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Ca va bien faire 3 ans que les maitres des parents de Marcus ne supportent plus le jeune homme, il devient trop fort en caractère pour plier au moindre caprice, évidemment, il n'avait plus aucune peur des blessures corporelles, si ils l'avaient pas pris a rebrousse poil , ils auraient pue le rendre parfaitement soumis et docile, mais au lieu de ca, ils ont formé un être versatile, gentil par devant et profondément violent par derrière. Il n'obéissait que pour servir ses intérêts qui étaient de protéger ses parents, plus son propre corps comme durant don enfance. Mais, passons, excédé et mécontent de leur esclave gratuit, les maitres le mirent en vente.
Il se retrouva sur cette place, perdu, des centaines d'anciens sdf japonais étaient envoyé ici tout les ans, ils les prenaient vraiment pour des buses, ils envoyaient en esclavage les rébus de la société, violeurs, condamné a perpétuité pour crime de sang, et complétaient par les sans abris qui ne manqueraient a personne.
Donc, Marcus attirait les regards, il était exotique et son odeur n'était pas semblable a un dépotoir. Il n'était retenu que par des menottes en fer forgé et un piquet de maintien pour qu'il ne puisse pas fuir menottes aux poignets. Il restait fier, son orgueil le rendait particulièrement glacial quand on venait le voir pour l'acquérir. La plupart du temps on se demandait si c'était pas lui la bête, son expression était insondable et son regard faisait plier les demi bêtes. Il était fier de cette capacité a faire taire en un regard, comme un grondement de loup. En parlant de loup, un jeune lycaon, si on peut dire, était venu pour tenter de l'acquérir, mais le visage de l'esclave le fit réfléchir a deux fois et son regard déclencha un grognement inquiet qui dévoila les crocs de son acheteur potentiel avant de tourner les talons.
Aucun respects pour eux, aucune peur, rien ne le retenait d'être sage. Rien a part ses chaines, il avait enfoui la rébellion dans son corps en même temps que les coups qu'il subissait et plus tard sa mère a sa place. Voila son vrai visage. Soutenant le regard de ses maitres sans la moindre peur. Si il était l'un des leurs, il serait probablement a demi faucon, son oeil percant était son arme, ses muscles son bouclier. Qui voudra de lui?
Il se retrouva sur cette place, perdu, des centaines d'anciens sdf japonais étaient envoyé ici tout les ans, ils les prenaient vraiment pour des buses, ils envoyaient en esclavage les rébus de la société, violeurs, condamné a perpétuité pour crime de sang, et complétaient par les sans abris qui ne manqueraient a personne.
Donc, Marcus attirait les regards, il était exotique et son odeur n'était pas semblable a un dépotoir. Il n'était retenu que par des menottes en fer forgé et un piquet de maintien pour qu'il ne puisse pas fuir menottes aux poignets. Il restait fier, son orgueil le rendait particulièrement glacial quand on venait le voir pour l'acquérir. La plupart du temps on se demandait si c'était pas lui la bête, son expression était insondable et son regard faisait plier les demi bêtes. Il était fier de cette capacité a faire taire en un regard, comme un grondement de loup. En parlant de loup, un jeune lycaon, si on peut dire, était venu pour tenter de l'acquérir, mais le visage de l'esclave le fit réfléchir a deux fois et son regard déclencha un grognement inquiet qui dévoila les crocs de son acheteur potentiel avant de tourner les talons.
Reviens quand elles auront poussé!
Aucun respects pour eux, aucune peur, rien ne le retenait d'être sage. Rien a part ses chaines, il avait enfoui la rébellion dans son corps en même temps que les coups qu'il subissait et plus tard sa mère a sa place. Voila son vrai visage. Soutenant le regard de ses maitres sans la moindre peur. Si il était l'un des leurs, il serait probablement a demi faucon, son oeil percant était son arme, ses muscles son bouclier. Qui voudra de lui?
Invité
Invité
Ennui, quand tu nous tiens. Pourquoi une telle remarque ? Car, actuellement, la jeune, belle, et noble Yatsuki Rei s'ennuyait ferme. Depuis quelque temps, les jouets intéressants se faisaient rares, et cela commençait sérieusement à l'ennuyer. Se lassant de la loque humain de la veille, elle l'avait malencontreusement mordu alors que ses crocs étaient injectés de poison, elle quitta la chambre de son ancien esclave. Un soupire à fendre l'âme se fit entendre, quand elle croisa enfin le majordome de la maison.
