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Saol Eile, un monde à la fois fantastique et si proche du nôtre. Un monde où vivent les êtres mythiques du folklore et des légendes.
Alors que sa population ne cesse de diminuer, la grande enchanteresse Kassandra sacrifie sa vie pour offrir à son peuple un espoir. Cet espoir, ce sont les humains, ceux de notre monde d’aujourd’hui.

Dans la grande cité-état de Ta Suil, les Apprentis de Kassandra, ses héritiers, ont créé des portails magiques pour aller n’importe où sur Terre et faire venir des humains pour sauver la population des êtres mythiques.
L’Agence, l’organisme qui supervise et aide les humains à s’installer, est maintenant pleinement opérationnelle et compte faire venir encore plus de nouveaux habitants.

Et vous, qui serez-vous sur ce monde ? Un être mythique appartenant à l’une des très nombreuses espèces et potentiellement désireux d’avoir une descendance ? Un être humain fraichement débarqué et découvrant un monde d’êtres de légendes ? Venez découvrir ce nouveau monde fascinant…

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La nuit tombé sur l'île des hybrides. Faisant régner son univers, le dieu Kage recouvrait d'un épais manteau noir le ciel illuminé de son frère Youkou...offrant ainsi la possibilité au monde de s'ouvrir au crime sans la moindre contre-partie. C'est au moment où une délicate brise, de Dame Arashi, souffla qu'une silhouette élancée quitta un étrange magasin.
Vêtu d'un pantalon ample noir, sur lequel reposait d'innombrable chaînes, d'une chemise blanche ouverte sur un top en résille noir, le propriétaire de l'Eden Gliterring quittait son lieu de travail. Autour de son cou se trouvait un collier en cuir noir, et d'autre colliers de chaînes reposaient autour. A travers le haut en résille, il était aisé de voir quelques cicatrices, qui renforçaient avec force le charisme de cet individu au visage de porcelaine.
Dans un geste élégant, le damoiseau ramena ses cheveux de neige en arrière, les coiffant un catogan à l'aide d'un mince ruban de cuir noir. Sur ses yeux morts reposait un bandana noir, en cuir. Les percings à l'oreille du jeune homme, et son sourire enfantin offrait quelque chose de mystique et d'étrange à cette figure de la mafia.
Soudain, une berline noir vint à se garer face au jeune homme. Un chauffeur, rémunèrerait pour ce travail, vint ouvrir la porte à son employeur. Lorsqu'il revint à sa place, une voix cristalline comme l'eau lui déclara :


"Se serait adorable de ta part de m'emmener à l'Aka Noan ! Ne, tu veux bien ?
- Si tel est votre désir Suzu-Sama."


A peine ces mots furent-ils prononcés, que la voiture démarra. Respectant le code de la route à la lettre, plus par obligation que par envie, le chauffeur déposa son bien à l'entrée.
D'un pas sûr et félin, malgré son lien étroit avec les créatures à cornes, la clochette de la famille des ténèbres fut de suite reconnu par les videurs de l'entrée. Il faut l'avouer, malgré son étrange allure, et sa réputation, tous savait le frère de QUI il était, et surtout, tous savait dans QUOI il trempait. Gérant d'un Sex-Shop ? Si seulement son commerce se cantonnait à ça...Mais bon, personne n'osait lui tenir tête, par crainte de sa sœur, ou tout simplement parce qu'ils se sont fait avoir par la voix enchanteresse du jouvenceau. Bien sûr, nombreux sont les êtres désireux de le voir mort !

Bref, passons. Guider par les pas d'un serveur, on le fit monter à l'étage des VIP. Là, il put s'installer dans un petit salon insonorisé, et choisir sa propre musique de fond. C'est ainsi que, un verre de piña colada à la main, le jeune ainoko se retrouvait à chantonnait l'air d'une cantine pour enfant...Alouette pour être précise ^^"
Ankoku Suzu
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Ankoku Suzu
Ce soir, j'avais rendez vous. Et cela ne m'enchantais pas vraiment... Une autre des Sept familles s'était manifestée à la reception de l'esclave que je lui avais fais gracieusement parvenir. Et pas n'importe quelle famille... Les Ankoku.
D'aprés les informations que j'avais glanées ça et là, j'avais tout intêret à m'attendre à tout, et surtout au pire. La pire mafia de l'île, rien de moins. Ils baignaient dans les pires trafics qui sévissent sur Migoto. Et m'est avis que si ils avaient eu vent de mes projets, je risquais quelques menus ennuis. Je ne pouvais toutefois pas refuser l'invitation de ce "Suzu". Le respect, d'abord. Et je trouvais tout bonnement inutile de me créer plus d'ennemis que je n'en avais déjà.

Alors que je me dirigeais vers l'endroit convenu, je laissais flotter les pans de mon long manteau de cuir bleu au ornements blancs. En dessous, une tenue parfaite. Pantalon noir, bottes montantes. En guise de haut, une chemise noir couverte d'un gilet sans manches. A mon cou, une lavallière. Elegance et distinction. Je regrettais ma rapière mais j'avais jugé que l'absence d'arme à mon côté pourrait aider aux premiers contacts. Et puis Suzu n'était pas sensé savoir que je dissimulais une dague dans l'une de mes bottes.... Pour le cas où.
L'Aka no Hiryuu était le lieu de notre rencontre, et le billet signé des armoiries des Ankoku devait me permettre l'entrée au carré VIP. Parfait. Les boites de nuit m'insupportaient grandement et je n'aurais pas voulu me faire coincer entre les gens se trémoussant et des enceintes plus grandes que moi. Je suppossais que la partie réservée devait être un peu à l'écart, ce qui me convenait à merveille.

Effectivement, le simple nom de Suzu Ankoku ouvrait bien des portes. Les malabars à l'entrée me firent entrer rapidement, m'escortant dans les méandres d'une foule droguée à la musique puissante. Je marchais la tête haute, le regard acéré et le visage fermé alors que j'avancais vers un salon effectivement à l'écart. Arrivé là, un des gorilles m'introduisit dans la pièce d'où s'échappait ni plus ni moins qu'une... Qu'une comptine enfantine ! Je restais sans rien faire quelques secondes durant, assez décontenancé. Qu'avais je donc en fasse de moi ?
Je regardais l'homme au cocktail. Le bandeau sur ses yeux attira plus mon attention que le reste de sa tenue vestimentaire, un peu trop chaînes à mon goût. Mais ni lui ni moi n'étions là pour parler des derniers collection sm printemps-été.

A pas mesurés, je m'approchais, cherchant comment débuter. Je m'attendais à tout sauf à un aveugle... Arrivé en face de lui, je me râclais poliment et légèrement la gorge, signifiant ma présence et ma position dans l'espace, avant de débuter.


- Ne plumez pas de suite le pauvre volatile, monsieur Ankoku... Où attendez que je sois parti !

Je souriais un peu, cela s'entendais dans ma voix. Je me surpris à être aussi détendu face à celui qui pouvait aisément devenir mon juge et mon bourreau.

- Soren de Scylla. Nous avions rendez-vous.
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Invité
Alors qu'il chantonnait l'une de ses chansons favorites, Suzu put percevoir le bruit de la porte du salon qu'on ouvre et referme...surtout qu'à ce moment, une autre musique s'était liée à la sienne. Cependant, il fit comme si de rien n'était et continua à chantonner.
Une odeur musqué et non bestiale. Les rumeurs étaient vrais, De Scylla était bel et bien un humain. Pourquoi l'avoir fait venir ? Pour rien : le fun, le trip, le délire ! Bon, accessoirement, c'est aussi pour savoir s'il est possible de faire des affaires...mais ça, ça reviendra sur le tapis plus tard !
Soudain, une voix grave se fit entendre dans la pièce. Les mots employés collaient parfaitement à la chanson ! Il faut dire qu'on doit se poser des questions...quand, pour un rendez-vous "important", on arrive dans une salle où une personne écoute de la musique pour enfant !
Quittant son fauteuil, il se dirigea vers le son de la voix. Sur son visage immaculé, un grand sourire se peignait ! Et, sans qu'on s'y attende, il s'exclama :


"Yatta !!! T'es venu Soso-kun !!! Tu sais, j'pensais qu'tu viendrais pô comme la majorité d'ceux qu'jinvite ! J'sais pas pourquoi, j'croit qu'ils ont peur...de Nee-chan !"

Un ton enjoué et amusé ! Sans la moindre gêne, Suzu prit l'humain dans ses bras, et, après une acolade, il le prit par le bras et l'attira vers le sofa. Le faisant s'asseoir sur ce dernier, Suzu s'installa aux côtés de l'humain et poursuivit.

"Ne, ne ! Moi j'suis Ankoku Suzu. Enfin, j'pense que tu l'savait déjà, mais c'est toujours plus drôle de se présenter soi-même, tu trouves pas ? Ah ! Nee-chan m'a toujours dit que, dans une conversation importante, il faut commencer à mettre l'autre dans une situation adéquate...Vu qu'jai rien pigé, j'voulais savoir, t'es à l'aise là ? Ah ! Tu veux à boire ? C'est moi qui offre !!!"

