche fit un signe de denegation de la tete, et l'homme fut envoyé dans la salle adjacente, Jian retint son souffle lorsqu'il ouvrit la porte. Quelques secondes plus tard, un bruit sourd se fit entendre, puis plus rien. Le quatrieme esclave suivit le meme chemin, le meme bruit sourd, puis plus rien. Vint le tour du cinquieme, apres, ce serait a Jian de passer... Le cinquieme etait en forme, mais quand un garde l'approcha il fit mine de se rebeller, frapant en plein visage l'Ainoko. Il fut maitrisé, puis expedier dans la piece a la porte noire. Jian juta furtivement un coup d'oeil, son sang se glaca...
De l'autre coté de la porte, un ainoko tout en noir, brandissant une hache ou figuraient des traces de sang, se tenait au dessus d'un billot, et du sang avait, visiblement reccement, giclé sur les murs et le billots... Il compris qu'on tuais les esclaves declarés inaptes a la vente.
Ce fut son tour... Jian s'avanca lentement, les yeux baissés sur le sol devant le riche Ainoko, il retenait son soufle, angoissant quand au sors qui l'attendait. Il ne vit pas quel signe fit l'homme riche, aussi fut-il prit d'une legere panique quand deux grades l'attraperent et le souleverent pour l'enmener, se retenant de crier, il s'apercut avec soulagement qu'il avait été designé comme apte a la vente... Il faillit rire, mais prefera contenir son eclat.
Ceux qui avaient été designé aptes a la vente, furent lavés, soignés, bien nourris. Jian recupera ses vetements ainsi que ses bijoux, l'huissier avait tenu parole...
Et maintenant, Jian attendait, debout sous le soleil, exposé a la vue de tous, qu'un riche Ainoko passe par la et l'achete, attiré par les cris accrocheurs du marchand d'esclaves, qui hurlait les qualitées de son stock, esclaves certifiés par une instance dont Jian ne compris pas le titre.
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IMPORTANT
Avant de répondre a ce sujet, veuillez vous assurez que vous respectez les conditions demandées ICI .
Merci
Des esclaves, aussi bien des humains que des mutants, des Ainokos comme ils s'appelaient, tous privés de libertée et reduis en esclavage par la societée Ainoko. Cela faisait des jours qu'il cahotaient sur les routes, s'entrechoquant, se cognant sur avec leurs chaines. Les corps etaient entreposés sans aucune hygiene, vetus d'un pagne. Sun Jian avait reussit a convaincre les hussiers de conserver ses vetements et objets dans un coffre et de lui rendre une fois arrivé sur le marché, car il vaudrait bien plus avec que sans ses beaux vetements, enfin, beau, comparativements au loques des autres esclaves, oui. Mais comparés au vetement de qualitée superieures des maitres ainokos...
Il avait des meurtrissures au poignet et aux chevilles, a cause des lourdes chaines metalliques qui le retenaient captif.
Pendant le trajet, nombres d'esclaves decederent des conditions de vie, de survie plutot, plus que précaires. L'air des chariots empestait l'urine, les excrements diverses ainsi que la sueur... et, plus acre, plus persistante, encore plus desagreables, laissant comme un gout pateux dans la bouche... l'odeur de la maladie et de la mort... l'air ambiant puait la mort. Deux fois par jour, a l'aube et au crepuscule, trois gardes venaient sortir les corps des esclaves en bousculant ceux qui etaient encore en vie, n'accordant meme pas un regard au mourant qu'ils evacueraient a la prochaine tournée...
Jian souffrait de ces conditions, mais moin que certain, il n'avait pas encore sombrer dans la folie, ou tres legerement, lorsque le convois arriva a destination. Il etait couvert de crasse, de sang et de sueur. Il faisait une chaleur insounetable tellement les corps vivants etaient nombreux dans chaque carriole, alors que l'espace confiné rendait l'air rare et lourd.
Ils descendirent en file indienne, reliés par leurs chaines de poignets et de chevilles, ainsi que par le collier de force autour de leur cou, ils descendirent lentement du chariot, eblouis par la lumiere ils s'arretaient, mais le fouet les faisais réavancer plus vite.
Touts les esclaves furent parqués dans une grande grange, certes plus grande qu'un chariot, et de beaucoups, mais ils etaient tellements nombreux dedans que l'espace etait tout aussi confiné. Pendant des jours ils resterent la, certains moururent encore, mais les corps ne furent pas enlevé. Pendant trois jours, ce furent comme s'il avaient étés oubliés. Plus de nouritures, plus de visites, plus d'eau... L'on pourrait croire qu'ils en profiteraient pour discuter, faire conaissance, et pourquoi pas tenter un plan d'evasions, mais ils etaient tous ereintés, incapables ne serait-ce que tu moindre petit effort. Tous restaient assis dans leur coin d'ombre, la mine pale et le visage tendu.
A l'aube du quatrieme jour, six hommes arriverent dans la piece, un visiblement notaire ou intelectuel, avec une tablette et un stylo, et cinq gardes costauds. Dix esclaves furent enmenés apres avoir donner leur nom, dans l'ordre, au scribe, qui partit avec sa tablette et les gardes escortant les esclaves. Ils sortirent, et une vingtaines de personnes virent leur distribuer des rations d'eau et de nouriture, de maigre rations...