Cet homme était un Yatsuki, mais de race vipère et non tricot-rayé. Il ne possède donc qu'un léger venin...Cependant, bien avant la guerre, il essaya de prendre la place de chef de la famille au Grand-Père de notre belle dame. Verdict ? On lui trancha les cordes vocales et on lui arracha ses crocs. A présent, il est le majordome de la famille, et n'est pas loin des 110 ans.
Enfin, Rei le croisa. Avec un regard lasse, elle lui fit signe d'aller s'occuper du corps et de nettoyer la pièce. Il ne manquerait plus que son cadavre empeste les lieux !
Une fois eut-elle rejoint son antre, sa bibliothèque, elle se prélassa dans son fauteuil, au soleil, tout en continuant une lecture abandonnée la veille. Mais voilà, l'ennui la tenaillait, il ne voulait en aucun cas la quitter et elle perdit son calme ! Les lieux sont trop ennuyeux ! Il lui faut de quoi passer le temps ! Pourquoi pas un nouveau jouet ? Oui, il est tant d'aller au marché s'acheter un spécimen un minimum intéressant.
Quittant les lieux de sa démarche altière, elle prévenu son majordome de rendre les lieux impeccable pour l'arrivée imminente d'un nouveau bien. Et oui, elle prend soin de ses esclaves, enfin, quand elle ne perd pas son sang-froid et ne se laisse pas aller à ses vices les plus redoutables.
Aller au marché en voiture ? Oui. C'est la moindre des logiques...un chauffeur la conduisit sur les lieux, lieux qu'elle appréciait et abhorrait à la fois. Elle aimait voir cette décadence et ces choses humanoïdes....mais elle n'aimait pas le côté sale et délaissé. Bon sang, on voit bien que le Maître du Marché est absent !
Alors que ses talons aiguilles noirs teintaient sur le sol, que son pantalon de cuir moulait admirablement ses formes, et que son corset -de la même matière et tout aussi sombre- laissé voir un décolleté plongeant, elle entendit une remarque amusante sur la droite.
Instinctivement, son regard se dirigea vers la source du bruit, et elle put voir un Ainoko de race canidé, à moins que ce ne soit lynx ? Bof, on s'en fout. Il montrai les crocs à un pauvre humain...hum, plutôt bien foutu l'humain !
Alors qu'elle s'apprêtait à rendre visite à ce charmant joujou, un vendeur l'interpella. Il l'avait reconnu : Hebi no Kajin, la Beauté du Serpent. Finalement, être connue de ce genre de milieux n'est pas toujours une bonne idée...surtout quand on en a marre des faux-culs et des lèches bottes ! Rah, mais il va se taire se demi-clebs ? Bon sang, c'est saoulant à la fin ! Un regard noir, les yeux de serpent activé, elle lui siffla froidement ces dires :
"As-tu bientôt terminé ton monologue ? Je me fous de tes jouets sans intérêts...dégage de mon chemin : sur le champs.
- Bi...Bien Yatsuki-sama."
Alors que cette chose baissait les oreilles et quittait l'espace vitale de notre damoiselle, la misstinguette se dirigea d'un pied ferme vers ce jeune homme à l'allure massive et au regard si froid.
Un autre ainoko fit alors son apparition à ses côtés. Tiens tiens, ce jeune homme serait donc à cet créature-ci ? Hum, il est étrange de voir un particulier vendre sa marchandise...sauf si c'est un cas difficile...
"Bien le Bonjour Miss.
- Trêve de bavardages, combien le vendez-vous ?
- Euh...il est à 1000 pièces...
- 1000 ? On ne vend pas un humain un pleine forme sans raison. Je vous l'achète à 500 pièces.
- Qui êtes-vous pour choisir...!
- Yatsuki Rei, et ce spécimen m'intéresse...quelque chose à redire le Rat ?"
Alors qu'elle prononçait les derniers mots, elle laissa voir ses crocs et ses yeux redevenaient ceux de tout bon serpent venimeux. Elle détestait les rongeurs, cela se comprend je suppose.
