Bon séjour sur Saol Eile

Aidô survolait la ville depuis un moment à la recherche de quelque chose de particulier, quelque chose ou plutôt quelqu'un, il était vétu de sa cape et planait au dessus des rues comme une ombre menacante. Ou était-elle allée, il sortir un petit appareil de sa poche et ragarda un point rouge qui clignotait, elle était toute proche pourtant, peut être dans une des boutiques, il alla se poser sur un toit et attendit en regardant autour de lui.

Il y a quelque temps de ca il avait rencontré une humaine qui était tombé amoureuse de lui et il avait eu envie de la revoir, il savait qu'elle ne lui dirait pas non et qu'elle viendrais docilement dans son lit. Quand il l'avait vu il lui avait offert un bracelet en argent, ce que la jeune fille ignorait ce que le bracelet contenait un emetteur qui lui permettait toujours de savoir ou elle était. C'était ainsi plus facile pour lui de la retrouver. Il attendait depuis plusieurs minutes quand il la vit ressortir de la boutique les mains vide, comportement typiquement féminin elle avait du essayer tout les vetements pour finallement ne rien prendre.

Il décolla et descendit en piquer sur elle avant de la saisir et de s'envoler de nouveau.

"Salut ma chérie désolé de t'avoir fait peur"

Aido vola avec Ayane dans ces bras jusqu'au Mugen, l'établissement que tenait Kei, la bas ils ne serraient pas dérangé et il voulait essayer de nouvelles choses, il avait comprit la mentalité d'Ayane et il savait qu'il arriverait à en faire ce qu'il voulait tant qu'elle croierait qu'il l'aimait. Il se posa devant l'établissement et entra, l'employé qui était là s'inclina légèrement. Aidô ne répondit pas et emmenna sa chérie dans une des salles.

Ayane avait choisi de faire du shopping aujourd’hui. Elle était entrée dans un magasin de vêtement dans l’espoir de trouver une robe qui lui convienne. Mais la déception fut immense lorsque ayant essayé tous les modèles du magasin, elle s’aperçut qu’aucune ne lui convenait.

Pourtant, il avait l’air chouette ce magasin, mais quand ce n’était pas la taille qui n’allait pas, c’était la couleur. Et le vendeur s’était montré assez mécontent lorsque la petite humaine était ressortie sans rien acheter. Mais ce n’était pas de sa faute à elle, après tout, s’il n’avait pas le modèle qu’elle voulait.

Elle avait aussi essayé les maillots de bains, mais là encore elle fit chou blanc. Elle aurait aimé aller à la mer et montrer son bikini mais d’une part, elle ne savait pas où était la mer et d’autre part, elle n’avait pas de bikini.

C’était un peu triste.

Elle ressortit alors de la boutique et sursauta lorsqu’elle se sentit enlevée et qu’elle volait à présent. Elle faillit hurler mais la voix d’Aidô la rassura. Elle rougit très fortement et dit :

"Oh mon chéri, c’est toi ! Où m’emmènes-tu ?"

Lorsqu’ils se posèrent, Ayane se rendit compte qu’elle ne connaissait pas le quartier ni même l’établissement qui leur faisait à présent face. La petite humaine suivit son chéri à l’intérieur et un employé les salua. Ayane sourit à Aidö :

"Oh mon chéri, comme c’est gentil ! Tu m’emmènes au restaurant…"

Dans un salon privé en plus ! Ayane pénétra le sourire aux lèvres dans une salle à la suite de son chéri…

Aidô eut un sourire elle était si naive c'était trop mignon c'est sans doute ce qu'il appréciait chez elle, elle était si facile à tromper.

