Bon séjour sur Saol Eile

Ayane se tortillait de plus belle, brûlante de désir. L’ange blond continua de sucer son téton et Ayane avait réellement envie qu’il la prenne maintenant et tout de suite. Mais point de sexe non, le corbeau ayant décidé de se relever, c’est avec une pointe de désarroi qu’Ayane se demanda ce qu’il fichait.

Allait-il aller chercher d’autres accessoires ? Non, en fait, il retirait juste son boxer noir dévoilant une formidable érection qui n’était pas sans déplaire à la petite esclave.

Il s’installa alors entre ses jambes, frottant le sexe d’Ayane avec le sien, mais ô ultime déception, sans la pénétrer pour l’instant. Les mains du tortionnaire massaient sans relâche la poitrine d’Ayane et celle-ci n’en pouvait plus.

Essayant de faire entrer le sexe de l’ange blond en elle par des mouvements de bassin, Ayane se tortillait désespérément. Mais le seul effet que ces mouvements avaient, était d’entamer encore un peu plus la peau des cuisses à cause des lanières en cuir.

Ayane se débattait, et était agitée devant l’excitation montante puis à sa grande surprise, le corbeau lui enleva son baillon et lui posa une question. Elle ne savait pas quoi répondre. Elle était trempée de désir et lorsque le corbeau enfonça le bout de son gland en elle, elle se cambra à nouveau et en redemanda plus. Malgré la souffrance de la position, des liens et des menottes, Ayane était surexcitée.

Elle hurla alors :

" Prends-moi ! Prends-moi toute ! Pitié ! "

Il avait eu raison de lui enlever son bandeau, elle s'était mise à hurler mais, comme il l'avait prévu, c'était de désir. Il l'avait enlever et attachée dans une position très douloureuse et inconfortable et malgré tout elle était dans un état d'escitation incroyable, cela confirmait ces théorie sur les filles à savoir que la douceur ne servait à rien. Mais revenon à ayane elle le suppliait de la prendre, oui il allait la prendre et pas qu'un peu, il se demanda d'ailleurs si elle serait dans le même état si elle savait tout ce qu'il avait en tête.

Car il avait déjà toute sorte de jeu en tête, après tout sa malle était rempli d'objet divers et variés autant les utiliser, il savait exactement ou il voulait l'ammenner mais sentait qu'elle n'était pas encore prête, peu importe il avait tout son temps.

Approchant son visage près du sien il l'embrassa doucement, glissant sa langue dans la bouche d'Ayane, il profita de ce baiser quelques instants avant d'y mettre fin et de se redresser. Bon elle voulait être prise alors autant lui faire plaisir. D'un coup de bassin il la pénétra entièrement, faisant glisser tout son sexe en elle, son antre chaude et humide n'opposa aucune résistance, il posa ses mains sur ses hanches et se mit à faire des va et vient, puisqu'elle voulait se faire prendre il décida d'y aller rapidement dès le début. Il voulait la faire jouir une première fois histoire de la mettre bien en condition pour la suite.

Il se mit à la prendre rapidement presque sauvagement faisant de long va et vient entrant au plus profond d'elle à chaque coup mais il se doutait qu'elle aimait ce traitement. Lui même prenait un certain plaisir à la faire crier, il voulait la voir jouir sans pour autant jouir lui aussi, ça il le réservait pour plus tard.

Ayane sentit les lèvres du corbeau l’embrasser langoureusement. Elle mouillait terriblement. Elle sentit sa langue explorer sa bouche et ne fit rien pour l’en empêcher à part gémir quelque peu.

Et puis, il enleva sa langue et sa bouche. Ayane en profita pour susurrer :

" Tu es mignon ! "

Puis, il la pénétra sans prévenir et elle ne put retenir un spasme de plaisir lui entaillant les cuisses et la faisant un peu plus souffrir. Elle sentait sa verge dressée et si puissante en elle.

Et il accéléra. C’était insoutenable. Il lui faisait mal car il la prenait très sauvagement. Elle n’avait pas le temps, ni le loisir de bouger et elle gémissait de plus belle.

" Haaaan ! Haaaaan ! Ouiiiiiiiiiiiii ! "

Elle avait l’impression d’être une poupée entre les mains de ce corbeau. Et il accéléra encore la cadence, poussant de plus en plus loin les pénétrations. Ayane avait l’impression que son vagin allait se déchirer, que son bas ventre allait exploser sous les coups de boutoir de l’ange blond. Elle avait chaud, très chaud.

Et elle criait, elle criait son plaisir et sa douleur en même temps. Elle était toute à lui et ne pouvait strictement rien faire à part crier.

Et puis, elle vint. Sa tête se bascula en arrière et tout son corps tremblait de désir. Elle était épuisée mais il continuait de plus belle. Lui déchirant les entrailles à chaque mouvement la poussant plus loin dans le plaisir et la douleur.

Jusqu’à l’insoutenable.

