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L'odeur d'un port...L'arrivée ? Peut-être bien. Cela faisait plusieurs jours à présent que Hell avait arrêter de réfléchir à cela. Cela allait faire plusieurs jours que, dans les rues de Paris, il avait été kidnapper. Depuis lors, d'étranges personnes s'étaient succéder devant sa cage...Tous avaient un petit quelque chose d'étrange, d'unique. Le jeune humain qu'était Hell trouvait cela magnifique, attirant, comme tout droit sortit d'un des univers de son Monde, Monde d'Idées, de Rêves et d'Écriture.
Soudain, du bruit se fit entendre vers l'extérieur. Les autres humains prisonniers, comme lui, hurlaient dans leur langue natale, ou dans la même que celle de ces étranges créatures. Les sons se mariaient les uns avec les autres, comme une mélodie réprobatrice qui donnait l'envie à notre jouvenceau de faire glisser plume sur le papier.
Fermant les yeux, il ne réagit que trop tard quand on lui attrapa le bras, le tirant de sa cage et le mélangeant aux autres. Les autres...Tous ensemble ils étaient tout de même nombreux. De suite, un sentiment de malaise le prit. Ses yeux papillonnaient, son estomac se nouait, sa tête bourdonnait. Alors qu'il allait enfin mettre un pied à l'extérieur, ses jambes ne purent le porter d'avantage, et son esprit se brouilla...pour sombrer dans l'inconscience. La dernière chose dont il se souvint, c'est d'une de ses créatures penchaient au-dessus de lui, semblant pester contre quelque chose...peut-être est-ce lui ?
Plusieurs heures plus tard, à moins que ce ne soit des jours, Hell revint à lui. Il n'était plus entouré de toute cette masse de personnes...Non, il se trouvait dans une petite salle, bien éclairé, et dans les tons blanc. De suite, le mot "hôpital" résonna dans son esprit. Quelque soit l'endroit où il avait été emmené, il continuait de côtoyer ce genre de lieu infâme, à la blancheur impeccable. Ne pouvait-il pas être comme les autres ?! Pourquoi était-il né avec cette fichue maladie pulmonaire ?!
Se redressant, le bruit des draps sembla être l'indicateur de l'arrivée de son nouveau médecin. ce-dernier était grand, avec des ailes noirs. Il avait une clope à la main, et semblait se moquer un peu de la situation. Observant avec un certain dédain son patient, il lui demanda, en anglais :
"Ton nom, ton âge et ta nationalité gamin.
- Euh...Hell Van'Dervil, 20 ans, Franco-Russe. Mais dîtes-moi...
- La ferme, c'est moi qui parle ! Bon, faiblesse pulmonaire...à part ça, rien de grave. Mouais..."
La suite, Hell ne la comprit aucunement. L'étrange ange aux ailes noirs s'étaient retourné vers un étrange homme. Ce-dernier avait le visage rieur et un style vestimentaire bien particulier. Cependant, deux éléments troublèrent d'avantage notre petiot : cet homme était aveugle et avait des cornes de bouc !
Trouvant cela encore plus captivant, et de toute beauté, Hell avait un regard tendre en observant ces êtres. Il ne savait où il était, mais il aurait aimé dire que c'était le paradis...a quel point se trompe-t-il à votre avis ?
On lui donna de nouveaux vêtements, pour ensuite l'intimer de suivre un de ces hommes baraqués, eux aussi à corne...Même si eux, on aurait plus dit des Taureaux qu'autre chose. Hell suivait le mouvement, vêtu d'un pantalon en toile blanche et d'une simple chemise de chute, elle aussi blanche.
Non sans un mot, on le fit entrer dans une espèce de cellule. La pièce était carré et petite. Elle n'était constitué en tout et pour tout que d'un lit, sur le coin ouest, la porte d'entrée étant au Nord. On trouvait un lavabo à l'Est, et enfin...Une étrange vitre, probablement sans teint, au Sud. Peut-etre y avait-il un autre couloir, et des gens pour les observer ? Il faut dire que cette cellule ressemblait quand même énormément à une cage.
S'assoyant sur son lit, Hell ramena ses genoux contre sa poitrine et ferma ses yeux. Alors, se balançant d'avant en arrière, il chantonnait une de ces chansons russes que lui chantait sa nounou pour le consoler. Il aurait tellement aimer avoir de quoi écrire en cet instant...Il aurait aimer comprendre...Et pourtant, aucun de ses souhaits ne semblait vouloir être exaucer.
De plus, de l'autre côté de la vitre sans teint, un homme de grande carrure vint à passer. Dans une fente, là où l'on met normalement la race d'une espèce, un papier venait d'être ajouté avec inscrit dessus :
[HRPG => Le prix, c un délire ^^" lol]
Soudain, du bruit se fit entendre vers l'extérieur. Les autres humains prisonniers, comme lui, hurlaient dans leur langue natale, ou dans la même que celle de ces étranges créatures. Les sons se mariaient les uns avec les autres, comme une mélodie réprobatrice qui donnait l'envie à notre jouvenceau de faire glisser plume sur le papier.
Fermant les yeux, il ne réagit que trop tard quand on lui attrapa le bras, le tirant de sa cage et le mélangeant aux autres. Les autres...Tous ensemble ils étaient tout de même nombreux. De suite, un sentiment de malaise le prit. Ses yeux papillonnaient, son estomac se nouait, sa tête bourdonnait. Alors qu'il allait enfin mettre un pied à l'extérieur, ses jambes ne purent le porter d'avantage, et son esprit se brouilla...pour sombrer dans l'inconscience. La dernière chose dont il se souvint, c'est d'une de ses créatures penchaient au-dessus de lui, semblant pester contre quelque chose...peut-être est-ce lui ?
Plusieurs heures plus tard, à moins que ce ne soit des jours, Hell revint à lui. Il n'était plus entouré de toute cette masse de personnes...Non, il se trouvait dans une petite salle, bien éclairé, et dans les tons blanc. De suite, le mot "hôpital" résonna dans son esprit. Quelque soit l'endroit où il avait été emmené, il continuait de côtoyer ce genre de lieu infâme, à la blancheur impeccable. Ne pouvait-il pas être comme les autres ?! Pourquoi était-il né avec cette fichue maladie pulmonaire ?!
Se redressant, le bruit des draps sembla être l'indicateur de l'arrivée de son nouveau médecin. ce-dernier était grand, avec des ailes noirs. Il avait une clope à la main, et semblait se moquer un peu de la situation. Observant avec un certain dédain son patient, il lui demanda, en anglais :
"Ton nom, ton âge et ta nationalité gamin.
- Euh...Hell Van'Dervil, 20 ans, Franco-Russe. Mais dîtes-moi...
- La ferme, c'est moi qui parle ! Bon, faiblesse pulmonaire...à part ça, rien de grave. Mouais..."
La suite, Hell ne la comprit aucunement. L'étrange ange aux ailes noirs s'étaient retourné vers un étrange homme. Ce-dernier avait le visage rieur et un style vestimentaire bien particulier. Cependant, deux éléments troublèrent d'avantage notre petiot : cet homme était aveugle et avait des cornes de bouc !
