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Il lui avait répondu de façon affirmative en hochant souvent la tête pour accentuer ces accords, Alwena l'entendue dire que se serait dure au départ mais qu'il allait essayer elle continua sa route en lui répondant :
« Tant que tu fais de ton mieux... Sa me va... »
Elle marchait de façon gracieuse et assez silencieusement même ses ailes brillante ne faisait aucun bruit, Alwena avait souvent des allures d'ange de la mort qui vient avec sa faux pour vous trancher la tête sans un bruit et sans prévenir. Tout le monde la regardait traîner Zoreck en murmurant des choses qu'elle n'entendait pas et qu'elle se fichait éperdument elle ne leurs adressait même pas un regard continuant sa route de façon nonchalante. Elle regarda au passage les quelques boutiques qui commençait a défiler au fur et à mesure puis arriva devant le centre commerciale, elle décida de rentrer dedans se disant qu'il n'y avait sans doute pas meilleur endroit pour trouver des habits à Zoreck. Une fois à l'intérieur elle se retrouva rapidement devant un panneau explicatif sur les étages et leurs magasins respectifs Alwena posa son doigt dessus et le fit glisser tout en lisant se qu'il y avait écrit. Elle tenait toujours Zoreck par les menottes puis avance en lui disant :
« Nous allons à l'étage numéro 2 il y a des vêtements là-bas ainsi que d'autres choses dont j'ai besoin... »
Elle n'attendit pas sa réponse et repartit allant vers les escalator qui était assez nombreux dans ce genre de centre commercial, Alwena continua ainsi jusqu'à arriver au niveau 2 de ce bâtiment. Elle regarda quelques vitrines puis arriva devant un magasin assez particulier... Effectivement se magasin vendez des chaînes, des collier, des habits en cuir, des cordes et tout autre attirails pour personne qui aime le sado-masochisme... Elle haussa un sourcil puis se retourna légèrement en regardant Zoreck, elle donna un coup sec sur ces menottes pour l'entraîner avec elle dans le magasin. Alwena rentra à l'intérieur et salua le vendeur d'un signe de tête, l'ainoko qui tenait la caisse eut un sourire assez sadique en voyant la Kakon et son esclave. Elle alla vers des vêtements en cuir passant ses mains dessus puis alla vers les colliers et les menottes, Alwena regarda du coin de l'oeil Zoreck :
« J'ai envie de te voir porter un collier et quelques autres chaînes... »
Elle prit un collier avec une boucle en fer accroché à son bout pour sûrement mettre une laisse, le collier était noir et en cuir. Alwena s'approcha contre Zoreck en glissant une de ses cuisses entre les jambes de son esclave puis lui mit le collier en souriant sa poitrine frôlant contre son torse, enfin elle se recula pour évaluer tout cela. Sa lui allait plutôt bien et sa lui donnait un côté encore plus soumis qu'Alwena adorait, sa la changeait de ses deux jumeaux. Elle fit signe au vendeur tout en lui disant :
« Apportez quelques choses pour couper les anciennes chaînes de mon esclave... »
Le vendeur s'exécuta en souriant et coupa d'un coup les chaînes au pieds de Zoreck ainsi qu'aux mains le libérant de ses menottes, Alwena regarda ensuite l'étagère et choisit des fer qui s'attachent aux mains et aux pieds mais qui ne sont pas relier par des chaînes avec possibilité de les attaché n'importe ou et n'importe quand ayant des trous assez gros à leurs bouts. Elle sourit en lui caressant légèrement la joue puis lui mit une petite claque amicale, elle se retourna et dit encore une fois au vendeur :
« Bien je suppose que vous avez vue se que j'ai pris alors faite moi la note en rajoutant une laisse en cuir de couleur rouge pour aller avec se collier et je voudrais aussi des chaînes en argent d'une longueurs de... 2 mètres... J'en voudrais 4 comme cela ! »
Le vendeur lâcha un oui assez excite par les ordres qu'il recevait par Alwena qui la fit soupirer, elle prit le poignet de son esclave et l'entraîna vers la caisse, voyant le montant elle posa les sous qu'elle devrait et sortit en lâchant un au revoir froid au vendeur tout en prenant le sachet de ses courses faites ici. Alwena sortit et regarda à gauche puis à droite pointant de la main qui portait le sachet un magasin en parallèle, se magasin était une boutique pour homme où l'ont pouvait y trouver chaussures vêtement ainsi que sous vêtement. Elle se dirigea vers celui-ci tout en tenant Zoreck fermement par le poignet, elle ouvrit du pied la porte de la boutique et entra... Le silence s'installa... Un silence gêné par une présence et cette présence n'était d'autre que la Kakon. Qui sa pouvait être d'autre de toute manière ? Elle mit Zoreck devant une rangée d'habit et lui dit :
« Bien... Choisis maintenant et prend se qu'il te plaît... Le prix n'a pas d'importance, dit moi quand tu as choisi nous passerons à une étape suivant d'accord ? »
Elle le regarda toujours avec ses grands yeux rouges qui le transperçait de toute part, elle posa sa main sur son dos puis le fit glisser jusqu'à la fin de celui-ci à la limite de ces fesses...
