Bon séjour sur Saol Eile

L’après-midi touchait à sa fin alors que ainokos et humains marchaient dans la rue pour vaquer à leurs occupations. Personne ne cherchait à savoir ce que faisait l’autre, chacun était dans son monde. Le marché des esclaves essayait de revendre les dernières marchandises, essayant de faire des prix bas pour ces humains que personne ne voulait et on voyait des ainokos libres les regarder de haut en passant ou bien lorsqu’ils étaient intéressés, ils les tâtaient pour essayer de définir la qualité de la personne. Parmi les personnes qui marchaient, on pouvait distinguer un ainoko. Le teint un peu plus pâle que les autres, il était vêtu tout de noir. Cet homme semblait important, d’après ses vêtements luxueux. Chemise, veste, pantalon et chaussures étaient tous d’un même noir et il avançait d’une démarche posée, tranquille et à la fois, il semblait être menaçant. La boucle de sa ceinture représentait le symbole de la famille Kakon, une des familles importantes de l’île, connue pour sa cruauté et ce membre n’était pas des plus gentil d’ailleurs.

Fuubuki du haut de ses dix-huit ans avait commis plus de meurtre que n’importe qui sur cette île. Dès son plus jeune âge il avait été formé à être sans merci, autant pour les ainokos que pour les humains. Ses esclaves sont toutes des femmes qui le craignent terriblement et pourtant, à force de le service, elles se sont aperçues qu’il avait un bon côté, qu’il se refusait d’avouer. En fait, le kakon venait de sortir d’un meeting d’affaire, ce genre de réunion interminable qu’il ne supportait pas, mais il était bien obligé d’y aller, sinon il aurait des ennuis à cause des membres haut placés de la famille. Maintenant libre de tout devoir, l’ainoko pouvait faire tout ce dont il avait envie et d’ailleurs, il avait bien envie de passer au Mugen pour se détendre avec une esclave. L’idée avait jailli aussitôt qu’il avait vu une des nombreuses affiches de publicité que l’on pouvait voir partout dans la ville. Le kakon n’y était d’ailleurs jamais allé, préférant se servir lui même dans les rues sombres dès qu’il avait une certaine envie irrésistible. Ce jour là, il semblait calme, donc tout allait bien, pour le moment.

En entrant dans le bâtiment, il fut accueilli par une humaine des plus délicieuse qu’il déshabilla du regard avec un petit sourire, puis il se dirigea vers une esclave qui travaillait à l’accueil. Il s’appuya sur le comptoir et dit alors calmement :

« Je voudrais prendre une chambre, ainsi que… la fille qui m’a accueilli, là-bas. »

Il désigna la jeune femme qui était derrière lui. Puis retournant son regard rouge sur l’humaine qu’il avait en face de lui, il ajouta :

« Une chambre, un grand lit, mais également toutes sortes de choses qui pourraient servir, vous voyez ce que je veux dire… »

Il humecta ses lèvres en passant sa langue dessus, puis avec un grand sourire, suivit un ainoko qui lui indiqua le chemin, lui proposant de monter à l’étage. Le kakon suivit simplement le guide et lorsqu’on lui ouvra la porte, il regarda l’ensemble de manière satisfaite. Il y avait un grand lit rouge, une grande table blanche étalement. En ouvrant les armoires sur les côtés, il trouva quelques accessoires qui pouvaient s'avérer utiles, bref, tout irait surement bien. S'asseillant dans le grand canapé rouge avec des motifs dorés dessinés dessus, le kakon attendit patiemment qu'on lui envoit l'esclave et que commence la détente.

Bon se soir pas de client qui on réserver.. Donc elle vas devoir accueillir les hotes avec le sourire sur le pas de la porte… Elle aurais préférer rester la nuit avec son maître, mais il avait d’autre affaire a faire… Bref elle doit s’apprêter pour aller accueillir les client… Comme toujours elle prend un soin méticuleux de son corps… Epilation, pas un poil ne lui échappe, elle se préfère lisse, le bain qu’elle prend détends son corps et la calme… Elle a appeler le coiffeur pour rajuster ces cheveux qu’il soient souple et lisse, parfumer… Elle adore cela… Bon que mettre comme vêtements, elle ne se gêne pas pour marcher nue dans sa chambre.. Avant de choisir sa tenue… une rehausse poitrine rouge qui souligne ces seins les laissant libre, un string rouge fendus… Pour laisser libre accès a ces orifices… Un porte jarretelles rouge aussi… Une paire de bas nylon, sa paire de chaussure a talon, avec les attaches… On ne sait jamais… Et par dessus tout sa robe noir et blanche assez courte, le volant soulevant la robe pour laisser de temps en temps entrevoir ses fesses..

Un chignon assez simple, avant de passer sa coiffe blanche, bon c’est parfait comme cela, un rouge a lèvres, du ri-cil et rien de plus, pas besoin, une touche de parfum, en se regardant dans le miroir, elle peut se trouver belle… Impeccable… Ca la fait sourire, elle a changer depuis qu’elle vit ici quelque chose de nouveau brille dans son regard, quelque chose de nouveau brille en elle en fait… Comme si elle se sentait plus sur d’elle … Comme si elle s’était épanouie, oui c’est cela… Elle s’était épanouie, plus a sa place que jamais…

En souriant elle descente les marche ces talons claquant sur le sol.. Que la nuit commence… postée a l’entrée, elle salue chaque personne tranquillement, les menant a certaine endroit si il le voulait… C’est assez épuisant comme travaille elle préfère avoir son client a elle pour la nuit…
Un nouvel homme qui entre, alors qu’elle s’incline devant lui, elle peut voir qu’il porte l’insigne des Kakon, donc il fait partie de la famille de son maître, un instant poser ces mains sur son collier, elle aussi elle en fait partir.. En fait non elle appartiens a Kei, et elle en est fières…

Sous le regard glacial du Kakon, elle peut sentir une légère rougeur apparaître sur ces joues, parce que cela est toujours troublant de voir quelqu’un la dévisager… Surtout quand on sait ce qu’elle porte.. tendre l’oreilles quand il s’adresse a celle qui est a l’accueille, alors c’est elle qu’il veut… Un sourire naquit sur les lèvres de la jeune femme…
Un instant elle suivit l’homme du regard, avant de se diriger vers l’hôtesse d’accueille, elle regarda la chambre qui lui était désignée, juste le temps de passer au bar chercher quelque chose…

Prendre une bouteilles d’alcool et deux verres.. On ne sait jamais, portant le tout avec savoir sur un son plateau, elle monta a l’étage, assez rapidement pour ne pas faire attendre l’homme.. Tranquillement elle entra un sourire chaleureux au lèvres… De sa démarche dansante sexy elle s’approche, en s’abaissant pour mettre le plateaux sur la table basse, elle montre la courbure de ces reins, et surtout dévoie qu’elle ne porte qu’un string fendue… Doucement se redresser.. Et sourire encore, la pointe de ces seins pointant a travers le tissus de son corset…

« Bienvenu maître Kakon…. Je me nomme Tenshi… Je suis tout a vous pour le temps que vous voudrez… Demander et je me ferais un honneur de vous servir… »

Doucement elle s’agenouilla juste a coté de l’homme, pour lui servir un verre ou pour autre chose, elle était juste a hauteur de son sexe, se penchant un peu elle pourrais le prendre dans ces mains dans sa bouche, elle était une des filles qui pouvait aller le plus loin … Pencher doucement la tête sur le coté, et attendre un ordre de l’homme…

Laissons un moment Fuubuki dans sa chambre de Mugen pour le présenter un peu. L’ainoko est jeune, très jeune lorsque l’on sait que les ainokos ont une vie particulièrement longue, si elle n’est pas écourtée par un événement indésirable. Très vite, il a gagné de l’importance dans la famille, notamment grâce à son intelligence. Il a un esprit fin, calculateur et n’hésite pas à prendre appui sur les autres pour sa propre ascension. Le kakon au regard aussi rouge que la braise garde en lui le souvenir d’une injustice. La vue de ses parents assassinés par leur propre famille, il la gardera toujours en lui. Jamais il n’en a touché mot à personne, mais il s’est dès lors, fixé le but de renverser le chef de la famille, pas forcément pour prendre sa place, juste pour la satisfaction d’avoir eu la vie de ce vil corbeau entre ses mains. Malgré tout, il n’était pas devenu mieux que les assassins de ses parents, il en était un lui-même, mais il a gardé son honneur, en acceptant jamais de toucher aux membres de sa famille. Si il le fait, c’est à titre strictement personnel et personne ne le soupçonne, ou n’ose le soupçonner à cause de la peur de représailles.
Fuubuki est un être lunatique, il peut se montrer fort doux avec ses esclaves et d’un coup se mettre à les battre à mort. Cette schizophrénie est d’autant plus accentuée la nuit, le moment où tout le monde dort. La ville devient alors son terrain de chasse et il vit avec les ombres, pouvant apparaître n’importe où et abattre les griffes impitoyables de la mort. C’est en partie grâce à son pouvoir de se fondre dans l’ombre qu’il est devenu un assassin très demandé chez les Kakon. Après tout, quoi de mieux qu’un type qui fait bien son boulot, proprement, rapidement et discrètement ? Intérieurement, il répugne à faire tout acte, qui n’offre pas un profit personnel, mais bon, pour ne pas donner signe de rébellion pour le moment, il se plis aux règles, même si les hauts Kakon ont commencé à s’inquiéter de sa montée. Il monte beaucoup trop vite et trop aisément à leur goût. Se retrouver en présence d’un jeunot dans le conseil ne les enchante pas, c’est pourquoi ils essaient par tous les moyens de mettre un petit frein à l’ascension, ajoutant un certain nombre d’années obligatoire, ou certaines conditions à remplir avant de pouvoir occuper tel ou tel poste.
Bref, assez parlé de lui, nous pouvons maintenant le rejoindre dans la chambre au Mugen. Fuubuki Nälz, auto-nommé pour ne pas souligner son appartenance aux Kakon, était toujours en train d’observer les alentours de la chambre. Les couleurs étaient chaudes, propices aux genres de choses qui pouvaient se passer dans la pièce. L’ainoko tourna la tête pour se regarder dans le miroir. Il avait de légères cernes sous les yeux, cela lui aurait plus uniquement si il était en chasse, ça donnait un aspect encore plus morbide, mais là, il n’était pas en excursion nocturne, il était là pour détendre son corps. Sortant dans la poche de sa veste un paquet de cigarettes, le plus cher bien entendu, le kakon s’en alluma une, non pas qu’il avait envie de fumer ou qu’il aimait ça, c’était juste devenu une habitude. De plus, tous le sommet de toutes les familles faisaient ce geste automatiquement, pourquoi pas lui ?