Un débit de paroles impressionnants...mais surtout, une allure, un ton, des actes, plus proches du comportement d'un enfant innocent de 4-5 ans, que d'un ainoko ayant vécu dans les pires milieux qui soit. Trompeur ? Pas vraiment...Ankoku Yuki a toujours fait en sortes de protéger la nature même de Suzu, son côté pure et enfantin...qui fut malheureusement entaché par des actes barbares, lui ayant coûté sa santé mentale et son regard rubellite.
S'étirant comme le ferait un chat, et non un bouc, notre douce clochette déclara :


"Alors comme ça, les rumeurs sont vraies ? T'es bien Humain. Ne ? Soso-kun !"
Ankoku Suzu
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Ankoku Suzu
Seigneur...
Qu'avait mis le destin sur ma route, au juste ? Un adulescent en pleine période boutonneuse ? Un gentil attardé qui usait habilement du nom de sa redoutable famille ? Où autre chose que je n'arrivais pas à cerner ?
Méfiant, j'optais pour la dernière solution. Les pires serpents portent trop souvent les plus beaux costumes, et j'en savais quelque chose. Kuzu me désarçonna lorsqu'il s'approcha de moi pour... Pour me prendre dans ses bras, me donnant l'accolade comme à un ami de longue date ! Si ses yeux n'avaient pas été morts, il aurait vu mon visage prendre une expression oscillant entre la surprise brute et l'impuissance dans laquelle son comportement me plongeait. Mais si il voulait jouer avec moi, il n'allait pas ête déçu.
A mon tour, je le serrais dans mes bras, retrouvant de ma superbe et de mon assurance. Et croyez le bien, l'accolade semblait la plus naturelle possible. Alors que j'étais contre lui, j'entrepris de répondre à sa tirade.


- On ne vous à pas dit que je ne craignais personne, Suzu-Kun ? C'est fâcheux ! De plus, je ne refuse jamais une invitation !

Mon ton était naturel, tout simplement. A croire que j'étais malléable au point de pouvoir me fondre selon mon interlocuteur. Sur le moment, je n'avais pas idée qu'il aurait pût prendre mon comportement comme une insulte, une moquerie.
Visiblement, ce n'était pas le cas, puisqu'il m'entraina vers le sofa où il me fit assoir, venant se coller à moi, me parlant avec un débit plutôt surréel. Et sans voir sa langue fourcher une seule fois. Joli tour de force, que je n'allais pas laisser sans réponse.


- Je me doutais que vous êtiez le fameux Suzu-kun, mais merci de le préciser. C'est le genre de chose que j'apprécie. Et oui, je suis à l'aise... Suffisement pour vous demander une Bloody Mary. Plus de tomate que de vodka, un soupson de tabasco et une légère pincée de sel de céleri, merci.

Il me fallait garder les idées claires pour garder la situation en main. Pas d'abus ce soir, en aucune façon. Mais je n'allais pas laisser l'Ankoku boire seul.
Suzu s'étira, en profitant pour me poser une question curieuse dont je ne saisissais pas le sens. Tout en levant un sourcil dubitatif, j'entrepris de répondre.


- Humain, oui... Des pieds à la tête. Seriez vous déçu que je ne sois pas l'un des vôtres, Suku-Kun ? Et si vous me permettez... De quelles rumeurs parlez vous ?

La question était cruciale. M'étais-je déja fait une telle réputation, à peine arrivé ? Et si c'était le cas... Quelle réputation me prêtait-on ?
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Suzu avait complètement ignoré l'allure crispée de l'humain ! Après tout, ce dernier ne s'était-il pas rapidement habitué à la situation ? Seul un rire joyeux et enfantin répondit à sa première remarque...avouons-le, les gens n'avaient pas peur de Suzu, non...ceux qui refusaient les invitations n'étaient autres que ceux que Yuki avait menacé. Des personnes ayant des intentions plus ou moins malsaines envers l'ange des ténèbres.
Quoiqu'il en soit, le jeunot, de 30 ans, eut un sourire colgate alors qu'il passait la commande de son "ami" via un système électronique. Et oui, cet endroit est au top de la nouvelle technologie !
Cependant, alors qu'il finissait cul sec son verre de piña, Suzu positionna son visage juste devant celui de l'humain. Les dernières questions de ce dernier avait surprit le petiot, qui, avec un excellent sourire, répondit :


"Déçu ? Manquerait plus qu'ça ! C'est bien la première fois que j'trouve quelqu'un d'aussi amusant qu'toi ! Tu sais, j'ai rien contre les humains moi ! Bon, ok ! Ils permettent une bonne rentrée d'argent, mais ça s'arrête là ! Les armes, les drogues, et même les articles de SM se vendent mieux qu'eux ! Franchement, c'est pas demain la veille que j'vais faire attention à la race des autres !"

Il avait dit cela avec un sourire, le ton rieur...comme s'il racontait une bonne blague. Cela pouvait froisser ? Oui. Ces propos étaient monstrueux ? Probablement. S'en rend-il compte ? Il s'agit là d'une toute autre histoire. Passant son index sur ses lèvre,s il fit mine de réfléchir, puis, le sourire freedent en place, il reprit :

"En fait, j'ai vu l'esclave que tu as emmené à Nee-chan ! J'étais pas allé au Manoir depuis perpétte, après tout...ces vieux chnoques de morts-vivants me saoulaient trop. M'enfin, c'était le seul nouveau, et il était rudement sympa ! Quoique, il répétait trop souvent le "Sama", mais j'aurai bien voulu jouer avec lui ! Ah ! Je crois que les pourritures l'ont appréciée, mais eux, ils s'en foutent bien de qui le leur a offert, tant qu'ils peuvent se vider..."

La fin avait été dîtes de manière nonchalante, quoique, avec une certaine note de dégout. Il faut avouer que les seules fois où l'on peut voir Suzu "sérieux", c'est quand sa "famille" revient sur le tapis. Ce qu'il peut les haïr ces salops ! Eux qui ne désiraient qu'une chose : le vendre et le faire devenir esclave. Non, un Ankoku a qui ont a brisé une corne, un Ankoku a qui ont a crevé les yeux, un Ankoku qu'on a battu...ce n'est plus un Ankoku ! Si Yuki n'avait pas été là, peut-être les aurait-il tué avant de s'ôter la vie, qui sait ?
Enfin, reprenant son grand sourire et son ton joyeux, il déclara en direction de la porte :


"Tu peux entrer Mi' !"

C'est alors que la porte s'ouvrit sur un serveur. Ce dernier avait appuyer sur le bouton à l'entrée, qui ne diffusait qu'un léger son, imperceptible à l'oreille humaine. Après tout, à l'origine, ce bouton actionné juste une lumière sur la table basse, signalant la venu du serveur !
Quoiqu'il en soit, le dénommé "Mi'" déposa le Bloody Mary face à Soren, alors qu'une autre Piña était déposée devant Suzu. Avec un grand sourire, Suzu lui signala qu'il pouvait partir...et, se tournant vers Soren, il continua :


"Il s'appelle Miguel, mais moi, j'l'appelle Mi' ! Franchement, il parle pas beaucoup mais il est super sympa...c'est bien le seul serveur en qui j'ai confiance...en fait lui et le barman, Lou, sont les seuls qui risquent pas d'essayer d'me tuer ! Ils étaient dans ma boutique avant."

Un autre rire, et une nouvelle gorgée. Un léger mal de tête commençait à poindre dans le crâne de l'adulte enfantin...comment allait donc se poursuivre la soirée ?
Ankoku Suzu
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Ankoku Suzu
Comment avais je pûs ?
Comment était il possible que j'ai de la sympathie pour cette parfaite ordure d'hybride qui se dressait devant moi ? Ses propos quant aux humains m'étaient restés au travers de la gorge. Comparer l'espèce humaine à des articles de sex-shop.... Quelle ordure ! Et le tout sur un sourire ultrabright sorti d'une putain de publicité pour pête dentaire !
J'eus envie de me saisir de ma dague et de l'écorcher comme l'animal qu'il était. Si il connaissait mon nom, il n'ignorait donc pas mes projets et mon point de vue sur la vie humaine à Migoto. Il m'insultait donc, ce satané bouc puant !

Pourtant, même si le sang bouillonnait avec force à mes tempes et que je serrais fortement les poings, je ne finis rien. Je ne pris pas la peine de relever sa tirade, pour ne pas qu'il perçoive le voile de colère qui s'était posé sur ma voix. Je devais impérativement me reprendre ! La situation n'était pas en ma faveur, dans cet endroit. J'étais à la merci de "Suzu-kun". Et un seul faux pas pourrait me coûter trés cher.
L'hybride passa alors à un autre sujet, qui me calma un peu, même si la chute ne fût pas sans me soulever légèrement le coeur. Les esclaves étaient arrivés sans faute et avaient des chances d'avoir le succès que j'escomptais. Parfait, je marquais donc un point.


