Bon séjour sur Saol Eile

Jamais au grand jamais elle n'aurait pensé en arriver là. Si on lui avait annoncé un jour qu'elle croupirait dans cet endroit sombre et glauque, elle aurait rit aux larmes ! Littéralement...
Mais le fait est qu'elle y était. Hier encre elle était exceptionnelle, avait une place de choix là où elle vivait. Malgré sa situation elle s'en sortait parfaitement bien. Et maintenant ? On l'avait acheté et amenée sur cette ile de malheur !
Elle en avait à peine entendu parler, elle n'avait entendue que des rumeurs sur ce qui s'y passait. Les histoires d'esclaves et d'hybride, elle n'en avait rien à faire, du moment que tout cela était loin d'elle, mais alors très très loin...

Sauf que dans l'immédiate elle ne pouvait pas en être plus près. Elle se souvenait que peu après être arrivée sur l'ile on l'avait enchainée ( première disgrâce pour elle ) puis trainé jusqu'à un lieu miteux. Elle devinait où elle était arrivée, elle n'était pas bête. Mais tout de même, passer d'hôtesse favorite à esclave moins que rien, c'était un peu brutal comme transition quand même.
Ainsi elle en était maintenant à croupir dans une toute petite cage, elle avait juste la place pour se coucher, replié sur elle.
Bien sure elle n'était pas la seule dans ce cas, tout autour d'elle gisaient d'autres esclaves, certains étaient humains, d'autres avaient des oreilles de chats, des queues ou d'autres parties animales. C'était la première fois qu'elle voyait des hybrides....

Elle s'ennuyait tellement qu'elle détaillait en boucle sa cage, petite, miteuse. Le sol avait de la rouille ça et là, le plafond commençait à un peu moisir dans les recoins tout comme les barreaux a chacun des bouts. Les barreaux étaient si fins qu'elle se disait qu'avec un peu plu de force elle pourrait les tordre pour s'échapper. Mais ils y en avait trop et ils étaient trop rapprochés pour qu'elle ait une chance de se créer une ouverture.

Ainsi sa seule chance serait d'être acheté, ainsi la porte lui serait gentiment ouverte. Et puis en y réfléchissant bien, esclave n'était pas si différent d'hôtesse. Elle n'aurait qu'à charmer et faire comme d'habitude avec la personne qui l'achètera, de cette maniéré elle se fera bien voir et retrouva une situation confortable comme elle les aimait.
Le Japon ne lui manquerait pas vraiment, qu'y avait elle ? Rien. Elle n'était jamais sortie de sa ville, elle regardait peu la télé. Recluse dans sa maison close elle en connaissait peu sur le monde. Sa famille ? Elle n'en avait pas, enfin pas vraiment puisqu'elle détestait sa mère et son père, que la seule figure maternelle la voyait comme une création, un jouet.
Elle pouvait retourner ça dans tout les sens, le résultat serait inexorablement le même : elle obtiendrait beaucoup plus en restant ici.

Il ne lui restait plus qu'à tirer son épingle du jeu, à être acheté par quelqu'un de pas trop tordu pour l'endroit, et à faire honneur son enseignement en se montrant véritablement parfaite en tout point. Elle allait surement devoir s'asseoir sur certaines de ses convictions, mais si ça valait la peine pourquoi pas. Elle pourrait tirer beaucoup de sa nouvelle situation. Au lieu de décrypter en long en large et en travers sa prison, elle pensait maintenant à ce qu'elle ferait une fois dehors.
[i]

Une nouvelle journée, une nouvelle folie de la part de la chef des Hikari. Aujourd'hui, 3me mardi du mois, un nouvel étalage d'esclave était arrivé, elle savait quand les esclaves de contrebande, ceux qu'on envoyait illegalement depuis l'ile sans passer par l'état, eux n'étaient pas des tribut de l'état, non, ils étaient des achats direct des Ankoku sur le continent. Ces traficants avaient pas mal a offrir en échange de viande fraiche. C'est donc de son traditionel dos nue blanc découvrant son dos, étonnant, sans imperfection et avec de grandes ailes de papillons se teintant magnifiquement avec le soleil et ses humeurs, rouge sulfureuse, noire de mauvaise humeur, tout est une question de dominance de couleur.