Soudain, la porte s’ouvrit, laissant passer l’esclave qu’il avait demandé. La demoiselle qui l’avait accueilli, dans ce nouveau contexte, était encore plus attirante. Sa robe noire et blanche laissait paraître quelques fois alors qu’elle marchait, une légère lingerie rouge, mais ce n’est que lorsqu’on est très près et qu’on cherche réellement à regarder à cet endroit qu’on peut remarquer la fente qu’il y a. La jeune femme avait une bouteille et deux verres sur un plateau. Fuubuki trouvait l’initiative plutôt bonne et ne fit aucun commentaire, continuant de recracher la fumée par la bouche. Tenshi avançait d’une démarche envoûtante et son sourire la rendait d’autant plus charmante à regarder. Lorsqu’elle fut assez proche de lui, il écrasa la cigarette sur le cendrier qui était sur la petite table juste à côté du canapé, puis la regarda. Ses yeux, il en avait de tels que lorsqu’on les regarde on a l’impression d’être déshabillé, on dirait qu’ils nous pénètre, pouvant voir le plus lointain souvenir en nous, ou nous obligeant à dévoiler nos intentions. Combien de fois avait-il pu démasquer des espions, juste avec ce regard perçant ? Cela ne se comptait plus. Posant le plateau sur la table basse devant lui, l’esclave lui dévoila aisément son string rouge. Le kakon ne fit aucun commentaire, continuant de la regarder sous tous ses coins. Elle se présenta alors comme le voulait l’étiquette, puis s’agenouilla en face de lui, dans une position qui lui permettrait, soi de verser l’alcool dans les verres, soi autre chose. Elle attendait à ce moment là, un autre de Fuubuki. Prenant son temps, il l’observait encore un peu. Son visage était magnifique, sa peau lisse devait être un régal à caresser. Ses cheveux noirs étaient soyeux, de quoi perdre la tête rien qu’en les caressant. Il remarqua aussi avec amusement la pointe de ses seins qui se dessinait à travers la robe noire et blanche. Puis, il prit enfin la parole, après sa longue inspection. Son regard rouge n’était à ce moment là plus tellement effrayant. Peut-être lorsqu’il est fatigué, le kakon préfère ne pas être trop déstabilisant.

« Votre beauté m’ôte tous les vers que j’avais préparé… Aller, servez-nous un verre à chacun pour commencer la soirée, nous pourrons envisager la suite… Après. »

Fuubuki était toujours enfoncé dans le canapé, il était passif pour le moment, montrant bien qu’après ce verre, il attendait de Tenshi qu’elle commence en douceur en prenant en main certaines choses. La soirée au Mugen, s’annonçait riche en émotion.

Ces yeux rouge elle le trouve magnifique… Percent, transpercent même, mais comme elle n’a rien a cacher, elle s’en fiche, au contraire se regard fait naître en elle quelque chose d’étrange, comme une envie de savoir ce que cache se regard… Elle sait que la plus par des Kakon sont des tueur.. Et si elle savait le nom de celui si, elle pourrais peu être en savoir plus, c’est pas la premières fois qu’elle sert quelqu’un de la famille de son frère et a chaque fois elle se sent a l’aise..

Attendre un mots de l’homme ne le gênait pas, elle pouvait l’observer a envie, son regard brun rouge courant sur son corps, fin mais muscler, un corps qu avait l’habitude de bouger de tuer sûrement, son regard se posa un instant sur les mains de l’homme, fine, elle sait , elle sent qu’elle peuvent blesser mortellement, qu’elle on sûrement été couverte de sang.. Oui des mains de tueur, et cela lui plait.. Quoi … Oui Tenshi n’est pas vraiment comme les autre humains a qui le sang fait peur… La mort et la fin logique de la vie, c’est normale de mourir, sous la main d’un homme ou de dieux…

Un sourire naquit sur les lèvres de la jeune femme, suivit d’un légère rougeur cela lui fait toujours plaisir qu’on la dise jolie… L’odeur de cigarette qui flottait dans la pièces ne la gênait pas.. Elle même ne fumait pas, parce qu’elle savait que cela abîmerais son teint, ne fait a par le sexe elle n’avait pas beaucoup de travers, elle ne buvait pas parce qu’elle perdrais de l’écoute, de l’attention… Elle ne fumait pas, et elle ne se droguait pas… Une hygiène de vie la plus saine possible, pour être la plus belle possible… Doucement se pencher et verser l’alcool dans les deux verre, dans un mouvement toujours sensuelles toujours tranquille, comme si elle savait faire cela parfaitement .. En tendre un au jeune homme souriant …

Avant de se lever délicatement, et de venir s’asseoir tout prés du kakon, sa jambe frôlant celle de l’homme alors qu’elle s’asseait.. Doucement croiser les jambe et caresser de son pieds chausser de cuir brillant caressant la jambes du jeune homme…

« Vous pouvez me dire votre nom ? »

La jeune femme sourit portant le verre a ses lèvres, elle en but une gorgée, doucement, avant de se lécher les lèvres sensuellement, chacun de ces mouvements exprimait quelque chose de doux, de sensuelle a la fois… Doucement poser un regard langoureux sur le corps du jeune homme, alors que sa main viens se poser sur l’épaule du jeune homme, avant de venir effleurer sa joue, passant son doigts sur les cernes de l’homme …

« Vous semblez tendus.. Voulez vous que je vous masse un peu ? »

Se pencher poser son verre, après avoir but un seconde gorgée, se redressant pour passer derrière le fauteuil et faire glisser ces mains douce au ongle manucurer sur les épaules de l’homme, elle pouvait le faire parce que le dossier n’était pas tellement haut… ces mains glissait en douceur sur ces épaules, dénouant les muscles, des mains douce et chaude…

On ne pouvait le nier, la demoiselle esclave était des plus désirables, autant par sa beauté que par ses gestes, ses mouvements sensuels qui respiraient une certaine noblesse, même si elle n’était qu’à l’emplacement le plus bas de la société. Fuubuki pensa pour lui-même, qu’elle devait être très demandé dans cet établissement. Lui-même, n’avait pu songer à qui que ce soit d’autre, après l’avoir vu à l’entrée. Heureusement que personne ne l’avait devancé, il aurait passé une soirée entière, probablement avec une autre esclave dans un lit, mais la satisfaction aurait été moindre, il aurait été frustré de ne pas pouvoir s’offrir cette jeune femme. Oui, il faut le reconnaître, il pensait comme beaucoup d’ainokos, avec ce chosification des humains. Mais cela ne l’empêchait pas de se montrer « humain » lorsqu’il y arrive. L’ainoko remarqua que tout comme lui, elle le regardait en le détaillant. Un léger frisson imperceptible le parcourut en s’imaginant toucher cette peau sans imperfection . Toute sa personne semblait être entretenue, rien que pour le plaisir de tous. Et d’ailleurs, c’était bien réussi, il devait le reconnaître, Tenshi était un modèle de perfection, du côté de la gente féminine. Quel dommage qu’elle ne soit qu’une esclave, ou tant mieux. La jeune femme s’exécuta immédiatement après avoir reçu l’ordre de l’ainoko. Elle versa l’alcool dans les verres et en tendit un à Fuubuki qui le saisit délicatement, frôlant ses doigts par la même occasion, tout en la regardant, d’un air désintéressé et en même temps, qui montrait qu’il la désirait d’autant plus. Elle s’assit ensuite à côté de lui, caressant sa jambe de son pied. C’est alors qu’on lui demanda son nom. L’ainoko n’était pas habitué à ce que les esclaves « osent » lui demander ça, mais pour celle-ci, il pouvait bien le faire.

« Je me nomme Fuubuki très chère. »

Le simple geste de porter son verre à ses lèvres était enivrant, Fuubuki aurait voulu la voir reproduire cela à nouveau, mais en même temps, chaque mouvement débordait de grâce et de sensualité. L’esclave continuait son jeu de séduction, posant sa main sur son épaule, puis passant ses doigts sous les yeux du kakon. L’ainoko laissait faire, absolument pas indigné de ce comportement. Il n’allait pas faire son difficile maintenant qu’il avait ce qu’il voulait, c’est-à-dire elle, Tenshi Shino. Continuant comme si c’était tout naturel, l’humaine lui proposa un massage, chose à laquelle il ne disait pas non, bien au contraire, cela lui ferait le plus grand bien. Il hocha la tête pour donner son accord, s’accoudant sur le coin du canapé en continuant à prendre quelques gorgées d’alcool.

"Volontiers, cela ne peut que me faire du bien.

Les mains de l’esclave vinrent bientôt se poser sur ses épaules, et elle commença à le masser doucement, décrispant tout le haut de son corps fatigué de la journée. Le kakon se laissa aller contre le canapé rouge et posa lentement le verre sur la table qui était à sa gauche. Il ferma les yeux et soupira de satisfaction. Décidément, elle savait y faire pour détendre le client. Le massage continuait encore un peu, jusqu’au moment où Fuubuki prit la main de Tenshi pour l’arrêter. Il la tira légèrement en avant, de sorte que son visage soit juste à côté du sien. Fermant les yeux, il se délecta de l’odeur de sa personne, ses cheveux, sa peau, elle sentait tellement bon.

« Merci pour ce massage, je me sens déjà plus délassé. Maintenant, vous pouvez continuer le massage, un peu plus bas si vous le désirez .»

Une invitation non dissimulée qu’il venait de faire. Le kakon avait grandement apprécier ce début qui lui avait permis de se détendre. Et toujours comme si ça lui était égale, il avait ajouté que c’était uniquement si elle le désirait, qu’elle le ferait tout de suite. Maintenant, il se sentait déjà mieux, et se sentait l’âme, déjà un peu plus pervertie. Lâchant la main de l’esclave, il remarqua avec amusement son pantalon légèrement déformé, une excitation naissante se trouvait sous le tissu.

"Avez-vous déjà un maître?"

Il se doutait bien de la réponse, mais voulait tout de même connaitre l'identité de la personne, si Tenshi la dévoilait. Les yeux du kakon s'égarèrent sur les formes généreuses de l'esclave derrière lui et essaya d'imaginer ce qu'il y avait en-dessous de cette robe. Le futur le lui apprendrait bien de toute manière.

