Bon séjour sur Saol Eile

Ranmaru et Yuya étaient rentrés à la demeure des Meiroo, accompagnés par la nouvelle esclave de Ran, Miruku, une jeune Ainoko de type vache. Le neko l’avait acheté sur un coup de tête en la voyant aussi triste et malheureuse dans sa cage. Il avait aussi en prime collé une bonne trouille au marchand pour la peine, surtout pour ces regards déplacés sur Yuya. La jeune vachette se tenait derrière lui, comme pour s’y cacher, terrorisé qu’elle était par les gens et surtout par les humains. Ran tentait de la calmer avec un grand sourire.

Voici la demeure de la famille Meiroo, c’est ici que j’habite et c’est là que tu vas vivre dorénavant. Je te promets qu’ici, personne ne te fera de mal.

Ils retournèrent jusqu’à ses quartiers, là où mis à part lui et ses esclaves, personne n’étaient autorisé à venir. Les achats qu’il avait faits avec Yuya avaient été amenés et pendant que la vachette observait l’endroit, il parla discrètement à Yuya.

La pauvre, elle a du être traité comme un simple animal jusqu’ici, elle n’a pas l’habitude d’être traité comme une jeune fille.

Ran retourne vers la vachette et lui parle doucement.

Voilà, ici ce sont mes quartiers, toi et Yuya êtes les seules qui pouvaient y aller et venir librement. Ici, tu peux te sentir chez toi, personne ne te fera de mal.

Il va chercher un petit bracelet marqué de son sceau, le même que celui de Yuya et le met au poignet de la vachette avant de lui retirer son collier à cloche.

Ici, tu n’as pas à porter ce genre de trucs dégradants, tu n’es pas un animal, tu es une jeune fille et tu seras traité comme telle.

Il retourna ensuite aux côté de Yuya et fit un grand sourire sympathique à la vachette.

Bienvenue parmi nous Miruku.

Elle ne se rappelle plus vraiment le trajets jusqu'elle avait chercher a rester cachée derrière son maître… Ne pas se faire remarquer, elle ne le voulait pas du tout…
Alors c’est la qu’elle vas habiter maintenant, elle se demande si elle vas avoir un boxe a elle comme quand elle allaitait l’enfant, ou si elle vas se retrouver avec d’autre esclave attachée pour attendre la venue de son maître.. Elle ne sait pas penser en terme de ce qu’il appelle normale, pour elle il est normale d’être traitée comme elle l’a été…
Encore une fois il lui promets qu’on ne lui fera pas de mal, est-ce que c’est vrai, oui sûrement…

Elle n’ose même pas regarder l’endroit ou elle se trouve, par habitude elle garde la tête basse, maintenant qu’ils sont chez lui, l’homme peut montrer son vrai visage, la jeune femme tremble doucement, elle n’arrive pas a cesser de penser a ce qu’elle a déjà vécut…

Libre ? c’est quoi ce mots, c’ets quoi être libre elle ne saurais pas dire vraiment, mais ça lui semble correcte, donc personne a par lui ne pouvait lui faire de mal dans cet appartement cela la soulage… Elle ne se retrouvera pas dans les mains des inconnus, de gens méchant qui peuvent lui faire très mal…
Un bracelet a son poignet tiens c’est la premières fois qu’elle ne porte un intriguée elle le regarda, le même que la jeune femme, elle le reconnais…

Quand l’homme lui ôta son collier a cloche, les yeux de la jeune femme s’emplire de larme, c’était pas une marque d’esclavage pour elle, c’était le dernier cadeau de sa mère adoptive la seule personne qui l’a vraiment aimer… Doucement tendre la mains vers l’objet, sentant les larmes couler le longs de ces joues…

« Maman… rendez moi maman sil vous plait… »

La jeune femme cligna doucement les paupières, avant de faire un pas en avant et de revenir prendre la cloche et le collier des mains de l’homme, avant de serrer le tout tous contre son cœur, le souffle un peu rauque… Puis soudain elle se rappelle a qui elle parlait, et la peur se dessina dans ces yeux…

« Je..je suis déso.solée, j’aurais..pas..pas du desobeir…Vous..vous… »

La jeune femme se mordit les lévres, baissant un peu plus la tête les larmes coulant un peu plus vite sur ces joue, alors qu’elle retends sa clochette les mains tremblante par la peur, il vas la punir, il la punisse tous quand ele fait quelque chose qu’il ne faut pas…

Yuya n'osait pas trop aprler durant la balade, elle repondait seulement aux questions et donné son avis a certain moment, mais pas de contact avec la vachette. Elle setait qu'elle lui faisait peur, et puis apres tout, elle lui avait dis de prendre son temps et de lui parler quand elle se sentira prete.

Une fois arrivés aux quartiers, Ran lui parla discretement, elle fit grise mine en pensant a touot ce qu'elle a pu subir, mais elle ne montra rien a Minoue. Elle sentait son regard sur elle de temps a autre, elle le savait mais ne le montrait pas. Elle souriait le plus souvent possible

Quand Ran lui passa le bracelet, elle se sentit moins seule, c'etait a la fois bien, et a la fois pas bien pour elle. Mais elle ne voyait que le bon coté de la chose, apres tout, Yuya n'etait pas egoiste, et puis ... c'etait une esclave, meme si son maitre lui disait le contraire, c'etait quand meme le cas

Yuya regarda la secne, Ran lui enleva son collier cloche en ayant de bonnes intentions, pourtant elle se mit a pleurer. Yuya eut les larmes aux yeux en attendant ses mots. Elle n'avait jamais eu sa mere, jamais. Elle n'avait eu que son pere, et encore ... il la battait, la touchant sans aller trop loin. Pourtant elle aurait aimé que ca mere soit a ses cotes ... En pensant a tout cela, elle ceda et laissa couler des larmes discretement. Elle les essuya rapidement puis s'avance vers Ran, posant sa main sur le collier de la vachette. Elle l'attrape, se mit a coté de Minoue, puis luire met autour du cou en souriant
"ne t'inquiete pas, il te punira pas, si tu veux le garder, tu peux le garder ^^"

elle regarde Ran, elle savait qu'il allait dire la meme choses qu'elle. Elle lui carresse les cheveux pour la rassurer, puis, comme dasn un elan maternel, elle la serra contre elle, posant sa tete ( a minoue) contre son epaule

"tu n'as rien a craindre ici .... rien"

elle s'eforcer de ne pas pleurer avec elle, elle connaissait ce sentiment, celui proche de l'abandon

La jeune Ainoko a une étrange réaction quand Ran lui enlève sa cloche, elle se met à pleurer et lui supplie qu’il lui rende sa mère. Visiblement, le neko s’était trompé, l’objet n’était pas que la marque de mauvais goût d’un précédent maître vicieux, c’était quelque chose de très précieux pour elle.