"Bie...Bien. Je, je vais vous chercher ses papiers."
Ne se souciant plus de l'espèce de chose qui partait en courant récupérer des papiers, sommes toutes, important, Rei se posta devant l'humain. Le regard froid de ce dernier fit apparaître un rictus sur son visage pâle, alors que ses yeux brillaient d'un éclat de malice et de ruse peu bénéfique. Oh que oui, elle allait s'amuser. D'un voix autoritaire, elle lui ordonna :
"Ton nom."
Cet homme était un Yatsuki, mais de race vipère et non tricot-rayé. Il ne possède donc qu'un léger venin...Cependant, bien avant la guerre, il essaya de prendre la place de chef de la famille au Grand-Père de notre belle dame. Verdict ? On lui trancha les cordes vocales et on lui arracha ses crocs. A présent, il est le majordome de la famille, et n'est pas loin des 110 ans.
Enfin, Rei le croisa. Avec un regard lasse, elle lui fit signe d'aller s'occuper du corps et de nettoyer la pièce. Il ne manquerait plus que son cadavre empeste les lieux !
Une fois eut-elle rejoint son antre, sa bibliothèque, elle se prélassa dans son fauteuil, au soleil, tout en continuant une lecture abandonnée la veille. Mais voilà, l'ennui la tenaillait, il ne voulait en aucun cas la quitter et elle perdit son calme ! Les lieux sont trop ennuyeux ! Il lui faut de quoi passer le temps ! Pourquoi pas un nouveau jouet ? Oui, il est tant d'aller au marché s'acheter un spécimen un minimum intéressant.
Quittant les lieux de sa démarche altière, elle prévenu son majordome de rendre les lieux impeccable pour l'arrivée imminente d'un nouveau bien. Et oui, elle prend soin de ses esclaves, enfin, quand elle ne perd pas son sang-froid et ne se laisse pas aller à ses vices les plus redoutables.
Aller au marché en voiture ? Oui. C'est la moindre des logiques...un chauffeur la conduisit sur les lieux, lieux qu'elle appréciait et abhorrait à la fois. Elle aimait voir cette décadence et ces choses humanoïdes....mais elle n'aimait pas le côté sale et délaissé. Bon sang, on voit bien que le Maître du Marché est absent !
Alors que ses talons aiguilles noirs teintaient sur le sol, que son pantalon de cuir moulait admirablement ses formes, et que son corset -de la même matière et tout aussi sombre- laissé voir un décolleté plongeant, elle entendit une remarque amusante sur la droite.
Instinctivement, son regard se dirigea vers la source du bruit, et elle put voir un Ainoko de race canidé, à moins que ce ne soit lynx ? Bof, on s'en fout. Il montrai les crocs à un pauvre humain...hum, plutôt bien foutu l'humain !
Alors qu'elle s'apprêtait à rendre visite à ce charmant joujou, un vendeur l'interpella. Il l'avait reconnu : Hebi no Kajin, la Beauté du Serpent. Finalement, être connue de ce genre de milieux n'est pas toujours une bonne idée...surtout quand on en a marre des faux-culs et des lèches bottes ! Rah, mais il va se taire se demi-clebs ? Bon sang, c'est saoulant à la fin ! Un regard noir, les yeux de serpent activé, elle lui siffla froidement ces dires :
"As-tu bientôt terminé ton monologue ? Je me fous de tes jouets sans intérêts...dégage de mon chemin : sur le champs.
- Bi...Bien Yatsuki-sama."
Alors que cette chose baissait les oreilles et quittait l'espace vitale de notre damoiselle, la misstinguette se dirigea d'un pied ferme vers ce jeune homme à l'allure massive et au regard si froid.
Un autre ainoko fit alors son apparition à ses côtés. Tiens tiens, ce jeune homme serait donc à cet créature-ci ? Hum, il est étrange de voir un particulier vendre sa marchandise...sauf si c'est un cas difficile...
"Bien le Bonjour Miss.
- Trêve de bavardages, combien le vendez-vous ?
- Euh...il est à 1000 pièces...
- 1000 ? On ne vend pas un humain un pleine forme sans raison. Je vous l'achète à 500 pièces.
- Qui êtes-vous pour choisir...!
- Yatsuki Rei, et ce spécimen m'intéresse...quelque chose à redire le Rat ?"