Et là, elle hurla carrément :

"OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! Arrête pitié ! "

Aidô était heureux de voir qu'il ne s'était pas trompé, son traitement brutal et sauvage l'avait faite hurler de plaisir surement plus que s'il l'avait prise tendrement il en était certain. Il trouvait amusant de voir à quel point sa brutalité pouvait faire jouir les jeunes filles. Il se retira d'Ayane sans avoir joui et la regarda il aimait cet instant ou elles avaient les yeux troublés par le plaisir qu'elles venaient de prendre, ou elles tentaient de calmer leur respiration et de reprendre leur esprit, cet instant ou elles ne refusaient rien.

Il se pencha et glissa sa langue sur son sexe, récoltant la mouille qui en coulait, il aimait le gout des femmes. Il se leva ensuite et alla détaché les lanières qui retenaient Ayane attaché au lit, il desserra les boucles autour de ses cuisses et lui enleva, la peau était rouge, à vif. Il lui enlevait pour deux raisons déjà il savait qu'elle ne tenterait pas de fuir et puis il voulait la changer de position. Une fois ses jambes libérées il la redressa et détacha ses mains. Il la serra contre lui, lui offrant un court instant de douceur, caressant ses cheveux mais il n'en avait pas finit, ce n'était que l'entrée il était temps de passer au plat principal.

Il la manipula avec précaution et la fit mettre à quatre pattes sur le lit, les cuisses bien écartées. Il se positionna alors à genoux devant elle, lui présentant son sexe toujours dur.

"Et si tu me nettoyais un peu ?"

Il avait très envie de profiter de sa bouche, de sentir sa langue venir caresser cette partie si sensible de son corps

Ayane, tremblante, sentit une langue passer sur son sexe humide et frissonna de plus belle. Elle ne pouvait plus bouger, l’explosion des sens avaient été intenses et elle ne pouvait reprendre ses esprits.

Puis à sa grande surprise, l’ange blond la détacha. Dieu ce qu’elle avait mal aux cuisses et elle pouvait sentir les brûlures sur la partie préalablement attachée. Ses jambes retombèrent lourdement mais le corbeau n’en avait pas fini avec elle.

Il la redressa alors et enleva les menottes. Bouger, elle pouvait bouger mais n’en avait pas la force pour le moment.

Elle se sentit serré contre lui. Alors il l’aimait ? Chouette alors !

Il la fit mettre à quatre pattes. Ayane avait bien du mal à protester. Puis en ouvrant un œil, elle vit la verge dressée devant sa bouche et le corbeau demanda si elle pouvait la nettoyer.

Ayane eut un petit mouvement de recul et questionna :

" Tu m’aimes ? "

Avant de faire quoique ce soit…

Mais elle était pas possible cette fille ! Elle revenait à la charge avec l'amour, encore ! Il lui avait pourtant dit d'arreter de le faire chier avec ça mais non, apparemment il n'avait pas été assez clair. Il dut respirer calmement pour ne pas la frapper mais il ne devait pas trop l'abimer déjà qu'il ne savait pas comment il allait expliquer à sa maitresse les marques sur ses cuisses inutile d'en rajouter.

Bon que faire ? Lui dire non et devoir recommencer au début ou lui dire ce qu'elle voulait entendre ? Oui mais la première fois il lui avait mentit et elle s'en était rendu compte. Mais pourquoi était-elle si compliqué ? Il soupira légèrement et prit son visage dans sa main pour qu'elle le regarde, il plongea ses yeux bleus dans les siens et lui murmura

"Je t'aime Ayane"

Cette fois ci il ne s'était pas précipité et avait prit le temps de lui dire calmement, d'un ton presque timide qui lui semblait assez juste, il ponctua sa phrase d'un léger baiser sur les lèvres et la regarda attendant sa réaction

Ayane eut un grand sourire quand Aidô lui dit qu’il l’aimait. C’était ça, ce garçon ne savait pas exprimer ses sentiments, mais il l’aimait et c’était le plus important ! Elle était heureuse !

C’est alors qu’elle vint caresser le dos de son sexe du bout de l’ongle et approcha sa bouche. Elle commença à le lécher goulûment de petits coups de langue rose. Elle continua de le lécher encore et encore et quand elle sentit que le moment était venu, elle enfourna le puissant membre en entier dans sa bouche et fit de petits mouvements de va et vient, jouant avec le gland et le meat avec sa petite langue dans sa bouche.

Elle titillait, suçait et regardait le corbeau avec un regard soumis et amoureux. Et elle augmenta petit à petit le rythme. Elle tortillait ses hanches en même temps et elle sentait ses seins se balancer au fil des mouvements de sa tête et plus particulièrement de sa bouche sur le sexe du corbeau.

Et elle continua, en douceur, de dévorer ce membre puissant dont elle avait du mal à garder l’entièreté de son grand sexe dans sa petite bouche.

Mais elle était appliquée la petite et plutôt douée, il fallait bien le dire. Elle décallotait, lechait, suçait encore et encore.

Elle était maintenant sure que le corbeau l’aimait et la remercierait pour ce qu’elle «était en train de faire même si elle n’aimait pas trop le goût amer de la semence masculine. Elle espérait secrètement qu’il ne vienne pas dans sa bouche mais il lui dirait très certainement avant de jouir vu qu’il l’aimait.

