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Elle avait l'âge désormais. C'est ce que venait de décréter ses parents. Hoshi savait qu'elle était vouée à être une esclave et cela l'enchantait. Mais elle pensait aussi que ce moment venu elle aurait perdue sa pureté. L'angoisse s'empara légèrement d'elle si bien que les écailles de ses ongles prirent une teinte violette sombre. L'homme qui accueillit la jeune fille était repoussant au plus au point. La perversion se lisait dans son regard, il était gros, suintant de sueur et horriblement repoussant. Sa famille la vendit, comme ils avaient vendu chacun de ses enfants et comme ils vendraient les suivant, à un prix lamentable. Mais suffisant pour vivre jusqu'à leur prochaine vente. Quelques détails donnés sur la vie privée de la jeune poissonne histoire de dresser un tableau de vente et la voilà enchainée. Poignets et mollet sanglés de cuire le tout relié à une chaine que tirait le vendeur. Brusquement d'ailleurs. Si bien que la demoiselle trébucha plusieurs fois. L'angoisse laissa place à la colère, le dégoût. Et ses ongles changèrent encore pour virer au noir. On la mena vers un genre d'entrepôt où elle allait être lavée puis préparée à la vente, lui avait expliqué sa mère. Mais, même considérée comme un objet Hoshi restait droite et fière... Du moins en apparence.
On la poussa à l'intérieur et l'homme la mena vers une salle où se trouvait une cuve en bronze. Il la força à y mettre les pieds. L'eau froide lui arrivait aux genoux. Après l'avoir brusquement dévêtie il la frotta avec un torchon rêche et du savon histoire de la laver. Heureusement ses parents, qui ne sont pas sans coeur, avait donné au vendeur un kimono pour habiller leur fille. Histoire qu'elle apparaisse avec une certaine beauté. Il la détacha pour qu'elle passe le kimono rouge au dessus d'un simple string blanc. N'ayant pas l'habitude de ce genre de dessous, il la gênait. Et le kimono était en fait... très court. Il lui frôlait les fesses de sorte à ce qu'on puisse voir son tatouage. Et le décolleté était suffisamment plongeant. Mais de toute façon, elle n'a qu'une petite poitrine cela ne sert à rien... Se disait-elle.
De nouveau les chaines et ce fut nus pieds et les cheveux encore humides et lâches qu'elle sortit. On la traina parmi les passants qui la dévisageaient. Et leur répondait lançant des regards noirs de ses prunelles grises. Aurait-elle eut les gène loup de son père, elle se serait mise à grogner. Mais les poissons ne grognent pas. On l'amena avec les esclaves Ainokos. Certains pleuraient, d'autres étaient recroquevillés, d'autre encore impassibles. Elle ne l'est comprenait pas. On l'avait éduquée pour être esclave. Elle ne pouvait comprendre le mot liberté. Sa vie n'était faite que de devoirs et d'interdictions. Plein de choses lui étaient encore inconnue. On l'attacha, en vue de tous comme un vulgaire animal. Et la jeune fille s'assit tranquillement relevant sa jambe tatouée pour la replier vers elle autant que les chaines le lui permettaient. Pour enfin poser son menton dessus pour pouvoir observer la foule comme celle-ci l'observait. Le tableau de vente fut accroché près d'elle, elle y jeta un coup d'oeil: Nom, âge, préférence sexuelle, et une petite note disant que c'était une perverse vorace... Elle devrait être maligne pour éviter de se faire dépuceler trop rapidement... Mais pour que son secret ne soit pas découvert...
On la placardait ainsi comme un morceau de viande. Quel déplaisir. Vivement que sa future maitresse l'achète.
