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Kurenai était en train de papillonner près du manoir des Kakon. Il n’avait aucune idée en tête en fait, il se baladait le plus simplement du monde au hasard des rues, se mettant à voler quand il se sentait fatigué et se reposant dès qu’il voulait remarcher. Il se sentait léger et vit soudainement à une fenêtre une silhouette sombre se dessiner et l’observer. Il ne la reconnut pas mais cela lui rappela qu’il avait quelqu’un de très spécial à voir et que ce quelqu’un habitait justement dans ce manoir. En fait tout lui revint immédiatement en mémoire, son côté étourdi d’Hikari laissant place au froid calculateur du Kakon qui sommeillait en lui. Il avait croisé un charmant corbeau de sa connaissance en sortant l’autre jour et ce dernier était tombé amoureux de lui, beau et svelte papillon. Il faut dire que l’homme en question avait un certain charme mais Kurenai n’avait jamais vu son visage d’adulte, non il n’avait vu qu’un étrange capuchon pour le moins énigmatique, et pourtant il sentait que l’homme, il l’aimait déjà...son visage d’adulte car il se souvenait quasi parfaitement de son visage enfant. Un petit blond aux yeux d’un bleu magnifiques, contrastant parfaitement avec les cheveux noirs et les yeux rouges de Kurenai. Ce dernier s’était d’ailleurs souvent imaginé avec le petit blond…fantasmant en secret sur lui. Bref celui-ci l’avait invité à habiter chez lui, histoire de faire plus ample connaissance et surtout sans aucun engagement de la part du papillon qui pouvait repartir s’il le souhaitait mais qui allait plutôt saisir l’occasion. Il sonna donc au lourd portail de la famille Kakon et un majordome vint lui ouvrir. Il put entrer dans le domaine sans problème, étant lui-même un Kakon. Il était connu de tous et il était assez craint de par ses pouvoirs. Il pénétra donc dans le manoir qu’il n’avait pas vu depuis un moment maintenant. Il déambula un peu dans le hall, respirant la douce odeur des boiseries, s’impregnant des différents sons qui faisaient vibrer ses ailes dans tout le bâtiment. Il voleta de ci de là, répandant un peu de la poudre noire de ses ailes partout, celle-ci s’évaporant avant même de toucher le sol. Il se posta devant la lourde porte qui menait aux quartiers du corbeau qu’il était venu voir, Aidô Kakon, le seul des corbeaux qui était blond, la risée de tous, un peu comme Kurenai pour son physique androgyne. Ses bagages avaient déjà dû être déposées, le corbeau, en parfait gentleman, ayant envoyé un petit voiturier pour lui récupérer. Il vérifia rapidement que sa tenue était correcte et…sexy. En effet son dos nu noir était bien attaché, son slim à sur-jupe faciale était bien serré, bien en place (taille basse). Il frappa à la porte et attendit qu’on vienne lui ouvrir, tournant sur lui-même pour observer la vie trépidante des domestiques de la maison, dont la plupart allaient et venaient avec des plateaux ou des chariots. La vie de rêve pour tout bon riche qui se respecte. Un grincement indiqua que la porte venait de s’ouvrir dans son dos et il se retourna lentement, laissant le temps à son hôte de regarder son dos puis termina sa révolution et arriva en face de lui, du corbeau blond, capuchonné comme la dernière fois et lui fit un sourire un peu crispé.
Salut toi ça va ?
Il lui sauta dessus et lui fit un gros calin comme un enfant à son frère, cet homme ayant été son seul confident lorsqu’il habitait encore le manoir, qu’il allait maintenant réintégrer. La capuche le troublait un peu mais il n’avait pas le choix pour mettre l’homme en confiance…même si cela demanderait sûrement qu’un minimum d’efforts.
Dit…la capuche…pour t’embrasser c’est pas pratique…
Salut toi ça va ?
Il lui sauta dessus et lui fit un gros calin comme un enfant à son frère, cet homme ayant été son seul confident lorsqu’il habitait encore le manoir, qu’il allait maintenant réintégrer. La capuche le troublait un peu mais il n’avait pas le choix pour mettre l’homme en confiance…même si cela demanderait sûrement qu’un minimum d’efforts.
Dit…la capuche…pour t’embrasser c’est pas pratique…
Invité
Invité
Aidô était tranquillement chez lui, enfin tranquillement facon de dire, il attendait quelqu'un et pas n'importe qui, une des seules personne qu'il appréciait sur cette ile, Kurenai Hikari. Bien que le nom du jeune homme était Hikari il était, tout comme Aidô, à moitier Kakon. Ils avaient plus ou moins grandi ensemble et Aidô avait longtemps été fasciné par ce garçon à l'allure bien particulière, il se souvenait parfaitement de ce petit brun aux yeux rouges. Ils s'étaient recroisé l'autre jour et Aidô s'était senti tout de suite attiré par le jeune androgyne, apparemment l'attirance était réciproque même si Aidô ne lui avait pas montré son visage, vieille habitude. Aidô avait eut une soudaine inspiration et avait proposé à Kurenai de venir vivre chez lui, chose que le papillon avait accepté, le corbeau avait donc fait chercher ses affaires par un esclave et les avaient ramennée chez lui.
Un domestique l'informa que le jeune homme était arrivé et Aidô senti son coeur s'accéléré quelque peu, il attendit qu'on frappe à sa porte pour aller ouvrir. Il découvrit le jeune homme qui regardait avec interet ce qui ce passait autour de lui et la première vision que Aidô eut de lui se fut son dos. Il détailla Kurenai du regard il avait vraiment un look bien particulier mais ca lui plaisait, il ne put s'empécher de descendre son regard jusqu'a ses fesses, le jeune homme se retourna lentement lui laissant tout le loisir de le regarder. Kurenai lui sauta au cou pour le saluer Aidô n'était pas habitué à ce genre de contact mais il y répondit profitant du contact physique avec cet autre corps.
"Je vais très bien et toi ? Je commencais à me demander si tu ne m'avais pas oublier"
Kurenai lui fit remarquer que sa capuche n'était pas pratique c'était vrai mais Aidô était tellement habitué à la porter qu'il n'y faisait plus attention. Il fit entrer le jeune homme et referma la porte derrière lui avant de retirer sa capuche. Bien sur il avait beaucoup changé depuis la dernière fois que Kurenai avait vu son visage mais ses cheveux était toujours aussi blond et ses yeux aussi bleus.
"C'est mieux comme ca ?"
Un domestique l'informa que le jeune homme était arrivé et Aidô senti son coeur s'accéléré quelque peu, il attendit qu'on frappe à sa porte pour aller ouvrir. Il découvrit le jeune homme qui regardait avec interet ce qui ce passait autour de lui et la première vision que Aidô eut de lui se fut son dos. Il détailla Kurenai du regard il avait vraiment un look bien particulier mais ca lui plaisait, il ne put s'empécher de descendre son regard jusqu'a ses fesses, le jeune homme se retourna lentement lui laissant tout le loisir de le regarder. Kurenai lui sauta au cou pour le saluer Aidô n'était pas habitué à ce genre de contact mais il y répondit profitant du contact physique avec cet autre corps.
"Je vais très bien et toi ? Je commencais à me demander si tu ne m'avais pas oublier"
Kurenai lui fit remarquer que sa capuche n'était pas pratique c'était vrai mais Aidô était tellement habitué à la porter qu'il n'y faisait plus attention. Il fit entrer le jeune homme et referma la porte derrière lui avant de retirer sa capuche. Bien sur il avait beaucoup changé depuis la dernière fois que Kurenai avait vu son visage mais ses cheveux était toujours aussi blond et ses yeux aussi bleus.
"C'est mieux comme ca ?"
Invité
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Kurenai s'était avancé dans l'entrée des quartiers d'Aido, un coin assez raffiné tout comme le propriétaire des lieux. Ce dernier referma la porte derrière le papillon qui s'était tourné vers lui, un petit sourire aux lèvres. Il laissa doucement tomber le capuchon et se fit immédiatement braquer du regard par Kurenai qui n'en perdit pas une mienne. Il le trouvait extrêmement séduisant, encore plus qu'avant. Il se rapprocha lentement de lui, se demandant s'il pouvait l'embrasser...là maintenant de suite. Il est vrai que Kurenai était assez direct et quand il voulait quelque chose il se servait. Il fixa le beau blond dans les yeux et s'arrêta à quelques centimètres de lui, respirant rapidement son odeur et contemplant ses cheveux qu'un rayon de soleil rendaient d'une grande magnificence, éclats dorés qui luisaient dans la pénombre presque présente.
Oh oui c'est beaucoup mieux de cette manière.
Il passa subrepticement sa langue sur ses lèvres, cherchant à réveiller l'instinct animal du jeune blond en face de lui. Kurenai le détailla un peu plus. En effet le temps avait eu un excellent effet sur lui. Il avait grandi et s'était étoffé, devenant encore plus désirable. L'esprit de Kurenai était en train de s'imaginer plein de choses pas très catholiques rien qu'en l'observant. Il aurait très bien pu lui transmettre ces visions mais avait préféré laissé la nature faire le cours des choses. Il se mit à lentement osciller de gauche à droite sur ses hanches, sans pour autant bouger de sa position, ses ailes se pliant lentement comme dans une parade nuptiale. Il les replia rapidement, ne voulant lui montrer qu'un aperçu de sa grâce, jugeant le moment non approprié. Il s'arrêta à quelques mètres de lui, regardant le nombre de portes autour d'eux et calculant rapidement le nombre de chances qu'ils avaient d'être découverts ensembles. Il y en avait très peu alors il recommença son oscillement qu'il essayait de rendre le plus attirant possible, sentant bien que le corbeau allait lui céder tôt ou tard.
Que me proposes-tu de faire pour fêter mon arrivée...mon beau?
Oh oui c'est beaucoup mieux de cette manière.
Il passa subrepticement sa langue sur ses lèvres, cherchant à réveiller l'instinct animal du jeune blond en face de lui. Kurenai le détailla un peu plus. En effet le temps avait eu un excellent effet sur lui. Il avait grandi et s'était étoffé, devenant encore plus désirable. L'esprit de Kurenai était en train de s'imaginer plein de choses pas très catholiques rien qu'en l'observant. Il aurait très bien pu lui transmettre ces visions mais avait préféré laissé la nature faire le cours des choses. Il se mit à lentement osciller de gauche à droite sur ses hanches, sans pour autant bouger de sa position, ses ailes se pliant lentement comme dans une parade nuptiale. Il les replia rapidement, ne voulant lui montrer qu'un aperçu de sa grâce, jugeant le moment non approprié. Il s'arrêta à quelques mètres de lui, regardant le nombre de portes autour d'eux et calculant rapidement le nombre de chances qu'ils avaient d'être découverts ensembles. Il y en avait très peu alors il recommença son oscillement qu'il essayait de rendre le plus attirant possible, sentant bien que le corbeau allait lui céder tôt ou tard.
Que me proposes-tu de faire pour fêter mon arrivée...mon beau?
Invité
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Kurenai s'approcha de lui le regardant dans les yeux, ils étaient à quelques centimètres l'un de l'autre et Aidô voyait bien l'envie dans les yeux du papillon, il lui sourit légèrement on lui disait souvent qu'il était plus beau quand il souriait il allait vérifier si c'était vrai. Il vit le jeune homme passer sa langue sur ses lèvres et il imaginait très bien ce qui se passait dans sa tête car il se passait la même chose dans la sienne. Aidô trouvait Kurenai vraiment très attirant, il le vit se mettre à osciller des hanches pour attiser le désir du corbeau.
"Je peut déjà commencer par te souhaiter la bienvenue"
Aidô s'approcha comblant la distance qui les séparaient il caressa le visage du papillon de sa main avant de capturer ses lèvres pour lui donner un doux et long baiser. Aidô non plus n'était pas du genre à tourner autour du pot quand il voulait quelque chose et pour le moment ce qu'il voulait c'était Kurenai. Il attira le corps du jeune homme contre le sien pour prolonger le baiser.
"On va aller dans un endroit plus tranquille"
Sans attendre il prit la main du papillon et l'emmena avec lui, ils traversèrent quelques pièces jusqu'a une immense chambre, celle d'Aidô, là le corbeau lacha la main de son compagnon et enleva complétement sa cape, il portait un pantalon blanc et une chemise blanche elle aussi qui était entreouverte laissant apparaitre son torse musclé. La cape n'était pas très flatteuse pour son physique on voyait bien qu'il n'était pas maigrichon mais ses muscles étaient cachés. Là il se sentait mieux et Kurenai devait d'avantage apprécier la vue.
"Je peut déjà commencer par te souhaiter la bienvenue"
Aidô s'approcha comblant la distance qui les séparaient il caressa le visage du papillon de sa main avant de capturer ses lèvres pour lui donner un doux et long baiser. Aidô non plus n'était pas du genre à tourner autour du pot quand il voulait quelque chose et pour le moment ce qu'il voulait c'était Kurenai. Il attira le corps du jeune homme contre le sien pour prolonger le baiser.
"On va aller dans un endroit plus tranquille"
Sans attendre il prit la main du papillon et l'emmena avec lui, ils traversèrent quelques pièces jusqu'a une immense chambre, celle d'Aidô, là le corbeau lacha la main de son compagnon et enleva complétement sa cape, il portait un pantalon blanc et une chemise blanche elle aussi qui était entreouverte laissant apparaitre son torse musclé. La cape n'était pas très flatteuse pour son physique on voyait bien qu'il n'était pas maigrichon mais ses muscles étaient cachés. Là il se sentait mieux et Kurenai devait d'avantage apprécier la vue.
Invité
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Aidô se rapprocha du papillon et l'embrassa avec passion pour lui souhaiter la bienvenue. Le papillon, autant sous la "surprise" qu’il feignit que sous le plaisir ressenti, agita doucement ses ailes dans son dos. Ce baiser fut pour Kurenai comme une révélation. Un corbeau pouvait aussi être doux. Voilà qui était extrêmement intéressant. Doux et séduisant...il avait tout pour plaire au sombre papillon ce charmant garçon. Kurenai se sentit happé par le corbeau et se laissa faire, atterrissant contre lui pour approfondir le baiser, y mettant une ardeur rare chez lui, prouvant au corbeau qu'il reconnaissait sa valeur et donc, son attirance. Aller dans un endroit plus tranquille? A ces mots le papillon sourit et acquiesça de la tête. Qui aurait pu refuser une si belle proposition? Certainement pas Kurenai qui n'attendait que ça depuis son enfance auprès de cet homme si mystérieux mais si impressionnant au fond. Kurenai se laissa guider par l'oiseau dans les pièces qu'ils traversèrent et ils arrivèrent dans une grande chambre, richement décorée elle aussi. Le papillon devina que c'était celle du corbeau et il fut émerveillé par la beauté de l'endroit. Il aimait vraiment les goûts du blondinet même si le luxe n'était pas à la base ce qu'il préférait. L’homme en face de lui laissa tomber sa cape, dévoilant un peu plus un corps bien bâti et Kurenai ne put s'empêcher de se mordre à nouveau la lèvre. En même temps Aidô lui avait de suite pu imaginer à quoi ressemblait le papillon même s'il n'en avait pour l'instant vu que le dos car ce dernier, comme à son habitude, portait une tenue extrêmement moulante, voire même dérangeante pour certains qui ne supportait pas sa troublante ressemblance avec le sexe féminin. Dieu qu'il aimait jouer avec ce genre de personnes. Mais là n'étant pas pour le moment la question il reporta son attention sur le jeune homme et ne put s’empêcher de rejouer avec sa lèvre lorsqu’il aperçut l’ouverture de la chemise, montrant un torse à croquer…et pour avoir Kurenai, un beau torse était toujours utile car il appréciait tout particulièrement cette partie là de l’anatomie masculine. Et celui d’Aidô était à se damner…Kurenai ferma un instant les yeux et se dit alors que cet homme avait, volontairement ou pas, entretenu ce contraste si saisissant qui les liait à la perfection. Habillé de blanc, les cheveux blonds et les yeux d’un bleu profond, Aidô aurait pu passer pour un ange. A l’inverse, tout de noir vêtu, les yeux d’un rouge puissant et les cheveux d’une obscurité d’obsidienne, Kurenai était l’incarnation d’un petit démon, son corps élancé et mince pouvant très bien passer pour celui d’un petit garçon trop vite grandi. Seules ses ailes apportaient un peu de douceur au tableau, ainsi que les sortes de petites oreilles qu’il avait au dessus des cheveux, représentant sûrement les antennes du papillon qu’il était. Il rouvrit les yeux et s’approcha du corbeau pour l’enlacer sans retenue cette fois-ci, capturant ses lèvres avec une avidité sans pareille.