Elle prit un rythme encore plus élevé et une de ses mains vint caresser tendrement les testicules de l’ange blond tandis qu'Ayane continuait sa besgone…

Aidô fut soulager de voir qu'elle le croyait, elle se rapprocha et il vit avec bonheur sa langue venir lécher son sexe tendus, c'était si bon, il eu un soupire de plaisir. Elle s'y prenait bien elle titillait, décallotait, lechait, suçait c'était divin. Il prenait beaucoup de plaisir à la voir s'occuper de son sexe comme ça.

Il passa sa main dans ses cheveux doucement, elle lui donnait beaucoup de plaisir et il laissait par moment échapper des gémissements, il ne connaissait pas de sensations plus agréable qu'une bouche sur son sexe. Elle lui donnait du plaisir il devait le reconnaitre, d'ailleurs il pourrait très bien jouir comme ça mais non il ne fallait pas, pas encore, il avait d'autre projet en tête. Posant sa main sur son visage il la repoussa doucement.

"Merci ma chérie c'est vraiment très bon mais j'ai encore envie de m'occuper de toi avant de jouir"

Voilà comme ça il passait encore pour un gentil genre "ton plaisir passe avant le mien", il se releva et alla se placer derrière Ayane qui devait se demander ce qu'il comptait faire mais il allait commencer en douceur. Se penchant en avant entre ses cuisses écartées il glissa sa langue sur son sexe la léchant tendrement, juste pour bien la mettre en condition. Elle était encore mouillé et il décida d'en profiter sans attendre.

Il attrapa dans sa malle un objet dont l'utilisation était évidente vu sa forme, plus large que son propre sexe il le mit en marche le faisant vibrer légèrement et s'en sevi pour caresser le sexe de la jeune fille ou il ne tarda d'ailleurs pas à le rentrer. Il espérait qu'elle aimait cette nouvelle sensation mais ce n'était pas finit. Un peuplus tôt elle n'avait pas aimé quand il lui avait touché l'anus et il voulait voir si elle était devenu plus réceptive, écartant ses fesses il passa doucement sa langue sur cette zone sensible.

Ayane sentit la main du corbeau dans ses cheveux et elle s’adonna à sa besogne encore plus consciencieusement. Puis il la repoussa doucement et lui fit signe d’arrêter. Alors il allait venir ? Oh, il avait pensé à elle et au fait qu’elle n’aimait pas trop le fait que l’on vienne dans sa bouche ! Qu’il était mignon !

Et puis, il lui dit que son plaisir passait avant le sien. Encore ? Mais elle avait eu du plaisir, c’était à lui maintenant ! Mais point le temps de protester qu’elle se retrouvait en train d’être léchée, à quatre pattes.

Le plaisir remonta alors, la submergeant de nouveau et elle poussa des petits cris coquins. Elle ne pouvait pas voir ce qu’il faisait derrière ses fesses mais elle entendit un petit ronflement, un petit moteur.

A peine eut-elle le temps de reconnaître le bruit d’un vibromasseur qu’il le passait autour de son sexe avant de le plonger à l’intérieur. Ayane poussa un petit cri :

" Han, doucement ! "

Le vibromasseur était très gros pour le petit sexe de la fille et cette pénétration lui avait fait un peu mal. Mais sentir l’objet vibrer en elle la faisait remouiller et remonter. Le liquide coulait le long de ses cuisses trahissant son plaisir...

* Han, que c’est bon ! *

Et puis il écarta ses fesses et lui lécha l’anus. Là, Ayane se cambra, tenta de s’écarter mais pas facile avec un vibro dans le sexe. Non, elle ne voulait pas… Elle articula difficilement :

" Haaan… Non… Haaan… Pas là… Non… Haaan… Mon chéri, pas là…"

Apparemment alle aimait se faire lecher dans cette position, elle parut surprise et lacha un cri au contact du vibromasseur, c'est vrai qu'il était un peu gros mais elle n'en prendrais que plus de plaisir. Il savait qu'il entrerait en elle sans difficulté vu son état d'excitation cela n'avait rien de compliqué. D'ailleurs comme pour confirmer ses pensées il vit son liquide chaud couler lentement entre ses cuisses.

Cependant il fut contrarié de voir qu'elle le repoussait encore alors qu'il s'approchait de son anus, c'était vraiment dommage, pour le moment ça se passait bien entre eux, elle était devenue raisonnable et la voilà qui se redébattait, allait-il devoir la forcer en l'attachant une nouvelle fois ?

Se redressant il passa une de ses mains sur sa poitrine et s'en sevit pour la relever, elle avait maintenant le dos appuyé contre son torse, tandis que le vibromasseur continuait de lui donner du plaisir, il posa ses mains sur ses seins et lui caressa tendrement il fallait de nouveau la mettre en confiance. Il lui murmura à l'oreille comme un amant amoureux

"Pourquoi tu ne veut pas ? Je suis sur que tu y prendrais du plaisir, tu ne me fait pas assez confiance pour ça hein ?"

Il avait utilisé un ton volontairement triste sur la fin le but étant de lui faire penser qu'il était blessé par son attitude, oui pour être clair il voulait la faire culpabiliser de lui refuser quelques chose alors qu'il le faisait juste pour elle, pour son plaisir. Oui c'est vicieux d'agir comme ca et alors ?
Il continua de la caliner quand même l'embrassant dans le cou mais avec une certaine distance, comme si elle lui avait vraiment fait de la peine.