Le lendemain, dix autres esclaves furent enmenés, le surlendemain encore... et a chaque fois c'etait pareil, l'on ne les revoyais JAMAIS, aucun des esclaves. De nombreux jours passerent ainsi, dans l'ombre de la grange, a boire et a manger le stric minimum necessaire a leur survie. Un peu moin de la moitiée des esclaves avaient été enmenés, ceux qui l'avait pus s'etait mis au fond de la grange, pour etre ainsi choisis en derniers... Jian n'avait pas pus, et ce fut son tour. Le notaire lui demendant son nom, il repondit "Sun", puis son prénom, il repondit "Jian". L'homme sembla satisfait et lui fit signe de marcher vers la sortie. Trainant des pieds, alourdis par ses chaines, il sortit, et encore une fois Jian fut aveuglé par la lumiere du soleil qu'il n'avait pas vu depuis si longtemp.
Neufs autres esclaves furent sortis avec lui, et une marche vers un batiment commenca, a quelques centaines de metres.
Situé au milieu de la file d'esclave, Sun Jian marchait, regardant par dessus l'epaule des gars de devant, tentant d'apercevoir leur destination. On les amena dans un batiment relativement petit, avec une odeur... etrange, malsaine. Il etaient dans la grande et unique piece, hormis une petite adjacente, du batiment, et sur le coté, menant a quelque chose de petit, une porte noire, sans savoir pourquoi, Jianl n'etait pas rassuré.
Un homme visiblement assez riche, et habituer a la vente d'esclaves, se tenait assi en tailleur sur des coussins, il examina les esclaves les un apres les autres. Il acquiesca pour les deux premiers, qui furent placé sur la coté, derriere le riche Ainoko.
Le troisieme homme etait pitoyable, mal en point, mourant, le riche fit un signe de denegation de la tete, et l'homme fut envoyé dans la salle adjacente, Jian retint son souffle lorsqu'il ouvrit la porte. Quelques secondes plus tard, un bruit sourd se fit entendre, puis plus rien. Le quatrieme esclave suivit le meme chemin, le meme bruit sourd, puis plus rien. Vint le tour du cinquieme, apres, ce serait a Jian de passer... Le cinquieme etait en forme, mais quand un garde l'approcha il fit mine de se rebeller, frapant en plein visage l'Ainoko. Il fut maitrisé, puis expedier dans la piece a la porte noire. Jian juta furtivement un coup d'oeil, son sang se glaca...
De l'autre coté de la porte, un ainoko tout en noir, brandissant une hache ou figuraient des traces de sang, se tenait au dessus d'un billot, et du sang avait, visiblement reccement, giclé sur les murs et le billots... Il compris qu'on tuais les esclaves declarés inaptes a la vente.
Ce fut son tour... Jian s'avanca lentement, les yeux baissés sur le sol devant le riche Ainoko, il retenait son soufle, angoissant quand au sors qui l'attendait. Il ne vit pas quel signe fit l'homme riche, aussi fut-il prit d'une legere panique quand deux grades l'attraperent et le souleverent pour l'enmener, se retenant de crier, il s'apercut avec soulagement qu'il avait été designé comme apte a la vente... Il faillit rire, mais prefera contenir son eclat.
Ceux qui avaient été designé aptes a la vente, furent lavés, soignés, bien nourris. Jian recupera ses vetements ainsi que ses bijoux, l'huissier avait tenu parole...
Et maintenant, Jian attendait, debout sous le soleil, exposé a la vue de tous, qu'un riche Ainoko passe par la et l'achete, attiré par les cris accrocheurs du marchand d'esclaves, qui hurlait les qualitées de son stock, esclaves certifiés par une instance dont Jian ne compris pas le titre.
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Invité
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Le Marché aux Esclaves. Cette ambiance malsaine ne changeait pas, même après plus de 20 ans. C'est ce léger constat qu'était en train de faire une jeune femme à l'allure noble, et aux tenues peu communes. Vêtu d'un corset noir, au laçage rouge, de type victorien en velours, la miss marchait d'un pas souple et fluide....comme si elle glissait. Son pantalon moulant d'une matière noire aux reflets rouges indéfinissable, semblait suivre ses formes comme une seconde peau. Ses yeux d'or observaient avec attention une liste exhaustive de prix et de noms, noms suivit généralement de portrait. Un sourire moqueur ourlait dubitativement ses lèvres vermeilles, alors que son teint de pêche blanche rendait sa silhouette irréelle, sans parler de l'espèce de chignon rebelle, qui constituait sa coiffure.
Cette femme, il s'agissait là de Yatsuki Rei, une proxénète assez connue de la population. La police n'ayant rien contre elle, après tout, elle déclare ses employés comme étant ses esclaves...elle a toujours nargué les lois, et surtout, l'autorité des 7 familles.
Se complaisant dans le jeu, l'imprévisible, le hasard, elle aime défier jusqu'au destin. Vendeuse de Plaisirs, elle a sût rendre au nom Yatsuki pouvoirs et richesses.
C'est dans cet état d'esprit que la femme se trouvait actuellement en visite au marché. Elle avait reçu, de la part de quelqu'un de ses fournisseurs, des listes d'esclaves fraichement débarqués sur l'île, ou encore, recueillit un peu partout chez des particuliers.
