Bon séjour sur Saol Eile

Aujourd’hui et comme tout les autre jours ce fut un réveil banal pour notre jeune neko. Un réveil dans une immense chambre dont les rideaux sombre et encore fermés obstruaient la lumière du soleil. Seiji ouvrit lentement les yeux alors que la pièce était plongée dans l’obscurité totale. Quelqu’un frappa à la porte et entra. La femme qui avait pénétrer dans la pièce s’inclina puis se dirigea vers les rideaux les ouvrants en grand. La vu de Seiji étant agressé par la lumière, celle-ci rabattit telle une enfant la couverture sur sa tête. Puis après avoir fait entendre un soupir de désagrément elle se découvrit la tête et s’assit sur le lit. LA jeune servant vint près du lit et y déposa une paire de chausson noir puis s’inclinant une nouvelle fois elle quitta la pièce. Ah ces humains ! Seiji ne pensait pas être si terrifiante que ca et pourtant aucun d’eux n’osait la regarder dans les yeux. On ne pouvait leur en vouloir sachant ce que la jeune neko pouvait faire avec seulement un regard. Faisant entendre encore un soupir elle se leva doucement glissant ses pieds dans les chaussons se dirigea directement a sa salle de bain. Elle n’aimait pas perdre de temps dans une journée et pourtant elle passa plus d’une heure sous l’eau. Quand elle ressorti de la pièce en serviette elle se dirigea vers un pan de mur ou il y avait une porte coulissante. Elle ouvrit la porte derrière laquelle se trouvait un immense dressing. La jeune neko n’avait que l’embarras du choix pour sa tenue vestimentaire. Elle s’avança effleurant du bout des doigts les quelques robe de soie avant s’arrêter devant un robe noir qu’elle sortie. Celle faite entièrement de soie avait une partie fait en corset noir, le bas de la robe noir et court tombait sur un voile de soie blanc. Seiji détacha ses cheveux et quitta le dressing le fermant derrière elle.

Elle ne voulait pas passer sa journée enfermé mais dehors le temps ne semblait pas propice a une sortie. Peu importe elle était bien décider apprendre l’air. Elle cessa d’observer l’extérieur par ses grandes fenêtres et quitta sa chambre pour se diriger vers l’immense hall. La une autre humaine l’attendait avec un long manteau noir et un parapluie. Seiji descendit les escaliers et s’arrêta devant le jeune femme incliner qui lui tendait son manteau :

« Mademoiselle sera-t-elle de sortie pour longtemps ? »

« Non je reviens le plus vite possible »

Sur ces mots la servante aida Seiji à enfiler son manteau et lui ouvrit la grande et lourde porte du manoir. La jeune fille s’avança a l’extérieur ouvrant son parapluie et quitta l’enceinte du manoir a pieds. A peine était-elle sortie qu’une légère brise soufflant ses longs cheveux lui donna froid. Mais cela lui faisait du bien respiré l’air de l’extérieur, l’odeur de la pluie. Toutes ces petites choses qui lui montraient qu’elle était bien en vie. Marchant sans but précis Seiji se retrouva sur le marché, endroit qu’elle n’appréciait pas vraiment mais c’était un passage obligé pour atteindre les rue de la ville et le centre commercial. Effectivement notre petite neko avait été prise d’une envie de shopping ou peut être d’une nouvelle robe faite sur mesure, bref elle commença à déambuler entre les cages entendant les plaintes incessante de humains enfermé. Elle aurait aimé ne pas les entendre, le peine et leur souffrance se ressentait au timbre de leur voix. Chaque son résonnait au oreilles de Seiji comme un mélodie de tristesse. Mais ce qui surprit le plus Seiji fut de voir dans des cages des hybrides. Elle les regarda ayant du mal a croire ce qu'elle venait de voir. Elle marchait toujours quand ses oreilles se mirent a un bruit de pas qui la suivait depuis le marché. Seiji accéléra le pas ne souhaitant pas se retourner. Elle ne comprit pas trop commence cela s'était passé. Une main puissante se posa sur son épaule, la tira en arrière. Elle sentit un cou dans son cou et ce fut le trou noir. Quand elle rouvrit les yeux elle était allongé dans le fond d'une grande cage. Elle se redressa arrangeant ses cheveux et comprit ce qui lui était arrivé. Elle soupira se refermant sur elle même. Seiji ne savait pas ce qu'elle allait faire, attendre d'être acheter comme elle avait deja acheter plusieur humain auparavant.