Tenshi savait qu’elle pouvait faire de l’effet, parce que c’était a cela qu’elle avait été formée, qu’elle avait vécut depuis toujours, elle avait toujours vus les un et les autres se séduire, se parler comme cela… Les doigts de l’homme frôle le sien, alors qu’elle sourit un peu plus fort, elle a apprit très jeune a se débrouiller et a comprendre les hommes… Enfin les réactions de leur corps…
Très cher, comme cela est étrange de s’entendre appeler comme cela, comme c’est étrange d’entendre se mots.. Cela fait longtemps que personne ne l’a appelée comme cela… Encore une fois elle sentit une légère rougeur parcourir ces joues…

Fuubuki, oui elle avait déjà entendus se nom, des Kakon qui en parlait a son maître sans qu’ils ne fassent attention a elle, un tueur, de sang froid, plus jeune que la plus pars des tueurs des Kakon, qu’il montait rapidement les échelons.. Bref un client intéressant…
Mais il semblait vraiment fatiguer comme quelqu’un qui ne dormait pas beaucoup… Pourquoi les Kakon passait leur nuit a faire autre chose que dormir, enfin certain chose elle apprécie…

Elle aime toucher les autre, sentir son sa main, la douceur de leur peau, enfin la il y avait un peu de vêtements… Voir son visage aussi proche de celui du Kakon, lui donne envie de l’embrasser, si lui respire son odeur elle fait de même, un odeur masculine, forte et froide a la fois.. Elle n’arrive pas a déterminer ce qu’est cet homme, mais elle aime bien son odeur…

La jeune femme sourit, laissant ces mains glisser un peu plus bas sur le corps de l’homme venant masser le bas de son dos.. Doucement, toujours avec ces mouvements sensuelle, chaud… Si il elle le désirais avait t’il dit… Oui elle le désirait, un instant sa main se perdit sur le devant de son pantalon, elle n’eu aucun peine a sentir qu’elle lui faisait de l’effet, et cela la réjouis, un peu plus…

Un sourire.. Un maître, un instant le regard de la jeune se perdit au loin sur son corps elle portait les marque de celui a qui elle appartenait, les deux corbeaux sur ces reins au bas de son dos le montrait bien, comme les piercing qu’elle portait au tétons…. Et puis son maître elle l’adorais, elle ferais tous ce qu’elle peut pour rester dans ces bonnes grâce, elle sait que l’un des meilleur moyen est de faire se travail, qu’elle aime en fait…

« Oui j’ai un maître… Kei Kakon, le propriétaires de cet endroit. »

La jeune femme sourit encore un peu plus fort, laissant ces doigts finir leur travail, avant de se redresser.. et de revenir prendre son verre… Faire un instant tourner l’alcool dans le verre… Avant de tourner ces yeux de biche sur le corbeau…

« Vous voulez un peu d’alcool, je connais une manière agréable de le boire. »

Un sourire alors qu’elle porte encore son verre a sa bouche, versant l’alcool en douceur dans sa bouche mais sans avaler, doucement elle se penche venant poser ces lèvres sur celle du kakon, pour doucement faire couler le liquide dans sa bouche, ces lèvres coller au sienne en douceur… Quand elle n’a plus d’alcool dans sa bouche, elle viens lécher en douceur les lèvres du corbeau, alors que sa main se pose un instant sur son entre jambes…

« Vous voulez peut être que je détente cet endroit aussi. »

Doucement la main de la jeune femme effleure le bas ventre du jeune homme, sa main caressante même a travers le tissus les couche de tissus, mise comme elle était, il avait du regard libre assez a son decolter assez plongeant, un contraste entre sa peau blanche et le noir de sa tenue…

Se portant de mieux en mieux, le kakon profitait de la proximité de l’esclave pour la sentir sans s’en cacher. Elle fit d’ailleurs de même appréciant probablement autant que lui cet échange olfactif. Fuubuki était surpris de voir à quel point Tenshi arrivait à faire tout ce qui lui plaisait sans qu’il n’ait à ouvrir la bouche. L’expérience l’avait probablement aidé, il n’était pas le premier client, oh que non. Lorsque l’ainoko se présenta, l’humaine sembla reconnaître ce nom, souvent associé au mot meurtre. Bien entendu, toutes les preuves contre lui étaient toujours parfaitement effacée, on lui fournissait toujours un alibi. L’esclave descendit lentement ses mains après qu’il le lui propose. L’homme-corbeau aimait sentir ces mains sur son corps, elle se penchait d’ailleurs un peu plus donc il n’avait qu’à tourner la tête pour apercevoir un décolleté plongeant. Pourtant, il n’en fit rien, et continu de laisser faire l’esclave. Voulant connaître d’avantage sur cette esclave, il demanda qui était son maître. Kei Kakon, le propriétaire du Mugen. Et bien, il avait fait une charmante acquisition. Au ton qu’employait Tenshi en prononçant le nom de son maître, Fuubuki devina qu’elle tenait beaucoup à lui. Un rictus s’afficha sur son visage sans qu’elle ne puisse le voir. Il allait se renseigner sur cet ainoko qui appartenait à la même famille que lui, celle des corbeaux de malheur.

« Je vois…. »

L’esclave finit par retirer ses mains du corps du jeune ainoko et revint à ses côtés, prenant son verre d’alcool qu’elle fit légèrement tourner avant de lui proposer de l’alcool. Fuubuki comprit immédiatement le sous-entendu, et sourit en la regardant.

« Et bien, je vous fais confiance. »

Le kakon la regarda prendre l’alcool dans sa bouche et s’approcher de lui. L’odeur du liquide sentait déjà alors qu’elle n’avait pas encore collé ses lèves contre les siennes. Ses lèvres à lui s’entrouvrirent et il accepta l’offrande, avalant le breuvage offert par l’incarnation d’une déesse. La langue de l’esclave vint ensuite récolter le reste d’alcool qu’il avait sur les lèvres, si il y en avait, et approcha en même temps sa main de la petite bosse formée. Elle était assez penchée pour que le kakon puisse observer autant qu’il le voulait sa poitrine, encore cachée partiellement par la robe. Fuubuki gardait son sourire calme et haussa les épaules en guise de réponse.

“Je me trouve particulièrement inconfortable en cet endroit, vous pourrez sûrement y remédier. »

Le kakon posa son index sous le menton de l’esclave et attira son visage vers le sien pour prendre possession de ses lèvres à l’arrière goût d’alcool, puis, il caressa sa joue de son doigt, dessinant le contour du visage de la magnifique esclave. Si elle avait été sa chose, comme la vie aurait été plus belle. Il se surprenait à envier son maître. Mais l’heure n’était pas à penser à ce genre de choses. Il lui était offert la possibilité de posséder Tenshi pour une nuit, pourquoi gâcher ce moment en pensées futiles ? Fuubuki relâcha le visage de la belle et prit un de ses seins en main, sans gêne. Il le tâtait à travers le tissu, jugeant de la perfection de la chose. Sa poitrine était ferme, généreuse, et l’esclave semblait légèrement excitée vu les pointes dures qu’elle avait. Satisfait de son inspection Fuubuki reposa sa main sur le canapé et murmura :

»Je vous en pris, vous pouvez procéder.

Le regard rouge de Fuubuki ne quittait pas l’esclave. Il l’observait sans cesse et voyait que son regard la faisait rougir un peu. Elle était attirante, parfaite, trop parfaite et c’est ce qui la rendait unique.

Bien sur qu’elle aimait beaucoup Kei, le Kakon était ce qu’elle avait toujours chercher chez son maître, une force certain, une prestance, de la douceur et de la violence, savant mélange de tout… alors que son ancien maître n’était rien de toute cela, juste une larves qui se ventait d’elle sans jamais avoir rien fait, la jeune femme étant soumise de nature… Elle sourit il lui faisait confiance, se mots avant d’arriver dans cet endroit peu de monde le prononçait, pourtant a présent elle

Pourtant avec Kei, elle sentait qu’il lui faisait confiance, pas comme a un égale, de cela elle ne se fait pas d’illusion… Elle savait que pour une esclave, elle valait quelque chose mais comme égale rien du tout, le plus souvent elle vas chercher a en apprendre plus sur son maître… en parlant au plus vieil employer, c’est celui qui le connais le mieux… enfin elle ne doit pas penser a lui pour l’instant.. C’est pas le bon moment…

Elle aime sentir les lèvres de l’homme sur les sienne, douce pour l’instant, elle se demande un peu ce qu’elle donnerais sur un autre endroit de son corps, bah elle le verrais sûrement par la suite… Un sourire encore, oui elle voyait bien qu’il était assez inconfortable a cet endroit, mais elle était la pour le soulager, pur toute la nuit…
Se laisser faire, savourant le baiser, sa langue venant a la rencontre de sa jumelle, sans peur , elle aimait se genre de jeu, au contraire de certain fille de cet endroit… Elle aimait aussi sentir la main de l’home sur son visage, cette mains qui descente sur son seins.. Des seins qu’elle sait percer, normale c’est kei qui l’a fait, deux piercing, un a chaque téton, aujourd’hui de simple petit boule de titane… Cette mains sur son seins, cela la fait gémir en douceur…

La jeune femme sourit un peu plus fort venant se mettre a genoux juste devant l’homme, sa main se posant sur son pantalon qu’elle ouvrit en douceur, caressant le sexe de l’homme a tout moment, doucement faire glisser le pantalon le long de ces jambes, venant poser ces lèvres a travers du sous vêtement sur la bosse… Avant de poser ces mains sur l’élastique du sous vêtement et de le baisser a son tour, venant poser sur le sexe une flopée de baiser léger… Sa langue piercée, venant caresser la peau douce et chaude, avec une mimique de gourmandise d’envie, la langue de la jeune femme se perdit sur le gland, quelle prit doucement en bouche, venant l’enfoncer peu a peu dans sa bouche, doucement comme pour faire montrer la pression, le retirant pour le lécher avant de le reprendre en bouche.. Ces doigts jouant sur les bourse de l’homme… Enfin elle le mit complètement dans sa boche, et commença a sucer en douceur, ces joues creuse pour bien l’aspirer, un bouche qui savait ce qu’elle faisait et qui aimait cela…

Les plus fraîches acquisitions de Fuubuki en matière d’esclaves remontaient à un bail. La plus récente avait été Kiara, mais celle-ci s’était envolée, probablement échappée. Le maître s’était au départ soucié d’avoir dépensé de l’argent pour rien, et l’avait cherché activement, puis comme on change de jouets, il avait rapidement laissé tomber, jugeant la personne trop secondaire pour qu’elle mérite autant d’attention de sa part. Autant est-il qu’il allait devoir bientôt aller au marché, le manque de nouveauté était trop présent dans son manoir, cela l’ennuyait de voir toujours les mêmes têtes. Son humeur était d’autant plus cassante, puisqu’il était agacé et c’était sur les esclaves que cela retombait. Encore l’autre jour, il en avait utilisé une jusqu’à épuisement. Elle était déjà proche du coma, mais peu lui importait. Le besoin d’aller voir ailleurs s’était fait ressentir, et le voilà au Mugen en présence d’une créature magnifique. Les humaines sont tellement fragiles hélas, mais ce sont les plus belles, il ne pouvait dire le contraire.