"On mangera plus tard ma chérie pour le moment il y a beaucoup plus interessant à faire"

Il alluma la lumière et elle put découvrir une chambre, enfin disons une pièce avec un lit, le lit était de taille moyenne, positionné au milieu de la pièce aux murs et au plafond se trouvait des anneaux destiné à passer des chaines, et sur des étagères étaient posé divers objets. Il y avait là une impressionnante collection de fouet et martinet en tout genre, de vibromasseur et autre objet du même genre de taille différente, baillon, lien, chaine enfin tout ce qu'il fallait pour bien s'amuser avec une esclave.

Aidô enleva sa cape il savait qu'Ayane aimait voir son visage, il se tourna vers la jeune femme et la fit reculer avant de la plaquer brutalement au mur et de l'embrasser passionnement, glissant sa langue dans sa bouche et passant ses mains sur son corps.

"Tu m'a terriblement manqué mon amour, j'avais tellement envie de te voir, je t'aime, j'ai terriblement envie de toi"

Il continua de la caresser, commencant à la déshabiller, jusqu'a maintenant elle se laissait faire il espérait que ca allait continuer, une fois nue il la porta sur le lit et se mit sur elle, sa main glissa entre ses cuisses, se mettant à la caresser pour l'exciter, il jetta un coup d'oeil aux objets présent dans la pièce.

"Il y en a un que tu veut utiliser ma puce ?"

Enorme déception, les salons privés de ce restaurant ressemblaient plus à des salles de torture qu’à de véritables coins d’amoureux. Un lit, et d’étranges accessoires, voilà qui est étrange pour un restaurant.

Ayane est certes gentille et un peu naïve, mais elle comprit bien qu’elle n’était pas là pour déjeuner. La petite esclave commençait à être excitée lorsque Aido dévoila son beau visage et qu’il la plaqua contre un mur et l’embrassa fougueusement.

La langue d’Ayane vint trouver celle de l’ange blond et elle joua avec. Elle sentit aussi les mains de son amoureux sur son corps et les siennes vinrent caresser le sexe de son amant sous son pantalon.

Là, c’était sur, elle avait oublié les instruments de torture et n’avait d’yeux que pour son chéri. Les paroles d’Aido finirent de la mettre dans un état second.

Puis il la souleva et l’emmena sur le lit tout en la déshabillant. Ayane gloussait de plaisir, trop contente de revoir son chéri. Puis, il vint lui caresser l’entrejambe et Ayane se mit à mouiller abondamment.

Il parla d’accessoires, mais Ayane ne les voyait pas, juste elle n’avait d’yeux que pour son chéri qu’elle regardait amoureusement, des petites flammes dans les yeux. Elle se tortillait et remuait ses petites fesses sous les caresses d’Aido.

A sa question, elle répondit simplement :

"Ton sexe mon chéri"

Puis elle se releva, déboutonna le pantalon d’Aido, et lui enleva, elle caressa son boxer et sentit l’erection de son chéri poindre, et à ce moment-là, elle lui retira son boxer et enfourna goulument son sexe dans sa bouche et commença des mouvements de va et vient rapide, usant de ses levres et de sa langue…

Comme il l'avait prévu Ayane oublia vite qu'il ne l'enmenais pas manger, heureusement qu'elle était nymphomane et naive ca l'aidait beaucoup. Il la sentie se mettre à mouiller immédiatement quand il la caressa, c'était si agréable de savoir qu'elle était toujours partante et qu'il pouvait faire ce qu'il voulait il réussirait toujours à se faire pardonner après. Il la laissa le déshabiller, si elle voulait son sexe elle allait l'avoir, il était déjà bien excité à cause de ses caresses, il la regarda prendre son sexe en bouche et se mettre à le sucer. Il ferma les yeux avec un gémissement de plaisir et lui caressa les cheveux, il aimait la facon dont elle se servait de sa bouche, elle lui donnait beaucoup de plaisir.

Mais même s'il aimait ca il avait d'autres idées en tête.

