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* Mais ou suis-je ? *
Les yeux fatigués d’Ayane s’ouvrirent lentement lorsque cette première pensée traversa son esprit. Son crâne lui faisait mal et elle n’avait que très peu de souvenirs…
La découverte de barreaux la surprit assez fortement et elle ne put réprimer un petit cri d’étonnement :
"Oh"
Et puis ce fut la découverte, une cage trop petite même pour sa petite personne au milieu d’un étal.
Mon regard se ballade instinctivement sur les affres du marché. Des marchands, des cris, du bruit et des cages avec des gens dedans. Mais quel est donc ce lieu ? Quel est donc cet endroit dans lequel je me trouve ? Et pourquoi suis-je donc dans une cage, je ne veux pas… Je vais me réveiller, je vais me réveiller de ce cauchemar…. Dans ma chambre, avec mon matelas douillet, mon kamasutra et mes sextoys… J’irais prendre une douche et je me masturberais, ce que j’aime le sexe… Il parait que c’est honteux mais je m’en fiche, j’aime ça…
Le soleil tapait fort en cette matinée et les gens commençaient naturellement à affluer au marché, questionnant les vendeurs et venant faire causette.
* Mais quel est donc cet endroit ? *
Un regard d’un passant s’arrête sur Ayane.
Que me veut-il celui-là et pourquoi me regarde-t-il ainsi ? Le voilà qui questionne le gros monsieur à présent. Mais je ne suis pas une marchandise ! Je ne suis pas un produit que l’on vend comme du lait ! Je suis moi, un être vivant !
Une envie de pleurer traverse alors le cœur d’Ayane mais la petite adolescente pr éfère hurler :
"Laissez moi sortiir ! Libérez-moi !!!!"
Pour seule réponse, un immense coup de bâton sur mes fesses, je me réfugie de l’autre côté de la petite cage en sanglotant. C’est un cauchemar !
Le gros monsieur hurle alors que je viens de faire fuir un client. Mais… Mais, je n’en ai rien à faire ! Je ne veux pas être vendue. Le gros monsieur dit alors que je ne suis qu’un morceau de viande et que si je hurle encore, j’aurais le droit à un autre coup de bâton.
Non, je ne suis pas qu’un morceau de viande ! Je suis Ayane ! Soudain,, un beau garçon passe et je lui souris, le suppliant du regard de me libérer…
Oh, qu’il est mignon ! Je commence alors à me tortiller et mes fesses frottent sur le sol dur de la cage.
* J’ai envie… J’ai envie… *
Le garçon me fixe, le vendeur vient l’accoster, je lui lance mon plus beau regard en faisant une moue coquine.
Mon dieu, faites qu’il dise oui. Mais le garçon montre ses poches vides et s’éloigne.
Mon cœur se fend. Nooooon, reviens toi ! Reviens !
Ayane se recroqueville alors dans sa cage, elle pose sa tête contre ses genoux replier et recommence à pleurer.
Un coup de bâton revient s’abattre sur son dos et le gros vendeur argue que la marchandise doit être présentable.
Ayane retient ses larmes mais ne peut réprimer un dernier sanglot.
Qu’ai-je fait pour mériter cela ? Ce n’est pas juste ! Que fais-je ici ? Mon regard empli de larmes m’empêche de voir quoique ce soit, mais ai-je vraiment envie de voir cette réalité ?
J’aimerais tant retrouver mon école et mes camarades, m’occuper d’œuvres caritatives. Pourquoi tout le monde me traite ainsi ? Je ne suis pas une idiote… Mes camarades me disait que j’étais une cruche… Mais moi, je ne le crois pas… Et maintenant, je suis enfermée ici… Et demain est le jour de la tombola de l’école que j’ai passée tellement de temps à organiser, ce n’est pas juste !
Mon dieu, faites que je me réveille…
La foule continue de défiler et au fur et à mesure que les heures passent, de plus en plus de monde afflue.
Un bruit d’estomac retentit alors. Le ventre d’Ayane commence à crier famine et elle a soif aussi.
C’est ainsi qu’elle se retourne vers le gros monsieur au bâton et demande :
"Vous auriez un verre d’eau et quelque chose à manger, s’il vous plait ?"
Pour toute réponse, un autre coup de bâton vint donner la sentence. Triste réponse pour une question relativement banale. Le gros monsieur se remet à hurler sur la qualité de ses esclaves. Esclave ? Comment cela ?