On la poussa à l'intérieur et l'homme la mena vers une salle où se trouvait une cuve en bronze. Il la força à y mettre les pieds. L'eau froide lui arrivait aux genoux. Après l'avoir brusquement dévêtie il la frotta avec un torchon rêche et du savon histoire de la laver. Heureusement ses parents, qui ne sont pas sans coeur, avait donné au vendeur un kimono pour habiller leur fille. Histoire qu'elle apparaisse avec une certaine beauté. Il la détacha pour qu'elle passe le kimono rouge au dessus d'un simple string blanc. N'ayant pas l'habitude de ce genre de dessous, il la gênait. Et le kimono était en fait... très court. Il lui frôlait les fesses de sorte à ce qu'on puisse voir son tatouage. Et le décolleté était suffisamment plongeant. Mais de toute façon, elle n'a qu'une petite poitrine cela ne sert à rien... Se disait-elle.
De nouveau les chaines et ce fut nus pieds et les cheveux encore humides et lâches qu'elle sortit. On la traina parmi les passants qui la dévisageaient. Et leur répondait lançant des regards noirs de ses prunelles grises. Aurait-elle eut les gène loup de son père, elle se serait mise à grogner. Mais les poissons ne grognent pas. On l'amena avec les esclaves Ainokos. Certains pleuraient, d'autres étaient recroquevillés, d'autre encore impassibles. Elle ne l'est comprenait pas. On l'avait éduquée pour être esclave. Elle ne pouvait comprendre le mot liberté. Sa vie n'était faite que de devoirs et d'interdictions. Plein de choses lui étaient encore inconnue. On l'attacha, en vue de tous comme un vulgaire animal. Et la jeune fille s'assit tranquillement relevant sa jambe tatouée pour la replier vers elle autant que les chaines le lui permettaient. Pour enfin poser son menton dessus pour pouvoir observer la foule comme celle-ci l'observait. Le tableau de vente fut accroché près d'elle, elle y jeta un coup d'oeil: Nom, âge, préférence sexuelle, et une petite note disant que c'était une perverse vorace... Elle devrait être maligne pour éviter de se faire dépuceler trop rapidement... Mais pour que son secret ne soit pas découvert...
On la placardait ainsi comme un morceau de viande. Quel déplaisir. Vivement que sa future maitresse l'achète.
Invité
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Le premier rayon de soleil frappa le visage de la Phoenix.. Endormit, elle en fut reveillée par la chaleur qui montée peu a peu dans la chambre, par la force de ce soleil qui etait un compagnon de toujours pour l'Hybride. Sortant peu a peu de son sommeil, elle ouvrit un oeil, avant de monter ses bras bien audessus de sa téte, pour s'etirer longuement, le draps mince descendant, dévoilant le haut de sa poitrine nue. Elle resta encore un instant allongée sur le lit, tentant de doucement se reveiller, et surtout emerger de ce brouillard qui l'avait envellopé, comme une amante bien trop collante.
Doucement, elle poussa enfin le drap, devoilant entiérement son corps nue, se redressant avec lenteur, pour enfin poser un pied a terre...
Elle avait du mal a se remettre de sa soirée, Yui progressait de jour en jour dans ses caresses, et Yoko n'en etait que plus comblée encore, sa lezarde etant une merveille dans l'art des coups de langues... Mais du coup, le sommeil venait parfois a manquer.
La jeune femme se leva enfin, sortant de son immense lit, vide, Yui etant sans doute deja partie au marchés, pour recuperer quelques ingrédients pour ce midi. Yoko, flemmarde, n'y avait pas été... Desormais, elle avait toutes confiance en Yui, et la laissé vivre son rythme de vie, lui demandant juste de combler ses desirs. Ce qu'elle faisait trés bien il fallait avouer. C'est avec un mince sourire que Yoko se dirigea vers la salle de bain au premier étage de son manoire, avec des pieds trainants. La douche etait un moyens merveilleux de revenir parmis le monde des vivants. L'eau brulante coulait sur son corps, glissant sur toutes ses courbes, entre ses seins, entre ses fesses, lui donnant des sensation proches des caresses.. Tout en se rincant, la maitresse se demandait ce qu'elle allait bien pouvoir faire de sa journée... Les boutiques...? Eventuellement, aprés tout, elle avait envie d'une nouvelle garde de robe, plus quelques accessoires pour jouer avec Yui... Elle en rit, pour finalement sortir, et s'habiller... Juste un String, couleur rouge feu, et une robe echancrée, de la méme teinte, fendut sur les deux cotés, laissant ses jambes fines a decouverts, et laissant une bonne idée de la forme de ses fesses, et un decolté a faire chavirer n'importe quel étre.