Alors qu'elle prononçait les derniers mots, elle laissa voir ses crocs et ses yeux redevenaient ceux de tout bon serpent venimeux. Elle détestait les rongeurs, cela se comprend je suppose.
"Bie...Bien. Je, je vais vous chercher ses papiers."
Ne se souciant plus de l'espèce de chose qui partait en courant récupérer des papiers, sommes toutes, important, Rei se posta devant l'humain. Le regard froid de ce dernier fit apparaître un rictus sur son visage pâle, alors que ses yeux brillaient d'un éclat de malice et de ruse peu bénéfique. Oh que oui, elle allait s'amuser. D'un voix autoritaire, elle lui ordonna :
"Ton nom."
Le petit toutou a sa maman parti la queue entre les jambes, un autre vint aborder un femme, mouais, il voulait sans doute la draguer. On a des endroits expres pour ca. Il faut dire que Marcus s'enmerdait comme un rat mort, ya pas de mauvais jeux de mots, il la regarda le rembaler en sifflant. On avait voulu lui apprendre le nom des familles reignantes de la cité, mais comme il n'en avait rien a foutre, il n'a jamais fait plus qu'hocher la tete. Mais cette femme semblait puissante, le parasite s'enfuit encore plus vite que celui qu'Akira avait chassé.
Elle se présenta devant le rat dont il était, involontairement, esclave de naissance et pouffa de rire quand il lui dit qu'il valait 1000 pieces. Il en valait bien plus, d'apres son orgueil, mais les mots de la femme en noir étaient assez sencé, on ne vend pas un esclave aussi bien portant que Marcus sans raison. Il n'était vendu qu'a cause de l'incapacité de ses maitres a le tenir au creux de leurs crocs. Elle reussi a l'avoir a moitié prix, il était plus que deçu devant la faiblaisse de son ancien patron. Elle lui demanda son nom, non, elle le lui ordona.
Bah, pour 500 pieces tu peux pas franchement esperer mieux que mon nom. Je m'appelle, Personne, comme ca quand je t'aurais éventrer tu ne pourra pas donner l'alerte.
Il voulait jouer un peut avec elle, il n'avait retenu qu'une chose de cette Rei, c'est qu'elle avait le meme regard que lui, celui qui fait monter un frisson de peur dans les reins puis le long de l'échine. Il n'avait pas peur d'elle, il était déjà mort a sa naissance.
Bon, tu m'as l'air d'une femme fatale habiller comme ca, je vais donc garder un sembant de serieuc, je me nomme Marcus, mon nom, je n'en ai pas, je veux pas porter celui de ce lache incapable de me vendre a ma vrai valeur. Toi c'est Rei, tu veux etre ma maitresse? Alors j'vais te faiire part de mes capacitées, je sais pas coudre, je sais pas cuisiner et je ne sais pas obeir. C'est plutot chiant quand on est humain sur cette ile
l'ancien maitre de Marcus revint, ils jetterent tout deux un regard noir a ce rat puant, il était tétanisé, peut etre a cause de Marcus qui lui en avait fait bavé pendant des lustres ou alors a cause de Rei, en meme temps dans la chaine alimantaire, il est dur son menu.
Tiens t'as de la papetrasse catwoman.
Elle se présenta devant le rat dont il était, involontairement, esclave de naissance et pouffa de rire quand il lui dit qu'il valait 1000 pieces. Il en valait bien plus, d'apres son orgueil, mais les mots de la femme en noir étaient assez sencé, on ne vend pas un esclave aussi bien portant que Marcus sans raison. Il n'était vendu qu'a cause de l'incapacité de ses maitres a le tenir au creux de leurs crocs. Elle reussi a l'avoir a moitié prix, il était plus que deçu devant la faiblaisse de son ancien patron. Elle lui demanda son nom, non, elle le lui ordona.
Bah, pour 500 pieces tu peux pas franchement esperer mieux que mon nom. Je m'appelle, Personne, comme ca quand je t'aurais éventrer tu ne pourra pas donner l'alerte.
Il voulait jouer un peut avec elle, il n'avait retenu qu'une chose de cette Rei, c'est qu'elle avait le meme regard que lui, celui qui fait monter un frisson de peur dans les reins puis le long de l'échine. Il n'avait pas peur d'elle, il était déjà mort a sa naissance.