- Ravi... Ravi de voir que le cadeau vous à plus, Suzu-Kun. C'était le but, aprés tout.

Je remarquais que Suzu semblait accorder une importance particulière à sa soeur. Il me fallait m'en souvenir... Je n'avais pas idée de la composition hierarchique des familles, n'ayant pas pris le temps de m'en soucier. Cette "nee-chan" devait avoir un rôle supérieur. Méfiance à nouveau, donc.
Une nouvelle fois, le garçon à la peau de porcelaine réussit à me surprendre. Il demanda à quelqu'un d'entrer sans que je n'ai entendu frapper. Curieux. Je laissais donc là notre conversation, le temps que le erveur apporte la commande puis s'éclipse à la demande de son maître. Je fûs prompte à me saisir de mon verre, trinquant par politesse avec mon hôte. L'alcool me remit les idées en place et me détendit dès la première gorgée, attenuant un peu ma colère.


- Merci à Mi', donc... Dites moi, Suzu... La question peut vous paraître idiote et je m'en excuse, mais... Qui tient les rênes de votre famille ?

Il me fallait savoir. Parce que j'aurais à rencontrer les dirigeants des Ankoku tôt où tard. Et puis j'espérais pénétrer, ne serait-ce qu'un peu, dans le vif du sujet.
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*Tiens, il est crispé ? Bof, ça m'regarde pas !*

Telle était la pensée du jeune homme alors qu'il énonçait son point de vue, non pas sur la race humaine, mais sur l'esclavage en lui-même ! Selon lui, ce n'était pas la branche la plus florissante du commerce illégale, de part son côté légale justement ! Il ne voyait donc aucun intérêt à ces différences sociales.
Cependant, la réaction de l'humain le surprit tout de même. Il était ravi de ce qui arrivait à l'esclave envoyé chez les Ankoku ? Suzu, lui, le plaignait plus qu'autre chose ce p'tit bonzomme ! D'ailleurs, il déclara avec le sourire :


"Il a plus aux vieux chnoques ! Perso, j'ai quitté la maison familiale, et je doute que Nee-chan est eut le temps de s'occuper de son cadeau....elle est comme Nee-chan ! Toujours débordée Nee-chan !"

Un petit rire d'enfant, et il termina cul sec son verre. Les effets de l'alcool n'allait pas tarder à faire leurs effets sur le petiot...un jeunot déjà joyeux, qui le devient encore plus ? J'en doute...
Cependant, alors qu'il laissait choir sa tête sur l'épaule de l'humain, Suzu répondit :


"C'est vrai qu'elle est pas drôle ta question...C'est Nee-chan qui dirige la Famille. Enfin, elle dirige les vieux chnoques, moi, j'suis son aide comptable ! Haha...Mais bon, c'est que t'es bizarre toi. Pourquoi t'as rejoint l'île ? Les laideurs m'ont empêché de voir Nee-chan, car elle était en pleine réunion...alors, je sait rien de toi."

La fin avait été murmuré, comme si un enfant triste se sentait rejeté, mal à l'aise, seul. On peut dire que déjà, Suzu était seul dans l'immensité ténébreuse que lui offrait ses yeux morts. De plus, l'impossibilité pour lui de serrer dans ses bras sa GSA (Grande Sœur Adorée) et d'humer son parfum lui donnait un coup au moral. L'alcool brisait son masque de joie, révélant petit à petit la véritable nature du ainoko : un enfant bafoué, déchu, détruit...et n'ayant plus qu'une chose pour le maintenir en vie.
Ankoku Suzu
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Ankoku Suzu
Etais-ce simplement moi, où Suzu perdait il peu à peu la gaité qu'il avait arboré depuis le début de cette curieuse entrevue ?
Mon regard couleur glace se posa sur le cocktail du jeune Ainoko. L'alcool semblait briser bien des déguisements. Forts heureusement, je n'en avais aucun. Face à l'hybride à la peau de porcelaine, j'étais entier, tout simplement. Mais lui... Bien que j'avalais toujours pas digéré ses propos sur les humains asservis, j'éprouvais une drôle de compassion à son égard. Peut-être la vodka de ma Bloody-Mary. Peut-être pas. Il y avait chez l'Ankoku quelque chose qui se cachait derrière cette facade de légèreté et qui me frappait malgré moi.
Je sentais dans ses paroles tout l'amour qu'il éprouvait pour sa soeur et la haine qu'il semblait vouer au reste de sa famille. Une faille dans laquelle m'infiltrer ? Que oui....
Mais pas n'importe comment, non. Je n'étais pas un bête sauvage atirée par le sang d'un animal blessé. Et puis... De par certains aspect, j'appréciais la compagnie de l'hybride. Il ne se montrait pas guindé avec moi et dégageait une fraîcheur et un naturel qui me changeait un peu de ce qui m'entourait trop souvent. Par reflexe, je passais une main autour de son épaule avant de répondre à ses questions quant à ma présence ici.


- Pourquoi j'ai rejoins l'ïle ? Je ne suis pas sûr que vous allez apprécier la réponse, Suzu-Kun. Mais allez, je vais jouer franc-jeu avec vous. Je voudrais offrir aux esclaves humains la dignité qu'ils ont perdus. Et peut-être même la liberté. Entre autres petites choses....

J'attendais sa réponse, curieux de savoir comme un marchand d'esclaves tels que lui allait prendre ce que je venais de lui balancer d'une voix parfaitement neutre. Lentement, je faisais tourner le liquide rougeâtre dans le verre qui le contenait, avant d'enchaîner d'un air tranquille.

- Ne vous en faites pas, je vous laisse les Ainokos. Mais je compte récuperer nombre d'esclaves humains pour les installer au Castel Or-Azur, ma propriété. C'est pour cela que j'ai voulu vous rencontrer... A moi seul, je rendrais florissante la branche de l'esclavagisme humain? Je suis même prêt à vous assurer plus de quatre-vingt dix pourcent de mes achats dans l'un de vos points de ventes. A quelques menues conditions, évidemment...

Voila que j'étais rendu à me comporter comme un simple marchand ! Je ne me rendais même pas compte que tout ce que je venais de dire était d'un naturel presque immonde. Pourtant, j'avais pris les choses en mains.
Restait à savoir ce que l'adulescent à moitié stone penserait de tout ça.
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Un léger mal de tête commençait à s'éprendre du jeune Ankoku. Ce dernier n'arrivait pas encore à définir ce qu'il faisait, se sentant comme dans un état second. Bon sang ! Quel idiot aussi d'oublier qu'il ne tient pas l'alcool ! Les boissons l'ont toujours révélé tel qu'il est ! L'empêchant d'user de son pouvoir, l'empêchant de garder sa fausse joie...mais accentuant son cœur et son âme d'enfant.
C'est alors que Soren passa son bras autour de l'épaule de notre petit hybride. Ce simple geste surprit Suzu, qui se décolla légèrement, le regard apeuré. L'alcool l'embrouillait, et certaines images revenaient se poser en parallèle à la réalité. Lorsqu'il entendit la voix de Soren, il se calma immédiatement. Suite à la révélation, il ne put empêcher l'un de ses sourcils de se relever.


"Seulement les humains ? Dans ce cas, ce n'est si gênant que cela...Perso, dans mon commerce, les humains sont rares et difficiles à trouver. Les ainokos sont plus pratique, en raison de certains de leurs actes. La majeur partie des Ainoko Asservis sont ceux qui nous ont trahit en guerre, ceux qui avaient des dettes aux mauvaises personnes, et des orphelins qui se sont fait avoir. Franchement, les humains sont devenus rares ! Ton idée ne me gêne pas, elle ne changera pas mon chiffre d'affaire...peut-être celui de Nee-chan, mais bon, elle se rattrapera en marchandant avec les Kakon."

Il avait dit cela d'une voix douce et calme. Non, vraiment, on aurait dit qu'il n'établissait qu'un simple constat. Oui, lui ne serait pas déranger par les actes de cet humain, actes qu'il trouvait banal et sans la moindre importance. Après tout, qu'est-ce que la dignité ? La Fierté ? Lui, on les lui avait déjà ôté, le privant du sens même de ces mots. Ce n'était qu'un enfant perdu au milieu du crime, un être ne différenciant pas le Bien du Mal...un être aimé d'une seule personne : Yuki. La seule à vouloir le garder loin de sa propre destruction.

Soudain, Soren partit sur une autre voix. S'avachissant un peu plus dans le canapé, Suzu semblait calculer ce que cela pouvait lui apporter, moyennement finance. Son esprit était ainsi : pur mais méticuleux. Puis, avec un grand sourire, il déclara :


"Je suis OK ! Je ne peux, cependant, te donner ce droit de vente que pour ma boutique. Le Marché, qui est le point de vente légal, appartient à Nee-Chan. Aussi, tu pourras obtenir avec facilité des esclaves humains, à l'Eden Gliterring. Ne te fie pas aux apparences, même si ce n'est, officiellement, qu'un sex-shop, j'affirme que le sous-sol regorge de folie...Ah ! J'accepte toutes conditions, quelque chose me dit que tu vas être quelqu'un d'intéressant à observer."

