Depuis qu’elle avait été violée, la jeune femme n’était plus sortie.. Elle n’avait plus mit le pieds dehors seule, parce que le monde lui faisait peur… Mais la elle se sentait étouffer, sa maîtresse, elle l’aimait bien il est vrai… Elle était belle, une renardes de la plus belle espèces… Mais la jeune esclave s’ennuyait.. Elle passait son temps a regarder par la fenêtre , la télé ne l’intéressant pas.. Intriguée elle s’était coupée plusieurs fois, regardant avec intérêts les plaies se cicatrisée, la jeune femme avait presque envie de pleurer, elle savait très bien pourquoi,… C’est pas juste elle ne pouvait même pas mourir comme les autre en se coupant les veines…
Un soupire, la jeune femme s’habilla rapidement, une tunique chinoise, qui moule son corps a la perfection, parce qu’elle aimait ces vêtements, ces cheveux noirs laisser libre sur ces épaules… Un paire de chausson blanc , sans chaussette, elle est insensible au froid… Son corps réclame la présence du soleil…
Sortir de la maison de sa maîtresse, et aller en ville, courir comme si sa vie en dépendait, la douleur dans son cœur se fait de plus en plus forte, elle sait parfaitement ou elle doit aller.. C’est a l’aide de ces griffes qu’elle escalade le mur qui mène au toit de l’immeuble qu’elle a choisit, elle aurais put aller par l’escalier mais elle avait besoin de bouger, de forcer sur son corps…
Doucement se poser sur le toit, et chercher quelque chose, d’ici elle peu voir le manoir de Yokko… Mon dieu qu’elle pouvait lui manquer, les larmes coulèrent un peu sur son visage sans qu’elle ne cherche a les sécher, un main posée sur son cœur… Laissant sa tristesse s’envoler avec le vent qui jouait dans ces cheveux…
Un instant lever sa main vers le ciel, avant de bouger, doucement comme si elle dansait avec le vent, son corps souple et muscler, bougeant souplement, sensuelle ment, elle adorait danser comme cela quand personne ne la voyait, se laisser aller a ces envie, danser sans plus jamais s’arrêter.. Un bond en avant et elle pose le pieds sur la rambarde, danser en équilibre sur le fil, menaçant de tomber au moindre instant, les larmes coulant un peu plus vite, venant se perdre dans l’air… Elle pouvait en goûter le sel… Oui danser et puis tout oublier…
Pourtant il faut revenir sur terre, un mouvement et elle saute du toi, s’accrochant au fenêtre pour attirer souplement au sol… Et se remettre a courire, encore loin, direction la maison de sa maîtresse…
L’appartement de sa maitresse, ce qu’elle appelle sa maison, elle y entre par la fenêtre dans un des pièces qu’elle préfère, une salle vide, ou elle peu mettre un peu de musique et se remettre a danser, sur ces joues les larmes on sécher, elle peu encore se laisser totalement aller… Oublier la vie la douleur dans sa danse, qui se fait de plus en plus sauvage, sans retenue..
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