"J'ai envie d'essayer de nouvelles choses ma puce n'ai pas peur"

Il sortit son sexe de sa bouche et la fit coucher sur le lit jambes écartées, il se mit sur elle et l'embrassa passionnément tout en la pénétrant, il se redressa et commenca des va et vient, il ne comptait pas lui faire l'amour de suite juste la mettre dans un état d'excitation suffisant. Après quelques minutes alors qu'elle commencais à crier il se retira d'elle et la souleva du lit pour aller la déposer sur une table qui se trouvait aussi dans la pièce.

Elle dut penser qu'il voulait surement faire ca ailleurs que dans un lit ce n'était pas faux mais il n'y avait pas que ca.

"J'espère que tu va aimer mon jeu ma chérie"

Il s'approcha d'une étagère ou il prit divers objets, déjà un paire de menotte qu'il utilisa pour lui attacher les mains sur le devant avant de les relever et de les attacher à une chaine qui pendait du plafond, ensuite un baillon boule classique qu'il lui attacha derrière la tête et pour finir un bandeau qu'il lui mit sur les yeux. Ayane était baillonée, privée de la vue et ses bras étaient attachés au dessus de sa tête.

Aidô prit ensuite une corde qu'il passa autour de son cou avant de la croiser au dessus de sa poitrine pour la faire passer dans son dos, là il la croisa de nouveau et la refit passer devant sous sa poitrine il remonta ensuite la corde entre ses seins la faisant passer dans la boucle du cou avant de redescendre et de l'enrouler autour des seins pour finir par l'attacher derrière sa nuque.

Les seins d'Ayane étaient très comprimés et ils ne devaient en être que plus sensible, il prit deux pinces avec lesquelles il pinca les tétons. Il prit deux autres cordes et lui attacha autour des chevilles puis les reliat aux menottes pour bien lui relever, elle était maintenant totalement offerte aux caprices de son chéri.

Ayane léchait, suçait goulûment le sexe de son chéri. Elle était si heureuse de le retrouver. Puis, il la bascula en arrière avant de l'embrasser fougueusement et de la pénétrer soudainement. Dieu que c'était bon...

Ayane remua ses petites fesses de plaisir et comprima son vagin afin de faire ressentir plus de sensations à son chéri. Elle était heureuse ainsi, sur le dos avec son chéri l'embrassant et lui faisant l'amour.

A sa grande surprise, il arrêta soudainement et la transporta sur une table non loin du lit dans la même salle. Ayane était un peu partie dans ses sensations et elle ne protesta pas lorsque les menottes furent passées à ses poignets, et fatalement elle ne put plus protester lorsqu'une boule lui arriva dans la bouche ainsi qu'un bandeau autour des yeux.

Elle ne voyait plus rien. Qu'allait-il faire ? Tout n'était plus que sensations. Elle avait l'impression d'être considérée comme une pièce de viande de boucher que l'on va débiter.

Elle sentit que son chéri passait une corde autour d'elle. cela lui faisait un peu mal alors qu'il la ficelait méticuleusement mais elle ne pouvait pas protester.

Du bondage, cela l'excitait grandement. Excitation qui retomba lorsqu'elle sentit une immense douleur au niveau des tétons. Deux petits pinces froides étaient maintenant solidaires de ses seins très comprimés.

Elle gigota, tenta de protester mais ainsi ficelée et bâillonnée, elle ne pouvait plus rien faire.

Ses sentiments étaient encore une fois partagées, comme toujours avec aido, entre le plaisir et la douleur. Elle sentit alors une autre corde, mais autour de ses chevilles puis elle sentit tout son corps se relever.

Elle avait dorénavant l'impression d'être la chose sexuelle de son chéri et cela la faisait beaucoup mouillée.

Elle ne pouvait ni bouger, ni protester, ni même voir.

La peur, mélangée à une grande excitation, délicieuse sensation.

Ayane mouillait, des petits gémissements étaient retenus par la boule dans sa bouche et elle n'avait pas d'autre choix que d'attendre la suite des événements...