Le corbeau passa une main sur la poitrine d’Ayane et la releva doucement. Elle frémit, le vibromasseur faisant son travail, le changement de position et le téton pointant ostensiblement sous la main du corbeau rendait Ayane toute chose.

Une chose était sure : elle ne voulait pas être sodomisée. Elle n’aimait pas ça, c’était ainsi, et si l’ange blond l’aimait, il le comprendrait. En fait, elle avait très peur d’avoir mal et préférait les rapports conventionnels aux relations douteuses.

Elle le regarda le regard humide lorsqu’il acheva sa supplique. Elle répondit, la voix hachée de cris de plaisir dû au vibromasseur :

"Je… Han.. Je n’aime pas ça… Han… Mais si tu m’aies vraiment, tu ne me… Haan… Forcera pas… Haaan…"

Elle fut très peinée de la distance que le corbeau mettait à présent entre eux. Elle voulait enlever le vibromasseur et partir d’ici. La situation ne lui plaisait plus. Et elle ne voulait pas qu’il la pénètre analement parlant. Elle commençait à avoir très peur. Elle passa une main sur le vibromasseur et tenta de l’enlever puis dit :

"Je t’en pries… Laisse moi partir ! Je ne veux pas que tu.. Haan.. Que tu me sodomises… Je veux bien te faire jouir mais pas ça pitié !"

Le mot était lâché, mais le corbeau comprendrait-il ses réticences ? S’il l’aimait, il comprendrait car cela voudrait dire qu’il la respectait… Et il l’aimait, elle en était sure !

"Moi je suis sur que tu aimerais ça et si toi tu m'aimais tu me laisserais essayer"

Il la vit descendre sa main entre ses cuisses pour enlever le vibromasseur, elle voulait partir mais c'était hors de question, elle partirait quand lui l'aurai décidé, pas avant. Il lui attrapa le poignet pour arrêter son geste.

"tu ne va nul part tant que je ne l'ai pas décidé ma chérie et tu fera ce que je voudrais"

Là elle devait avoir peur et elle avait raison, il avait décidé de la sodomisé et peu importe qu'elle ne veuille pas. Il reprit sa chaine avec menotte qui était attaché au mur et la rattacha le temps d'aller chercher ce qu'il voulait. Il prit deux courtes chaines avec une menotte à chaque extrémité et lui attacha les poignets avec les chevilles.

Il la contempla, regardant avec satisfaction la position dans laquelle il l'avait mise, ses genoux étaient repliés sous elle et à cause de la faible longueur des chaines son buste et sa tête étaient posé sur le lit les bras tirés en arrière. Ses fesses étaient parfaitement offertes et accessible tandis que le vibromasseur entré dans son vagin devait être bien compressé, tant mieu elle le sentirais encore plus. Il passa sa main sur son sexe et augmenta la vitesse de vibration.

Satisfait il se pencha en avant et sa langue vint lécher son anus offert et cette fois elle pourrait supplier tant qu'elle voudrait il irait jusqu'au bout. Il le titilla un moment de la langue tandis que ses doigts caressaient son clitoris, il était curieux de voir si le plaisir qu'elle prenait serait plus grand que la peur. Une fois ses doigts couvert de mouille il posa son majeur à l'entrée de son anus et commença à l'enfoncer. Elle avait beau ne pas vouloir son doigt rentra assez facilement et il décida d'en mettre un deuxième.

La tristesse d’Ayane était à son paroxysme lorsqu’elle comprit que le corbeau ne l’aimait pas et qu’il voulait abuser d’elle point.

Elle n’eut pas le temps de lui dire qu’elle se retrouvait pieds et poings liés, attachée dans une position tout à fait inconfortable.

Le corbeau décida alors de mettre le vibromasseur sur position maximale et Ayane eut bien du mal à ne pas gémir de plaisir et de douleur. Ses entrailles étaient fortement remuées et cela en devenait insoutenable.

" Haaaan… Pitié… Je croyais que tu m’aimais… Haaaan… "

Il recommença en outre à la lécher et à la titiller son anus. Elle se débattait mais sans grande conséquence vu comment elle était attachée. Elle implora :

" Non, pitié, pas là…"

Lorsque le premier droit pénétra son anus, Ayane se cambra et eut mal. Lorsque le deuxième doigt vint rejoindre le premier, elle eut encore plus mal. Elle ne voulait pas ça ! Pas par ce trou ! Elle gigotait, gémit de plaisir et de douleur. Les sensations venaient de partout et la pauvre Ayane était submergée. Elle ne savait plus si elle devait ressentir du plaisir avec le vibro dans son sexe ou e la douleur avec les doigts dans son anus.

Elle criait, pleurait, suppliait :

"Non, pîtié ! Arrête ! J’ai mal !"

Aidô eut un sourire sadique il s'amusait de la voir dans un tel état passant du plaisir à la douleur et il aimait l'entendre supplier. Le plaisir et la douleur deux sensations plus proche qu'on ne croit l'une pouvant amenner l'autre. Il retira ses doigts brutalements, il venait d'avoir une idée, elle n'allait pas aimer c'était certain, elle allait hurler même mais lui s'amuserait énormément.