* Pourtant je lui ai posé la question gentiment, je ne comprends pas, cela ne valait pas un coup de bâton… Et qu’est-ce donc que cette histoire d’esclave ? *
Je crois sincèrement que je vais mourir ici. Je n’ai plus d’avenir, déjà que la conseillère d’orientation me disait que je n’étais bonne à rien, alors peut-être qu’elle avait raison.
Ma tête se repose sur mes genoux et mes larmes recommencent à couler…
* Que vais-je devenir ? Snif *
Les yeux fatigués d’Ayane s’ouvrirent lentement lorsque cette première pensée traversa son esprit. Son crâne lui faisait mal et elle n’avait que très peu de souvenirs…
La découverte de barreaux la surprit assez fortement et elle ne put réprimer un petit cri d’étonnement :
"Oh"
Et puis ce fut la découverte, une cage trop petite même pour sa petite personne au milieu d’un étal.
Mon regard se ballade instinctivement sur les affres du marché. Des marchands, des cris, du bruit et des cages avec des gens dedans. Mais quel est donc ce lieu ? Quel est donc cet endroit dans lequel je me trouve ? Et pourquoi suis-je donc dans une cage, je ne veux pas… Je vais me réveiller, je vais me réveiller de ce cauchemar…. Dans ma chambre, avec mon matelas douillet, mon kamasutra et mes sextoys… J’irais prendre une douche et je me masturberais, ce que j’aime le sexe… Il parait que c’est honteux mais je m’en fiche, j’aime ça…
Le soleil tapait fort en cette matinée et les gens commençaient naturellement à affluer au marché, questionnant les vendeurs et venant faire causette.
* Mais quel est donc cet endroit ? *
Un regard d’un passant s’arrête sur Ayane.
Que me veut-il celui-là et pourquoi me regarde-t-il ainsi ? Le voilà qui questionne le gros monsieur à présent. Mais je ne suis pas une marchandise ! Je ne suis pas un produit que l’on vend comme du lait ! Je suis moi, un être vivant !
Une envie de pleurer traverse alors le cœur d’Ayane mais la petite adolescente pr éfère hurler :
"Laissez moi sortiir ! Libérez-moi !!!!"
Pour seule réponse, un immense coup de bâton sur mes fesses, je me réfugie de l’autre côté de la petite cage en sanglotant. C’est un cauchemar !
Le gros monsieur hurle alors que je viens de faire fuir un client. Mais… Mais, je n’en ai rien à faire ! Je ne veux pas être vendue. Le gros monsieur dit alors que je ne suis qu’un morceau de viande et que si je hurle encore, j’aurais le droit à un autre coup de bâton.
Non, je ne suis pas qu’un morceau de viande ! Je suis Ayane ! Soudain,, un beau garçon passe et je lui souris, le suppliant du regard de me libérer…
Oh, qu’il est mignon ! Je commence alors à me tortiller et mes fesses frottent sur le sol dur de la cage.
* J’ai envie… J’ai envie… *
Le garçon me fixe, le vendeur vient l’accoster, je lui lance mon plus beau regard en faisant une moue coquine.
Mon dieu, faites qu’il dise oui. Mais le garçon montre ses poches vides et s’éloigne.
Mon cœur se fend. Nooooon, reviens toi ! Reviens !
Ayane se recroqueville alors dans sa cage, elle pose sa tête contre ses genoux replier et recommence à pleurer.
Un coup de bâton revient s’abattre sur son dos et le gros vendeur argue que la marchandise doit être présentable.
Ayane retient ses larmes mais ne peut réprimer un dernier sanglot.
Qu’ai-je fait pour mériter cela ? Ce n’est pas juste ! Que fais-je ici ? Mon regard empli de larmes m’empêche de voir quoique ce soit, mais ai-je vraiment envie de voir cette réalité ?
J’aimerais tant retrouver mon école et mes camarades, m’occuper d’œuvres caritatives. Pourquoi tout le monde me traite ainsi ? Je ne suis pas une idiote… Mes camarades me disait que j’étais une cruche… Mais moi, je ne le crois pas… Et maintenant, je suis enfermée ici… Et demain est le jour de la tombola de l’école que j’ai passée tellement de temps à organiser, ce n’est pas juste !
Mon dieu, faites que je me réveille…
La foule continue de défiler et au fur et à mesure que les heures passent, de plus en plus de monde afflue.
Un bruit d’estomac retentit alors. Le ventre d’Ayane commence à crier famine et elle a soif aussi.
C’est ainsi qu’elle se retourne vers le gros monsieur au bâton et demande :
"Vous auriez un verre d’eau et quelque chose à manger, s’il vous plait ?"