Certains d'entre eux possédaient un physique avantageux, mais elle se devait de jauger la marchandise, qu'elle offrirait à ses clients, de ses propres yeux. Dans cet optique, elle avait accepté, non sans soupirer, de se rendre dans cet endroit où les cris, la mort, la saleté, et le vice sont de rigueur.
12 esclaves. Elle avait repéré, par-ci par-là, douze esclaves de bonnes "manufactures". Les ayant achetés comptant, et déclarer comme siens, elle les avaient confiés à deux de ses meilleurs prostitués. Ces derniers allaient emmener les "élus" dans un bâtiment qui leur est réservé, où ils apprendront les ficelles de leur métier. Former par les autres esclaves, elle avait bien fait en sorte de les choisir dociles, mais bénéficiaire d'un esprit qui leur est propre.
Alors qu'elle allait repartir, et rejoindre ainsi sa noble limousine en laque noire, son regard fut attiré par un autre étalage. Elle reconnut sans peine l'étalage de la famille Ankoku. Ces derniers possédaient plusieurs "label", et celui-ci en était un. Observant la marchandise, un vendeur la repéra et la reconnut. Il s'avança vers elle, et déclara :
"Bien le Bonjour Miss Yatsuki ! Nous avons de nouveaux arrivages aujourd'hui...ne sont-ils pas parfaits ?!
- Je dois avouer que certains sont admirablement bien fait. Cependant, il manque toujours ce "je ne sais quoi" qui pourrait en faire de bons gigolos.
- Il est vrai que votre réseau prévaut l'individualisme et la singularité de la marchandise. Aussi excentrique que vous, sans être offensant !
- Vous ne l'êtes pas Yukio, loin de là même. Tiens, l'un de vos esclaves possèdent des vêtements de bonnes manufactures ? Je croyais que vous vous contentiez des vêtements les moins chers.
- C'est un cas à par entière. Très docile, un Humain. Sa maîtresse ne pouvait plus remboursez certaines, dettes dirons-nous. Il a demandé à conserver ses effets, l'huissier a accepté.
- Je vois..."
Un sourire calculateur orna la bouche fine et délicate de la métis. Ses gênes de serpent remontaient à la surface dans ce genre de moment. Un cas particulier ? Mais c'est parfait !
Laissant le vendeur en plan, ce dernier comprit rapidement qu'il allait faire une bonne affaire. Il savait comment été la jeune femme, depuis le temps qu'il travaillait pour les Ankoku.
Une fois fut-elle face à l'humain, Rei le jaugea de la tête aux pieds. Hum, des bracelets, des vêtements de bonnes manufactures, mais sans plus...la couleur de ses cheveux, et les traits fins de son visage, le rendait agréable à regardé ! Il ne manquait plus qu'à voir son caractère !
"Ton nom." ordonna-t-elle à l'humain sans le moindre vis à vis.
En retrait, le vendeur observait la scène amusait. Il tenait déjà plusieurs papier dans les mains, liés par de la ficelle de cuir, et un étrange collier de cuir...Oui, cet homme connait parfaitement bien l'héritière des Yatsuki ! Après tout, il a travaillé en duo avec elle pour le choix des esclaves, par le passé.
Cette femme, il s'agissait là de Yatsuki Rei, une proxénète assez connue de la population. La police n'ayant rien contre elle, après tout, elle déclare ses employés comme étant ses esclaves...elle a toujours nargué les lois, et surtout, l'autorité des 7 familles.
Se complaisant dans le jeu, l'imprévisible, le hasard, elle aime défier jusqu'au destin. Vendeuse de Plaisirs, elle a sût rendre au nom Yatsuki pouvoirs et richesses.
C'est dans cet état d'esprit que la femme se trouvait actuellement en visite au marché. Elle avait reçu, de la part de quelqu'un de ses fournisseurs, des listes d'esclaves fraichement débarqués sur l'île, ou encore, recueillit un peu partout chez des particuliers.
Certains d'entre eux possédaient un physique avantageux, mais elle se devait de jauger la marchandise, qu'elle offrirait à ses clients, de ses propres yeux. Dans cet optique, elle avait accepté, non sans soupirer, de se rendre dans cet endroit où les cris, la mort, la saleté, et le vice sont de rigueur.
12 esclaves. Elle avait repéré, par-ci par-là, douze esclaves de bonnes "manufactures". Les ayant achetés comptant, et déclarer comme siens, elle les avaient confiés à deux de ses meilleurs prostitués. Ces derniers allaient emmener les "élus" dans un bâtiment qui leur est réservé, où ils apprendront les ficelles de leur métier. Former par les autres esclaves, elle avait bien fait en sorte de les choisir dociles, mais bénéficiaire d'un esprit qui leur est propre.
Alors qu'elle allait repartir, et rejoindre ainsi sa noble limousine en laque noire, son regard fut attiré par un autre étalage. Elle reconnut sans peine l'étalage de la famille Ankoku. Ces derniers possédaient plusieurs "label", et celui-ci en était un. Observant la marchandise, un vendeur la repéra et la reconnut. Il s'avança vers elle, et déclara :
"Bien le Bonjour Miss Yatsuki ! Nous avons de nouveaux arrivages aujourd'hui...ne sont-ils pas parfaits ?!
- Je dois avouer que certains sont admirablement bien fait. Cependant, il manque toujours ce "je ne sais quoi" qui pourrait en faire de bons gigolos.