Puis, se passant négligemment la main dans sa chevelure immaculé, il poursuivit d'un air gêné :

"Euh...Les Kakon sont au courant de tes projets ? Si oui...tu devrais faire attention. Nous, les Ankokus, gagnons beaucoup avec l'esclavage, mais nous gagnons surtout en traitant dans les trafics en tout genre. Cependant, ce qui fait la force des Kakons, c'est l'asservissement de la Race Humaine. Tu devrais allé à Yuugi, on trouve pas mal de proxénètes vers le Tetsuya ou le Yutaka. C'est avec eux que tu pourras en apprendre plus sur ce les autres familles pensent de toi.
Ah ! Et trouves-toi un Garde du Corps, perso, je te recommande un certain Isei Kuma."


Pour la dernière phrase, Suzu avait offert un grand sourire à Soren...Alors que, juste avant, son ton était calme et neutre. Le genre d'intonation qui dit à quelqu'un qu'on l'apprécie, mais qu'il est dangereux de se côtoyer trop souvent.
Il faut l'avouer, bien des personnes attendent que Suzu face un faux pas pour l'éliminer ou le mettre en vente...rien que son style vestimentaire, provocateur à souhait, et sa réelle innocence, le rende détestable. Comment peut-on être aussi insouciant quand on connait tant de choses ? Comment peut-on ne pas voir le Mal de ce savoir ? Ce sont ces questions qui déstabilisent, et qui sont la cause même de la vie risquée menait par Ankoku Suzu.


"Sinon, que penses-tu de la ville ? Elle est plutôt pas mal, non ? Bon....j'imagine que cela ne doit pas être facile de voir des esclaves un peu partout, mais l'île est belle. Rassure moi, tu as visité le temple tout de même ? C'est le lieu incontournable ! Cela me fait penser que je ne suis pas allé prier Dame Taisha et Chi depuis longtemps....Ne ! Tu veux qu'on aille ensemble au temple, un de ces quatre ? Je suis sûr que personnes ne t'a encore parlé de nos divinités !"

Oui, le masque était définitivement tombé. Il était sérieux, tout en gardant ce petit sourire et ce ton léger. Il était moins gai, moins simple d'esprit, mais toujours aussi enfantin dans ses idées et sa façon d'agir. Soren avait réussit à gagner la sympathie du vrai Ankoku Suzu, celui qui ne se révèle que difficilement...
Ankoku Suzu
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Sirotant mon verre mon bras toujours passé autour des épaules de Suzu, j'écoutais ce dernier avec une attention entière. Enfin, je commencais à obtenir des réponses nécéssaires pour mes projets brûlants d'ambition. J'étais conscient que je devais réunir nombre d'éléments avant de commencer à vraiment sortir de l'ombre dans laquelle je me cachais encore, trop faible pour m'exposer. Il me fallait appuis et soutien, et je ne doutais pas que Suzu Ankoku pourrait être le premier d'entre eux, si il me mettait en relation avec sa fameuse soeur aînée. Si je comprenais bien, sa soeur contrôlait la marché. Il me fallait donc impérativement la rencontrer si je voulais commencer à m'approprier proprement le réseau humain. Parfait, je ne craignais pas une confrontation avec qui que ce soit et surtout pas une femme.
Suzu Kun ne pouvait le voir, mais le sourire qui se dessinait sur mes lèvres était léger et froid. Une mimique de prédateur qui s'apprêtait à fondre sur une malheureuse proie.
Mon ton de voix était il devenu plus inquiétant lorsque je repris la parole ?


- Faisons donc affaire, Suzu-Kun. Voilà ce que je vous proprose : les humains du sous-sol de l'Elden Glittering me sont réservés. J'en ferais rapidement l'acquisition, au prix que vous me fixerez. Mais attention, je ne veux pas qu'on maltraite ma marchandise et ce pour n'importe quelle raison. Si vous m'assurez ceci, je vous assure un paiement dans les modalités que vous désirerez et dans les délais les plus brefs. Les bons comptes font les bons amis, non ?

Je ne doutais pas que Suzu accepterais bien vite. Cet arrangement était parfait pour nous deux, aprés tout. Alors que je faisais quelques rapides calculs, Suzu évoqua les Kakon. Je réalisais que ces derniers risqueraient d'être la plus grosse des épines qui se planterait dans mes flancs. Si tout mes projets aboutissaient, les Kakon me prendraient trés rapidement en grippe.

- Les Kakon, dites vous ? Non, ils ne savent rien encore de mes projets. Mais apparement, ils l'apprendront bien assez tôt si je commence à jouer sur leur propre terrain. Nous verrons.... Suzu-Kun, pourriez vous m'arranger une entrevue avec votre aînée ? Je crois qu'il me faudrait la rencontrer, pour marcher main dans la main avec elle comme je m'apprête à le faire avec vous.

Mentalement, je notais le nom de ce garde du corps, Kuma. Ce n'était pas la première fois que je l'entendais... Au retour, je le contacterais pour un rendez-vous. Oui, ma protection allait devenir un point crucial.
J'eu rapidement fini de vider mon verre, que je déposais sur un des meubles à mes côtés. Je passais lentement une main dans mes cheveux, tout à mes reflexions. Mon regard se perdait dans le vide, alors que je réalisais doucement que finalement, j'avais lancé la machine. Un début modeste, certes, mais un début tout de même. Rencontrer des proxénètes, hein.... Oui, mais le plus influent d'entre eux, tant qu'a faire.


- J'irais donc dans ces lieux. Sûrement accompagné de ce Kuma. Puisque vous me le recommandez, je suppose que je peux l'engager les yeux fermés. Dites moi, Suzu-Kun... Qui devrais-je rencontrer en premier de tout ces proxénètes ? N'y a t'il pas un caïd, quelque chose du genre ? Autant aller dans le vif du sujet, non ?

Les derniers mots que j'avais prononcés étaient légers et amusés. D'ailleurs, un sourire était posé sur mon visage alors que je regardais l'aveugle. Je ne pûs m'empêcher de me demander comment. Comment cela avait il pût lui arriver ? Car j'en étais sûr, ce n'était pas de naissance. J'éprouvais un peu de pitié et de sympathie pour le curieux Ankoku. Je sentais bien que malgré tout, il n'était pas mauvais. Peut-être même était il plus fréquentable que moi....
Il me parla du temple, allant jusqu'a me proposer une ballade. Idée amusante.


- Organisons un rendez vous avec votre soeur au temple, alors. Vous serez à même de m'instruire de votre panthéon dont j'ignore tout. Qu'en dites vous ?
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Cette discussion devenait de plus en plus profonde et cruciale. Elle signait des liens sans même que Suzu ne s'en rende compte. Les conditions de ventes des Esclaves Humains de l'Eden venait d'être énoncé...mais Suzu n'avait pas entendu de changement dans le ton de la voix de son vis à vis. Si son esprit n'était pas embrumé par l'alcool, s'il était encore parfaitement sobre, son ouïe fine aurait perçut la légère différence. Le côté vainqueur des paroles et du ton de Soren...mais là, il n'en est rien.

"Je suis entièrement d'accord, tes conditions me plaisent ! Et bon, elles sont avantageuses pour moi aussi !" répondit-il avec un petit rire.

Alors, la conversation se poursuivit. L'attitude de Soso, face à sa propre situation, étonnée tout de même Suzu. Cet homme ne craignait-il point pour sa vie ? Enfin, l'étrange demande laissa notre petite clochette pantoise pendant quelques instants....au vu de la bouche en poisson.


"Une rencontre avec Nee-chan ? Euh....je peux toujours essayer. Ta propriété, c'est le Castel en Centre ville ? Si c'est ça, je te ferais parvenir un courriel pour te donner une date ! L'emploi du temps de Nee-chan est vraiment lourd..."

Pourquoi avait-il été surprit ? Car, de nos jours, les gens avaient peur de Yuki Ankoku. Devenue chef de la Mafia à la Mort "accidentelle" du paternel...tous savait que c'était elle l'assassin, elle et Suzu. Quoique, notre petit bouc n'avait fait que suivre le plan conçut par sa GSA (Grande Sœur Adorée)
Soudain, une autre question fut posée. Qui est le "caïd" des proxénètes ? Oulà ! C'est pas le domaine de Suzu ça ! Quoique...c'est quoi déjà le nom de famille de son acheteur premier ? Ah ! Oui !


"Un n°1 ? Je croit qu'il s'agit d'un dénommé Yatsuki. Je ne sais pas grand chose à son sujet, on dit juste que son réseau est aussi grand, si ce n'est pas plus, que celui des Kakon. De plus, ceux qui ont eut des contacts avec ses prostitués en vantent souvent les mérites au magasin. Mais, je croit savoir qu'il n'est pas trop apprécié des Kakon, il leur fait de l'ombre...Je croit que seul Kei Kakon l'apprécie, et encore, ce n'est pas certain."