A dire vrai, je n'avais aucune envie d'aller au Marché aux Esclaves. Je savais parfaitement ce que j'y verrais : des êtres humains traités comme des bêtes, vendus et humiliés. Mais aprés tout, c'était pour mettre fin à ceci que j'avais débarqué sur Migoto, non ? La case "Marché" serait donc fatalement un passage obligé et ce de trés nombreuses fois. Il me fallait donc m'y habituer.
Je ne m'attendais pas à ce que j'eu peu à peu sous les yeux alors que j'arrivais sur cette grande place. Si je n'avais pas été au courant des marchandises qui se trouvaient içi, j'aurais pris cet endroit pour une fête, quelque chose de bruyant et de trés animé. Les gens parlaient, riaient, vivaient tout simplement alors que à quelques pas à peine d'eux se présentaient de grandes cages où s'empilaient les êtres humain où pas, parqués comme le plus vulgaire bétail. C'en était écoeurant et je faillis bien faire demi-tour. Mais il me fallait passer par là et ce seul fait assura ma volonté.
Ce n'était pas difficile de faire un achat où une vente à cet endroit, en fait. Comme dans le plus banal des marchés où se vendaient fruits et légumes... Je fis plusieurs vendeurs qui ne proposaient rien de bien interessant. Je cherchais quelque chose de précis, malgré tout mon dégoût. Il me fallait quelqu'un qui puisse entretenir une maison. Mon domaine était vaste, mais pour le moment je n'usais que de peu de pièces et le travail serait simple. Plus tard, je me devrais acheter d'autres gens de maison... Plus tard, oui.

J'allais rentrer, finalement. Tout les esclaves présents ce jour semblaient maladifs où drogués et je ne comptais pas faire non plus l'assistance aux plus démunis. Cela viendrait, oui. Lorsque mon nom aurait prit de l'ampleur et que mes projets avanceraient.
J'allais rentrer disais-je, lorsque mon regard vagabond fût attiré par un curieux reflet doré. Piqué au vif, je m'arrêtais et scrutais la cage. Il me semblait que... Que je fixais des yeux à la couleur de l'or. Intrigué, je restais à regarder, jusqu'a ce que le vendeur m'approche.
Un vieux hybride puant l'alcool de mauvaise qualité, qui avait saisi mon interet.

- Hey, mon bô m'sieur ! T'as vu un artic' qui t'plais, dis voir ?

- Oui, on dirait bien, l'ami.... Pourriez vous me montrer la jeune femme en noir avec les cheveux clairs et les grands yeux ? Oui, elle.

- Han..... T'as du goût, bô m'sieur... C'est rare, un tiote comme ça... Neko avec d'grands yeux dorés qui brillent.... Cher....

Il avait sorti la demoiselle, qui apparement ne se débattait pas énormément. Je la regardais. Un air doux et soumis, mais en parfaite santé. Ce qui me semblait bizarre, c'était sa tenue, vraiment trop soignée. Il y avait quelque chose qui clochait et le seul moyen de savoir quoi, c'était de faire l'acquisition de la neko.
Je me tournais vers le vieux.

- Votre prix pour elle ?

- Disons.... Huit cent bô billets vers, m'sieur.

Je parie qu'il pensait que le prix m'arrêterais. C'était une belle somme c'est vrai, mais l'argent était loin d'être un souci pour moi, bien au contraire. Je souriais, me disant que la demoiselle m'étais d'ores et déjà acquise.
Doucement, je sortis de ma poche une belle liasse. Mille billets, voir un peu plus encore. Les yeux du vendeur s'ouvrirent en grand.

- Disons neuf cent.

L'affaire fût conclue rapidement, et le vendeur libéra bien vite mon acquisition de ses chaînes, tandis que je l'emmenais avec moi en la tirant fermement par le bras en prenant soin d'afficher un air sévère. Je ne comptais en aucune façon la maltraiter, mais je devais faire illusion pour ne pas trop attirer l'attention sur moi.
Nous arrivâmes à une rue discrete et à l'écart, dans laquelle je me décidais enfin à m'arrêter, pour comtempler mon esclave. Vraiment jolie, oui.
J'adressais à la neko un sourire doux, tandis que je me penchais un peu vers elle.

- Si vous me disiez pourquoi une demoiselle si bien habillée était vendue de cette façon ? Et tant que nous y sommes, donnez moi votre nom. Le mien est Soren. Soren de Scylla.

L'attente fut longue. Même très longue car le temps semblait défiler au ralentit. Installé sommairement au fond de sa cage, Seiji laissait son regard suivre les hybride qui passait, certain s'arrêtait mais il était vite repousser par le prix auquel le vendeur souhaitait céder la jeune neko aux yeux d'or. Elle avait bien envie de lui dire que si il ne baissait pas son prix il ne la vendrai pas mais elle trouvait cela malsain de contribuer a sa vente. Elle était passé ici un nombre incalculable et avait aussi acheté plusieurs humains. Maintenant elle était installée au fond de cette cage. Elle était calme, les yeux a l'affut de tout ceux qui passait.

Que pouvait-elle bien faire a part soupirer de lassitude. Beaucoup d'hybride s'arrêtait devant sa cage car contrairement aux humains présent, Seiji était très bien vêtue telle une petite bourgeoise, ses long cheveux clair étaient bien coiffés, bref elle se ressemblait a aucun esclave présent. Normal a l'origine Seiji était une bourgeoise elle n'aurait jamais du se trouver la mais elle savait que personne ne la rechercherais, en gros elle était obliger d'admettre qu'elle serait vendu a un parfait inconnu comme un vulgaire objet. Heureusement pour elle le prix fort élevé de sa vente l'empêcha d'être acheter par des ainokos barbare set agressifs.