- Il est vrai que votre réseau prévaut l'individualisme et la singularité de la marchandise. Aussi excentrique que vous, sans être offensant !
- Vous ne l'êtes pas Yukio, loin de là même. Tiens, l'un de vos esclaves possèdent des vêtements de bonnes manufactures ? Je croyais que vous vous contentiez des vêtements les moins chers.
- C'est un cas à par entière. Très docile, un Humain. Sa maîtresse ne pouvait plus remboursez certaines, dettes dirons-nous. Il a demandé à conserver ses effets, l'huissier a accepté.
- Je vois..."
Un sourire calculateur orna la bouche fine et délicate de la métis. Ses gênes de serpent remontaient à la surface dans ce genre de moment. Un cas particulier ? Mais c'est parfait !
Laissant le vendeur en plan, ce dernier comprit rapidement qu'il allait faire une bonne affaire. Il savait comment été la jeune femme, depuis le temps qu'il travaillait pour les Ankoku.
Une fois fut-elle face à l'humain, Rei le jaugea de la tête aux pieds. Hum, des bracelets, des vêtements de bonnes manufactures, mais sans plus...la couleur de ses cheveux, et les traits fins de son visage, le rendait agréable à regardé ! Il ne manquait plus qu'à voir son caractère !
"Ton nom." ordonna-t-elle à l'humain sans le moindre vis à vis.
En retrait, le vendeur observait la scène amusait. Il tenait déjà plusieurs papier dans les mains, liés par de la ficelle de cuir, et un étrange collier de cuir...Oui, cet homme connait parfaitement bien l'héritière des Yatsuki ! Après tout, il a travaillé en duo avec elle pour le choix des esclaves, par le passé.
Le soleil frappait fort, impitoyable, sur le marché aux esclaves, suppliciant les pauvres humains et ainokos destinés a la vente, qui pour la plupart etaient assis en plein soleil, nus ou en pagne dechirés... Les plus chanceux etaient protegés de la morsurse cuisante du soleil par des loques crasseuse, vestiges de robes taillées en chiffons ou autre...
Le marché, si l'on exeptait l'odeur acre de la sueur des esclaves et de leur sang, degageait comme un fumet desagrables qui laissait un arriere-gout pateux et nocif dans le fond de la gorge, une odeur terne et discrete, mais qui s'infiltrait dans les poumons a chaque inhalations... une odeur qui trahissait l'ambiance et l'atmosphere du marché... Malsaine.
Une odeur de maladie, comme un charnier, un encensoir a pestiferé....
De temps en temps, un esclave osait se plaindre de l'inconfort de la situation, du soleil ou autre chose. Il etait instentanement reduit au silence par une volée de coups, et rossé en regles, faisant ainsi de lui l'exemple brutal qui calmait les autres esclaves reduit a l'etat de marchandises vivantes... enfin vivante, pour la plupart, car certain ne survivraient pas ainsi jusqu'au soir. Le plus agacant dans tout ca, c'etait les mouches.... ses bestioles volants qui tourbillonaient autour des etalages les moins chers, attirés par la sueur et les odeurs de viandes et de sang...
Jian etait sur l'un des bon etals, il y avait des tentures pour empecher que les esclaves soit trop exposés au soleil et puent la sueur. Les tenues etaient propre, mais c'etait neanmoins des tenus d'esclaves au couleurs fanées, usées et dechirés quelques endroits.
Seule deux ou trois esclaves aveient recu des traitement de faveur, Jian en faisait partit, il avait ainsi pus garder ses propres vetements, qui lui allait quand meme mieux que frusques des autres heins.
Plusieurs clients s'etait presentée, etait passés, nottant les noms des esclaves qui les interessait pour passer plus tard, en fin de soirée, lorsque les prix baisseraient pour vendre mieux et ne pas perdre une journée. Une jeune femme se presenta devant l'etal, visiblement riche et disposé a acheter des esclaves, elle avait un air.... suspect, calculateur... comme si elle preparait quelque mauvaise blague. Son sourire narquois avait quelque chose de ... reptilien.
Le vendeur de l'etal ou il avait echoué semblait bien la connaitre et, avec un sourire aussi charmant que peut l'etre celui de quelqun aussi desireux de vendre un produit, il l'aborda apres un salut respecteux... L'homme avait fait mauvaise impression au jeune esclave -Jian- , qui le trouvait pitoyable malgré son statut superieur au sien. Il etait si empressé de vendre, qu'il se faisait mielleux avec chaque client, et que toutes les deux phrase il se sentait obligé de faire des courbettes miserables...
La jeune femme, tout du moin en apparence, car il savait que le phisique des Ainoko ne refletait pas leur age réel. Elle discuta quelques temps avec le marchand d'esclave, glissant un regard dans sa direction, elle le remarqua et, le designa d'un leger signe de tete, elle posa une question au marchand d'esclave, qui se tourna dans sa direction pour voir de qui elle parlait. Il le reconnut et repondit a sa question. Jian n'entendait pas ce qui se disait, mais il savait qu'ils devaient parler de lui, peut-etre serait-il achetée par la jeune femmes aux traits reptiliens...
Avec un sourire, la riche Ainoko passa a coté du vendeur sans le regarder, son air calculateur mettait encore plus en valeur les traits du serpent qui etait sans doute son animal genetique de base.