En parlant, Suzu avait glissé sa main sous son menton dans un air concentré. Il essayait de faire fit de son mal de tête pour mettre à jour ses idées. Quand, soudain, il offrit un grand sourire à Soren :

"C'est d'accord alors ? On va aller au temple !!? YATTA !!! Je te montrerais ! Je suis sûr que tu aimeras Dame Taisha ! Je suis un fervent de Dame Taisha et de son fils Chi...mais je croit que les membres de ma famille sont plus des partisans de Kage et Kyouki...Enfin, notre Panthéon est Divin !"

Quel pléonasme ! On ne fera point de commentaire supplémentaire...Mais bon, tout semblait être réglé, les affaires signées...à présent, comment aller agir Soren ? Dieu seul le sait !
Ankoku Suzu
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Ankoku Suzu
j'enfoncais plus mon corps dans l'agréable canapé, adoptant une posture totalement décontractée, un sourire assuré sur le coin de mes lèvres. Ce soir, je venais de faire un pas conséquent en avant. J'avais des noms, une possibilité de contact... Tout ce qui m'avait défaut jusque ici. Tout ça, je le devais au jeune bouc, Suzu.
Le brave bougre allait m'arranger un rendez vous avec sa soeur, maîtresse incontestée du marché aux esclaves. Toutefois, j'allais devoir aiguiser mes arguments. J'étais conscient que j'allais entamer de sévères négociations pour m'accaparer la partie "humaine" de la marchandise du marché. Il me faudrait donc jouer serré. D'auntant plus que les rumeurs qui m'étaient parvenues au sujet de cette Ankoku Yuki m'étaient revenues en mémoire tandis que Suzu semblait scié de ma demande.
Je devrais rester sur mes gardes à chaque instant, car Yuki pourrait vite devenir tout aussi dangereuse pour moi que les Kakon. Hmm...


La suite me fit hausser un sourcil tandis que je me tournais un peu vers mon hôte. Ainsi, il existait quelqu'un qui mouchait les Kakon sur le terrain du proxénètisme ? Interessant... Ce Yatsuki ne devait donc pas avoir froid aux yeux, tout comme moi. Le proxénètisme ne m'interessait pas, mais ses "employés" devaient bien venir de quelque part. Et c'était cette source qui m'intriguait.
Nous verrions bien, donc.


- Yatsuki, vous dites ? Un rival des Kakon, hein..... Parfait, donc. J'ai comme l'impression que nous allons avoir bien des points communs, ce Yatsuki et moi...

Ma confiance en moi étant parfaite, à présent. Je regardais Suzu en souriant. Au début de notre soirée, je pensais que j'abregerais rapidement cette entrevue qui prenait un tournant ridicule. Mais Suzu avait su m'interesser et j'avais bien fait de tenir bon. Et puis ce curieux phénomène aveugle semblait cacher bien des choses. J'aimais les chappes d'inconnu chez mes interlocuteurs. Et je sentais que Suzu-Kun avait un passé bien lourd.
Et pourtant malgré cela et notre conversation qui devenait cruciale, il semblait ravi de ma réponse positive à son invitation au temple.
Je souriais avant de laisser échapper un rire léger et détendu.


- Je suis ravi que cette idée vous séduise ! J'ignore tout de votre panthéon, mais ma foi... Je dois être passé sous les bonnes grâce de l'une de vos Divinités. J'ai hâte de ce petit rendez-vous, j'ai toujours apprécié ce genre de découvertes !

Mon ton était redevenu plus léger et moins victorieux. La discussion en elle-même était close, nous pouvions donc passer à quelque chose de moins.. Crucial.
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Suzu avait écouté avec attention les dires de l'étrange humain. Son visage dans la direction de la voix de l'homme, il avait la tête légèrement penchée sur le côté, accentuant un air enfantin naturel. Il ne saurait dire pourquoi, quelque chose au fond de lui le poussait à faire confiance, et à observer cet individu. Soren de Scylla, cet homme allait sans conteste remettre bien des acquis en causes...mais bon, le petit Maître ne s'en était pas encore rendu compte, du moins, sa raison...car son instinct, lui, hurlait à la nouveauté !

"Qui sait...il se peut que Shukumei-Sama soit de ton côté..." répondit de manière énigmatique le jeune homme.

Il faut l'avouer, peu avant son "accident" il avait émit le souhait de devenir prêtre au Temple. Il vouait un culte sans égal aux divinités et continué de les prier et de les respecter au quotidien. Ne pas tuer, ne pas bafouer la nature, protéger la Terre...on voyait là ses divinités mères : Taisha, Arano et Chi. Mais bon, rien ne l'empêcher d'être calé sur les dix autres créatures divines !

Quoiqu'il en soit, quittant le canapé, notre jeune ami s'étira. Il n'arrivait pas à rester en place...et là, son quota était dépassé depuis belles lurettes !
Cependant, avec un grand sourire, il demanda à Soren :


"Ne, Soso-kun ! Il y a autre chose que tu voudrais savoir ? Après tout...je ne sais pas quand on va se revoir, se serait dommage que je te laisse avec la tête pleine de questions sans réponses ! Nee-chan me dit toujours qu'il faut prendre soin de ses amis, car les vrais amis sont rares de nos jours."

Tout en déclarant cela, il s'était assis sur le dossier du canapé, surplombant ainsi l'humain. Cela n'était aucunement un rapport de force, non, juste une personne qui se met à l'aise prêt d'une autre personne en qui il a confiance. De plus, cet idiot est trop simplet pour penser à établir une relation de dominance avec quelqu'un....
Ankoku Suzu
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J'avais laissé Suzu se déplacer sur le canapé pour qu'il aille se placer assis sur le dossier du meuble, mettant un peu de hauteur entre lui et moi. De mon côté, je continuais de gamberger sur mes plans futurs. D'abord, engager ce fameux Kuma au nom si relayé dans le milieu. Une fois cet atout supplémentaire dans la poche, il me faudrait rencontrer cette Rei Yatsuki pour nous arranger sur quelques points. Oh, il faudrait que je me trouve quelques informations à son sujet, d'ailleurs.
Je n'étais clairement pas du genre à partir à l'aveuglette. D'autant plus qu'il m'aurait étonné que cette proxénète soit sans danger, si elle tenait la comparaison avec toute la famille des Kakon. Il fallait donc que j'aiguise mes propres armes. Toutefois, j'avais pour le moment d'autres chats à fouetter. Suzu me proposait de répondre à d'autres questions. Tiens, pourquoi pas ?


- Voyons... Ah, oui ! J'ai besoin d'une esclave. Une ainoko, évidemment... Pour... Mon utilité personnelle. Fêtons nos accords en concluant une petite affaire, qu'en dites vous ?

Comme tout homme digne de ce nom, j'avais des envies bien masculines. Et même si je bannissais l'esclavage humain, je ne refusais pas celui des hybrides pour peu que j'y trouve de l'interet. Je ne doutais pas que je finirais par me fournir d'içi à quelques jours, mais faire cet achat chez Suzu pourrait être une preuve de ma confiance en lui. Mais je ne voulais pas une bête soumise basique. Je n'étais aucunement amateurs de femmes faciles, même réduite à l'esclavage. Il me fallait des esclaves avec le petit quelque chose en plus qui tendait à faire toute la différence.
- Mais attention ! Proposez moi une esclave qui sorte un peu de l'ordinaire, Suzu-Kun ! Impressionnez moi !

Je souriais en prenant davantage mes aises dans le canapé. Décidément, c'était vraiment une excellente soirée...
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Suzu écouta avec attention la demande se son associé. Oui, il le considérait dorénavant comme un associé, un partenaire, et même...Il sentait se profiler à l'horizon un début d'amitié. Ainsi, avec un léger sourire, il demanda innocemment :

"Une ainoko ? Pas de blem' ! Laisse moi juste l'temps de passer un coup d'fil..."

Ainsi, quittant son support, le jeune homme d'une trentaine d'année se dirigea vers la table basse. Là, prés de la fameuse commande électronique, se trouvait un léger portable. Suzu, qui connaissait les touches par cœur, pianota un instant dessus avant d'apporter l'appareil à son oreille droite. Toujours tout sourire, la conversation téléphonique pût débuter.

"Hallo ?
- Yo, C'est Suzu !
- Suzu-sama ? Que puis-je pour vous ?
- J'voulais savoir si Shin'Rin était toujours dans le coin vente.
- En effet, elle l'est. Si ce n'est pas indiscret, pour...
- Parfait ! Livres là au petit salon du Premier Étage de l'Aka s'te plait, bon Tchouss !"


