Bon séjour sur Saol Eile

Renji avait accordé du repos à Mayu, seulement trois jours . Enfin , elle ne s'en plaignait pas trop. Au moins il la laissait reprendre des forces .
Elle etait sur le dos les les jambes repliée vers la guauche, le bassain legerement tourné lui aussi .. Ses bras etaient legerement pliés, les mains de chaques cotés du visage, qui etait lui aussi dirigé vers la guauche . Elle ouvrit doucement les yeux, vit Marcus, par conséquent, elle sursauta, les referma et les rouvrit aussitot en se redressant a toute vitesse pour lui demandé a la fois surprise, affolée et un poil agressive :

Qu'est ce que tu fait la ! vas t'en ! depuis quand me fixait tu de cette façon !?

Elle pris un coussin, lui envoya en pleine figure et parti se cacher...sous son lit ! Elle savait très bien pourquoi il était la . Et dès le reveil, elle n'en avait auccune envie . Elle "fuillait " a nouveau . Elle lui dit ensuite un peu plus calmemment :

Tu aurais put frapper avant d'entrer ! c'est la moindre des choses bon sang !

Elle s'etait vraiment bien reposée mais elle avait faim et soif, elle avait envie d'une douche, bref elle desirais tout sauf un rapport sexuel . Meme s'il était d'une grande douceur ce n'etait pas une raison suffisante pour elle . Elle lui demanda alors avec serieux :

Que vas tu faire maintenant....?

[HJ: C'est court mais j'espere que ça serat suffisant ]

Haaaa... Ce que ca peut etre chiant comme travail des fois.
Marcus avait une affaire en cour, il devait finir ce que lui avait demandé le maitre Kaijuu a propos d'une esclave récalcitrante. Bon, il faut descendre chez elle encore une fois apres un délais de trois jours.
Vers 10 heures, il était arrivé dans l'appartement de l'esclave alors que cette derniere était en position foétale. Elle semblait endormie et paisible dans son someil. C'est alors qu'elle se reveilla en sursaut et se jeta a bas du lit.

Ne t'en fais pas je te regarde juste quand tu dors, et je n'ai pas tapé parce que tu dormais paisiblement, ne m'en veux pas.

Il s'assit sur le lit et retira sa lourde veste de cuir avant de la pauser sur un montant du lit. Marcus regarda presque tendrement la jeune femme qui était apeuré, il s'instala confortablement avant de lever un plateau de nouriture.

Je sais que tu n'as pas envie de faire ce que je suis sencé te faire, mais on peut prendre un petit dej' non?

Le jeune homme posa son plateau sur le lit et récupera un petit pain pour commencer a manger. Il se régala de ce petit encas pour se préparer a la suite de la journée. Il tapota le lit pour faire signe a Mayu de le rejoindre.

Allez amene toi, je te boufferais pas.

Elle l'écouta jusqu'au bout, elle était rassurée, au moins, elle allais pouvoir manger c'était déja ça ! Lorsqu'il tapota sur le lit, elle sortit de sa cachette et se releva doucement pour aller s'assoir a coté de lui . D'une main un peu hésitante , elle prit elle aussi un petit pain et commença à le manger . Elle le reposa et pris un peu de jus de fruits, puis elle finit son petit pain . Elle n'avait pas faim plus que ça, elle se releva et alla jusqu'à la fenêtre pour l'ouvrir afin d'aérer la pièce , il faisait beau, la vue sur le jardin était agréable, elle avait envie de rester là et surtout de ne pas avoir ce rapport sexuel non voulut , mais bon elle allais bien être obligée, elle l'avais compris et ça ne servait plus a rien de lutter . Il fallais une nouvelle fois repartir a zéro elle en était lassée .