L’ainoko avait pendant son inspection, senti des corps étrangers sur les tétons de Tenshi, mais il n’avait rien laissé paraître. En réalité, il n’était pas réellement emballé en voyant des poitrines ainsi décorées, mais sur cette esclave, l’image devait être un régal. Maintenant, l’humaine était à ses pieds, à genou, prête pour ce qu’elle allait bientôt lui faire. Les jolies mains fines de la belle ouvrirent le pantalon, caressant le boxer de ses lèvres. Elle y allait lentement, ce n’était que plus délicieux, cette sensation d’attente, elle semblait arriver, mais il y avait toujours quelque chose qui ralentissait, reportant le moment attendu. Le pantalon noir du kakon était par terre, il fut ensuite suivi d sous-vêtement de Fuubuki. Immédiatement, l’esclave embrassa le membre tendu, puis passa sa langue percée sur son gland. Un frisson délicieux parcourut le corps de l’homme-corbeau et il sourit un peu plus. L’esclave savait ce qu’elle faisait, elle était habituée et c’était très bien. Faire ces choses avec les personnes sans expérience est lassant, barbant, limite agaçant lorsqu’on recherche le vrai plaisir. Fuubuki a régulièrement utilisé toutes les esclaves à sa disposition, aucune n’y avait échappé. D’ailleurs, aucune ne le regrettait, Fuubuki savait y faire avec les femmes.

Tenshi continuait le geste, léchant pour ensuite prendre en bouche le membre gonflé, elle continuait alors que le kakon sentait le plaisir l’envahir. Il regardait toujours l’esclave, adorant l’image qu’il avait d’elle en train de pratiquer ce genre de choses sur lui. Sa main caressa la joue de Tenshi et il lui murmura :

« Vous êtes douée…Au fait, je me demandais si cette robe ne vous tenait pas trop chaud. Vos joues semblent rougir de plus en plus… »

Fuubuki se pencha en avant et saisit le bas de la robe noir et blanche, arrêtant un instant l’activité de l’esclave. Il tira vers le haut le vêtement, doucement sans brusquer les choses et le déposa par terre à côté de son pantalon. Enfin, il voyait cette poitrine et en effet, deux boules de titane l’ornaient. Le kakon sourit un peu plus en prenant un sein dans sa main, il commença à le masser.

« Vous pouvez reprendre, je pense que vous serez plus à l’aise maintenant. »

Toujours faire dans la discrétions et la douceur, ne jamais pousser sur un trait le souligner sans l’exagérer… Son corps était un œuvre d’art , un œuvre que son maître avait garnis… Qu’il avait rehausser de certain bijoux, elle avait toujours aimer les bijoux, elle les trouvait beaux, mais il fallait qu’il soient discret…
Elle aimait aussi faire durer le jeu, savoure ce qui lui était offert chaque instant au maximum, sans jamais rien regretter, cela faisait bien longtemps qu’elle avait oublier ce que cela signifiait regretter…

Un regard sur l’homme lui disait qu’il aimait bien ce qu’elle faisait, et personnellement elle aimait quand les homme qu’elle suçait la regardait, quand elle sentait sur elle leur regard… Surtout un regard aussi perçant comme lui… Bien sur qu’elle savait sucer elle avait de l’expérience, elle avait commencer assez tôt, bien avant de s’accoupler, de jouer plus loin, touche, sucer elle connaissait cela depuis longtemps elle aimait cela, c’est ça le plus chez elle…

Elle chaud bien sur qu’elle avait trop chaud… Elle sourit au jeune homme, cessant de le sucer un instant se laissant enlever sa robe en douceur, révélant ces dessous rouge… Ces seins souligner par le rehaussement rouge sang… Il pouvait aussi voir quand elle se pencherais son tatouage qui montre avec plus de force encore que son collier son appartenant a Kei…

Un soupire de plaisir lui échappe quand elle sent la main de l’homme sur ces seins, alors qu’elle se penche a nouveau, venant prendre dans aucune peur, sans aucune remord avec même gourmandise, le sexe de l’homme, le suçant avec plus de force qu’avant, creusant les joue elle le prit bien profondément dans sa bouche, presque complètement en bouche, sa langue bougeant sans cesse pour le caresser..
Doucement elle imprima le mouvement de quelque vas et viens doux… Avant d’accélérer.. Changeant ensuite encore de manières, prenant le sexe dans ces deux mains elle masturbe avec plus de plaisir encore sa langue titillant son gland, avant quelle ne penche un peu plus la tête venant sucer ces bourse, le prenant avec plaisir dans sa bouche… Ces mains douce et chaude s’activant sur la colonnes de chair..

Un instant redresser la tête et sourire au kakon, avant de reprendre son sexe en bouche, creusant les joue pour le pomper avec force et savoir, poussant des petit gémissement d’envie, qui montrait qu’elle aimait ce qu’elle faisait, et qu’elle continue avec plaisir.. Son regard lever vers l’homme, luisait de cette lueur de désir ou se mêle la soumission…

Maintenant, Fuubuki était aux anges. Cette esclave l’y avait lentement mené et il l’avait suivi sans peur, sans aucune soupçon ; elle l’avait mené à bon port. Tenshi semblait savourer la chose tandis que le kakon soupirait longuement, tranquillement adossé au dossier du canapé. Il semblait être complètement hypnotisé par chacun des mouvements de l’esclave, des mouvements enivrants qui lui procuraient du plaisir, un énorme plaisir. Le kakon avait rarement ressenti ce genre de choses, la technique de celle-ci était parfaite, il ne trouvait rien à redire. Kei Kakon, cet abruti avait donc su trouver, former une esclave à la perfection. L’ainoko ferma brusquement les yeux alors qu’une vague d’émotion l’envahissait. Puis lorsqu’il réouvrit les yeux, il croisait le regard de l’esclave. Elle aimait ce qu’elle faisait et elle le désirait lui également, cela se lisait dans ses yeux magnifiques. Fuubuki la stoppa un moment pour lui enlever sa robe et put voir le rehausse sein rouge, le collier qui faisait d’elle la chose de son maître, et aussi ses percings. L’ainoko se radossa au canapé et prit un sein en main en le malaxant. Tenshi accélérait le mouvement, il faisait de même sur sa poitrine. D’une main, il la touchait, ses cheveux noirs, son visage, sa poitrine, c’est tout ce qu’il pouvait atteindre pour le moment. La jeune femme prenait de plus en plus brutalement son sexe, le suçant fortement. Elle le prenait entièrement dans sa bouche, accentuant les pressions dessus. Le kakon était ravi, elle faisait les choses à la perfection.
Bientôt, il se surprit à avoir chaud lui aussi et il enleva sa veste, pour rester en chemise. Le bouton d’en haut fut retiré et il prit ensuite les mains de Tenshi, l’arrêtant par la même occasion, pour les ramener sur sa chemise. Il voulait qu’elle la lui enlève. Ainsi, elle était de nouveau debout, penchée sur lui. Ses seins pendaient devant ses yeux rouges et il aimait les voir. L’ainoko regarda également un peu plus le string rouge qui avait attisé sa curiosité. Ses mains s’emparèrent des seins de Tenshi, et il ramena sa poitrine vers son visage en la suçant lentement, laissant pendant ce temps le loisir à Tenshi de lui enlever définitivement sa chemise noire. Il suçait, léchait cette poitrine de déesse, massait et caressait à la fois. Lorsque tous les boutons furent retirés, il la lacha pour enlever rapidement la chemise et attira le visage de l’esclave vers le sien. Il déposa ses lèvres sur les siennes et murmura en la regardant dans les yeux :

Vous êtes délicieuse à regarder… Je me demande si vous êtes également délicieuse à goûter…

Le regard rouge de Fuubuki en disait long sur ce qui allait suivre. Il dirigea à nouveau le visage de Tenshi vers son sexe tendu, tandis qu’il la faisait lentement grimper sur le canapé. Il fit passer une jambe de l’autre côté et l’humaine se retrouva, la tête vers le bas, une position assez étrange, mais qui allait être propice à beaucoup de plaisir. Le kakon observait la fente qui lui était offerte. La string ne cachait rien du tout, il n’avait même pas besoin de le retirer. Son œil expert remarqua un léger filet transparent qui coulait de l’intimité de l’esclave. Sa langue passa dessus pour le récolter. Fermant les yeux, il savoura un moment ce jus corporel, avant de pencher de nouveau, la langue sortit pour redonner un coup de langue sur toute la fente. Ses mains tenaient la taille de Tenshi pour qu’elle ne glisse pas. Un sourire pervers était posé sur les lèvres du kakon.

Dites moi, voulez-vous que je goûte à votre personne ?

Comme pour forcer la réponse à venir, alors que Tenshi avait la bouche occupée, l’homme corbeau lécha à nouveau l’intimité qui commençait à mouiller un peu plus.

Kei n’avais pas former Tenshi pas totalement en tous cas, quand elle était tombée dans ses mains elle était déjà assez bien formée, elle savait déjà faire tous ce qu’elle faisait, Kei lui avait donner un envie de plus, un but en plus tous simplement… Elle aimait sentir les mains de l’ainoko sur sa poitrine, depuis longtemps elle savait que c’était la un des ces points sensible, il ne fallait pas grand chose pour que ces téton se dresse sous le plaisir… Cette mains qui se promène sur son corps, sur son visage ces cheveu, elle aime qu’on la touche quand elle suce, quand elle donne du plaisir, parce que cela veut dire qu’elle fait du bien…

Doucement haleter quand il lui retire son sexe de la bouche, souriant elle se lécher les lèvres, elle aime bien cette sensation.. Elle aime tout en fait… Tous ces jeux de chair, ces jeux qu’elle partage avec d’autre … Doucement poser ces mains sur la chemise du jeune homme, de la bonne qualité si elle sentait bien, de la très bonne d’ailleurs.. Ces mains sur ces seins, dieu qu’elle pouvait aimer cela, elle sentait ces doigts faire durcir rapidement ces tétons… Elle allait doucement pour enlever la chemise, savourant le contacte des ces lèvres sur son tétons…

Un baiser, peu de monde lui en donnait de cette saveur… Oui parce que les lèvres du kakon lui plaisait bien…

« C’est a vous de le découvrir… Maitre Fuubuki »

La jeune femme avait fait rouler le nom de l’homme sur sa langue, doucement comme si elle le dégustait, avec toujours cette sensualité a fleur de peau… Toujours cette envie dans la voie.. Doucement elle viens reposer sa bouche sur le sexe de l’homme suivant le mouvement que l’homme lui imprime… elle est un peu étonnée par la position, mais cela ne l’empêche pas de venir reprendre le sexe de l’homme dans sa bouche et de le sucer un peu plus passionnément… Doucement enrouler sa langue sur le sexe, le sucent en douceur, tranquillement.. Un gémissement étouffer qui lui échappe quand elle sent la langue de l’homme venir effleurer son sexe, qui déjà s’humidifie… Ces petit coup de langue, doux pas presser, la font gémir le sexe dans sa bouche, les étouffant un peu…

