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Mauvaise humeur…Telle était l’état d’esprits du Kakon assit dans son fauteuil au haut dossier style Louis XVI, comme le reste de l’appartement privé qu’était le dernier étage du Mugen no Uchi, observent l’âtre de la cheminer ou crépitait un vif feu de bois, se reflétant dans les yeux verts émeraude de l’homme. On le faisait chanter, chose qu’il n’appréciait absolument pas…Mettre son nez dans ses affaires, menacer son établissement et les transactions que tenait le Kakon n’était pas une bonne idée, et en tant que maitre du Mugen il allait régler ca de façon rapide et radical, œil pour œil, dent pour dent…Surtout que beaucoup des affaire de la famille se négociait ici, l’endroit était pratique pour les rencontre secrète et le savoir menacer nuirait à trop de monde… Régler ce problème était une priorité et Kei avait déjà pris les première mesure, Tenshi avait fait le nécessaire pour gagner du temps, mais cela ne suffisait pas aux yeux du gérant, voulant s’assuré qu’il ne pourrait plus jamais le menacer…
Grace aux informations que détenait sa famille, il avait découvert le point faible de l’homme qui le menaçait, une technique vielle comme le monde, s’attaquer au être chère, une femme en l’occurrence, son esclave dont il était tombé amoureux, quoi de plus facile que de l’enlever et de la lui rendre en pièce si il continue de lui chercher des poux… Mais un premier avertissement s’imposait… Et il avait trouver la personne idéal pour ce travail, une mercenaire garde du corps, cette petite mission lui prouverai ses capacités, aller enlever cette fille et lui ramener dans une planque en ville équiper d’objet très désagréable… Une autre esclave a fugué en plus… Elle sera vite rattraper de toute façon et punis comme il se doit la bas… On toque a la porte… D’un geste, Kei ordonna a la soubrette présente d’ouvrir la porte, ce qu’elle fit laissant entré la nouvelle employer entouré de trois homme de la sécurité, on n’est jamais trop prudents…Elle s’appelait Isei, de la ou elle était maintenant, elle pouvait voir le salon ou ils se trouvaient en détaille, un ensemble de deux fauteuil a large et haut dossier de chaque coté de la cheminé, légèrement tourner vers celle-ci, avec une table basse sur laquelle reposait un dossier et une tasse de thé vidé par le Kakon assit dans le fauteuil de droite, un canapé en retrait de la table basse était aussi présent, ainsi que deux commode avec quelque objet courant, dont une horloge doré don le tic tac s’ajoutait au crépitement du bois qui brulait… Les mur était d’un beige clair et percer de deux fenêtres au rideau pourpre, une de chaque coté de la cheminé, elle-même surplomber par un portrait de Kei… La soubrette se mis a coté de la fenêtre derrière son maitre, semblant s’ajouter au mobilier de la pièce pendant qu’il adressait la parole a la nouvelle venue…
- Vous chercher du travail a ce qu’on m’a dit…J’aurai besoin de vos services de garde du corps assez rapidement… Mais avant, j’aimerai que vous fassiez une petite chose pour moi, pour me prouver vos capacités… Il faudrait que vous enleviez la jeune esclave décrite dans ce dossier, elle appartient au chef de la police…
Kei lui tendait le dossier, il contenait sa photo, ainsi que des renseignements sur ses habitudes et où la mercenaire pourrait trouver ca proie… Maintenant Kei voulait en savoir plus sur la jeune femme…Il avait déjà eu un aperçu grâce a ses relation, mais le savoir de la bouche de l’intéresser était intéressant aussi…
- Je sais que vous êtes le garde du corp du maitre de la famille Ankoku, avez-vous d’autre obligation ?