Tu sais, tu m'a fait une de ces peur... Je crois qu'avec tout ça je ne sortirais pas de si tôt . Cette île est vraiment...trop bizarre

Au bout de quelques minutes, elle referma la fenêtre et revint a coté de Marcus en lassant un soupir lui échapper . Elle mit ses pieds nus sur le lit tandis qu'elle s'adossait contre le mur . Elle ne savait pas quoi faire, elle n'avait aucuns projets ! Quel était le sens de cette nouvelle "vie " ?
Elle lui demanda alors avec une pointe d'angoisse :

Qu'est ce que je vais faire de cette vie ? Ici je suppose que les humains n'ont comme travail que la prostitution, je n'en ai aucune envie, et j'aimerais tant continuer mon travail de base, mais je risquerais de me faire tuer, ici ces créatures sont bien plus forte...Je ne veux pas restée cloitrée dans ce manoir, il est beau, il est bien, mais passer ses journées ici ou a faire des courses, ce n'est pas un metier .

Finalement, elle se servit un café et pris le temps de le boire pour lui dire un peu plus angoissée :

Ne m'en veux pas mais la tout de suite je doit t'avouer qu'une envie de prendre mes jambes a mon cou me traverse l'esprit ... J'espère au moins que tu iras doucement...

Elle se releva et dit un brin découragée :

Bon, finissons en et vite sinon je risque de fuir ....

Mayu avait l'air d'etre des plus méfiantes face a lui. Il ne pouvait pas lui en vouloir, il était gigolo et pas la pour enfiler des perles, donc elle avait raison de se faire du soucis pour la suite. Alors qu'elle mangeait lentement son pain, Marcus conservait le silence le plus profond pour ne pas la brusquer, ni quand elle alla a la fenetre pour admirer cette journée d'autonne. Elle semblait bien triste de cette nouvelle vie...

Tu sais, tu n'as qu'a demander a ton maitre et il te trouvera un travail dans le commissariat, tu n'es pas une incapable non plus, je pense que tu pourrais facilement etre standardiste ou a l'accueil. Je doute qu'il donne aux esclaves des armes et autres, enfin si il t'offre un poste de policiere de terrain ce sera une tres grande marque de confiance de sa part.

Le gigolo comprenait tout a fait le résonement de la belle brune, pour elle, si il était gigolo c'est que tout les humains devaient etre dans la prostitution, mais pas du tout, en fait, c'était plus un choix de la part du jeune homme, etre payer pour coucher avec des créatures de reve n'était pas pour lui déplaire.

Tu es sure? Tu ne veux pas attendre d'etre un peux plus réveillé, ou prendre une bonne cuite pour ne rien sentir? Je ne te ferais pas de mal, autant que possible, meme je vais te délasser un peu pour que tu ne sois pas trop crispé.

Le rapport n'était pas voulu par la jeune femme et Marcus le savait, meme si maintenant il avait pas mal changé apres des années de prostitutions, il restait le petit ourson en chocolat derriere l'armure de pierre. Il ne demanda pas l'avis de la petite créature et lui retira d'un geste expert le peu de vetement qu'elle portait avant de la prendre dans ses bras et de l'emmener dans la douche.
Une fois la porte fermée, il fit couler l'eau en caressant le visage de la jeune femme avant de la glisser sous la douche.

Délasse toi un peut, t'es une vraie boule de nerf et tu sens la transpiration, j'aurais jamais cru que tu flippe tellement sur ce qui allait de toute maniere finir par arriver.

Alors qu'il parlait, l'homme retirait ses habits et se dirigeait maintenant dans les grandes douches en se munissant d'un gel douche et d'une éponge pour le corps. Il avancait lentement, pour ne pas effrayer sa compagne forcé et lui passa l'objet dans le dos en frottant lagerement alors que son autre mains sa posait, rassurante, sur son ventre.

On a tout notre temps, calme toi, je ne suis pas comme celui qui t'a violé, je sais prendre le temps de faire durer les choses, mais si tu montrais des petits signes ca pourrait peut etre éviter a l'air de geler entre nous non? Allez fait bizouuuuuuuuuuu.

Et voila qu'il parlait comme un gamin! A croire que Marcus se pliait en quatre pour qu'elle l'aprécie un peut...