Sortant enfin du domaine, la jeune femme marchait d'un pas tranquille, savourant cette matinée delicieuse, qui suivait une nuit torride. La Phoenix flanait, prenant le temps de faire ses activité ce matin, sans avoir d'occupations pré-établies. Elle passa par les centres commerciaux, regardant quelques eventuels bonne affaires, mais ne trouva rien d'extraordinaire... Mais du bruits, des cris, attirairent son attention... Tournant la téte vers la place du marchés des esclaves, elle trouva une cohue devant l'une des estrades... Que se passait il ici? Curieuse de nature, la Phoenix s'avanca alors vers le lieux de tout les attirances... Quelle ne fut pas sa surprise, en tombant sur un paysage si admirable... La nouvelle attraction de la vente etait une jeune femme au visage d'ange... Elle etait posé comme un objet, au milieu de cette estrade, a la vue de touts les pervers du coin. Son corps, etait subliment a en imaginer sous son Kimono bien courts. Le tatouage aussi est merveilleux, et tout en la regardant, Yoko commence a doucement se sentir attirer par ce poisson de mer...
Elle reflechit un court instant, mais la folie l'emporte sur la raison...
Elle s'avance, bousculant les spectateur sans attention, pour se glisser enfin prés de l'ecritaux. Elle consulte le prix... Certes elle etait rélativement chére, tout comme Yui, mais elle valait bien ce prix la, ne serait ce que pour son physique admirable. Souriante, elle croise un bref instant le regard de sa future esclave, mais se dépéche de rejoindre son propriétaire, a la seule et unique fin de regler le montant. L'homme au sourire vicieux, prend le sac d'or, et sans attendre, il detache la belle de ses chaines, le tendant vers Yoko, qui lui fait un signe de négation.
"Inutile, j'ai ce qu'il faut a la maison"
Avec douceur, et fierté, elle se tourne vers celle qui est desormais son jouet, son tout nouveau jouet, qui viendrai completer le tableau superbe avec Yui...
"Je suis ta nouvelle maitresse. Yoko Hitashi. Souds mon service, il n'y a q'une régle d'or. Combler mes demandes, n'importe lesquelles, n'importe quant. Si tu fais bien cela, tu aura une vie tranquille auprés de moi. Tu as tout compris? Si oui nous y alons...
Doucement, elle poussa enfin le drap, devoilant entiérement son corps nue, se redressant avec lenteur, pour enfin poser un pied a terre...
Elle avait du mal a se remettre de sa soirée, Yui progressait de jour en jour dans ses caresses, et Yoko n'en etait que plus comblée encore, sa lezarde etant une merveille dans l'art des coups de langues... Mais du coup, le sommeil venait parfois a manquer.
La jeune femme se leva enfin, sortant de son immense lit, vide, Yui etant sans doute deja partie au marchés, pour recuperer quelques ingrédients pour ce midi. Yoko, flemmarde, n'y avait pas été... Desormais, elle avait toutes confiance en Yui, et la laissé vivre son rythme de vie, lui demandant juste de combler ses desirs. Ce qu'elle faisait trés bien il fallait avouer. C'est avec un mince sourire que Yoko se dirigea vers la salle de bain au premier étage de son manoire, avec des pieds trainants. La douche etait un moyens merveilleux de revenir parmis le monde des vivants. L'eau brulante coulait sur son corps, glissant sur toutes ses courbes, entre ses seins, entre ses fesses, lui donnant des sensation proches des caresses.. Tout en se rincant, la maitresse se demandait ce qu'elle allait bien pouvoir faire de sa journée... Les boutiques...? Eventuellement, aprés tout, elle avait envie d'une nouvelle garde de robe, plus quelques accessoires pour jouer avec Yui... Elle en rit, pour finalement sortir, et s'habiller... Juste un String, couleur rouge feu, et une robe echancrée, de la méme teinte, fendut sur les deux cotés, laissant ses jambes fines a decouverts, et laissant une bonne idée de la forme de ses fesses, et un decolté a faire chavirer n'importe quel étre.