Et avant que son employé puisse agir, il avait déjà raccroché et c'était avachit dans le canapé. Offrant un grand sourire à Soren, il lui dit :

"Je n'ai aucun esclave qui ne sort pas de l'ordinaire, foi de Ankoku ! Et bon, dit moi, tu veux un autre verre en attendant l'arrivée de la petite perle ? Tu vas voir...elle possède quelque chose d'unique."

Suzu avait le sourire et semblait s'amuser comme un petit fou. Enfin, à présent, la fin de soirée commençait clairement à se jouer...
Ankoku Suzu
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Ankoku Suzu
Blottie dans le fond de sa cage la jeune renarde semblait complètement perdue.. Ces yeux couleur de lune se posant sans douceur sur chaque personne qui passait prés d’elle, l’air sauvage qu’elle abordait, tranchaient avec la douceur de son visage, c’est longs cheveux blonds en pagailles… Elle semblait effrayée et troublée…. Comme si elle ne savait pas du tout pourquoi des barreau l’empêchait de sortir… Elle ne semblait pas avoir froid dans le Kimono léger qui couvrait son corps…. Un Kimono presque transparent, qui découvrait sa jeune poitrine opulente…. Qui laissait voir aussi ces courbes généreuse… Ca fait trois jours qu’elle est la …. Et chaque fois qu’un des gardiens approche de sa cage elle montre les dents et glapit comme un renard prix au piéges…

Habituée au grand espace de la foret et du temple d’ Arano, sa déesse, la déesse de la terre sauvage…. Elle est sa digne représentante n’est pas…. La nature ne se laisse pas dominer dans la violence, elle plie sans se rompre comme les roseaux…. Ces choses que ces hommes veules lui faire manger ça pue.. A plusieurs reprise elle a renifler ce qu’on lui donnait avant de le lancer sur une personne qui passait client ou autre…. Les fouets qui claquaient a ces moment la lui faisait peur … Mais par habitude face au danger on gronde on fait face et la menace s’éloigne…
Puis il y avait eu cet homme au mains froide qui l’avait regarder dans tous les sens… Qu’elle avait chercher a mordre, mais on l’avait attachée elle ne pouvait rien faire…. Quand il était partit les autre l’avait détachée et la colère de la jeune femme avait prit le dessus, plus d’un des soigneur c’était retrouver avec une morsure ou trace de griffure.. Il faut dire que quand la jeune femme se débat ça fait mal…

Et a présent elle était dans une autre cage, avec un papier ou il faisait écrit un chiffre… Dans le cerveau de la jeune femme, les neurones s’agitaient.. Des chiffres sur un papier, elle ne savait pas ce que cela voulait dire… Mais le , a vendre, elle comprenait bien… Ces gens voulait la vendre, mais on ne vend pas une prêtresse, elle n’a rien fait, elle a juste essayer quelque bijou et est partie avec ….Mais c’est normal ce que l’on trouve on le garde…. Et puis elle ne l’avait pas fait exprès, elle voulait seulement jouer… Une larme coula sur la joue de la jeune femme, alors qu’elle était roulée en boule dans un coin de sa cage, son visage cacher par sa queue de renard….

Des pas qui s’approche… Elle se raidit…. Elle veut pas qu’on la touche…


« Vous conduirez Shin’rin a l’aka, premiers étages petit salon.. Sans trop l’abîmer… Une vierge ça vaut ce que ça vaut… »

La jeune renard avait bien entendu que l’on parlait d’elle, doucement elle s’était redressée, a quatre patte comme un animal, elle poussait un feulement de colère, de rage aussi, mais de peur… Et le premiers hommes qui l’approcha elle lui bondit dessus, cherchant a mordre sa gorge de ces dents pointue…. Attaquer avant d’être attaquée, mais habituer sûrement l’homme l’attrapa par les cheveux pour la plaquer au sol… Attachant ces mains et la bâillonnant rapidement, ce qui n’empêchait pas la jeune esclave de chercher à fuir…

Le trajet elle ne s’en rappelle plus bien, sauf qu’il l’on transporter dans une petit cage, ou elle peu a peine se lever… Mais a force de gigoter la jeune femme a put défaire un peu les liens qui la retenait et surtout elle put enlever le baillons avec plaisir elle aspire un grand bouffée d’oxygène qu’elle plaisir de sentir l’air dans ces poumons… Son instinct la pousse a faire semblant d’être toujours attachée… D’ailleurs elle fait bien puisque les hommes la porte dans la cage jusqu’au premier étage avant de la faire sortir… Elle ne peu rien faire attachée comme cela

Pourtant des qu’elle a un pieds au sol, elle se déchaîne, griffant mordant, glapissant, elle arrive a échappé a ces goelier… Une vrai sauvage la renard… Et rapide en plus de cela, souplement sans faire de bruit ces pieds nus volant sur le sol, elle esquive un des hommes qui cherche a l’attraper. Un cul de sac demi-tour…. Un homme, un bond et elle se sert de ces épaules pour aller plus vite.. Encore des hommes… Une porte qu’elle pousse… Un salon.. Deux hommes… Pas de fenêtre pour sortir….

La renard pousse un petit cris de bête traquée, son regard empli de peur et d’autre chose, se posant sur la porte… Alors qu’elle recule contre le mur, jusqu'à le sentir contre son dos…. Poussant des petit cris étrange… Des larmes encore qui coule sur ces joues…. Elle veut sortir.. Son souffle est cours, soulevant a chaque respiration, sa poitrine opulentes, a cet instant a peine cachée par son kimono qui a glisser.. Ces cheveux blonds, très longs, cascadant dans son dos, encadre son visage d’un très jolie façon… La lueur de peur, de celle que l’on traque brillant dans son regard… Semblent appeler a l’aide…

Enfin le vendeur apparais a la porte un peu gêner, son regard se pose sur l’Ankoku… Alors que la jeune femme elle, ne souffle que plus fort, un renard prix au piéges.. Ces oreilles rabattues sur sa tête… Elle n’a qu’une envie mordre pour fuir…


« Désolée M’sieur, elle nous a échapper… »
Shin'rin Tenju
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Shin'rin Tenju
Je savais que Suzu ne me décevrait pas. Même si j'ignorais à quel point le spécimen qu'il m'offrirait sur un plateau serait unique...

Il n'avait certes pas tardé à passer un coup de fil, sûrement à l'un de ses employés. Je l'observait en silence, l'écoutant avec attetion tandis que mes yeux se balladait sur ce corps, curieux résultat d'un croisement plus où moins réussi, mais tout à fait unique, c'était sûr. Ankoku Suzu était un être plein de contraste qui me plaisait pour nombre de ses petits travers agacant. De par bien des points de vue, lui et moi étions opposés. Pourtant, j'ai la nette impression que nos liens, si ils étaient entretenus, seraient forts. Drôle de constat, qui pourtant me frappait de plein fouet. Le coeur à ses raisons.... Vous connaissez sûrement le reste de l'adage.
Shi'rin était donc le nom de ma nouvelle acquisition. Et tandis que Suzu revenait venir s'étaler à mes côtés dans l'agréable canapé, je captais son sourire que je trouvais un peu diférent d'avant. Comme si la situation l'amusait pour des raisons qui m'échappaient toujours. Hm... Je devais rêver, tout simplement. Je cernais peut-être plus mal l'hybride que je ne le pensais, c'était tout simple.
Il me proposa une boisson supplémentaire pour patienter en attendant l'arrivée de celle qu'il qualifiait de lui-même de "petite perle" avec "quelque chose d'unique". Il ne pût voir mon regard légèrement soupsconneux lorsque je vis une nouvelle fois son sourire, mais pût aisément entendre ma réponse.


- Une autre Bloody Mary, oui... Toujours aussi légère que la première je vous prie. Merci, Suzu-Kun.

Usant du même système pour rappeler le fameux Mi', il passa donc commande. Et tandis que nous patientions, nous parlâmes de tout et de rien.
Le serveur arriva donc, me déposant un Bloody Mary identique au premier : parfait. Je trinquais avec Suzu bien volontiers, tandis que la conversation déviait sur les quelques lieux touristiques qui seraient à même de faire un sujet interessant de promenade.


L'arrivée de l'esclave fût un peu... Différente de ce à quoi je m'attendais.
La porte s'ouvrit avec violence, surprenant tant mon hôte que moi-même. Sauf qu'a la différence de l'hybride, j'assistais de visu à la scène qui se déroulait devant mes yeux. Une petite femme à la crinière blonde et les joues striées de grosses larmes cherchait à se protéger, à la façon d'un animal sauvage. Terrée contre un mur, les oreilles rabattues en arrière sur sa tête tandis qu'elle dévoilait ses dents en guise de menace contre le monde qui l'entourait. Comme si elle pouvait se montrer impressionnante.
De la surprise, je passais à la consternation. Il existait des ainokos si sauvage, vraiment ? Où n'étais-ce là que l'instinct animal d'un créature aux abois ? Comme par reflexe, je me levais, me dirigeant à pas lents vers la petite renarde. Mes yeux plongés dans les siens tentaient de l'apaiser et de lui faire comprendre que je ne la craignais aucunement.
Durant ce laps de temps, un homme embarassé se montra sur le pas de la porte, s'excusant auprés de Suzu, son maître. Je n'ajoutais rien, concentré sur mon approche délicate de l'animal.
Arrivé à la portée de la belle, je constatais que ses fort jolies formes étaient mise à nue. Et bien qu'elle soit splendide, le spectacle avait quelque chose d'indécent, de choquant.
Alors, avec des gestes mesurés, j'ôtais mon manteau long de couleur azurée pour le lui mettre sur les épaules, avant de m'accroupir devant elle, mes yeux couleur du ciel plongés dans les siens.
Si elle était bien Shin'rin, elle avait effectivement un petit quelque chose en plus. Je la voulais, c'était certain.