Elle était rassurée question travail. Enfin...elle espérait, que son maitre accepte de lui en confier ... standardiste lui convenait très bien, elle ne voulais pas se faire violer a nouveau ou bien se faire tuer ou encore les deux ... Elle était devenue peureuse de ce qu'il se passait dehors...
Il lui proposa une cuite pour ne rien sentir, elle n'en avait aucune envie,et quand il lui dit qu'il allait la délasser, pour qu'elle soit moins crispée, elle eu un peu plus confiance en lui . Il était d'une infinie douceur, et c'est comme cela qu'il gagnait, petit a petit, sa confiance .
Lorsqu'il la déshabillât habilement , elle se laissa faire, elle n'avait pas le choix, la seule chose qu'elle faisait, c'était baisser les yeux . Il la pris ensuite dans ses bras, ce qui lui inspira plus de confiance, elle était la tête contre lui, a moitié recroquevillée toujours angoissée, enfin un peu moins . Il se dirigea donc dans la salle de bain avec la jeune femme dans les bras puis il fit couler l'eau de la douche, lui caressa le visage et la passa sous la douche. Elle était un peu plus rassurée mais pas complètement . Il lui parla, c'était vrai, elle était une boule de nerf, et surtout, elle était devenue très peureuse .
Il se déshabilla puis il entra doucement muni d'un gel douche et d'une éponge pour le corps . Il mit sa main rassurante sur le ventre de Mayu, il venait d'obtenir presque la totalité de sa confiance, mais elle était angoissée de la façon dont cela allais se passer, elle avait peur de souffrir, c'était une "punition" que Renji lui avait réservé .
Aux dernières paroles du gigolo, elle eu enfin la totale confiance en lui , mais elle ne voulais toujours pas ce rapport ...
Brusquement, elle se retourna et se colla a lui elle lui dit :

J'ai, j'ai j'ai peur...j'ai confi-ance mais j'ai peur...j'ai peur de souffrir ...

Elle se calma, se décolla tout doucement et elle pris l'éponde de la main de l'homme, elle la lui passa sur le torse, elle regarda vers le bas, pour esquiver son regard :

Est ce que je serais en sécurité si je sort ? J'ai peur de sortir, mais je ne veux pas rester ici tout ma vie...Et puis j'ai peur de Renji, qu'est ce qu'il va faire de moi, il me trouve faible...il a raison mais , mais, mais je ne réussirais jamais a devenir forte...et je crois que que que je ne gagnerais jamais sa confiance ...

Sa voix était légèrement chevrotante, elle avait une légère envie de pleurer...

La pauvre femme, Mayu était vraiment une pure défaitiste, mais en meme temps, vue comment son maitre l'a rossé en rentrant et ce que le kakon lui avait fait a l'extérieur, cette baisse de confiance pouvait etre completement explicable. Alors qu'elle le lavait en baissant les yeux, plus par peur de voir la compassion de son bourreau que parce qu'elle lui était soumise, Mayu lava son homologue humain avec toute sa douceur, une douceur qui allait le faire craquer sous peu.

Ne t'en fais pas, je serais la si tu veux, tu n'as pas a avoir peur des autres, il faut que tu sois forte si tu ne veux pas te faire bouffer. Ma maitresse me l'a appris tres tot, je parle de ma premiere maitresse. Tu vois, comme j'étais le seul esclave qui n'était pas mutilé par son imbécile de mari, elle me prenait souvent apres mes heures dans les champs de coca pour que je l'occupe la nuit et que je me fasse tabasser le matin par manque d'entrain pour le travai.
Ce que je veux te dire, c'est que je serais mort si je ne m'étais pas renforcé en moi meme et accepté les coups sans me plaindre tout en faisant ce qu'on me demandait. J'avais peur de prendre des coups, mais, puisque c'était innévitable, pourquoi je devais m'en soucier outre mesure, ils arrivaient parce qu'ils devaient pleuvoir, maintenant ou demain, ils étaient la.

Parler avec une autre esclave permetait au jeune homme d'exprimer completement le passé que meme Rei ne saurait jamais. Ce n'était pas un mauvais bougre, il avait seulement horreur de voir de la souffrance innutile et c'était un ange dans un travail de démon. Si violer des esclave bottait pas mal des "etres supérieurs" pour lui dont c'est le travail, rien de pire ne pouvait arriver. Lorsque la jeune femme se mit enfin a laisser couler ce qu'elle gardait dans ses yeux, Marcus la prit dans ses bras, et pour la premiere fois depuis leur rencontre, l'embrassa avec toute la tendresse qu'on pouvait mettre dans un baiser avant de la coller contre sa poitrine.