D'un geste rapide il retira le vibromasseur qu'elle avait dans le vagin, il était recouvert de mouille, il l'appuya sur son anus et l'enfonca sans douceur à l'intérieur, réglant la vibration au maximum. Il observa son vagin désormais offert, il était toujours en érection, il se placa derrière elle et la pénétra sauvagement, commencant immédiatement de brutal va et vient. Il sentait son sexe vibrer à cause du vibromasseur proche et cela augmentait son propre plaisir. Il la prit sauvagement pendant un moment il voulait l'entendre hurler de plaisir et de douleur, il voulait l'entendre supplier et hurler son nom.

Son plaisir montait vite et il ne tarda pas à jouir se répendant en elle, il se retira satisfait mais ne comptait pas s'arreter pour autan, il sortit un autre vibromasseur de sa malle et l'enfonca dans on vagin à la place du premier réglant la vibration sur un rythme moins élevé.

Il se leva et alla se placer devant elle, lui relevant la tête, tordant un peu plus ses bras. Il lui présenta son sexe couvert de mouille et de sperme.

"Suce moi maintenant"

Il la vit lui lancer un regard rempli de haine et de peur, elle ne voulait pas obéir tant pis pour elle. Il prit un martinet et lui en donna un coup sur les fesses la faisant se cambrer sous la douleur.

Ayane ne pouvait voir ce que le corbeau fabriquait mais le vibromasseur enfoncé dans son sexe commençait sérieusement à lui irriter les chairs internes. De plus, les deux doigts enfoncés dans son anus malaxaient sans relâche son autre intérieur.

Elle n’en pouvait plus et gémissait…

C’est alors qu’Aido retira le vibromasseur de son intimité. Ayane soupira de contentement, contente que cette chose ne soit plus dans son sexe. Relâche éphémère, puisqu’elle sentit une toute autre douleur. En effet, l’objet était poussé sans ménagement dans son anus. Elle eut l’impression que ce dernier allait exploser tant ses chairs étaient tendues et proches de la rupture. Mais le corbeau fit jouer sa force et enfonça entièrement le jouet puis régla la puissance au maximal.

Ayane eut très mal et quelques gouttes de sang perlèrent de son anus, reflétant la douleur qu’elle avait subite. Elle sentait les vibrations de l’objet dans son cul et elle avait mal, si mal.

Elle hurla, lorsque le corbeau la pénétra sans ménagement la prenant le plus violemment possible.

" Pitiéééééééééééééééééééééééé ! Non, j’ai si mal ! Pourquoi vous faites ça ? Pourquoiiiii ?"

Les va et vient étaient horriblement brutaux et Ayane ne sentait plus que de la douleur. Elle avait l’impression d’être prise par tous les orifices possibles et elle criait et pleurait de plus belle, suppliant le corbeau d’arrêter à chaque coup de butoir qu’il lui infligeait.

La cadence était trop élevée et Ayane était dans un état second, ne sachant plus où elle se trouvait ni même comment elle était arrivée ici…

Et elle sentit sa semence chaude en elle. Il était venu… Alors il allait arrêté ? Non, elle sentit qu’on lui introduisait immédiatement un autre vibromasseur mais dans le sexe… Et là, c’était trop pour la petite esclave…

Elle ne savait plus où elle était…

Il se déplaça et vint se placer devant elle. Elle lui lança un regard implorant et triste. Elle était terrorisée et était humiliée. Les deux engins en elle continuait de masser son intérieur, sans relache, sans possibilité de les arrêter…

Son vagin et son anus la faisait souffrir…

Et elle entendit le corbeau lui demander de la sucer lui présentant son sexe dressé salie de sperme et de mouille.

Elle eut un mouvement de recul mais un coup de martinet lui laboura les fesses. Elle était dégoûtée… Elle se cambra sous la douleur et dit :

" Vous… Haaan… Vous pouvez me forcer à vous sucer… Haaaan Haaaaaaan ! Mais je ne le ferais pas moi-même…"

Ayane détourna alors la tête, se doutant que le corbeau allait encore la torturer… Les deux vibromasseurs la firent jouir et du liquide vaginal se répandait encore un peu plus le long de ses cuisses, brûlant au passage les parties où la chair était à vif à cause des lanières… Tout était trop, le plaisir, la douleur, Ayane était nympho mais pas maso après tout…

Et là, elle sentait les deux engins en elle… Et son anus lui faisait mal, si mal…Elle sétait préparé à ce que le corbeau la torture encore après ce refus, lui enfonçant certainement le sexe dans la bouche... Mais elle ne voulait pas le faire elle-même...

Un deuxième coup de martinet plus sec que le premier la refit crier, il savait qu'elle lui dirait non c'était évident alors pourquoi lui avaoir poser la question ? Simplement pour le plaisir de pouvoir la punir pour son refus. C'était sadique, méchant et il aimait ça. Il regarda les marques rouges sur ses fesses, bah après tout sa maitresse dirigeait un hopital non ? Elle saurait bien la soigner.