Doucement, ma main s'avança vers elle.


- Tout va bien, demoiselle. Tout va bien, à présent....

A elle de voir. Mordrait elle la main tendue pour l'aider, où s'en saisirait elle pour se sortir de ce guêpier ?
Je ne pouvais pas prévoir sa réaction, mais je l'attendais avec fébrilité.
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Suzu avait continué la discussion avec Soren, en attendant l'arrivée de la jeune Shin'Rin. Cette dernière, à chaque fois qu'il se trouvait prés d'elle, l'apaisait. Il trouvait qu'elle avait un véritable don, celui d'être en parfaite osmose avec la nature...cependant, elle avait été capturé par le service de Suzu, alors qu'elle venait de commettre un vol dans une demeure d'un partenaire des Ankoku. A l'origine, elle aurait dû être mise sur le Marché, mais Suzu, qui l'avait alors rencontré par hasard, s'était dit qu'il était dommage que cette Perle Rare tombe entre de mauvaises mains....et là, il était certain que Soren agirait comme il faut avec cette ainoko des plus unique.

Alors que la porte s'était brutalement ouverte, le jeune aveugle avait de suite reconnu l'odeur et la sensation attrait à cette damoiselle. Laissant faire Soren, il "observait" la scène avec un sourire tendre et espiègle sur le coin des lèvres. Oui, il avait probablement trouvé l'être capable de s'occuper de cette Petite Perle.
L'homme qui arriva en suite s'excuse face à Suzu...et face à cette attitude, le jeune homme répondit :


"Pourquoi je t'excuserais ? J'avais dit qu'elle était spéciale, et qu'en tant que telle, elle devait être traité de manière spéciale. Or, tu l'enfermes ! Je n'ai aucune bonne raison de t'excuser !"

Il avait sur le visage l'air d'un enfant mécontent de son dernier jouet. Ainsi, un autre loubard se trouvant en retrait se chargea d'emmener le pêcheur ailleurs, probablement pour lui donner une leçon ou, pire, le tuer. Quoique...j'opte plus pour la première catégorie, Suzu est contre l'assassinat. Mais bon, personne n'a dit qu'il serait mit au courant non plus !
Se retournant vers l'étrange do, il déclara :


"Je pense qu'elle te plaira Soso-kun...En elle repose la Nature de notre Espèce, je suis certain qu'il n'y a pas Ainoko plus véritable qu'elle. Que les Dieux soient avec vous...moi, je rentre à l'Eden ! Bonne soirée..."

Il avait parlé avec un ton calme, doux et tout de même amusé. Laissant l'argent à Mi' et Lou', il leur fit savoir de laisser les personnes se trouvant dans le petit salon, et de mettre le temps passé là-bas sur sa note.
Une fois cela fait, le jeune homme se fit accompagner jusqu'à sa berline, et s'y installa, histoire de rentrer chez lui, et de préparé le rendez-vous avec sa chère Yuki.
Ankoku Suzu
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Ankoku Suzu
Peur, ils font peur….. Elle ne peut que regretter de ne pas revoir le monsieur aveugle qu’elle avait croiser un fois.. Elle l’aimait bien lui, les sentiments qu’il dégageait étaient doux et tranquille, si apaisant pour la jeune femme… Alors que ceux des autres lui faisait peur… Il était violent et sans douceur… Si peu naturel leur sentiment… Elle a percut la présence de l’aveugle, mais pour l’instant la peur est trop grande elle ne peut pas s’approcher, tous ce qu’elle veut ces fuir, s’enfuir, loin, retourner dans la forets dans son temple… Ne plus être au milieu de tous ces êtres qui on des pensée qui la trouble, des sentiments qui lui font mal…. LE regard couleur de lune, cherche une sortie… Cherchant a voir qui veut lui faire de mal, et qui lui veut du bien.. Tout se mélange dans son esprit…. Plus rien n’a de sens….

Des yeux bleus…. De la même couleur que la rivières… Si calme… Si paisible ces yeux.. Le regard de la jeune Ainokos s’y accroche comme si elle cherchait a respirer, comme si elle cherchait une bouée qui la ferais sortir de cette horreur sans nom… Quand l’homme approche pourtant elle se recroqueville sur elle même cherchant a fuir… Plus prés du mur, toujours plus prés…. La peur se lit clairement dans le regard de la jeune femme, sa queue battant furieusement dans son dos…

Un cris de peur quand il pose le manteau sur dos, alors qu’elle plaque un peu plus ces oreilles sur sa tête.. Nan pas frapper… Pas faire mal…. Se coller un peu plus au mur quand elle voit la main se tendre, et dévoiler un peu plus ces dents de petite dents pointues comme celle d’un renard… Et pousser un feulement, qui signifie clairement en m’approcher pas…
Pourtant quand l’homme se mets a parler, la jeune femme ce calme légèrement, elle n’a jamais entendus une voie pareil… Jamais elle n’a entendus cet accent dans la bouche de quelqu’un…

Doucement elle pointe ces oreilles quand elle entends la voie de Suzu, sur le visage de la jeune femme apparais un instant, comme un sourire, une expression de paix… Elle peut les sentir maintenant, la douceur des sentiments de l’homme, troublée par des anciennes blessures… Elle avait voulut la premières fois chercher a le consoler, mais les gens autour de lui faisait peur… Que les dieux soient avec eux…. Est-ce la déesses qui lui aurais envoie cet homme… Ou son jumeaux… Il est la pour l’aider… Le regard perdu de la jeune renard revins se poser sur l’homme… Puis sur sa main toujours tendues….

Un main qui ne lui voulait pas de mal.. Une main qui semblait chaleureuse.. Doucement lever la sienne… Ces yeux de lune se faisant plus precis plus profond comme si elle cherchait a voir quelque chose, a lire l’âme même de l’homme…. Doucement poser sa main fine dans la main de l’homme… et sourire.. A travers les larmes, un sourire lumineux, comme si elle avait décider de faire confiance….
Fronçant un peu le nez, elle utilisa un instant son don, ce qui la rendait différentes des autres, capable de tout oublier… De ne plus faire qu’un avec la nature… La voie qui s’éleve dans la tête de l’homme et douce et chantante, un peu rauque… Etrangement sensuelle et sauvage en même temps…


*Shin’rin a plus peur… … Soren…. Protégera Shin’rin…. Soren envoyer par Chi pour sauver Shin’rin…*

Oui c’est Chi le jumeaux de sa déesse totem qui lui a envoyer le jeune homme… Malgré les larme le visage de la jeune femme s’éclaircit, un bond rapide et elle se retrouve peloté contre le jeune homme, n’aillant pas retenus la veste, elle ne porte plus que son kimono , très léger, qui dévoile autant qu’il ne cache son corps… Le jeune homme peu sentir contre lui le corps chaud et encore tremblant de la jeune renards… Sauvage la petit mais très câline aussi…
Shin'rin Tenju
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Shin'rin Tenju
Je ne croyais pas à toutes ces bêtises de connexions spirituelles, pas plus que je ne croyais aux diverses divinités que les religions de tout bord mettaient à la portée de l'esprit humain. Profondément athée mais pourtant ouvert d'esprit. Par le fait, je ne pouvais croire que les dieux de Migoto avaient aidé à cette curieuse rencontre qu'avait été celle que je livrais avec la drôle d'Ainoko. Mais je pensais plutôt qu'effectivement le hasard faisait bien les choses, ainsi que la clairvoyance d'un certain hybride aveugle.

Suzu-kun n'hésita pas à dire que la petite renarde me plairait, et je ne pouvais nier cet état de fait. Cet animal était faible et chétif, et derrière ses yeux embués de larmes et de peur, je lisais quelque chose de plus profond, qui m'attirait irresistiblement. Qu'étais-ce ? J'aurais été bien incapable de répondre, mais je sûs dès que j'eu plongé mes yeux dans ceux de Shin'Rin qu'elle était "faite" pour moi. Pour qu'on se rencontre et que je prenne soin d'elle et que je la protège. En elle reposait la nature même des Ainokos, d'aprés Clochette... Drôle d'ironie, si on considérait le fait que c'était les De Scylla qui avait donné naissance aux Ainokos. Dieu en face d'une parfaite représentation de la race qu'il avait engendré en jouant avec quelques éprouvettes. Les yeux toujours plongés dans ceux de Shin'rin et ma main tendue, je saluais à peine Suzu d'un "merci et au revoir, Suzu-kun" pratiquement inaudible. Pour moi, l'entrevue était finie dès lors que j'avais vu la renarde. Intérieurement, je me promis de remercier Suzu comme il le fallait, dignement.