Bon, tu m'as l'air d'une femme fatale habiller comme ca, je vais donc garder un sembant de serieuc, je me nomme Marcus, mon nom, je n'en ai pas, je veux pas porter celui de ce lache incapable de me vendre a ma vrai valeur. Toi c'est Rei, tu veux etre ma maitresse? Alors j'vais te faiire part de mes capacitées, je sais pas coudre, je sais pas cuisiner et je ne sais pas obeir. C'est plutot chiant quand on est humain sur cette ile
l'ancien maitre de Marcus revint, ils jetterent tout deux un regard noir a ce rat puant, il était tétanisé, peut etre a cause de Marcus qui lui en avait fait bavé pendant des lustres ou alors a cause de Rei, en meme temps dans la chaine alimantaire, il est dur son menu.
Tiens t'as de la papetrasse catwoman.
Invité
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La réponse de l'humain fit naître un rictus amusé sur le visage de la Femme Serpent. Alors comme ça, il avait du répondant ? Mouis, il pourrait faire un jouet distrayant...très distrayant ! Une étincelle amuser passa dans son regard doré, le jeu, elle aime cela autant que les plaisirs charnels ! En fait, cela va souvent de pair chez elle...une petite passion, rien de bien méchant, n'est-ce pas ?
Glissant l'index de sa main droite sur la joue de l'humain, puis, sur la mâchoire, elle décréta :
"Soit..."Personne"...Tu seras dorénavant connu sous le nom de Médort. Quoique, non...Potchi ? Pimprenelle ? Je suis magnanime, je te laisse le choix entre l'un de ces trois."
Son rictus était devenu u sourire sarcastique et hautain. Il était clair qu'elle aimait qu'il est du caractère et tente de lui tenir tête...cependant, elle adore se foutre de la tête des gens ! Et lui, avec son commentaire, il lui a clairement permis d'y aller sans utiliser le dos de la cuillère !
Enfin, la remarque sur sa tenue la fit rire aux éclats. Non, franchement, elle avait l'air si "torride" et si "dominatrice" ? Mais voyons, elle n'ai pas de ce genre...enfin, je croit....je ne suis plus sûr en fait.
C'est alors qu'il en vint à la surprendre...il a accepté de lui donner son vrai prénom ? Et bien, comme c'est admirable ! Marcus ? Cela possède des consonances européennes...on dirait que le Japon a changeait son type de monnaie, à moins que ses parents ne soient esclaves et ne se soit retrouvé sur l'île que part le plus pur des hasards...en fait, elle s'en fout littéralement du pourquoi du comment !
"Et bien, on sait se montrer raisonnable et offrir sa pseudo-identité à un interlocuteur ! Quelle intelligence, cela en serait presque admirable si ta position n'était pas aussi pitoyable. Quand à tes capacités...sache que pour ce genre de tâche de basse classe, mon idiot de majordome possède un certain don. Non, toi, tu n'es qu'un jouet. Oui, tu es juste là pour m'amuser et me divertir...seras-tu t'en montrais capable ?"
Soudain, le rat arriva de sa démarche peu rassurée et, d'une voix perçante et sans la moindre distinction, il s'exprima. Face à un tel déchet, un regard lui fut lancé...et du coin de l'œil, la miss apprécia de voir que l'humain n'appréciait pas les rats lui aussi. Au moins un point commun, c'est déjà ça de gagné !
Lui tendant d'une main tremblante les documents, Rei s'en saisit du bout des doigts et les observa d'un regard critique avant de les signer et de remettre celui l'un des feuillets au rat. La remarque de l'humain se fit alors entendre, et, lui décochant un regard noir...elle le saisit à la gorge et se pencha vers lui en sifflant :
"Ne me compare pas à ces inconscients..."
Oui, elle n'aime pas forcément ceux que l'on nomme "neko". En fait, la majorité d'entre eux appartiennent aux Meiroo...et elle n'est pas du genre à avoir une grande estime pour les familles principales. Cependant, alors qu'elle avait sifflé cela, ses yeux d'or était redevenu comme ceux d'un serpent...et ses crocs de serpent étaient sortit et à la vue de l'humain...Oui, il pouvait dorénavant savoir la Race de sa nouvelle maîtresse.