"Mauvaise réponse Ayane et au fait tu me vouvoye de nouveau ? Je ne suis plus ton amoureux ? Et je t'ai déjà dit pourquoi je faisait ça tu as la mémoire courte, cela m'amuse, j'aime bien jouer à ce genre de jeu"

C'était de la pure cruauté, lui rapeller qu'il lui avait mentit, qu'elle s'était faite avoir comme une idiote, juste pour la faire souffrir mentalement. Oui une idiote voilà ce qu'elle était, elle avait cru, comme beaucoup de femme, qu'un visage d'ange appartenait forcément à un gentil et elle s'était trompée. Les humaines devraient arreter de croire que beau égal gentil et que moche égal méchant.

Mais bon revenons à la situation actuelle, elle refusait donc de le sucer et bien il allait se servir, il utilisa une méthode toute simple, il lui pinca le nez, elle fut donc obligée d'ouvrir la bouche pour respirer, il attrapa sa machoire et la forca à ouvrir en grand avant de glisser son sexe en elle. Il se doutait bien que le gout ne devait pas lui plaire mais peut importe il n'était pas là pour se préoccuper de ses envies à elle mais des siennes. Il enfonca son sexe profondément dans sa bouche et se mit à faire des va et vient comme il l'avait fait un peu avant dans son sexe.

Il prenait beaucoup de plaisir à se servir d'elle comme ça, elle était prise par tous les orifices, il était encore très excité et ne tarda pas à jouir une seconde fois dans sa bouche avec un gémissements de plaisir. Il se retira laissant sa bouche suoillée et la regarda avec un sourire en coin

"Merci beaucoup ma chérie c'était très bon"

Devant le refus d’Ayane, un nouveau coup de martinet lui claqua les fesses, la faisant encore un peu plus souffrir. Les deux vibromasseurs continuaient sans relâche leur besogne interne.

La main du corbeau vint lui pincer le nez et elle dut ouvrir la bouche pour respirer. Malheureusement, c’est le moment que choisit Aido pour lui enfourner son sexe dégoulinant et sale dans la bouche et entamer des mouvements rapides de va et vient.

Le goût était horrible et une envie de vomir pointa son nez. Ayane n’en pouvait plus, elle était prise par tous les trous et le plaisir mêlé d’une immense douleur était à son paroxysme. Au fur et à mesure qu’elle était forcée à sucer, des gouttes de sperme et de mouille descendaient le long de sa gorge et souillaient un peu plus sa bouche.

Et puis, il vint au fond de sa gorge. Elle sentit le liquide chaud, gluant et amer couler dans sa gorge. Elle était souillée et épuisée. Il se retira alors et un filet de bave dégoulina de la commissure des lèvres de la pauvre petite esclave. C’était fini…

Elle retomba lourdement à terre… Fini ? Non, les deux vibromasseurs continuaient de fonctionner eux, et Ayane voulait qu’ils les enlèvent. Celui efoncé dans son anus la faisait horriblement souffrir. Et l’intérieur de son sexe était à présent très irrité.

Elle murmura, humiliée :

" Dééétaaache moi… Enlèves-moi les vibro… Pitiééééé…"

Aidô se releva et alla se placer derrière elle, il lui caressa un moment les fesses, puis il attrapa le vibro qu'elle avait dans le vagin et le retira doucement, il fit ensuite pareil avec l'autre. Eteingnant les deux appareils il les laissa sur le lit, il les nettoyerais plus tard. Il détacha ensuite Ayane, lui enlevant les chaines qui attachaient ses chevilles avec ses poignets. Cependant il laissa un de ses poignets attaché et le relia à la chaine attachée au mur. Il n'avait pas envie de courir après elle à travers la chambre même si elle ne semblait pas en état d'aller quelque part.

La chaine était sufisament grande pour lui permettre de s'allonger sans se faire mal, la laissant seul Aidô parti plusieurs minutes dans la pièces à coté, il revint ensuite chercher la jeune fille. Il la détacha et la remit debout pour l'emenner avec lui mais elle ne semblait pas en état de marcher pour le moment. Il la souleva donc dans ces bras, ignorant ses réactions.

Il répartit dans l'autre pièce avec Ayane dans ses bras, la pièce en question se trouvait être une immense salle de bain tout en marbre blanc. Il déposa la jeune fille devant le lavabo, la soutenant d'une main pour qu'elle ne tombe pas, il lui tendit un verre d'eau.

"Rince toi la bouche chérie"

Il attendit qu'elle ai fait ce qu'il lui avait dit et la reprit dans ses bras mais il ne retourna pas dans la chambre. Au fond de la salle de bain se trouvait une immense baignoir rempli d'eau il y entra avec Ayane dans les bras. S'appuyant contre une paroi il positionna la jeune fille entre ses jambes lui faisant appuyer la tête contre son torse.

"Détend toi maintenant, l'eau chaude va te faire du bien"

Il la garda contre lui, caressant doucement son corps, il n'avait pas pu s'occuper beaucoup de sa poitrine de part la position dans laquelle il l'avait mise et comptait bien en profiter maintenant. Il lui massa les seins, prenant les pointes entre ses doigts, tirant légèrement dessus.

"Ca va mieux ?"

Ayane était écroulée au sol. Elle sentit que le corbeau lui retirait les vibromasseurs et poussa un soupir de soulagement, s’écroulant un peu plus à terre. Elle n’était plus trop consciente.