La journée semblait s'annoncer encore plus longue quand elle entendit le vendeur s'adresser au un homme qui s'était arrêter devant sa cage. il était un peu plus loin de la cage mais les oreilles agitées de Seiji lui permettait d'entendre clairement ce qui se disait. Comme depuis le début de la mâtiné le vendeur fixa le prix a huit cents billets et comme depuis le début de la matinée Seiji savait que l'homme allait refuser. Malgré son apparence montrant qu'il n'était pas pauvre, personne ne payant aussi cher pour une esclave. Seulement cette fois- ci elle se rendit compte qu’elle s’était trompée quand le vendeur vint la sortir de sa cage. L’homme paya neuf cents billets, plus que le prix donner par le vendeur. Celui-ci conclu très vite l’affaire et l’homme attrapa fermement le bras de Seiji et l’étrenna derrière lui. Elle n’opposa aucune résistance a l’homme qui semblait froid. Ils arrivèrent dans une ruelle assez discrète et calme, là il s’arrêta et la regarda ou plutôt la scruta. Il fit ensuite la remarque à laquelle elle s’attendait, d’ailleurs dès qu’ils s’arrêtèrent elle arrangea son manteau et le bas de sa robe :

« Eh bien je me nomme Seiji, Seiji Kaeda et si j’ai été vulgairement vendue c’est parce que j’ai été enfermé de force ici. Puis-je vous demander ce qui vous a poussé à m’acheter. Bien sur je vous en remercie mais je suis intrigué par vos raisons. »

Curieux de voir cela... Une esclave coquette ! A peine avait elle eu un instant de répit qu'elle en avait profité pour réajuster robe et coiffure. Je l'avais laissé faire, amusé par ce drôle de spectacle. Qui aurait dit qu'une si calme demoiselle était encore emprisonnée quelques courtes minutes auparavant ? Je ne savais que penser. Elle me livra se nommer Seiji Kaeda et n'hésita pas à me demander la raison pour laquelle je l'avais achetée.
Avant de lui répondre en souriant, je lui coiffais doucement une mêche rebelle. Ceci fait, je m'adressais à elle d'une voix douce et tranquille, mes yeux bleux plongés dans les siens à la couleur d'or.

- J'ignore pourquoi je vous ai achetée, à vrai dire. Votre apparence peu commune pour une esclave je suppose, et ce regard doré. Je ne pouvais décemment pas vous laisser moisir derrière vos barreaux où vous voir tomber dans des mains plus où moins sales.

C'était la pure vérité, je ne l'avais achetée que pour ces raisons que je venais d'évoquer. Je portais une nouvelle fois mon regard sur elle, sans pour autant la deshabiller des yeux. J'aimais son allure distinguée, qui dénotait l'éducation qu'elle avait dû recevoir. Furtivement, j'en vins à me demander comment elle était au lit. Pff... J'agissais de plus en plus comme l'un se ces porcs que je cherchais à écraser. J'écartais donc cette pensée obscène et déplacée pour reprendre le fil de la discussion.

- Vous me semblez douce et tranquille, au moins... Parfait, je pense que ce genre de compagnie me manquait. Si vous tenez cette attitude, je crois que vous sauriez parfaitement tenir mes gens de maison. J'envisageais de me mettre à la recherche d'une gouvernante. Le rôle vous plairait il ?

Pendant qu'il parlait elle l'observait. Il n'avait absolument pas l'air d'être un ainoko et pour cause son odeur était celle d'un humain. Seiji jeune fille de bonne famille aurait put être outrée d'avoir été acheté par un humain. Mais de toute sa vie ce sont les seule personnes qu'elle ait côtoyé au quotidien.
Les raison pour lesquels il l'avait acheté étaient tout à fait plausibles. Maintenant elle lui était redevable de l'avoir libéré. Elle était quand même surprise de voir un humain avec une telle présence parmi des hybrides. Alors que sur cette ile les humains étaient de vulgaires esclaves lui semblait avoir autant de pouvoir que les ainokos. Elle s'inclina en remerciement puis se redressa arrangeant de nouveau ses longs cheveux:

« Puis-je me permettre l’indiscrétion de vous demander la raison de votre présence sur cette ile. Vous n’êtes pas un ainoko et vous n’êtes semblable a aucune humain présent sur cette ile, je veux dire par votre caractère. Vous êtes tellement plus charismatique que les autres, c’est… étrange »

Elle l’observait toujours comme pour sonder son esprit ou sa façon de penser, elle ne pouvait être qu’intriguer par ce grand humain aux allures de maître
Seiji d’une douceur incommensurable n’en était pas moins curieuse et ne mâchait pas ses mots que ce soit pour dire un compliment ou une remarque désobligeante. Bref la jeune neko les mains dans le dos regardait autour d’elle. Elle était maintenant bien loin de chez elle, ayant prit le risque de sortir alors qu’elle avait été prévenue. Seiji refusait de croire que les ainoko pouvaient être asservie et aujourd’hui elle venait d’être acheter et par un galant homme qui plus ai. Alors qu’elle laissait son esprit s’enivrer de penser fort futile il reprit la parole.