Elle s'approcha de lui et le jauga du regard, estimant sa valeur phisique, elle detailla lentement ses yeux, son visage et ses cheveux, ainsi que ses vetements et le corps en dessous. Jian ni fit pas attention, suportant l'inspection sans rien dire et sans regarder l'achetrice potentielle. Elle finit par lui demander sans preavis, d'une voix seche et autoritaire, habituée a ce qu'on lui obeisse certainement...
Il tourna la tete pour regarder la jeune femme, et planta ses yeux dans les siens pour dire simplement, d'un ton qui ne manifestait ni mepris ni respect, aucune marque de deference ni de rebellion. Un ton neutre. Malgré ses habitudes de docilitées, il etait d'une nature fiere et le laissa tres legerement transparaitre de temps en temps.
"Sun Jian."
Il ne detourna pas le regard, il avait etre conscient de sa position d'esclave et etre d'une nature docile, c'etait tout de meme un homme qui avait un certain respect pour lui meme, et bien qu'il le camouflait toujours sous ses apparence docile et obeissante, il etait fier et une ame ainsi qu'une dure volontée l'habitait, il s'etait juré que bien qu'il ne possederait jamais rien que theoriquement ses proprietaires pourait tout lui retirer, jamais il n'abandonnerait sa fiertée. Tout en obeissant comme le devait sa condition d'esclave humain.
Le marché, si l'on exeptait l'odeur acre de la sueur des esclaves et de leur sang, degageait comme un fumet desagrables qui laissait un arriere-gout pateux et nocif dans le fond de la gorge, une odeur terne et discrete, mais qui s'infiltrait dans les poumons a chaque inhalations... une odeur qui trahissait l'ambiance et l'atmosphere du marché... Malsaine.
Une odeur de maladie, comme un charnier, un encensoir a pestiferé....
De temps en temps, un esclave osait se plaindre de l'inconfort de la situation, du soleil ou autre chose. Il etait instentanement reduit au silence par une volée de coups, et rossé en regles, faisant ainsi de lui l'exemple brutal qui calmait les autres esclaves reduit a l'etat de marchandises vivantes... enfin vivante, pour la plupart, car certain ne survivraient pas ainsi jusqu'au soir. Le plus agacant dans tout ca, c'etait les mouches.... ses bestioles volants qui tourbillonaient autour des etalages les moins chers, attirés par la sueur et les odeurs de viandes et de sang...
Jian etait sur l'un des bon etals, il y avait des tentures pour empecher que les esclaves soit trop exposés au soleil et puent la sueur. Les tenues etaient propre, mais c'etait neanmoins des tenus d'esclaves au couleurs fanées, usées et dechirés quelques endroits.
Seule deux ou trois esclaves aveient recu des traitement de faveur, Jian en faisait partit, il avait ainsi pus garder ses propres vetements, qui lui allait quand meme mieux que frusques des autres heins.
Plusieurs clients s'etait presentée, etait passés, nottant les noms des esclaves qui les interessait pour passer plus tard, en fin de soirée, lorsque les prix baisseraient pour vendre mieux et ne pas perdre une journée. Une jeune femme se presenta devant l'etal, visiblement riche et disposé a acheter des esclaves, elle avait un air.... suspect, calculateur... comme si elle preparait quelque mauvaise blague. Son sourire narquois avait quelque chose de ... reptilien.
Le vendeur de l'etal ou il avait echoué semblait bien la connaitre et, avec un sourire aussi charmant que peut l'etre celui de quelqun aussi desireux de vendre un produit, il l'aborda apres un salut respecteux... L'homme avait fait mauvaise impression au jeune esclave -Jian- , qui le trouvait pitoyable malgré son statut superieur au sien. Il etait si empressé de vendre, qu'il se faisait mielleux avec chaque client, et que toutes les deux phrase il se sentait obligé de faire des courbettes miserables...
La jeune femme, tout du moin en apparence, car il savait que le phisique des Ainoko ne refletait pas leur age réel. Elle discuta quelques temps avec le marchand d'esclave, glissant un regard dans sa direction, elle le remarqua et, le designa d'un leger signe de tete, elle posa une question au marchand d'esclave, qui se tourna dans sa direction pour voir de qui elle parlait. Il le reconnut et repondit a sa question. Jian n'entendait pas ce qui se disait, mais il savait qu'ils devaient parler de lui, peut-etre serait-il achetée par la jeune femmes aux traits reptiliens...
Avec un sourire, la riche Ainoko passa a coté du vendeur sans le regarder, son air calculateur mettait encore plus en valeur les traits du serpent qui etait sans doute son animal genetique de base.
Elle s'approcha de lui et le jauga du regard, estimant sa valeur phisique, elle detailla lentement ses yeux, son visage et ses cheveux, ainsi que ses vetements et le corps en dessous. Jian ni fit pas attention, suportant l'inspection sans rien dire et sans regarder l'achetrice potentielle. Elle finit par lui demander sans preavis, d'une voix seche et autoritaire, habituée a ce qu'on lui obeisse certainement...
Il tourna la tete pour regarder la jeune femme, et planta ses yeux dans les siens pour dire simplement, d'un ton qui ne manifestait ni mepris ni respect, aucune marque de deference ni de rebellion. Un ton neutre. Malgré ses habitudes de docilitées, il etait d'une nature fiere et le laissa tres legerement transparaitre de temps en temps.