« Tant que tu fais de ton mieux... Sa me va... »
Elle marchait de façon gracieuse et assez silencieusement même ses ailes brillante ne faisait aucun bruit, Alwena avait souvent des allures d'ange de la mort qui vient avec sa faux pour vous trancher la tête sans un bruit et sans prévenir. Tout le monde la regardait traîner Zoreck en murmurant des choses qu'elle n'entendait pas et qu'elle se fichait éperdument elle ne leurs adressait même pas un regard continuant sa route de façon nonchalante. Elle regarda au passage les quelques boutiques qui commençait a défiler au fur et à mesure puis arriva devant le centre commerciale, elle décida de rentrer dedans se disant qu'il n'y avait sans doute pas meilleur endroit pour trouver des habits à Zoreck. Une fois à l'intérieur elle se retrouva rapidement devant un panneau explicatif sur les étages et leurs magasins respectifs Alwena posa son doigt dessus et le fit glisser tout en lisant se qu'il y avait écrit. Elle tenait toujours Zoreck par les menottes puis avance en lui disant :
« Nous allons à l'étage numéro 2 il y a des vêtements là-bas ainsi que d'autres choses dont j'ai besoin... »
Elle n'attendit pas sa réponse et repartit allant vers les escalator qui était assez nombreux dans ce genre de centre commercial, Alwena continua ainsi jusqu'à arriver au niveau 2 de ce bâtiment. Elle regarda quelques vitrines puis arriva devant un magasin assez particulier... Effectivement se magasin vendez des chaînes, des collier, des habits en cuir, des cordes et tout autre attirails pour personne qui aime le sado-masochisme... Elle haussa un sourcil puis se retourna légèrement en regardant Zoreck, elle donna un coup sec sur ces menottes pour l'entraîner avec elle dans le magasin. Alwena rentra à l'intérieur et salua le vendeur d'un signe de tête, l'ainoko qui tenait la caisse eut un sourire assez sadique en voyant la Kakon et son esclave. Elle alla vers des vêtements en cuir passant ses mains dessus puis alla vers les colliers et les menottes, Alwena regarda du coin de l'oeil Zoreck :
« J'ai envie de te voir porter un collier et quelques autres chaînes... »
Elle prit un collier avec une boucle en fer accroché à son bout pour sûrement mettre une laisse, le collier était noir et en cuir. Alwena s'approcha contre Zoreck en glissant une de ses cuisses entre les jambes de son esclave puis lui mit le collier en souriant sa poitrine frôlant contre son torse, enfin elle se recula pour évaluer tout cela. Sa lui allait plutôt bien et sa lui donnait un côté encore plus soumis qu'Alwena adorait, sa la changeait de ses deux jumeaux. Elle fit signe au vendeur tout en lui disant :
« Apportez quelques choses pour couper les anciennes chaînes de mon esclave... »
Le vendeur s'exécuta en souriant et coupa d'un coup les chaînes au pieds de Zoreck ainsi qu'aux mains le libérant de ses menottes, Alwena regarda ensuite l'étagère et choisit des fer qui s'attachent aux mains et aux pieds mais qui ne sont pas relier par des chaînes avec possibilité de les attaché n'importe ou et n'importe quand ayant des trous assez gros à leurs bouts. Elle sourit en lui caressant légèrement la joue puis lui mit une petite claque amicale, elle se retourna et dit encore une fois au vendeur :
« Bien je suppose que vous avez vue se que j'ai pris alors faite moi la note en rajoutant une laisse en cuir de couleur rouge pour aller avec se collier et je voudrais aussi des chaînes en argent d'une longueurs de... 2 mètres... J'en voudrais 4 comme cela ! »