C'est donc sur les hauteurs de la ville que la jeune femme de 42 ans s'envola avec une legereté étonante, comme une plume. Ses batements étaient gracieux, tout dans sa démarche étaient fait pour attirer l'oeil et séduire. Sa maniere de marcher, de se tenir et meme de voler était faite pour plaire. A vol d'oideau, ce n'était pas loin. En une poignet de minute, la jeune femme se retrouva devant un hangar desafecté pour la saison. 3 coups sur la porte et un teaureau lui ouvrit en s'inclinant.

Bienvenu mademoiselle, nous vous attendions, comme vous le désiriez, un arrivage frai et que personne n'a touché avant vous.

Par personne n'a toucher, l'hybride voulait dire qu'il n'y avait aucune autre personne sur l'ile a part les traficats qui avaient vue ces personnes, autrement dit a part en ces murs, ils n'existaient pas. Un bruit résona dans le lieux sombre, la porte se referma sur les pas de la jeune femme, elle avancait sans probleme, faisant claquer ses talons a chaque pas. Elle était sure d'elle.

Un son électrique résona a chaque néon avant de les allumer les uns apres les autres, dévoilant le visage des esclaves clandestins, tous de bon choix...Indégnablement, ils avaient choisi les meilleur morceau, payé d'avance par la chef de clan. Son regard s'attarda sur une vue des plus...esotique. Une blonde aux yeux bleu! une femme qui n'est pas vraiment typique des humains importé sur l'ile

Je vais prendre cette fille! Celle qui a les cheveux doré, elle me plait bien.

Le teaureau aquiessa, il ne venait pas ici pour rigoler, son arme a la ceinture mettait en garde de toute entourloupe. Il ouvrit la porte de la cage et se saisie de la jeune femme avant de la sortir sans douceur mais sans violence execive. Une fois hors de la cage, elle fut laché et ses chaines lié dans son dos puis raccordé a un anneau a son collier, derriere sa nuque. La jeune papillon fit le tour de son esclave,elle était attirante, c'est une bonne chose, mais avait elle plus que des formes avantageuses? Elle serait vite fixé. Elle attrapa la chaine pendant a son collier et la tira contre ses levres, elle lui glissa un doux baiser sucré. Sans attendre sa réponse elle la relacha, elle était pas plus grande qu'elle, c'était bien ca donnerais une impression de ne pas etre trop petite face a ses esclaves. En effet l'insecte n'était pas tres grande, mais gracieuse a ne plus savoir qu'en faire.

Elle a bon gout, je vous la prend.

Sans plus attendre l'approbation de l'Ankoku, elle attrapa la chaine et tira avec douceur son esclave vers l'air libre en batant des aile avec nonchalance.

Combien de temps encore devrait elle rester dans ce lieu ? Elle commençait vraiment à en avoir assez. De deux choses l'une, elle s'ennuyait vraiment. Dans la maison close elle avait toujours de quoi s'occuper, en observant par exemple les autres et ainsi en apprenant ce qui etait bien et ce qui etait mal comme action, elle se perfectionnait. Et de l'autre, cet endroit etait vraiment glauque dans le genre, il lui fichait un peu la trouille. Dans tous les cas, elle etait bien mal barrée et avait hâte de s'en aller.

D'ailler elle entendit bientôt de gros pas irrégulier frapper le sol. L'inconnu devait être massif car sa cage vibrait un peu plus a chaque nouveau claquement contre le sol. Elle appercut alors son détenteur, et qu'elle ne fut pas sa surprise. Une sorte d'hybride taureau énorme ! Mais vraiment imposant et qui forçait le respect. Elle en eut du mal à déglutir.