"Sun Jian."
Il ne detourna pas le regard, il avait etre conscient de sa position d'esclave et etre d'une nature docile, c'etait tout de meme un homme qui avait un certain respect pour lui meme, et bien qu'il le camouflait toujours sous ses apparence docile et obeissante, il etait fier et une ame ainsi qu'une dure volontée l'habitait, il s'etait juré que bien qu'il ne possederait jamais rien que theoriquement ses proprietaires pourait tout lui retirer, jamais il n'abandonnerait sa fiertée. Tout en obeissant comme le devait sa condition d'esclave humain.
Invité
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[Pardon pour le retard ! ^^" lol]
Rei avait observé l'attitude de l'humain lors de "l'analyse" de base. Il était resté détaché de la situation, comme s'il savait qu'il était de la marchandise et qu'il n'avait donc pas son mot à dire.
Une fois qu'elle eut donné son ordre, elle fut ravie de voir qu'il daigné ancré son regard rubis dans ses pépites d'or. Le nom fut alors prononcé, d'un ton posé, sans marque réelle de soumission, ni même de rébellion. Il était neutre, parfaitement neutre vis à vis d'elle. Elle n'était pas sa maîtresse, et il était tout de même garant de sa fierté, mais aussi, de sa nature d'homme.
Cet agissement, si peu commun, la Yatsuki trouvait cela amusant. Ses yeux brillaient de malice...oui, il allait être amusant le jeunot. Un soumit qui garde sa fierté malgré tout ? Un esclave qui tolére sa condition sans renier sa nature ? Mais...c'est là un paradoxe ambulant ! Parfait ! De l'excentricité...un brin d'originalité. Il avait les conditions pour lui appartenir, à elle, et non à ses clients. Un jouet personnel, un jouet qu'elle seule pourrait manipuler.
Ce n'est pas le cas avec Marcus ? Non...Marcus possède un caractère qui fait qu'elle s'amuse à le voir évolué dans le milieu de la prostitution. Elle s'amuse à le savoir si recherché, par autrui, pour des nuits endiablées. Ce "Jian"...elle a bien envi de l'emmener et de le garder pour elle, histoire de voir jusqu'où sa soumission peut aller. Voir s'il peut la haïr, et la servir à la fois. Voir comment un être à la personnalité si perplexe, paradoxale, allait bien pouvoir évoluer.
Un sourire sadique prit naissance à la commissure des lèvres de l'Ainoko. Faisant signe au vendeur de la rejoindre, ce dernier pressa le pas. D'une voix calme, il demanda :
"Oui ?
- Il m'intéresse, je le prend.
- Vous savez que ce genre d'esclaves n'est pas gratuit Miss Yatsuki ?
- Me prenez-vous pour une idiote ? Je ne recherche que la qualité, et j'y met les formes quand je la trouve. Votre prix ?
- 10 000 pièces.
- 10 000 ? Tiens, n'est-il pas écrit 1 000 sur votre petit papier ?
- Que ?"
Avant que le dénommé Yukio n'est pût faire quoique se soit, Rei avait rayé l'un des zéro inscrit sur la parchemin. Offrant un sourire hypocrite au pauvre vendeur, elle reprit :
"Vous n'espériez pas m'arnaquer tout de même ?
- Bien...Bien sûr que non Miss !! Je me suis trompé, veuillez m'excuser.
- Dans ce cas, détachez-le."
Sachant qu'il risquait gros s'il venait à contester, le vendeur fit signe à deux de ses "larbins" de détachez le jeune humain. Une fois cela fut-il fait, il se tourna vers la jeune femme qui lui donna les 1000 pièces. Lui donnant les papiers de vente, elle lui glissa un supplément, qui le fit partir chercher autre chose...
"Tu es désormais mien, Jian. Je te conseille fortement de m'obéir...sous peine de quoi, je te le ferais clairement regretté."
Le sourire sadique, et la lueur de folie dans le regard de la femme parlait d'eux-même...Cependant, elle sentait l'adrénaline et le plaisir d'une telle rencontre. Il n'y avait plus qu'à attendre le retour du vendeur avec un certain objet, et le tour serait joué.
Rei avait observé l'attitude de l'humain lors de "l'analyse" de base. Il était resté détaché de la situation, comme s'il savait qu'il était de la marchandise et qu'il n'avait donc pas son mot à dire.
Une fois qu'elle eut donné son ordre, elle fut ravie de voir qu'il daigné ancré son regard rubis dans ses pépites d'or. Le nom fut alors prononcé, d'un ton posé, sans marque réelle de soumission, ni même de rébellion. Il était neutre, parfaitement neutre vis à vis d'elle. Elle n'était pas sa maîtresse, et il était tout de même garant de sa fierté, mais aussi, de sa nature d'homme.
Cet agissement, si peu commun, la Yatsuki trouvait cela amusant. Ses yeux brillaient de malice...oui, il allait être amusant le jeunot. Un soumit qui garde sa fierté malgré tout ? Un esclave qui tolére sa condition sans renier sa nature ? Mais...c'est là un paradoxe ambulant ! Parfait ! De l'excentricité...un brin d'originalité. Il avait les conditions pour lui appartenir, à elle, et non à ses clients. Un jouet personnel, un jouet qu'elle seule pourrait manipuler.