Le vendeur lâcha un oui assez excite par les ordres qu'il recevait par Alwena qui la fit soupirer, elle prit le poignet de son esclave et l'entraîna vers la caisse, voyant le montant elle posa les sous qu'elle devrait et sortit en lâchant un au revoir froid au vendeur tout en prenant le sachet de ses courses faites ici. Alwena sortit et regarda à gauche puis à droite pointant de la main qui portait le sachet un magasin en parallèle, se magasin était une boutique pour homme où l'ont pouvait y trouver chaussures vêtement ainsi que sous vêtement. Elle se dirigea vers celui-ci tout en tenant Zoreck fermement par le poignet, elle ouvrit du pied la porte de la boutique et entra... Le silence s'installa... Un silence gêné par une présence et cette présence n'était d'autre que la Kakon. Qui sa pouvait être d'autre de toute manière ? Elle mit Zoreck devant une rangée d'habit et lui dit :
« Bien... Choisis maintenant et prend se qu'il te plaît... Le prix n'a pas d'importance, dit moi quand tu as choisi nous passerons à une étape suivant d'accord ? »
Elle le regarda toujours avec ses grands yeux rouges qui le transperçait de toute part, elle posa sa main sur son dos puis le fit glisser jusqu'à la fin de celui-ci à la limite de ces fesses...
Invité
Invité
Et bien oui écoutez, on en peut pas changer quelqu’un juste en lui donnant un ordre. Même avec toute la bonne volonté du monde, la personne en question ne va pas changer tout de suite, elle va prendre du temps peut-être des années. Mais pour Zoreck c’était différent. Il était persévérant lorsqu’il s’agissait de satisfaire ses maîtres. Un défaut à corriger ? Il s’entraînerait nuit et jour à leur insu pour paraître enfin présentable par la suite, l’esclave modèle comme ils veulent le voir. Maintenant il devait sourire ? Et bien il allait essayer de garder cette position tout en marchant, tout en regardant autour de lui, tout en suivant des yeux maîtresse Alwena. Elle verrait qu’il fait des efforts, même si au départ, le sourire est crispé. L’humain regardait les décors changeaient, ils allaient vers le centre, là où il y avait tous les magasins, pour lui acheter des vêtements. C’est vrai qu’il fait peine à voir actuellement, mais bientôt, ça allait changer. Suivant docilement la kakon, l’esclave aurait tout de même préféré être détaché, mais il n’avait pas à se plaindre, un bon esclave était un esclave qui ne parlait que lorsqu’on l’invite à ouvrir la bouche. De plus, cette libération n’allait pas tarder. Lorsqu’ils arrivèrent au centre commercial, les deux jeunes gens entrèrent. Les rayons étaient remplis de tête d’ainokos qui allaient venaient à un rythme effréné. L’esclave et sa maîtresse eux, allaient au deuxième étage. Alwena lui avait dit qu’elle avait quelque chose à acheter, il avait hoché la tête se demandant ce qu’elle pouvait bien vouloir et lorsqu’il vit la boutique en question, malgré les années d’impassibilité, il ne put s’empêcher de frissonner. Le souvenir d’un maître qui avait souvent joué à ce genre de jeux avec lui, ces fouets, ces chaînes, il avait été esclave sexuel avec cet homme horrible, son derrière s’en rappelait encore quelques fois, lorsqu’il s’assaillait trop longtemps. Alwena, voyant qu’il s’était un peu mis à ralentir, le tira sèchement à l’intérieur du magasin. Il bascula en avant, manquant de perdre totalement l’équilibre et se rattrapa de justesse au comptoir. Un collier, elle voulait un collier. Il regardait sa maîtresse prendre des articles, des menottes, de longues chaînes. Le vendeur était content, lui était effrayé, ses yeux étaient pour une fois expressif.