*Ça rigole pas ici dis donc..je veux m'en aller !!!*

Elle sursauta un peu en entendant alors des coups frappés contre la porte du lieu. Pas qu'elle était peureuse, loin de là. Mais elle n'avait pas du tout l'habitude de ce genre de situation et plus elle était loin de tout problème mieux elle s'en portait ! Alors elle apprécierait vraiment que ce cauchemar se finisse.
La situation empira quand elle entendit peu à peu résonner à ses oreilles un bruit distinct. Ça n'étaient les gros pas lourds du jolier, mais le claquement discret de talons contre le sol.
Quelqu'un avançait assurément, et tous les autres esclaves l'avaient devinés. Ils étaient cramponnés aux barreau de leur cage, tentant d'apercevoir le visage du nouveau visiteur.

Et progressivement les néons s'allumèrent. Un par un, mètre par mètre le lieu s'illumina comme si il prenait vie. Mais la vie qu'ils révélaient n'étaient pas glorieuse, des tonnes de cages alignées, avec de pauvre esclaves détenu, misérables par ce à quoi ils étaient réduit. Un triste tableau et bientôt elle put discerner la seule tache dans cette œuvre sinistre. Ça n'était autre que le nouveau visiteur, une femme qui paraissait immaculée de lumière, avec des ailes toutes aussi blanche à son dos. L'image d'un ange lui vint à l'esprit, d'où le paradoxe de la situation.

Elle échangea quelques mots avec le taureau, ils semblaient être en relation. Elle en conclut qu'elle venait pour faire son shopping personnel. Et c'est à ce moment que sa bonne fortune s'en mêla. Surement que ses cheveux eurent un effet sur la suite car apparemment c'était elle qui était demandé. Elle n'en fut pas surprise n'y outrés, loin de là, elle voyait se profiler à l'horizon un meilleur avenir.

*C'est à moi d'entrer en scène maintenant. *

Elle se laissa faire par le taureau qui fut un peu brusque avec elle, la tirant hors de sa cage, toujours enchainée injustement, ce qui ne lui plaisait pas vraiment.

*Tout doux ho ! *

Elle s'inclina respectueusement devant la femme qui voulait l'acheter, autant faire preuve de courtoisie maintenant.

« Mademoiselle. »

Elle ne fit pas attention à ce regard inquisiteur sur elle, elle laissa au contraire tranquillement l'inconnu la regarder et tira la langue au jolier qui faisait une drôle de tête, reprenant tout de suite après une pose sérieuse. De toute façon elle en eut tout juste le temps, a peine cette femme avait elle finit son inspection qu'elle l'embrassa ! Plutôt étonnant pour un accueil mais pourquoi pas. Et cette surprise se finit aussi vite qu'elle avait commencé. Et tout aussi rapidement elle fut acheté et tiré hors du hangar par sa nouvelle maitresse. Toute contente elle fit un signe d'adieu au taureau en lui tirant de nouveau la langue.

La jeune femme restait digne, elle n'avait rien dit contre le baiser. Tant mieux, elle fesait bien de s'y faire car elle avait pour seul but dans sa vie de répondre a ses baisers. Maintenant que l'accord était passé, elle lui appartenait, de corps et d'ame, elle pouvait la tuer dans la seconde c'était son droit le plus strict, mais ce serait stipide. Elle la tira avec douceur par cette chaine qui pendait de son cou et qui maintenant ses mains dans des liens de cuir attaché dans son dos. Son mouvement de doigt sur la chaine lorsqu'elle tira était pour n'importe qui savament calculer pour donner un air aguicheur et tres séducteur, mais elle le faisait le plus naturellement du monde, son mouvement était sensuel comme sa démarche. Tout un art qui était devenu une seconde peau pour cet insecte pervers.

