Bon séjour sur Saol Eile

Lorsqu'Aidô enleva les qui liaient les poignets de Mayu, elle se prépara à mourrir...Elle ferma les yeux et attendit l'heure de sa mort . Mais elle ne sentit rien, meme pas la présence du cobeau . Elle les rouvrit, et se retourna pour voir le corbeau s'envoler . Elle eut un grand soupire, elle etait soulagée . Elle regarda ses poignets, ils etaient rouge, elle était resté des heure attaché et un bon moment à lutter . La jeune femme se mit à les frotter et à les masser tout doucement ; elle avait une légère impression de brulure . Son dos et ses épaules n'avaient presque plus la trace des coups de fouets ; elle se releva donc donc doucement pour traverser le jardin jusqu'à la porte d'entrée .

Mayu entra, nue, il faisait bien plus chaud à l'interieur . Elle regrettait d'avoir fuguer, cela lui servait de leçon, elle ne recommencerais plus . Mayu monta les éscaliers avec une légère peur . Elle se demmandais comment Renji réagirais...Elle atteignit la chambre de son mâitre, elle n'avait rien sur le dos, elle était sale donc mal à l'aise . Elle poussat doucement la porte mais n'alluma pas la lumiere ; elle s'approcha de lui et lui secouat doucement le bras pour le reveiller en lui disant :

R-R-R-Ren-ji...Je Je... on, je...pardonnes moi...s'il te plait ... Il m'a attaqueer...mais-j'ai fu-fu-fu-fugué...

Elle était béguaillante, ses mains étaient congelées et Renji pouvait surement le ressentir ...

[HJ: Désolée, c'est court mais j'éspère te donner un peu d'inspi ]

Les esclaves sont parfois stupides, on leur offre le gite, le couvert, la protection, l'instruction meme. La seule maniere de dire merci est de se tailler avec la clefs des champs des que possible, vraiment de pitoyables créatures, pourtant Renji accorde a ses esclaves un statut particulierement bon, comparé a celui que reserves certains maitres. C'est donc fou de rage que le vieux loup avait entreprit les recherches de Mayu dans le simple objectif de lui flanquer la correction de sa vie. Cependant, il fit choux blanc et rentra dans le manoir pour attendre qu'une patrouille mette la main sur elle. Dans un coin les plus sombre de la piece, derriere la prote, il attendait.

Un bruit carractéristique, un crissement d'aile. Tiens, les Tenshi ou les Kakons ont posé un colis pres de la propriété, ce ne fut qu'une question de minutes avant que ledit colis ne débarque sur les chapeaux de roue dans la chambre de son maitre en baigayant affreusement, elle était sous le choc et remuait un bras mou, celui d'une poupée de chiffon... Les lumieres s'allumerent d'un coup et la porte claqua, le vieil homme en armure avanca d'un pa souple, donnant une impression de ne rien porter avant de plaquer la jeune femme contre le mur avec une fureur qu'elle n'avait jamais vue.

J'en ai rien a foutre de ce que l'on t'a fait, c'est un risque a courir lorsqu'on prend les jambes a son cou, tu as tout ici, je t'offre une vie qui peut plaire a des milliers de personne de ton monde et toi tu fugue comme une gamine, le kakon qui est passé devant ma fenettre et a mis tes habits en lambeaux a sans doute joué un peut.

Sans plus de douceur, la jeune femme attérit sur la poupée alors qu'un crissement cristalin indiqua que l'épée de son maitre était au clair, d'un geste rapide, elle fut entierement nue, avant qu'elle ne puisse se couvrir la poitrine, il lui bloqua les mains

Je me fous aussi de ton corps, j'en ai vue des femmes, plus que tes yeux en ont croisé dans ta miserable existance, laisse toi faire et tu aura pas trop mal, oblige moi a t'assomer et tu risque de voir ta chambre déménagé au sous sol avec les prisoniers de guerre.

Sans expliquer ce qu'il allait faire, d'une main sure, le maitre de Mayu écarta ses cuisses avant d'entrer sans douceur un doigt et de le ressortir plein de sécression. Il ne faisait pas attention aux gestes de son esclave, elle avait fugué, le mieux serait de la fermer pour le moment. Apres avoir constaté qu'elle avait été victime d'un viol, attaché et sans doute batue, il la mis sur le ventre et regarda chaque pousse de ses fesses et de son dos avec attention puis passa la main sur les marques de fouet

Pff, aucune classe, le fouet laisse des marques, il t'aurais mis des coups de trique tu n'aurais aucune cicatrice... Bienvenue dans le club tres fermé des couturé. Maintenant prend ca et flagelle toi, c'est soit tu t'inflige toi meme la punition de ta sottise que tu a pus comprendre, soit c'est moi qui le fait, crois moi je suis pas d'humeur a faire dans la dentelle.