Pour toute réponse, un autre coup de bâton vint donner la sentence. Triste réponse pour une question relativement banale. Le gros monsieur se remet à hurler sur la qualité de ses esclaves. Esclave ? Comment cela ?
* Pourtant je lui ai posé la question gentiment, je ne comprends pas, cela ne valait pas un coup de bâton… Et qu’est-ce donc que cette histoire d’esclave ? *
Je crois sincèrement que je vais mourir ici. Je n’ai plus d’avenir, déjà que la conseillère d’orientation me disait que je n’étais bonne à rien, alors peut-être qu’elle avait raison.
Ma tête se repose sur mes genoux et mes larmes recommencent à couler…
* Que vais-je devenir ? Snif *
Invité
Invité
Y a trop d’homme dans ma maison, il manque quelque de féminin, non pas que j’aime plus les femmes que les hommes, mais j’aime les voir baver sur quelqu’un d’autre que moi, cela me permets de les étriper tranquillement, je ne suis pas jalouse, mais mes esclaves ne doivent désirer que moi… Ne regarder que moi.. Me vénérer oui c’est cela, il doivent être a mes pieds, ramper, me les baiser, comme si j’était leur dieu.. Ces humains son si facilement manipulable… Oui si faible d’esprit…
Je me vêtit différemment aujourd’hui, la robe rouge que je porte et si moulant qu’elle donne l’impression que je ne porte rien, il est vrai aussi qu’a par mon string noir je ne porte rien… Mais dieu que j’adore cette robe faites sur mesure… Elle montre a qu’elle points je suis riche, et puis elle me donne l’air d’un reine.. Mon porte de tête n’y est pas pour peu non plus.. Comme mon animal totem je suis royale… Enfin je me plait a le croire, pourtant souvent, je sourit, ce genre de sourire paisible qui réchauffe les cœurs… Je cache le miens si mort, depuis si longtemps…
Bon allez au marcher.. Je me demande ce que je vais trouver cette fois si , les deux esclaves que j’ai acheter avant on déjà servit, j’aimerais quelqu’un de nouveau sur cette îles quelqu’un qui a été enlever a son lieu naturel, il sont bien plus amusant que ceux qui t’appelle maîtresse des la première minute… Oui c’est cela que je veux quelqu’un de frais, une belle petit damoiselle…
Je me suis envolée de chez moi comme toujours, parce que j’aime voler, parce que c’est un plaisir que je prend a chaque fois… Parce que la haut on est plus libre que jamais, plus libre que tout… Comme toujours je me pose au milieu de la foule, qu’il s’écarte… de toute façon il prendrons un coup d’ailes si il ne le font pas…
Je sens le sol froid sur mes pieds nus, ma robe qui caresse mes jambes en les dévoilant largement, ainsi habillée je laisse place a l’imagination en montrant pas mal de chose… Belle je sais que je le suis avec mes yeux fauves, mes cheveux blond presque blanc, et ma peau bronzée… Oui je sais que je plait.. Il suffit de voir le regard des hommes.. Bon trouver le patrons, et lui demander les plus fraîchement arrivée…
Il m’indique un coin , un signe de tête et je me dirige vers cet endroit mes ailes battant doucement dans mon dos… Les nouveaux son en cage contrairement a d’autre.. Je les regard d’un regard d’aigles.. Quand mon regard se pose sur une gamine au fond d’un cage.. Un sourire naît sur mon visage.. Avant que je ne m’approche venant m’agenouiller de l’autre coté des barreaux.. Il me suffit de tendre le bras pour lui caresser en douceur les cheveux.. Une caresse douce rassurante… Comme mon sourire, mon regard… Ma voie également si douce…
« Chut il ne faut pas pleurer petite.. Je vais te faire sortir de ces endroits.. Tu voudra bien me suivre… »
Sourire tranquille paisible, si elle savait ce qui l’attendait… Doucement ma main passe sous son menton, alors que je lui fait relever son visage, plongeant mes yeux rassurant dans les seins, mon autre main essuyant en douceur ces larmes… Les hommes me connaissent il me laisse flâner toute seule…
Je me vêtit différemment aujourd’hui, la robe rouge que je porte et si moulant qu’elle donne l’impression que je ne porte rien, il est vrai aussi qu’a par mon string noir je ne porte rien… Mais dieu que j’adore cette robe faites sur mesure… Elle montre a qu’elle points je suis riche, et puis elle me donne l’air d’un reine.. Mon porte de tête n’y est pas pour peu non plus.. Comme mon animal totem je suis royale… Enfin je me plait a le croire, pourtant souvent, je sourit, ce genre de sourire paisible qui réchauffe les cœurs… Je cache le miens si mort, depuis si longtemps…