Trouvant cela encore plus captivant, et de toute beauté, Hell avait un regard tendre en observant ces êtres. Il ne savait où il était, mais il aurait aimé dire que c'était le paradis...a quel point se trompe-t-il à votre avis ?
On lui donna de nouveaux vêtements, pour ensuite l'intimer de suivre un de ces hommes baraqués, eux aussi à corne...Même si eux, on aurait plus dit des Taureaux qu'autre chose. Hell suivait le mouvement, vêtu d'un pantalon en toile blanche et d'une simple chemise de chute, elle aussi blanche.
Non sans un mot, on le fit entrer dans une espèce de cellule. La pièce était carré et petite. Elle n'était constitué en tout et pour tout que d'un lit, sur le coin ouest, la porte d'entrée étant au Nord. On trouvait un lavabo à l'Est, et enfin...Une étrange vitre, probablement sans teint, au Sud. Peut-etre y avait-il un autre couloir, et des gens pour les observer ? Il faut dire que cette cellule ressemblait quand même énormément à une cage.
S'assoyant sur son lit, Hell ramena ses genoux contre sa poitrine et ferma ses yeux. Alors, se balançant d'avant en arrière, il chantonnait une de ces chansons russes que lui chantait sa nounou pour le consoler. Il aurait tellement aimer avoir de quoi écrire en cet instant...Il aurait aimer comprendre...Et pourtant, aucun de ses souhaits ne semblait vouloir être exaucer.
De plus, de l'autre côté de la vitre sans teint, un homme de grande carrure vint à passer. Dans une fente, là où l'on met normalement la race d'une espèce, un papier venait d'être ajouté avec inscrit dessus :
~ Hell Van'Dervil ~
~ 20 ans ~
~ Franco-Russe ~
~ Vierge ~
~ Faiblesse Pulmonaire ~
100 Pièces, prix à Débattre.
~ 20 ans ~
~ Franco-Russe ~
~ Vierge ~
~ Faiblesse Pulmonaire ~
100 Pièces, prix à Débattre.
[HRPG => Le prix, c un délire ^^" lol]
Melwin Poliakoff
Humain Non-Reconnu
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Réputation :
0
Maître de :
Mon Âme.
Esclave de :
Qui sait ?
Le soleil commençait enfin à se coucher, je me levai donc de mon lit…et non je ne dors pas la tête en bas, les ailes repliées sur moi-même, comme on aurait pu le pensé et comme le fait les bestioles donc la race est issu, manquerait plus que ça…Je voyais encore un peu de la lumière du soleil filtré des quelques fentes, il était encore trop tôt pour que je puisse sortir. Dur vie pour les créatures nocturnes, surtout quand le reste de la ville ne les pas. Donc comme je devais faire quelque course, j’étais obligé de me réveiller au crépuscule, une heure bien inhabituel pour se lever…Enfin bon, heureusement que l’on était en hiver, les magasins fermerait toujours à la même heures mais, comme la nuit s’étendait toujours un peu plus sur ce satané jour, je pouvait nessécité des biens-faits de la ville de la journée…et malheureusement aussi, il devait être dans les environs de 17 heures 30 et j’étais debout, cela fessait vraiment longtemps que je ne m’était pas lever si tôt…
Bref… je me dirigeai vers la cuisine, un client me paya une sorte de studio déjà meublé, c’était assez petit mais je n’aimais pas les grand espace pour cet appartement m’allait très bien, étant donner que je ni était que pour dormir. Ma chambre mesurer environ trois mètre sur trois, avec un lit deux place et une armoire pour mes vêtements. Il y avait une petite lampe de chevet mais elle était débranché, je n’ai pas besoin d’utiliser ce genre de chose. La porte donnait directement au « salon » salon était un très grand mot puisque ce n’était pas très grand, il y avait une table à manger, collé contre le mur avec deux chaise, une en face de l’autre. Il y avait aussi un canapé, assez confortable contre le mur qui était perpendiculaire à celui coller contre la table. Dans le coin opposé au meuble déjà cité il y avait une télé, elle était rarement allumé, je préférais nettement la radio à la télévisons. Et juste a coté de cette machine, il y a une grande fenêtre donc les volais sont fermer bien entendu. La cuisine était encré dans la salle à manger, une y avait une sorte de barre, avec micro-onde bien que je ne l’utilise jamais, frigidaire et tout ce qu’il faut dans une cuisine pour quelqu’un de normal… et pour finir la salle de bain, une toute petite pièce avec toilette, bac à douche et lavabo, simple.
J’ouvris le frigo, j’avais un peu faim et la flemme d’aller chasser, je pris donc une poche, elle était dans un plastique mou et transparent avec des inscriptions médical dessus. Et ou je bois des poches médicales. Je dé bouchonna la petite capsule sur le dessus et bu le liquide rouge écarlate qui se trouvait dedans. C’était assez mauvais, le sang chaud est bien meilleur, mais bon on fait avec…
Je bu assez rapidement le sang médical et jeta le flacon un peu plus loin…puis passa dans la chambre et dans la salle de bain pour me laver et m’habiller car oui, je dors nu ! Quelques minutes après je sortis de chez moi, et descendis dans la rue. J’étais venu de mes docs martin noirs, un pantalon droit et noir, un pull noir et un manteau toujours noir. La pluparts de mes vêtements était noir, puisqu’ils se font très bien dans la nuit, c’est l’idéale pour chasser sans se faire repéré. Je marchai tranquillement dans la nuit, la lumière des lampadaires me fis un peux plisser les yeux, ils sont extrêmement sensible. J’avais un rendez-vous avec le client du moment, il m’avait convoqué de derrière minutes. Bref rien d’important que vous daignerais savoir.
Et maintenant direction Eden Gliterring, j’ai entendu parler d’une nouvelle cargaison et de beau spécimen, j’avais décidé de le trouver un esclave et puis…ils me connaissent là-bas…je suis sur qu’ils m’en laisseront eut à bas prix…je souri sadiquement aux pensées qui parcouru mon esprit, laissant entrevoir, des dents terriblement pointues.
Plus je me rapprochais du bâtiment, je me rencontrais des gens douteux enfin douteux… Toujours pour quelqu’un de normal bien sur. Certain me fis des signes de la main, d’autre s’enfuyait apeurer et faut dire que je me passe pas inaperçu…, J’ai une grand taille, quelque centimètre en dessous de dessous de deux mètre tout de même, j’ai une carrure assez forte et musclé bien que long peu trouver bien plus impressionnant que moi et de grandes ailes de chauve souris d’un noir profond et plier en quatre contre mon dos. Elles très rarement ouverte était donner de leur grandeur unique. Je reconnu l’enseigne de loin, il faut dire qu’elle est lumineuse, je rentrai sans faire attention aux prostituée et autre personne qui jonchait le trottoir … et passa directement dans l’arrière boutique, j’entendis quelque personne qui arrêtait leur respiration quand il me croisa… Cette réaction me fis toujours rire, ces petits animaux sont si craintif… Un vendeur m’accueillait avec un sourire crispé :
- bienvenu a l’Eden Gliterring, que voulez vous ?
- un esclave…
- bien suivez-moi…
Je suivais le vendeur, il n’était pas très rassurer et me regardait toujours d’un coin d’œil. On descend, je dus fait attention à mes ailes à plusieurs reprises.