Lorsqu'elle vit son
maître débarquer d'un as souple et sans dire un mot, elle n'osât plus
bouger, elle avait un mauvais pressentiment . .. Elle n'avait pas tort
! "Bonne pioche !" Il la plaqua violemment contre le mur , elle ne
l'avait jamais vue dans une tel colère, a vrai dire elle n'avait meme
jamais vue quelqu'un dans cet état là . Apparemment, il n'avait que
faire de ce qui lui était arrivé . En out cas il avait raison lorsqu'il
disait qu'elle avais fuguer comme une gamine et que beaucou de gens
voudraient etre a sa place. Enfin elle etait juste partie se "reperer"
geografiquement dans la ville et attraper quelques infos parci par la .
Donc ce n'était pas exactement une fugue, juste une petite escapade
nocturne, elle contait revenir au petit matin...

Losqu'il la
lança sur le lit, dechirant ses habits avec une précision incroyable .
Elle avait été tres surprise, et ce dès le début. Lorsqu'il lui bloqua
les mains, elle senti tout de suite que ça irais vraimment, vraimment
mal pour elle; elle poussa donc un legé cris, essayant de se faire
discrete . Mais au moment ou il lui ecartat les jambes pour introduire
un doigts dans le vagin, sur le coup, elle poussat un cris un peut plus
fort et lui dit quelque mots d'un ton appeuré :

P-p p pourquoi ? Pourquoi ?

Lorsqu'il
la mit sur le ventre pour analyser chaque centimetres de son dos
jusqu'au fesses pour remarquer les marques des coups de fouet, elle eut
un frisson de peur . Ne l'ayant jamais vu dans cet etat elle ne savait
absolument pas comment réagir face a lui . Lorsqu'il lui ordonnat de se
flageler pour se punir elle meme de la faute quu'elle avait commise,
elle pris l'objet avec lenteur, la main tremblante les yeux fixés
dessus ; puis elle commencea à se flageler ... 1 coup, 2 coup, elle
laissait quelques cris entre temps, ça ne le parraissait pas, mais
c'était tres compliqué . Elle continua, 3... 4... s'arretant a chaques
fois, poussant des cris de plus en plus fort, pleurant , elle avait si
peur, qu'elle decida de ne pas s'arreter jusqu'a ce qu'il le lui
autorise .
Mais a un moment elle ne put s'en empecher, elle
s'était deja bien flagelée et elle se recroquevilla en pleurant cessant
les coups qu'elle se portait . Elle lui dit alors begaillante :

Je...j-j-je ...je v-voulais j-juste me me repairer... Juste ....juste a a avoir quel-que inf inf informations....
Pardone moi je t'en suplie...Arretes je t'en prie...j'ai...compris .

Pourquoi? Elle osait le demander! Cette chienne fugueuse osait demander pourquoi son maitre lui en voulait et était dans une rage noire contre elle? C'était pourtant facile a comprendre non? Il avait passé toute la nuit a la chercher en pensant qu'elle avait été enlevé pour le faire chanter, il savait que c'était une éventualité, mais sa fugue était bien plus probable et se ronger les sangs n'était pas vraiment la meilleure chose qu'il puisse arriver au vieux loup impatient et carractériel qu'était le maitre de Mayu. Elle était térrorisé par la fureur qui s'abatait sur elle, c'était compréhensible, mais lui ne se raviserais pas aussi vite, elle l'avait cherché, les regles étaient simple non?

Preferent se fouetter elle meme, la jeune femme saisit l'instrument et commenca sa punition, douloureuse certe, mais pas au point que l'envisageait son maitre, lui, lui aurait arracher la peau de son dos tellement la rage le parcourait. Les coups tomberent, trop lent pour Renji, elle avait du mal a se punir? Qu'elle se réjouisse d'en avoir l'opportunité. Quand elle s'arréta et tomba en larme en s'excusant de maniere abjecte, le vieux guerrier lui donna un coup de talon sur l'épaule et la coucha devant le feu, ses cheveux commencant a rossir a cause de la trop grande proximité des flammes.

Tu avais envie de faire du repérage alors tu a fugué?

Il posa son pied sur sa poitrine et appuya d'un coup sec pour lui couper la respiration dans un hoquet de terreur

Et tu crois vraiment que 10 malheureux coups faiblards sont une lecon suffisante pour que je passe l'éponge?

Il avait compté, elle en avait pas donné plus, elle était courageuse de s'infliger autant de dégat sur elle meme, mais pas assez pour se frapper aussi violemment que le souhaitait son maitre

Je crois que tu te trompe lourdement petite idiote! Tu m'as fait affront, je t'es cherché toute la nuit et tu viens en rampant comme un vers la voix chevrotante et tu crois que c'est etre digne de ton nom?

Un coup violent de sa botte la frappa au visage alors qu'il sortait de la piece, dans l'encadrement il parlat d'une voix glacaiale.

Tu me dégoutes, j'ai justement le chatiment parfait pour te faire oublier toute envie de quitter cette deumeure sans ma permission, releve toi et vas m'attendre dans les cachots! Je ne te pardonnerais aucun retard.

Sur ces mots, le vieil homme quitta l'étage pour aller passer un coup de telephonne, la jeune femme aura une drole de surprise dans les sous sols, mais pas seulement la vue de squelettes et d'engins de torture, son maitre, fou de rage, lui réserve un sort pas des plus enviables. Cette fugue est un exemple, apres, peut etre que son illuste magesté Mayu daignera demander la permission de sortie au lieu de faire connement le mur comme une gamine de 14 ans

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