Effectivement Seiji était douce et calme, mais cela n’empêcha pas son visage de se marquer de surprise quand il lui demanda si être gouvernante lui convenait. Elle passait de la couronne au rôle de gouvernante mais baissant un peu la tête elle afficha un sourire d’ironie puis elle releva la tête lui souriant gentiment :

« Tout me convient je ne suis pas difficile et même si ce n’était pas le cas je ne suis que votre propriété alors ma parole ne doit pas interférer votre jugement. »

Elle s’était faite a l’idée de ne plus être au commande. Il y a de cela plusieurs heures elle vivait dans un grand manoir avec des esclaves humain et maintenant elle était une ainoko asservie, qu’il en soit ainsi elle ne s’y opposerait pas. Les mains toujours croisé dans le dos elle attendait une réponse de Soren.

Elle me remercia pour mes paroles et le poste que je lui offrait d'une manière typiquement asiatique : en s'inclinant légèrement, aprés avoir réajusté ses cheveux. Je ne m'étais pas trompé, elle semblait décidément calme et tranquille. Donc docile. Et cela était véritablement parfait, je n'en attendais pas moins de celle qui serait amenée à veiller sur mon domaine.
Sans se gêner, elle se mit à me questionner, me gratifiant de quelques complments au passage.

- Eh bien, au risque de passer pour un fou à vos yeux... Je cherche la liberté pour tout les humains. Que ma race reprenne ses droits grâce à ma main, en somme. Merci pour ces compliments, j'en suis fort aise, croyez le bien. Vous me plaisez et j'entends à ce que cela soit réciproque, Seiji.

Je sentais qu'elle me sondait ,cherchant à me cerner. Peut-être que le fait d'être soumise à un humain lui semblait un peu irréel. Comment l'en blâmer, aprés tout ? Elle n'avait connu ma race que sous la forme de jouet jetables. Moi je me posais dorénavant comme son propriétaire, son maître. Les rôles s'inversaient pour elle, mais je n'étais pas sûr que ce soit uniquement cela qui la fasse tiquer. Sûrement était elle habituée à être en haut de l'échelle. Mais avec moi, elle retombait bas. Du moins pour une dominante.
Elle releva la tête vers moi, un curieux sourire se peignant sur ses lèvres fines. Effectivement, elle se soumettait sans rechigner. Peut-être que quelque part, cette idée ne lui déplaisait pas ?
Je passais une main dans mes cheveux argentés avant de finir par lui répondre.

- Vous êtes effectivement ma propriété, mais je considère que vous avez votre mot à dire. Mais vous serez bien traitée sous mon autorité, croyez le bien. Tenir un domaine est un poste à responsabilités, sachant que j'aime l'ordre et le propre. Si votre travail me convient, je suis prêt à vous rémunérer. Vous aurez même du temps libre, c'est dire...

Je continuais de la regarder, comme pour la dévêtir du regard. Ses airs innoncents commençaient à me donner quelques idées osées qui me titillaient de plus en plus. Techniquement, je n'avais qu'un mot à dire pour la prendre comme je l'entendais. Mais ce n'était pas mon esprit. Pourtant, je voulais lui faire comprendre clairement.
Nous verrions bien si elle se montrerait aussi docile et receptive que ce que j'attendais.

- Vous le voyez, je suis loin d'être exigeant. Mais il vous faut tout de même savoir qu'il sera de votre devoir de me... hm... me contenter pleinement lorsque je le désirerais, si vous voyez ce que je veux dire.

En gros, elle devrait être là lorsque j'aurais quelques envies charnelles est sexuelles à assouvir. Le sourire en coin que présentais mon visage était explicite.
J'étais curieux de voir si elle comprendrait que j'avais envie qu'elle s'excecute dans l'instant.

-

Fou ?! Le mot était faible, Soren avait des ambition presque irréalisable sur cette ile mais cela amusa la jeune neko qui afficha un sourire montrant son humeur et sa surprise. Elle n'imaginait pas que quelqu'un puisse encore croire que les humains d'ici pourrait être un jour a nouveau libre. Mais chacun a sa vision de choses et personne ne connait l'avenir alors tout pouvait être possible:

"Eh bien de la a dire que je vous trouve fou, non je ne me le permettrai pas, mais disons que je n'y crois pas vraiment, il y a des chose qui sont irréalisable ou presque "

Seiji ne renonça pas soutenant son regard or, perçant essayant toujours de le cerné. Il était pour elle un personnage charismatique certes mais énigmatique et intriguant. Elle souria a la dernière phrase de Soren. Plaire était la seule chose qu'elle faisait a longueur de ses journée dans ses jolies robes, alors elle était contente que cela plaise encore:

"Je suis contente de vous plaire, cela sera surement réciproque ^^"