Ce n'est pas le cas avec Marcus ? Non...Marcus possède un caractère qui fait qu'elle s'amuse à le voir évolué dans le milieu de la prostitution. Elle s'amuse à le savoir si recherché, par autrui, pour des nuits endiablées. Ce "Jian"...elle a bien envi de l'emmener et de le garder pour elle, histoire de voir jusqu'où sa soumission peut aller. Voir s'il peut la haïr, et la servir à la fois. Voir comment un être à la personnalité si perplexe, paradoxale, allait bien pouvoir évoluer.
Un sourire sadique prit naissance à la commissure des lèvres de l'Ainoko. Faisant signe au vendeur de la rejoindre, ce dernier pressa le pas. D'une voix calme, il demanda :
"Oui ?
- Il m'intéresse, je le prend.
- Vous savez que ce genre d'esclaves n'est pas gratuit Miss Yatsuki ?
- Me prenez-vous pour une idiote ? Je ne recherche que la qualité, et j'y met les formes quand je la trouve. Votre prix ?
- 10 000 pièces.
- 10 000 ? Tiens, n'est-il pas écrit 1 000 sur votre petit papier ?
- Que ?"
Avant que le dénommé Yukio n'est pût faire quoique se soit, Rei avait rayé l'un des zéro inscrit sur la parchemin. Offrant un sourire hypocrite au pauvre vendeur, elle reprit :
"Vous n'espériez pas m'arnaquer tout de même ?
- Bien...Bien sûr que non Miss !! Je me suis trompé, veuillez m'excuser.
- Dans ce cas, détachez-le."
Sachant qu'il risquait gros s'il venait à contester, le vendeur fit signe à deux de ses "larbins" de détachez le jeune humain. Une fois cela fut-il fait, il se tourna vers la jeune femme qui lui donna les 1000 pièces. Lui donnant les papiers de vente, elle lui glissa un supplément, qui le fit partir chercher autre chose...
"Tu es désormais mien, Jian. Je te conseille fortement de m'obéir...sous peine de quoi, je te le ferais clairement regretté."
Le sourire sadique, et la lueur de folie dans le regard de la femme parlait d'eux-même...Cependant, elle sentait l'adrénaline et le plaisir d'une telle rencontre. Il n'y avait plus qu'à attendre le retour du vendeur avec un certain objet, et le tour serait joué.
Le fier, mais pourtant esclave et humain, Sun Jian, que l'on pourrait plus appelé "Le marginal" ou "l'exentrique" que "le fier" , de pars son allure, son attitude etrangement fiere et soumise en meme temp. Byzzare? Peut-etre. Paradoxal ? Surement, mais tel est son comportement et son caracteres, en accords avec son esprit logique et compliqué, etrangement tourné vers les paradoxes et certaines philosophies, voir la poesie quand ca lui prend.
Il se tenait droit en face de la femme-serpent aux apparences aussi jeunes que lui, mais qui pouvais avoir deux voire trois fois son age en verité, fixant de ses yeux rouges les yeux d'or qui brillaient de malice, lui donnant un air etrange, on eu dit qu'elle reflechissait a plusieurs choses en meme temps, qu'elle calculait et planifiait plusieurs plans simultanément... Sa peut-etre future maitresse semblait etre une manipulatrice avisée, toujours sur ses gardes et a l'afut d'une bonne affaire ou d'une occasion pour avancer ses pions, servant une strategie qu'elle seule conaissait et que peu comprenaits. Comme sur une tables d'echec lors d'une partie de haut niveau, ou la situation qui semble bloquée change tout a coup sur un seul coup de genie de l'un des joueurs, aussi tot contrecarré par l'adversaire qui prend l'avantage, ayant prévu cela, dans un enchainement sans fins de coups plus brillant les un que les autres, pour finir par la victoire du plus anticipateurs... Un jeu fascinant pour qui avait l'esprit adapté.
Un sourire qui n'inspirais pas vraiment confiance, un sourire mince etirant les levres de la jeune femme, accentuant sa beautée reptilienne, ce sourire qui laissa transparaitre un sadisme averé. Jian sut alors que la jeune femme deviendrais sa maitresse, aucun doute possible, elle semblait interessée par le jeune esclave.
Elle fit un petit signe, et le vendeur se precipita tel un caniche bien dressé pour venir demander ce que la jeune femme voulait. S'ensuivit un echange que, meme s'il n'en donnait pas l'air, Jian ecouta et analysa avec interet. Son vendeur tentait de faire payer a l'acheteuse dix fois le prix qu'il avait decidé pour Jian, essayant de l'arnaquer. Mais ses reves de richesse furent brisés lorsque, d'un geste rapide et autoritaire, elle raya sechement un zero, redescendant le prix au 1000 original. Le vendeur sembla se rendre compte qu'il ne devait pas insister, et recula tandis qu'il recevait la paye convenu et que deux gardes detachait Jian. Le vendeur etait partit, Jian l'ignorait mais il etait partit chercher quelque chose, un objet, a l'attention de sa maitresse, peut-etre pour Jian...
Jian notta avec appreciation que sa maitresse etait manifestement inteligente, maligne, il avait été acheté par quelqun qui possedait manifestement du pouvoir, de l'influence et qui les meritait. Une personne a qu'il serait peut-etre interessant, par la suite, d'apartenir, tout dependait des evenements...