Yuya intervient alors, faisant ce que Ran aurait fait mais avec cette petite touche de douceur féminine voir même maternelle en plus. Elle lui remet le collier et Miruku semble s’apaiser. Yuya prend gentiment Miruku dans ses bras et Ran voit bien que la jeune humaine a les larmes aux yeux. Voir la jeune vachette ainsi avait du raviver de vieux souvenirs douloureux. Le jeune Neko essuya ensuite les larmes coulantes de Miruku et lui fit son plus gentil sourire.

Tu n’as pas à t’excuser Miruku, tu n’as rien fait de mal. En fait c’est moi qui suis désolé, je n’avais pas compris que cet objet était si important pour toi… Mais saches une chose, ici tu es libre d’exprimer tes sentiments comme tu le veux, tu n’es pas obligé de sourire tout le temps, si tu es triste, tu as le droit de pleurer.

Ran lui attrapa ensuite la main délicatement et montre le bracelet.

Ce bracelet que je t’ai donné. Gardes-le précieusement, il est la preuve que je suis ton maître, tant que tu l’auras personne ne pourra te faire de mal à moins de connaitre ma colère et si quelqu’un ose t’en faire, viens me le dire.

Ran avait beau faire son plus beau sourire, il était triste à l’intérieur, la pauvre fille avait vraiment dû être trainée plus bas que terre toute sa vie, il lui faudrait du temps pour l’habituer à une vie plus douce. Cherchant une idée pour apaiser la situation, il en trouva une qui serait peut-être bonne.

Maintenant Miruku, que dirais-tu d’aller prendre un bon bain ? Je suppose que tu n’as pu te laver depuis que tu étais dans cette cage, un bain te fera le plus grand bien.

A y regarder de plus près, la vachette n’était pas des plus propres, le passage dans cette boutique infâme ne l’avait pas aider et en plus le bain, c’est idéal pour se détendre. Bien sûr, il se doutait qu’elle n’irait pas seul, lui ce n’était absolument pas une option, il ne lui restait qu’à demander à Yuya. Il fit un petit regard suppliant à cette dernière, l’air de dire « s’il-te-plait et je te ferais tout ce que tu veux en échange ».

Yuya va y aller avec toi. Je sais que tu es un peu intimidée par elle mais je te promets qu’elle est très gentille et si tu as du mal à lui faire confiance alors ais confiance en moi qui ai confiance en elle. Pendant ce temps, j’irai ranger les paquets de nos petites emplettes. Qu’en dites-vous les filles ?

Ca fait mal quand on lui enlève cette clochette c’est viserales, cela monte du plus profond d’elle, comme si elle mourait un peu plus, sa mére adoptive lui avait donner avant de mourir… Avant qu’on la vende a des Kakon pour un repas de fêtes… Ca l’avait choquée a l’époque, mais le lait de sa mère n’était pas comme le sien pas si utile… Oui cette cloche c’est tous ce que ces anciens maître lui avait laisser avant de la vendre… C’est tous ce qu’elle avait a elle… Le reste ne lui appartiens pas , seulement au maître… Et pourtant elle le tends pour lui rendre, si le maître voulait la cloche elle ne pouvait rien dire, elle ne pouvait rien faire qu’attendre la punition… qui ne viens pas d’ailleurs…

Quand l’humain s’approcha d’elle, la jeune vachette eu envie de se cacher le plu loin possible, elle allait la frapper, parce qu’elle avait désobéis…. Les oreilles raplatie sur la tête elle cherchait a se faire la plus petit possible… Poussant un petit cris quand l’humains viens prendre la clochette de sa mains… Pas frapper, sil vous plait pas frapper….

Un sursaut surprise quand elle sentit de nouveau la cloche autour de son cou… Elle pouvait la garder.. Doucement poser ces deux mains sur la cloche, la sentir si bien a sa place, la fit pleurer un peu plus fort… elle pouvait la garder, elle pouvait garder…. Un raidissement encore quand l’humain la prit contre elle, elle voulait quoi , personne ne pouvait être douce , sans vouloir quelque chose en échange, pourtant la jeune femme ne bougea pas, laissant les larmes couler le long de ces joue, le dos légèrement tremblant a cause de ces sanglots, elle ne comprend plus rien a ce qui lui arrive tous est si différents de ce qu’elle connaissait…

Doucement secouer la tête, les maîtres avait toujours raison, c’est elle qui avait faux, c’est elle qui avait eu tords, il ne devait pas s’excuser… s’exprimer comme elle le veut, c’est quoi ca, elle est méchant elle doit être punie c’est tout…
Un frisson encore quand il lui prend la main, un envie de la retirer mais par habitude elle se laisse faire, levant un instant son regard couvert de larmes vers le jeune homme… Le garder, la protéger… C’est encore des notions inhabituelle pour elle…

« Un ..un bain..chaud… »

Depuis longtemps elle s’était habituée a prendre des bains froid dans la baignoire dehors, ou dans l’abreuvoir, ou alors au tuyaux d’arrosoir si son maître le voulait… Se laver oui ça ferais du bien, son corps serais soulager… Avec l’humain, un instant la vachette leva son regard pour le poser sur l’humain, elle avait un peu peur de ce qu’elle pourrais dire…
Doucement hocher la tête… Elle vas faire un effort… Doucement se diriger vers la salle de bain qu’elle avait sentit… L’odeur de savon…
Un instant regarder la jeune femme avant d’entrer dans la salle de bain… Si il y a une chose qu’elle n’était pas c’est pudique, sans fermer la porte la jeune femme enleva ces vêtements un a un, enfin elle n’e portait pas énormément non plus… Les pliant le mieux possible, elle alla allumer l’eau, posant ces seins sur les rebords de la baignoires avec un soupire de plaisir, , bien qu’elle les aille un peu vider il lui font toujours mal, elle se demande un instant si les deux personnes voudront bien la soulager…

Encore une fois, Minoue ne fit pas trop attention a elle, elle fit oui de la tete a son maitre pour lui montrer son accord, entre femme, il n'y a rien a craindre. Yuya n'avait jamais toucher une femme, alors c'etait pas pour maintenant

La jeune femme se detache d'elle puis avance vers la salle de bain. Elle avait une demarche penible, ses seins devaient etre lourd. Yuya avance derreire elle, a pein avait elle eu le temps de la rejoindre, que la vachette se deshabille sans tabou. Malgres le connu, yuya rougit de cette franchise, elle n'avait pas peur des reactions des hommes, heureusement que Yuya n'etait pas de ce bord là

Yuya avance vers la jeune fille, une fois dans la salle bain, elle se retourne vers Ran, elle ne savait pas si il la mattée, alors lui adresse un sourire puis ferme la porte rapidement

"non mais !!!"