Le corbeau ordonna ensuite a la soubrette de resservir du thé, attendant les réponse de la belle jeune femme qui lui servirait peut être de garde du corps…
(un peu light, mais pour un premier post^^)
Grace aux informations que détenait sa famille, il avait découvert le point faible de l’homme qui le menaçait, une technique vielle comme le monde, s’attaquer au être chère, une femme en l’occurrence, son esclave dont il était tombé amoureux, quoi de plus facile que de l’enlever et de la lui rendre en pièce si il continue de lui chercher des poux… Mais un premier avertissement s’imposait… Et il avait trouver la personne idéal pour ce travail, une mercenaire garde du corps, cette petite mission lui prouverai ses capacités, aller enlever cette fille et lui ramener dans une planque en ville équiper d’objet très désagréable… Une autre esclave a fugué en plus… Elle sera vite rattraper de toute façon et punis comme il se doit la bas… On toque a la porte… D’un geste, Kei ordonna a la soubrette présente d’ouvrir la porte, ce qu’elle fit laissant entré la nouvelle employer entouré de trois homme de la sécurité, on n’est jamais trop prudents…Elle s’appelait Isei, de la ou elle était maintenant, elle pouvait voir le salon ou ils se trouvaient en détaille, un ensemble de deux fauteuil a large et haut dossier de chaque coté de la cheminé, légèrement tourner vers celle-ci, avec une table basse sur laquelle reposait un dossier et une tasse de thé vidé par le Kakon assit dans le fauteuil de droite, un canapé en retrait de la table basse était aussi présent, ainsi que deux commode avec quelque objet courant, dont une horloge doré don le tic tac s’ajoutait au crépitement du bois qui brulait… Les mur était d’un beige clair et percer de deux fenêtres au rideau pourpre, une de chaque coté de la cheminé, elle-même surplomber par un portrait de Kei… La soubrette se mis a coté de la fenêtre derrière son maitre, semblant s’ajouter au mobilier de la pièce pendant qu’il adressait la parole a la nouvelle venue…
- Vous chercher du travail a ce qu’on m’a dit…J’aurai besoin de vos services de garde du corps assez rapidement… Mais avant, j’aimerai que vous fassiez une petite chose pour moi, pour me prouver vos capacités… Il faudrait que vous enleviez la jeune esclave décrite dans ce dossier, elle appartient au chef de la police…
Kei lui tendait le dossier, il contenait sa photo, ainsi que des renseignements sur ses habitudes et où la mercenaire pourrait trouver ca proie… Maintenant Kei voulait en savoir plus sur la jeune femme…Il avait déjà eu un aperçu grâce a ses relation, mais le savoir de la bouche de l’intéresser était intéressant aussi…
- Je sais que vous êtes le garde du corp du maitre de la famille Ankoku, avez-vous d’autre obligation ?
Le corbeau ordonna ensuite a la soubrette de resservir du thé, attendant les réponse de la belle jeune femme qui lui servirait peut être de garde du corps…
(un peu light, mais pour un premier post^^)
Kei Kakon
Keï Kakon - Oiseau de Mauvaise Augure
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Maître de :
Tenshi Shino la belle soubrette...
Esclave de :
Sa folie....
Commentaires :
Gérant de la "Meilleure Maison des Plaisirs du Mois" !
[Hj: je trouve ca très bien moi =) ]
Une demande plutôt inattendue. Dans un appartement sombre de la ville , la jeune femme était debout à fixer de ses yeux de jades la ville illuminée un téléphone à la main. Elle ne disait rien, écoutant attentivement cet appel sur ce numéro réservé à son emploi. La personne au bout mit plusieurs minutes à être clair, quand il eu finit, il y eu un silence. La jeune femme regarda sa main gauche légèrement déformée. Puis, seulement quelques mots sortirent de sa bouche :
« Je serais là. »
Puis raccroche lentement. D'un pas elle se dirigea vers sa chambre en coupant ce téléphone. Il ne lui servira pas avant un long moment. Devant son armoire, Isei glissa la porte pour en sortir son arme la plus mortelle... Une fois son bras gauche armuré, elle enfila un long manteau noir discret, enfin, plutôt une grande cape permettant de cacher entièrement son corps mais surtout son bras. Elle enfila la capuche afin de ne pas attirer l'attention sur ses cheveux blancs.