Elle soupira laissant un mèche de cheveux lui tomber dans le visage. Être esclave, elle trouvait quand même cela bizarre. Elle qui avait toujours été installée sur un piédestal se retrouvait en bas, devait-elle s'y faire.... Oui devait-elle se soumettre ca c'était autre chose. Seiji n'était pas une rebelle mais de la a être une soumise peut être que non. Apparament Soren ne semblait pas être quelqu'un de malfaisant ou méchant par ailleurs il lui donnait des libertés, pas demander mais intéressante. Seulement c'est la suite qui fit réagir ses belle oreilles blanches. Il fit un allusion fort suspicieuse qui aurait put la faire rougir si elle était gênée. Mais ce ne fut pas le cas, seulement quoi lui dire. Elle ne réfléchis pas vraiment et garda son air innocent jgardant ses mains dans le dos:

"Eh bien si vous avez besoin de quelque chose vous n'aurez cas me le demander, dans la mesure du possible je ferais ce que vous voudrez ^^ "

J'aurais dû me douter que rien ne serait simple, mais tout de même.... Je suppossais qu'avec mes esclaves, les choses seraient aisées. Mais visiblement, rien ne marchait comme je le souhaitais, ce qui m'inquiétais un tantinet pour la suite de mes projets.
C'était tout de même curieux. Face à mes ennemis, je ne mâchais pas mes mots et menait mes discussions d'une poigne d'acier. Mais avec mes esclaves, je me montrais peut-être un peu trp faible. Erreur de ma part, où excès d'humanité.
La remarque de Seiji me fit pourtant sourire.

- Je comprends votre point de vue. Vous pouvez me traiter de fou si le coeur vous en dis, mais ne doutez pas de ma volonté. Aprés tout, regardez nous : Je suis un humain, pourtant je viens de vous acquérir. Soyez franche et avouez le, jamais vous n'auriez cru ça. Et pourtant, vous êtes l'esclave et je suis le maître.

Il n'y avait pas d'insulte dans le ton de ma voix, juste un simple constatation. J'avais compris que Seiji était assez intelligente et réfléchie pour saisir la différence. Je ne pouvais pas la blâmer si elle me traitait de fou. Aprés tout, mon projet était tout bonnement démesuré et il était facile de m'imaginer échouer lamentablement. Mais c'était sans me connaître, ce que la neko apprendrait vite à faire.
Je constatais avec plaisir qu'une relation correcte et respectueuse s'installait peu à peu entre nous. Et même si j'avais toujours envie d'elle, je ne pouvais me résoudre à la forcer à obéir à ce genre de demande.

- Et bien soit. Je ne vous cacherais pas que j'aimerais que nous couchions ensemble dès que possible. Tout de suite, oui !

La demande avait été directe et parfaitement claire. Elle ne pourrait feindre d'avoir comprit. J'avançais vers elle.

- Me feriez vous cette faveur, Seiji ? Si vous le voulez, choississez l'endroit. Qu'en dites vous ?

Honnêtement, je ne savais absolument pas quelle serait sa réponse. Ma foi, au moins elle saurait que je me montre franc en toutes circonstances, aprés ça.

Apparament Soren était bien conscient qu'il rêvait éveillé. Mais comme il le lui avait dit, elle ne le connaissait pas et elle allait en avoir la preuve parla suite. Pour Seiji qui a toujours connue les humain en tant qu'asservis, regarde un humain en se disant qu'il lui était supérieur lui paraissait presque impossible. Elle n'avait pas le choix et Soren le lui rappela. Seiji était maintenant a la place d'esclave et comme il l'as dit jamais elle n'aurait cru un jour ce retrouver dans une telle situation, cela en devenait presque risible et ironique.

Elle soupira légèrement de désappointement.... non car même si ca ne lui plaisait pas temps que ca d'être en bas de l'échelle elle n'avait apparament pas le choix. Ramenant ses mains sur l'avant elle le regardait quand il lui annonça cash quelque chose qui fit a nouveau agiter ses oreilles. Seiji savait plaire mais pas a ce point la, il avait réussi a embarrasser la neko aux allures de princesse. que devait-elle lui répondre? Oui ou non, elle n'en n'avait aucune idée, d'ailleurs elle s'étonna a baisser la tête. Finalement après avoir prit une petite inspiration elle retrouva son sourire simple mais nargeur ou plutôt hautain. Elle le regarda s'avancer et retint un réflexe de recule de peur qu'il ne le prenne mal. elle ne savait toujours pas quoi li répondre et se dit qu'elle pourrait essayer de détourner la proposition:

"Si c'est un test pour vérifier ma loyauté ce ne sera pas la peine, vous m'avez acquérit alors je me dois de vous obéir ^^ "

Une combine mal ficelé pour détourner le sujet, ce qu'elle venait de dire suggérait que si il lui demandait de le faire elle devrait obéir. Sur le coup elle se sentit ridicule sa manœuvre pour esquiver la question l'avait conduite a donné une réponse détourner. Elle devait trouver autre chose pour lui faire oublier ce qu'elle venait de dire:

"Euh........"