Timidement, elle se retourne vers Minoue

"tu peux te detendre, je vais te donner tous ce qui faut ^^"

elle commence a chercher dans la salle bain shampoing, gant, savon et autres

HJ : un peu court dsl je me rattraperai ^^

Miruku n’était pas gênée parce qu’elle ne l’avait pas a l’être parce qu’elle n’avait pas la sensation que les gens pouvait la regarder parce qu’elle était une femme, non elle avait toujours eu sur elle un regard comme si elel était un objets… Comme si elle n’était rien qu’une poupée sans cervelles… C’est un peu ce qu’elle était, elle ne pensait pas souvent, ou alors pas comme il le fallait…

Avec un sourire elle regarda l’eau couler dans la baignoire, une fois son maître l’avait tellement trait qu’il s’était laver dans son lait, a elle et a sa mère adoptive, ça lui avait fait mal, très mal, elle n’avait jamais prit de bain chaud se lavant toujours dehors…. Un instant elle laissa traîner son doigts dans l’eau… Tiens c’était doux l’eau chaud.. Et ça fait de bulle a cause du savon…

Regarder les bulles voler un instant, les yeux grand ouvert, une lueur d’amusement y brillant, c’est beau un bulle, si elle pouvait monter doucement dans le ciel comme elle, mais elle est trop lourde pour voler, elle sait qu’elle n’est pas aussi mince que les autres, que ces cuisse son ventre son un peu trop rembourrer, mais personnellement elle sent fiche elle a des forme c’est tout…

Un instant poser son regard sur l’humain elle ne lui parais pas méchante.. et puis elle lui a dit de se mettre a l’aise, la queue de vache de la jeune femme battait calmement dans son dos.. Sans qu’elle ne montre quelque chose, ces yeux bleus poser sur l’humaine…

« Mer…Merci… »

Bingo elle a réussit a parler, doucement elle se glissa dans l’eau, sa soulage, ces seins ne pèsent plus sur son dos, doucement elle passe ces mains dessus, poussant un grimace…

« Yu..ya…aime..le lait…. Elle…elle veut gou..gouter ? »

La jeune femme sourit montrant ces seins, parce qu’elle aimait quand on le faisait, mais elle ne savait pas comment allait réagir la jeune femme… Normalement les gens venait toujours

Tout en fouillant toute la salle de bain, Yuya trouva le bain moussant, elle y fit couler une grande quantité, les bulles s'etaient amusant.

Apres avoir tout trouvée, elle se retourne vers Minoue, elle etait rentré dans l'eau. C'est vrai, cette jeune fille etait tres mignone. Elle avait les formes ou il fallait, Yuya elle, n'avait que la peau sur les os. Son ancienne vie etait pauvre, et il etait rare quand elle mangeait beaucoup.
Son pere gardait pretiquement tout, elle maigrissait a vue d'oeil, c'est pas pour ca qu'il lui donnait un morceau de pain. Non il fallait attendre qu'il finisse pour qu'elle mange le reste. Elle ne lui en voulait pas, non, c'est normal que le paternel se nourisse. Elle ne voyait pas le mal, meme encore maintenant

Les joues rosées, elle s'asseoit sur le rebord de la baignoire, il y avait plein de mousse, ca cachait le corps de la vachette, sauf sa poitrine qu'elle montrait sans retenu. Elle lui demande si elle voulait gouter, Yuya rougit rouge, non elle ne pouvait pas, surtout si cest pour teter, c'etait hors de question a par si cest dans un recipient. Elle sourit en regardant la vachette

"tu es tres gentil ^^ mais non merci, mais plus tard avec plaisir ^^"

Elle attrape le gant et lui tend

"tiens, frotte toi, tu vas voir c'est un regal ^^"

elle lui sourit pour la rassurer. Elle remarqua l'effort de Minoue, elle ne dit rien pour qu'elle puisse continuer dans ce sens, parler, c'est important

Encore des bulles, comme une gamines qui n’a plus vus cela depuis des années, la jeune femme sourit tranquillement, les regardant voler, les faisant éclater doucement contre son doigts… Si elle était aussi bien portante c’est simplement parce que si elle se portait bien, si elle mangeait bien et bien elle faisait du bon lait, si elle n’était pas nourrie et bien elle ne produisait plus de lait… C’est aussi simple que cela…

Pourquoi elle rougis la jeune femme, passer encore une fois sa main sur ces seins pour essayer de se soulager un peu… C’est que ça fait mal… Des fois elle voudrais bien en avoir des plus petit….

« Je…ca me…me soulage..Quand on ..on téter… Ca.. fait..moin..moins mal que ..la..la machine… »
La jeune femme sourit innocemment, tranquillement.. prenant en doucement la menottes dans sa main, mettant un peu de savon dessus pour se le passer doucement sur le corps, soupirant de bien être… Avant de prendre le shampooing et de s’emmètre plein les cheveu, riant légèrement, parce qu’elle trouve cela amusant…

« Tu..tu peux..me..me rincer les cheveux ? »

Yuya la regarde rire, elle semblait si naive, si simple, c'est ce qui faisait son charme. Elle etait sure qu'elle en ferait tourné des tetes. Elle lui sourit et participe meme au petage de bulles.
Yuya regarda ses seins, sans arreire pensées, elle pensa aux siens, se remerciant d'en avoir des petits lol.

"oui biensur ^^"

elle sourit et s'installe plus pres d'elle, elle commecna a masser sa tete pour la frotter un peu plus. Yuya etait tres maternelle, elle aimait s'occuper des autres. Apres avoir laver ses cheveux un peu plus, elle rinca sa cheveulure

"tu arrives mieu a parler, c'est super ^^ Ran va etre content ^^"

Elle prit une serviette et s'essuie les mains, puis se releve

"tu vas voir, c'est bien ici, le maitre est gentil et pas pervers, on est bien tombés ^^"

Elle fit un peu de rangements, surement du aux reflexes. Elle prepara un peignoire et serviette propre. Elle se retourne vers Minoue

"tu as encore besoin de quelque chose ? tu veux que je reste avec toi ?"