Zoreck réalisa finalement, que ce n’était pas pour lui, ou pas encore et il fut débarrassé des chaînes. Les bracelets de fer étaient toujours présents, mais c'était déjà plus confortable, elle ne le tirerait plus derrière elle dans la foule comme elle l'avait fait. L’esclave ne savait finalement, toujours pas à quoi s’en tenir avec cette maîtresse, qui pouvait se montrer clémente. Il regarda ahuri le vendeur lorsque la kakon sortit en lançant un froid au revoir et se fit de nouveau tiré par la maîtresse Alwena. La nouvelle destination était le magasin de vêtements pour homme, de quoi le relooker. Leur entrée fut remarquée. Fière, Alwena fit comme si de rien était tandis que tous avaient les yeux rivés sur elle, peut-être parce qu’ils la trouvaient belle ou bien parce que cette beauté terrifiante les hypnotisait. L’esclave se retrouva face à des rangées de vêtements et il devait choisir.
« Tout ce que je veux ? »
Zoreck frissonna en sentant la main de la maîtresse descendre dans le bas de son dos. Essayant de faire comme si de rien était, il la quitta en regardant avec attention ce qui était proposé. Des vêtements, il aurait bien besoin d’un petit stock, à part si elle voulait qu’il garde toujours les mêmes habits. Une chemise noire avec les motifs kakon l’intéressa, elle pourrait servir pour les soirées. Sinon pour la vie de tous les jours, un simple t-shirt lui suffisait, ainsi qu’une veste. Le jeune homme chercha un moment ce qui lui fallait. Pantalon de couleur foncée, il prit un jean normal, pas slim tout de même, avec des tubes assez large pour qu’il ne soit pas serrés, puis une blouson bleu, un t-shirt blanc plutôt banal et avec ses achats, incluant la chemise il alla chercher une paire de chaussures puis retourna voir sa maîtresse.
« j’ai tout ce qui me faut maîtresse Alwena. »
Ce qu’il ne fit pas remarquer, c’est qu’il s’était débrouillé pour prendre les moins chers et heureusement, tout lui convenait parfaitement. Maintenant, reste à savoir si elle apprécierait ses goûts et également ce qu’elle comptait faire pour cette fameuse « suite ». L'esclave se tenait bien droit et il attendait les ordres, mimant un petit sourire de ses lèvres pour montrer qu'il n'avait pas oublié ce qu'elle voulait de lui.
Zoreck réalisa finalement, que ce n’était pas pour lui, ou pas encore et il fut débarrassé des chaînes. Les bracelets de fer étaient toujours présents, mais c'était déjà plus confortable, elle ne le tirerait plus derrière elle dans la foule comme elle l'avait fait. L’esclave ne savait finalement, toujours pas à quoi s’en tenir avec cette maîtresse, qui pouvait se montrer clémente. Il regarda ahuri le vendeur lorsque la kakon sortit en lançant un froid au revoir et se fit de nouveau tiré par la maîtresse Alwena. La nouvelle destination était le magasin de vêtements pour homme, de quoi le relooker. Leur entrée fut remarquée. Fière, Alwena fit comme si de rien était tandis que tous avaient les yeux rivés sur elle, peut-être parce qu’ils la trouvaient belle ou bien parce que cette beauté terrifiante les hypnotisait. L’esclave se retrouva face à des rangées de vêtements et il devait choisir.
« Tout ce que je veux ? »
Zoreck frissonna en sentant la main de la maîtresse descendre dans le bas de son dos. Essayant de faire comme si de rien était, il la quitta en regardant avec attention ce qui était proposé. Des vêtements, il aurait bien besoin d’un petit stock, à part si elle voulait qu’il garde toujours les mêmes habits. Une chemise noire avec les motifs kakon l’intéressa, elle pourrait servir pour les soirées. Sinon pour la vie de tous les jours, un simple t-shirt lui suffisait, ainsi qu’une veste. Le jeune homme chercha un moment ce qui lui fallait. Pantalon de couleur foncée, il prit un jean normal, pas slim tout de même, avec des tubes assez large pour qu’il ne soit pas serrés, puis une blouson bleu, un t-shirt blanc plutôt banal et avec ses achats, incluant la chemise il alla chercher une paire de chaussures puis retourna voir sa maîtresse.