J’avais tellement rêvé de ça…
Il avait murmuré ces quelques mots dans une sorte de petit soupir, comme un prélude à tout ce qui pourrait sortir d’autre de sa bouche, collé comme il l’était au corps du séduisant Ainoko. Oui il allait réaliser un de ses fantasmes, une de ses envies les plus secrètes, les plus insidieuses. Il allait enfin pouvoir être lui-même, pouvoir aimer et cela il le lui prouvait en partageant ce baiser sensuel et langoureux avec lui, ses mains passant dans la fente de la chemise pour se poser sur le torse doux et chaud.
Tu es encore plus beau que ce j’ai pu imaginer…et pourtant je suis un maître dans l’art des illusions…
J’avais tellement rêvé de ça…
Il avait murmuré ces quelques mots dans une sorte de petit soupir, comme un prélude à tout ce qui pourrait sortir d’autre de sa bouche, collé comme il l’était au corps du séduisant Ainoko. Oui il allait réaliser un de ses fantasmes, une de ses envies les plus secrètes, les plus insidieuses. Il allait enfin pouvoir être lui-même, pouvoir aimer et cela il le lui prouvait en partageant ce baiser sensuel et langoureux avec lui, ses mains passant dans la fente de la chemise pour se poser sur le torse doux et chaud.
Tu es encore plus beau que ce j’ai pu imaginer…et pourtant je suis un maître dans l’art des illusions…
Invité
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Kurenai se mordit la lèvre en découvrant un peu mieux le corps de Aidô, preuve qu'il lui plaisait vraiment, le corbeau eut un léger sourire, il était heureux de plaire ainsi au papillon et encore il ne fallait pas oublier que pour le moment il était habillé, il se demanda comment réagirais le jeune homme en voyant son corps. Maintenant face à face il le détailla plus attentivement du regard, physiquement il était difficile de faire plus éloigné, tandis qu'Aidô était blond aux yeux bleus, le corps musclé par des entrainement intensif, Kurenai lui était plus fin et ses yeux d'un rouge profond ressortait bien sous sa chevelure noire. En tout cas son coté androgyne plaisait beaucoup au corbeau, il trouvait qu'ils allaient plutot bien ensemble tout les deux et il était sur que ce n'était pas Kurenai qui le contrarirait sur ce point.
Kurenai perdit le peu de réserve qu'il avait encore il enlaca Aidô sans hésiter et lui captura les lèvres dans un long baiser, le corbeau se laissa faire avec plaisir, le baiser était passionné comme si le papillon tentait de rattraper des années d'envies insatisfaites. Aidô se douta que l'attirance que le jeune homme avait pour lui ne datait surement pas d'hier, d'ailleurs ses paroles lui confirmèrent. Aidô devait admettre que la situation était loin de lui déplaire, il passa ses bras autour de Kurenai l'enlacant tendrement. La bouche du corbeau se sépara de celle de son compagnon et déscendit dans son cou, l'embrassant et le mordillant légèrement. Ses mains étaient posées sur les hanche du papillon mais il ne tarda pas à les descendre sur ses fesses. Il sentait les mains de son compagnon lui caresser le torse.
"Tu me plait beaucoup joli papillon"
Ce garçon lui donnait envie il devait l'admettre, Aidô avait toujours été autant attiré par les hommes que par les femmes mais avec Kurenai les hommes venaient de prendre une longueur d'avance. Le corbeau était le genre d'homme à écouté ses pulsions, il se doutait que son partenaire ne serrait pas contre. L'attirant près du lit Aidô se laissa tomber dessus attirant le papillon avec lui, le corbeau se retrouva sur le dos avec son compagnon sur lui, il recaptura ses lèvres pour un nouveau baiser et commenca à le caresser.
Kurenai perdit le peu de réserve qu'il avait encore il enlaca Aidô sans hésiter et lui captura les lèvres dans un long baiser, le corbeau se laissa faire avec plaisir, le baiser était passionné comme si le papillon tentait de rattraper des années d'envies insatisfaites. Aidô se douta que l'attirance que le jeune homme avait pour lui ne datait surement pas d'hier, d'ailleurs ses paroles lui confirmèrent. Aidô devait admettre que la situation était loin de lui déplaire, il passa ses bras autour de Kurenai l'enlacant tendrement. La bouche du corbeau se sépara de celle de son compagnon et déscendit dans son cou, l'embrassant et le mordillant légèrement. Ses mains étaient posées sur les hanche du papillon mais il ne tarda pas à les descendre sur ses fesses. Il sentait les mains de son compagnon lui caresser le torse.
"Tu me plait beaucoup joli papillon"
Ce garçon lui donnait envie il devait l'admettre, Aidô avait toujours été autant attiré par les hommes que par les femmes mais avec Kurenai les hommes venaient de prendre une longueur d'avance. Le corbeau était le genre d'homme à écouté ses pulsions, il se doutait que son partenaire ne serrait pas contre. L'attirant près du lit Aidô se laissa tomber dessus attirant le papillon avec lui, le corbeau se retrouva sur le dos avec son compagnon sur lui, il recaptura ses lèvres pour un nouveau baiser et commenca à le caresser.
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Kurenai se surprit à sourire lorsque les lèvres du corbeau quittèrent les siennes, rejoignant son cou qu'il tendit sous la caresse. Pire encore, il soupira légèrement, son souffle s'accélérant à chaque fois qu'Aidô lui embrassait le cou et plus il descendait dans son dos. Le corbeau passa doucement ses mains sur ses hanches puis sur ses fesses, direct mais diablement efficace. Kurenai rougit légèrement mais n'en perdit pas pour autant le contrôle de son corps et se laissa choir sur le bel homme quand ils tombèrent sur le lit, laissant retomber quelques mèches de ses cheveux sur son torse. Kurenai re-captura avidement les lèvres de l'ainoko et commença à lui enlever sa chemise pour pouvoir encore plus le contempler. Ses mains passaient sur son torse comme de douces plumes, le frôlant par moments puis se faisant un peu plus présentes. Puis vint le tour de sa bouche qui se posa à divers endroits de la partie supérieure du jeune homme, s'arrêtant parfois pour lui sourire puis reprenant, s'amusant à titiller ses tétons avec sa langue.
Heureux de te plaire mon beau...c'est tellement réciproque.
Il se colla à lui et respira un bon coup, appréciant son odeur délicieuse. Il remonta en rougissant légèrement, comme un enfant pris en faute et le regarda d'un air joueur. Il passa sa langue dans son cou et lui mit de légères morsures, bien décidé à l'exciter pour que ce soit encore meilleur. Après tout il ne fallait pas que le corbeau le déçoive après tant d'attente...le papillon se mit à gigoter sur le corbeau, se frottant de manière sensuelle à lui, bravant tous les interdits qu'il s'était lui même fixé. Le torse à nu de l'homme le rendait fou, fou d'envie et de désir. Il souhaitait voir le reste mais ne voulait pas non plus aller trop vite. Beaucoup de choses se bousculaient dans sa tête et il n'était plus vraiment conscient des choses qui l'entouraient. Il le regarda...toujours aussi amusé en fait.
Tu invites souvent des beaux garçons pour t'amuser à vivre chez toi? Ou bien...je suis le seul...
Il avait dit cela en le susurrant dans l'oreille du blond, s'en fichant un peu au fond tant qu'il s'occupait de lui, même si ce n'était qu'une seule fois. Mais il espérait secrètement qu'au fond, ce serait un peu plus qu'une simple partie de jambes en l'air qui les attendait. Il le regarda avec insistance, attendant une réponse en se passant la langue sur les lèvres pour lui indiquer que rien ne l'empêcherait de lui faire un peu de bien...même si cela ne durait pas...
Heureux de te plaire mon beau...c'est tellement réciproque.
Il se colla à lui et respira un bon coup, appréciant son odeur délicieuse. Il remonta en rougissant légèrement, comme un enfant pris en faute et le regarda d'un air joueur. Il passa sa langue dans son cou et lui mit de légères morsures, bien décidé à l'exciter pour que ce soit encore meilleur. Après tout il ne fallait pas que le corbeau le déçoive après tant d'attente...le papillon se mit à gigoter sur le corbeau, se frottant de manière sensuelle à lui, bravant tous les interdits qu'il s'était lui même fixé. Le torse à nu de l'homme le rendait fou, fou d'envie et de désir. Il souhaitait voir le reste mais ne voulait pas non plus aller trop vite. Beaucoup de choses se bousculaient dans sa tête et il n'était plus vraiment conscient des choses qui l'entouraient. Il le regarda...toujours aussi amusé en fait.
Tu invites souvent des beaux garçons pour t'amuser à vivre chez toi? Ou bien...je suis le seul...
Il avait dit cela en le susurrant dans l'oreille du blond, s'en fichant un peu au fond tant qu'il s'occupait de lui, même si ce n'était qu'une seule fois. Mais il espérait secrètement qu'au fond, ce serait un peu plus qu'une simple partie de jambes en l'air qui les attendait. Il le regarda avec insistance, attendant une réponse en se passant la langue sur les lèvres pour lui indiquer que rien ne l'empêcherait de lui faire un peu de bien...même si cela ne durait pas...
Invité
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Comme il le pensait Kurenai fut ravi de se retrouver en position horizontal avec Aidô, il était impossible de savoir lequel des deux en avait le plus envie. Le papillon lui enleva sa chemise pour pouvoir profiter de son torse musclé et Aidô espérait qu'il le trouvait à son gout mais vu sa façon de le caresser la réponse était évidente. Aidô frissonnait en sentant les mains de son partenaires sur lui quelle délicieuse sensation que de se faire caresser par ce si doux papillon. Après les caresses vinrent les baisers, la bouche de Kurenai se posait un peu partout sur son torse. Le jeune homme se colla à lui respirant son odeur avant d'aller le mordiller dans le cou, la respiration d'Aidô s'était nettement accélérée sous l'excitation
Kurenai se mit à gigoter sur lui et Aidô était terriblement excité, ce papillon allait le rendre dingue à faire ça, d'ailleurs même à travers son pantalon il était impossible que le jeune homme ne sente pas l'effet qu'il lui faisait et Aidô mourrait d'envie qu'il descende plus bas, pour etre honnete il avait envie de tout un tas de chose. Le papillon lui demanda si ca lui arrivait souvent d'inviter des garçons chez lui pour faire ça, à vrai dire non ce n'était pas courant du tout, la question avait été posé d'un air un peu détaché comme si la réponse importait peu mais il sentit une vrai interrogation derrière cette facade.
"Tu est le seul mon magnifique papillon et ca faisait tellement longtemps que je te voulait que je ne compte pas te laisser filer"
Il fit basculer Kurenai pour se retrouver au dessus de lui, es-ce que le jeune homme se rendait compte de ce qu'il provoquait chez le corbeau. Aidô prit ses mains et les plaqua au lit avant de venir l'embrasser plus intésement que les fois précédente, un vrai baiser passionné, qui reflétait tout le désir qu'il avait pour le papillon. Il le releva un peu pour aller détacher son dos nu et pouvoir lui aussi profiter de son corps. Il se mit à caresser son torse avec envie, il avait terriblement envie de son compagnon.
Aidô avait rarement ressenti un tel désir pour quelqu'un mais pour le moment la seule chose qui comptait c'était que cela ne s'arrete jamais, il aimait sentir les mains de Kurenai sur lui, sa bouche glisser sur son corps, à croire que le papillon l'avait complétement envouté. Aidô se pencha pour murmurer à l'oreille du jeune homme.
"J'ai terriblement envie de toi"
Kurenai se mit à gigoter sur lui et Aidô était terriblement excité, ce papillon allait le rendre dingue à faire ça, d'ailleurs même à travers son pantalon il était impossible que le jeune homme ne sente pas l'effet qu'il lui faisait et Aidô mourrait d'envie qu'il descende plus bas, pour etre honnete il avait envie de tout un tas de chose. Le papillon lui demanda si ca lui arrivait souvent d'inviter des garçons chez lui pour faire ça, à vrai dire non ce n'était pas courant du tout, la question avait été posé d'un air un peu détaché comme si la réponse importait peu mais il sentit une vrai interrogation derrière cette facade.
"Tu est le seul mon magnifique papillon et ca faisait tellement longtemps que je te voulait que je ne compte pas te laisser filer"
Il fit basculer Kurenai pour se retrouver au dessus de lui, es-ce que le jeune homme se rendait compte de ce qu'il provoquait chez le corbeau. Aidô prit ses mains et les plaqua au lit avant de venir l'embrasser plus intésement que les fois précédente, un vrai baiser passionné, qui reflétait tout le désir qu'il avait pour le papillon. Il le releva un peu pour aller détacher son dos nu et pouvoir lui aussi profiter de son corps. Il se mit à caresser son torse avec envie, il avait terriblement envie de son compagnon.
Aidô avait rarement ressenti un tel désir pour quelqu'un mais pour le moment la seule chose qui comptait c'était que cela ne s'arrete jamais, il aimait sentir les mains de Kurenai sur lui, sa bouche glisser sur son corps, à croire que le papillon l'avait complétement envouté. Aidô se pencha pour murmurer à l'oreille du jeune homme.
"J'ai terriblement envie de toi"
Invité
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Kurenai voulait le corbeau, il ne pouvait vraiment plus le nier et le corbeau en question le voulait aussi. Tout allait donc pour le mieux pour les deux tourtereaux. Et en plus il était rare qu'Aidô invite des garçons? Extrêmement intéressant...mais il ne devait pas se gêner par contre avec les filles, pensa Kurenai. Mais bon il avait quand même l'honneur d'être un des rares garçons à passer par sa chambre et il en était extrêmement flatté. De plus les adjectifs qu'employait le Kakon pour le désigner résonnaient à ses oreilles comme des sons divins, le transportant littéralement sur une autre planète. Et quand Aidô le plaqua contre le lit en saisissant ses mains, le papillon crut qu'il allait perdre tous ses moyens. Il réussi quand même à déplier ses ailes pour les poser à plat sur le lit, se retrouvant comme un papillon punaisé dans un sous-verre et il soupira légèrement lorsqu'il se retrouva torse-nu, révélant un peu plus de son anatomie au corbeau qui semblait largement apprécier. Le baiser qui suivit fut comme un feu d'artifice pour l'énigmatique insecte à la peau pâle, une explosion de bonheur l'envahit, d'envie aussi et il le fit passer par la danse de sa langue avec celle du corbeau. Il le voulait tout entier, ne voulait faire qu'un avec lui.