Bon allez au marcher.. Je me demande ce que je vais trouver cette fois si , les deux esclaves que j’ai acheter avant on déjà servit, j’aimerais quelqu’un de nouveau sur cette îles quelqu’un qui a été enlever a son lieu naturel, il sont bien plus amusant que ceux qui t’appelle maîtresse des la première minute… Oui c’est cela que je veux quelqu’un de frais, une belle petit damoiselle…
Je me suis envolée de chez moi comme toujours, parce que j’aime voler, parce que c’est un plaisir que je prend a chaque fois… Parce que la haut on est plus libre que jamais, plus libre que tout… Comme toujours je me pose au milieu de la foule, qu’il s’écarte… de toute façon il prendrons un coup d’ailes si il ne le font pas…
Je sens le sol froid sur mes pieds nus, ma robe qui caresse mes jambes en les dévoilant largement, ainsi habillée je laisse place a l’imagination en montrant pas mal de chose… Belle je sais que je le suis avec mes yeux fauves, mes cheveux blond presque blanc, et ma peau bronzée… Oui je sais que je plait.. Il suffit de voir le regard des hommes.. Bon trouver le patrons, et lui demander les plus fraîchement arrivée…
Il m’indique un coin , un signe de tête et je me dirige vers cet endroit mes ailes battant doucement dans mon dos… Les nouveaux son en cage contrairement a d’autre.. Je les regard d’un regard d’aigles.. Quand mon regard se pose sur une gamine au fond d’un cage.. Un sourire naît sur mon visage.. Avant que je ne m’approche venant m’agenouiller de l’autre coté des barreaux.. Il me suffit de tendre le bras pour lui caresser en douceur les cheveux.. Une caresse douce rassurante… Comme mon sourire, mon regard… Ma voie également si douce…
« Chut il ne faut pas pleurer petite.. Je vais te faire sortir de ces endroits.. Tu voudra bien me suivre… »
Sourire tranquille paisible, si elle savait ce qui l’attendait… Doucement ma main passe sous son menton, alors que je lui fait relever son visage, plongeant mes yeux rassurant dans les seins, mon autre main essuyant en douceur ces larmes… Les hommes me connaissent il me laisse flâner toute seule…
Invité
Invité
Une caresse tendre sur mes cheveux. Une main douce passée ainsi, consolante et rassurante. Les yeux encore rougis par les pleurs, mon visage se redresse et…
* Mon dieu qu’elle est belle ! *
On sait que la première impression est sans doute la bonne. Est-ce vrai ? Est-ce que je la trouverais toujours belle, si belle ? Vêtue d’une robe moulante, non, une seconde peau plutôt révélant ses formes généreuses, elle est là belle et rassurante… Juste là…
Des paroles à présent qui finissent de me consoler. Il ne faut pas pleurer. Facile à dire lorsque l’on se trouve en dehors de la cage, mais dans le cas présent, Ayane est dans la cage et a faim et soif, la nuance est subtile mais finalement pas tant que ça.
La suivre ? Mais je suivrais au bout du monde celle ou celui qui me sortira de cette cage, et qui plus si elle est jolie.
A vrai dire, je n’ai quasiment jamais eu de rapports homosexuelles mais je dois avouer que cette femme m’émoustille très fortement et que mon visage a du prendre une teinte rouge tomate.
Est-ce que cela se voit, est-ce qu’elle l’a remarqué ? Et bien, il faudrait être aveugle pour ne pas remarquer la nouvelle couleur du visage d’Ayane et cette façon bien particulière qu’elle de frotter ses fesses contre le sol de sa cage en signe d’excitation…
Mais, est-ce la promiscuité du gros monsieur ou le fait qu’elle soit en cage, mais Ayane fantasme pour le moment sur une seule chose : sortir de sa petite et si tenue prison.
Elle regarde avec de grands yeux emplis d’une certaine reconnaissance, la femme qui lui fait face.
C’est avec difficultés qu’elle bredouille :
"Je vous suivrais n’importe où si vous me faites sortir d’ici madame."
Toujours avec cette politesse dans le ton de la voix qui la caractérise si bien, elle relève la tête sous la pression du doigt de la sauveuse.
Et je souris, un sourire franc, enjoué, et qui remercie en avance, grandement celle qui va me sortir de cet enfer.
La teinte tomate étant passé, Ayane offre de grands yeux humides et ronds à son interlocutrice, pleins d’espoir et empli de remerciements.