La jeune femme gémit encore une fois… C’est pas facile de parler la bouche pleine, la jeune femme laissa échapper quelque mots, qui se devait complètement incompréhensible… Mais elle continuait a sucer le sexe de l’homme, avant de se décoller, doucement, poussant un peu sur ces bras… Pour parler d’un voie rauque, envieuse…

« Oui j’ai envie que vous me goûtiez, que vous me dévoriez même »

La jeune femme eu un sourire alors qu’elle laissait sa bouche reprendre possession de cette tours de chair bouillant, qu’elle suçait, pompait, avec plus de délectation sa chaque minutes, ces doigts agile, d’un main venant se poser sur les bourse de l’homme, les caressant avec adresse, les pinçant en douceur, les soupesant… Dans cette position sa bouche, pouvait encore plus prendre le sexe de l’homme en elle… Plus profond encore… Et cela la faisait gemir…

Le plaisir de la chair, Fuubuki ne pourrait jamais s’en lasser. A une époque, il avait pris l’habitude de prendre une esclave chaque matin à son réveil. Cette époque était révolue. Maintenant il se servait directement là où il le voulait étant devenu plus fort, et ayant plus d’influence qu’auparavant. Mais le retour aux sources, les maisons closes, était bien réussi. Le Mugen était très célèbre, connu sur toute l’île pour contenir des créatures incroyables qu’on ne peut voir nulle part ailleurs. Il était réputé pour avoir les plus belles humaines et ainokos asservis.
Le maître kakon recevait une magnifique fellation et bientôt, l’envie de donner à son tour survint. En regardant ce corps presque nu, il n’avait pu contenir le désir de la déguster. L’ainoko sourit à la première réponse de Tenshi, alors qu’il se demandait innocemment si elle était délicieuse. L’esclave utilisait les mots juste pour répondre, n’en ajoutant ni trop ni pas assez, juste les réponses suffisantes. Prenant alors les mesures nécessaires au goûter, l’homme corbeau fit tourner le corps de l’esclave dans une position assez étonnante. Tenshi reprit rapidement son mouvement, utilisant sa langue à merveille sur la colonne de chair qui restait parfaitement droite, ne pouvant plus grandir d’avantage.
Lui était face à une fente humide qu’il goûta timidement. Il demanda perversement à l’esclave si il pouvait goûter, mais celle-ci voulait qu’il la dévore. Volontiers, il n’allait pas se gêner. Sa langue repassa sur la fente, maintenant il n’hésitait plus, il ne faisait pas durer, il en avait trop envie, envie d’elle, de cette humaine magnifique. Il sentait que ses seins s’écrasaient contre son ventre, il sentait que sa langue repassait le long de son membre pour rejoindre le gland et puis le reprendre en bouche, il sentait tout cela et ça le ravissait.
La langue du kakon commençait à titiller le bouton de bonheur de la femme, puis se glissa entre les lèvres intimes pour stimuler l’entrée. Sur sa langue se déposait en même temps le liquide transparent de plaisir. Il ajouta ses lèvres, appliquant un suçion, comme si il voulait aspirer ce jus qui sortait d’elle. Les gémissements de Tenshi l’encourageaient à continuer ce qu’il faisait, léchant maintenant très rapidement autour de l’intimité. Il fit glisser sa langue un peu plus haut, l’orifice anal était encore fermé, mais il ne tarderait pas à s’ouvrir pour laisser le passage, plus tard dans la soirée, pas immédiatement. Le visage du kakon s’appuya contre l’intimité féminine et il commença sérieusement à la déguster, usant de la langue et des lèvres pour caresser tout ce qu’il pouvait. Il durcit sa langue pour la glisser dans l’orifice humide, appliquant un petit va et vient. Bien entendu, il ne pouvait aller bien loin, il faudrait bien autre chose. Reprenant sa respiration, Fuubuki murmura à l’adresse de Tenshi :

« Comme prévu, vous êtes délicieuses mademoiselle, j’en profiterai bien encore un peu… »

Et le kakon s’en allait à nouveau sur l’entre-jambe de l’humaine qui le suçait avec toujours autant de ferveur. Il sentait que bientôt, il allait avoir sa première sortie, elle le sentirait bien de toute manière, lorsque sa langue sentira un nouveau goût. Fuubuki caressait des mains le dos de l’esclave, glissant plus bas pour caresser ses belles épaules. Elles remontèrent ensuite, prenant les belles fesses rondes sans se gêner. Elles étaient aussi bien formées que sa poitrine. Le kakon soupirait de plus en plus longuement, en même temps qu’il donnait le plaisir à Tenshi et qu’elle lui en donnait. Fuubuki s’imaginait déjà prendre possession de son corps, puis il se rappela de tous les jouets qu’il y avait dans les armoires. Les choses pourraient après, prendre une nouvelle tournure, encore plus excitante. Finalement, il finit par lâcher sa semence en même temps qu'un cri éclata dans la salle. Souriant tout en haletant, d'une voix rauque, l'ainoko ordonna:

"Utilisez votre poitrine aussi, utilisez votre imagination pour faire les choses les plus folles, cela rendra la chose que plus délicieuse."

Pour l'instant, il lui laissait carte blanche, il ne se faisait pas de soucis quant à l'imagination de l'esclave. Les jeux, elle devait en connaitre. En attendant, il suçota soudain le bouton de bonheur, créant une nouvelle montée de plaisir chez l'esclave qui mouillait encore d'avantage.

Dieu qu’elle peu aimer quand les homme son aussi solide que celui la… Quand même les ainoko sont bien mieux que les humains, elle l’a toujours penser et le pensera toujours, son plus grand rêves étant de devenir l’une d’eux, même si elle sait qu’elle n’ a pas grande chance… Qu’elle ne pourra peu être jamais en devenir une… Enfin le rêve et beau et ne fait pas de mal…

La langue de l’homme sur son intimité la faisait pousser de petit gémissement étouffer par ce qu’elle suçait … Elle pouvait sentir la langue de l’homme venir faire durcir légèrement son clito, la faire pousser des petit gémissement un peu plus puisant…

Elle aimait sentir cette langue lécher l’entrée de son intimité, son corps frissonnait de ce qui allait bientôt arriver… Un frison quand elle sentit la langue venir sur son anus, dieu qu’elle pouvait aimer quand on la prenait par cet endroit… Quand la langue glissa en elle, la jeune femme poussa un petit cris plus puissant, savourant le savoir , le plaisir qu’elle dispensait… Qu’il en profite, elle est a lui pour la nuit, son corps, tout son attention lui est dédiée se soir… a lui et a personne d’autre.. Sauf si il le veut….

Elle sentait sur sa langue le gouts du prés sperme, signe que l’homme allait bientôt lâcher la sauce, elle n’en suça que plus fort, pompant, en gémissant… Elle aimait sentir les mains de l’homme sur sa peau, ces mains emprisonner ces fesse, celle de la jeune femme courait la ou elle le pouvait… Elle sentit la semence de l’homme couler dans sa bouche, elle l’ouvrir doucement laissant quelque goutte de sperme couler sur le sexe de l’homme, elle adorait le gout… Elle adorait l’avaler…

"Vous êtes vraiment .. succulent maitre Fuubuki.."

Sa poitrine, la jeune femme sourit un peu plus fort se redressant un peu, prenant ses seins entre ces mains, enserrant le sexe de l’homme, dans ces clobe de chair, l’enserre assez force et malaxer en douceur, poussant un petit cris de plaisir en sentant la bouche de l’homme jouer avec son plaisir, la jeune femme était bouillante… Baisser un peu la tête pour venir sucer le sexe de l’homme comme cela, elle pouvait le masturber avec ces seins, et le sucer a loisir… Sa langue piercée le lâchant, le titillant de son piercing, en douceur, pour toujours donner le plus de plaisir…
Il pouvait aussi des fois sentir ces doigts sur son sexe, elle cherchait a le satisfaire le plus possible, alors qu’elle prenait un grand plaisir a le sentir la lécher, déjà elle était prêtes a allez plus loin si il le voulait…

L’ainoko savait qu’il deviendrait fou si il restait plus longtemps dans cette position, mais étant sadique de nature, pour lui-même également, le kakon continuait de déguster ce mets délicat que Tenshi lui offrait. Chaque passage de sa langue sur ses lèvres intimes provoquait une exaltation intérieure qui le ravissait. Le jeune maître avait regardé le cou de Tenshi, lorsqu’elle avait dégluti en avalant toute sa semence, il avait aimé la regarder faire ce geste anodin. Cela témoignait de sa perversité et il ne l’en blâmait pas. Ce percing sur sa langue ajoutait des sensations qu’il n’avait jusqu’alors jamais senties et cette découverte lui plaisait énormément. Peut-être qu’il ferait percer la langue d’une de ses esclaves, ou bien tout simplement, qu’il reviendrait voir Tenshi, oui, peut-être.

La voix sensuelle de l’esclave parvint à ses oreilles. Elle avait aimé son jus. Mais maintenant, il lui demandait de continuer, avec sa belle poitrine. Cette masturbation était tout simplement parfaite et pour la récompenser, il mettait tout son savoir dans ce qu’il faisait. Sa langue tournoyait avec rapidité et ses doigts entraient dans le jeu. Il s’occupait maintenant de son anus avec sa langue et sa main caressait son clitoris avec force, assez pour qu’elle jouisse de plaisir, pas assez pour qu’elle ait mal, après tout, ce n’était pas le but. Bien vite, le kakon sentait qu’il ne pourrait plus tenir. Il était arrivé à la limite du possible. Ses dents se plantèrent sans douleur pour Tenshi, sur sa fesse, puis il lécha les marques qu’il avait laissé. Sa voix rauque s’éleva, contenant toute l’envie du kakon.

« Tenshi, je vous veux ! »

Toujours garder cette distance entre eux, ce vouvoiement, sans pour autant paraître la mépriser. Non, il conservait son rôle de maître mais remerciait l’esclave pour le bien-fait qu’elle lui donnait. Une autre esclave, il l’aurait peut-être insulté, brutalisé et utilisé comme n’importe quel jouet. Pour le moment, Tenshi était bien plus qu’un jouet, elle était l’incarnation de la perfection lorsqu’il s’agissait d’esclave. Le maître kakon laissa le corps de l’humaine tomber sur le côté du canapé, qu’elle finisse ce qu’elle faisait rapidement, puis brutalement, elle se retrouva allongée sur le dos. Le kakon était à quatre pattes au-dessus d’elle et son regard rouge en disait long sur ses envies. Sa main rejoint la fente offerte par le string et il glissa sans crier garde, un doigt dans le vagin de l’esclave, le retirant presque aussitôt. Il suçota son index imprégné de mouille, sans quitter le beau regard de Tenshi, puis murmura :

« Qu’est-ce que je suis censé faire maintenant ? j’ai hélas un trou de mémoire, peut-être que vous pourriez m’aider ? »

Fuubuki savait parfaitement ce qu’il devait faire, mais il prenait plaisir attendre de la bouche de l’esclave la demande. Prenant son temps, il l’embrassa langoureusement, montrant dans ce baiser à quel point il la voulait. Sa main perverse fit à nouveau le même mouvement, entrant un doigt pour le retirer rapidement, comme si il n’osait pas.