Elle ne pouvait pas voir Aido, ni ce qui se passait et cela la mettait mal à l'aise, elle espérait que son chéri l'aime toujours et qu'il ne lui fasse pas trop mal...

Elle remua ses fesses dans l'attente de la suite des événements... Nue, ligotée, bâillonnée et soumise, surtout soumise...

Apparrement la situation semblait beaucoup exciter Ayane et Aidô se disait qu'il avait eu raison de jouer son jeu. Dans une telle situation beaucoup de filles se seraient débattut et aurait hurler, Ayane, elle s'était laisser faire et à présent elle mouillait abondamment en poussant de leger gémissements, cette fille était vraiment nympho. Il regarda avec satisfaction son corps attaché et offert.

Il fit glisser ses doigts sur son sexe l'effleurant à peine il savait que cela devait être une torture pour elle, il avait beau à peine la toucher il sentait la mouille de la jeune fille sous ses doigts elle était vraiment très excitée par la situation. Il se pencha vers elle, le visage à quelques centimètres de son sexe, elle devait sentir son souffle chaud sur sa peau nue. Il glissa sa langue sur elle la passant entre ses lèvres pour la lécher très lentement il la voyait se tortiller sous le plaisir et continua ses lents coup de langue.

Quand il vit qu'elle n'en pouvait plus il aspira son clitoris dans sa bouche le sucant doucement, il la sentie se contracter son baillon étouffait ses gémissements tandis qu'il lui donnait du plaisir. Il fit entrer deux doigts dans son sexe et se mit à la caresser, elle était litérallement trempée, d'ailleur elle commencait à lui donner sérieusement envie. Il se redressa et se mit à frotter son sexe tendu contre le sien, il ne tarda pas à y plonger entrant avec délice dans cet antre chaud et accueillant. Passé le moment de la pénétration il se mit à la prendre à un rythme violent et soutenue, il tapait en buté à chaque coup allant au plus profond d'elle, elle aurait surement hurlé si le baillon ne l'en empéchait pas.

Voila une situation bien ficelée si l'on peut dire. La petite Ayane était totalement privée de la joie de bouger, de parler, ou de voir. Ligotée comme un poulet, voilà.

Et elle ne savait pas ce qui allait se passer. Et c'était justement là précisément que reposait l'excitation de ce jeu. Alors, lorsque son chéri effleura son sexe à l'aide de ses doigts puis de sa bouche, si le bâillon n'avait pas été là, elle aurait littéralement hurlé. Si la corde n'avait pas été là, elle se serait débattue et aurait joui de plaisir. Mais en l'occurrence, les entraves à tout mouvements étaient présents...

Et puis, plus rien de nouveau. Et là, elle sentit le sexe d'Aido contre le sien et une pénétration violente aussi soudaine qu'attendue. Elle aurait hurler. Il la pénétrait sauvagement. Elle aurait crié son plaisir et sa douleur. Plus vite, plus violent, plus fort, plus loin, si loin en elle. Elle en aurait littéralement hurler. Mais elle ne pouvait pas. Non, car ainsi ficelée et baillonée, elle était une chose et non plus une femme. Et une chose ne bouge pas, ne hurle pas et ne vous regarde même pas.

Ayane commençait à avoir un peu mal sous les énormes coups de boutoir de son chéri. Il était force, violence... Elle avait l'impression qu'il allait la transpercer de l'intérieur. Elle avait l'impression qu'il allait tellement loin qu'il allait lui déchirer l'estomac...

Elle ne pouvait pas hurler, et pourtant elle aurait aimé. Des filets de bave coulaient le long de la boule placée dans sa bouche... Sa gorge était sèche, et son bas ventre chaud et douloureux.

Elle aurait voulu hurler, bouger... Finalement, ce restaurant avait des salles assez spéciales tout de même et elle n'avait pas pu deviner que le menu, finalement c'était elle...