Quant à mon intimidée d'hybride, il semblait qu'elle portait Ankoku Suzu dans son coeur. A peine la voix de celui çi avait elle monté dans l'air que Shin avait laissé dessiner un sourire sur ses lèvres. Quant à moi, je n'avais pas bougé, guettant calmement chacune de ses réactions.
Puis la connexion entre nous naquit alors. Les yeux de lune avaient il lu mon âme, le fond même de mon coeur ? Quoi qu'il en fut, sa main vint se poser dans la mienne comme l'aurais fait une plume, douceur et caresse. Et le sourire qu'elle m'adressa alors qu'elle était toujours barbouillée de larmes étaient l'un des plus beaux qu'il ne m'ai été donné de voir.
A mon tour, je lui adressais un sourire doux et incroyablement tendre... Avant d'être suprit une fois de plus. A aucun moment elle ne me parla, mais j'entendis clairement une voix dans ma tête, résonnant avec de délicieuses notes aussi suaves et rauque que sensuelles.
Je sûs que c'était Shin'rin qui s'adressait à moi, comme par instinct. N'ayant pas ce don, je lui répondit de la façon la plus naturelle qui existe : en usant de ma voix.


- Oui, Shin'rin.... Je t'ai sauvée et je te protégerais.... Oui...

Alors que j'achevais ma phrase, elle se jetta contre moi telle une enfant que l'ont venit de sortir d'un mauvais pas. Je sentais sa peau chaude à travers ma fine chemise et je distinguais ses formes avenantes et attirantes sous le kimono plus que léger qu'elle ne portait d'ailleurs qu'a moitié. Doucement, je passais mes mains autour d'elle et lui déposais un baiser sur le front.
Je ne comprenais pas pourquoi, mais je voulais m'occuper d'elle, m'assurer qu'elle ne soit jamais malheureuse et qu'elle ne manque de rien. Plus jamais elle ne vivrait pareil cauchemar, je me le jurais tandis que je la serrais contre moi avec tendresse. Combien de temps passa alors que nous étions ainsi l'un contre l'autre ? Je n'aurais sû le dire, mais je décidais de nous faire relever. Une fois debout, je passais mon long manteau sur ses épaule,s tant pour pour lui assurer chaleur et confort que pudeur. Et puis... Ces formes étaient splendide et je voulais égoïstement qu'elles ne soient qu'a moi.
Avec douceur, j'entrainais la renarde vers la sortie et vers ma voiture.


- On rentre à la maison, Shin...
Invité
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Shin’rin était le résulta de plusieurs croisement, en même race d’hybride, née de parents et non dans un éprouvette, elle était aussi stable que n’importe qu’elle humain, bien qu’un peu plus sauvage, jamais elle n’avait connus les laboratoire, elle avait grandit bien a l’abris du ventre de se mère, protégée par son père…
La jeune femme n’avait pas conscience que son don pouvait être troublant, elle pouvait lire a livre ouvert dans les pensées des gens, elle pouvait lire leurs sentiments, comme s’il était les siens… Mais elle ne le faisait pas toujours, juste a la premières rencontre pour savoir a qui elle avait affaire, pour savoir si elle pouvait faire, ou non confiance… Enfin certaine personne, elle n’avait même pas besoin de lire en eux, elle voyait qu’il était.. Mauvais, qu’il risquait de la blesser… Lui non elle en était sure….

Il suffisait de voir le sourire de l’homme pour lui faire confiance…. Il va la protéger.. Il a bien été envoyer pour elle par Chi.. Les prêtresses du temple lui avaient bien dit qu’un jour cela arriverais… Oui il était pour elle…. La jeune femme respire avec plaisir l’odeur que l’homme dégage, qu’elle plaisir que d’avoir contre elle un corps chaud... Des bras rassurant… ces lèvres sur son front.. Des frissons dans son corps, elle ne comprend pas ce qui naît dans son corps, mais elle le veut…. Mais qu’elle est ce genre de pensée.. Ce cœur qui bat un peu trop vite, bien trop vite…

Elle pouvait sentir les sentiments qui parcouraient le corps de l’homme, troublant un peu plus les siens, étrangement elle se sentait heureuse, comblée, avec l’impression d’avoir trouver un place rien qu’a elle… Juste pour elle… Le souffle de la jeune femme se fit plus lent, au fur et a mesure qu’elle se calmait, qu’un chaleur douce se répandait en elle…. Le visage enfui dans la chemise de l’homme, elle n’avait aucune envie de bouger…

Ho il bouge, le regard de la jeune femme se fit un peu… effrayer, il allait partir.. Non il l’aidait a se relever, sourire angelique, joyeux, alors qu’elle s’accroche a sa main, comme a une bouée…. Elle sent encore le manteau sur ces épaules, sans comprendre pourquoi il la couvre comme cela, il ne la trouve pas belle ? La pudeur la jeune renarde ne connais pas, elle se couvre parce que les prêtresses lui on apprit, parce que ces parent le faisait, mais elle se fichait d’avoir quelque chose sur le corps…

Rentrer a la maison… Sa maison c’est la forets et le temple… Mais si elle retourne au temple, elle ne pourra plus être avec lui…. Non ça doit vouloir dire autre chose… La jeune femme fronça doucement le nez alors qu’elle réfléchissait… Doucement s’agripper au bras de l’homme, pour ne pas le lâcher, pour ne pas s’éloigner… Et reprendre la parole , enfin lui transmettre ces pensées…


* Shin’rin veux aller dans la forêt.. Elle veut montrer à Soren son jardin secret…. Elle veut partager quelque chose avec Soren… Shin’rin veut pas rentrer tout de suite… *

La jeune femme adressa a l’humain un regard étrange, suppliant même, c’est vrai elle voulait aller dans la forêt dans sa clairières…. L’endroit dont elle parle… Elle peut le montrer au jeune homme… Dans la tête de l’homme vas se dessiner un clairière assez grande, une petit cabane de bois, un petit étangs, a l’eau transparente, un petite cascades…De la fumée qui sort de l’eau, de l’eau chaude… Elle veut lui faire connaître tout cela…
Oui elle voulait qu’il vienne avec elle, parce qu’elle a une idée derrière la tête…
Shin'rin Tenju
Ainoko Libre
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Hajiru Tenshi et de son doudou edward
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Shin'rin Tenju
Qu'il soit animal où humainb, l'instinct reste une chose incontrôlable. Dasn les bras de Shin'rin, mon instinct parlait plus fort qu' l'accoutumée. l'envie de la protêger et de prendre soin d'elle, je suppose. Je vois en Shin'rin une fleur sauvage encore loin de l'éclosion parfaite et je sens en moi qu'il est de mon devoir d'en prendre soin.

Alors que nous étions parvenus dehors, la renarde me demanda de cette façon si curieuse qu'elle avait de s'adresser à moi de l'accompagner dans la forêt. Un ton suppliant et un regard demandeur, comme si aller dans les bois étaient tout bonnement vital. Honnêtement, je m'apprêtais à refuser, au vu de l'heure tardive. Sans compter que la soirée avait déjà été bien longue... Et puis des images commencent à danser dans mon esprit, me transportant ailleurs. Une petite cabane autour tout à côté d'un étang à l'eau chaude, alimenté par une cascade aux reflets cristallins. Une bien jolie vision, qui semblait être liée à ma jolie renarde. Cette dernière semblait tenir au fait que nous nous y rendions ensemble et le plmus vite possible.
Je soupirais puis décidais d'accèder à sa requête. Sans le comprendre, j'éprouvais le besoin de savoir pourquoi. Pourquoi elle insistait tant. Avec des gestes doux, je la fis entrer dans la voiture sur le siège passager tandis que je prenais moi-même place au volant. Je fis démarrer le puissant moteur de la voiture de sport avant de me tourner vers Shin'rin.


- Bon, bon.... Tu as gagné, ma jolie renarde. Conduis moi jusque cette cabane, tu veux ?

Dans la légère obscurité, je l'observais. Mes yeux plongé dans les siens, alternant les regards entre ses pupilles couleur de lune et son corps aux lignes jolies et généreuse. Oui, j'avais fais ce soir une curieuse acquisition. Une hybride au corps de jeune femme et au caractère d'enfant, qui présentais des réactions purement animales.
Un nouveau sourire tranquille, pour l'apaier moi autant qu'elle. Elle semblait heureuse et contente, la petite. Et cette simple pensée me faisait plaisir.
Peu à peu, je me surpris à avoir nvie d'elle. Chassant cette pensée d'un dodelinement de tête, je fis partir la voiture, attendant ses instructios pour qu'elle me guide.



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