Aidô...je te veux aussi...depuis le temps que j'attends je pense être prêt.
Les mots du blondinet l'avait rendu fou, fou de lui, de la situation dans laquelle il se trouvait. Oui il était subjugé par la prestance de cet être qui emplissait toute la pièce, qui se répercutait dans son habitat et maintenant qui résonnait près du coeur du papillon qui se sentit misérablement ridicule à côté. Mais tellement plus fort quand il se tenait près de lui. Le papillon caressait le torse du corbeau et passa subitement sa main dans le pantalon de ce dernier, s'attardant près de l'élastique de son sous-vêtement [à préciser u_u] et jouant avec avant de plonger à l'intérieur, saisissant le membre bien dur pour le caresser avec fougue, la langue du papillon toujours explorant la bouche du corbeau en respirant de plus en plus fort, de plus en plus vite à mesure que le désir grandissait, prenant une place énorme dans le cors de Kurenai dont la fierté était tendue à l'extrême. Il se sentait même à l'étroit maintenant et se débarrassa donc de son pantalon, gardant simplement son boxer noir à rayures latérales rouges, allant parfaitement avec ses yeux et sa pâleur (sur)naturelle. Il passa son autre main dans le pantalon du corbeau pour venir ce coup-ci caresser ses fesses.
Quel agréable petit c*l...vraiment parfait en tout point ce corps cher corbeau...l'âge t'a donné raison à ce que je vois...
Aidô...je te veux aussi...depuis le temps que j'attends je pense être prêt.
Les mots du blondinet l'avait rendu fou, fou de lui, de la situation dans laquelle il se trouvait. Oui il était subjugé par la prestance de cet être qui emplissait toute la pièce, qui se répercutait dans son habitat et maintenant qui résonnait près du coeur du papillon qui se sentit misérablement ridicule à côté. Mais tellement plus fort quand il se tenait près de lui. Le papillon caressait le torse du corbeau et passa subitement sa main dans le pantalon de ce dernier, s'attardant près de l'élastique de son sous-vêtement [à préciser u_u] et jouant avec avant de plonger à l'intérieur, saisissant le membre bien dur pour le caresser avec fougue, la langue du papillon toujours explorant la bouche du corbeau en respirant de plus en plus fort, de plus en plus vite à mesure que le désir grandissait, prenant une place énorme dans le cors de Kurenai dont la fierté était tendue à l'extrême. Il se sentait même à l'étroit maintenant et se débarrassa donc de son pantalon, gardant simplement son boxer noir à rayures latérales rouges, allant parfaitement avec ses yeux et sa pâleur (sur)naturelle. Il passa son autre main dans le pantalon du corbeau pour venir ce coup-ci caresser ses fesses.
Quel agréable petit c*l...vraiment parfait en tout point ce corps cher corbeau...l'âge t'a donné raison à ce que je vois...
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Aidô adora le baiser échangé avec Kurenai, c'était intense et passionné, délicieux. Ils se faisaient mutuellement beaucoup d'effet, Aisô avait rarement couché avec des garçon même si cela lui avait à chaque fois beaucoup plu mais il sentait que ca allait être différent. Lé désir qu'il éprouvait pour le papillon était très fort, lui même en était surpris mais le jeune homme dégageait quelque chose et c'était ce qui faisait que Aidô se sentait bien avec lui. Et puis c'est vrai qu'ils s'étaient toujours bien entendu étant petit et le fait qu'ils aient été élevé de la même façon les rapprochaient aussi.
Il sentit une vague de chaleur monter en lui quand Kurenai lui dit qu'il le voulait aussi. C'était tellement agréable de savoir que son envie était partagée mais il cessa carement de respirer en sentant la main du papillon se glisser dans son pantalon, il n'osait plus bouger de peur de casser ce moment si attendu. Le jeune homme le fit languir en jouant un instant avec l'élastique de son boxer mais finit par glisser sa main à l'intérieur et Aidô l'acueillit par un gémissement de plaisir. Il vivait ce moment comme une libération. Ses gémissements étaient contenu par le baiser du papillon, il frémissait de plaisir.
Kurenai bougea un peu pour enlever son pantalon, dévoilant un boxer noir à rayure, Aidô regretta un peu qu'il ne l'enlève pas aussi mais patience ca viendrais. La main du papillon reprit sa caresse et sa seconde mains vint se glisser sur ses fesses. Apparement ces dernières plaisaient beaucoup au papillon, heureusement que Aidô n'était pas timide sinon il serait devenu rouge, il se contenta de sourire. Lui aussi se sentait à l'étroit dans son pantalon, il se releva donc laissant les mains de Kurenai le quitter à regret. Le corbeau ne se contenta pas d'enlever uniquement son pantalon il fit aussi glisser son boxer, blanc comme le reste de ses vetements, dévoilant son corps nu au papillon qui n'en perdait pas une miette.
"Je te plait toujours autant ?"
Il avait posé la question d'une voie innocente mais un sourire coquin s'affichait sur ses lèvres il se remit sur le papillon et commenca à le caresser à travers son boxer pour le faire languir mais il ne tarda pas à se relever pour lui retirer le mettant lui aussi totalement nu
"Tu es très beau, vraiment"
Il sentit une vague de chaleur monter en lui quand Kurenai lui dit qu'il le voulait aussi. C'était tellement agréable de savoir que son envie était partagée mais il cessa carement de respirer en sentant la main du papillon se glisser dans son pantalon, il n'osait plus bouger de peur de casser ce moment si attendu. Le jeune homme le fit languir en jouant un instant avec l'élastique de son boxer mais finit par glisser sa main à l'intérieur et Aidô l'acueillit par un gémissement de plaisir. Il vivait ce moment comme une libération. Ses gémissements étaient contenu par le baiser du papillon, il frémissait de plaisir.
Kurenai bougea un peu pour enlever son pantalon, dévoilant un boxer noir à rayure, Aidô regretta un peu qu'il ne l'enlève pas aussi mais patience ca viendrais. La main du papillon reprit sa caresse et sa seconde mains vint se glisser sur ses fesses. Apparement ces dernières plaisaient beaucoup au papillon, heureusement que Aidô n'était pas timide sinon il serait devenu rouge, il se contenta de sourire. Lui aussi se sentait à l'étroit dans son pantalon, il se releva donc laissant les mains de Kurenai le quitter à regret. Le corbeau ne se contenta pas d'enlever uniquement son pantalon il fit aussi glisser son boxer, blanc comme le reste de ses vetements, dévoilant son corps nu au papillon qui n'en perdait pas une miette.
"Je te plait toujours autant ?"
Il avait posé la question d'une voie innocente mais un sourire coquin s'affichait sur ses lèvres il se remit sur le papillon et commenca à le caresser à travers son boxer pour le faire languir mais il ne tarda pas à se relever pour lui retirer le mettant lui aussi totalement nu
"Tu es très beau, vraiment"
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Le beau blond sembla apprécier la double caresse du sombre papillon car il se mit à gémir, son qui aux oreilles de Kurenai était on ne peut plus agréable. Il aimait l'entendre prendre du plaisir et voulait lui en donner encore et encore. Il voulait à cet instant que jamais le corbeau ne se lasse de lui, qu'il ne l'abandonne jamais. Mais il savait que rien ne durait vraiment, surtout chez les corbeaux. Cela ne l'empêchait cependant pas d'espérer. Il regarda son homme se redresser et se mettre à nu devant lui, demandant son avis. Kurenai baissa les yeux jusqu'à la partie qui l'intéressait pour le moment et se mordit la lèvre avec envie, n'étant resté lui qu'en boxer qui pourtant présageait plein de bonnes choses pour le blond ainoko.
De plus en plus mon beau...
Aidô avait un sourire coquin qui fit frémir Kurenai d'excitation et il revint rapidement sur le papillon pour le déshabiller aussi. Un compliment plus tard nos deux amants se retrouvèrent, l'un sur l'autre complètement nus tous les deux et se caressant mutuellement, dans un baiser long et passionné. Kurenai reprit son doucereux mouvement de frottement, faisant s'entrechoquer les deux fiertés avec un rythme lent pour plus de sensations, tout en embrassant le corbeau et en caressant ses fesses et son torse. Sa peau était douce, si douce qu'il aurait pu dormir dessus sans problème et si chaude qu'il n'aurait pas eu froid. Il espérait pouvoir passer la nuit avec lui, blotti dans ses bras puissants et protecteurs. En attendant il dirigea ses caresses de nouveau vers le membre dressé du bel oiseau et y appliqua un rapide va-et-vient, un sourire ardent fixé sur le coin de ses lèvres qui avait quitté celles d'Aidô pour le regarder prendre du plaisir. Il descendit légèrement et recommença à lécher ses tétons avidement et à les pincer entre ses lèvres, sa main continuant son office. Il aimait ce corps qui s'offrait à lui et voulait en explorer les moindres recoins...il voulait être capable de revoir les images de son visage se figeant dans une expression de béatitude totale, il voulait le voir jouir pour garder le sentiment d'être désiré, de l'avoir satisfait pleinement. En outre il ne savait pas du tout comment aller se dérouler la suite. Car jusque là c'était facile...pareil pour les deux mais ça allait se compliquer. En effet Kurenai commençait déja à se poser la question du "Qui va se faire qui?". En même temps il pouvait très bien s'adapter au beau blond, ayant déja pratiqué et aimé les deux côtés du sexe gay. Mais il aimerait pouvoir le dominer ne serait-ce qu'une fois ou deux, histoire de se sentir...important pour lui?
De plus en plus mon beau...
Aidô avait un sourire coquin qui fit frémir Kurenai d'excitation et il revint rapidement sur le papillon pour le déshabiller aussi. Un compliment plus tard nos deux amants se retrouvèrent, l'un sur l'autre complètement nus tous les deux et se caressant mutuellement, dans un baiser long et passionné. Kurenai reprit son doucereux mouvement de frottement, faisant s'entrechoquer les deux fiertés avec un rythme lent pour plus de sensations, tout en embrassant le corbeau et en caressant ses fesses et son torse. Sa peau était douce, si douce qu'il aurait pu dormir dessus sans problème et si chaude qu'il n'aurait pas eu froid. Il espérait pouvoir passer la nuit avec lui, blotti dans ses bras puissants et protecteurs. En attendant il dirigea ses caresses de nouveau vers le membre dressé du bel oiseau et y appliqua un rapide va-et-vient, un sourire ardent fixé sur le coin de ses lèvres qui avait quitté celles d'Aidô pour le regarder prendre du plaisir. Il descendit légèrement et recommença à lécher ses tétons avidement et à les pincer entre ses lèvres, sa main continuant son office. Il aimait ce corps qui s'offrait à lui et voulait en explorer les moindres recoins...il voulait être capable de revoir les images de son visage se figeant dans une expression de béatitude totale, il voulait le voir jouir pour garder le sentiment d'être désiré, de l'avoir satisfait pleinement. En outre il ne savait pas du tout comment aller se dérouler la suite. Car jusque là c'était facile...pareil pour les deux mais ça allait se compliquer. En effet Kurenai commençait déja à se poser la question du "Qui va se faire qui?". En même temps il pouvait très bien s'adapter au beau blond, ayant déja pratiqué et aimé les deux côtés du sexe gay. Mais il aimerait pouvoir le dominer ne serait-ce qu'une fois ou deux, histoire de se sentir...important pour lui?
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Aidô vit Kurenai descendre immédiatement les yeux vers son sexe quand il se mit nu, à la facon dont le papillon se mordit la lèvre il comprit la réponse avant qu'il ne la formule. Une fois tout les deux nu, il se retrouva allonger sur le jeune homme sentant leur sexe durci par l'excitation et le désir frotter l'un contre l'autre, l'envie d'Aidô était à son maximum il désirait le papillon plus que tout. En cet instant lui non plus ne voulait pas le quitter mais il ignorait ce que pensais Kurenai de tout ça et il ne voulait pas lui faire peur en se montrant accro a lui. De plus il se sentait perturbé car en temps que Kakon il n'était pas habitué à de tels sentiments, d'ailleurs bon nombre de personne était convaincu que les Kakons n'avaient pas de coeur. Ce n'était pas faux mais Aidô n'était pas un pur Kakon et c'est ca qui le rendait différent des autres.
Kurenai se saisi à nouveau de son membre et le caressa à un rythme rapide, les sensations qu'il éprouvait étaient incroyable, il baissa la tête et se mit à gémir, exprimant le plaisir que lui procurait le papillon. Cependant Aidô se controlait, cela faisait longtemps qu'il voulait le papillon et il ne voulait pas jouir tout de suite à cause d'une main trop habile, or de question, il voulait prolonger ce moment et pouvoir gouter au corps de son amant.
"Tu me rend dingue"
Voilà qui était clair, oui Kurenai le rendait dingue, Aidô s'appuya sur un bras et saisie à son tour le membre de son compagnon se mettant lui aussi à le caresser avec envie. La main d'Aidô glissait sur le membre du papillon à un rythme lent profitant de la caresse. Ce membre durci lui faisait envie, Aidô était plutot un dominateur mais le beau papillon lui donnait envie de changer et de se laisser dominer, juste pour le plaisir de le sentir en lui. Aidô aussi avait pratiqué les deux coté de sexe gay, il préférait la domination, on ne se refait pas, mais aujourd'hui il était près à faire une exception. Les mains de Kurenai continuait de lui caresser les fesses et le corbeau lui souffla
"Mon corps te plait beaucoup on dirait et si tu en profitait jusqu'au bout en me prenant ?"
Kurenai se saisi à nouveau de son membre et le caressa à un rythme rapide, les sensations qu'il éprouvait étaient incroyable, il baissa la tête et se mit à gémir, exprimant le plaisir que lui procurait le papillon. Cependant Aidô se controlait, cela faisait longtemps qu'il voulait le papillon et il ne voulait pas jouir tout de suite à cause d'une main trop habile, or de question, il voulait prolonger ce moment et pouvoir gouter au corps de son amant.
"Tu me rend dingue"
Voilà qui était clair, oui Kurenai le rendait dingue, Aidô s'appuya sur un bras et saisie à son tour le membre de son compagnon se mettant lui aussi à le caresser avec envie. La main d'Aidô glissait sur le membre du papillon à un rythme lent profitant de la caresse. Ce membre durci lui faisait envie, Aidô était plutot un dominateur mais le beau papillon lui donnait envie de changer et de se laisser dominer, juste pour le plaisir de le sentir en lui. Aidô aussi avait pratiqué les deux coté de sexe gay, il préférait la domination, on ne se refait pas, mais aujourd'hui il était près à faire une exception. Les mains de Kurenai continuait de lui caresser les fesses et le corbeau lui souffla
"Mon corps te plait beaucoup on dirait et si tu en profitait jusqu'au bout en me prenant ?"