Aidô prenait sa chérie violemment et il y prenait énormément de plaisir, il voyait bien qu'Ayane avait mal mais en même temps qu'elle aimait ça, c'était souvent comme ca avec lui, la douleur était souvent mélangée au plaisir. Il sentait son plaisir monté ignorant totalement les sensations de sa partenaire, après tout pour le moment elle était sa chose et il satisfaisait son plaisir. Mais cela ne voulait pas dire qu'elle n'en aurait pas, il était impossible qu'une fille comme elle ne prenne pas de plaisir. Il continua ses va et vient violent et au bout de plusieurs minutes se déversa en elle avec un rale de plaisir, c'était vraiment dommage qu'elle ne soit ps son esclave sinon il aurait passer son temps au lit avec elle et quelque chose lui disait que ca ne lui aurait pas déplus.

Il se retira d'elle satisfait mais le jeu ne s'arretait pas là, il alla prendre un vibro de taille moyenne son but n'était pas de lui faire mal mais de la maintenir dans un état d'excitation suffisant, il lui enfonca dans le vagin et mit les vibrations a un niveau moyen. Il prit ensuite un martinet et fit glisser les lanières de cuir sur son corps pour la caresser avant de lui en mettre plusieurs coups sur les cuisses et le ventre. Lui faire mal l'excitait il devait bien l'admettre et la voir soumise de la sorte était un pur délice. Il tira un peu sur les cordes de ses jambes pour soulever un peu plus ces dernières, libérant ainsi l'autre entrée de son corps.

Il passa ses doigts entre ses fesses, la première fois elle n'avait pas aimé mais tant pis, il utilisa un peu de mouille qu'il avait récolté sur son sexe et enfonca deux doigts en elle, les bougeant légèrement. Il espérait qu'elle aimait parce que bientot ce serait autre chose de plus gros qui irait en elle.

"J'espère que tu aimes ca ma chérie car moi j'adore"

Ayane souffrait légèrement mais se retenait de le dire. Les va et vient de son chéri étaient devenus assez violents. Et il accéléra encore la cadence et Ayane voulut gémir. Sans grand effet au vu de la boule de torture qui entravait sa bouche.

Elle était dans un état bizarre, oscillant entre le plaisir et la peur de ne pas voir... Et puis, elle sentit le sexe d'Aido déverser son contenu en elle et elle voulut glousser mais encore une fois sans grand effet...

Elle sentait le sperme de son chéri en elle et elle espérait qu'Aido avait eu du plaisir. Elle l'entendit s'éloigner après s'être retiré et un bruit de vibrations bien connu de la jeune fille retentit. Elle savait qu'Aido avait pris un vibromasseur. Au son, la vitesse devait être moyenne.

Gagné, et en plus, maintenant, l'accessoire se trouvait dans le sexe d'Ayane. Aido aimait bien les vibros, et Ayane aussi, lors de leur première rencontre, il lui en avait mis plein...

De petites lanières glissèrent alors le long des fesses d'Ayane qui mouillait sous les coups du vibro. Elle ne savait pas trop reconnaître les lanières qui lui caressaient le cul, mais lorsque celles-ci s'abattirent sur son ventre et sur ses cuisses, Ayane voulut hurler de douleur, mais encore une fois, elle ne put point...

Et puis, elle sentit la corde tirer sur ses jambes, les faisant soulever et Ayane se demanda ce que son chéri avait comme plan.

Deux doigts vint alors pénétrer son anus et Ayane fit non de la tête. Elle espérait qu'Aido le verrait et arrêterait mais à priori les deux doigts continuaient de remuer dans son anus. Elle voulait protester mais là encore elle ne pouvait pas.

Elle essaya alors de remuer ses fesses pour s'éloigner des doigts mais les cordes l'en empêchait. Elle secoua alors sa tête, comme pour signifier à Aido qu'elle ne prenait plus trop de plaisir... Ce qui était démenti par ses cuisses trempées de mouille.