« j’ai tout ce qui me faut maîtresse Alwena. »
Ce qu’il ne fit pas remarquer, c’est qu’il s’était débrouillé pour prendre les moins chers et heureusement, tout lui convenait parfaitement. Maintenant, reste à savoir si elle apprécierait ses goûts et également ce qu’elle comptait faire pour cette fameuse « suite ». L'esclave se tenait bien droit et il attendait les ordres, mimant un petit sourire de ses lèvres pour montrer qu'il n'avait pas oublié ce qu'elle voulait de lui.
Invité
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Alwena sourit en repensant a l'air légèrement effrayé que Zoreck avait eut lorsqu'il était devant l'autre magasin, elle aimait s'amuser avec lui en voyant et notant toute ces réactions. Il essayait de sourire cela était assez mignon de voir qu'il faisait tant d'effort pour la satisfaire, Zoreck semblait soulager de ne plus être entravée par les chaînes il commençait déjà a se balader dans les rayons du magasin. Alwena alla s'accouder a une rangée en le regardant aller d'un endroit a l'autre pour choisir ces vêtements, tout le monde la fixer en hésitant a continuer de faire se qu'il faisait elle... Elle ne les regardait pas du tout la seul personne qu'elle fixait du regard c'était son esclave. A la fin il revint la voir avec un t-shirt blanc, une veste bleu, un jeans plutôt large mais sans plus, une paire de chaussure ainsi qu'une chemise de la famille a sa maîtresse. Il lui dit qu'il avait tout se qu'il lui fallait, Alwena se redressa et vérifia les vêtements puis elle le regarda avec un rictus aux lèvres voyant qu'il souriait comme elle lui en avait donner l'ordre. Elle lui dit alors :
« C'est bien... T'es vêtement son comme toi assez simple mais beau... »
Elle lui caressa la joue doucement du dos de ses doigts, puis lui posant son index sur ces lèvres elle reprit:
« Mais tu as oublié une chose essentiel... Des sous vêtements... »
Un sourire légèrement coquin se dessina alors sur les lèvres de la Kakon, elle lui prit alors la main et l'entraîna vers l'endroit ou il y avait les sous vêtement pour homme. Elle en prit un de chaque model et lui montra en demandant :
« Tu préfère porter quoi ? Caleçon ? Boxer ? Slip ? Ou carrément String ? Personnellement j'ai un petit faible pour les boxer je trouve sa mieux mais bon après c'est toi qui voit après tout se n'est pas moi qui les portent... »
Elle le regarda en attendant sa réponse puis lui dit alors :
« Je suppose que tu sais ta taille alors prend des sous vêtement pour... deux semaines... Donc 14... Ensuite nous irons essayer tout les vêtements dans les cabines d'essayage pour voir si sa te va vraiment bien... Je ne veux pas payer pour rien après tout... Et puis tu pourrais en prendre plusieurs models sinon quand on les lavera tu te retrouvera en sous vêtement ? »
Elle lâcha un rire en le regardant d'un air moqueur :
« Ce ne serait peut être pas une mauvaise idée après tout non ? Mais bon sa serait toi encore une fois que cela gênera... »
Elle haussa les épaules alors en se rapprochant de lui collant sa poitrine à son torse, elle prit ces épaules d'une mains et lui demanda encore en montrant les sous vêtements de chaque models existant, elle avait glissé le sachet des achats précédant sur son poignet :
« Alors ? Ton choix ? »
« C'est bien... T'es vêtement son comme toi assez simple mais beau... »
Elle lui caressa la joue doucement du dos de ses doigts, puis lui posant son index sur ces lèvres elle reprit:
« Mais tu as oublié une chose essentiel... Des sous vêtements... »
Un sourire légèrement coquin se dessina alors sur les lèvres de la Kakon, elle lui prit alors la main et l'entraîna vers l'endroit ou il y avait les sous vêtement pour homme. Elle en prit un de chaque model et lui montra en demandant :
« Tu préfère porter quoi ? Caleçon ? Boxer ? Slip ? Ou carrément String ? Personnellement j'ai un petit faible pour les boxer je trouve sa mieux mais bon après c'est toi qui voit après tout se n'est pas moi qui les portent... »