Elle sentit dans une sensation un peu floue qu’on la détachait presque entièrement mais n’esquissa pas le moindre mouvement quand le corbeau s’absenta et resta au sol.

Puis, il revient, la détacha entièrement et la traîna dans la salle de bains. Un verre d’eau lui fut tendue et elle se rinça la bouche bien que le goût du sperme et de la mouille était encore présent après.

Puis le corbeau pénétra dans l’eau et Ayane sentit qu’on l’immergeait un peu. Il la plaqua ensuite contre lui et elle se retrouva tête contre son torse ne bougeant plus trop. Elle était épuisée et voulait dormir.

Et il s’amusa ensuite avec ses seins, les titillant, tirant légèrement les pointes. La sensation des vibros était encore présente dans l’intérieur d’Ayane bien que les objets furent retirés.

Elle se souvenait qu’il l’avait prise par tous les trous possibles et en était très humiliée. Elle n’oserait pas parler de ça à sa maîtresse de honte. Le corbeau s’enquit alors de sa santé et Ayane annona d’une voix épuisée et soumise :

"Pourquoi ? Pourquoi tu as fait ça ? Tu t’es servi de moi et de mon corps… Je croyais que tu m’aimais et tout ce qui t’intéressait c’était le sexe…"

Elle était épuisée et humiliée, quoiqu’il fasse maintenant, elle n’avait plus la force de protester…

Aidô arreta de la caresser la serrant simplement contre lui, il passa tendrement sa main dans les cheveux de la jeune fille. Maintenant qu'il;avait bien joué il fallait négocier le coup pour qu'elle lui pardonne, il n'avait pas envie d'avoir d'ennuie avec sa maitresse. Si la jeune fille était aussi naive qu'il le pensait il avait déjà une idée, bon allon y, sortez les violons.

"je suis désolé Ayane, tu sait la première fois que je t'ai vu c'était au marché, tu était si jolie j'ai eu envie de t'acheter mais je n'avais pas d'argent et le temps que j'ailles en chercher tu avait été vendue, ca ma rendu vraiment triste et c'est pour ça que je t'ai enlevé je voulait t'avoir pour moi. Et puis on s'est parlé tu m'a dit des choses vraiment gentille, j'ai toujours été seul tu sais, mon père et le chef du clan mais ma mère n'était qu'une esclave, j'ai toujours été traité comme un batard, j'ai toujours été seul, exclu. Les esclave ne voulait pas de moi parce que j'était le fils du chef et les membre de la famille ne voulait pas non plus de moi à cause de ma mère esclave. Le seul moyen que j'ai eu de survivre et de me faire accepter ça a été de devenir méchant. J'ai jamais su comment m'y prendre avec les filles je suis pas habitué au contact humain, je me sentais bien avec toi mais quand tu m'a dit que tu ne voulait pas, j'ai cru que toi aussi tu me rejettais. Tu avait été si gentille et là tu me repoussait, je comprenais pas et j'ai perdu le controle, je voulais pas te faire de mal. Je suis vraiment désolé. S'il te plait il faut que tu me pardonne, je voulait pas ça, je voulait juste que toi aussi tu m'aimes"

Il avait parlé calmement, d'une voix triste, reprennant parfois sa respiration comme s'il essayait de se retenir de pleurer, il renifla un peu et appuya sa tête contre l'épaule d'Ayane comme s'il cherchait du réconfort auprès d'elle. Dommage qu'il ne sache pas pleurer sur commande sinon ca aurait été parfait.

"Qu'es-ce que je doit faire pour que tu me pardonne mon amour ?"

La jeune fille écouta attentivement l’argumentaire du corbeau. Ainsi, c’était donc ça. Sa première idée était la bonne. Il était vraiment amoureux d’elle et il était maladroit c’était tout.

Le fait qu’il la serre tendrement joua en la faveur de lange blond. Ayane comprit alors pourquoi il avait fait tout ça. Certes, la torture avait été rude mais elle avait pris du plaisir après tout. Jamais elle n’avait été prise par tous ses orifices.

Elle se contenta de sourire à Aido et dit :

"Je ne t’en veux pas… Je comprends… Mais je n’ai plus de vêtements, tu les as déchirés dans ta hâte amoureuse !"

Elle ne savait pas comment annoncer ce qui lui était arrivée à Youjin alors elle pensa que le mieux était de taire cet épisode. Elle murmura :

"Je ne dirais rien car je t’aime aussi ! Prends moi une derniere fois, pour me prouver que tu m’aimes mon amour. L’eau m’excite encore un peu"

Elle avait encore quelques douleurs physiques mais elle voulait sentir le corbeau en elle une dernière fois, qu’il la prenne tendrement et qu’il prenne soin d’elle.

Ayane était une gentille nymphomane et finalement elle n'en avait jamais assez.