Ne t'en fais pas, je ne suis pas comme lui, tu ne risque rien ici, mais ca doit arriver, soit forte, prend les devants, prouve leur a tous qu'ils ont tort. C'est dans la tete qu'on devient fort avant de le devenir dans le corps. On appele ca le charisme.

Et ca, Marcus en avait, sa présence était presque aussi remarqué que celle de son excentrique maitresse, en fait c'est surtout grace a elle qu'il est ainsi, jouer a lui tenir tete lui a donner un carractere unique qui plaisiait énormément a Rei, mais ausi a l'esclave lui meme qui ne regretait en rien d'appartenir a une femme si pleine de surprise. L'homme laissa le gibier de Renji pleurer dans ses bras, c'était le premier pas pour elle, de plus le baiser de Marcus pouvait l'avoir grandement calmer, en tout cas, ces larmes étaient saines, aucune colere ne semblait vouloir s'exprimer, juste de la tristesse, tristesse d'etre faible, peut etre aussi la tristesse de ne pas avoir compris qu'etre forte c'était tout simplement de refuser d'etre faible. Qui sait?

Ce que l'humain lui disait la faisait réfléchir, il avait eu de mauvaises expériences et c'était de là qu'il avait tiré sa force . Elle venait d'en prendre conscience, et pour l'instant, elle se sentait minable a coté de lui.
Lorsqu'il la pris dans ses bras, pour ensuite l'embrasser avec une infinie tendresse, elle se mit a rougir, elle était rassurée, elle avait peur mais il la rendait un peu plus forte par la tendresse, il lui expliquait comment il l'avait fait .
Elle était collée a lui, ne cessait de l'écouter , très attentivement , tout en restant coller a lui. Elle se sentait protégée, plus il lui parait, plus elle prenait confiance en elle . Rien qu'en lui disant de leurs "Prouver qu'ils ont tort " . Elle pleurait dejà depuis un moment, mais elle se calmait petit a petit .
Au bout d'un petit moment, elle arrêta l'eau et tout doucement, elle releva la tête pour l'embrasser a son tour, au départ, elle était un peu timide, hésitante, mais elle se laissa aller en repensant aux paroles de Marcus .
Elle éssayait de se surpasser pour prouver qu'elle aussi en était capable. Mais elle avait toujours une pointe de peur, une angoisse au font d'elle . Elle lui dit avec douceur :

Je suis prête....

Elle se décolla de lui pour mettre son dos contre le mur . Et sans bouger, elle pris la main de l'homme pour la déposer sur son sein pour le regarder dans les yeux et repris :

Fait ce que tu dois faire, puisqu'il faut que tu le fasses...

Elle déposa ensuite une mains douce sur le visage de l'homme en gardant sa main sur le bras de Marcus .

[HJ: désolée.....c'est court u_u]

C'est partit, la rougeur des joues de Mayu étaient divinement excitante, c'est étrange, Marcus avait eut vent que Renji ne l'avait meme pas touché, pourtant elle était belle et elle avait son charme, ca aurait fait un passe temps divin pour ce loup. A croire qu'il était different des autres maitres de l'ile qui prenaient d'abord des esclaves pour les baiser et ensuite pour le ménage...
Enfin, c'était étrange, la douceur de Marcus n'évait rien de different a l'accoutumée, il se comportait normalement mais Mayu semblait etre positivement réceptive a son charisme, les joues rouge de leur dernier tendre baiser et les yeux gonflé de larmes, la belle se dit que le moment était sans doute venu de montrer a tout le monde que la plus forte dans l'histoire, c'était elle.
Montant sur la pointe de ses petits pieds, la japonaise embrassa son amant forcé en commenca par un simple dépot de levre, mais se laissant finalement aller, elle les ouvrit pour que la langue de Marcus trouve son amie dans cette bouche qui avait elle aussi subit un viol trois jours plus tot. Cette femme était forte, elle ne l'avouait pas, mais sa force était bien la, dormante et n'attendant que le coup de fouet des paroles nettes de Marcus pour pouvoir se réveler... Lorsqu'elle mit fin au baiser, la jeune femme coupa l'eau et lui annonca qu'elle était prete. Marcus pour sa part retirait le maximum d'eau de ses long cheveux noirs avant d'ajouter:

Tu es sure?