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Kurenai aimait observer le corps de ce charmant garçon qui faisait office de partenaire ce jour-là, il aimait caresser son torse, son membre, le voir frissonner à cette caresse. Il aimait l'embrasser, capturer ses lèvres, les mordiller. Et quand Aidô lui dit qu'il était fou de lui, Kurenai ne put que pousser un petit gémissement, autant pour les mots du corbeau que pour sa caresse. Il le faisait mousser en allant lentement, le papillon ralentissant un peu le rythme de sa main, n'ayant aucune envie de le voir jouir maintenant. En plus le corbeau lui proposait de se laisser prendre? Kurenai n'en revenait pas. Lui qui s'attendait plutôt à être pris mais il trouvait que c'était bien entendu une excellente surprise. Il embrassa le corbeau sans cesser ses caresses et lui fit un petit sourire coquin avant de descendre légèrement, jouant de sa langue de long de sa hampe.
Tu sais que je ne suis pas comme ça d'habitude? Je suis bien plus sauvage...il n'y a que avec toi que je me sens bien...
Pour une fois Kurenai était parfaitement sincère, ne ressentant nullement le besoin de mentir au Kakon car c'était vrai, il se sentait parfaitement détendu avec lui, prêt à donner le meilleur de lui même. Il continua sa fellation avec tendresse, s'appliquant du mieux qu'il le pouvait, ne cherchant qu'a le satisfaire avant de penser à lui même. Cela non plus ne lui ressemblait pas, lui qui ne voulait d'habitude que son propre plaisir. Mais être avec le corbeau avait tout chamboulé, tout détruit ce qu'il connaissait ou du moins...ce qu'il pensait savoir. Car il n'avait jamais été autant désiré que par ce dernier et c'était de plus la première fois que c'était aussi réciproque. Il voulait maintenant ne plus faire qu'un avec lui, faire corps, fusion, union enfin...tous les mots qui expriment une osmose parfaite. Il ne le voulait plus que pour lui, légèrement possessif le papillon mais tellement doux pour une fois. Il arrêta son action et remonta pour l'embrasser à nouveau, les yeux pétillants et le corps tremblotant...il se noyait dans les beaux yeux bleus de son corbeau, certain de ne plus vouloir que lui à présent.
Je te veux...que pour moi...à mes côtés...
Il venait de tout lui avouer, son côté Hikari reprenant à nouveau le dessus sur la perversité du Kakon qui restait tout de même sous-jacente, prête à ressortir pour aller faire sa fête au blondinet qui ne souhaitait que faire l'amour avec Kurenai. Rien qu'a cette pensée Kurenai n'en fut que plus excité.
Tu sais que je ne suis pas comme ça d'habitude? Je suis bien plus sauvage...il n'y a que avec toi que je me sens bien...
Pour une fois Kurenai était parfaitement sincère, ne ressentant nullement le besoin de mentir au Kakon car c'était vrai, il se sentait parfaitement détendu avec lui, prêt à donner le meilleur de lui même. Il continua sa fellation avec tendresse, s'appliquant du mieux qu'il le pouvait, ne cherchant qu'a le satisfaire avant de penser à lui même. Cela non plus ne lui ressemblait pas, lui qui ne voulait d'habitude que son propre plaisir. Mais être avec le corbeau avait tout chamboulé, tout détruit ce qu'il connaissait ou du moins...ce qu'il pensait savoir. Car il n'avait jamais été autant désiré que par ce dernier et c'était de plus la première fois que c'était aussi réciproque. Il voulait maintenant ne plus faire qu'un avec lui, faire corps, fusion, union enfin...tous les mots qui expriment une osmose parfaite. Il ne le voulait plus que pour lui, légèrement possessif le papillon mais tellement doux pour une fois. Il arrêta son action et remonta pour l'embrasser à nouveau, les yeux pétillants et le corps tremblotant...il se noyait dans les beaux yeux bleus de son corbeau, certain de ne plus vouloir que lui à présent.
Je te veux...que pour moi...à mes côtés...
Il venait de tout lui avouer, son côté Hikari reprenant à nouveau le dessus sur la perversité du Kakon qui restait tout de même sous-jacente, prête à ressortir pour aller faire sa fête au blondinet qui ne souhaitait que faire l'amour avec Kurenai. Rien qu'a cette pensée Kurenai n'en fut que plus excité.
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Aidô sentit Kurenai ralentir le rythme c'était beaucoup mieux comme ca car même s'il se controlait il serait arrivé un moment ou le plaisir aurait été le plus fort. Mais le papillon ne semblait pas vouloir l'épargner il descendit le long de son corps et se mit à le lécher avant de lui avouer qu'il n'y avait qu'avec lui qu'il était comme ca. Aidô s'en sentit flatté d'ailleurs c'était réciproque, le corbeau n'avait pas pour habitude d'etre doux et patient.
"C'est pareil pour moi, je ne suis pas aussi gentil d'habitude"
C'est vrai il n'est jamais aussi gentil, il était plutot adepte des rapport de force, il aimait dominer sa partenaire, oui "sa" car même s'il aimait aussi les hommes il était plus habitué à le faire avec des femmes, des femmes qu'il soumettait à ses moindre désir, des femmes qu'il utilisait comme jouet avant de les jetter. Même avec les hommes il aimait les utiliser avant de les jetter. Pour lui avoir une relation de couple, se stabiliser avec un partenaire unique n'avait aucun intêret du moins jusqu'a maintenant parce que à présent il se voyait bien rester avec Kurenai un bon moment. Le papillon déclenchait en lui des émotions qu'il ne connaissait pas, des emotions qu'il avait oublier depuis bien longtemps. Il aimait tout en lui : sa voix, sa facon de le toucher, de le caresser, son corps, son coté androgyne toutes sorte de petite chose qui donnait envie au corbeau de le protéger même s'il savait qu'il n'en avait pas besoin.
Lui aussi ressentait l'envie de ne faire qu'un avec son papillon, l'envie de l'avoir près de lui et de ne le partager avec personne. Etait-ce ça l'amour ? Etait-il tombé amoureux de se magnifique papillon qui l'avait envouté ? Sans qu'Aidô ne s'en rende compte Kurenai avait fait tomber les barrières de son coeur. Son père lui avait toujours dit que l'amour était une faiblesse mais en cet instant il se sentait au contraire plus fort près à tout affronter. Oui il aimait ce jeune homme si particulier, c'était impossible à expliquer mais il l'aimait il en était sur à présent et cela le chamboulait et déclenchait en lui d'autre émotion, l'espoir que ce soit réciproque, la peur que ce ne la soit pas. Kurenai vint l'embrasser et lui dit qu'il le voulait à ses cotés, le coeur d'Aidô rata un battement alors c'était réciproque ? Lui aussi il le voulait. Aidô se pencha et enfoui sa tête dans le cou de Kurenai, respirant doucement son odeur.
"Moi aussi je te veut à mes cotés, je me sent bien avec toi. Tu ne peut pas imaginer ce que tu provoque en moi. Je... je t'aime Ren"
Aidô se redressa, il venait d'ouvrir son coeur à quelqu'un pour la première fois et il se sentait bizarre, il plongea son regard dans celui de son amour, espérant qu'il n'aurais pas a regretter ses paroles.
"C'est pareil pour moi, je ne suis pas aussi gentil d'habitude"
C'est vrai il n'est jamais aussi gentil, il était plutot adepte des rapport de force, il aimait dominer sa partenaire, oui "sa" car même s'il aimait aussi les hommes il était plus habitué à le faire avec des femmes, des femmes qu'il soumettait à ses moindre désir, des femmes qu'il utilisait comme jouet avant de les jetter. Même avec les hommes il aimait les utiliser avant de les jetter. Pour lui avoir une relation de couple, se stabiliser avec un partenaire unique n'avait aucun intêret du moins jusqu'a maintenant parce que à présent il se voyait bien rester avec Kurenai un bon moment. Le papillon déclenchait en lui des émotions qu'il ne connaissait pas, des emotions qu'il avait oublier depuis bien longtemps. Il aimait tout en lui : sa voix, sa facon de le toucher, de le caresser, son corps, son coté androgyne toutes sorte de petite chose qui donnait envie au corbeau de le protéger même s'il savait qu'il n'en avait pas besoin.
Lui aussi ressentait l'envie de ne faire qu'un avec son papillon, l'envie de l'avoir près de lui et de ne le partager avec personne. Etait-ce ça l'amour ? Etait-il tombé amoureux de se magnifique papillon qui l'avait envouté ? Sans qu'Aidô ne s'en rende compte Kurenai avait fait tomber les barrières de son coeur. Son père lui avait toujours dit que l'amour était une faiblesse mais en cet instant il se sentait au contraire plus fort près à tout affronter. Oui il aimait ce jeune homme si particulier, c'était impossible à expliquer mais il l'aimait il en était sur à présent et cela le chamboulait et déclenchait en lui d'autre émotion, l'espoir que ce soit réciproque, la peur que ce ne la soit pas. Kurenai vint l'embrasser et lui dit qu'il le voulait à ses cotés, le coeur d'Aidô rata un battement alors c'était réciproque ? Lui aussi il le voulait. Aidô se pencha et enfoui sa tête dans le cou de Kurenai, respirant doucement son odeur.
"Moi aussi je te veut à mes cotés, je me sent bien avec toi. Tu ne peut pas imaginer ce que tu provoque en moi. Je... je t'aime Ren"
Aidô se redressa, il venait d'ouvrir son coeur à quelqu'un pour la première fois et il se sentait bizarre, il plongea son regard dans celui de son amour, espérant qu'il n'aurais pas a regretter ses paroles.
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Kurenai avait terminé sa caresse buccale et était à présent remonté près d'Aidô qu'il avait retrouvé frémissant et très tendre, plus encore qu'auparavant. Bien sur ce n'était pas déplaisant pour le papillon mais il se demanda ce que cela cachait. Il voyait le doute dans les yeux de son amant et une sorte....d'appréhension? Oui quelque chose se tramait et apparemment quelque chose d'important pour le corbeau, comme une décision qu'il pesait sur de fines balances. Kurenai de son côté continuait de l'embrasser et descendait fréquemment dans son cou pour lui déposer une petite léchouille ou une légère morsure. Le corbeau voulut prononcer quelque chose mais Kurenai l'en empêcha en l'embrassant car il n'avait pas vu ses lèvres bouger. Il ne s'en rendit compte qu'au contact et se décolla doucement en rougissant et en murmurant un simple "Gomen". Aidô reprit son souffle et lui dit d'une voix tout de même bien assurée qu'il l'aimait et qu'il le voulait avec lui. Autant sous l'effet de la surprise que de la joie, les ailes de Kurenai se déployèrent en grand, lui qui était à ce moment là au dessus, créant une sorte de voile sombre autour d'eux. Ses ailes, tout comme ses yeux, brillaient d'une lueur inhabituelle. Il plongea à nouveau son regard de braise dans celui couleur océan de son amant et se pencha pour l'embrasser, laissant tomber ses ailes déployées de chaque côté, les protégeant à la vue de quiconque et formant comme un cocon, une protection.
Ohhhhh...beau corbeau. Je suis très honoré de tes sentiments envers moi et je suis certain que tu te poses à présent des questions concernant les miens.
Il se pencha à nouveau et l'embrassa avec une douceur infinie, un baiser long et langoureux, un ballet de langue lent et sensitif. Kurenai voulait à jamais garder cette sensation, ce goût si particulier. Il voulait capturer l'essence de leur alchimie pour la conserver et la chérir. Il fit durer un maximum l'échange, le voulant aussi agréable pour lui que pour le kakon et recula très peu sa tête pour venir la poser près de son oreille et il glissa doucement sa langue à l'intérieur pour la caresser à son tour, ayant une légère envie soudaine, celle de le faire languir avant de lui répondre. Mais si à ses gestes le corbeau ne sentait pas qu'il se passait quelque chose c'était tout de même assez grave. Il cessa donc de le torturer et lui glissa au creux de l'oreille.
Je t'aime mon beau...je t'ai toujours aimé peut-être sans le savoir vraiment. Mais maintenant que le destin nous a réunis à nouveau...je ne veux plus te quitter et je veux faire partie de ta vie, passer la mienne à tes côtés.
Il se blottit dans ses bras, souriant comme il n'avait jamais sourit, se sentant enfin lui, enfin aimé, enfin fort. Car malgré la crainte qu'il inspire chez certaines personnes il n'avait jamais eu beaucoup de confiance en lui. Et ce manque il le cachait derrière sa froideur, sa violence. Toute sa carapace s'était brisé par la douceur du jeune homme, bon son physique avantageux aussi et sa persévérance. Oui car si Aidô n'avait pas proposé à Kurenai de venir, jamais ils n'auraient pu se déclarer. Quelle belle histoire...digne d'un conte de fée, les deux reclus d'une famille se retrouvant ensemble et s'aimant, bravant ainsi tous les dangers. Kurenai se sentait en sécurité près de lui, ou plutôt près de Lui. Oui Lui avec un grand L...celui qui le faisait avancer et qui le soutenait...mais une question subsistait dans l'esprit du papillon qui était pourtant malgré cela toujours aussi désireux du corps de son bel amant.
Mais...et tes esclaves? Qu'en diront t'ils? Cela leur paraîtra sûrement bizarre non?
Ohhhhh...beau corbeau. Je suis très honoré de tes sentiments envers moi et je suis certain que tu te poses à présent des questions concernant les miens.
Il se pencha à nouveau et l'embrassa avec une douceur infinie, un baiser long et langoureux, un ballet de langue lent et sensitif. Kurenai voulait à jamais garder cette sensation, ce goût si particulier. Il voulait capturer l'essence de leur alchimie pour la conserver et la chérir. Il fit durer un maximum l'échange, le voulant aussi agréable pour lui que pour le kakon et recula très peu sa tête pour venir la poser près de son oreille et il glissa doucement sa langue à l'intérieur pour la caresser à son tour, ayant une légère envie soudaine, celle de le faire languir avant de lui répondre. Mais si à ses gestes le corbeau ne sentait pas qu'il se passait quelque chose c'était tout de même assez grave. Il cessa donc de le torturer et lui glissa au creux de l'oreille.
Je t'aime mon beau...je t'ai toujours aimé peut-être sans le savoir vraiment. Mais maintenant que le destin nous a réunis à nouveau...je ne veux plus te quitter et je veux faire partie de ta vie, passer la mienne à tes côtés.
Il se blottit dans ses bras, souriant comme il n'avait jamais sourit, se sentant enfin lui, enfin aimé, enfin fort. Car malgré la crainte qu'il inspire chez certaines personnes il n'avait jamais eu beaucoup de confiance en lui. Et ce manque il le cachait derrière sa froideur, sa violence. Toute sa carapace s'était brisé par la douceur du jeune homme, bon son physique avantageux aussi et sa persévérance. Oui car si Aidô n'avait pas proposé à Kurenai de venir, jamais ils n'auraient pu se déclarer. Quelle belle histoire...digne d'un conte de fée, les deux reclus d'une famille se retrouvant ensemble et s'aimant, bravant ainsi tous les dangers. Kurenai se sentait en sécurité près de lui, ou plutôt près de Lui. Oui Lui avec un grand L...celui qui le faisait avancer et qui le soutenait...mais une question subsistait dans l'esprit du papillon qui était pourtant malgré cela toujours aussi désireux du corps de son bel amant.