Elles sortirent au grand jour, la maitresse étira ses grandes ailes et les fit battre dans les aires, elle pouvait rentrer chez elle sans la moindre gene en portant son aquisition, mais chaque chose en son temps. Il devait y avoir un endroit ou les Ankok essayaient les clandestins...ca ferait l'affaire pour lui montrer son futur travail, a moins qu'elle n'aille directement chez elle....Un serieux dileme se posa dans la tete de la jeune femme, l'enmener, ceder a l'appel de ses levres dont elle s'est délecté? Vraiment dur.

Je pense que je peux te retirer tout ca.

Avec grace et aisance seductrice, elle posa sa main sur l'épaule de son exclave, l'insirant a la suivre dur regard, ondulant sensiblement sa croupe pour la rendre encore plus entrainante. Une fois derriere elle, elle eut un leger rire, il était doux et entrainant. Les mains de la belle papillon descendirent sur les bras en les caressant doucelent alors qu'elle détachait les attaches de cuir de la chaine, mais laissait le crochait de métal et son receptacle sur le poignet, cette femme était perverse, elle avait laissé ses mains porter ces ustensiles pour l'attacher a nouveau apres, dans une position a l'avantage de Yun. Ensuite elle détacha la chaine de son collier et la laissa tomber au sol dans un grondement sourd de metal entrechoqué. Elle quitait ses chaines pour avoir droir a des chaines de chair, les bras de la jeune maitresse l'enserairent avant que sa bouche fine ne l'embrasse dans le cou

Tu sais pourquoi tu es ici et quel est le but d'un esclave clandestin j'immagine.

Elle ne passait pas par quatres chemins, les esclaves passé en contrebande étaient tous des pur selon les criteres du marché, vierge de toute maladie, endurant et sans maitre avant leur arrivé, des vierges farouches de l'esclavage destiné a finir en jouet sexuel. Et quel jouet, ses formes étaient rebondi et attirante, ses cheveux sentaient le propre et son corps n'était qu'un appel de caresse. Vraiment, elle se demandait si elle devait attendre pour l'essayer, pas en entier, juste un bout d'essaie...

Une fois sorti dehors et exposée au soleil, Setsuna dut se couvrir les yeux. Car même si il n'était pas vraiment fort, que ses rayons n'étaient pas extrêmement éblouissant, après ce temps passé dans sa cage, en plein noir et privé du jour....Autant dire que ça lui faisait un certain changement.
Mais elle s'habitua vite au soleil de nouveau et quand ses yeux s'adaptèrent elle put alors mieux voir pour la première fois les reliefs de l'ile où elle allait maintenant vivre.
Puis son regard se posa sur les ailes de sa maitresse. Autant dire qu'elle n'avait jamais rien vue de tel ! C'était complètement nouveau pour elle.

Bientôt elle put enfin être libre de ses chaines qui étaient un poids désagréable pour elle. Le cuir ne lui déplaisait pas, mais il commençait a trop serrer ses poignets. Lorsque après elle sentit le touché de sa maitresse sur son épaule, elle la fixa du regard. Elle voulait profiter du moment pour analyser cette personne et la cataloguer dans une catégorie, essayant ainsi de cerner sa personnalité.
Elle la regarda de haut en bas, surtout en bas, alors qu'elle se dirigeait dans son dos. Apparemment elle prenait un malin plaisir à la chauffer en riant légèrement et en lui caressant les bras pour aller les libérer. Elle nota aussi qu'elle avait laissé sur ses poignets de quoi l'attacher plus tard, chose intéressante. Puis vint le tour de la chaine qui pendait a son cou et qui l'empêchait de bien se maintenir. Elle poussa un soupir de soulagement en se sentant afin plus légère s'en tout se fer.

*Il était temps.*

Elle fut tout de suite plus à l'aise après, avec ces bras autour d'elle. Il fallait dire que c'était plus son élément, son quotidien et que donc elle savait y faire. Elle savait en tout cas mieux y faire qu'avec des chaines dans une cage. Franchement !
Elle ne résista donc pas aux lèvres dans son cou, elle se contenta de basculer légèrement la tête sur le coté pour lui laisser libre accès tout en silence. La sensation lui était si commune qui le geste était presque devenu mécanique. Du cou elle n'eut pas besoins de réfléchir à sa réponse.