La jeune femme se sentait bien dans l’eau, tranquille, paisible, si paisible dans cet endroit, c’est si nouveau pour elle d’être comme cela tranquille sans s’en enfuir… S’en penser a faire quelque chose, quand a sa naïveté, c’est juste parce qu’elle n’a jamais vécut comme tout les autres… Elle a toujours vécut tout seule, quand elle ne servait pas ces maîtres, c’était assez nouveau pour elle quelqu’un qui lui lavait comme cela ces cheveux… C’était agréable aussi… Apaisant, elle sentait son corps se détendre totalement…

Ran, elle parle du maître la, oui mais avec lui elle doit se méfier, les maître, il cache toujours quelque chose derrière leur sourire, en fait tout le monde cache quelque chose ça fait peur.. Si peur… Est-ce que ce maître lui voudra du mal, quand l’humaine ne sera pas la, est-ce que ce qu’il a montrer juste la, est juste un apparence..

« Non… …. ca …ira… »

La jeune femme regarda l’autre sortir avant de se lever de la baignoire et de s’essuyer en douceur, se séchant le mieux possible.. Au moment de passer le peignoir elle eu un problème… mammaire, pas assez grand pour les contenir… Elle n’avait pas peur de les montrer mais elle voulait au moins cacher le bas… son intimité… Elle passa donc un serviette autour de ces hanche la nouant bien…. Avant de prendre le peignoir et le serrer contre sa poitrne, avant de revenir dans la pièce principale…

« Le..le peignoir..il..Il est trop..trop petit… »

Baisser la tête et rougir violemment, elle n’aime pas parler de cela, qu’on les regard cela ne le dérange pas, mais pas contre ce faire remarque comme cela, ça la gêne…

Yuya sortit de la salle de bain, elle se sentait mal a laise, c'etait rare qu'elle passe du mal avec une fille, la fumée de l'eau a du lui monter a la tete.
Elle pensait que du bien de la nouvelle venue, mais elle avait du mal. Peut etre parce qu'elle a vecu seule avec Ran pendant une petite periode. Oui c'est sans doute ca.
Une fois dehors, elle se dirige vers son maitre, il etait affalé sur le canapé attendant notre venue. Elle avance en souriant

"elle a presque fini ^^"

elle lui caresse la tete puis s'asseois pres de lui, ramenant ses deux genoux pres d'elle, montrant ses jambes a moitiées nues. Yuya etait habillé en short court et tee shirt serré blanc.

"je la trouve super mignone, j'espere qu'elle va ce plaire ici ..."

Timidement, elle embrasse rapidement son maitre puis se retourne, Minoue etait sortie de la salle de bain, le peignoire a moitier ouvert, il lui allait pas. Yuya regarde ensuite son maitre

'je crois qu'il va falloir que vous alliez faire des courses ^^"

elle rit un peu puis se leve en direction de Minoue.

"je vais te chercher un tee shirt assez large, je reviens ^^"

Yuya va dans sa chambre laissant Ran et Minoue seuls

Quand il lui désigne la salle de bain, la jeune vachette s’y rend et commence à se déshabiller sans aucune pudeur, forçant Ran à détourner la tête. Yuya se précipite et ferma la porte en tirant la langue au Neko. Celui-ci va ensuite prendre les paquets de la journée et les mettre dans la chambre à Yuya, lui épargnant un peu de rangement.

Revenu dans le salon, il réfléchit un peu à la situation et rassemble sa mémoire pour se rappeler tout ce qu’il sait sur les Ainokos de type vache. Son regard tombe sur la trayeuse rangée dans sa mallette et se souvient que ce genre d’Ainokos produisent du lait en grande quantité, elles doivent le traire chaque jour sous peine de terrible douleur à la poitrine. Ran observe la machine et constate qu’elle est vieille et mal entretenue, cela doit faire mal à cette pauvre Miruku. Le jeune homme sort dans le couloir et demande au premier esclave venue de lui appeler l’intendant, un esclave habilité par Jiki à gérer certaines affaires courantes et le préposé aux fournitures en tout genre, habitué à commander tout et n’importe quoi avec les fêtes des Meiroo. Le vieille esclave arrive, Ran lui expose la situation et lui demande le matériel adapté.

Il retourne ensuite dans le salon et attends dans la canapé que les filles sortent du bain. Yuya est la première, elle si dirige vers lui en souriant, lui caresse la tête comme un gros chat, il adore ça, ces marques d’affection et de tendresse que eux seuls partagent, et s’assoit près de lui, dans une tenue et une position qui lui donnerait presque envie de lui lécher gentiment les jambes, rien que pour le plaisir de la taquiner.

J’espère aussi, ce sera toujours mieux que ce qu’elle a vécu.

La jeune humaine lui colle un rapide baiser et les deux se retournent, apercevant la jeune vachette, le peignoir à moitié ouvert, couvrant sa large poitrine avec une serviette. Ran avait le bizarre pressentiment que cette poitrine n’avait pas finis de faire parler d’elle…

Yuya part ensuite dans sa chambre chercher un grand t-shirt pour Miruku. Ran vient près d’elle et la regarde en souriant gentiment, essayant de se montrer sympathique avec elle.

J’ai une bonne nouvelle pour toi Miruku, j’ai demandé à l’intendant de commander une nouvelle trayeuse pour toi, elle arrivera demain. Tu n’es pas la seule Ainokos vache donc ils en existent d’autre modèles et celle que tu as est très vieille. J’ai demandé le meilleure modèle, comme ça, elle ne te fera pas mal. Demain on ira aussi faire des courses, comme ça tu auras des vêtements à ta taille. Tu es contente ?

Elle avait l’impression d’avoir interrompus quelque chose, doucement elle baissa la tête, la timidité elle ne savait pas trop ce que c’était, tout les relation qu’elle avait vue entre un homme et une femme était son maître en train de coucher avec ces esclaves, et cela lui plaisait d’avoir du public, alors elle avait l’habitude de regarder des personnes coucher ensemble…
Des course pour elle, mais il lui suffit de peu, elle ne veut pas qu’on lui achète trop de chose, sinon elle vas s’attacher et quand il se séparerons d’elle ça lui fera du mal… Beaucoup de mal…

Mais elle ne veut plus avoir mal… Ca rend triste… La jeune vachette regarda l’humaine s’éloigner, pourquoi se couvrire c’est plus agréable de se promener seins nus, mais si ça gêne… Une nouvelle machin, la jeune femme baisse un instant les yeux, venant cacher son regard….