Une main passe alors sécher ses larmes et l maintenant, Ayane en est certaine : elle va bientôt être libérée de cette cage affreuse.
La liberté… Retrouver la liberté… Pouvoir à nouveau courir dans l’herbe les pieds nus un soir d’été… Pouvoir plonger dans la mer et nager là ou on le désire… Sentir le doux parfum des fleurs et aussi la chaleur d’une caresse solaire sur son visage…
Et surtout pouvoir faire l’amour…
Est-ce cela la liberté ? En tout cas cela y ressemble fortement…
Et tout ceci, je vais pouvoir le faire très bientôt, une fois que cette femme qui me retourne le ventre, me met une boule dans la gorge et fait battre mon cœur me sortira d’ici…
Oui, je la suivrais, la question ne se pose même pas…
* Mon dieu qu’elle est belle ! *
On sait que la première impression est sans doute la bonne. Est-ce vrai ? Est-ce que je la trouverais toujours belle, si belle ? Vêtue d’une robe moulante, non, une seconde peau plutôt révélant ses formes généreuses, elle est là belle et rassurante… Juste là…
Des paroles à présent qui finissent de me consoler. Il ne faut pas pleurer. Facile à dire lorsque l’on se trouve en dehors de la cage, mais dans le cas présent, Ayane est dans la cage et a faim et soif, la nuance est subtile mais finalement pas tant que ça.
La suivre ? Mais je suivrais au bout du monde celle ou celui qui me sortira de cette cage, et qui plus si elle est jolie.
A vrai dire, je n’ai quasiment jamais eu de rapports homosexuelles mais je dois avouer que cette femme m’émoustille très fortement et que mon visage a du prendre une teinte rouge tomate.
Est-ce que cela se voit, est-ce qu’elle l’a remarqué ? Et bien, il faudrait être aveugle pour ne pas remarquer la nouvelle couleur du visage d’Ayane et cette façon bien particulière qu’elle de frotter ses fesses contre le sol de sa cage en signe d’excitation…
Mais, est-ce la promiscuité du gros monsieur ou le fait qu’elle soit en cage, mais Ayane fantasme pour le moment sur une seule chose : sortir de sa petite et si tenue prison.
Elle regarde avec de grands yeux emplis d’une certaine reconnaissance, la femme qui lui fait face.
C’est avec difficultés qu’elle bredouille :
"Je vous suivrais n’importe où si vous me faites sortir d’ici madame."
Toujours avec cette politesse dans le ton de la voix qui la caractérise si bien, elle relève la tête sous la pression du doigt de la sauveuse.
Et je souris, un sourire franc, enjoué, et qui remercie en avance, grandement celle qui va me sortir de cet enfer.
La teinte tomate étant passé, Ayane offre de grands yeux humides et ronds à son interlocutrice, pleins d’espoir et empli de remerciements.
Une main passe alors sécher ses larmes et l maintenant, Ayane en est certaine : elle va bientôt être libérée de cette cage affreuse.
La liberté… Retrouver la liberté… Pouvoir à nouveau courir dans l’herbe les pieds nus un soir d’été… Pouvoir plonger dans la mer et nager là ou on le désire… Sentir le doux parfum des fleurs et aussi la chaleur d’une caresse solaire sur son visage…
Et surtout pouvoir faire l’amour…
Est-ce cela la liberté ? En tout cas cela y ressemble fortement…
Et tout ceci, je vais pouvoir le faire très bientôt, une fois que cette femme qui me retourne le ventre, me met une boule dans la gorge et fait battre mon cœur me sortira d’ici…
Oui, je la suivrais, la question ne se pose même pas…
Invité
Invité
Cette file est si facilement manipulable, cela se voit a son regard.. Pour quelqu’un d’autre que moi, elle aurais été attendrissante, oui mais pas pour moi, elle me donne faim c’est vrai… J’aime ce genre de fille, parce qu’elle son facile a manipuler, il suffit de peu pour les emballer, et les faire tomber est aussi amusant.. Enfin je ne sais pas encore tellement ce que je vais faire d’elle, mais elle pourra s’amuser avec mes esclaves… Si je traite les hommes comme de la merde, je préfère être différentes avec les femmes, elle paye assez de la folie des hommes… Oui elle vas en faire quelque chose… J’aime aussi la rougeur qui se dessine sur le visage de la petite, je lui plait je le voit dans ces yeux… Oui je vais jouer la dessus, je vais l’avoir sans utiliser de mon pouvoir… Tranquillement pour une fois…