« J'ai tout a fait conscience du pourquoi du comment, de plus ça sera un vrai plaisir de vous servir, maitresse. »

C'était surement le seul terme auquel elle devrait s'habituer, le plus souvent elle côtoyait des mademoiselle ou des madames pour celles qui étaient marié. Mais elle s'y habituera s'en problème puisqu'ici c'est la coutume, puisque c'est ainsi qu'elle tirera un gros bénéfices.

« Néanmoins, on achète pas une voiture de sport s'en l'essayer, n'est ce pas ? »

Elle parla très calmement s'en changements dans l'intonation de sa voix. Elle se méfiait un peu que cette femme n'aille pas plus loin pour cerner un peu comment elle était. De ce fait elle ne pouvait pas se servir de son enseignement et c'était la première impression la plus importante. Attendre pour plus tard ne pouvait que lui porter préjudice.

La papillon batti des ailes quand elle lui dit qu'elle savait que maintenant elle serait son jouet sexuel et qu'elle ne vivrait que pour les désirs de sa maitresse. Oui, c'était une esclave de choix, exotique et en plus elle aimait le sexe, pas qu'un peut a premiere vue. Elle écorcha maitresse, normal, c'était une continentale, elle ne savait pas dire maitre ou maitresse en parlant a un autre etre, mais ce n'est vraiment pas la gene, au contraire, beaucoup de soumises ne savent pas dire autre chose que le statut social de leur interlocuteur. Elle fit une magnifique métaphore, la papillon en avait les ailes rougoiante de désir.. Alors comme ca, la voiture veux faire du sport? Trouvons un circuit.

C'est vrai, mais pour essayer une voiture de sport de cette qualité, on ne prend pas une route de campagne, et ya pas vraiment de circuit dans le coin....

La jene femme continuait de caresser les courbes de son esclave, se collant un peut plus a elle pour la maser de sa poitrine avec désir. Si elle ne pouvait pas essayer son esclave, Yun montrait clairement son envie de trouver une piste a son niveau. Le choix fut vite fait, elles iraient directement chez elle, par les airs.

A contre coeur, elle lacha son esclave por se remettre devant elle, le rouge aux joues, allez savoir pourquoi, en tout cas, ajouté a sa démarche gracieuse, cela la rendait encore plus attirante. La maitresse papillon se mis a genoux devant la jeune femme et releva sa jupe. Ecartant son string d'un geste agile, elle passa ses doigts sur la fente de son intimité, elle était appetissante, appelant sa langue et le bout de ses doigts comme un aimant. La Hikari posa un tendre baiser sur ces levres là avant de se relever et de regarder sans ciller son nouveau jouet.

Tu a un moteur rarissime, on a passé le rodage, on va aller t'essayer tout de suite....Et oublie les maitresse avec moi, Yun suffira amplement....

Sur ces derniers mots, elle pris la jeune femme dont elle ne connaissait pas le nom dans ses bras, la faisant passer ses bras autour de son cou et la souleva avec cette force si etrange que possedent les hybrides. Un tendre sourire accompagné d'un doux baiser et les 2 femmes s'envolerent au son de l'air battu par ses magnifiques ailes pourpre de désir. Le vol fut de courte duré, elles allerent dans un lieu qu'lle aimait particulierement, le toit de la deumeure, ses appartemens. C'était le dernier étage, presque entierement en plein air, comme elle aimait, les murs étaient fait de vitre, comme pour donner l'impression d'etre continuelement dehors...Conduisant la belle blonde sur le lit, elle la poussa dessus et vint s'agenouiller sur elle et l'embrassa en dégraphant sa propre robe.

Montre moi ce que tu sais faire

(post directement au derniere étage de la deumeure des Hikari)

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