Elle le regarda en attendant sa réponse puis lui dit alors :
« Je suppose que tu sais ta taille alors prend des sous vêtement pour... deux semaines... Donc 14... Ensuite nous irons essayer tout les vêtements dans les cabines d'essayage pour voir si sa te va vraiment bien... Je ne veux pas payer pour rien après tout... Et puis tu pourrais en prendre plusieurs models sinon quand on les lavera tu te retrouvera en sous vêtement ? »
Elle lâcha un rire en le regardant d'un air moqueur :
« Ce ne serait peut être pas une mauvaise idée après tout non ? Mais bon sa serait toi encore une fois que cela gênera... »
Elle haussa les épaules alors en se rapprochant de lui collant sa poitrine à son torse, elle prit ces épaules d'une mains et lui demanda encore en montrant les sous vêtements de chaque models existant, elle avait glissé le sachet des achats précédant sur son poignet :
« Alors ? Ton choix ? »
Invité
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Après avoir choisi ses vêtements, Zoreck se retourna vers Alwena. Il avait toujours des poignets serrés de fer à ses poignets ses chevilles et à son cou, mais il s’y était habitué. De plus, la lourdeur du métal faisait travailler les muscles de ses cuisses et de ses bras, ce n’était que bénéfique, même si le côté esthétique n’y était pas le moins du monde. Quoi de plus laid que ces cercles ternes et gris. Enfin, un esclave ne se plaint pas, son seul droit comme on le lui a tant de fois répété, est de servir le maître, ce qui était en soi complètement ridicule comme droit, c’était un devoir. Le jeune humain regardait sa maîtresse de ses yeux violets interrogateurs, il attendait les ordres, comme toujours. Il se doutait bien que la suite serait un essayage et ce n’était pas bête, acheter des vêtements qui n’étaient pas à sa taille, ça serait du gâchis et elle ne serait pas contente. Ce qui le chiffonnait d’avantage, c’était le genre d’essayage. La kakon avait clairement donné certains indices quant au déroulement possible des choses. Zoreck espérait que ce n’était qu’une impression, mais peu importe ce qu’il pense il ne répondrait toujours que par l’affirmative.
L’humain sourit un peu plus, pour une fois c’était un peu sincère, lorsqu’ Alwena fit un compliment sur sa personne. Il était beau ? C’était ce qu’on lui disait souvent oui, après pour ce qui en est de la vérité, il n’en savait trop rien. La main de sa maîtresse sur la joue était agréable, elle posa ensuite l’index sur ses lèvres en lui faisant remarquer qu’il avait oublié de choisir des sous-vêtements. En effet, il n’y avait pas pensé, les siens étaient assez sales pour ainsi dire, vu le temps qu’il avait passé avec. L’esclave suivit sa maîtresse qui lui tenait toujours la main, vers les rayons de sous-vêtements pour homme. Elle demanda à Zoreck quelle sorte il préférait. Pour lui c’était clair, boxer ou rien. Le string, ce n’était pas son truc d’avoir quelque chose qui lui rentre dans les fesses, le slip, bof, caleçon ? Ca ballotte trop (XD). Ainsi, l’esclave choisit :
« Et bien, je suis du même avis que vous maîtresse. Je préfère largement les boxers. »
Elle lui intima d’en prendre pour deux semaines. Deux semaines ? Zoreck ne savait pas quoi prendre, il y en avait tellement. Les packs de trois suffiraient largement, il ne cherchait pas la qualité, il voulait juste des sous-vêtements après tout et les seules personnes qui les verraient sûrement étaient lui, sa maîtresse et qui elle laissera regarder. Une petite moquerie arriva, le jeune homme se pinça les lèvres sans rien dire. Il n’y avait pas non plus pensé en effet. Ils retourneraient dans l’autre rayon après celui-ci. Zoreck ne put s'empêcher de remarquer que sa maîtresse semblait amusée à l'idée qu'il se balade en sous-vêtement, le rouge monta discrètement à ses joues.