Je devrais demander son dossier au gardien, mais pas tout de suite…. J’aime comme elle bouge ces petite fesses… Elle la suivra parfait…
Je fait signe au garde qu’il ouvre la porte… Et je sourit toujours… Tendre, oui voilà mon rôle, celle de la tendre maîtresse…
La cage est rapidement ouvert et avec le sourire je saisit la main de ma chose, et je la fait sortir doucement.. Sourire encore et toujours, alors que mes mains se pose sur les joues de la gamines, que mon regard plonge dans les siens… Lentement mes mains se promène sur son corps, il le tâte, je l’ausculte…
« Bien il ne ton pas fait trop de mal.. »
Doucement je me penche un baiser léger sur ces lèvres, juste pour marquer le coup, et je déplace ma bouche jusqu'à son oreilles…
« Je te protégerais a partir de maintenant… »
Doucement se redresse et passer un main dans ces cheveux, comme pour l’apaiser un peu plus, un main douce.. Alors que mon autre main se glisse dans mon décolleter, un mouvement sensuelles a souhait, qui est destiner a deux chose allumer les gens autour de moi, et puis aller chercher quelque chose.. en douceur je sort un collier tous neuf en velours noir… Doucement je le passe au cou de la jeune femme, le fermoir en forme de cygne claque doucement dans l’air…
« Pour montrer que tu m’appartiens, si quelqu’un te fait du mal.. Il sera punis. C’est mon cadeau. »
Encore une fois je me penche, mais sans l’embrasser, juste garde mes lèvres a quelque centimètres de sienne voyons ce qu’elle vas faire…
Je devrais demander son dossier au gardien, mais pas tout de suite…. J’aime comme elle bouge ces petite fesses… Elle la suivra parfait…
Je fait signe au garde qu’il ouvre la porte… Et je sourit toujours… Tendre, oui voilà mon rôle, celle de la tendre maîtresse…
La cage est rapidement ouvert et avec le sourire je saisit la main de ma chose, et je la fait sortir doucement.. Sourire encore et toujours, alors que mes mains se pose sur les joues de la gamines, que mon regard plonge dans les siens… Lentement mes mains se promène sur son corps, il le tâte, je l’ausculte…
« Bien il ne ton pas fait trop de mal.. »
Doucement je me penche un baiser léger sur ces lèvres, juste pour marquer le coup, et je déplace ma bouche jusqu'à son oreilles…
« Je te protégerais a partir de maintenant… »
Doucement se redresse et passer un main dans ces cheveux, comme pour l’apaiser un peu plus, un main douce.. Alors que mon autre main se glisse dans mon décolleter, un mouvement sensuelles a souhait, qui est destiner a deux chose allumer les gens autour de moi, et puis aller chercher quelque chose.. en douceur je sort un collier tous neuf en velours noir… Doucement je le passe au cou de la jeune femme, le fermoir en forme de cygne claque doucement dans l’air…
« Pour montrer que tu m’appartiens, si quelqu’un te fait du mal.. Il sera punis. C’est mon cadeau. »
Encore une fois je me penche, mais sans l’embrasser, juste garde mes lèvres a quelque centimètres de sienne voyons ce qu’elle vas faire…
Invité
Invité
La si jolie dame demande alors au gros monsieur de me libérer de cette cage. Ma belle et ravissante sauveuse qui me met tant de rougeur au joue me tend une main élégante pour que je sorte de ma prison.
* Et en plus elle est galante ! *
Là, mon visage vire carrément au cramoisi et je commence à avoir un peu chaud. Mes grands yeux regardent amoureusement celle qui me sort de cet enfer. Qu’elle est jolie ! Et lorsqu’elle se penche pour m’embrasser…
Et bien là, ce sont les grandes eaux dans mon entrejambe, mon cœur qui palpite, mon visage devenant encore plus rouge et mes yeux pétillants. Ma bouche articule alors pour lui répondre :
"C’est vrai, vous feriez ça pour moi ? Vous me protégerez ?"
Elle se redressa alors, digne, magnifique, fière et si belle ! Je la mange du regard, je ne sais plus où je suis. Il faudrait que je retourne à l’école pour la tombola tout de même. Oui, en plus le gros lot cette année est un godemiché… Euh, mais qu’est-ce que je raconte moi ? Un autocuiseur, oui, et là, c’est moi qui m’autocuit.