« Merci maitre »

Ca veut dire qu’elle devrait subir la machine, qui même neuve fait mal, mais elle ne se plaindra pas, cela ne sert a rien, c’est dangereux de se plaindre… Des vêtements pour elle, doucement redresser le visage, un mélange de soulagement et de peur, un mélange de joie et de tristesse….

« Oui »
Oui mais elle ne le semblait pas vraiment, rassemblant son courage, elle fit quelque pas, pour se rapprocher le plus possible de son maitre, sans être trop prés comme si elle avait peur de la punition a ce qu’elle allait dire, gardant les mains serrer sur la serviette, son regard baisser, elle tremble un peu…

« Mai..maitre… j’... j’…aime pas ..les..Machine…. Elle me font ..mal .. Au seins..Je..je préfére..Quand..Quand les gens me..téte..Vous..Vous ne voulez pas le faire. »

La jeune femme leva un instant son regard, si doux, si tendre, si apeuré aussi, avec une lueur d’espoir dans le regard… Pour elle cela n’avait rien de sexuelle, elle en ressentait juste le besoin…

Malgré tout ce que fait Ran pour la mettre en confiance, la vachette répond mais d’un air faux, absent. Une réponse positive qui va dans son sens, son précédent mettre ne devait pas aimer être contredit et elle avait prit l’habitude de ne pas le faire, ce serait sans doute dur de savoir ce qu’elle veut.

Tu verras Miruku, quand tu te laisseras aller au shopping, tu vas adorer ça. Tu sais, tu n’as pas avoir peur de parler ici, même si tu fais des bêtises, personne ne te fera de mal, je te l’ai promis. Tout les maîtres sont différents tu sais et je ne suis pas comme ton ancien maître. Ici, pas de punition, que des câlins^^

Elle s’approche de lui, timidement, osant à peine l’approcher, Ran n’est pas idiot, il sait bien que c’est une défense naturelle liée aux mauvais traitements qu’elle a subis. Elle regarde le sol et parle tout bas, si le neko n’avait pas une bonne ouïe, il n’aurait rien comprit. Il rougit assez violement à se demande, c’est hors de question, Yuya l’étriperait sans pitié…

Je suis désolé Miruku mais je ne le ferais pas. Ton précédent maître était idiot et méchant, ce n’est pas bien, un homme ne doit pas téter la poitrine d’une femme comme ça. Je sais bien que tu es une Ainoko vache et que ça te fait mal si tu n’évacue pas ton lait mais je ne peux pas le faire même si je suis sûr qu’il est très bon. La machine que tu utilises est conçu pour faire mal, pour que tu préfères être téter mais celle que j’ai acheté pour toi est bien mieux, tu l’apprécieras peut-être quand tu auras essayé.

Le neko s’était mis dans une drôle de situation, il s’essora le cerveau pour essayer de trouver une solution et en trouva peut-être une.

Maintenant que j’y pense, l’une de mes cousines éloignés est enceinte et va bientôt accoucher, je pourrai lui demander qui tu allaites son enfant si elle le veut bien.

A condition bien sûr que son instinct maternel ne lui donne pas envie de le faire elle-même.

Sinon, on essaiera de trouver une autre solution, tu ne peux pas le faire toi-même autrement ?

Yuya etait dans la chambre, elle aimait bien sa nouvelle colocataire. Elle etait sure qu'elles pouraient s'entendre toute les deux.

Elle regarda un peu otut ces vettements, elle savait qu'il y en avait un qui lui allait trop grand ...

"il faut que je le retrouve ...."

HJ : c'est uste pour dire qu'elle continue a chercher, vous pouvez continuer ^^

Adorer le shoping, mais elle a peur des gens, elle ne supporte pas quand il y a trop de monde autour d’elle, ça lui donne l’impression d’étouffer sans cesse… Pas peur…. C’est quoi ne pas avoir peur, sauf quand elle a eu l’enfant, elle a toujours vécut la peur au ventre… S’attendant toujours a ce que son maître viennes se vider les couille ou sa colère sur elle… Elle pouvait faire des bêtise, non ca devait cacher quelque chose, c’est pas possible qu’on puisse être aussi bien traitée … Sans rien faire…

Des.. des câlins, la jeune femme se sentit a nouveau trembler, il voulait dire quoi par câlin, elle devait s’offrire a lui…. La laissait la prendre, le laissait la toucher… Autre par que sur ces mamelle… Alors son maître ne veut pas… Elle a fait quelque chose de mal pour qu’il ne veuille pas le faire…. Ou alors il n’aime pas le lait…

« Mais… Mais… Miruku est pas… une .. femme… Juste…. Un objet. »

Encore une fois elle avait parler si bas, qu’il était difficile de l’entendre, un vois basse douce, tremblante… Oui un objet dont on se servait avant de jeter… Il ne veut pas en fait c’est tous ce qu’elle a comprit, les machine qu’elle soient nouvelle ou ancienne, ne remplace pas dans l’esprit de la jeune femme la bouche de quelqu’un, en fait ce qu’elle aime c’est le contacte avec l’autre sa chaleur tout contre elle, c’est si rare qu’elle puisse toucher quelqu’un… Encore une fois elle sent les larmes venir a ces paupières, mais elle se force a respirer, le maître n’aime pas quand on pleure pour rien…

« Oui maitre… »

Encore une fois elle a acquiescer, si il dit que c’est mieux pour elle, et bien c’est qu’il a raison, il n’y a pas d’autre façon de penser pour elle, pas de façons de faire autre… Un bébé…. La jeune femme redresse doucement la tête même si ces yeux son embuer de larmes, elle surit, une lueur d’envie de plaisir…

« Un bébé… j’ai… allaiter… un .. bébé… il était gentil…. Il… IL me manque… J’aime .. Bien le… bébé… Il ..sont gentil…»

La jeune femme sentit les larmes couler le long de ces joues, ca lui manquait, la présence de ce corps chaud contre le sienne, le corps chaud, les sourire qu’il lui faisait, la jeune vachette était douée comme nourrisse, de un parce qu’elle aimait s’occuper des enfant et parce que son lait valait tout les autres…
Doucement passer ces bras autour d’elle, enfin essayer et se laisser couler sur le sol, s’asseoir… Les larmes coulant encore une fois sur ces joues, elle se force pourtant a répondre a l’homme…

« Si..Si … je peux… faire…. Mais… mais je sais pas bien le faire…. Vous voudrez gou..gouter..Mon lait… Je..veux… faire quelque chose…Pour..pour vous…»

La situation est vraiment complexe, plus Ran essaye de détendre la vachette et plus il l’embrouille, il a visiblement sous-estimé le traumatisme et les mauvais traitement subis, la preuve en est, elle ne se considère elle-même que comme un objet.