Je la regardais un instant puis soupirait finalement, en haussant les yeux au ciel. Décidement, je m'y prenais comme un pied avec mes esclaves... Beaucoup auraient rit de moi, je le savais. Mais Seiji mesurait elle sa chance ? Combien l'aurait violée dans l'instant avec pour seul prétexte le fait qu'elle leur soit acquise ? Qu'elle ne soit rien de plus qu'un jouet dans les mains de celui qui avait dépensé quelques billets pour l'acquérir ?
Enfin, passons. J'avais trés mal manoeuvré, certes, mais je me refusais à devenir un tortionnaire. Même si pour cela je devais me condamner à me passer de sexe. Triste sort, non ?

- Je vois.... Ecoutez, laissez tomber. Ce n'était pas un test mais simplement une demande. J'ai envie de vous faire l'amour certes, mais je ne vous y forcerais pas. J'espère seulement qu'en contre partie, vous saurez tenir correctement mon domaine.

Je lui adressais un nouveau regard tranquille, où brillait toujours un peu le feu du désir. J'avais perdu la partie contre quelqu'un sur qui j'avais tout les droits... Tout de même, quel faible je faisais. Je fis signe à la neko de marcher à mes côtés tandis que nous avancions vers la rue où ma berline noire était garée. Puis lorsque nous arrivâmes, je m'arrêtais pour ouvrir la porte arrièe à Seiji.... Mais n'en fit rien et la saisit par la taille avant de l'embrasser tandis que mes mains explorait délicatement son fessier. Sur le coup, je l'avais forcée, oui. Mais sans violence, sans douleur ni cri. Et je n'avais pas oublier d'être tendre dans mes geste et non pas obscène.
Et tandis que je lui ouvrais la portière pour de bon afin qu'elle s'installe, je lui adressais quelques mots.

- Vous êtes délicieuse, au propre comme au figuré, mademoiselle.

Seiji avait bien remarqué que sa réaction avait déplu a Soren. Mais il lui était difficile de se donner a quelqu'un qu'elle ne connaissait pas. Comme elle l'aurait dit, docile mais pas soumise. Elle le regarda d'un air quand même désolée, comme esclave elle n'était pas très obéissante et aurait pu faire un effort. Quand il eut finis de parler elle voulu lui dire quelque chose mais n'en n'eut pas le temps car il lui fit signe de marcher a ses coté dans les rue devenues calme. Elle marchait regardant de droite a gauche, il n'y avait que des ainokos, les rue en était bondé, il était tous la avec leurs esclave, Seiji elle ne sortait jamais avec ses esclave et de toute façon elle n'en n'avait plus.

Il arrivèrent a proximité d'une berline noir qu'elle avait repéré depuis un moment. Soren avait effectivement de l'argent, et vu la voiture elle s'imaginait deja la taille de son domaine. Quand il furent près de la voiture elle le vit s'approcher de la portière arrière alors elle s'approcha aussi mais contrairement a ce qu'elle avait penser elle fit surprise de sentir ses mains sur sa taille, puis il vint l'embrasser posant ses mains sur ses fesses. Elle le regardait avec de grand yeux se laissant faire. Puis i l la lâcha, apparament son refus avait été mal prit mais ce baiser volé ne leui avait pas été désagréable même si elle ne s'y attendait pas. Sans dire un mot elle entra dans la voiture alors qu'il lui avait ouvert la portière. Une fois assise a l'intérieur elle s'installa croisant les jambes et attendant qu'il rentre pour que la voiture puisse partir.

* Qu'est-ce qui lui a prit ? *

Ce qui m'avait prit ?
L'envie, tout simplement. Un homme reste un homme et mes hormones m'imposaient certaines actions. Je n'étais pas à plaindre, étant plutôt bel homme. Mais sur Migoto, j'étais d'abord un humain pas comme les autres qui avait dû acquérir sa place. Une place bancale, véritable siège éjectable si je me mettais à jouer les mauvais coups sur l'échiquier du pouvoir.
Telles étaient mes pensées alors que je faisais le tour de la voiture aprés avoir refermé la porte sur Seiji. Une fois installé à mon tour, je demandais au chauffeur de nous conduire au Castel. Il était temps de rentrer en compagnie de ma nouvelle gouvernante aux yeux d'or.

Remarquez, elle ne s'était pas débattue outre mesure et n'avait pas hésité à profiter du baiser échangé. J'en venais même à me demander si elle n'avait pas finalement apprécié tout autant que moi. Et ceci n'avait fait que m'exciter davantage, à mon grand dam.
J'ôtais mon manteau pour me retrouver en chemise. La circulation n'avançait pas les jours de marché et le domaine n'était pas non plus la porte à côté. Je soupirais.

- Nous ne sommes pas rendus à destination, visiblement....

J'avais parlé plus pour moi-même, réfléchissant à voix haute. Et puis alors, qu'importait ? Je posais mon manteau sur la plage arrière et me mit à mon aise, oubliant presque Seiji et mon membre qui avait légèrement durci dans mon pantalon, qui en moulait la forme. Décidément...
Et puis je ne sais pas ce qui me prit.
Je saisi Seiji et parvint à la faire s'assoir sur moi à califourchon. Ceci fait, je posais mes mains sur ses cuisses alors que je sentais mon intimité se frotter à la sienne.