Elle relâcha sa prise, et, d'un regard noir, fit en sorte que le rat détache Marcus. Quand cela fut fait, elle toisa du regard celui qui devait l'amuser, pour ensuite lui déclarer :
"Désormais, tu es miens. Sache que tu es lié à la Famille Yatsuki à présent...Et que tu ne pourras la quitter qu'en mourant."
Rei s'empara d'un objet que le rat tenait, et, d'un pas fier, elle s'avança vers l'humain pour lui attacher quelque chose autour du cou : un collier. Ce dernier était de cuir noir, et un serpent semblait gravé dessus...et ses fonctions ? Héhé, elle les lui dévoilera quand elle le désirera.
"Alors ? Prêt à entrer dans la danse la plus risquée de l'île ? Marcus...."
Glissant l'index de sa main droite sur la joue de l'humain, puis, sur la mâchoire, elle décréta :
"Soit..."Personne"...Tu seras dorénavant connu sous le nom de Médort. Quoique, non...Potchi ? Pimprenelle ? Je suis magnanime, je te laisse le choix entre l'un de ces trois."
Son rictus était devenu u sourire sarcastique et hautain. Il était clair qu'elle aimait qu'il est du caractère et tente de lui tenir tête...cependant, elle adore se foutre de la tête des gens ! Et lui, avec son commentaire, il lui a clairement permis d'y aller sans utiliser le dos de la cuillère !
Enfin, la remarque sur sa tenue la fit rire aux éclats. Non, franchement, elle avait l'air si "torride" et si "dominatrice" ? Mais voyons, elle n'ai pas de ce genre...enfin, je croit....je ne suis plus sûr en fait.
C'est alors qu'il en vint à la surprendre...il a accepté de lui donner son vrai prénom ? Et bien, comme c'est admirable ! Marcus ? Cela possède des consonances européennes...on dirait que le Japon a changeait son type de monnaie, à moins que ses parents ne soient esclaves et ne se soit retrouvé sur l'île que part le plus pur des hasards...en fait, elle s'en fout littéralement du pourquoi du comment !
"Et bien, on sait se montrer raisonnable et offrir sa pseudo-identité à un interlocuteur ! Quelle intelligence, cela en serait presque admirable si ta position n'était pas aussi pitoyable. Quand à tes capacités...sache que pour ce genre de tâche de basse classe, mon idiot de majordome possède un certain don. Non, toi, tu n'es qu'un jouet. Oui, tu es juste là pour m'amuser et me divertir...seras-tu t'en montrais capable ?"
Soudain, le rat arriva de sa démarche peu rassurée et, d'une voix perçante et sans la moindre distinction, il s'exprima. Face à un tel déchet, un regard lui fut lancé...et du coin de l'œil, la miss apprécia de voir que l'humain n'appréciait pas les rats lui aussi. Au moins un point commun, c'est déjà ça de gagné !
Lui tendant d'une main tremblante les documents, Rei s'en saisit du bout des doigts et les observa d'un regard critique avant de les signer et de remettre celui l'un des feuillets au rat. La remarque de l'humain se fit alors entendre, et, lui décochant un regard noir...elle le saisit à la gorge et se pencha vers lui en sifflant :
"Ne me compare pas à ces inconscients..."
Oui, elle n'aime pas forcément ceux que l'on nomme "neko". En fait, la majorité d'entre eux appartiennent aux Meiroo...et elle n'est pas du genre à avoir une grande estime pour les familles principales. Cependant, alors qu'elle avait sifflé cela, ses yeux d'or était redevenu comme ceux d'un serpent...et ses crocs de serpent étaient sortit et à la vue de l'humain...Oui, il pouvait dorénavant savoir la Race de sa nouvelle maîtresse.
Elle relâcha sa prise, et, d'un regard noir, fit en sorte que le rat détache Marcus. Quand cela fut fait, elle toisa du regard celui qui devait l'amuser, pour ensuite lui déclarer :
"Désormais, tu es miens. Sache que tu es lié à la Famille Yatsuki à présent...Et que tu ne pourras la quitter qu'en mourant."