- vous chercher quelque chose de spécial ?
- un homme…
Et après plusieurs mètre, je m’arrêtai sur une sorte d’éclat blanc qui me tapa dans l’œil et m’arrêta devant la vitrine, un gosse, blond et petit. Et avais l’air d’être facile a trimballer et pas rebelle, ce qu’il me fallait… je regardai sa fiche. * Hell Van’Dervil…Hell facile a retenir, ça me va… 20 ans, oh, il est jeune, c’est exactement l’âge pour tu es plein de ressources, franco-russe… c’est ou ça… je crois que le vieux m’en avais parlé…Un grand pays près de l’Europe…ou quelque chose comme ça…, vierge ? Marrant…* un sourire apparu sur mes lèvres. *faiblesse pulmonaire… cela risque d’être embêtant…100 pièce, prix à débattre…bien sur, il va descendre…*
- je veux celui-là
- bien, alors…100 pièces…
- 50 pièces ! Pas plus
- nous ne pouvons pas desc…
Je se tue sous mon regard menaçant, je le poussa de haut, je m’étais redressa pour l’occasion et pouvais se cacher sous mon ombre… Il hésita un moment mais son courage parti bien vite quand il aperçu mes canines sortis pour les circonstances…
- bien…
Nous nous dirigeons alors vers la caisse… le vendeur qui m’avait aidé disparu dans un couloir plus sombre alors que je payai le caissier. Une fois fait, je m’accoudai à la caisse et attendais patiemment mon achat fait sur un coup de tête…Il arriva…innocent dans ses vêtements blancs dans l’embouchure de la porte… C’est alors que un grand sourie malsain et presque affamé né sur mon visage…
Bref… je me dirigeai vers la cuisine, un client me paya une sorte de studio déjà meublé, c’était assez petit mais je n’aimais pas les grand espace pour cet appartement m’allait très bien, étant donner que je ni était que pour dormir. Ma chambre mesurer environ trois mètre sur trois, avec un lit deux place et une armoire pour mes vêtements. Il y avait une petite lampe de chevet mais elle était débranché, je n’ai pas besoin d’utiliser ce genre de chose. La porte donnait directement au « salon » salon était un très grand mot puisque ce n’était pas très grand, il y avait une table à manger, collé contre le mur avec deux chaise, une en face de l’autre. Il y avait aussi un canapé, assez confortable contre le mur qui était perpendiculaire à celui coller contre la table. Dans le coin opposé au meuble déjà cité il y avait une télé, elle était rarement allumé, je préférais nettement la radio à la télévisons. Et juste a coté de cette machine, il y a une grande fenêtre donc les volais sont fermer bien entendu. La cuisine était encré dans la salle à manger, une y avait une sorte de barre, avec micro-onde bien que je ne l’utilise jamais, frigidaire et tout ce qu’il faut dans une cuisine pour quelqu’un de normal… et pour finir la salle de bain, une toute petite pièce avec toilette, bac à douche et lavabo, simple.
J’ouvris le frigo, j’avais un peu faim et la flemme d’aller chasser, je pris donc une poche, elle était dans un plastique mou et transparent avec des inscriptions médical dessus. Et ou je bois des poches médicales. Je dé bouchonna la petite capsule sur le dessus et bu le liquide rouge écarlate qui se trouvait dedans. C’était assez mauvais, le sang chaud est bien meilleur, mais bon on fait avec…
Je bu assez rapidement le sang médical et jeta le flacon un peu plus loin…puis passa dans la chambre et dans la salle de bain pour me laver et m’habiller car oui, je dors nu ! Quelques minutes après je sortis de chez moi, et descendis dans la rue. J’étais venu de mes docs martin noirs, un pantalon droit et noir, un pull noir et un manteau toujours noir. La pluparts de mes vêtements était noir, puisqu’ils se font très bien dans la nuit, c’est l’idéale pour chasser sans se faire repéré. Je marchai tranquillement dans la nuit, la lumière des lampadaires me fis un peux plisser les yeux, ils sont extrêmement sensible. J’avais un rendez-vous avec le client du moment, il m’avait convoqué de derrière minutes. Bref rien d’important que vous daignerais savoir.
Et maintenant direction Eden Gliterring, j’ai entendu parler d’une nouvelle cargaison et de beau spécimen, j’avais décidé de le trouver un esclave et puis…ils me connaissent là-bas…je suis sur qu’ils m’en laisseront eut à bas prix…je souri sadiquement aux pensées qui parcouru mon esprit, laissant entrevoir, des dents terriblement pointues.
Plus je me rapprochais du bâtiment, je me rencontrais des gens douteux enfin douteux… Toujours pour quelqu’un de normal bien sur. Certain me fis des signes de la main, d’autre s’enfuyait apeurer et faut dire que je me passe pas inaperçu…, J’ai une grand taille, quelque centimètre en dessous de dessous de deux mètre tout de même, j’ai une carrure assez forte et musclé bien que long peu trouver bien plus impressionnant que moi et de grandes ailes de chauve souris d’un noir profond et plier en quatre contre mon dos. Elles très rarement ouverte était donner de leur grandeur unique. Je reconnu l’enseigne de loin, il faut dire qu’elle est lumineuse, je rentrai sans faire attention aux prostituée et autre personne qui jonchait le trottoir … et passa directement dans l’arrière boutique, j’entendis quelque personne qui arrêtait leur respiration quand il me croisa… Cette réaction me fis toujours rire, ces petits animaux sont si craintif… Un vendeur m’accueillait avec un sourire crispé :
- bienvenu a l’Eden Gliterring, que voulez vous ?
- un esclave…
- bien suivez-moi…
Je suivais le vendeur, il n’était pas très rassurer et me regardait toujours d’un coin d’œil. On descend, je dus fait attention à mes ailes à plusieurs reprises.
- vous chercher quelque chose de spécial ?
- un homme…
Et après plusieurs mètre, je m’arrêtai sur une sorte d’éclat blanc qui me tapa dans l’œil et m’arrêta devant la vitrine, un gosse, blond et petit. Et avais l’air d’être facile a trimballer et pas rebelle, ce qu’il me fallait… je regardai sa fiche. * Hell Van’Dervil…Hell facile a retenir, ça me va… 20 ans, oh, il est jeune, c’est exactement l’âge pour tu es plein de ressources, franco-russe… c’est ou ça… je crois que le vieux m’en avais parlé…Un grand pays près de l’Europe…ou quelque chose comme ça…, vierge ? Marrant…* un sourire apparu sur mes lèvres. *faiblesse pulmonaire… cela risque d’être embêtant…100 pièce, prix à débattre…bien sur, il va descendre…*
- je veux celui-là
- bien, alors…100 pièces…
- 50 pièces ! Pas plus
- nous ne pouvons pas desc…
Je se tue sous mon regard menaçant, je le poussa de haut, je m’étais redressa pour l’occasion et pouvais se cacher sous mon ombre… Il hésita un moment mais son courage parti bien vite quand il aperçu mes canines sortis pour les circonstances…
- bien…
Nous nous dirigeons alors vers la caisse… le vendeur qui m’avait aidé disparu dans un couloir plus sombre alors que je payai le caissier. Une fois fait, je m’accoudai à la caisse et attendais patiemment mon achat fait sur un coup de tête…Il arriva…innocent dans ses vêtements blancs dans l’embouchure de la porte… C’est alors que un grand sourie malsain et presque affamé né sur mon visage…
Dead Scavanger
Dead Scavanger
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Maître de :
ce cher petit Hell Van'dervil..