La jeune femme pouvait sentir une certaine tension dans le jeune homme, elle la percevait plus qu’autre chose un instinct pousser qui lui disait que l’homme la désirait, ils ne pouvaient, tous ne pas comprendre le plaisir qu’elle avait a se savoir désirable, et cela depuis si longtemps… Son piercing elle savait que pour la plus par c’était quelque chose de nouveau, quelque chose que beaucoup aimait, une surprise en plus…

Mon dieu mais sa langue était quelque chose de divin, de si délicieux, qu’elle ne poussait des petit cris de plaisir… Elle aimait sentir aussi ces doigts sur son clito, la faire gémir un peu plus fort, cette langue sur son anus, c’est tous ce qu’elle aime… elle poussait des cris de plus en plus forts sous les caresse habille de ces doigts… Un petit cris de surprise en sentant ces dents dans son fessier, dieux qu’elle aimait cela… Sa langue qui lécher la plaie apaisante…

Il la voulait… La jeune femme sourit un peu plus elle aussi le voulait, mais il tait tellement étrange de s’entendre vouvoyer, si elle le faisait naturellement, c’est pas tout les jours qu’elle l’entendais dans la bouche d’un maître… C’était étrange pour elle cette impression d’être quelque chose de plus, cela la troublait plus que cela ne l’aurais du.. Oui cela lui arrive d’être troublée… Pourtant elle en a vus des choses.. Et elle se sent bien plus vielle que ces vingts ans…

Elle se sent encore déplacée, et souris venant une dernières fois lécher le sexe de l’homme… Poussant un cris de surprise quand elle se retrouve sur le dos , le souffle un peu rapide, les joue rouge de plaisir… Son regard a elle aussi approche un peu plus du rouge que du brun.. La couleur qu’il prend quand elle prend véritablement du plaisir…
Mon dieu quand il la domine comme cela , ça l’excite… pas un instant elle ne quitte le Kakon des yeux… Ces yeux qui la dévorait littéralement… Un cris quand elle sent le doigts entré en elle, dieu que c’est bon comme sensation, mais trop courts….

Un petit rire rauque de désir lui échappe, ce qu’il devait faire oublier comme c’est étrange… ce baiser qui l’empêche de parler, elle le savoure, laissant le jeune homme la torturer un peu plus longtemps, alors que tous son corps crie de le vouloir en elle…
Un mouvement et prendre la main de l’homme, et la porter a sa bouche, prendre dans sa bouche un instant le doigts de l’homme le léché comme si elle léchait autre chose, son regard plongé dans celui de l’homme…

« Humm.. j’aimerais que vous me preniez… Que vous m’empaliez de votre virilités… »

La jeune femme sourit un peu plus venant enrouler une de ces jambes autours des hanches de l’homme, se cambrant doucement pour que son intimité humide touche le sexe de l’homme, pour l’inciter a venir en elle…

« Prenez moi sil vous plait… »

Un ton suppliant, emplis de désir rauque… Oui elle voulait le sentir en elle sentir sa force… en elle…

D’habitude, ses yeux trahissaient la folie qui l’habitait, effrayant toutes les personnes sur son passage, et en particulier, les victimes avant qu’elles ne trépassent. Il aurait en même temps chanté un refrain doux, comme pour préparer l’ascension vers l’au-delà, une ascension douce dans la musique et brutale sur le corps. Le repos éternel n’était que le dénouement logique d’une vie, quoi de plus normal que de l’honorer par un magnifique hymne à la mort ? Il faut l’avouer, Tenshi lui avait, pour ainsi dire, fait perdre ses vers. Il n’aurait pu trouver des mots exacts dans son vocabulaire, pour la caractériser, elle qu’il considérait comme le modèle de perfection. Le kakon était charmé depuis qu’il avait posé les yeux sur elle, depuis qu’il l’avait dévoré du regard à l’entrée du Mugen. Pour le moment, il s’amusait encore avec elle, en glissant sa langue sur toute la fente mouillée, et bientôt, il modifia la position, mettant la belle esclave sur le dos. Les joues rouges de plaisir lui donnaient encore plus de charme, le kakon le lui fit savoir en l’embrassant langoureusement, tout en jouant avec elle. Il glissait innocemment son doigt et le retirait sans rien faire d’autre. Les gémissements se succédaient alors. Le regard rouge du kakon fixa celui de Tenshi, lorsqu’elle lécha son doigt, comme elle avait précédemment léché avec expérience, son sexe encore couvert de sa salive. Comme si il ne savait pas quoi faire, il demanda avec un sourire pervers à l’esclave excitée comment il devait s’y prendre. Elle rit avec légèreté, puis après avoir savouré la torture qu’il lui imposait, l’humaine le réclama. Joignant le geste à la parole, un jambe s’enroula autour de la taille du kakon, soulevant son bassin pour mettre en contact leurs intimités. A nouveau, elle le supplia de sa voix altérée par le désir. Lui frissonnait en pensant au plaisir qui allait venir et murmura :

« Oh, mais demandé comme ça, je ne peux pas vous refuser ça… »

Immédiatement, Fuubuki avança son bassin en criant de plaisir et entama des va et vient puissants. Il n’était pas hésitant, il savait que l’esclave était habituée et de plus, elle était terriblement mouillée, il n’y avait aucune résistance, juste un plaisir intense. Le string était toujours sur elle, mais ne gênait en aucun cas, la fente était parfaite pour ce genre de choses. Le kakon songea qu’il lui enlèverait plus tard, peut-être, ou peut-être pas, après tout, cette lingerie rouge était aussi excitante que la propriétaire. Avec une force nouvelle, l’ainoko allait et venait brutalement, sans faire de mal, mais sans non plus être doux. Il avait tellement eu envie de Tenshi que maintenant il laissait ressortir tout ce qu’il avait dû refouler pendant l’attente de ce moment. Ses cris se rapprochaient de plus en plus, sa respiration saccadée, ses mains massaient avec force la poitrine de l’esclave et ses yeux rouges terribles, la dévorait du regard. Elle était magnifique à regarder alors qu’elle gémissait de plaisir, son corps bougeait avec le sien à l’unisson.

La mort Tenshi n’en avait jamais eu peur, simplement parce qu’elle savait qu’il viendrais un jours ou l’autre, ‘est peu être pour cela qu’elle n’avait pas peur un seul instant de coucher avec un homme que l’on disait fou, psychopathes… Parce qu’elle sait que si elle meure maintenant se sera dans le plaisir….
Elle n’avait pas totalement conscience de l’effet qu’elle faisait au kakon, elle ne savait pas qu’elle lui plaisait temps, pour elle, elle était désirable oui, mais pas plus qu’une autre…

Elle aimait jouer comme cela le jeu de la séduction cela lui arrivait si peu souvent, normalement ces client la prenait, en faisait leur jouet pour la nuit sans jouer vraiment… Ici c’était plus amusant comme début, et elle espérais que le jeune homme avait de la suite dans les idée, et de bonne idée… Comme Kei, elle savait que les Kakon avait un petit quelque chose en plus que les autres, qu’elle adorait goûter…

Elle attendais avec impatience de le sentir en elle, de sentir sa force venir la prendre en douceur, de se sentir empalée par ce pieux… Enfin dans un cris de plaisir elle le sent venir en elle, l’empaler de sa force, son corps se cambre de plaisir… Elle aimait qu’on ne puisse rien lui refuser… Parce qu’elle ne voulait rien se refuser, rien regretter…
Elle aimait le sentir aller et venir avec force dans son vagin, elle aimait le sentir fort et puissant, le plaisir montant rapidement, a cause des préliminaires, qui l’avait mise en appétit..

Doucement la jeune femme viens passer sa deuxième jambes autours des hanches de l’homme, pour approfondir encore ces coup de reins puissant, violent sans être douloureux… Elle aimait que les cou de reins se face de plus en plus puissant, la faisant monter vers la jouissance assez rapidement, ces cris de plaisir de plus en plus proche…

Elle aimait cette passion dont il faisait montre, ces mains qui pétrissait ces seins, l’aidait a toujours montre plus haut, son corps qui se cambre s’offre a l’homme, alors que ces mains se crispe sur le sur du divan…

« Je..je vais.. venir maître Fuubuki… Continue ..Plus fort… »

La jeune femme fini a peine sa phrase, elle pousse un cris rauque de jouissance, son corps se cambrant un peu plus enserrant l’homme dans ces chair chaude, alors que tout son corps tremble de plaisir, avant de retomber haletant sur le divan, sa main se levant pour venir s’accrocher au cou du kakon l’attirant a elle, ondulant toujours sous ces cou.. Ces yeux brillant de plaisir…

Fuubuki était parti pour aller jusqu’à la jouissance, il avait un mouvement sûr, trahissant son habitude, puissant comme les femmes pouvaient aimer, et sans aller jusqu’à la brutalité. Bon, ça il faisait un effort, mais dans la soirée, il allait peut-être passer à un étage au-dessus. Les cris de plaisir avaient été immédiat des deux côtés. Le kakon qui sentait les vagues de sensation crispait régulièrement ses mains sur les seins de Tenshi en les resserrant dans sa poigne puissante. Ses yeux rouges, ils la dévoraient toute entière, ce corps d’humaine était encore jeune, il fallait en profiter. Les deux jambes de Tenshi avaient fini par l’enserrer étroitement, lui permettant d’aller au plus profond qu’il pouvait. Il sentait son membre s’imprégner du liquide transparent qui sortait de l’esclave, l’excitant encore un peu, comme un aphrodisiaque. Au bout d’un moment, alors que les deux corps étaient en parfait harmonie, l’humaine finit par avertir le maître qu’elle allait jouir, demandant pourtant de continuer. L’ainoko se sentait également dans cet état et jouit quelques secondes après, en déversant sa substance reproductrice au fond du corps de l’humaine.