Mais...et tes esclaves? Qu'en diront t'ils? Cela leur paraîtra sûrement bizarre non?
Invité
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Aidô se perdait dans le regard de braise de Kurenai, il se rendit compte qu'il en avait oublier de respirer décidemment ce garçon lui faisait beaucoup d'effet, peut être même trop mais Aidô s'en fichait. Kurenai ouvrit ses ailes avant de les reposer de chaque coté d'eux, les coupant du monde extérieur mais de toute facon Aidô avait oublier le monde extérieur depuis un bon moment, pour l'instant tout ce qui comptait c'était eux. Kurenai répondit de façon énigmatique faisant languir Aidô mais le baiser qu'il donna au corbeau laissait peu de doute quand a la réciprocité de ses sentiments en temps normal Aidô l'aurait très bien comprit mais là il n'était plus vraiment en état de penser normalement et la peur d'être rejetté subsistait au fond de lui.
Kurenai lui répondit enfin lui disant qu'il l'aimait et Aidô ferma les yeux, ce qu'il ressentait en cet instant était plus fort que tout, il passa ses bras autour du papillon serrant son corps contre le sien, il lui caressait doucement le dos et respirait sa douce odeur. Tout deux était la preuve qu'il ne fallait pas se fier à une apparence ou a un nom. Là Aidô n'avait pas besoin de tenir le role du méchant corbeau, il pouvait être doux, gentil, attentionné, calin... Il pensa un instant que son père serait fou s'il voyait ça mais la encore il s'en fichait tant qu'il avait Kurenai près de lui peu importait le reste. La priorité du corbeau avait longtemps été de devenir le chef de sa famille pour se faire enfin pleinement respecter mais à présent cela lui semblait secondaire.
Enfant Aidô et Kurenai s'étaient toujours entendu, ils se comprenaient très bien car ils étaient dans la même situation tout les deux, le fait d'être rejetté par les autres les avaient aussi rapproché mais la vie avait suivie son cour et ils étaient parti chacun de leur coté, Aidô savait qu'une autre chance ne se représenterais surement pas alors il ferait tout pour ne pas gacher celle là et peu importe les conséquences. Mais de toute façon il n'avait pas peur, Kurenai et lui étaient opposé mais complémentaire, Aidô avait la force physique, Kurenai la force mental, tant qu'ils seraient ensemble ils n'auraient rien à craindre.
Kurenai lui parla de ses esclaves voulant savoir ce qu'allait être leur réaction et Aidô eu un regard surprit pour lui leur opinion ne comptait pas mais comme ca avait l'air d'inquiéter son chéri il préféra lui répondre.
"De toute façon elles n'auront pas leur mot à dire, elles seront surement surprise mais elles s'y feront, elles sont trois, Tatsuki c'est une neko elle est très gentille, Ayu une neko aussi, une vrai rebelle qui passe son temps à vouloir me tuer et s'enfuir et elle déplace des objets par la pensée et enfin Cassy elle je ne la considère pas vraiment comme une esclave, elle est comme nous son père est un Kakon quand je l'ai vu enchainé au marché je l'ai prise car elle m'a fait penser à ce que j'aurais pu devenir. Tu n'a pas à t'inquiéter ca se passera bien"
Il embrassa doucement son chéri, il n'était pas du tout inquiet quand a ce qui allait se passer avec ses esclaves, elles l'accepteraient il en était sur et de toute façon elles n'avaient pas le choix, si elles ne l'aimaient pas et bien il trouverait bien à les revendre. Le choix ne se posait même pas, il pourrait vivre sans esclave mais plus sans Kurenai.
Ses mains glissèrent sur ses fesses le caressant tendrement puis l'une d'elle passa entre eux, allant saisir le sexe du papillon qu'il se mit à caresser. Aidô n'avait pas perdu son envie de faire l'amour à Kurenai bien au contraire, maintenant qu'il lui avait ouvert son coeur et qu'ils s'étaient tout deux révélé leur sentiments le corbeau avait encore plus envie de lui. Il fit basculer le papillon qui se retrouva de nouveau sur le lit ailes écartées, Aidô embrassa ses lèvres, puis son cou le mordillant au passage, avant de descendre sur son torse puis sur son ventre pour enfin arriver à son sexe qu'il prit doucement dans sa bouche, le sucant légèrement tout en le caressant de sa langue. Il n'avait jamais été adepte de ca mais là il en avait envie, simplement parce que c'était lui. Il ne voulait pas faire jouir Kurenai comme ca car il avait envie de l'avoir en lui mais la prochaine fois le papillon n'y echapperait pas. Au bout de quelques minutes de ce traitement Aidô se redressa et ouvrit un tiroir de sa table de nuit pour en sortir une petite bouteille qui pourrait bien leur être utile pour la suite.
Kurenai lui répondit enfin lui disant qu'il l'aimait et Aidô ferma les yeux, ce qu'il ressentait en cet instant était plus fort que tout, il passa ses bras autour du papillon serrant son corps contre le sien, il lui caressait doucement le dos et respirait sa douce odeur. Tout deux était la preuve qu'il ne fallait pas se fier à une apparence ou a un nom. Là Aidô n'avait pas besoin de tenir le role du méchant corbeau, il pouvait être doux, gentil, attentionné, calin... Il pensa un instant que son père serait fou s'il voyait ça mais la encore il s'en fichait tant qu'il avait Kurenai près de lui peu importait le reste. La priorité du corbeau avait longtemps été de devenir le chef de sa famille pour se faire enfin pleinement respecter mais à présent cela lui semblait secondaire.
Enfant Aidô et Kurenai s'étaient toujours entendu, ils se comprenaient très bien car ils étaient dans la même situation tout les deux, le fait d'être rejetté par les autres les avaient aussi rapproché mais la vie avait suivie son cour et ils étaient parti chacun de leur coté, Aidô savait qu'une autre chance ne se représenterais surement pas alors il ferait tout pour ne pas gacher celle là et peu importe les conséquences. Mais de toute façon il n'avait pas peur, Kurenai et lui étaient opposé mais complémentaire, Aidô avait la force physique, Kurenai la force mental, tant qu'ils seraient ensemble ils n'auraient rien à craindre.
Kurenai lui parla de ses esclaves voulant savoir ce qu'allait être leur réaction et Aidô eu un regard surprit pour lui leur opinion ne comptait pas mais comme ca avait l'air d'inquiéter son chéri il préféra lui répondre.
"De toute façon elles n'auront pas leur mot à dire, elles seront surement surprise mais elles s'y feront, elles sont trois, Tatsuki c'est une neko elle est très gentille, Ayu une neko aussi, une vrai rebelle qui passe son temps à vouloir me tuer et s'enfuir et elle déplace des objets par la pensée et enfin Cassy elle je ne la considère pas vraiment comme une esclave, elle est comme nous son père est un Kakon quand je l'ai vu enchainé au marché je l'ai prise car elle m'a fait penser à ce que j'aurais pu devenir. Tu n'a pas à t'inquiéter ca se passera bien"
Il embrassa doucement son chéri, il n'était pas du tout inquiet quand a ce qui allait se passer avec ses esclaves, elles l'accepteraient il en était sur et de toute façon elles n'avaient pas le choix, si elles ne l'aimaient pas et bien il trouverait bien à les revendre. Le choix ne se posait même pas, il pourrait vivre sans esclave mais plus sans Kurenai.
Ses mains glissèrent sur ses fesses le caressant tendrement puis l'une d'elle passa entre eux, allant saisir le sexe du papillon qu'il se mit à caresser. Aidô n'avait pas perdu son envie de faire l'amour à Kurenai bien au contraire, maintenant qu'il lui avait ouvert son coeur et qu'ils s'étaient tout deux révélé leur sentiments le corbeau avait encore plus envie de lui. Il fit basculer le papillon qui se retrouva de nouveau sur le lit ailes écartées, Aidô embrassa ses lèvres, puis son cou le mordillant au passage, avant de descendre sur son torse puis sur son ventre pour enfin arriver à son sexe qu'il prit doucement dans sa bouche, le sucant légèrement tout en le caressant de sa langue. Il n'avait jamais été adepte de ca mais là il en avait envie, simplement parce que c'était lui. Il ne voulait pas faire jouir Kurenai comme ca car il avait envie de l'avoir en lui mais la prochaine fois le papillon n'y echapperait pas. Au bout de quelques minutes de ce traitement Aidô se redressa et ouvrit un tiroir de sa table de nuit pour en sortir une petite bouteille qui pourrait bien leur être utile pour la suite.
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Le corbeau avait entendu la question de Kurenai et lui avait répondu naturellement, qu'il serait accepté par ses esclaves et qu'il n'avait donc pas à s'en faire de côté là. En fait Kurenai s'en fichait un peu au fond mais tant à vivre avec son chéri autant que ce soit dans une bonne ambiance. Et qu'ils ne soient pas embêtés... Il avait ainsi put découvrir qu'une autre télépathe habitait dans le manoir ce qui l'étonna légèrement, il pensait en effet que ce don là n'était pas très répandu en dehors de la race des Hikari. Mais il s'était trompé...cela voulait t'il dire qu'Aidô aurait donc moins besoin de lui? Non sûrement pas. Ils s'aimaient et s'était le principal.
Ah une télékinésiste? Quelle coïncidence...comme tu dois le savoir je le suis aussi.
Au niveau de la famille le papillon ne craignait pas de réactions de son père vu qu'il l'avait perdu de vue depuis un moment. Et puis sa mère...elle était morte alors elle ne pourrait rien dire même si Kurenai était sûre qu'elle l'aurait soutenu, qu'elle n'aurait voulu que son bonheur même si cela signifiait être avec un corbeau. Mais Aidô n'était pas un corbeau comme les autres, non il était bien plus doux, plus gentil. Et surtout il était à Kurenai maintenant autant que ce dernier était à lui. Il se mit à soupirer légèrement en sentant le blond le caresser à nouveau et surtout il rougit quand il se sentit à nouveau plaqué contre le lit. Il profita du baiser qu'il tenta de rendre le plus ardent possible et gémit en le sentant parcourir son corps de ses lèvres douces et tendres, faiblement pour ne pas éveiller les soupçons mais assez fort pour qu'il soit sûr d'être entendu par son partenaire. Et il sourit quand il sentit Aidô le prendre en bouche, profitant du moment et de la posture actuelle. Il lui faisait un tel effet et le comblait littéralement de plaisir, Kurenai en frémissait, ne pouvant pas se retenir d'apprécier. Il passa tendrement sa main dans ses cheveux soyeux, se mordant la lèvre et le regardant faire, observant son dos musclé remuer au rythme de ses mouvements, fasciné. Le corbeau le libéra de cette étreinte et se releva, attrapant une petit fiole dans sa table de nuit. Le sourire du papillon se figea, étiré du bout à l'autre de ses lèvres/ Il le regarda intensément et lui fit un clin d'oeil.
Tu es sur que c'est ce que tu veux mon amour? Car je te veux mais il ne faut pas que cela te gêne.
Bien sur le papillon ne s'attendait pas à être repoussé loin de là mais en même temps il ne voulait pas le brusquer. Les actes du corbeau le rassurèrent tout de même sur ce point et Kurenai se redressa en position assise pour le réceptionner à nouveau près de lui. Il se demandait comment la suite alalit se dérouler mais se trouvait plutôt confiant quant à cela. En efet tout se passait naturellement bien entre les deux personnes depuis le début alors il ne voyait pas pourquoi ce serait différent à présent. Ils s'aimaient et étaient donc capables de se comprendre quasiment sans se parler maintenant, cela sans toutefois parler des visions que Kurenai pouvoait lui envoyer bien entendu. Non, un simple regard et ils savaient ce qu'ils voulaient. Etait-ce ça l'amour? En tout cas c'était une sensation vraiment agréale pour le papillon qui regarda la bouteille l'air de dire "Le produit ne va pas s'appliquer tout seul...je le fais ou tu le fais?". Il aimait voir Aidô diriger les choses et serait très honoré si c'était lui qui lui mettait le lubrifiant sur le sexe. Cependant il eut la présence d'esprit de commencer à bouger et à le mettre sur le ventre, s'agenouillant derrière lui pour venir le titiller de sa langue, entamant la lubrification de son orifice. Il s'amusa à le faire languir en jouant de sa langue près de son trou et commença même à la rentrer un peu pour le chatouiller.
J'espère que cela te convient et te plaît...mon...chéri...
Il avait eu du mal à prononcer les derniers mots, n'étant pas habitué à les dire à quelqu'un et se mit à rougir sur le coup, se perdant dans la caresse qu'il offrait à son amour, ne voulant pas s'expliquer sur son coup de chaud.
Ah une télékinésiste? Quelle coïncidence...comme tu dois le savoir je le suis aussi.
Au niveau de la famille le papillon ne craignait pas de réactions de son père vu qu'il l'avait perdu de vue depuis un moment. Et puis sa mère...elle était morte alors elle ne pourrait rien dire même si Kurenai était sûre qu'elle l'aurait soutenu, qu'elle n'aurait voulu que son bonheur même si cela signifiait être avec un corbeau. Mais Aidô n'était pas un corbeau comme les autres, non il était bien plus doux, plus gentil. Et surtout il était à Kurenai maintenant autant que ce dernier était à lui. Il se mit à soupirer légèrement en sentant le blond le caresser à nouveau et surtout il rougit quand il se sentit à nouveau plaqué contre le lit. Il profita du baiser qu'il tenta de rendre le plus ardent possible et gémit en le sentant parcourir son corps de ses lèvres douces et tendres, faiblement pour ne pas éveiller les soupçons mais assez fort pour qu'il soit sûr d'être entendu par son partenaire. Et il sourit quand il sentit Aidô le prendre en bouche, profitant du moment et de la posture actuelle. Il lui faisait un tel effet et le comblait littéralement de plaisir, Kurenai en frémissait, ne pouvant pas se retenir d'apprécier. Il passa tendrement sa main dans ses cheveux soyeux, se mordant la lèvre et le regardant faire, observant son dos musclé remuer au rythme de ses mouvements, fasciné. Le corbeau le libéra de cette étreinte et se releva, attrapant une petit fiole dans sa table de nuit. Le sourire du papillon se figea, étiré du bout à l'autre de ses lèvres/ Il le regarda intensément et lui fit un clin d'oeil.
Tu es sur que c'est ce que tu veux mon amour? Car je te veux mais il ne faut pas que cela te gêne.