Esclave de :
mes envies ?
Ignorant se sa situation, Hell se contentait d'attendre...attendre en espérant obtenir des réponses à ses questions. Cependant, alors que la fatigue commençait à prendre le dessus sur sa raison, la porte de sa cellule s'ouvra dans un grincement sonore. Rouvrant ses yeux orages, il eut du mal à distinguer correctement la silhouette de son vis à vis, ses yeux encore embrumés de sommeil.
Mais voilà, on ne le laissa pas agir aussi peu, et on l'empoigna par le bras, le tirant or de cette salle où on venait tout juste de l'enfermer. Surprit par cela, Hell chercha à savoir ce qui se passait ! Le regard de son nouveau kidnappeur, encore une espèce de taureau, était fuyant. On aurait dit qu'il était terrorisé par quelque chose. Alors que le regard d'Hell respirait la découverte, le merveilleux et l'étonnement jusqu'ici, il se fit un peu plus soucieux cette fois-ci. Oh ! Non ! Pas pour lui ! Il était soucieux pour cet homme pressait, et terrorisé !
~ Quelque chose vous tracasse Monsieur ? ~ demanda-t-il avec douceur, dans un parfait Français.
"La Ferme Esclave !"
Hell fut surprit...Il connaissait les différents mots pour dire "Tais-toi" ou "La Ferme" en Japonais. Mais jamais il n'aurait pensé un jour les entendre...Cet homme, peut-être ne voulait-il pas se confier, peut-être même qu'il ne comprenait pas le Français !
Au moment où le gamin voulut réessayer, dans une autre langue, sa question...Il se retrouva à la lumière. Ses yeux, qui avaient commencer à s'habituer à la pénombre, furent en premier lieu éblouit...d'autant plus qu'on le poussa en avant. Déséquilibré, Hell ne put empêcher un gémissement de franchir ses lèvres, alors qu'il rencontrait soudainement une surface plane, dure, et en même temps si douce.
~ Ouch ~ laissa-t-il passer dans une langue bizarre, du Russe en somme.
Sa langue natale lui revient plus aisément avec ce genre d'incident. Enfin, se redressant, Hell leva son visage fin vers celui de la personne l'ayant réceptionné, tout en s'écartant légèrement pour ne pas gêner. Alors, il déclara, en japonais avec un accent très prononcé :
"Excusez-moi Monsieur..."
Au moins, ça, il savait le dire dans la langue de ces types ! Ben quoi ? Il a le B.A.BA...en gros, s'il devait être dans une classe ayant des cours de japonais et le parlant quasiment couramment, sa moyenne serait de 2-3 sur 20. [Hrpg : en fait, c'est ma moyenne d'anglais XD]
Quoiqu'il en soit, à présent, la seule chose que le jeune humain était apte à faire...c'était d'observer son vis à vis. Intérieur, le petit homme ne put s'empêcher de le trouver beau. Il semblait irradier une espèce de charisme de sa personne, quand s'en était troublant. Rougissant de ses pensés, il est un peu beaucoup timide et innocent, il baissa le regard...attendant la suite.
Mais voilà, on ne le laissa pas agir aussi peu, et on l'empoigna par le bras, le tirant or de cette salle où on venait tout juste de l'enfermer. Surprit par cela, Hell chercha à savoir ce qui se passait ! Le regard de son nouveau kidnappeur, encore une espèce de taureau, était fuyant. On aurait dit qu'il était terrorisé par quelque chose. Alors que le regard d'Hell respirait la découverte, le merveilleux et l'étonnement jusqu'ici, il se fit un peu plus soucieux cette fois-ci. Oh ! Non ! Pas pour lui ! Il était soucieux pour cet homme pressait, et terrorisé !
~ Quelque chose vous tracasse Monsieur ? ~ demanda-t-il avec douceur, dans un parfait Français.
"La Ferme Esclave !"
Hell fut surprit...Il connaissait les différents mots pour dire "Tais-toi" ou "La Ferme" en Japonais. Mais jamais il n'aurait pensé un jour les entendre...Cet homme, peut-être ne voulait-il pas se confier, peut-être même qu'il ne comprenait pas le Français !
Au moment où le gamin voulut réessayer, dans une autre langue, sa question...Il se retrouva à la lumière. Ses yeux, qui avaient commencer à s'habituer à la pénombre, furent en premier lieu éblouit...d'autant plus qu'on le poussa en avant. Déséquilibré, Hell ne put empêcher un gémissement de franchir ses lèvres, alors qu'il rencontrait soudainement une surface plane, dure, et en même temps si douce.
~ Ouch ~ laissa-t-il passer dans une langue bizarre, du Russe en somme.
Sa langue natale lui revient plus aisément avec ce genre d'incident. Enfin, se redressant, Hell leva son visage fin vers celui de la personne l'ayant réceptionné, tout en s'écartant légèrement pour ne pas gêner. Alors, il déclara, en japonais avec un accent très prononcé :
"Excusez-moi Monsieur..."
Au moins, ça, il savait le dire dans la langue de ces types ! Ben quoi ? Il a le B.A.BA...en gros, s'il devait être dans une classe ayant des cours de japonais et le parlant quasiment couramment, sa moyenne serait de 2-3 sur 20. [Hrpg : en fait, c'est ma moyenne d'anglais XD]
Quoiqu'il en soit, à présent, la seule chose que le jeune humain était apte à faire...c'était d'observer son vis à vis. Intérieur, le petit homme ne put s'empêcher de le trouver beau. Il semblait irradier une espèce de charisme de sa personne, quand s'en était troublant. Rougissant de ses pensés, il est un peu beaucoup timide et innocent, il baissa le regard...attendant la suite.
Melwin Poliakoff
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Maître de :
Mon Âme.
Esclave de :
Qui sait ?
Je rencontrai enfin mon esclave autre par que derrière une vitre, il était encore plus chétif que je me l’étais imaginer… Le vendeur cornu que j’avais menacé toute à l’heure réapparu derrière lui, et le poussa vers moi brusquement, et après quelque pas déséquilibré l’humain alla arrêter sa chute contre moi, que je réceptionnai machinalement…
Au contact du choque le petiot émis un son étrange, je ne connaissais pas sa signification ni sa provenance, mais selon la situation cela voulais surement dire aie ou quelque chose comme cela. Ça risque d’être difficile si on ne se comprend pas, bon il faillait si attendre venant des humains, ils ne viennent pas que du japon, le pays ou il parle la même langue que nous. Alors que j’étais parti dans mes réflexions, le petit être se détacha et s’excusa …avec un drôle d’accent, je ne l’avais encore jamais entendu… au moins il parlait un petit peu ma langue je n’avais pas tout perdu me dit-je d’une façon un peu désinvolte…
- voila vous êtes servis.