Rei s'empara d'un objet que le rat tenait, et, d'un pas fier, elle s'avança vers l'humain pour lui attacher quelque chose autour du cou : un collier. Ce dernier était de cuir noir, et un serpent semblait gravé dessus...et ses fonctions ? Héhé, elle les lui dévoilera quand elle le désirera.
"Alors ? Prêt à entrer dans la danse la plus risquée de l'île ? Marcus...."
Marcus n'était pas e seul sarcastique dans l'histoire, sa nouvelle maitresse savait elle aussi user de cet art si peut répendu. Elle n'éppreciat pas la remarque du jeune homme sur son nom et le lien avec la grece antique. Elle continua de plus belle lorsqu'il déclina finalement son identité, elle l'avait acheté 500 pieces, c'est rien pour son orgueil, alors qu'elle ne s'attende pas a recevoir des maitresses et des marques de respect a tour de bras. Il resta sans rien dire, sans peur devant Rei. La remarque de catwoman ne lui a pas vraiment plut, Elle sifla et l'attrapa a la gorge en lui demandant, pas tres gentiment, de ne plus la comparer aux neko.
Pas de probleme sac a main, je me demandais aussi comment ca se faisait que tu ais une langue qui fouche autant, ca doit etre génant....
L'acide de sa phrase fit palir le rat, un esclave qui parlait comme ca c'était pas commun, mais parler de cette maniere a une Yatsuki, c'était de la folie. Mais le plus etrange restait l'emploi de Marcus, etre un jouet....Qu'est ce qu'elle voulait dire par la? Il avait bien une idée de ce qu'elle exigerait de lui, ca ne lui déplaisiat pas le moins du monde.
Les fers cederent et la jeune femme s'approcha en lui disant qu'il n'avait pas de point de retour, il ne la quiterait pas avant sa mort.
Ou, si je vous tue tous, a ce moment la je serais plus lié a ta famille.
Elle passa un collier noir autour du cou de son achat, pourquoi un simple collier? En meme temps, il avait envie de la suivre et d'etre ce fameux jouet. Il se laissa faire, meme si la taille était un peut serré, il la laissa faire. Elle letoisait sans gene et resté fiere devant son esclave avant de lui demander si il était pret a entrer dans la dance la plus dangeureuse de l'ile.
Je cros que je n'ai pas le choix Rei, cassons nous, ca pue la mort par ici.
Cette derniere remarque s'adressait a son ancien proprietaire qui ne sentait pas vraiment la rose, rat un jours, rat toujours
Et maintenant, on fait quoi?
Pas de probleme sac a main, je me demandais aussi comment ca se faisait que tu ais une langue qui fouche autant, ca doit etre génant....
L'acide de sa phrase fit palir le rat, un esclave qui parlait comme ca c'était pas commun, mais parler de cette maniere a une Yatsuki, c'était de la folie. Mais le plus etrange restait l'emploi de Marcus, etre un jouet....Qu'est ce qu'elle voulait dire par la? Il avait bien une idée de ce qu'elle exigerait de lui, ca ne lui déplaisiat pas le moins du monde.
Les fers cederent et la jeune femme s'approcha en lui disant qu'il n'avait pas de point de retour, il ne la quiterait pas avant sa mort.
Ou, si je vous tue tous, a ce moment la je serais plus lié a ta famille.
Elle passa un collier noir autour du cou de son achat, pourquoi un simple collier? En meme temps, il avait envie de la suivre et d'etre ce fameux jouet. Il se laissa faire, meme si la taille était un peut serré, il la laissa faire. Elle letoisait sans gene et resté fiere devant son esclave avant de lui demander si il était pret a entrer dans la dance la plus dangeureuse de l'ile.
Je cros que je n'ai pas le choix Rei, cassons nous, ca pue la mort par ici.
Cette derniere remarque s'adressait a son ancien proprietaire qui ne sentait pas vraiment la rose, rat un jours, rat toujours
Et maintenant, on fait quoi?
Invité
Invité
Rei était clairement occupée. Elle ne fit guère attention à la remarque au sujet de sa nature, ni même à l'insulte "sac à main". Pourquoi ? Premièrement, il ne veut pas la peine qu'elle entre dans son jeu, deuxièmement, il lui faut d'abord vérifier certains détails avant de savoir où ils vont se rendre ! Et oui...elle n'a jamais eu d'esclave avec une telle carrure, aussi, vérifie-t-elle auprès du majordome, via son téléphone portable, les tailles de la garde-robe. Outch ! Nada ! Elle n'a aucun vêtement classe de la taille de son nouvel esclave...et bien, les magasins s'imposent alors ?