Une lueur folle brilla dans le regard de sa maitresse desormais, tandis qu'elle lui annoncait clairement la couleur par une menace chargée d'autoritée.
Il declara simplement, comme s'il etait indiferent aux menaces;
"Je vous appartiens. Et je vous obéirais."
Le vendeur revint, se pressant legerement, cachant dans ses mains un objet, ce que la maitresse de Jian avait demandé en echange d'un petit supplement d'especes.
Il se tenait droit en face de la femme-serpent aux apparences aussi jeunes que lui, mais qui pouvais avoir deux voire trois fois son age en verité, fixant de ses yeux rouges les yeux d'or qui brillaient de malice, lui donnant un air etrange, on eu dit qu'elle reflechissait a plusieurs choses en meme temps, qu'elle calculait et planifiait plusieurs plans simultanément... Sa peut-etre future maitresse semblait etre une manipulatrice avisée, toujours sur ses gardes et a l'afut d'une bonne affaire ou d'une occasion pour avancer ses pions, servant une strategie qu'elle seule conaissait et que peu comprenaits. Comme sur une tables d'echec lors d'une partie de haut niveau, ou la situation qui semble bloquée change tout a coup sur un seul coup de genie de l'un des joueurs, aussi tot contrecarré par l'adversaire qui prend l'avantage, ayant prévu cela, dans un enchainement sans fins de coups plus brillant les un que les autres, pour finir par la victoire du plus anticipateurs... Un jeu fascinant pour qui avait l'esprit adapté.
Un sourire qui n'inspirais pas vraiment confiance, un sourire mince etirant les levres de la jeune femme, accentuant sa beautée reptilienne, ce sourire qui laissa transparaitre un sadisme averé. Jian sut alors que la jeune femme deviendrais sa maitresse, aucun doute possible, elle semblait interessée par le jeune esclave.
Elle fit un petit signe, et le vendeur se precipita tel un caniche bien dressé pour venir demander ce que la jeune femme voulait. S'ensuivit un echange que, meme s'il n'en donnait pas l'air, Jian ecouta et analysa avec interet. Son vendeur tentait de faire payer a l'acheteuse dix fois le prix qu'il avait decidé pour Jian, essayant de l'arnaquer. Mais ses reves de richesse furent brisés lorsque, d'un geste rapide et autoritaire, elle raya sechement un zero, redescendant le prix au 1000 original. Le vendeur sembla se rendre compte qu'il ne devait pas insister, et recula tandis qu'il recevait la paye convenu et que deux gardes detachait Jian. Le vendeur etait partit, Jian l'ignorait mais il etait partit chercher quelque chose, un objet, a l'attention de sa maitresse, peut-etre pour Jian...
Jian notta avec appreciation que sa maitresse etait manifestement inteligente, maligne, il avait été acheté par quelqun qui possedait manifestement du pouvoir, de l'influence et qui les meritait. Une personne a qu'il serait peut-etre interessant, par la suite, d'apartenir, tout dependait des evenements...
Une lueur folle brilla dans le regard de sa maitresse desormais, tandis qu'elle lui annoncait clairement la couleur par une menace chargée d'autoritée.
Il declara simplement, comme s'il etait indiferent aux menaces;
"Je vous appartiens. Et je vous obéirais."
Le vendeur revint, se pressant legerement, cachant dans ses mains un objet, ce que la maitresse de Jian avait demandé en echange d'un petit supplement d'especes.
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[Pardon pour le retard ! Mais comme je l'ai précisé dans "absence"...je suis légèrement surbouquée ^^" lol]
Rei observa avec attention la réaction de son nouveau jouet, face à ses paroles menaçantes...mais où le vice, la luxure, l'excentricité, et le sadisme se liaient dans une danse parfaite d'osmose.
Il paraissait calme, détaché vis à vis de la situation. Son apparente neutralité lui donnait un air courageux, comme s'il possédait un "je ne sais quoi" qui le différenciait des autres humains. Serait-il né sur l'île ? Ou aurait-il vécu des choses de manière à être conditionné dans son rôle ? Les réponses à ces questions, Rei ne les possédaient aucunement...mais cela ne saurait trop tardé !
Soudain, le fameux Yukio revint au pas de course. De part son label, il se devait d'être parfait. Se faire avoir par Rei allait lui en couter face à la Maitresse du Marché...mais bon, à moindre mal, je pense qu'il préfèrera se taire et ne pas faire connaitre son échec dans une transaction d'une apparente facilité !
Quoiqu'il en soit, il remit à la Femme Fatale un dossier, et un étrange coffret. Rajoutant une bourse au montant précédent, elle montra un sourire satisfait. Ainsi, ce fut avec cet air, qui n'occasionnait rien de bon, qu'elle dédaigna le pauvre humain en le toisant du regard. D'un ton sans réplique, elle lui ordonna :
"Enlève moi ces bijoux, Jian. Je refuse de voir un de mes jouets portaient de telle breloques sans valeur."
Oh...Rei trouve ces objets fort élégants sur Jian...mais elle sait que leur contact sur sa peau ne serait pas des meilleurs effets...et bon, elle a décidé de jouer et de le briser, non ? Or, n'a-t-il pas demander à conserver ce qui lui servait de "biens" ? Il ne s'agit là que d'une faible piste à explorer...vous ne croyez pas ?
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