M’écorchait le vendeur d’une voix dure. Il était au moins a quelque mètre de moi et ne comptait surement pas avancer. Je ne répondis rien, je me contentai de lui adresse un sourire malsain et un regard rieur. Le caissier, lui non plus était pas très rassurer et prier intérieurement que je parte, j’inspirais vraiment la peur, et bien que c’est marrant et assez ennuyant à la longue.
Mon captif, quelque centimètre plus bas, avait la tête baissé, toujours près de moi avait l’air d’attendre que quelque chose se passe. Mais je resta encore un petit moment, pour faire sentir l’oppression au personne apeuré autour de moi, plus le temps passer, plus leur apnée était longtemps. S’ils ne se décident pas à respirer maintenant, ils vont mourir étouffé… après un moment de pur sadisme de la part je tournis les talons, passa ma main dans le dos de ma chose, le poussa légèrement, l’intiment a me suivre. Et sans un mot, nous quittons ce lieu de transaction qui sentait l’horreur…
Une fois dehors, je sentis le vent froid de la nuit, déjà bien avancer, se glisser dans mes ailes. Dans ses rues malfamées, plus les heures s’avanceraient dans la nuit, plus il y avait de personnes très peu fréquentable, et les odeurs en quelque sorte enivrantes comme celle de la drogue flottait dans l’air. Je ni vis pas attention et me dirigea suivit pas mon esclave dans des rues recommandées…. La température avait bien baissé, il faut dire que les nuits d’hiver ne sont pas très chaude, je remontai donc mon manteau et jeta un coup d’œil a ma chose, j’avais oublié qu’il faillait les nourrir et les habiller ces bêtes là…
Au contact du choque le petiot émis un son étrange, je ne connaissais pas sa signification ni sa provenance, mais selon la situation cela voulais surement dire aie ou quelque chose comme cela. Ça risque d’être difficile si on ne se comprend pas, bon il faillait si attendre venant des humains, ils ne viennent pas que du japon, le pays ou il parle la même langue que nous. Alors que j’étais parti dans mes réflexions, le petit être se détacha et s’excusa …avec un drôle d’accent, je ne l’avais encore jamais entendu… au moins il parlait un petit peu ma langue je n’avais pas tout perdu me dit-je d’une façon un peu désinvolte…
- voila vous êtes servis.
M’écorchait le vendeur d’une voix dure. Il était au moins a quelque mètre de moi et ne comptait surement pas avancer. Je ne répondis rien, je me contentai de lui adresse un sourire malsain et un regard rieur. Le caissier, lui non plus était pas très rassurer et prier intérieurement que je parte, j’inspirais vraiment la peur, et bien que c’est marrant et assez ennuyant à la longue.
Mon captif, quelque centimètre plus bas, avait la tête baissé, toujours près de moi avait l’air d’attendre que quelque chose se passe. Mais je resta encore un petit moment, pour faire sentir l’oppression au personne apeuré autour de moi, plus le temps passer, plus leur apnée était longtemps. S’ils ne se décident pas à respirer maintenant, ils vont mourir étouffé… après un moment de pur sadisme de la part je tournis les talons, passa ma main dans le dos de ma chose, le poussa légèrement, l’intiment a me suivre. Et sans un mot, nous quittons ce lieu de transaction qui sentait l’horreur…
Une fois dehors, je sentis le vent froid de la nuit, déjà bien avancer, se glisser dans mes ailes. Dans ses rues malfamées, plus les heures s’avanceraient dans la nuit, plus il y avait de personnes très peu fréquentable, et les odeurs en quelque sorte enivrantes comme celle de la drogue flottait dans l’air. Je ni vis pas attention et me dirigea suivit pas mon esclave dans des rues recommandées…. La température avait bien baissé, il faut dire que les nuits d’hiver ne sont pas très chaude, je remontai donc mon manteau et jeta un coup d’œil a ma chose, j’avais oublié qu’il faillait les nourrir et les habiller ces bêtes là…
Dead Scavanger
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L'air était lourd, pesant, d'une terreur quasi sans-nom...Mais ça, Hell ne s'en rendait pas compte ! Non, ne faites pas de crise cardiaque je vous prit ! Disons juste qu'il rêvasse, et a abandonné d'essayer de comprendre le "pourquoi" du "comment" de sa présence ici ! Il est juste de retour dans son monde, dans ce lieu où il est intouchable, loin des autres et pourtant si proche d'eux...ah...le "Pай", connu sous le nom de "Paradis" en français, c'est bien à l'esprit juvénile d'Hell qu'il devait ressembler, s'il existait !
Cependant, les nuages ne peuvent éternellement nous garder...et la chute est généralement brutale ! N'ayant ABSOLUMENT rien suivit de la situation, Hell se retrouva traîné dehors, gentiment quand même, par le "beau mec" de toute à l'heure.
Lorsque l'air froid vint à mordre violemment sa peau délicate, Hell ne put empêcher un sourire de s'étendre sur ses lèvres. Ce froid, il était loin d'être aussi intense que celui de Moscou ! Et puis, même s'il semblait avoir un trait de parenté avec le soleil, en raison de sa chevelure d'or, Hell restait un fils de l'hiver, comme le montrait ses yeux d'orage et son tempérament aussi calme que la neige.
Ravi d'être en extérieur, sans trop de personnes aux alentours, le petiot suivit gaiement la seule personne qui serait probablement à mène de lui expliquer la situation, soit, l'inconnu aux cheveux de nuit.
Mais voilà, on ne peu pas resté gaie bien longtemps...surtout quand on arrive dans une rue principale, pas très bien famée, ET PLEINE DE MONDE !!!! O_O
Sur le coup, Hell cessa tous mouvements. Son corps était comme paralysé, ses yeux écarquillés. Rapidement, sa respiration se saccada, et ses jambes ne le portèrent plus? Alors, dans un bruit sec, il tomba à terre...toujours conscient, comparé à l'évènement s'étend déroulé quelques heures (jours) plus tôt.
Et oui...Le médecin avait déduit que sa "crise" précédente venait de sa maladie...ce qui n'était aucunement le cas ! Elle venait juste de sa phobie : la foule. Il avait peur de se balader en ville...et Dieu seul sait le nombre de fois où, à Paris, il s'était isolé dans la voiture pour ne pas être entouré par tous ces gens ! Même à Moscou, il ne sortait que rarement...préférant de loin la campagne et ses bois, son calme, et ses richesse.
Et pourtant, il aime les bâtiments que l'on trouve en ville, il aime les observer et les visiter. Il aime les humains aussi ! Mais bon, il a un gros problème au niveau de sa psychologie, un blocage en raison de ses années forcées où seules les études comptaient, et où il n'avait pas le droit de sortir pour jouer avec les autres, étant isolé de force.
Bref, passons. Hellinouchet était à terre, les genoux contre le sol dur du trottoir de cette rue aux odeurs, et à la population, douteuse. Tremblant comme jamais, ses mains enserraient son torse, se crispant, et serrant d'une poigne incroyable, pour un corps aussi fluet, la zone. De plus, il sentait le vertige le prendre, quand soudain...