Alors qu’il allait commencer à choisir, sa maîtresse se colla à lui, le prenant par l’épaule, elle lui montra les rangées infinies de slip, caleçon et autres. Cette sensation, trop proche de lui, le cœur de Zoreck accéléra brutalement. Il ne le nierait pas, l’ainoko était très séduisante, mais malgré tout, il restait au grade d’esclave, il n’avait aucun droit. Sachant qu’elle ne le lâcherait que lorsqu’il aurait répondu, il répéta de nouveau, la voix un peu plus tremblante que précédemment :
« Ces packs de boxer m' iront sûrement. »
Sans brusquer la séparation, l’esclave prit rapidement trois packs de quatre et un pack de deux, tous de plusieurs couleurs, puis revint vers sa maîtresse. Précision, rapidité d’exécution, il avait ça. Déjà au garde à vous, l’humain peinait à tenir ces quatre paquets ainsi que ses vêtements, mais il n’en dit rien. Le jeune homme jeta un œil autour de lui. Au fond, des cabines d’essayage attendaient son passage.
« Maîtresse Alwena, est-ce que je pourrais essayer ces vêtements maintenant ? »
L’humain sourit un peu plus, pour une fois c’était un peu sincère, lorsqu’ Alwena fit un compliment sur sa personne. Il était beau ? C’était ce qu’on lui disait souvent oui, après pour ce qui en est de la vérité, il n’en savait trop rien. La main de sa maîtresse sur la joue était agréable, elle posa ensuite l’index sur ses lèvres en lui faisant remarquer qu’il avait oublié de choisir des sous-vêtements. En effet, il n’y avait pas pensé, les siens étaient assez sales pour ainsi dire, vu le temps qu’il avait passé avec. L’esclave suivit sa maîtresse qui lui tenait toujours la main, vers les rayons de sous-vêtements pour homme. Elle demanda à Zoreck quelle sorte il préférait. Pour lui c’était clair, boxer ou rien. Le string, ce n’était pas son truc d’avoir quelque chose qui lui rentre dans les fesses, le slip, bof, caleçon ? Ca ballotte trop (XD). Ainsi, l’esclave choisit :
« Et bien, je suis du même avis que vous maîtresse. Je préfère largement les boxers. »
Elle lui intima d’en prendre pour deux semaines. Deux semaines ? Zoreck ne savait pas quoi prendre, il y en avait tellement. Les packs de trois suffiraient largement, il ne cherchait pas la qualité, il voulait juste des sous-vêtements après tout et les seules personnes qui les verraient sûrement étaient lui, sa maîtresse et qui elle laissera regarder. Une petite moquerie arriva, le jeune homme se pinça les lèvres sans rien dire. Il n’y avait pas non plus pensé en effet. Ils retourneraient dans l’autre rayon après celui-ci. Zoreck ne put s'empêcher de remarquer que sa maîtresse semblait amusée à l'idée qu'il se balade en sous-vêtement, le rouge monta discrètement à ses joues.
Alors qu’il allait commencer à choisir, sa maîtresse se colla à lui, le prenant par l’épaule, elle lui montra les rangées infinies de slip, caleçon et autres. Cette sensation, trop proche de lui, le cœur de Zoreck accéléra brutalement. Il ne le nierait pas, l’ainoko était très séduisante, mais malgré tout, il restait au grade d’esclave, il n’avait aucun droit. Sachant qu’elle ne le lâcherait que lorsqu’il aurait répondu, il répéta de nouveau, la voix un peu plus tremblante que précédemment :
« Ces packs de boxer m' iront sûrement. »
Sans brusquer la séparation, l’esclave prit rapidement trois packs de quatre et un pack de deux, tous de plusieurs couleurs, puis revint vers sa maîtresse. Précision, rapidité d’exécution, il avait ça. Déjà au garde à vous, l’humain peinait à tenir ces quatre paquets ainsi que ses vêtements, mais il n’en dit rien. Le jeune homme jeta un œil autour de lui. Au fond, des cabines d’essayage attendaient son passage.