Face à cette constatation, l'héritière des Yatsuki sortit de ses pensés. Tiens, tiens, son esclave vient-il de lui demander le lieu où ils doivent se rendre ? Et bien, il a l'air capable de réflexion sur des sujets commun...comment cela va-t-il se poursuivre ?
Rangeant son portable dans la poche arrière de son pantalon de cuir noir, qui lui sied comme une seconde peau, elle eut un sourire carnassier avant de déclarer :
"Les magasins."
Alors qu'elle se retournait et intimait à sa nouvelle occupation de la suivre, elle se rappela d'une partie des dires de l'humain. D'un ton similaire à celui qu'on utilise en parlant de la pluie et du beau-temps, Reï déclara :
"Au passage, si tu essayes de me tuer, saches que le collier que je t'ai apposé générera alors un choc électrique similaire à celui d'une chaise électrique. Pour faire simple, tu me suivras dans la mort, pratique, non ?"
Bon, elle ne lui a pas dit que ce collier ne peut s'enlever que part la personne l'ayant apposer, système en rapport avec l'empreinte digitale. Elle ne lui a pas dit qu'il possède un GPS intégré, histoire de savoir où il est. Elle ne lui a pas dit non plus, qu'il lui suffisait d'une pression sur un bouton de son portable ou de sa boucle d'oreille droite, pour déclencher le choc électrique. Et pour finir, il ne sait pas que le collier à coûter plus cher que lui ! Elle aime investir dans la nouvelle technologie ! ^^
Les deux étaient arrivés à l'entrée du Marché. Une limousine noire attendait fièrement que la Dame et son joujou prennent place. Un esclave, au regard voila comme s'il avait perdu tout envi de haine, de rébellion, comme s'il avait été lobotomisé pour obéir, ouvrit la porte à sa maîtresse et à l'humain. Une fois les deux eurent-ils prit place, que le moteur se déclencha et qu'on les mena au Centre Commerciale, sur ordre de la dernière des Yatsuki.
[Tu peux ouvrir le topic au Centre Commerciale, s'il te plait ? Oo]
Face à cette constatation, l'héritière des Yatsuki sortit de ses pensés. Tiens, tiens, son esclave vient-il de lui demander le lieu où ils doivent se rendre ? Et bien, il a l'air capable de réflexion sur des sujets commun...comment cela va-t-il se poursuivre ?
Rangeant son portable dans la poche arrière de son pantalon de cuir noir, qui lui sied comme une seconde peau, elle eut un sourire carnassier avant de déclarer :
"Les magasins."
Alors qu'elle se retournait et intimait à sa nouvelle occupation de la suivre, elle se rappela d'une partie des dires de l'humain. D'un ton similaire à celui qu'on utilise en parlant de la pluie et du beau-temps, Reï déclara :
"Au passage, si tu essayes de me tuer, saches que le collier que je t'ai apposé générera alors un choc électrique similaire à celui d'une chaise électrique. Pour faire simple, tu me suivras dans la mort, pratique, non ?"
Bon, elle ne lui a pas dit que ce collier ne peut s'enlever que part la personne l'ayant apposer, système en rapport avec l'empreinte digitale. Elle ne lui a pas dit qu'il possède un GPS intégré, histoire de savoir où il est. Elle ne lui a pas dit non plus, qu'il lui suffisait d'une pression sur un bouton de son portable ou de sa boucle d'oreille droite, pour déclencher le choc électrique. Et pour finir, il ne sait pas que le collier à coûter plus cher que lui ! Elle aime investir dans la nouvelle technologie ! ^^
Les deux étaient arrivés à l'entrée du Marché. Une limousine noire attendait fièrement que la Dame et son joujou prennent place. Un esclave, au regard voila comme s'il avait perdu tout envi de haine, de rébellion, comme s'il avait été lobotomisé pour obéir, ouvrit la porte à sa maîtresse et à l'humain. Une fois les deux eurent-ils prit place, que le moteur se déclencha et qu'on les mena au Centre Commerciale, sur ordre de la dernière des Yatsuki.
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