[pardon, c'est cout...mais bon, j'avais vraiment envi de voir la réaction de ton perso face à ce genre de blem *o* (niark niark)]
Cependant, les nuages ne peuvent éternellement nous garder...et la chute est généralement brutale ! N'ayant ABSOLUMENT rien suivit de la situation, Hell se retrouva traîné dehors, gentiment quand même, par le "beau mec" de toute à l'heure.
Lorsque l'air froid vint à mordre violemment sa peau délicate, Hell ne put empêcher un sourire de s'étendre sur ses lèvres. Ce froid, il était loin d'être aussi intense que celui de Moscou ! Et puis, même s'il semblait avoir un trait de parenté avec le soleil, en raison de sa chevelure d'or, Hell restait un fils de l'hiver, comme le montrait ses yeux d'orage et son tempérament aussi calme que la neige.
Ravi d'être en extérieur, sans trop de personnes aux alentours, le petiot suivit gaiement la seule personne qui serait probablement à mène de lui expliquer la situation, soit, l'inconnu aux cheveux de nuit.
Mais voilà, on ne peu pas resté gaie bien longtemps...surtout quand on arrive dans une rue principale, pas très bien famée, ET PLEINE DE MONDE !!!! O_O
Sur le coup, Hell cessa tous mouvements. Son corps était comme paralysé, ses yeux écarquillés. Rapidement, sa respiration se saccada, et ses jambes ne le portèrent plus? Alors, dans un bruit sec, il tomba à terre...toujours conscient, comparé à l'évènement s'étend déroulé quelques heures (jours) plus tôt.
Et oui...Le médecin avait déduit que sa "crise" précédente venait de sa maladie...ce qui n'était aucunement le cas ! Elle venait juste de sa phobie : la foule. Il avait peur de se balader en ville...et Dieu seul sait le nombre de fois où, à Paris, il s'était isolé dans la voiture pour ne pas être entouré par tous ces gens ! Même à Moscou, il ne sortait que rarement...préférant de loin la campagne et ses bois, son calme, et ses richesse.
Et pourtant, il aime les bâtiments que l'on trouve en ville, il aime les observer et les visiter. Il aime les humains aussi ! Mais bon, il a un gros problème au niveau de sa psychologie, un blocage en raison de ses années forcées où seules les études comptaient, et où il n'avait pas le droit de sortir pour jouer avec les autres, étant isolé de force.
Bref, passons. Hellinouchet était à terre, les genoux contre le sol dur du trottoir de cette rue aux odeurs, et à la population, douteuse. Tremblant comme jamais, ses mains enserraient son torse, se crispant, et serrant d'une poigne incroyable, pour un corps aussi fluet, la zone. De plus, il sentait le vertige le prendre, quand soudain...
[pardon, c'est cout...mais bon, j'avais vraiment envi de voir la réaction de ton perso face à ce genre de blem *o* (niark niark)]
Melwin Poliakoff
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Je marchais tranquillement dans la ville, derrière j’entendis mon esclave marcher. Je vérifiais comme même qu’il me suivait. Lui a l’air particulièrement docile, j’en connais qui eut on des esclaves qui ont fuis dans la sortis du magasin… Bref après quelque minute, on arriva dans la rue principale, comme toujours elle était pleine de monde. On y croisait tout, tes Tenshis avec les ailes blanches, des Kakons et les ailes noirs… d’autres avec des cornes, d’autres encore avec des oreilles et une queue. Toutes les grandes familles et les autres mélangés dans un seul lieu… Et presque tous aussi, me connaissait…en quelque sorte. Ils s’écartaient toujours d’environ deux mètres quand je traversai la route. A la longue je ne fis plus attention, c’était même pratique … je n’étais pas obligé de jouer des coudes pour avancer…Quand soudain, j’entendis un bruit derrière moi, comme si quelqu’un tombait…Non, me dis pas que c’est lui… Je me retrouvai et dans la foule qui commençait à se refermer je vis un petit blond, par terre, tous tremblant … Et si … attend il ne me fait pas une crise !
Je retournai sur mes pas, m’approchant de lui. La foule s’écarta de nouveau comme de l’eau ...
Je regardai un moment le petiot, il était genoux contre terre, tremblant, replié sur lui-même, ses bras l’entouraient et il était complètement crispé sur lui-même. Attend, c’est pas une crise pulmonaire ( …sais pas si on le dis comme cela…-_-‘) Mais une crise de panique ! Oh nom dieu qu’est ce que j’ai fait pour mériter ça ? Quoique…mauvaise question, on pourrait trop facilement y répondre…
Et sans attendre, je levai le bras et baffa soudainement le pauvre petit humain pour qu’ils reprennent ses esprits, j’avais frappé assez fort tous de même …mais ça assez pour le faire tomber en calculant sa taille et corpulence d’après moi… et juste quelque seconde après, je me baissa et attrapa son visage entre mes larges mains surement de manière un peu brusque et le secouant rapidement tout en le forçant a me regarder
- Hey ! Tu reviens parmi nous ?!
J’attendis ça réponse, sans quitter son regard, je sens que cet humain va me causer plus de problème que je le pensais…
Je retournai sur mes pas, m’approchant de lui. La foule s’écarta de nouveau comme de l’eau ...
Je regardai un moment le petiot, il était genoux contre terre, tremblant, replié sur lui-même, ses bras l’entouraient et il était complètement crispé sur lui-même. Attend, c’est pas une crise pulmonaire ( …sais pas si on le dis comme cela…-_-‘) Mais une crise de panique ! Oh nom dieu qu’est ce que j’ai fait pour mériter ça ? Quoique…mauvaise question, on pourrait trop facilement y répondre…
Et sans attendre, je levai le bras et baffa soudainement le pauvre petit humain pour qu’ils reprennent ses esprits, j’avais frappé assez fort tous de même …mais ça assez pour le faire tomber en calculant sa taille et corpulence d’après moi… et juste quelque seconde après, je me baissa et attrapa son visage entre mes larges mains surement de manière un peu brusque et le secouant rapidement tout en le forçant a me regarder
- Hey ! Tu reviens parmi nous ?!
J’attendis ça réponse, sans quitter son regard, je sens que cet humain va me causer plus de problème que je le pensais…
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Quand soudain...Une baffe le ramena à terre ! Oui, j'insiste bien sur le mot "Baffe"? Une Gifle si vous n'avez toujours pas comprit ! Que je m'explique un peu mieux ? Tss...Vous êtes saoûlant. Comment dire, l'inconnu qui semblait craint de la populace avait fait demi-tour, et, voyant notre petiot Helly, il décida de le ramener parmi nous avec une bonne gifle. C'est pas sorcier à comprendre ! Et puis zut, si vous ne comprenez pas, allez voir Jammy !
Quoiqu'il en soit, face à cette action peu, comment dire, médicale...Hell était de retour dans le monde des Vivants. Pas qu'il soit mort, mais bon, a peu de chose près, il disait encore une fois "Bonjour" aux ténèbres de l'inconscience, pour changer.
Enfin, le choc étant tel...Et le petit homme étant celui qu'il est...un léger filé de sang en vint à s'écouler de la commissure de ses lèvres. Franchement, c'est une véritable poupée de porcelaine ce petiot ! Je suis sur qu'on pourrait le maître en vitrine avec, comme annonce, "Objet de D'Art ~ Fragile !"...Si c'est peu dire.