Mon dieu, cette femme. Elle est… Mes petites fesses se tortillent mais je sens que ma culotte est trempée… J’espère que cela ne se voit pas sur ma robe tout de même… Mais, le fait que je sois sortie de cette cage enlève tout aspect négatif à la chose…
C’est alors que la belle dame me met un collier et me signale que dorénavant je suis à elle. Je ne comprends pas très bien cette phrase et au lieu de la prendre comme maîtresse, je pense qu’elle veut dire qu’elle m’aime et me donne ce collier en échange de son amour. Je ne le quitterais jamais ce collier ! D’habitude on donne des bagues mais cette femme préfère peut-être les colliers. Qu’importe, elle va un peu vite en besogne mais vu l’état tout chose dans lequel je me trouve, elle a sûrement vu que je ne pourrais refuser ses avances…
Et elle se penche, je ferme les yeux attendant son baiser, mais bizarrement rien ne vient. J’ouvre timidement un œil et voit sa bouche très proche de la mienne dans l’expectative.
Je ne sais même pas son nom mais qu’importe, si j’avais su le nom de tous mes amants à l’école…
D’un petit coup de langue rose, je lui lèche les lèvres délicatement puis avance timidement ma bouche et l’embrasse subtilement, comme une petite midinette embrassant pour la première fois, maladroitement mais touchante…
Je m’aperçois alors que je ne me suis pas présentée, quelle manque de civilité flagrante, et corrige cet absence immédiatement :
"Je m’appelle Ayane, madame ! Et je vous appartiens, ma bien aimée !"
Mes grands yeux ronds, ma couleur rouge, mes tortillements de fesses et la sensation d’inondation me trahissent définitivement…Je passe une main à l’intérieur de mes cuisses pour me calmer un peu mais rien n’y fait. Je suis bouillante ! Mais en même temps, elle est si gentille et si belle !
* Et en plus elle est galante ! *
Là, mon visage vire carrément au cramoisi et je commence à avoir un peu chaud. Mes grands yeux regardent amoureusement celle qui me sort de cet enfer. Qu’elle est jolie ! Et lorsqu’elle se penche pour m’embrasser…
Et bien là, ce sont les grandes eaux dans mon entrejambe, mon cœur qui palpite, mon visage devenant encore plus rouge et mes yeux pétillants. Ma bouche articule alors pour lui répondre :
"C’est vrai, vous feriez ça pour moi ? Vous me protégerez ?"
Elle se redressa alors, digne, magnifique, fière et si belle ! Je la mange du regard, je ne sais plus où je suis. Il faudrait que je retourne à l’école pour la tombola tout de même. Oui, en plus le gros lot cette année est un godemiché… Euh, mais qu’est-ce que je raconte moi ? Un autocuiseur, oui, et là, c’est moi qui m’autocuit.
Mon dieu, cette femme. Elle est… Mes petites fesses se tortillent mais je sens que ma culotte est trempée… J’espère que cela ne se voit pas sur ma robe tout de même… Mais, le fait que je sois sortie de cette cage enlève tout aspect négatif à la chose…
C’est alors que la belle dame me met un collier et me signale que dorénavant je suis à elle. Je ne comprends pas très bien cette phrase et au lieu de la prendre comme maîtresse, je pense qu’elle veut dire qu’elle m’aime et me donne ce collier en échange de son amour. Je ne le quitterais jamais ce collier ! D’habitude on donne des bagues mais cette femme préfère peut-être les colliers. Qu’importe, elle va un peu vite en besogne mais vu l’état tout chose dans lequel je me trouve, elle a sûrement vu que je ne pourrais refuser ses avances…
Et elle se penche, je ferme les yeux attendant son baiser, mais bizarrement rien ne vient. J’ouvre timidement un œil et voit sa bouche très proche de la mienne dans l’expectative.
Je ne sais même pas son nom mais qu’importe, si j’avais su le nom de tous mes amants à l’école…
D’un petit coup de langue rose, je lui lèche les lèvres délicatement puis avance timidement ma bouche et l’embrasse subtilement, comme une petite midinette embrassant pour la première fois, maladroitement mais touchante…
Je m’aperçois alors que je ne me suis pas présentée, quelle manque de civilité flagrante, et corrige cet absence immédiatement :
"Je m’appelle Ayane, madame ! Et je vous appartiens, ma bien aimée !"
Mes grands yeux ronds, ma couleur rouge, mes tortillements de fesses et la sensation d’inondation me trahissent définitivement…Je passe une main à l’intérieur de mes cuisses pour me calmer un peu mais rien n’y fait. Je suis bouillante ! Mais en même temps, elle est si gentille et si belle !