Sûrement pas ! Tu n’es pas un objet Miruku, tu es une jeune femme, ici tu as le droit d’être une jeune femme.

Il lui caresse gentiment la joue pour la regarder dans les yeux et lui sourire.

Même si tu es une esclave, tu as un cœur, des sentiments, tu as peur, tu as envie de pleurer quand tu es triste. Oublie ton ancienne vie et tes anciens maîtres, ici tu n’es pas un objet, ici tu es une jeune femme, ici tu as le droit de pleurer et de laisser aller tes sentiments…

Attristé par la jeune vachette, il la prend gentiment dans ses bras et lui fait un gros câlins, lui caressant gentiment le dos et la tête pour lui offrir un peu de chaleur humaine et essayer de la rassurer avant de la lâcher. Quant il parle du bébé, elle sourit, elle a l’air heureuse et triste à la fois.

Tu as déjà allaité un enfant ? Parfait alors ! Et puis tu vois que tu as des sentiments et que tu n’es pas un objet, tu aimes les enfants, c’est la preuve que tu as bon cœur, c’est une grande qualité Miruku.

Elle craque, se met à pleurer et se laisse tomber au sol. Ran la relève gentiment et vient la faire assoir sur la canapé pour la mettre plus à l’aise et lui faire un autre câlins pour la consoler. Bon la machine, elle aime pas, elle ne sait pas se le faire elle-même, son ancien maître était vraiment un sale vicieux, il s’est bien arrangé pour l’habituer à la bouche.

Hum… ce n’est pas que je veux pas mais… c’est un peu compliqué… dis-moi, pourquoi est-ce que tu préfères quand on te le fait avec la bouche. Expliques-moi, avec des détails s’il-te-plait.

Autant essayer de comprendre tout de suite et savoir à quoi s’en tenir pour savoir quoi faire à l’avenir.

Mais si elle était un objet, tout au plus un jouet… Un animal de ferme dont on se sert avant de jeter… Elle une femme, elle ne l’a jamais été et ne le sera jamais…. Parce qu’elle n’était pas née pour cela… Elle veut pas être une femme, parce qu’un jours tous cela vas tomber et elle se retrouvera moins que rien… Rien ne sert de s’attacher après on lui enlever tout…

Quand son maître viens lui effleurer sa joue la jeune femme tremble un peu plus fort… Elle est esclave il a dit le mots, elle n’a aucun droit, même si lui la traite gentiment les autre serons méchant avec elle, et ça fera mal… Après d’avoir été bien traitée… Oublier, oublier si c’était possible, mais tout reste marquer dans son esprit plus rien ne sort…
Quand il la prend dans ces bras, la jeune vache se mets a trembler de tout son corps, la peur encore une fois, parce que personne ou presque n’a fait cela, qu’elle ne sait pas ce que cela veut dire… Les mains de l’homme sur son corps, sur son dos son trop douce pour elle ca l’effraye… Ca l’apaise en même temps… la pauvre petite elle ne sait plus que faire, ni que dire…

Doucement hocher la tête oui elle en a déjà allaiter un, cela lui manque, la tranquillité qu’elle avait avec lui ,lui manquait, comme sa relation avec sa mère… Elle bon cœur, non elle n’avait plus vraiment de cœur, il était mords quand on lui avait enlever le petit.. Qu’est ce que les autre pouvait comprendre a cela… C’est si difficile a ressentir a expliquer…

Le fauteuil…. Ca la fait trembler cela aussi, tout est trop beau dans cet endroit elle ne se sent pas a sa place… Se raidissant légèrement quand il essaie de lui faire un câlin… La chaleur du corps de l’homme , ça la rassure pourtant un peu… Pourquoi…

La jeune femme se redresse un peu… Sa main qui s’avance vers l’homme, qui se pose en douceur, sur son entre jambe alors qu’elle le caresse doucement….

« Vous… préférez.. avoir un machin ..La.. Ou la .. bouche… d’un fem… femme ? »

La jeune femme leva son regard, un peu étrange brouiller.. Sa main caressant sans aucune gêne, se glissant même sous le pantalon du jeune homme, pour aller toucher son intimité en douceur, elle savait que les maîtres aimait cela…

« Pa…parce qu’une…une ..Ma..machine c’est.. froid… Que…la …bouche… C’est …Doux…. Ca fait .. Du bien… »

La jeune femme saisit dans sa main un deuxième seins, le tendant vers son maîtres…. Il sont lourds a son dos, lourds a son esprit… Il n’y a quand quelque les prend en bouche qu’elle se sent soulagée, apaisée… Comme expliquer le plaisir qu’elle a, la douceur, le bien être qui la parcours… Enfin sa main caresse en douceur.. Le sexe de l’homme.. De sa peau douce…

Ran se tord le cerveau dans tous les sens, comment lui faire comprendre ? Non, déjà il fallait comprendre comment elle fonctionnait, il essaya de se mettre à sa place cinq minutes, c’était une esclave brisée aux conceptions de la vie très fatalistes d’un certain point de vue. Elle s’imagine très certainement que tous les trucs bien lui sont interdits et qu’il s’en débarrassera dès qu’il sera lassé d’elle, le travail prendra du temps avant qu’elle ne change de point de vue. D’abord il fallait lui montrer un avenir assuré et lui faire comprendre où elle était.

Miruku, sais-tu où tu te trouves ici ? Chez les Meiroo, l’une des sept grandes familles dont je suis membre de la branche principale, je n’ai rien à voir avec les maîtres que tu as connues jusqu’ici. Quand on est chez les Meiroo, on y reste pour toujours, ça veut dire que tu resteras avec moi pour toujours et ça c’est une promesse Miruku.

Ran n’était pas assez idiot pour espérer qu’elle comprenne tout, tout de suite, il lui faudrait sans doute des semaines avant qu’il y ait des améliorations significatives.

Le neko est grandement surpris quand il sent la jeune fille poser sa main sur son entrejambe, lui demanda ce qu’il préférait, elle va même jusqu’à glisser la main pour lui prendre sa virilité en main. Stimulé par les doigts doux de la vachette, il la sent commencer à gonfler

Arrêtes… Ca n’a strictement rien à voir…

Elle lui montre son sein, prétextant que la bouche lui fait du bien, qu’elle genre de vie a-t-elle donc eu ? Ou est-ce une particularité propre à cette espèce d’Ainoko ? Il faudra qu’il se renseigne. Doucement, il se contrôle et enlève le main de la vachette de son entrejambe.