Sortant enfin du domaine, la jeune femme marchait d'un pas tranquille, savourant cette matinée delicieuse, qui suivait une nuit torride. La Phoenix flanait, prenant le temps de faire ses activité ce matin, sans avoir d'occupations pré-établies. Elle passa par les centres commerciaux, regardant quelques eventuels bonne affaires, mais ne trouva rien d'extraordinaire... Mais du bruits, des cris, attirairent son attention... Tournant la téte vers la place du marchés des esclaves, elle trouva une cohue devant l'une des estrades... Que se passait il ici? Curieuse de nature, la Phoenix s'avanca alors vers le lieux de tout les attirances... Quelle ne fut pas sa surprise, en tombant sur un paysage si admirable... La nouvelle attraction de la vente etait une jeune femme au visage d'ange... Elle etait posé comme un objet, au milieu de cette estrade, a la vue de touts les pervers du coin. Son corps, etait subliment a en imaginer sous son Kimono bien courts. Le tatouage aussi est merveilleux, et tout en la regardant, Yoko commence a doucement se sentir attirer par ce poisson de mer...
Elle reflechit un court instant, mais la folie l'emporte sur la raison...
Elle s'avance, bousculant les spectateur sans attention, pour se glisser enfin prés de l'ecritaux. Elle consulte le prix... Certes elle etait rélativement chére, tout comme Yui, mais elle valait bien ce prix la, ne serait ce que pour son physique admirable. Souriante, elle croise un bref instant le regard de sa future esclave, mais se dépéche de rejoindre son propriétaire, a la seule et unique fin de regler le montant. L'homme au sourire vicieux, prend le sac d'or, et sans attendre, il detache la belle de ses chaines, le tendant vers Yoko, qui lui fait un signe de négation.
"Inutile, j'ai ce qu'il faut a la maison"
Avec douceur, et fierté, elle se tourne vers celle qui est desormais son jouet, son tout nouveau jouet, qui viendrai completer le tableau superbe avec Yui...
"Je suis ta nouvelle maitresse. Yoko Hitashi. Souds mon service, il n'y a q'une régle d'or. Combler mes demandes, n'importe lesquelles, n'importe quant. Si tu fais bien cela, tu aura une vie tranquille auprés de moi. Tu as tout compris? Si oui nous y alons...
Invité
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Et elle attendait. Regardant chaque visage, scrutant chaque personne ici présente. Cherchant de ses prunelles grises celle qui pouvait s'avérer être sa future maîtresse. Elle en voulait une belle pensait-elle, une perverse aussi pour répondre aux attentes de la jeune femme. Mais pas trop peut-être, elle aurait peur de perdre sa virginité trop vite... Rapidement une foule compacte s'amassa devant son estrade. L'esclave regarda à droite un Ainoko oiseaux qui pleurait, un regard à gauche un neko tout roulé en boule sur lui même, semblant abattu. Non, c'était bien pour elle que toutes ces personnes s'amassaient là. Elles devaient trouver étrange qu'une jeune fille reste aussi fière et s'expose ainsi. Cela devait être rares les esclaves aimant leur statu plus que tout. Car oui, Hoshi aimait servir, être dominée... Un homme, sans argent cela se voyait, la siffla pour qu'elle le regarde. Quand elle daigna poser sur lui son attention, celui-ci fit une grotesque imitation d'un poisson en bocal. De fureur, ses ongles devinrent noir et elle eut une longue inspiration qui fit apparaitre de chaque côté de son cou ses branchies, habituellement invisible car fondues dans sa peau. Mais elle ne l'effraya pas pour autant, il ne fit que rire encore. Alors elle se détourna de lui, toujours colérique, mais faisant disparaitre ces rayures de sa peau.