Invité
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Un sourire angélique encore sur mes lévres, bien sur que je la protégerais, il n’y a que moi qui ai le droit de faire souffrir ceux qui m’appartiennes, les autres n’on pas se droit sur eux… Je suis la seul… Oui je sais cela peut paraître tordus mais c’est comme cela, ces êtres que j’achète ici son ma propriété, et personne n’a le droit de me les casser… et puis j’adore le regarde de la jeune femme sur moi, j’adore que l’on me regarde comme cela c’est plus fort que moi…
A mes narines je sens un odeur reconnaissable, au fond de moi je jubiles, cette fille semble si facile, un instant je me demande combien d’homme on déjà eu droit a ces faveur, plus d’un sûrement…
Je voit bien dans son regard qu’elle n’a rien comprit, mais pas grave, elle comprendra le moment venu, ce collier est signe qu’elle m’appartiens, qu’elle est mienne, jusqu'à ça fin,qui viendra bien avant la mienne.. doucement je bat des ailes, mes plumes me démangeant légèrement… J’ai bien aimer qu’elle ne réagisse pas a leur vue, c’est étrange d’ailleurs, parce que je sais qu’elle n’a jamais vu des être comme moi… Combien de soldat humains, mort sur notre îles ne m’on t’il pas prit pour un ange, alors que j’allait simplement mettre fin a leur vie…
Le geste qu’elle a de me lécher les lèvres, est vraiment adorable, je pourrais le détester ce este niait, mais il m’amuse a cet instant…Je ne suis pas l’ange que je parait être… Cette maladresse, je l’apprécie pour l’instant, je me demande si elle saura apprendre rapidement… j’aime les femmes qui savent ce qu’elle doivent faire, les hommes doivent m’obéir et les femme me surprendre… oui je suis étrange, mais bon c’est comme cela…
« Je m’appelle Youjin tenhsi… En public tu m’appelleras maîtresse… C’est pour ta sécurité.. »
Doucement ma main viens caresser l’entre jambes humide de la jeune femme, et dans mes yeux s’allume un leur d’envie, comme si je la désirais, comme si j’avait envie d’elle, mes doigts son agiles, doux aussi… Pourtant je le les laisse pas trop longtemps.. Lui prenant la main, je m’avance hors du marcher, lui serrant tendrement la main.. Un signe au vendeur, il sait qu’il sera payé…
« Tu préfère aller au sources.. Où que l’on rentre chez moi ? »
Doucement je déploie mes ailes quoi qu’elle choisisse je m’envolerais avec elle…
[tu l’ouvre a un des deux ^^ ]
A mes narines je sens un odeur reconnaissable, au fond de moi je jubiles, cette fille semble si facile, un instant je me demande combien d’homme on déjà eu droit a ces faveur, plus d’un sûrement…
Je voit bien dans son regard qu’elle n’a rien comprit, mais pas grave, elle comprendra le moment venu, ce collier est signe qu’elle m’appartiens, qu’elle est mienne, jusqu'à ça fin,qui viendra bien avant la mienne.. doucement je bat des ailes, mes plumes me démangeant légèrement… J’ai bien aimer qu’elle ne réagisse pas a leur vue, c’est étrange d’ailleurs, parce que je sais qu’elle n’a jamais vu des être comme moi… Combien de soldat humains, mort sur notre îles ne m’on t’il pas prit pour un ange, alors que j’allait simplement mettre fin a leur vie…
Le geste qu’elle a de me lécher les lèvres, est vraiment adorable, je pourrais le détester ce este niait, mais il m’amuse a cet instant…Je ne suis pas l’ange que je parait être… Cette maladresse, je l’apprécie pour l’instant, je me demande si elle saura apprendre rapidement… j’aime les femmes qui savent ce qu’elle doivent faire, les hommes doivent m’obéir et les femme me surprendre… oui je suis étrange, mais bon c’est comme cela…
« Je m’appelle Youjin tenhsi… En public tu m’appelleras maîtresse… C’est pour ta sécurité.. »
Doucement ma main viens caresser l’entre jambes humide de la jeune femme, et dans mes yeux s’allume un leur d’envie, comme si je la désirais, comme si j’avait envie d’elle, mes doigts son agiles, doux aussi… Pourtant je le les laisse pas trop longtemps.. Lui prenant la main, je m’avance hors du marcher, lui serrant tendrement la main.. Un signe au vendeur, il sait qu’il sera payé…
« Tu préfère aller au sources.. Où que l’on rentre chez moi ? »
Doucement je déploie mes ailes quoi qu’elle choisisse je m’envolerais avec elle…
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