Bien sur le papillon ne s'attendait pas à être repoussé loin de là mais en même temps il ne voulait pas le brusquer. Les actes du corbeau le rassurèrent tout de même sur ce point et Kurenai se redressa en position assise pour le réceptionner à nouveau près de lui. Il se demandait comment la suite alalit se dérouler mais se trouvait plutôt confiant quant à cela. En efet tout se passait naturellement bien entre les deux personnes depuis le début alors il ne voyait pas pourquoi ce serait différent à présent. Ils s'aimaient et étaient donc capables de se comprendre quasiment sans se parler maintenant, cela sans toutefois parler des visions que Kurenai pouvoait lui envoyer bien entendu. Non, un simple regard et ils savaient ce qu'ils voulaient. Etait-ce ça l'amour? En tout cas c'était une sensation vraiment agréale pour le papillon qui regarda la bouteille l'air de dire "Le produit ne va pas s'appliquer tout seul...je le fais ou tu le fais?". Il aimait voir Aidô diriger les choses et serait très honoré si c'était lui qui lui mettait le lubrifiant sur le sexe. Cependant il eut la présence d'esprit de commencer à bouger et à le mettre sur le ventre, s'agenouillant derrière lui pour venir le titiller de sa langue, entamant la lubrification de son orifice. Il s'amusa à le faire languir en jouant de sa langue près de son trou et commença même à la rentrer un peu pour le chatouiller.
J'espère que cela te convient et te plaît...mon...chéri...
Il avait eu du mal à prononcer les derniers mots, n'étant pas habitué à les dire à quelqu'un et se mit à rougir sur le coup, se perdant dans la caresse qu'il offrait à son amour, ne voulant pas s'expliquer sur son coup de chaud.
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Aidô se souvenait parfaitement que son chéri était télékinésiste et qu'il provoquait des visions, il n'en avait jamais eu peur mais avait toujours trouvé ca intriguant étant peut être un peu jaloux mais c'était il y a longtemps même si aujourd'hui encore il était conscient que Kurenai lui était grace à cela largement supérieur.
"Oui je m'en souviens mais tu es bien plus puissant qu'elle mon coeur et puis au moins toi tu n'essaie pas de me tuer avec tes pouvoirs"
Le corbeau sentit ensuite son chéri frémir et gémir sous sa bouche, Aidô tachait de rendre ce moment inoubliable pour eux deux, il était vraiment bien avec son chéri, aimer et être aimé, qu'y avait-il de plus agréable. Il était vraiment heureux, il aimait cette sensation, savoir qu'il ne serais jamais seul et qu'il aurait quelqu'un avec qui il pourrait être naturel sans avoir un role à jouer, quelqu'un qui l'aimait vraiment, qui l'aimait comme il était. C'était si soudain qu'il était un peu déboussolé par ce qu'il ressentait mais il espérait que ca n'allait pas s'arreter.
Ca aussi c'était nouveau, la peur de perdre Ren, d'habitude il n'avait que des partenaires temporaires dont il se lassait vite et qu'il quittait mais là il ne voulait pas que ca s'arrete. Mais... et s'il se lassait la aussi ? Non ca n'arriverait pas, pas là, jamais il ne pourrait se lasser de son papillon, de sa bouche, de son corps, de ses caresses, de lui tout simplement. Il espérait que c'était réciproque leur relation n'en était qu'au début et pourtant il l'envisageait déjà sur le long terme. Ren lui demanda s'il était sur d'avoir envie, ramenant Aidô à la réaliter, il trouva son chéri adorable de se préoccuper de ça et pressa ses lèvres sur les siennes.
"oui je te veut Ren, j'en suis sur"
C'est vrai qu'il préférait endosser le role du dominant plutot que celui du dominé mais là c'était différent, ce n'était pas juste une histoire de sexe, c'était de l'amour. Aidô n'avait pas envie de se laisser faire parce qu'il voulait se faire prendre, il en avait envie parce que c'était lui, parce que c'était Ren tout simplement.
Il se laissa allonger sur le ventre et poussa un cri en sentant la langue de Ren venir le lécher, tout son corps trembla et il s'aggripa au drap, fermant les yeux. Ren continuait de le lécher et Aidô gémissait, exprimant son plaisir à ressentir cette caresse, il aimait ca, c'était étrange à dire mais il aimait ça et cette caresse lui donnait envie de plus, de beaucoup plus.
"Ho... Ren..."
Il ne put rien dire d'autre mais était ce vraiment nécessaire ? Il prenait du plaisir et cela se voyait, à présent il avait terriblement envi de sentir son papillon venir se glisser en lui
"Oui je m'en souviens mais tu es bien plus puissant qu'elle mon coeur et puis au moins toi tu n'essaie pas de me tuer avec tes pouvoirs"
Le corbeau sentit ensuite son chéri frémir et gémir sous sa bouche, Aidô tachait de rendre ce moment inoubliable pour eux deux, il était vraiment bien avec son chéri, aimer et être aimé, qu'y avait-il de plus agréable. Il était vraiment heureux, il aimait cette sensation, savoir qu'il ne serais jamais seul et qu'il aurait quelqu'un avec qui il pourrait être naturel sans avoir un role à jouer, quelqu'un qui l'aimait vraiment, qui l'aimait comme il était. C'était si soudain qu'il était un peu déboussolé par ce qu'il ressentait mais il espérait que ca n'allait pas s'arreter.
Ca aussi c'était nouveau, la peur de perdre Ren, d'habitude il n'avait que des partenaires temporaires dont il se lassait vite et qu'il quittait mais là il ne voulait pas que ca s'arrete. Mais... et s'il se lassait la aussi ? Non ca n'arriverait pas, pas là, jamais il ne pourrait se lasser de son papillon, de sa bouche, de son corps, de ses caresses, de lui tout simplement. Il espérait que c'était réciproque leur relation n'en était qu'au début et pourtant il l'envisageait déjà sur le long terme. Ren lui demanda s'il était sur d'avoir envie, ramenant Aidô à la réaliter, il trouva son chéri adorable de se préoccuper de ça et pressa ses lèvres sur les siennes.
"oui je te veut Ren, j'en suis sur"
C'est vrai qu'il préférait endosser le role du dominant plutot que celui du dominé mais là c'était différent, ce n'était pas juste une histoire de sexe, c'était de l'amour. Aidô n'avait pas envie de se laisser faire parce qu'il voulait se faire prendre, il en avait envie parce que c'était lui, parce que c'était Ren tout simplement.
Il se laissa allonger sur le ventre et poussa un cri en sentant la langue de Ren venir le lécher, tout son corps trembla et il s'aggripa au drap, fermant les yeux. Ren continuait de le lécher et Aidô gémissait, exprimant son plaisir à ressentir cette caresse, il aimait ca, c'était étrange à dire mais il aimait ça et cette caresse lui donnait envie de plus, de beaucoup plus.
"Ho... Ren..."
Il ne put rien dire d'autre mais était ce vraiment nécessaire ? Il prenait du plaisir et cela se voyait, à présent il avait terriblement envi de sentir son papillon venir se glisser en lui
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Kurenai sentait son chéri frémir sous sa caresse et c'était la première fois qu'il était si hereux de l'effet qu'il faisait à un homme. Il se préoccupait autant du corbeau que de lui-même. Il se sentait bizarre en même temps, bien et détendu, complétement vulnérable face à ce blond si troublant. Si c'était ça l'amour alors il était content d'avoir eu le temps de s'amuser avant de tomber amoureux car il sentait que maintenant il était lié à Aidô et qu'il ne souhaitait bizarrement pas être infidèle. Non il ne le voulait que pour lui alors il ne s'offrirait dorénavant qu'a lui. Il sourit à cette idée d'un partenaire unique et à long terme. Il avait envie de construire quelque chose de solide avec son partenaire Kakon et il décida qu'il lui en parlerait après, ne voulant pas gâcher leur première fois à tous les eux qui devait être la plus merveilleuse possible. Il continua donc ses va-et-vient de sa langue et se redressa peu après, saisissant la petite fiole. Il se mit délicatement du produit sur le doigt et commença à l'entrer à l'intérieur de son chéri et lui caressant le dos de l'autre main, passant autour de la base de ses ailes tendrement pour ne pas lui faire mal. Kurenai sentit à ce moment qu'Aidô n'avait pas souvent été pris car il était assez serré. Une question s'imposa à son esprit et sa langue le brûla tellement qu'il ne put s'empêcher de la poser.
Dis moi mon amour...tu es vierge?
Kurenai en avait dépucelé des petits minets mais là s'était différent. Non c'était celui qu'il aimait alors si jamais c'était sa première fois il ne se conduirait pas comme un bourrin, ce qu'il faisait d'habitude. Non il avait envie que cela se passe le mieux possible et lorsqu'il entendit la réponse de son chéri, ses épaules s'afaissèrent de soulagement. Il décida de ne pas revenir sur le sujet, ne voulant pas le froisser et lui souffla juste légèrement à l'oreille sans cesser de le fouiller du doigt.
Je te demande car même si tu as été avec des garçons tu aurais pu être seulement actif...personnellement j'ai déja fait les deux et j'aime les deux.
Il sortit à ce moment son doigt et passa doucement sa langue sur son dos le temps de revenir à une position droire. Il saisit la fiole et appliqua le produit sur son sexe avec sa main, en se masturbant légèrement. Il avait abandonné 'idée que ce soit Aidô qui le fasse, mais il n'y couperait pas les fois suivantes, Non il n'avait pas eu envie de le bouger d'avantage vu qu'il était déja dans la bonne position. Il se rapprocha et frotta doucement son sexe contre l'orifice de son chéri, s'amusant à le faire languir encore un peu. Il voyait que le corbeau le voulait et n'attendait au final que ça alors il en jouait, voulant tendre son désir et le faire atteindre son paroxysme. Quand il le sentit vraiment au bord de le supplier, le papillon entra lentement en lui, allant le plus loin possible avec delicatesse et se couchant sur lui par le même occasion, déposant des baisers dans son cou alors qu'il faisait la me^me manoeuvre mais en sens nverse. Il respirait vraiment plus fort maintenant et gémissait faiblement, assez à l'étroit dans l'anus de son ange qui était divin. Les gémissements de son corbeau l'encouageaiient et il entama une série de va-et-vient, lents au début puis de plus en plus rapide une fois qu'il le sentit plus dilaté. Il se mit alors à chercher un bon rythme, celui qui leur permettrait de prendre du plaisir sans jouir trp vite. A mesure de l'effort des gouttes de susuer commençèrent à perler tout le long du corps de Jurenai, collé à celui d'Aidô.
Han...je t'aime toi...c'est tellement agréable...
Sa voix se faisait murmure pour contraster avec ses gémissements qui se faisaient mainenant un peu plus sonores. Il esoérait que personne n'entrezrait à ce moment-là. Pas pour lui spécialement mais pour son corbeau car Ren ne voulait pas que ce dernier se fasse prendre, c'est le cas de le dire, en train de se faire prendre. Cela serait sûrement honteux pour lui devant ses esclaves qu'il était censé dominer...
Dis moi mon amour...tu es vierge?
Kurenai en avait dépucelé des petits minets mais là s'était différent. Non c'était celui qu'il aimait alors si jamais c'était sa première fois il ne se conduirait pas comme un bourrin, ce qu'il faisait d'habitude. Non il avait envie que cela se passe le mieux possible et lorsqu'il entendit la réponse de son chéri, ses épaules s'afaissèrent de soulagement. Il décida de ne pas revenir sur le sujet, ne voulant pas le froisser et lui souffla juste légèrement à l'oreille sans cesser de le fouiller du doigt.
Je te demande car même si tu as été avec des garçons tu aurais pu être seulement actif...personnellement j'ai déja fait les deux et j'aime les deux.
Il sortit à ce moment son doigt et passa doucement sa langue sur son dos le temps de revenir à une position droire. Il saisit la fiole et appliqua le produit sur son sexe avec sa main, en se masturbant légèrement. Il avait abandonné 'idée que ce soit Aidô qui le fasse, mais il n'y couperait pas les fois suivantes, Non il n'avait pas eu envie de le bouger d'avantage vu qu'il était déja dans la bonne position. Il se rapprocha et frotta doucement son sexe contre l'orifice de son chéri, s'amusant à le faire languir encore un peu. Il voyait que le corbeau le voulait et n'attendait au final que ça alors il en jouait, voulant tendre son désir et le faire atteindre son paroxysme. Quand il le sentit vraiment au bord de le supplier, le papillon entra lentement en lui, allant le plus loin possible avec delicatesse et se couchant sur lui par le même occasion, déposant des baisers dans son cou alors qu'il faisait la me^me manoeuvre mais en sens nverse. Il respirait vraiment plus fort maintenant et gémissait faiblement, assez à l'étroit dans l'anus de son ange qui était divin. Les gémissements de son corbeau l'encouageaiient et il entama une série de va-et-vient, lents au début puis de plus en plus rapide une fois qu'il le sentit plus dilaté. Il se mit alors à chercher un bon rythme, celui qui leur permettrait de prendre du plaisir sans jouir trp vite. A mesure de l'effort des gouttes de susuer commençèrent à perler tout le long du corps de Jurenai, collé à celui d'Aidô.
Han...je t'aime toi...c'est tellement agréable...
Sa voix se faisait murmure pour contraster avec ses gémissements qui se faisaient mainenant un peu plus sonores. Il esoérait que personne n'entrezrait à ce moment-là. Pas pour lui spécialement mais pour son corbeau car Ren ne voulait pas que ce dernier se fasse prendre, c'est le cas de le dire, en train de se faire prendre. Cela serait sûrement honteux pour lui devant ses esclaves qu'il était censé dominer...
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Aidô continuait de gémir doucement sous la langue de Ren, il aimait la façon qu'il avait de le lécher, c'était si bon. Il le sentit s'arreter et se relever, le corbeau tourna la tête et le vit mettre du produit sur son doigt, il se mordit légèrement la lèvre en comprenant ce qu'il allait faire mais ne put retenir un léger cri en sentant le doigt de son chéri entrer en lui. L'autre main de Ren lui caressait le dos lui arrachant des frissons de plaisir. Il s'était rarement fait prendre et il était du coup assez serré, à cause de cela il sentait particulièrement bien le doigt en lui ce qui continuait de le faire gémir. D'ailleurs Ren le sentit et lui demanda s'il était vierge, Aidô lui répondit que non. Il l'avait déjà fait mais pas souvent cependant il avait aimé ça. Il avait rarement pratiqué uniquement parce qu'il préférait largement dominer c'était dans son caractère, là c'était différent parce qu'il ne se sentait pas supérieur à Ren. Il considérait son amour comme son égal, chose très rare, aujourd'hui c'était lui qui se faisait prendre mais la prochaine fois on verrait bien.
Ren lui murmura qu'il avait fait et aimé les deux, voilà une chose interessante car Aidô comptait bien lui aussi prendre son amour. Il sentait son doigt continuer à le fouiller et ne pouvait s'empecher de gémir de bonheur, mais Ren finit par le retirer et il reprit la fiole, appliquant le produit sur son sexe. Aidô eu un léger cri en sentant Ren venir frotter son sexe contre son orifice, il le voulait mais le papillon semblait vouloir le faire languir, c'était affreux comme torture, Aidô ne put s'empecher de bouger les fesses et lacha un cri de frustration, il le voulait en lui, il en mourrait d'envie.
Son chéri dut décider que la torture avait assez duré car il entra en lui, doucement, lentement, lui laissant le temps de s'habituer à la sensation, il se coucha sur lui l'embrassant dans le cou, ce qui déclancha une vague de frisson chez le corbeau, Ren commenca à un rythme lent pour accélérer au bout de quelques minutes, Aidô gémissait plus fort, il aimait ça. Il se faisant prendre avec plaisir, c'était tellement bon, meilleur que ce qu'il avait déjà connu, surement parce qu'ils s'aimaient. Leurs gémissements devenaient sonore mais Aidô n'était pas inquiet car ses esclaves avaient interdiction de rentrer dans sa chambre sans y être invitée, ils ne serraient pas dérangés, au pire elles les entendraient mais elles ne pourraient pas en déduire qui faisait quoi, de toute façon ce n'était pas leurs affaires.