Ici, tu n’as pas à faire ce genre de choses.

Cependant, elle continue de lui mettre son sein sous le nez avec insistance, le suppliant du regard de le prendre en bouche pour la téter. Finalement, le goût pour le lait du neko prends un peu le dessus et il soupire.

Bon d’accord pour cette fois, mais ne le dis pas à Yuya et je te préviens, c’est exceptionnel.

Il pose sa bouche délicatement sur le sein offert, non sans gêne vis-à-vis de Yuya et commence à aspirer le lait auquel il trouve un goût des plus délicieux, sans doute le meilleure qu’il n’ait jamais bu…

Dans la chambre, Yuya continuait a chercher le haut lui allant trop grand. ELle desesperait jusqu'au moment ou elle tombe dessus. Contente de le trouver enfin, elle court vers la porte

"ca y est, je ...."

Figée, elle regarda la scene, silencieuse. La jeune vachette avait la main dans le pantalon de Ran. Ils discuterent comme si rien n'etait. Elle voyait que quelque part, ca lui faisait plaisir, ca ce voyait, il avait ce mimique, le meme que son pere.

Le tee shirt tomba de ses mains, elle resta droite devant cette scene, horrible a ses yeux. Puis il prends le soin de lui enlever la main, mais il avait le panthalon gonflé. Pas la peine de ce faire des films, un homme succombe facilement a ce genre d'avance. Sa main se pose sur sa poitrine, son coeur battait a la chamade. Ensuite il lui tete le sein, ce fut le coups de fouet final. Ils avaient l'air de prendre du plasir ses deux la. Les chats aiment le lait, et les hommes, les femme ... y a pas de secret. Des larmes arriverent dans ses yeux.

Muette, elle ramasse le tee shirt puis elle avance vers le couple. Elle pose le tee shirt sur les genoux de Minoue en souriant tristement

"je sors faire un tour maitre Ran, je reveins plus tard !"

elle tourna les talons sans rien ajouter. Au passage, elle pose le bracelet de protection sur la table d'entree discretement. Elle esperait qu'il ne lui court pas apres

"amusez vous bien ! a plus tard !"

elle ouvrit la porte puis sort du batiment, puis du quartier

Bien sur qu’elle savait ou elle se trouvait… Mais justement les meiroo ne sont pas considérer comme la meilleur des famille, pas la plus fidèle, il sont considérer comme fantasque… Un membre de la famille principale, alors elle est dans une grande maison, avec plein de monde, il est bien plus importante qu’elle ne le pensait… L’angoisse encore une fois lui serre le ventre… Même si elle restait dans sa famille, elle pourrais changer de maître, non elle ne veut pas voir ce qu’il y a de bien, dans la maison ou elle était, elle passait de maître en maître, sans jamais bouger de chez eux… De chez les premier… Elle ne croit plus au promesse non plus, c’est trop dangereux, une tristesse en plus, et elle ne le supporterais plus… Elle ne tiendrais plus…

Arrête, la mains de la jeune femme se stoppa immédiatement, elle ne bouge plus presque paralysée, parce qu’elle a peur d’avoir faits une bêtise, pourtant sa caresse lui plait elle le sait, elle le sent, pourquoi alors il ne veut pas qu’elle continue, elle ne comprends pas, elle ne comprend plus… Les hommes, ils veulent toujours cela non… Son ancien maître lui avait dit qu’elle n’était bonne qu’a bourré de cou, qu’elle était juste bonne a téter, rien d’autre…

Ici pas a faire cela, alors elle ne servira a rien, on vas la ranger dans un coin, sans plus faire attention a rien, pourquoi il l’a acheter, si ce n’est pour le satisfaire, pour lui servir de vide couille comme il disait l’autre…
Il vas boire alors…. Le sourire de la jeune femme se fait lumineux.. Non pas parce qu’elle y voit quelque chose de pervers, son envie de coucher avec un homme est morte il y a longtemps, mais simplement parce qu’elle sait que ce moment vas être doux…. Son maître a toujours été doux quand il la tétait, c’était d’ailleurs le seul moment ou elle pouvait avoir un peu de douceur…

Un soupire de soulagement quand elle sent la bouche du neko sur son téton, enfin…. Fermer les yeux pour savourer cette sensation, peu de monde peuvent comprendre ce qu’elle ressent, la béatitude qui l’envahis a cet instant, la douceur qu’elle ressent… Le calme qui l’envahis… C’est comme si tout était parfais, que plus rien ne pouvait lui faire de mal… Un mouvement pour venir caresser les cheveux du jeune homme, plus un geste de tendresse qu’autre chose… Mais son geste fut suspendus… Rouvrant les yeux c’est la peur qui se lit dans son regard….

Elle a fait quelque chose de mal, l’autre fille vas la frapper, parce qu’elle a prit un instant l’attention de son maître, baissant les oreilles sur la tête, elle essaye de se cacher dans ces cheveux, encore une fois elle peu sentir son corps trembler sous la peur, mais elle reste immobile…

Pourquoi elle s’en vas, la jeune vachette poussa un cris un peu étrange, de détresse, d’incompréhension, ces gens était bien trop compliquer pour elle… Pourquoi a chaque fois qu’elle se sent un peu mieux autre chose doit arriver, la tête baissée, elle attends quelque chose, elle sait que le maître lui avait dit de ne pas montrer cela a Yuya, dont puisqu’elle les a vus, elle vas être punie…. Elle ne comprend pas l’humain, mais elle sait que l’humaine ne la comprend pas non plus….

Il ressent comme un malaise pendant cet acte, quelque chose dans son cœur lui dit que ça ne va pas. Une présence… Yuya ! prit en flagrant délit, il stoppe immédiatement. Elle donne le t-shirt à Miruku, fais mine d’aller bien, toute sourire et s’en va. Mais Ran n’est pas idiot, il sait qu’elle souffre, il a vu les larmes aux coins de ses yeux et c’est de sa faute…
Un millier de lames semblent lui traverser le cœur. Il se lève et veut la rattraper mais il hésite, mieux vaut peut-être la laisser tranquille et lui parler après. Il voit le bracelet sur la table d’entrée, son esprit se vide, il n’a plus aucune hésitation. Doucement, il s’approche de Miruku et lui sourit.