C'est là qu'elle remarqua qu'une personne jouait des coudes, mêlant discorde dans la foule. La suivant discrètement des yeux elle la vit s'approcher de sa pancarte et elle en profita pour la détailler. Une jeune femme, fleur de son âge. Belle, et qui semblait fièrement intouchable. Leur regard se croisèrent. Et quel regard, flamboyant comme un feu. Ce qui était étrange, car elle, être de l'eau ne pouvait être appréciée par un amie du feu... Mais pourtant, cette femme était magnifique à ses yeux. Hoshi sentit alors qu'on tirait sur ses chaines, ce qui l'a fit se lever. Le gros vendeur tendait le bout de ce qui la retenait prisonnière. Mais qui il la prenait? Il croyait qu'elle allait s'enfuir ou quoi? Ou alors c'était juste pour l'humilier. Dans cet état d'esprit, ses ongles restèrent noirs. Après un refus catégorique de ce qui semblait être une acheteuse, il détacha enfin le poisson qui passa ses mains sur ses poignets. Relevant la tête en entendant qu'on lui parlait.
Alors c'était sa nouvelle maîtresse, sa première en fait. Hoshi mit en œuvre ce que sa famille lui avait apprit et s'inclina face à celle à qui elle appartenait.
"Oui, Maîtresse."
Elle se redressa. Ne donnant pas son nom, car celui-ci n'avait pas était demandé. Mais avant de regarder la jeune femme, elle se tourna vers l'homme toujours près d'elle. Racla sa gorge d'une manière très grossière et cracha sur les pieds sales et nus du vendeur, à la façon dont certain poisson recrache l'eau sale qu'ils ont ingurgités. Ses parents lui avaient bien interdit de cracher, car ce n'était pas du tout les manières d'une fille. Mais elle s'en fichait royalement. Elle regarda alors sa Maitresse d'une façon profonde, et désireuse à la fois de ce corps si beau. Tandis que le vendeur râlait... Elle fit un pas pour s'approcher, de sorte à suivre la jeune femme, si elle partait.
C'est là qu'elle remarqua qu'une personne jouait des coudes, mêlant discorde dans la foule. La suivant discrètement des yeux elle la vit s'approcher de sa pancarte et elle en profita pour la détailler. Une jeune femme, fleur de son âge. Belle, et qui semblait fièrement intouchable. Leur regard se croisèrent. Et quel regard, flamboyant comme un feu. Ce qui était étrange, car elle, être de l'eau ne pouvait être appréciée par un amie du feu... Mais pourtant, cette femme était magnifique à ses yeux. Hoshi sentit alors qu'on tirait sur ses chaines, ce qui l'a fit se lever. Le gros vendeur tendait le bout de ce qui la retenait prisonnière. Mais qui il la prenait? Il croyait qu'elle allait s'enfuir ou quoi? Ou alors c'était juste pour l'humilier. Dans cet état d'esprit, ses ongles restèrent noirs. Après un refus catégorique de ce qui semblait être une acheteuse, il détacha enfin le poisson qui passa ses mains sur ses poignets. Relevant la tête en entendant qu'on lui parlait.
Alors c'était sa nouvelle maîtresse, sa première en fait. Hoshi mit en œuvre ce que sa famille lui avait apprit et s'inclina face à celle à qui elle appartenait.
"Oui, Maîtresse."
Elle se redressa. Ne donnant pas son nom, car celui-ci n'avait pas était demandé. Mais avant de regarder la jeune femme, elle se tourna vers l'homme toujours près d'elle. Racla sa gorge d'une manière très grossière et cracha sur les pieds sales et nus du vendeur, à la façon dont certain poisson recrache l'eau sale qu'ils ont ingurgités. Ses parents lui avaient bien interdit de cracher, car ce n'était pas du tout les manières d'une fille. Mais elle s'en fichait royalement. Elle regarda alors sa Maitresse d'une façon profonde, et désireuse à la fois de ce corps si beau. Tandis que le vendeur râlait... Elle fit un pas pour s'approcher, de sorte à suivre la jeune femme, si elle partait.