Le rendez-vous était dans un lieux bien connus dans son domaine... Mugen no Ichi, dans le quartier Kagen. Qu'importe les ragots et histoires sur ce genre d'endroit, elle n'avait que faire des fantasmes et peurs des autres, elle était dépourvue des deux.. enfin elle en était persuadée. Il était tard quand elle arriva à l'heure demandé au Mugen. Comme recommandé, elle passa par une entrée discrète où des agents de sécurité l'attendaient. Elle se doutait bien de ce genre d'acceuil tant qu'elle n'aura pas gagné la confiance de son nouvel employeur. Sans qu'un seul mot soit échangé, les personnes se comprennent et Isei suivit le chemin bien entourée. L'intérieur était luxueux, mais elle ne vit pas grand chose de l'endroit les agents évitant les zones réservés aux clients. Les voilà devant une porte. L'un des hommes toqua à celle-ci et une belle esclave vint ouvrir. La jeune femme entra, posant rapidement ses yeux sur la pièce sans arrêter sa marche qui était lente, illustrant une certaine aisance. Isei n'avait jamais vu un salon pareil, et avoua au fond d'elle qu'elle aimait bien les gouts de son employeur. Tout allait parfaitement ensemble... même la soubrette qui donnait l'étrange impression de faire partie du mobilier. L'homme en portrait dans la pièce était bien le même assit dans ce fauteuil devant la cheminé. Celui-ci annonça immédiatement la couleur de l'emploi, Isei aimait ça. Il lui tendit un dossier tout en lui explicant ce qu'il attendait d'elle. Elle retira sa capuche. On ne fait pas confiance à quelqu'un qui ne montre pas son visage n'est-ce pas? Elle saisit ce qu'il lui tendait de la main droite. Il semblait avoir rapidement besoin d'elle mais se méfiait... Quand Isei ouvrit le dossier, elle comprit pourquoi « Keijuu » était le premier mot écrit sur le papier que ses yeux brillant apercevraient. Étant de la même race animale, il y avait forcément un lien familial. La jeune femme comprit bien vite que son employeur avait fait le rapprochement, voulant savoir si elle pouvait aller contre sa propre lignée pour protéger un rival. Elle haussa un sourcil dans ses yeux se reflétait un intérêt. Isei lu rapidement les informations utiles, elle savait faire le tri de ce qui pouvait lui servir en un rien de temps. Elle redressa la tête et regarda le corbeau.
« Je suis entièrement disponible pour cette tâche. »
Dit-elle de sa voix sombre. Elle regarda la servante servir du thé, la jeune femme appréciait beaucoup l'odeur de celui-ci et se permit de s'assoir sur le fauteuil vide avec une grâce qui lui semblait naturelle car ce n'était vraiment pas son genre de faire des manières.
« Je n'hésiterais pas à exécuter cette mission comme vous le souhaitez. N'hésitez pas à me donner des ordres, je suis là pour vous. »
Il n'y avait aucun arrière pensée érotique dans tout ça, on sentait de toute façon que la jeune femme n'était pas du genre à avoir ce genre de sous entendus, elle était sérieuse. Un sérieux très apprécié de ses précedents employeurs.
« Je suis également prête à répondre à vos questions concernant mes capacités. »
Pour attirer la confiance d'une personne il ne fallait pas hésiter à la laisser poser des questions, c'était rassurant..et de ce sentiment nait la confiance, et de la confiance en résulte une protection très efficace, même si Isei n'y voyait pas encore le coté intime que cela pouvait ammener.
Elle porta sa main droite à la tasse pleine et la porta à ses lèvres lentement. Assise, on pouvait devenir que ce n'était pas un manteau qu'elle portait mais une sorte de cape noire recouvrant entièrement son corps. Isei n'était pas droitière, cela se voyait légèrement. Elle bu quelques gorgées de thé en attendant la suite de l'entretient qu'elle jugeait fort interessant, c'était même la première fois qu'elle ressentait de l'impatience. Mais elle fit bien de ne pas montrer ce sentiment. Moins elle en montrait mieux c'était pensait-elle.
Une demande plutôt inattendue. Dans un appartement sombre de la ville , la jeune femme était debout à fixer de ses yeux de jades la ville illuminée un téléphone à la main. Elle ne disait rien, écoutant attentivement cet appel sur ce numéro réservé à son emploi. La personne au bout mit plusieurs minutes à être clair, quand il eu finit, il y eu un silence. La jeune femme regarda sa main gauche légèrement déformée. Puis, seulement quelques mots sortirent de sa bouche :
« Je serais là. »
Puis raccroche lentement. D'un pas elle se dirigea vers sa chambre en coupant ce téléphone. Il ne lui servira pas avant un long moment. Devant son armoire, Isei glissa la porte pour en sortir son arme la plus mortelle... Une fois son bras gauche armuré, elle enfila un long manteau noir discret, enfin, plutôt une grande cape permettant de cacher entièrement son corps mais surtout son bras. Elle enfila la capuche afin de ne pas attirer l'attention sur ses cheveux blancs.