Aidô n'était pas aveugle il voyait qu'elle ne voulait pas qu'il passe par là, elle ne changerais jamais il fallait croire mais lui non plus, il laissa ses doigts en elle, les bougeant avec force, de son autre main il accéléra la vitesse du vibro qu'elle avait en elle, il ne comptait pas s'arrêter. Le plus excitant était qu'elle ne pouvait pas bouger, elle était à lui, il allait pouvoir lui faire tout ce qu'il voudrait.

"Comment se fait-il que tu mouille autant si tu n'aimes pas ça ? De toute facon si j'ai décidé de passer par là tu n'as pas ton mot à dire chérie et tu sais ce sera beaucoup moins douloureux pour toi si tu te détend alors laisse toi faire"

Il ne lui parlait pas du tout comme un garçon amoureux s'adresse à sa copine mais plutôt comme un pervers s'adresse à sa victime. Il voyait qu'elle était excitée malgré ce qu'elle laissait paraitre, la mouille qui coulait entre ses cuisses le montrait bien. Il retira ses doigts de ses fesses mais qu'elle ne se réjouisse pas trop vite car il comptait les remplacer par autre chose.

La saisissant aux hanches il se placa contre elle, appuyant son sexe contre son anus, elle allait avoir mal, très mal et il s'en réjouissait d'avance. Sans attendre d'avantage il la sodomisa, violemment, brutalement, entrant complètement en elle, sans la boule elle l'aurait surement rendu sourd avec un hurlement de douleur mais voilà elle ne pouvait pas crier, elle ne pouvait pas se débattre, elle ne pouvait rien faire, juste attendre qu'il ai finit.

Il n'attendit pas qu'elle se remette et commença immédiatement ses va et vient, elle était étroite et il sentait son sexe se faire comprimer par ses parois ce qui l'excitait encore plus, il lâchait des gémissement de plaisir par moment, il se servait d'elle comme un objet

Ayane faisait non de la tête. Elle n'avait aucune envie d'être sodomisée même si c'était son chéri qui le faisait. Lorsqu'il lui colla son sexe contre son anus, la petite humaine eut très peur, ouvrit de grands yeux plein de larmes et implorant Aido, et fit non de la tête.

Ayane redoutait tant ce qui allait arriver que sa vessie faillit lâcher mais heureusement elle ne se fit pas pipi dessus. Et puis, il la pénétra avec force, s'enfonçant d'un coup dans son anus et elle sentit le membre d'Aido dans son cul.

Terrible pénétration qui aurait arracher un immense cri de douleur à Ayane si seulement elle avait pu crier. Elle fut prise d'un spasme violent et des larmes coulaient le long de ses joues. Comment son chéri pouvait la sodomiser ainsi sans son accord ?

Elle aurait hurler sa douleur mais au lieu de cela elle serrait la boule qui lui entravait la bouche jusqu'au sang. Et puis, il commença ses va et viens, rugueux, brutaux et Ayane avait horriblement mal. Ses hanches brinquebalait au rythme des coups de boutoir d'Aido et la douleur anale se fit de plus en plus en violente. Elle sentit ses chairs se déchirer à l'intérieur d'elle et du sang coula de son anus, preuve de la torture qu'elle endurait.

L'enorme sexe d'Aido comprimait les parois anales agrandissant les plaies internes au fur et à mesure des saccades violentes.

Ayane voulait crier, lui hurler d'arrêter mais elle ne pouvait pas... Tout ce qu'elle pouvait faire était pleurer et regarder implorante son chéri en priant pour qu'il arrête de la sodomiser aussi brutalement, à vrai dire, pour qu'il arrête de la sodomiser tout court...

Bon séjour sur Saol Eile

Forum RPG d'Urban-Fantasy tranche de vie.

Le Staff Complet

A contacter en priorité ♥

Sujets Récents

Nos aventures

Nos Prédéfinis

Top-Sites

Nos Partenaires