Les yeux exorbités, il regardait cet homme de manière étonnée, comme s'il n'était pas normal qu'on l'aide...D'ailleurs, tout à ses réflexions, Hell ne put s'empêcher de rougir brutalement.
C'est à ce moment là que la voix chantante de cet homme se fit entendre. Car, oui, pour notre jouvenceau le Japonais avait un petit quelque chose de musical à l'oreille. Ne comprenant aucun traitre mot qu'on venait de lui dire, il répondit par une phrase clef...qui va probablement devenir sa réplique n°1 :
"Excusez-moi, Monsieur..."
Alala...A part "Pardon", "Bonjour", "Au Revoir" et "Merci"...sait-il dire autre chose en jap' ? Oo Permettez moi d'en douter chers amis lecteurs.
Enfin, Hell n'avait pour une fois pas baisser le regard. Pourquoi ? Car il était captivé par les yeux de son interlocuteur ! Jusqu'ici, il n'y avait pas fait attention...Mais à présent qu'ils étaient si proche, l'humain pouvait voir ces deux orbes d'obsidiennes striés de fleuves carmins plonger dans ses yeux orageux. Même si, en théorie, c'est plutôt le contraire.
Passionné par le Beau, notre petit damoiseau avança sa main jusqu'au visage de ce bel homme, pour finalement l'y poser...alors, de sa voix douce, il déclara...en français :
~ Vos yeux me font rêver...On dirait un lac dans lequel je pourrais me perdre. ~
Enfin, le réveil est brutal...et il vient ENFIN de se rendre compte de ses paroles, et gestes ! Alors, sans préavis, il retira sa main comme si elle venait de brûler, baissa les yeux par terre et balbutia des excuses...Mélangeant les langues. En somme, l'inconnu eut le droit au mot "désolé" dans plusieurs langues tels que : Le Russe, le Français, l'Anglais et l'Allemand...
Quoiqu'il en soit, face à cette action peu, comment dire, médicale...Hell était de retour dans le monde des Vivants. Pas qu'il soit mort, mais bon, a peu de chose près, il disait encore une fois "Bonjour" aux ténèbres de l'inconscience, pour changer.
Enfin, le choc étant tel...Et le petit homme étant celui qu'il est...un léger filé de sang en vint à s'écouler de la commissure de ses lèvres. Franchement, c'est une véritable poupée de porcelaine ce petiot ! Je suis sur qu'on pourrait le maître en vitrine avec, comme annonce, "Objet de D'Art ~ Fragile !"...Si c'est peu dire.
Les yeux exorbités, il regardait cet homme de manière étonnée, comme s'il n'était pas normal qu'on l'aide...D'ailleurs, tout à ses réflexions, Hell ne put s'empêcher de rougir brutalement.
C'est à ce moment là que la voix chantante de cet homme se fit entendre. Car, oui, pour notre jouvenceau le Japonais avait un petit quelque chose de musical à l'oreille. Ne comprenant aucun traitre mot qu'on venait de lui dire, il répondit par une phrase clef...qui va probablement devenir sa réplique n°1 :
"Excusez-moi, Monsieur..."
Alala...A part "Pardon", "Bonjour", "Au Revoir" et "Merci"...sait-il dire autre chose en jap' ? Oo Permettez moi d'en douter chers amis lecteurs.
Enfin, Hell n'avait pour une fois pas baisser le regard. Pourquoi ? Car il était captivé par les yeux de son interlocuteur ! Jusqu'ici, il n'y avait pas fait attention...Mais à présent qu'ils étaient si proche, l'humain pouvait voir ces deux orbes d'obsidiennes striés de fleuves carmins plonger dans ses yeux orageux. Même si, en théorie, c'est plutôt le contraire.
Passionné par le Beau, notre petit damoiseau avança sa main jusqu'au visage de ce bel homme, pour finalement l'y poser...alors, de sa voix douce, il déclara...en français :
~ Vos yeux me font rêver...On dirait un lac dans lequel je pourrais me perdre. ~
Enfin, le réveil est brutal...et il vient ENFIN de se rendre compte de ses paroles, et gestes ! Alors, sans préavis, il retira sa main comme si elle venait de brûler, baissa les yeux par terre et balbutia des excuses...Mélangeant les langues. En somme, l'inconnu eut le droit au mot "désolé" dans plusieurs langues tels que : Le Russe, le Français, l'Anglais et l'Allemand...
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Ah ? La baffe à l’air de faire effet… Oui bon d’accord ce n’est pas du tout « médical » mais depuis dans je devais être « médical »… enfin bref… Alors que l’humain me regardait comme si je venais de lui annoncé quelque chose de très important, un petit filée de sang cascadait le long de ses lèvres... la bonne idée… ça me donne faim moi… je louchai un moment sur le liquide rouge qui colorait les lèvres du petiot et une douce mais ravageuse faim me pris l’estomac… et pour ne pas arranger le tout, l’odeur de ma nourriture habituel me vint aux narines. Vous savez les odeurs qui donne encore plus faim, et qui ne vous lâche pas… et une envi d’aller lécher ce sang se pris de ma langue… faudra que je fasse attention par la suite, si pour cette gifle, il saigne alors quand sera-t-il si je le mords ? Bref je resterais vigilant par la suite si je ne veux pas l’assécher…
Je sentis aussi un regard fixant… et révéla donc mes yeux vers les siens… il me fixait… sans siller… sans bougé… je lâchai alors ça tête, à cause du sang, j’avais oublié que je la tenais encore… et je m’apprêtais aussi à me relever dans je sentis des doits me frôler la joue… le petiot me gratifia aussi d’une phrase que j’entendis juste, je ne pouvais pas la comprendre, elle n’était pas en japonais je reportai une nouvelle fois me regard vers l’humain, un regard insensible juste pour voir s’il divaguait encore ou s’il était bien conscient… et apparemment non, dès qu’il vu le geste qu’il avait fait et bredouilla surement des excuses donc je ne connaissait aucunement la langue. Ce problème de langage allait être un handicap mais bon… j’avais la flemme de réfléchir pour le moment…
Bref, une fois l’esclave ramener à la réalité, je me redressai et regarda ma chose quelque seconde… Il va me couter cher… Je verrais par la suite ce que j’en fais…
- Lève toi, tu ne va pas rester par terre ici tu es si petit que tu va te faire marcher dessus, suis-moi.
Je me dirigeai par la ou j’avais commencé à partir avec qu’un certain humain me fasse une crise de panique ou quelque chose dans le genre… et faudrait trouver une superette ouvert la nuit…. Il n’a pas le même régime alimentaire, sa sera cocasse de le faire mourir de faim…
Je sentis aussi un regard fixant… et révéla donc mes yeux vers les siens… il me fixait… sans siller… sans bougé… je lâchai alors ça tête, à cause du sang, j’avais oublié que je la tenais encore… et je m’apprêtais aussi à me relever dans je sentis des doits me frôler la joue… le petiot me gratifia aussi d’une phrase que j’entendis juste, je ne pouvais pas la comprendre, elle n’était pas en japonais je reportai une nouvelle fois me regard vers l’humain, un regard insensible juste pour voir s’il divaguait encore ou s’il était bien conscient… et apparemment non, dès qu’il vu le geste qu’il avait fait et bredouilla surement des excuses donc je ne connaissait aucunement la langue. Ce problème de langage allait être un handicap mais bon… j’avais la flemme de réfléchir pour le moment…
Bref, une fois l’esclave ramener à la réalité, je me redressai et regarda ma chose quelque seconde… Il va me couter cher… Je verrais par la suite ce que j’en fais…
- Lève toi, tu ne va pas rester par terre ici tu es si petit que tu va te faire marcher dessus, suis-moi.