Sa réponse fut sans appel, Mayu attrapa une de ses mains et la placa sur son sein nu, déclanchant par la meme le début de son erection qui ne cessait de grandir au fil des secondes, comme une hache qu'on brandit devant le cou d'un condamné a mort. Puis la confirmation, il devait le faire, autant qu'il le fasse vite et bien. La main sur sa joue n'était pas effrayé mais douce et tendre, d'un leger mouvement de tete, elle recut un tendre baiser en remerciement de sa tendresse avant qu'il ne s'approche d'elle en douceur, presque entierement dréssé pour elle avant de la reprendre comme une princesse et de la mener dans sa chambre.

Ici, ce sera certainement plus confortable pour nous deux, de plus, je te trouve bien plus attirante quant tu te cache pudiquement sous ces draps, tu es belle Mayu, accepte le, sois en fiere...

C'était la premiere étape, Marcus avait été embauché pour lui donner du réconfort et non la violer comme il l'avait initialement prétendu, son travail consistait a lui montrer su'il pouvait lui faire l'amour, qu'elle pouvait etre forte, que tout n'était pas balayé. Cette esclave a de la chance d'avoir un tel maitre... Mais s'en rend elle compte?
Enfin, Marcus n'avait pas non plus que ca a faire, il devait lui montrer qu'elle était une femme, qu'elle devait passer cette épreuve. Bon, lui faire l'amour apres un viol risque de la braquer un temps soit peu, mais peut etre que l'effet sera inverse. Posant une main sur l'interieur de sa cuisse et l'autre sur son sein, Marcus commenca ses caresses tendre, comme si Mayu était sa copine et non une esclave dont il avait le devoir de remettre en forme. Ses levres se livrerent a la bataille, embrassant legerement ce cou blanc et nu avant de caresser la douceur rosé des contours de sa bouche pour ne pas arreter sa douceur.

Dis Mayu, tu veux que ca se passe comment? Tu veux qu'on prenne notre temps ou que ce ne soit qu'une baise froide sans sentiment? Personellement je penche pour la premiere solution...

Mayu avait provoqué une éréction chez Marcus, elle ne cessait de rougir, un légé mal aise était présent, elle commençait à avoir honte d'elle . Elle sentit ensuite Marcus la prendre dans ses bras et l'emmener dans sa chambre . Il la déposa sur le lit, elle était légèrement tendue, moins qu'au depart, mais toujours un peu, elle voulais que cela soit le moins douloureux possible, et il le lui avait promi, alors elle se rassurait un peu, au fil du temps. Ses paroles étaient apaisantes, et bien qu'il lui dise qu'elle soit attirante, elle avait un peu de mal à y croire, elle ne se trouvait pas belle, de plus, elle avait enchainé boulettes sur boulettes, elle n'avait aucune idée de " comment sefaire pardonner ", elle se trouvait un poil sale...

La jeune femme sentit ensuite une main venir sur sa cuisse, une autre qui se baladait sur son sein; a présent, elle commençais à se laisser allé au caresse de son partenaire ... Elle se colla a lui, il était rassurant, elle n'était pas particulierement excité, mais elle se préparait simplement a ce qu'il allait ce passer . Apres la question du gigolo, elle répondit avec douceur :

Euh...je préfère que cela soit le plus doux possible, donc je choisit la premiere solution .

Elle alla doucement chercher la langue de son partenaire, pour l'embrasser avec douceur et tendresse, une pointe de passion pouvait se faire ressentir . Et quelques temps plus tard, elle fut completement décontractée, elle n'était plus tendue, non absoluement plus. Elle lui demanda ensuite :

Dit , euh, Renji avait dit, que je devait me fairevioler, mais...finalement...ce n'est pas du tout ce que tu me fait...tu est si gentil, si doux, et plein d'attention...Tu est si soigneu, si réconfortant...

Et oui, elle se demandait bien pourquoi il était comme ça, non ça ne la dérangeait pas, bien au contraire, mine de rien, elle se sentait mieux, plus rassurée, alors qu'avait été la réel demande de Renji ?

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