« Maîtresse Alwena, est-ce que je pourrais essayer ces vêtements maintenant ? »
Invité
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Il sourit toujours se qui plaisait a Alwena, il répondit à sa maîtresse que lui aussi préférer les boxer se qui satisfaisait notre Kakon de penser a son nouvel acquis dans l'un de ses sous vêtements assez sexy dirons nous. Lorsqu'Alwena se moqua elle remarqua ensuite une teinte rouge sur les joues de son esclave et pour encore plus le faire rougir elle lui dit :
« Allons il ne faut pas rougir pour si peu voyons... Se n'était qu'une blague... Ou pas... »
Elle se mit encore a rire puis le voyant prendre les paquets de boxer et qu'il avait du mal a tout porter, Alwena regarda a gauche puis a droite... Un panier plein de vêtement était posée la avec personne a ces cotes et bien tant pi pour le propriétaire il n'avait qu'a être la, elle prit le panier et le mit a l'envers faisant ainsi tout renverser par terre puis le présenta devant Zoreck en lui disant :
« Met tes affaires la dedans sa sera quand même plus pratique, on ira chercher les vêtements de rechanges après d'accord ? Après tout si eux te vont il n'y aura qu'a en prendre de la même taille et du même model si tu veux... »
Elle posa alors sa main sur son dos et le poussa sans vraiment de violence ni d'empressement juste pour le faire avancer vers les cabine qu'elle avait repéré pendant qu'il choisissait ses boxer. Une fois arriver elle regarda les portes d'essayages et vit que toute était prise sauf celle pour les handicapé... Qu'a cela tienne Alwena n'allait pas se gêner et dit tout en étant contre le dos de Zoreck elle glissa ses lèvres pulpeuse contre son oreille :
« Va dans celle la... Les autres sont prises et je n'ai pas envie d'attendre une éternité... Essaye tout et appelle moi quand tu sera prêt... »
Alwena le poussa d'une légère tape dans le dos vers la cabine pour handicapée qui était la plus grande faite a cet effet... En l'attendant elle se posa contre le mur appuyant son épaule contre le froid, sa tête se colla aussi contre et regarda le sol en croisant les bras. Alwena soupira un peu se demandant se qu'elle allait bien pouvoir faire avec son nouvel esclave n'ayant pas grande envie de le torturer ni de le tuer... Et le câliner se n'était pas vraiment son truc bien que cela ne la gênerait peut être pas, faire cela pourquoi pas après tout se dit elle... C'était toujours mieux que de le tuer en le pendant par les bijoux de famille, elle se demanda ensuite si elle allait lui demander son avis cela serait sans doute mieux... Elle improviserait sans doute le moment venu...
« Allons il ne faut pas rougir pour si peu voyons... Se n'était qu'une blague... Ou pas... »
Elle se mit encore a rire puis le voyant prendre les paquets de boxer et qu'il avait du mal a tout porter, Alwena regarda a gauche puis a droite... Un panier plein de vêtement était posée la avec personne a ces cotes et bien tant pi pour le propriétaire il n'avait qu'a être la, elle prit le panier et le mit a l'envers faisant ainsi tout renverser par terre puis le présenta devant Zoreck en lui disant :
« Met tes affaires la dedans sa sera quand même plus pratique, on ira chercher les vêtements de rechanges après d'accord ? Après tout si eux te vont il n'y aura qu'a en prendre de la même taille et du même model si tu veux... »
Elle posa alors sa main sur son dos et le poussa sans vraiment de violence ni d'empressement juste pour le faire avancer vers les cabine qu'elle avait repéré pendant qu'il choisissait ses boxer. Une fois arriver elle regarda les portes d'essayages et vit que toute était prise sauf celle pour les handicapé... Qu'a cela tienne Alwena n'allait pas se gêner et dit tout en étant contre le dos de Zoreck elle glissa ses lèvres pulpeuse contre son oreille :
« Va dans celle la... Les autres sont prises et je n'ai pas envie d'attendre une éternité... Essaye tout et appelle moi quand tu sera prêt... »
Alwena le poussa d'une légère tape dans le dos vers la cabine pour handicapée qui était la plus grande faite a cet effet... En l'attendant elle se posa contre le mur appuyant son épaule contre le froid, sa tête se colla aussi contre et regarda le sol en croisant les bras. Alwena soupira un peu se demandant se qu'elle allait bien pouvoir faire avec son nouvel esclave n'ayant pas grande envie de le torturer ni de le tuer... Et le câliner se n'était pas vraiment son truc bien que cela ne la gênerait peut être pas, faire cela pourquoi pas après tout se dit elle... C'était toujours mieux que de le tuer en le pendant par les bijoux de famille, elle se demanda ensuite si elle allait lui demander son avis cela serait sans doute mieux... Elle improviserait sans doute le moment venu...
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