Ayane lui fit un sourire, elle lui pardonnait, il fut étonné de la rapidité avaec laquelle elle lui accordait son pardon, il s'était déjà préparé à continuer son argumentation mais bon tant mieux pour lui. Elle lui dit qu'elle l'aimait et qu'elle ne dirais rien, voilà qui était parfait, mais ce qui l'etonna au plus au point ce fut qu'elle lui demande de la prendre, après ce qu'il lui avait fait elle en voulait encore, décidément il avait bien choisie sa proie. Mais bon maintenant il fallait jouer le role du gentil garçon amoureux jusqu'au bout

"Merci mon amour, moi aussi je t'aime, ne t'inquiète pas pour tes vêtements je t'en donnerais d'autre"

Il la fit se retourner pour qu'elle lui fasse face, la mettant à cheval sur lui. Il lui sourit gentiement et lui caressa le visage avant de venir l'embrasser doucement. Il posa ses mains sur ses hanches la positionnant au dessus de son sexe et la fit descendre pour la pénétrer. C'était le moment le plus délicat pour lui il allait devoir lui faire l'amour tendrement comme un garçon amoureux et il n'avait jamais fait ça. Il était habitué au rapport brutaux et pas à la douceur. Il commenca à la faire monter et descendre sur son sexe allant lentement.

"dit moi si je fait pas ca bien je suis pas hbitué à la douceur et je veut vraiment que tu aimes"

Il la serra contre lui tout en continuant ses long mouvements, leur position était parfaite c'était elle qui avait le dessus et cela l'empéchais de s'emballer elle n'aurait qu'a prendre le rythme qu'elle voulait

Ayane sourit quand le corbeau la retourna. Elle sentit ses mains sur ses hanches et il la fit alors s’empaller sur son sexe. Elle poussa un cri de plaisir mais aussi un peu de douleur vu le traitement qu’elle avait reçu pécédemment.

Elle fit bouger ses hanches et entama un va et vient pour lui donner le plus de plaisir possible. Pour lui montrer aussi que l’amour pouvait être sans douleur.

Elle controlait le rythme, accélérant parfois pour faire monter le corbeau et ralentissant, jouant avec ce moment où elle allait sentir son sperme se répandre en elle.

Elle ne profita pour l’embrasser tout en modulant le rythme. Elle aimait aussi faire ça dans l’eau. Elle lui murmura à l’oreille :[/i)

"Tu vois que tu peux avoir du plaisir en étant doux, mon chéri."

[i]Puis Ayane augmenta sensiblement le rythme de ses hanches, elle sentait que le corbeau allait bientôt venir. Elle voulait faire ça pour lui, pour lui prouver que la douceur existait et qu’il n’avait pas être violent.

Elle augmenta encore le rythme et susurra des paroles à l’oreille du corbeau :

"Tu vois, tu n’as pas à me frapper ou ùà m’humilier pour avoir ce que tu désires…."

Elle lui lança un regard coquin et commença à pousser des petits cris pour l’exciter encore plus… Elle sentait que l’ange blond était à la rupture et s’apprêtait à le voir jouir…

Ayane ne tarda pas à lui imposer son rythme tantôt rapide tentôt plus lent, il comprit qu'en fait elle cherhcait avant tout à lui donner du plaisir, elle voulait lui prouver que la douceur pouvait procurer du plaisir et qu'il n'avait pas à être violent. Il se contenta d'hocher la tête en souriant. En réalité il aimait la violence, il aimait voir les filles crier de plaisir et de douleur mélé. Il ne faisait pas ca pour obtenir ce qu'il voulait mais parce qu'il aimait ça, mais bon il devait jouer au mec amoureux. Pour être honnête c'est vrai qu'il prenait du plaisir il ne pouvait pas le nier mais il en prenait quand même un peu moins.

Il ferma les yeux profitant simplement des mouvements d'Ayane, elle se mit à pousser de petits cri d'excitation et cela fit grimper son plaisir d'un coup, c'était incroyable comme les cris pouvaient l'exciter. Il ne tarda pas à jouir, serrant Ayane contre lui laissant son sexe enfoncé au fond d'elle. Il rouvrit les yeux et l'embrassa longuement

"Merci mon amour"

Il se retira doucement d'elle et la prit dans ces bras pour la caliner tendrement, c'est pas qu'il en avait spécialement envie mais il se doutait que c'était ce qu'il fallait faire.

Ayane imprimait toujours le mouvement et l’ange blond vint finalement en elle, la plaquant contre la base de son sexe. Elle cria très fort pour lui montrer sa reconnaissance.

Il l’embrassa alors, puis se retira et la serra contre elle. Ayane posa sa tête contre le torse musclé de l’ange blond.

Puis, elle lui murmura :

"Mon chéri, je suis si heureuse que tu aies joui dans la tendresse."

Elle défit alors son etreinte et attrapa le gel douche. Elle en mit dans ses mains et commença à laver son amoureux avec. Coquine comme elle était, elle se versa du gel douche sur les seins et massa le corps de l’ange blond ainsi, le savonnant de partout.

Arrivée à son sexe, elle eut un petit regard de désir et elle se baissa. Elle prit son membre puissant entre ses seins et le lava ainsi. Elle n’avait plus peur de lui. Tout ce qui importait maintenant était leur amour. Elle lui fit une branlette espagnole et elle s’éternisa dessus en le flattant :

"Mon amour, ton corps est superbe…"

Elle sentit son sexe se dresser entre ses seins et elle continua les mouvements de plus belle, ne sachant pas si elle devait le faire jouir à nouveau.

Bon séjour sur Saol Eile

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