Prenant appui sur le canapé, l’ainoko accéléra brutalement le mouvement en se montrant un poil plus violent et lorsque l’esclave vint s’accrocher à lui, il posa les mains sur ses fesses et la souleva comme une plume. Là, il ne pouvait plus bouger son bassin, mais elle l’avait accueilli tout entier et à nouveau il jouissait en elle. Ses lèvres vinrent attraper fiévreusement celles de l’esclave et il avança à pas lent et maladroit vers la table ronde qu’il y avait au centre de la salle. Là, il déposa Tenshi pour se décharger de son poids et, relevant ses jambes pour que ses genoux soient posés sur ses épaules, il reprit son va et vient incessant et jouissif. Les cris du kakon étaient nombreux, il était aux anges. Ses ailes se dépliaient contre son gré. Les yeux rouges du kakon montraient qu’il allait devenir dingue, complètement fou de cette simple humaine qui le menait au septième ciel. Au bout de cette troisième jouissance, le kakon s’arrêta et se retira de l’esclave en haletant. Il reprenait sa respiration et prit les mains de l’esclave pour la mettre debout devant lui. Son regard perçant la mangeait tout cru, sa bouche alla la mordre au cou, sans lui faire de mal, juste pour ensuite glisser sa langue sur sa peau, goûter à ce parfum délicieux qui émanait d’elle.

« Tenshi, vous êtes exquises. »

Ses mains se posèrent sur ses fesses, l’appuyant contre lui. Contre son ventre, elle pouvait sentir le membre en érection, mouillé du mélange de leur plaisir. Le doigt du kakon pénétra son anus et commença à se frayer un passage. L’empêchant de gémir, il l’embrassa fougueusement et attendit une réaction de sa part.

« Que voulez-vous que je fasse Tenshi. Je pourrais me frayer un chemin de ce côté, ou bien également me servir de certaines choses dans les placards… »

Son doigt s’enfonça d’un coup tout entier dans l’orifice de l’esclave en caressant les parois de l’endroit avec rapidité. Le kakon voulait la prendre par là, c’était clair, mais il allait également lui donner encore plus de plaisir ensuite, si il laissait surgir son côté un peu moins doux.

Elle sentit une premières fois la semence de l’homme se répandre en elle…. Si jouissif… Heureusement qu’elle ne pouvait pas porter l’enfant d’un Ainoko, non en fait cela l’ennuyait un peu il aurais été amusant de porter l’enfant de son maître… Elle sentit les mouvement se faire plus violent, la faisant crier de plaisir, son corps apaiser par la jouissance, elle ressentait encore plus ces coups de reins sur bon, qu’elle sentait encore le plaisir monter rapidement…

Elle le sentit la soulever la faisait un peu crier, cette sensation était étrange surtout de le sentir encore jouir une fois en elle…. Enrouler ces deux bras autour de son cou coller son corps au sienne, comme si elle voulait fusionner le plus possible ne plus faire qu’un avec le Kakon…
Elle le sentit avancer pendant le baiser violent qu’ils échangèrent, elle ne faisait plus attention a rien, juste a se corps contre le siens, ces lèvres contre les sienne…

Le froid de la table contre son dos ne l’étonna même pas… elle sourit quand il posa ces jambes sur ces épaules, elle sentait ces seins qui allait et venait au gré de ces cou, la faisant crier un peu plus fort, dieu que c’était bon, la deuxième vague de jouissance était proche… Très proche… Elle aimait voir les ailes de l’homme se déplier, sous le plaisir… Un cris encore alors qu’elle jouissait encore une fois pendant que l’homme se répandait en elle, ces téton douloureux de plaisir, son corps un peu couvert d’un fine sueur…Son souffle très courts… Elle aimait se regard fou qu’il avait, fou de désir…

Elle poussa un soupire quand il se retira d’elle, restant allongée sur la table cherchant son souffle… Elle sourit en venant ensuite se coller contre l’homme, penchant la tête pour qu’il la morde en douceur, elle aimait se genre de contacte… Un frisson alors que ces sens caressait en douceur son torse…
Il était encore dure, c’est assez fort, il était endurant le Kakon et cela lui plaisait, elle aussi pouvait durer… Ces mains sur ces fesse, dieux que c’est bon, elle ouvrire la bouche pour gémir, gémissement qui fut étouffer par la bouche de l’homme, alors qu’elle cherchait sa langue

Ce qu’elle voulait qu’il fasse, se frayer un chemin par son anus, en et instant c’est ce qu’elle voulait… Un cris de plaisir quand le doigts entra en elle, alors qu’elle savourait sans pouvoir immédiatement parle…
La jeune femme sourit un instant se dégageant de l’emprise du kakon, elle viens se mettre sur le ventre sur la table, posant ces deux mains sur son anus, un de ces mains étant passer sur son intimité pour humidifier son petit trou par la suite…

« Prenez moi par la…. Sire Fuubuki.. Nous pourrons jouer avec les jouets de l’ armoires après nous avons toute la nuit… »

La jeune femme entra doucement son doigts humide dans son petit oreilles jouant avec, la mouille coulant le long de ces jambes, mouillant son porte jarretelles et ces bas blanc, mélange de mouille et de la semence de l’homme, elle haletait, ces seins écraser sur la table…

« Prenez moi d’un coup… Par la j’adore… »

La fusion avec l’esclave était jouissive. Les deux corps avaient partagé un même rythme, comme une seule et même personne . Le kakon attendait de voir l’esclave arriver pour venir également, il était attentif à tout, même si il semblait être complètement noyé sous le plaisir offert. L’intimité chaude et humide de l’humaine lui plaisait. Il se frayait un chemin, tel un aventurier en quête d’un trésor perdu et rebroussait le chemin pour retourner plus loin encore. L’ainoko laissa sa marque blanche en elle par trois fois, une fois sur le canapé, une deuxième fois lorsqu’elle était entièrement collée à lui, portée par ses bras musclés et puissants, une troisième fois sur la table froide. L’homme corbeau avait adoré ces moments, il s’en rappellerait longtemps. La sueur se formait à la base de ses cheveux noirs corbeaux et coula lentement le long de sa tempe alors qu’il soufflait comme un bœuf. Il avait une esclave presque nue face à lui, elle était encore allongée sur la table et de son vagin coulait sa semence mêlée à la sienne. Mais le kakon n’en avait pas fini, bien au contraire, il prit les mains de Tenshi et la remit sur pieds, contre lui. La sentir aussi proche le faisait chavirer dans les méandres profondes du domaine du désir, il voulait la prendre encore et encore, jusqu’à ce que épuisement s’en suive. Ses doigts parlèrent à sa place, témoignant de son envie non dissimulée de passer par cet orifice, cette place forte qui n’avait pas encore été souillée par sa semence. Son doigt s’enfonçait en elle et tournait pour former le passage, entrer sans préparation était un véritable supplice qu’il voulait lui éviter. Doucement, l’esclave se détacha de l’ainoko et grimpa souplement sur la table se mettant sur le ventre. Ses deux mains posées sur la fente de son string rouge, elle humidifiait son anus en demandant à Fuubuki de la prendre. La manière dont elle formula cette phrase, en même temps que de regarder ses gestes sensuels était sublime. Le kakon eut d’autant plus envie de cette humaine. Elle mouillait terriblement, ses vêtements plus bas étaient trempés, mais ce n’était qu’un détail. Entièrement allongée sur la table, les fesses tendues vers lui, l’esclave le réclama à nouveau. Fuubuki Kakon de son vrai non, avança alors et sourit perversement. Il se pencha pour lécher l’entrée avec gourmandise, écartant les deux fesses pour avoir une meilleure vue sur l’ensemble. Il prit son membre en main et entra d’un coup dans le vagin de Tenshi en criant de plaisir, puis se retira. Maintenant entièrement lubrifié, son membre était prêt pour la nouvelle entrée.

« Je me ferai un plaisir de vous combler Tenshi. »

Sans humidifier d’avantage l’anus, il appuya fortement son gland qui glissa facilement et pénétra l’esclave en lâchant un cri de jouissance. Ses mains agripèrent les deux fesses rondes de l’esclave et il s’aida de ses bras pour aller en elle. Il était presque en train de baver de plaisir, il était en elle, dans son anus chaud et terriblement serré. La sensation était décuplée et à chaque passage, l’endroit s’élargissait comme pour accueillir de mieux en mieux le sexe de Fuubuki. Le kakon glissa ses mains sur le dos de l’esclave et entra avec plus de violence en elle. L’acte devenait brutal, toujours à la limite de la douceur, il ne la franchissait pas encore pour atteindre la douleur jouissive. Le corps de Tenshi était légèrement humide à cause de la sueur, il caressait son dos en le griffant un peu, laissant de longues traces rouges sur le passage de ses ongles parfaitement coupés et manucuré. Le kakon allait déjà jouir tant son excitation était à son comble.

« Rhaa Tenshi, je vous prendrai toute la nuit par là si je le pouvais, je veux encore vous entendre jouir ! »

Le kakon tapait avec puissance, son bassin claquait sur les fesses de l’esclave, devenant peu peu rouge à cause du choc répété mais aucun des deux ne s’en souciait. C’était délicieux, orgasmique. Fuubuki accélérait sans cesse le mouvement, espérant atteindre le point culminant en même temps que Tenshi. L’esclave avait le visage rouge de plaisir, l’expression qu’elle affichait était terriblement excitante.

La jeune femme sait que la nuit est loin d’entre finie de toute façon elle est bine loin d’être totalement épuisée il est vrai que le kakon la surprise a la faire jouir comme cela deux fois d’affilée… Mais elle est de ces filles entraînée depuis des année a subir les assaut des hommes, et elle a apprit a les aimes plus que tout, souvent plus que le reste… elle aimait sentir , entendre le souffle rauque de l’homme… Le désir ce sentiments elle le connaissait bien a présent… Plus rien ne pouvait le faire s’éteindre juste l’épuisement… Et encore… Il est si facile a réveiller le désir…

Un supplice la jeune femme aimait les supplice, elle aimait que l’on mêle la douceur et la douleur… Un gémissement quand il se mit a lécher son anus, dieu qu’elle aimait avoir une lange a cet endroit, qu’elle aimait tout simplement qu’on la prenne a cet endroit… Un cris de plaisir quand il entre dans son vagin, si rapide… Qu’elle n’a le temps de savourer…

Un cris de plaisir et aussi légèrement de douleur quand enfin il pousse son membre dans son anus.. Ca fait mal mais dieu que cela c’est bon… de la combler c’est cela qu’il avait dit, cela faisait longtemps qu’elle avait presque oublier la signification de se mots… Kei lui avait rappeler, et maintenant elle aimait être comblée… Dans cette position l’homme pouvait voir , le tatouage en forme de corbeau qu’elle avait sur le dos… Un cadeau de bienvenue offert par Kei.. qu’elle abordait avec fierté…

Les mains sur ces fesse, et ces mouvement qu’il imprimait a son corps la faisait crier de plaisir, se cambrer légèrement pour aider a la pénétration… la jeune femme sentait un fin filet de bave couler le long de ces lèvres, tellement le plaisir qu’elle prenait a le sentir la dévaster était puissant.. Ces mains sur son dos, ça la faisait crier un peu plus fort… Elle aimait cette brutalité bercée de douceur, ces mains se crispait sans cesse sur la table, alors que ces seins était écraser sur elle.. Frottant le bois , ces tétons dresser sensible au possible… ces ongles qui lui gratte le dos.. dieu que c’était bon…