- Alors, nous continuons ce que j'ai entamé dans la rue ?

Mon regard était espiègle et demandeur, oui. Se lacherait elle ? La question était là.

Seiji était confortablement installée les jambe croisées et les mains posées sur ses cuisses elle regardait a travers le vitre quand elle entendit la portière s'ouvrir. Soren avait fait le tour et était venu s'assoir. Il demanda ensuite au chauffeur de partir. Il démarra et il commèrent a prendre la route. Celle ci s'annonçait très longue et le traffic n'avancait presque pas. Elle regardait toujours dehors quand ses oreille sentirent un mouvement elle se tourna regardant Soren se délester de sa veste. Elle le dévisageait puis le regardait de haut en bas, tahant d'être discrete. Puis son regard, pendant un bref instant se posa sur ses lêvres, lêvre qui l'avait il y a quelque minute embrassée. Seiji détourna le regard évitant toute pensée qu'elle trouverait déplacer. Puis il fit une remarque qui semblait plus être une pensée dite a voix haute. Eh bien d'après lui il était partit pour rester dans cette voiture un bon moment. Elle soupira a cette nouvelle ne le regardant pas.

L'effet de surprise devait surement être son atout pour la mettre dans l'embarras et cela marchait très bien. Quand il la saisit elle sursauta ne comprenant pas et ne s'y attendant pas. Elle se retrouva a califourchon sur les genoux de Soren qui avait finalement réussi a la faire rougir. Elle frissonna qand elle sentit ses mains sur ses cuisses, alors que les sienne s'appuyait sur son torse. Il se motrait entreprenant et voulait finir ce qu'il avait commencé, mais Seiji hésitait encore, rougissant toujours ce qui était rare. que devait-elle faire ? Elle n'en s'avait rien jusqu'ace qu'elle se rend compte qu'il en avait vraiment envie. La bosse sur son pantalon en était la preuve. Lapremière chose qu'elle se dit fut qu'elle n'apprécierait pas qu'un esclave lui refuse quelque chose quelle désire et la deuxième fut que dans l'état ou il était elle se devait de le satisfaire. Mais ce n'était que pur excuse la principal raison étant qu'elle voulait l'embrasser a nouveau. Elle se pencha lentement vers lui avant de l'embrasser langoureusement. quand elle arrêta le baiser elle le regarda avec un sourire plein de malice:

"Un donné pour un rendu ^^ "

Voila qu'enfin les choses avancaient comme je l'entendais. C'était parfait, mon humeur aurait mal supporté un nouveau refus où une diversion verbale plus où moins adroite. Je n'aimais certes pas forcer mes compagnes, toute esclave qu'elles puissent être, mais je n'aimais pas vraiment qu'on se refuse à moi.
Mais lorsque j'avais embrassé Seiji, elle m'avait semblé apprécier. Et bien qu'elle fût sans nul doute surprise de ma hardiesse, elle s'était laissée faire, peut-être empreinte à la reflexion face à laquelle la situation la plongeait.
Quant à moi, je sentais mon sexe doucement durcir alors que la bosse moulée par mon pantalon se frottait davantage encore à la culotte de Seiji. Aprés tout, elle était en robe et à califourchon. Du coup, son intimité m'étais livrée, où presque.

Puis ce fût elle qui arriva à me surprendre. Sans même que je m'y attende, elle vint d'elle même m'embrasser passionnément. Lorsqu'elle baissa ses yeux sur moi, ils étaient malicieux et espiègle, ce qui m'excita davantage. Elle se prenait au jeu, et c'était parfait, réellement. Mes mains se posèrent sur ses cuisses, la caresant tout en remontant plus encore la jupe. Sentait-elle mon sexe contre le sien ?

- Si je vous en prête plus, j'en recevrais donc autant ? Bonne philosophie....

Une de mes mains vint saisir doucement l'un de ses seins, la malaxant en douceur tandis que sous elle, mon bassin remuait un peu plus...

Seiji entrait dans son jeu et ce n'était pas dans ses habitudes. Peut être devait-elle admettre qu'il lui faisait un certain effet. A califourchon sur lui elle avait très bien remarqué qu'elle ne le laissait pas indifférent ce qui l'excitait assez de sentir contre se intimité la bosse faite par son sexe. Elle se doutait bien qu'avec la réponse qu'elle lui avait donné il lui répondrait cela ce qui lui fit afficher un sourire amusé. Mais sur le cou elle rougit quand elle sentit ses mains lentement remonter sur ses cuisse remontant par la même occasion sa robe. Elle frissonna légèrement commençant a ronronner. Elle se pencha sur lui et lui lécha la joue avant de se redresser. Il posa sa main sur son sein le malaxant doucement ce qui eu pour effet de lui arracher un soupir de plaisir.