"Je t'aime chéri"
Aidô le lui avait soufflé à voix basse entre deux gémissements, il aimait son papillon, il n'aurait jamais cru trouver l'amour auprès d'un autre homme mais cela ne le gênait pas, d'ailleurs il n'aurait jamais cru trouver l'amour tout court, auprès de qui que ce soit. Le rythme qu'avait adopté Ren lui plaisait, lui procurant énormément de plaisir, il sentait le corps de son chéri contre lui et il continuait à gémir.
Ren lui murmura qu'il avait fait et aimé les deux, voilà une chose interessante car Aidô comptait bien lui aussi prendre son amour. Il sentait son doigt continuer à le fouiller et ne pouvait s'empecher de gémir de bonheur, mais Ren finit par le retirer et il reprit la fiole, appliquant le produit sur son sexe. Aidô eu un léger cri en sentant Ren venir frotter son sexe contre son orifice, il le voulait mais le papillon semblait vouloir le faire languir, c'était affreux comme torture, Aidô ne put s'empecher de bouger les fesses et lacha un cri de frustration, il le voulait en lui, il en mourrait d'envie.
Son chéri dut décider que la torture avait assez duré car il entra en lui, doucement, lentement, lui laissant le temps de s'habituer à la sensation, il se coucha sur lui l'embrassant dans le cou, ce qui déclancha une vague de frisson chez le corbeau, Ren commenca à un rythme lent pour accélérer au bout de quelques minutes, Aidô gémissait plus fort, il aimait ça. Il se faisant prendre avec plaisir, c'était tellement bon, meilleur que ce qu'il avait déjà connu, surement parce qu'ils s'aimaient. Leurs gémissements devenaient sonore mais Aidô n'était pas inquiet car ses esclaves avaient interdiction de rentrer dans sa chambre sans y être invitée, ils ne serraient pas dérangés, au pire elles les entendraient mais elles ne pourraient pas en déduire qui faisait quoi, de toute façon ce n'était pas leurs affaires.
"Je t'aime chéri"
Aidô le lui avait soufflé à voix basse entre deux gémissements, il aimait son papillon, il n'aurait jamais cru trouver l'amour auprès d'un autre homme mais cela ne le gênait pas, d'ailleurs il n'aurait jamais cru trouver l'amour tout court, auprès de qui que ce soit. Le rythme qu'avait adopté Ren lui plaisait, lui procurant énormément de plaisir, il sentait le corps de son chéri contre lui et il continuait à gémir.
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Le papillon continuait ses mouvements sur et dans son chéri, contre lui. Il ne retenait plus ses gémissements, se disant que si son corbeau lui même ne faisait pas plus attention il ne voyait aucune raison de lui se modérer. Avec tous ces efforts son corps se couvrait petit à petit d'un léger voile de transpiration mais cela ne l'inquiètetait nullement, il savait que sa sudaiton ne sentait pas fort et était donc pas dérangeante. Il savait aussi que la transpiration excitait souvent ceux qui faisaient l'amour en s'aimant, une histoire de phéromones et tout ça... OUi il avait mis le doigt sur le terme approprié et le pourquoi tout cela lui paraissait si nouveau si étrange. Il ne baisait pas comme Ren en avait l'habitude mais ils faisaient l'amour avec une ardeur et une passion qu'il n'avais jusqu'a présent jamais connues, jamais ressenties. Il se sentait particulièrement bien et avait à présent envie de jouer, de séduire encore et encore le corbeau.
Il attrapa ses épaules et le tira doucement en arrière, les faisant basculer en position quasi-assise, le corbeau toujours empalé sur lui, son dos contre le torse du papillon. Ce dernier poussa un petit gémissement un peu plus sonore lors du mouvement qui l'enfonça plus profondément dans l'antre du corbeau et il se mit à caresser son dos, de ses mains et de sa langue qui se faisait très curieuse ces derniers temps.
J'adore ta peau, tes yeux, tes cheveux, tes ailes...
Il s'était adressé à lui d'une voix suave, très mâle. Il s'arrêta cependant pour gémir à nouveau, continuant de bouger son bassin alors que maintenant c'était plus Aidô qui dirigeait la pénétration. Il lui faisait ressentir tellement de choses rien qu'en posant son regard sur lui, sans rien dire, sans rien faire, juste être à ses côtés. Il est vrai que c'était déroutant mais nullement dérangeant. Kurenai adorait ça et aimait...l'aimer. Pour une fois il serait heureux de se laisser dominer par un homme, car même s'il le faisait par habitude c'était surtout par pure lassitude, choississant le rôle où il y avait dans un sens le moins d'efforts à faire. Mais là il sentait qu'il ne serait pas si passif que ça s'il endossait ce rôle. Il n'avait besoin d'aucun artifice pour lui plaire et en éait ravi. De plus il acceptait son côté androgyne et semblait même l'apprécier ce qui était rare chez les hommes et encore plus chez les Kakon. Il avait là en face de lui un spécimen unique et diablement parfait à ses yeux.
Tu es...vraiment unique mon chéri...
Il attrapa ses épaules et le tira doucement en arrière, les faisant basculer en position quasi-assise, le corbeau toujours empalé sur lui, son dos contre le torse du papillon. Ce dernier poussa un petit gémissement un peu plus sonore lors du mouvement qui l'enfonça plus profondément dans l'antre du corbeau et il se mit à caresser son dos, de ses mains et de sa langue qui se faisait très curieuse ces derniers temps.
J'adore ta peau, tes yeux, tes cheveux, tes ailes...
Il s'était adressé à lui d'une voix suave, très mâle. Il s'arrêta cependant pour gémir à nouveau, continuant de bouger son bassin alors que maintenant c'était plus Aidô qui dirigeait la pénétration. Il lui faisait ressentir tellement de choses rien qu'en posant son regard sur lui, sans rien dire, sans rien faire, juste être à ses côtés. Il est vrai que c'était déroutant mais nullement dérangeant. Kurenai adorait ça et aimait...l'aimer. Pour une fois il serait heureux de se laisser dominer par un homme, car même s'il le faisait par habitude c'était surtout par pure lassitude, choississant le rôle où il y avait dans un sens le moins d'efforts à faire. Mais là il sentait qu'il ne serait pas si passif que ça s'il endossait ce rôle. Il n'avait besoin d'aucun artifice pour lui plaire et en éait ravi. De plus il acceptait son côté androgyne et semblait même l'apprécier ce qui était rare chez les hommes et encore plus chez les Kakon. Il avait là en face de lui un spécimen unique et diablement parfait à ses yeux.
Tu es...vraiment unique mon chéri...
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Les gémissements de Kurenai se faisaient plus fort, à présent lui non plus ne se retenait plus et ces gémissements excitaient Aidô d'avantage. Les gémissements de son chéri, ses va et vient, sentir leur corps se frotter tout cela l'excitait, c'était tellement différent de la baise qu'il avait l'habitude de pratiquer, tellement différent et tellement mieux. Il prenait du plaisir à ce rapport plus qu'il n'en avait jamais prit que ce soit avec un homme ou une femme, c'était si étrange comme sensation, pouvoir se laisser aller et seulement profiter du moment présent sans avoir un role à jouer. Ren voyait une facette de lui que personne n'avait jamais vu, son coté tendre, doux, amoureux. Il se sentait d'ordinaire toujours obligé de se montrer méchant car comme son père lui avait toujours dit les gentils sont des faibles mais il ne se sentait pas en position de faiblesse face à son chéri, il se sentait bien.
Ren l'attira en arrière, l'attrapant par les épaules, Aidô lacha lui aussi un léger cri en sentant son papillon s'enfoncer plus profondément en lui, il sentait ses mains et sa langue sur lui et ca le faisait frémir. Ren lui parla d'une voie très suave qui lui déclencha des frissons, Aidô aussi aimait tout chez Ren, ses magnifique yeux rouge qui contrastait à merveille avec ses cheveux noir, sa peau douce et lisse, sa voie suave qui le faisait frémir, sa façon de se mordre la lèvre, toute sorte de petits détails qui rendait le papillon irresistible à ses yeux. De part leur nouvelle position c'était maintenant Aidô qui controlait le rythme de la pénétration mais il n'accéléra pas, il voulait profiter le plus longtemps possible de ce rapport si tendre.
Aidô gémissait de plaisir la prochaine fois ce serais lui qui prendrait Ren mais là aussi ce sera très différent de ses habitudes, il était tellement habitué à ne penser qu'a son propre plaisir, à être brutal mais il voulait autre chose avec son amour, il serait tendre avec lui, essayant de lui donner autant de plaisir qu'il en prenait actuellement. Il renversa sa tête en arrière la posant sur l'épaule de Ren, ses yeux étaient fermés tandis qu'il faisait des va et vient sur le sexe de son chéri.
"Toi aussi tu es unique"
L'apparence de Ren pouvait choquée certaines personne, il est vrai qu'il était souvent difficile de savoir s'il était une fille ou un garçon mais Aidô n'avait aucun problème avec ça. Au contraire il aimait son apparence androgyne, ils formaient un couple vraiment atypique tout les deux mais c'était aussi ca qui les rapprochaient, ils étaient différents des autres, tout les deux unique en leur genre.
Aidô avait légèrement augmenter le rythme, gémissant plus fort, une partie de lui avait envie de jouir et une autre partie aurait voulu que ce moment ne s'arrete jamais, c'était impossible mais il se sentait tellement bien en cet instant, cependant il n'avait pas à s'inquiéter après tout lui et Ren s'aimaient ce moment était donc loin d'être le dernier, c'était au contraire le premier d'une longue série de merveilleux moment qu'ils passeraient ensembles.
Ren l'attira en arrière, l'attrapant par les épaules, Aidô lacha lui aussi un léger cri en sentant son papillon s'enfoncer plus profondément en lui, il sentait ses mains et sa langue sur lui et ca le faisait frémir. Ren lui parla d'une voie très suave qui lui déclencha des frissons, Aidô aussi aimait tout chez Ren, ses magnifique yeux rouge qui contrastait à merveille avec ses cheveux noir, sa peau douce et lisse, sa voie suave qui le faisait frémir, sa façon de se mordre la lèvre, toute sorte de petits détails qui rendait le papillon irresistible à ses yeux. De part leur nouvelle position c'était maintenant Aidô qui controlait le rythme de la pénétration mais il n'accéléra pas, il voulait profiter le plus longtemps possible de ce rapport si tendre.
Aidô gémissait de plaisir la prochaine fois ce serais lui qui prendrait Ren mais là aussi ce sera très différent de ses habitudes, il était tellement habitué à ne penser qu'a son propre plaisir, à être brutal mais il voulait autre chose avec son amour, il serait tendre avec lui, essayant de lui donner autant de plaisir qu'il en prenait actuellement. Il renversa sa tête en arrière la posant sur l'épaule de Ren, ses yeux étaient fermés tandis qu'il faisait des va et vient sur le sexe de son chéri.
"Toi aussi tu es unique"
L'apparence de Ren pouvait choquée certaines personne, il est vrai qu'il était souvent difficile de savoir s'il était une fille ou un garçon mais Aidô n'avait aucun problème avec ça. Au contraire il aimait son apparence androgyne, ils formaient un couple vraiment atypique tout les deux mais c'était aussi ca qui les rapprochaient, ils étaient différents des autres, tout les deux unique en leur genre.
Aidô avait légèrement augmenter le rythme, gémissant plus fort, une partie de lui avait envie de jouir et une autre partie aurait voulu que ce moment ne s'arrete jamais, c'était impossible mais il se sentait tellement bien en cet instant, cependant il n'avait pas à s'inquiéter après tout lui et Ren s'aimaient ce moment était donc loin d'être le dernier, c'était au contraire le premier d'une longue série de merveilleux moment qu'ils passeraient ensembles.
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Le corbeau sembla apprécier le changement de position du papillon et exprimait son contentement en fermant les yeux, geste que Kurenai trouva vraiment kawaii. Il mordilla doucement le cou offert à lui et y déposa une série de baisers qu'il faisait de plus en plus posés au fur et à mesure, raccourcissant l'écart entre chaque mouvement pour finir par laisser ses lèvres posées sur la peau. Il respirait à fond la douce odeur de son chéri et accéléra légèrement ses mouvements de bassin en même temps qu'Aidô allait lui aussi plus vite. Il sentait qu'il n'allait pas tenir longtemps à ce rythme là et passa brusquement sa main gauche sur son torse, au niveau de ses pointes de chair durcies par l'excitation et la droite sur son sexe, cherchant à le faire venir en même temps que lui. Il se mit à haleter maintenant, plus à respirer, son souffle allant trop vite pour lui et son coeur battant comme il n'avait jamais battu, ses hanches se cambrant et son corps se rejetant doucement en arrière alors que son dernier cri retentit, son corbeau ayant achevé ce qu'il avait commencé. Le papillon venait en effet de jouir en lui, salvation tant attendue et qu'il n'avait pas pu retenir plus longtemps, l'effet étant tellement grand.
Il se laissa tomber en arrière sur le lit, ailes étendues et il contempla le beau blond qui venait de lui faire vivre la plus troublante des expériences de sa vie et le meillleur après-midi qu'il n'avait jamais vécu. Il avança doucement une main pour venir saisir la sienne et la serrer tendrement, l'attirant près de lui pour le prendre dans ses bras et l'embrasser.
J'en suis certain maintenant...encore plus...je t'aime...
Il ne s'était pas trompé en voyant le corbeau l'autre jour dans la rue, il était devenu vraiment très expérimenté au niveau des relations sexuelles et ce n'était pas le papillon qui allait s'en plaindre, loin de là. Il avait bien fait de tenter cette expérience et ne le regrettait en rien, y ayant gagné l'amour réciproque d'un homme, une plus grande entrée possible dans la famille, et à deux ils allaient détonner, Kurenai bien décidé à l'aider à se faire respecter encore plus dans la famille. Après tout il se demandait ce qu'il allait faire après son installation il faudrait bien qu'il travaille pour aider le corbeau, il ne comptait pas vivre à ses crochets et devenir une gêne financière. Mais il voyait mal ce qu'il pourrait faire. Après tout à part ses pouvoirs il n'avait pas de formation particulière et aimait seulement tout ce qui avait un rapport avec l'obscurité ou la...danse. Oui il aimait danser mais dans cette ville qui dit danser dit aussi se déshabiller et ça il ne le voulait pas...il ne le voulait plus par respect à son ange blond et par fidélité. Cependant il ne savait pas comment lui en parler, découvrant un nouvau sentiment chez lui, le doute qui remplaçait le je-m'en-foutisme habituel. Pourtant il faudrait bien que ça sorte mais de toute manière pour le moment il voulait juste profiter d'être dans le même lit que son ange malgré le fait qu'ils soient en plein milieu de l'après-midi. Il comptait passer pour la première fois, une nuit romantique dans les bras de son corbeau chéri...il ferma doucement les yeux et me serra un peu plus contre lui, réclamant de l'affection.
Quelle est la suite du programme mon ange?