Invité
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Le regard flambloyant de la maitresse resta un long moment suspendut a celui de sa nouvelle esclave. Elle avait une certaine classe, une prestance a toute epreuve, et sans aucuns doutes aurait elle fait partie de l'élite sociale des Ainokos si elle etait née libre. Mais le destin en avait décidé autrement, si bien que la Phoenix avait la chance d'aquerir une nouvelle soumise incroyablement belle, et attirante. Un mince sourire quant elle entend la jeune esclave la nommer immediatement "Maitresse".. Une qui avait reçu de l'education, voila qui etait rare, et d'autant plus precieux. Aprés un bref instant, Yoko jette un petit coup d'oeil au panneau... Hoshi, Yokkyuu Hoshi etait son nom. Croisée avec un.. Poisson? Drole la destinée tout de méme...
Un oiseau de feu, qui allait terminer, du moins, elle l'esperait, sa vie avec un animal marin.
Cela tira un long sourire a la maitresse, qui etait en quéte de nouveauté ces derniers temps. Hoshi tombait donc a pic, méme si pour l'heure, elle n'avait rien prouvé d'extraordinaire.
Il fallait lui laisser le temps, mais avant cela, la sortir de ce nid de guépes qu'etait le marchés aux esclaves. Deja des dizaines de Baudauts s'approchaient dangereusement d'elles, comme pour pouvoir toucher l'esclave, maintenant qu'elle n'etait plus protégé des fusils des marchands. Mais c'etait ml connaitre le pouvoir de la nouvelle propriétaire de cette beauté. Levant la main, les hommes sentirent doucement leurs cheveux et poils, se consumer lentement... Elle ne les laisserait pas approcher d'un pas de plus de sa nouvelle soumise, son jouet devait arriver entiére au manoire.
La regardant un instant, elle finit par lui indiquer la place du marché, tout en la tirant par la main vers l'extérieur de cette place forte en testostéronnes...
"Finit ta vie labas, desormais, je suis ton seul et unique repére..."
Elle lui adresse un legers sourire, tout en continuant la route vers le manoire... Elle se demandait bien comment allait accueillir Yui, la nouvelles venue. Surement bien, elle aurait au moins une "amie" avec qui papoter en cas d'absence reguliére de la maitresse. Tout en marchant, elle lancait des regard des plus inpropable a son esclave.. Elle devait, comme avec Yui, la tester, voir si elle avait le méme potentiel charnels que sa premiére soumise, ce qui allait étre trés dur...
"Allons, je t'améne a la maison, tu pourra ainsi decouvrir ta nouvelle demeure."
Un oiseau de feu, qui allait terminer, du moins, elle l'esperait, sa vie avec un animal marin.
Cela tira un long sourire a la maitresse, qui etait en quéte de nouveauté ces derniers temps. Hoshi tombait donc a pic, méme si pour l'heure, elle n'avait rien prouvé d'extraordinaire.
Il fallait lui laisser le temps, mais avant cela, la sortir de ce nid de guépes qu'etait le marchés aux esclaves. Deja des dizaines de Baudauts s'approchaient dangereusement d'elles, comme pour pouvoir toucher l'esclave, maintenant qu'elle n'etait plus protégé des fusils des marchands. Mais c'etait ml connaitre le pouvoir de la nouvelle propriétaire de cette beauté. Levant la main, les hommes sentirent doucement leurs cheveux et poils, se consumer lentement... Elle ne les laisserait pas approcher d'un pas de plus de sa nouvelle soumise, son jouet devait arriver entiére au manoire.
La regardant un instant, elle finit par lui indiquer la place du marché, tout en la tirant par la main vers l'extérieur de cette place forte en testostéronnes...