« Faite.. je suis a vous pour la nuit.. Faite de moi ce que vous voulez… "

La jeune femme avait parler d’un voie rauque entrecoupée de cris de plaisir, elle le sentait elle ne tiendrait plus longtemps a se rythme, elle allait jouir encore une fois, alors que l’homme lui défonçait son arrière train… Elle le sentait arriver sous les coup de l’homme qui faisait doucement bouger l’a table… Se cambrer et crier son plaisir, elle allait jouir dans quelque instant…

Un cris alors qu’elle jette sa tête en arrière encore une fois son corps se raidit, alors qu’elle hurle de plaisir jouissant dans un cris rauque, se resserrant contre l’homme toujours en elle, elle sent qu’il est venus en même temps qu’elle, alors qu’elle se laisse retomber le souffle courts contre la table, les yeux clos, sa mouille coulant encore plus sur ces cuisses, avant qu’elle n’ouvre de nouveau les yeux, souriant, des yeux emplis de plaisir de désir toujours, cette homme lui plaisait…

Lentement et sûrement, Fuubuki sentait cette sauvagerie qui sommeillait en lui, elle refaisait surface sans apparaître entièrement car il la régulait. Il ne voulait pas prendre Tenshi comme un morceau de viande qu’on lui a donné. Même si c’était brutal, il voulait la prendre comme une humaine, comme l’esclave qu’elle était, c’était déjà bien plus positif que de la considérer comme un objet. Le puissant homme corbeau faisait donc marcher son bassin avec vigueur et violence, tapant à chaque entrée sur les fesses rondes de l’esclave. Il adorait cette petite sauvagerie, cette petite douleur, car il aimait allier plaisir et douleur. Combien de cicatrices n’avait-il pas reçu, même à des endroits discrets, lors de ses anciens ébats. Le kakon était dépendant de ce plaisir, il le savait et le niait pas. Les bras musclés de Fuubuki l’aidaient à se tenir à Tenshi, entrant toujours plus vite et brutalement. Les cris de plaisir de l’esclave étaient comme un chant venu des cieux, une musique qu’il savourait avec un grand sourire pervers. Il sentait contre ses cuisses la mouille se déposer, elle mouillait terriblement cette esclave, c’était bien preuve qu’elle adorait ce qu’il faisait, l’encourageant donc à continuer encore et encore jusqu’à ce que jouissance s’en suive. Les mains du kakon étaient folles, elles griffaient la peau de l’esclave, touchaient sans retenue sa poitrine écrasée, son ventre pour l’amener vers lui et aller le plus profond possible.

Bien vite, les cris se rapprochèrent de nouveau, comme un refrain incessant qui allait être chanté pendant toute cette soirée. Le kakon voyait la bave couler de la bouche de Tenshi, tant elle aimait ce qu’il faisait, se faire prendre par derrière avec force. Elle voulait qu’il fasse d’elle ce qu’il voulait, ça avait été bien son intention depuis le départ. L’homme corbeau agita ses ailes comme pour faire de l’air, il avait terriblement chaud, mais c’était tellement bon, il en voulait encore, si bien qu’en accélérant avec violence, il finit par jouir en Tenshi, son fluide chaud couvrait son deuxième orifice de l’intérieur. Lorsqu’il se retira, l’anus dilaté resta ouvert et un fin filet blanc coula sur la table. La langue du kakon vint lécher cette orifice qu’il avait mal mené, et toucha le string pour sentir à quel point il avait pris l’humidité. Il était trempé, c’était parfait. L’éclat de la folie brillait dans ses yeux.

« Maintenant, nous allons nous amuser… »

Allant vers le placard, il en sortit une bougie. Il mit Tenshi à quatre pattes, le visage vers lui et la fit se pencher en avant pour qu’elle prenne son sexe dans sa bouche. En même temps, il alluma la bougie et enfonça le bout de cire dans l’anus dilaté de l’esclave. Il allait fondre lentement, couler et la brûler légèrement, il en frissonnait d’excitation.

« On va jouer à un jeu. Il faut que vous me fassiez jouir le plus vite possible, sinon, la bougie risque de s’éteindre et entre temps… Vous aurez senti quelques petites brûlures… Relevez-vous le défi ? »

Une course contre la montre, voilà ce qu'il proposait à l'esclave. Même si elle perdait, il allait tout de même faire de sorte que la douleur ne reste pas, il voulait une esclave qui continuerait à jouir de plaisir et non uniquement de douleur.

La violence, elle connaissait, elle savait qu’elle pouvait donner plus de douleur que de plaisir, mais elle faisait confiance a l’homme pour ne pas lui donner plus de douleur que de plaisir, doser les deux est si agréable… Elle aimait qu’on la griffe, qu’on la toucher, son corps portait encore a certain endroit de fine cicatrice de certain traitement, des cicatrices légers, qui au lieu d’abîmer sa beauté la rehaussait légèrement… donnait a son corps fin une touche de plus… Plus vrai…

Elle pouvait sentir le sperme de l’homme couler dans son anus, la faisant gémir encore une fois… Elle le sentit se retirer, le sperme couler d’elle, mais elle ne bougea pas tout de suite, haletante comme une petite chienne en chaleur, il est presque sur que si la jeune femme avait été ainoko elle aurait était un chien, fidèle a son maître… et endurante…
Un instant tourner son regard vers le jeune homme, et sourire, il avait le même regard que Kei… Cette même folie qu’elle aimait tant.. Folle, oui elle l’était aussi a sa manière, elle aimait ce genre de regard qui la faisait trembler jusqu’au fond d’elle-même…

Son regard restait poser sur le jeune homme alors qu’il se dirigeait vers l’armoire, un sourire quand elle le vit sortir une bougie… En souriant elle se laissa mettre a quatre pattes, les jambes un peu tremblante, ouvrire la bouche pour le prendre en bouche, en gémissant…
Un gémissement en sentant la bougie entrer dans son anus, elle pouvait presque sentir déjà la chaleur sur sa peau…

Un instant sortir le sexe de sa bouche, et sourire, la jeune femme en frissonnait aussi, la chaleur de la cire quand elle tombe sur sa peau elle adore…

« Oui je le relève maître Fuubuki »

La jeune femme sourit un peu plus fort, sa voie avait été douce, tranquille… Attirante encore…
Avec un plaisir non dissimuler la jeune femme viens prendre le sexe de l’homme dans sa bouche, suçant comme jamais, sa langue piercée venant entourer le sexe, jouant sur la peau, alors que ces lèvres se serrait en douceur, les vas et viens de la bouche de la jeune femme était lent au début, elle prenait son temps de l’enfoncer bien loin tout au fond de sa gorge avant de presque retirer sa bouche, gémissant de plaisir… Elle sentait de petit goutte de cire couler sur ces jambes pendant que la bougie se consumait…
Et elle accéléra les mouvement de vas et viens, mordillant même légèrement le sexe de l’homme, ces dents le frottant doucement, dans un caresse buccales un peu plus dure, mais toujours dans le but de donner du plaisir, creusant les joue elle l’aspirait au fond d’elle, avant de se faire plus lentes … Sans le vouloir elle bougeait les fesses faisant couler un peu de cire sur sa peau, mais dieu que c’était bon, elle sentait a présent le chaud de la bougie… Mais elle n’en continua que plus a faire plaisir a l’homme sa bouche se faisant dévorante, brutal mais douce a la fois…

Fuubuki avait eu ce qu’il voulait. Une soirée avec Tenshi, cette esclave attirante. Il avait pris du plaisir, joui plusieurs fois en elle et continuait alors que l’humaine était bavante de plaisir. Le kakon la prenait de plus en plus brutalement, puis avait laissé sortir le fluide blanc dans l’orifice anale de l’humaine. En recherchant toujours d’avantage, le kakon commençait le jeu. Il avait enfoncé une bougie allumée dans l’anus dilaté de Tenshi et lui avait lancé un défi, défi qu’elle relevait. Pas un instant il ne doutait qu’elle allait échouer, il savait qu’elle réussirait avant que la bougie ne soit entièrement consumée. L’esclave commença à pomper son dard avec application. Elle mettait tout son savoir, toute la délicatesse possible pour le faire craquer. Elle allait rapidement, serrait ses lèvres, ses dents le mordaient presque, mais il aimait cette sensation de tension sur son sexe. Le kakon regardait avec amusement la cire couler. Tenshi prenait du plaisir, même à cette légère douleur. La cire coula un peu plus vite alors qu’elle remuait les fesses. Le kakon caressait ses cheveux en soupirant d’aise. Elle y allait bien, elle était parfaite. Un peu plus et s’en était fini. Tenshi prenait son sexe de plus en plus férocement, le dévorant complètement, elle se faisait terriblement plaisir et lui appréciait. Le maître finit par crisper sa main sur le dos de l’esclave alors qu’il jouissait dans sa bouche. Tenant sa parole, il retira la bougie en l’éteignant de son souffle. Elle avait rapetissit de moitié. Le kakon dit alors à Tenshi.

« Je vais faire un peu de ménage. »

L’humaine fut à nouveau tournée, ses orifices offerts à l’ainoko. Le kakon regarda les taches blanches, la cire durcie sur le contour de l’anus de Tenshi. Il retira ces marques, les laissant tomber par terre, puis se mit à lécher les contours de l’orifice, comme pour soulager de la douleur précédente.

« Mmmmh, délicieux. La cire vous va à merveille Tenshi. »

Il se pencha pour lécher les fesses de l’esclave, puis donna une petite tape dessus. L’endroit rosi immédiatement. Le kakon sourit alors et retourna vers l’armoire, se demandant ce qu’il pourrait y trouver. Un anneau vibrant lui plus bien, ainsi qu’une espèce de petite souris reliée à un fil au bout du quel il y avait un interrupteur. Le kakon revint vers Tenshi et enfonça la souris au fond de son vagin, la poussant en la pénétrant, puis, il passa l’anneau vibrant sur son sexe. Allumant les deux engins, l’ainoko gémit de plaisir. Les deux jouets vibraient fortement.

« Ahh… ahhh… »

Le vagin était déjà occupé, l’ainoko décida de repasser par derrière. Il allongea l’esclave soumise sur le dos, puis écarta ses fesses un peu plus en continuant de soupirer. Le fil du jouet pendant de son vagin, c’était excitant. Sans rien dire de plus, il pénétra l’anus de la belle en gémissant de plaisir. Son index augmenta les vibrations et il se pencha pour dévorer la poitrine percée de Tenshi, proche d’une grande succession d’orgasme.

Bon séjour sur Saol Eile

Forum RPG d'Urban-Fantasy tranche de vie.

Le Staff Complet

A contacter en priorité ♥

Sujets Récents

Nos aventures

Nos Prédéfinis

Top-Sites

Nos Partenaires