Il se laissa tomber en arrière sur le lit, ailes étendues et il contempla le beau blond qui venait de lui faire vivre la plus troublante des expériences de sa vie et le meillleur après-midi qu'il n'avait jamais vécu. Il avança doucement une main pour venir saisir la sienne et la serrer tendrement, l'attirant près de lui pour le prendre dans ses bras et l'embrasser.
J'en suis certain maintenant...encore plus...je t'aime...
Il ne s'était pas trompé en voyant le corbeau l'autre jour dans la rue, il était devenu vraiment très expérimenté au niveau des relations sexuelles et ce n'était pas le papillon qui allait s'en plaindre, loin de là. Il avait bien fait de tenter cette expérience et ne le regrettait en rien, y ayant gagné l'amour réciproque d'un homme, une plus grande entrée possible dans la famille, et à deux ils allaient détonner, Kurenai bien décidé à l'aider à se faire respecter encore plus dans la famille. Après tout il se demandait ce qu'il allait faire après son installation il faudrait bien qu'il travaille pour aider le corbeau, il ne comptait pas vivre à ses crochets et devenir une gêne financière. Mais il voyait mal ce qu'il pourrait faire. Après tout à part ses pouvoirs il n'avait pas de formation particulière et aimait seulement tout ce qui avait un rapport avec l'obscurité ou la...danse. Oui il aimait danser mais dans cette ville qui dit danser dit aussi se déshabiller et ça il ne le voulait pas...il ne le voulait plus par respect à son ange blond et par fidélité. Cependant il ne savait pas comment lui en parler, découvrant un nouvau sentiment chez lui, le doute qui remplaçait le je-m'en-foutisme habituel. Pourtant il faudrait bien que ça sorte mais de toute manière pour le moment il voulait juste profiter d'être dans le même lit que son ange malgré le fait qu'ils soient en plein milieu de l'après-midi. Il comptait passer pour la première fois, une nuit romantique dans les bras de son corbeau chéri...il ferma doucement les yeux et me serra un peu plus contre lui, réclamant de l'affection.
Quelle est la suite du programme mon ange?
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Aidô sentait les lèvres de Ren venir se poser sur sa peau et ce contact si doux le faisait frissonner, tout était absolument parfait dans ce rapport, il sentit Ren accélérer le rythme à son tour, délicieuse sensation, le corbeau gardait les yeux fermé tandis qu'il gémissait de plaisir, son poul s'était accéléré, il avait la sensation que son coeur allait exploser. Ren passa les mains sur lui lui arrachant un cri de plaisir et le papillon ne put se retenir plus longtemps il se cambra en criant, Aidô le sentit jouir tandis que lui même jouissait sous les caresses de son amour. Ren se laissa tomber sur le lit et Aidô s'assit à coté de lui, son corps tremblait encore sous le coup du plaisir qu'il avait pris, jmais le corbeau n'avait ressenti ca. Ren lui prit doucement la main et l'attira contre lui, le serrant dans ses bras et l'embrassant avec amour.
"Moi aussi je t'aime"
Aidô était heureux d'avoir proposé à Ren de venir vivre avec lui, c'était sans doute la meilleure idée qu'il n'avait jamais eut, il porta la main de son chéri à sa bouche et y déposa un baiser, il ignorait comment se passerais la suite, il allait falloir qu'ils en parlent mais il était heureux de l'avoir près de lui. Ren se colla d'avantage à lui et Aidô le calina doucement. Il le lacha ensuite et vint se mettre à califourchon sur lui, il se pencha pour l'embrasser. Les lèvres du corbeau vinrent effleurer celle du papillon, sa langue vint doucement les lécher avant que leur bouches se soudent dans un baiser passionné, Aidô glissant sa langue dans sa bouche pour aller jouer tendrement avec la sienne, puis il se redressa et se mit à caresser le torse de Ren. Il le touchait avec douceur et envie et il lui souriait. Pas un de ses sourires narquois ou hautain mais un vrai sourire celui d'un garçon amoureux tout simplement.
"Tu sais ce qui nous ferais du bien après ça ? Un bon bain bien chaud"
Il se releva et souleva Ren du lit sans effort, l'enmenant dans la salle de bain, la pièce était immense et la baignoire de forme circulaire était suffisemment grande pour que cinq personnes puissent y prendre place sans se gêner. Aido fit couler l'eau chaude, gardant Ren contre lui en attendant que le bain se remplisse, il l'embrassa doucement en profitant pour caresser son corps. Il entra ensuite dans l'eau chaude et tendis la main à son chéri pour qu'il le rejoingne. Il s'était assis les jambes écartées et attira Ren contre lui pour lui faire poser sa tête sur son torse.
Le papillon ne s'en rendait peut être pas compte mais derrière cette situation assez simple se cachait la preuve qu'Aidô lui faisait totalement confiance. En effet contrairement aux canards les plumes des corbeaux ne sont pas étanches et Aidô était totalement incappable de s'envoler dans ces conditions, le vol était la défense la plus efficace des oiseaux bien sur il pouvait toujours se battre mais il perdait un sérieux avantages. Bien évidemment les Kakons avaient toujours cachés cette information, imaginez que leur ennemis sachent qu'une fois leur plumes mouillées ils étaient vulnérables, ce serait leur fin. En tout cas en se mouillant ainsi les ailes Aidô se rendait vulnérable et ce n'est pas le genre de comportement qu'il aurait adopté face à une personne qui ne lui soit pas vraiment très proche.
"Si tu savais à quel point je t'aime"
Maintenant que son chéri était contre lui Aidô se mit à passer ses mains sur lui, caressant son torse, son ventre, glissant sur ses cuisses avant de passer doucement sur son sexe, il avait envie de le toucher, de caresser chaque parcelle de son corps. Il commenca à embrasser son cou, à mordiller le lobe de son oreille. Le corbeau était complètement fou de son magnifique papillon, il le voulait, il le désirait, plus que n'importe qui d'autre. Il continuait ses caresses qui se faisaient de plus en plus sensuelles.
"Tu sais mon coeur pour la première fois depuis bien longtemps je suis heureux, merci pour ça"
"Moi aussi je t'aime"
Aidô était heureux d'avoir proposé à Ren de venir vivre avec lui, c'était sans doute la meilleure idée qu'il n'avait jamais eut, il porta la main de son chéri à sa bouche et y déposa un baiser, il ignorait comment se passerais la suite, il allait falloir qu'ils en parlent mais il était heureux de l'avoir près de lui. Ren se colla d'avantage à lui et Aidô le calina doucement. Il le lacha ensuite et vint se mettre à califourchon sur lui, il se pencha pour l'embrasser. Les lèvres du corbeau vinrent effleurer celle du papillon, sa langue vint doucement les lécher avant que leur bouches se soudent dans un baiser passionné, Aidô glissant sa langue dans sa bouche pour aller jouer tendrement avec la sienne, puis il se redressa et se mit à caresser le torse de Ren. Il le touchait avec douceur et envie et il lui souriait. Pas un de ses sourires narquois ou hautain mais un vrai sourire celui d'un garçon amoureux tout simplement.
"Tu sais ce qui nous ferais du bien après ça ? Un bon bain bien chaud"
Il se releva et souleva Ren du lit sans effort, l'enmenant dans la salle de bain, la pièce était immense et la baignoire de forme circulaire était suffisemment grande pour que cinq personnes puissent y prendre place sans se gêner. Aido fit couler l'eau chaude, gardant Ren contre lui en attendant que le bain se remplisse, il l'embrassa doucement en profitant pour caresser son corps. Il entra ensuite dans l'eau chaude et tendis la main à son chéri pour qu'il le rejoingne. Il s'était assis les jambes écartées et attira Ren contre lui pour lui faire poser sa tête sur son torse.
Le papillon ne s'en rendait peut être pas compte mais derrière cette situation assez simple se cachait la preuve qu'Aidô lui faisait totalement confiance. En effet contrairement aux canards les plumes des corbeaux ne sont pas étanches et Aidô était totalement incappable de s'envoler dans ces conditions, le vol était la défense la plus efficace des oiseaux bien sur il pouvait toujours se battre mais il perdait un sérieux avantages. Bien évidemment les Kakons avaient toujours cachés cette information, imaginez que leur ennemis sachent qu'une fois leur plumes mouillées ils étaient vulnérables, ce serait leur fin. En tout cas en se mouillant ainsi les ailes Aidô se rendait vulnérable et ce n'est pas le genre de comportement qu'il aurait adopté face à une personne qui ne lui soit pas vraiment très proche.
"Si tu savais à quel point je t'aime"
Maintenant que son chéri était contre lui Aidô se mit à passer ses mains sur lui, caressant son torse, son ventre, glissant sur ses cuisses avant de passer doucement sur son sexe, il avait envie de le toucher, de caresser chaque parcelle de son corps. Il commenca à embrasser son cou, à mordiller le lobe de son oreille. Le corbeau était complètement fou de son magnifique papillon, il le voulait, il le désirait, plus que n'importe qui d'autre. Il continuait ses caresses qui se faisaient de plus en plus sensuelles.
"Tu sais mon coeur pour la première fois depuis bien longtemps je suis heureux, merci pour ça"
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Tout était parfait, son chéri était près de lui, à lui sourire d'une façon complètement craquante et Kurenai se disait à ce moment que jamais il ne voulait que ça s'arrête, jamais il ne voulait voir le sourire sur le visage d'Aidô changer lorsqu'il le regarde à lui car ce regard si bleu, pétillant de joie le rendait plus fort, plus apte à supporter les autres coups d'oeil moins altruistes envers le papillon. Il aimait quand ce dernier venait jouer avec sa langue autant avec envie qu'avec amour, pas seulement pour profiter de son corps mais aussi pour lui faire plaisir. Ren ne pouvait s'empêcher de rougir à tout cela qui lui était complètement nouveau et de ce fait, surprenant et agréable. Il passait pour sa part lentement ses mains sur le torse dressé face à lui, en appréciant la vue et le toucher alors qu'il embrassait toujours les douces lèvres de cet homme qui lui faisait voir les choses d'un oeil nouveau.
Et quand Aidô le prit pour l'amener dans un bain bien chaud, d'après ses dires mais Ren ne savait pas trop dans quel sens prendre le mot chaud car il sentait que ce n'était pas fini, il ne put s'empêcher de rougir, se sentant protégé dans les bras de son beau blond dans lesquels il se blottissait à présent. Il posa alors son regard tout autour d'eux alors que l'eau coulait et fut impressionné par la taille de la salle de bains et l'étendue de la baignoire. Il ferma doucement les yeux, ne préférant pas imaginer ce qu'il avait pu faire avant ici et surtout avec qui et sourit en pensant que c'était son tour, pour une fois il comptait se laisser faire...à toutes les envies du corbeau en le faisant peut-être un peu languir cependant...il ne savait pas encore. Il le regarda se glisser dans l'eau sans aucune crainte vis à vis de ses ailes qu'il mouilla progressivement. Le corbeau tendit la main vers lui et Ren la prit pour à son tour entrer dans le liquide sans prendre non plus aucune précaution autre que celle de replier ses ailes dans son dos pour ne pas les froisser en se collant à lui. Les mains du corbeau se mirent alors à parcourir l'étendue de son corps et Ren ne put réprimer un petit soupir de contentement, qui se transforma en léger gémissement d'abord couiné lorsqu'il arriva au niveau de son entrejambe. Il en rougit, autant à cause de la chaleur de l'eau que de celle du corbeau et de ses mots.
Si tu savais...je suis heureux aussi et ce, grâce à toi. Je n'avais je crois, jamais connu ça auparavant
Il tremblait à nouveau de tout son corps, quelque peu excité par les actions du corbeau et il tenta de lui rendre en attrapant sa lèvre pour la mordiller sensuellement, ses deux mains plongeant en arrière pour caresser ses côtes, endroit qu'il pouvait atteindre sans trop se contorsionner, étant dos contre le torse de son chéri. Il apprécia à nouveau la texture de sa peau et sourit de plus belle. Il sentait que ce dernier était un peu fébrile derrière lui et que son membre était toujours tendu, frottant contre la base du dos du papillon qui tourne légèrement sa tête pour venir lui lécher doucement le tour de l'oreille en lui glissant quelques mots à l'intérieur.
Ce bain aurait t'il une autre vocation que celle de nous nettoyer?
Il se mit à rire doucement et lui sourit, pour lui dire que de son côté c'était ok, qu'il so'ffrait à lui même si dans son esprit il comptait jouer un peu pour attiser à nouveau la flamme du corbeau et le rendre plus vigoureux encore...hé oui...Ren est facile à avoir en apparence seulement même si pour Aidô la tâche est grandement facilitée à cause de l'amour du papillon à son égard...
Et quand Aidô le prit pour l'amener dans un bain bien chaud, d'après ses dires mais Ren ne savait pas trop dans quel sens prendre le mot chaud car il sentait que ce n'était pas fini, il ne put s'empêcher de rougir, se sentant protégé dans les bras de son beau blond dans lesquels il se blottissait à présent. Il posa alors son regard tout autour d'eux alors que l'eau coulait et fut impressionné par la taille de la salle de bains et l'étendue de la baignoire. Il ferma doucement les yeux, ne préférant pas imaginer ce qu'il avait pu faire avant ici et surtout avec qui et sourit en pensant que c'était son tour, pour une fois il comptait se laisser faire...à toutes les envies du corbeau en le faisant peut-être un peu languir cependant...il ne savait pas encore. Il le regarda se glisser dans l'eau sans aucune crainte vis à vis de ses ailes qu'il mouilla progressivement. Le corbeau tendit la main vers lui et Ren la prit pour à son tour entrer dans le liquide sans prendre non plus aucune précaution autre que celle de replier ses ailes dans son dos pour ne pas les froisser en se collant à lui. Les mains du corbeau se mirent alors à parcourir l'étendue de son corps et Ren ne put réprimer un petit soupir de contentement, qui se transforma en léger gémissement d'abord couiné lorsqu'il arriva au niveau de son entrejambe. Il en rougit, autant à cause de la chaleur de l'eau que de celle du corbeau et de ses mots.
Si tu savais...je suis heureux aussi et ce, grâce à toi. Je n'avais je crois, jamais connu ça auparavant
Il tremblait à nouveau de tout son corps, quelque peu excité par les actions du corbeau et il tenta de lui rendre en attrapant sa lèvre pour la mordiller sensuellement, ses deux mains plongeant en arrière pour caresser ses côtes, endroit qu'il pouvait atteindre sans trop se contorsionner, étant dos contre le torse de son chéri. Il apprécia à nouveau la texture de sa peau et sourit de plus belle. Il sentait que ce dernier était un peu fébrile derrière lui et que son membre était toujours tendu, frottant contre la base du dos du papillon qui tourne légèrement sa tête pour venir lui lécher doucement le tour de l'oreille en lui glissant quelques mots à l'intérieur.
Ce bain aurait t'il une autre vocation que celle de nous nettoyer?
Il se mit à rire doucement et lui sourit, pour lui dire que de son côté c'était ok, qu'il so'ffrait à lui même si dans son esprit il comptait jouer un peu pour attiser à nouveau la flamme du corbeau et le rendre plus vigoureux encore...hé oui...Ren est facile à avoir en apparence seulement même si pour Aidô la tâche est grandement facilitée à cause de l'amour du papillon à son égard...
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