Le rendez-vous était dans un lieux bien connus dans son domaine... Mugen no Ichi, dans le quartier Kagen. Qu'importe les ragots et histoires sur ce genre d'endroit, elle n'avait que faire des fantasmes et peurs des autres, elle était dépourvue des deux.. enfin elle en était persuadée. Il était tard quand elle arriva à l'heure demandé au Mugen. Comme recommandé, elle passa par une entrée discrète où des agents de sécurité l'attendaient. Elle se doutait bien de ce genre d'acceuil tant qu'elle n'aura pas gagné la confiance de son nouvel employeur. Sans qu'un seul mot soit échangé, les personnes se comprennent et Isei suivit le chemin bien entourée. L'intérieur était luxueux, mais elle ne vit pas grand chose de l'endroit les agents évitant les zones réservés aux clients. Les voilà devant une porte. L'un des hommes toqua à celle-ci et une belle esclave vint ouvrir. La jeune femme entra, posant rapidement ses yeux sur la pièce sans arrêter sa marche qui était lente, illustrant une certaine aisance. Isei n'avait jamais vu un salon pareil, et avoua au fond d'elle qu'elle aimait bien les gouts de son employeur. Tout allait parfaitement ensemble... même la soubrette qui donnait l'étrange impression de faire partie du mobilier. L'homme en portrait dans la pièce était bien le même assit dans ce fauteuil devant la cheminé. Celui-ci annonça immédiatement la couleur de l'emploi, Isei aimait ça. Il lui tendit un dossier tout en lui explicant ce qu'il attendait d'elle. Elle retira sa capuche. On ne fait pas confiance à quelqu'un qui ne montre pas son visage n'est-ce pas? Elle saisit ce qu'il lui tendait de la main droite. Il semblait avoir rapidement besoin d'elle mais se méfiait... Quand Isei ouvrit le dossier, elle comprit pourquoi « Keijuu » était le premier mot écrit sur le papier que ses yeux brillant apercevraient. Étant de la même race animale, il y avait forcément un lien familial. La jeune femme comprit bien vite que son employeur avait fait le rapprochement, voulant savoir si elle pouvait aller contre sa propre lignée pour protéger un rival. Elle haussa un sourcil dans ses yeux se reflétait un intérêt. Isei lu rapidement les informations utiles, elle savait faire le tri de ce qui pouvait lui servir en un rien de temps. Elle redressa la tête et regarda le corbeau.
« Je suis entièrement disponible pour cette tâche. »
Dit-elle de sa voix sombre. Elle regarda la servante servir du thé, la jeune femme appréciait beaucoup l'odeur de celui-ci et se permit de s'assoir sur le fauteuil vide avec une grâce qui lui semblait naturelle car ce n'était vraiment pas son genre de faire des manières.
« Je n'hésiterais pas à exécuter cette mission comme vous le souhaitez. N'hésitez pas à me donner des ordres, je suis là pour vous. »
Il n'y avait aucun arrière pensée érotique dans tout ça, on sentait de toute façon que la jeune femme n'était pas du genre à avoir ce genre de sous entendus, elle était sérieuse. Un sérieux très apprécié de ses précedents employeurs.
« Je suis également prête à répondre à vos questions concernant mes capacités. »
Pour attirer la confiance d'une personne il ne fallait pas hésiter à la laisser poser des questions, c'était rassurant..et de ce sentiment nait la confiance, et de la confiance en résulte une protection très efficace, même si Isei n'y voyait pas encore le coté intime que cela pouvait ammener.
Elle porta sa main droite à la tasse pleine et la porta à ses lèvres lentement. Assise, on pouvait devenir que ce n'était pas un manteau qu'elle portait mais une sorte de cape noire recouvrant entièrement son corps. Isei n'était pas droitière, cela se voyait légèrement. Elle bu quelques gorgées de thé en attendant la suite de l'entretient qu'elle jugeait fort interessant, c'était même la première fois qu'elle ressentait de l'impatience. Mais elle fit bien de ne pas montrer ce sentiment. Moins elle en montrait mieux c'était pensait-elle.
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