"Finit ta vie labas, desormais, je suis ton seul et unique repére..."
Elle lui adresse un legers sourire, tout en continuant la route vers le manoire... Elle se demandait bien comment allait accueillir Yui, la nouvelles venue. Surement bien, elle aurait au moins une "amie" avec qui papoter en cas d'absence reguliére de la maitresse. Tout en marchant, elle lancait des regard des plus inpropable a son esclave.. Elle devait, comme avec Yui, la tester, voir si elle avait le méme potentiel charnels que sa premiére soumise, ce qui allait étre trés dur...
"Allons, je t'améne a la maison, tu pourra ainsi decouvrir ta nouvelle demeure."
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Elles restèrent là un moment. Certainement à se jauger l'une l'autre. Et puis il y eu des mouvements de foules. Mais le poisson ne s'en occupait guère. Elle s'imaginait déjà dans un salon à servir sa maitresse... Ou même à satisfaire sa maitresse d'une façon plus intime, plus audacieuse, plus.. Zut! Voilà que ses joues rosissent. Elle n'en peut plus de ses réflex de vierge effarouchée. Il fallait qu'elle fasse attention à son secret... Elle fit mine d'avoir chaud, elle dont les gênes aiment la fraicheur. Et d'une main s'éventa légèrement. C'est alors que Yoko regarda le peuple, levant une main. Et une odeur de brûlé atteint les narines de l'esclave qui plissa le nez de mécontentement. Elle ne savait pas exactement ce qui se passait, mais elle était sur que c'était elle la responsable. Et Hoshi la fixait avec une attention son relâche. Comme si elle désirait tout savoir d'elle. Sa main fut saisit, la sienne, celle du poisson était froide comparé à celle de cette beauté. Froide, car Hoshi est l'amie de l'eau, de la fraicheur. Toute rage disparut de son esprit, et tandis qu'elle marchait d'un pas rapide derrière celle qui venait de l'acheter, ses ongles prirent une teinte rouge. Oui, elle désirait cette femme, elle l'attirait. Mais, même si elle était vierge de tout contact, elle avait déjà procuré plaisir à des femmes. Elle connaissait le désir, et celui-ci naissant au creux de son ventre. Petit et chaud, et qui n'allait pas tarder à gonfler pour exploser.
Elle se faisait tirer, alors bras tendu elle marchait au rythme de sa maitresse. Ses pieds nus marchant souplement sur les dalles, sautillant même comme un poisson qui frétille. Finis sa vie? Elle n'avait pas était bien longue. mais elle était heureuse de devoir obéir à cette splendeur. Elle la suivait, ne décrochant pas ses yeux du postérieur offert à elle et qui se dandinait devant ses yeux. Elle aurait voulut se jeter dessus mais se retenir. Quand sa maitresse lui parla une seconde fois lui adressant un sourire Hoshi releva la tête sans discrétion. Prouvant bien qu'elle était en train de la reluquer. Elle répondit à son sourire, et hocha la tête.
"Bien maîtresse. Je suis toute à vous..."
La jeune fille la suivait, direction son nouveau chez soit, sa nouvelle famille. Sa nouvelle vie.
Elle se faisait tirer, alors bras tendu elle marchait au rythme de sa maitresse. Ses pieds nus marchant souplement sur les dalles, sautillant même comme un poisson qui frétille. Finis sa vie? Elle n'avait pas était bien longue. mais elle était heureuse de devoir obéir à cette splendeur. Elle la suivait, ne décrochant pas ses yeux du postérieur offert à elle et qui se dandinait devant ses yeux. Elle aurait voulut se jeter dessus mais se retenir. Quand sa maitresse lui parla une seconde fois lui adressant un sourire Hoshi releva la tête sans discrétion. Prouvant bien qu'elle était en train de la reluquer. Elle répondit à son sourire, et hocha la tête.
"Bien maîtresse. Je suis toute à vous..."
La jeune fille la suivait, direction son nouveau chez soit, sa nouvelle famille. Sa nouvelle vie.
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