Elle se pencha sur lui appuyant sa poitrine contre son torse. Ses mains était toujours posé sur lui, elle les laissait glisser sur son torse. Puis elle lui lécha a nouveau la joue avant de commencer a lui laper le cou soupirant toujours un peu. Elle s'arrêta se redressant:

"J'étais sur que vous diriez ça ^^ "

Elle affichait toujours ce sourire espiègle et provocateur qui montrait encore une fois qu'elle acceptait de se donner a lui. Après un court échange de regard elle reprit ses baiser dans son cou laissant ses mains glisser sur ses hanches.

Jusqu'a aujourd'hui, je n'avais jamais profité des faveurs d'une neko, je dois l'avouer. Ces lappements doux et ces coups de langue affectueux me surprirent de prime abord, avant de tout simplement me faire fondre. L'instinct était trés présent chez les hybrides, visiblement et Seiji n'échappait aucunement à la règle.
Lorsque je commencias à remonter sa robe, découvrant le haut de ses cuisses, elle se mit même à ronronner, avant de parler pour ajouter une petite touche ironique qui ne fût pas malvenue, au contraire.
Alors que je malaxais toujours adroitement son sein ferme, ma seconde main commençait à ôter la robe qui la couvrait. Je n'avais qu'une envie : la voir nue.

- Je ne crois pas que cela vous dérange, n'est ce pas.... J'en suis aise, vous ne faites qu'attiser mon désir pour vous, Seiji....

Le petit sourire qu'elle affichait ne trompait personne. A regret, je dûs aboandonner son sein pour venir finir de lui enlever sa robe, découvrant ce qu'elle me cachait dessous. Mon sexe ne cessait pas de durcir tandis que je sentais ses mains descendre vers mes hanches et ses baisers doux au creux de mon cou.
L'envie qu'elle use autrement de sa bouche vint me prendre, mais je décidais de me moderer et de la laisser faire.
A présent qu'elle était en sous-vêtements, mon désir n'en était que plus grand. Doucement, je repoussais son buste en arrière pour l'embrasser dans le cou, descendant jusqu'a la naissance de sa jolie poitrine.
Plus bas, ma main écartais le tissu du bas couvrant son intimité.

- Faites donc plaisir... A votre maitre....

Seiji continuait de lui laper doucement le cou ce qui semblait ne pas déplaire a Soren. Alors que d'une main il continuait de lui malaxer le sein avec l'autre il commença a lui défaire sa robe.
Sur le cou elle le trouva bien rapide mais ne protesta en rien, comme il venait de la dire cela ne la dérangeait pas, ce qui était étonnant. Il finit par lui ôter a l'aide de se deux mains sa robe, dévoilant ses sous-vêtement noir et blanc. Elle continuait de lui lécher délicatement le cou quand en la reculant il fit de même descendant progressivement.

Seiji, elle, avait décidé de ne pas être la seule a se dénudé défaisant un a un les bouton de la chemise de Soren. La jeune neko frissonnait un peu au contact des lèvres de l'homme sur sa peau. Quand elle eu terminer de défaire sa chemise elle posa ses mains froides sur le torse découvert de celui-ci. Elle avançait de nouveau son visage vers lui quand elle sentit sa main s'attarder au niveau de son intimité, elle rougit chose surprenante et soupira un peu. Alors qu'elle reprenant ses coup de langue dans son cou celui eu une demande fort explicite. Elle ramena son visage au niveau du sien:

"Oui... Maître "

Elle commença alors a descendre progressivement ses baiser sur son torse, le lui léchant par moment. LA jeune neko descendit ensuite ses mains lentement de son torse jusqu'au pantalon de l'humain commençant a le défaire.

Mes lèvres exploraient sa peau douce, descendant de plus en plus vers les rondeurs formées par ses seins. Même si ces derniers étaient encore prisonniers de leur gangue de dentelle, leur forme de poire attirait mes baisers. Si j'appréciais davantage les poitrines plus forte, un bonnet moins imposant mais plus ferme me plaisait tout autant. Et je devais admettre que Seiji avait de quoi me combler.... Ses globes étaient fermes et durs, et les prendre en main était pour moi un délice, vraiment.

La neko ne tarda pas à m'obeir, et je gageais qu'il n'y ai pas seulement le fait que je sois son maître. Non, elle prenait autant de plaisir que moi durant ces caresses tendres et si excitante. Sous elle, mes doigts commencaient à caresser les lèvres de son sexe, écartant toujours plus le tissu qui la couvrait. Peu à peu, je la sentais s'humidifier tandis que je sentais ses baisers parcourir mon torse, descendant toujours plus... Quelque fois elle se laissait aller à quelques coups de langues bien placés, sans cesser de se diriger vers ma ceinture. Hmm.. Bientot, sa bouche timide arriverait à ma verge qui durcissait tranquillement. Superbe perspective.
D'ailleurs, ses mains se posaient sur mes hanches pour venir ouvrir mon pantalon. Je la laissais faire tandis que je commencais à sucotter doucement le bout de l'un de ses seins, que j'avais découvert d'un geste lent et précis.

- Parfait, petite esclave... Continuez ainsi....

Quant à moi, j'inserais doucement mon majeur dans son antre suintante de désir et commençait à le faire jouer, attendant qu'elle prenne les choses en mains... Et en bouche.

Bon séjour sur Saol Eile

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