Miruku, je sors chercher Yuya, je n’en ai pas pour longtemps, habilles-toi pendant ce temps. Et rassures-toi, tu ne seras pas punis, tu n’a rien fait de mal, tout est de ma faute…

Ranmaru sort, il est paniqué, il craint pour Yuya. Inconsciemment, il se transforme en grand chat, sous cette forme, ses sens sont grandement multipliés, il piste la jeune humaine à son odeur. Il fonce vers elle, sans se soucier de savoir combien de distance elle a parcourut. Enfin il la voit. Elle est là ! Près d’un arbre. Un bond, il reprend forme humaine et atterrit devant elle, il est essoufflé !

Yuya !

Et maintenant, que lui dire ? L’innocence et la naïveté de le jeune fille ont dû lui faire tourner un sacré film dans la tête, il sera dur d’être comprit et plus encore d’être pardonné pour cette écart.

Je sais… que c’est ridicule de dire ça… mais ce n’est vraiment pas… ce que tu crois… je suis désolé Yuya.

Son esprit d’embrouilles, comment lui faire comprendre ? Comment fonctionnes la jeune vachette ? Comment lui faire comprendre que ses sentiments pour elle sont là, puissants et sincères ? Délicatement, il prend la main de Yuya et lui remet son bracelet.

Ne l’enlève plus jamais Yuya… sur cette île, il est ta seule protection… si jamais il t’arrivait quelque chose… je crois… je crois que je ne m’en remettrais jamais.

Les larmes lui montent aux yeux, voilà qu’il pleure devant elle, il a mal, tellement mal… elle ne lui parlera plus dorénavant… il s’en veut… il est triste à l’idée de la perdre…[b]

Yuya parcourut pas grande distance, elle n'etait pas sportive, et puis son coeur battait tellement, dus a sa tristesse, elle ne comprenait pas ce qui lui arrivé, elle avait agit sans reflechir, sans penser a ce qui pouvait ce passer par ces actes enfantins.

Elle pose sa main sur le tronc d'abre pres d'elle pour reprendre son souffle. Elle s'en voulait, elle n'avait pas le droit de reagir comme ca. Il lui faisait plaisir, et elle ... elle le punissait en fuyant comme une lache. Il l'avait prevenu, il etait seducteur, c'etait sa nature. Et puis il aimait le lait, elle le savait. Sa main sur sa poitrine et respire en laissant echapper ses larmes

Contre tout espoir, Ran arriva devant elle, il avait laissé Minoue toute seule.

"mais mais ..."

avant meme qu'elle le temps de finir, il s'excuse. Yuya garda son sourire, malgres sa souffrance, mais elle ne voulait pas le montrer.

"non ... c'est moi qui m'excuse ... je n'avais pas a reagir comme ca ..."

elle lui sourit. Lui, il remettait son bracelet protecteur en redifinissant l'importance de la chose. Il rajouta des mots pleins de significations, des mots tendre. Puis ... chose inattendu, Ran ce mit a pleurer. Yuya ne savait plus quoi dire, elle tourna la tete de gauche a droite, puis dans l'autre sens.
Elle place ses mains sur les joues de Ran et vient l'embrasser tendrement.

"pardon pardon .... !!"

elle lui prends la tete puis la colle sur le dessus de la poitrine, lui carresse la tete et dit

"maitre Ran .... je suis vraiment desolée ... je ne sais pas ce qui m'a prit"

elle sourit tendrement. Elle avait mal elle aussi, mal de l'avoir vu toucher une autre femme. Elle savait que c'etait pour le bien de Minoue, mais ... elle est amoureuse, et l'amour rend ridicule, meme illogique des fois

"allons rejoindre Minoue, elle doit etre inquiete ... j'ai des excuses a lui presenter ^^"

Pourquoi… Qu’est ce qu’elle a fait de mal… La jeune esclave est perdue, au beau milieu d’une tempêtes qu’elle ne comprend pas… Son maître vas frapper c’est sur, elle a fait un bêtise personne ne pardonne la bêtise… Le regard vide elle regarde le maître sortir… Il lui a dit quoi elle n’a pas bien entendus, elle doit se punir.. Oui il y avait le mots punir dans sa phrase…. Il était comme l’autre il lui demandait de se faire mal parce qu’elle avait fait quelque chose qu’il ne fallait pas…

La porte qui se ferme, un frisson qui lui parcours le corps, qui la fait trembler…. Passer doucement le t-shirt, trop juste pour elle, mais qu’elle importance…. Avant de se relever doucement les jambes tremblante, ces yeux courant sans cesse sur l’endroit.. C’est trop riche, trop beau, elle a l’impression d’étouffer… Tremblante elle se dirige vers ce qui lui semble être les chambres… Chercher dans les armoires après un culotte et un short très court… Qu’elle perce pour mettre sa queue…

Son maître lui a dit de se punir, elle en est sure, mais elle ne trouve rien… Comment elle doit faire… Elle ne veut pas retourner dans le salon, c’est trop beau pour elle… Les chambres aussi, elle ne peut pas dormir sur un lit aussi doux…

La jeune femme tourne un peu dans les pièces, ne sachant pas du tout ou aller, tout cela, elle ne connais pas, c’est trop luxueux pour elle… Trop beau… Un instant elle reste devant le frigo son ventre criant famine… Mais elle ne peut pas manger, elle a été méchante, elle ne peut pas prendre dans le frigo de son maître sans demander….

La jeune femme tourna encore et encore dans l’appartement, avant d’aller de nouveau dans la salle de bain, fatiguée… Doucement aller se coucher dans un coin …. Se recroquevillant sur elle même, pour se faire la plus petite, et fermer les yeux… Si personne ne pouvait la trouver .. Plus jamais, juste rester comme cela dans son coin, que plus personne ne lui fasse du mal… Malgré le fait qu’elle soient épuisée et qu’elle tombe endormir, les larmes coulait encore, le froid du carrelage ne l’empêchait pas de dormir, ici au moins c’était propre…

Dormir et ne plus se réveiller, quand elle dors la vachette a le sommeil profond, tranquille.. Et même si son ventre crie famine et que son visage est crisper par des cauchemar elle ne se réveillera pas… Elle ne veut plus se réveiller… Plus jamais…

Bon séjour sur Saol Eile

Forum RPG d'Urban-Fantasy tranche de vie.

Le Staff Complet

A contacter en priorité ♥

Sujets Récents

Nos aventures

Nos Prédéfinis

Top-Sites

Nos Partenaires