Je me dirigeai par la ou j’avais commencé à partir avec qu’un certain humain me fasse une crise de panique ou quelque chose dans le genre… et faudrait trouver une superette ouvert la nuit…. Il n’a pas le même régime alimentaire, sa sera cocasse de le faire mourir de faim…
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[Pardon pour le retard...J'ai eu quelques petits blems IRL ^^"]
Hell ne savait définitivement plus où se mettre. C'est alors que l'homme fasse à lui, celui que notre petit bonhomme avait osez touché de ses doigts de pianiste, vint à lui parler.
Plissant des yeux, Hell se répéta la phrase plusieurs fois. Ainsi, il réussit à capter les mots "Lève" et "Suis". Ah ! Il voulait qu'il se lève et le suive, tout en restant proche de lui ! Tout du moins...Pour cette-dernière partie, Hell la devina. Pourquoi ? Car il venait seulement de remarquer que cette masse de personnes semblaient s'écarter au devant de cet éphèbe. On aurait dit Moïse devant la Mer Rouge ! Pour dire !
Se redressant, Hell déclara, en japonais :
"Oui, Monsieur. Moi...vous...suis."
Bon...il manque un bon paquet de grammaire, et les mots sont dit avec un accent assez difficile à capter. De plus, le japonais, ce n'est vraiment pas la langue de prédilection de notre jeunot ! Pourquoi est-il tombé au milieu d'un pays oriental ? Il a une si bonne maîtrise des langues occidentales...On aurait quand même put éviter de le trimballer à l'autre bout de la planète si on voulait qu'il comprenne, et soit comprit !
Enfin, plongé dans ses pensées, Hell tenta de s'extraire de l'oppression lui tenaillant l'estomac. Pour se faire, il suivait dans un silence religieux l'homme devant lui...alors que rapidement, son regard se fit vitreux. Pourquoi ? Il partait se réfugier de nouveau dans son petit monde bien garder. Sa terre protectrice comme il l'appelait.
Mais voilà, quand on suit quelqu'un sans regarder devant soi...et bien, on perd la personne des yeux, mais en plus, on obtient des ennuis ! Et oui, Hell n'avait pas correctement suivit son "sauveur"...qu'il trouvait le moyen de percuter quelqu'un !
Tombant au sol, le choc sembla le réveiller. Rapidement, ses yeux s'écarquillèrent d'horreur alors qu'un homme, de trois têtes plus grand que lui, le fixait avec un regard colérique, voir, enragé. On aurait dit une Hyène...une hyène prête à faire la peau à notre petit Hell.
"Toi !! Comment as-tu osé me rentrer dedans sale petit humain !" lui hurla l'animal avec rage.
Rapidement, Hell put voir une main pleine de griffe foncer droit sur son visage. La peur le prenant, il passa ses bras sur sa tête, se mettant en une position proche de celle d'un œuf. Il n'avait pas comprit les mots de l'homme...il n'empêche qu'il ne put retenir son propre cri alors que...
Hell ne savait définitivement plus où se mettre. C'est alors que l'homme fasse à lui, celui que notre petit bonhomme avait osez touché de ses doigts de pianiste, vint à lui parler.
Plissant des yeux, Hell se répéta la phrase plusieurs fois. Ainsi, il réussit à capter les mots "Lève" et "Suis". Ah ! Il voulait qu'il se lève et le suive, tout en restant proche de lui ! Tout du moins...Pour cette-dernière partie, Hell la devina. Pourquoi ? Car il venait seulement de remarquer que cette masse de personnes semblaient s'écarter au devant de cet éphèbe. On aurait dit Moïse devant la Mer Rouge ! Pour dire !
Se redressant, Hell déclara, en japonais :
"Oui, Monsieur. Moi...vous...suis."
Bon...il manque un bon paquet de grammaire, et les mots sont dit avec un accent assez difficile à capter. De plus, le japonais, ce n'est vraiment pas la langue de prédilection de notre jeunot ! Pourquoi est-il tombé au milieu d'un pays oriental ? Il a une si bonne maîtrise des langues occidentales...On aurait quand même put éviter de le trimballer à l'autre bout de la planète si on voulait qu'il comprenne, et soit comprit !
Enfin, plongé dans ses pensées, Hell tenta de s'extraire de l'oppression lui tenaillant l'estomac. Pour se faire, il suivait dans un silence religieux l'homme devant lui...alors que rapidement, son regard se fit vitreux. Pourquoi ? Il partait se réfugier de nouveau dans son petit monde bien garder. Sa terre protectrice comme il l'appelait.
Mais voilà, quand on suit quelqu'un sans regarder devant soi...et bien, on perd la personne des yeux, mais en plus, on obtient des ennuis ! Et oui, Hell n'avait pas correctement suivit son "sauveur"...qu'il trouvait le moyen de percuter quelqu'un !
Tombant au sol, le choc sembla le réveiller. Rapidement, ses yeux s'écarquillèrent d'horreur alors qu'un homme, de trois têtes plus grand que lui, le fixait avec un regard colérique, voir, enragé. On aurait dit une Hyène...une hyène prête à faire la peau à notre petit Hell.
"Toi !! Comment as-tu osé me rentrer dedans sale petit humain !" lui hurla l'animal avec rage.
Rapidement, Hell put voir une main pleine de griffe foncer droit sur son visage. La peur le prenant, il passa ses bras sur sa tête, se mettant en une position proche de celle d'un œuf. Il n'avait pas comprit les mots de l'homme...il n'empêche qu'il ne put retenir son propre cri alors que...
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Ah ! ça y est, le petiot toujours agenouillé en face de moi avait l’air de’ enfin comprendre les que je venais de » dire. Donc il se leva en me gratifiant d’un « Oui, Monsieur, moi…vous…suis » avec un regard presque timide et gêné…Mmmmh … Il va pas garder sa belle peau et lisse très longtemps s’il continu comme cela. Je le goûterais avant… Enfin bon, après ce petit arrêt non-prévu nous continuons à marcher à travers la ville. On passa dans une rus plus petite et moins fréquenté que la précédente.
Tout en cherchant, un magasin ouvert ou plutôt essayant de me rappeler comment y aller en marchant et non en volant comme a mon habitude, j’entendis derrière moi une querelle entre deux stupide enfoiré brûlant en plus. Je me retourna légèrement pour savoir quel idiot te personne daignait perturber mes réflexions. Je vis une hyène assez imposant et un air énerver et méchant sur le visage. Par contre, je ne pus apercevoir a qui ce dernier s’en prenait, il y avait trop de spectateur autour qui regardait la scène Quand un ricanement qui ressemblait plus à un grognement se détacha du brouhaha …Petit…Humain… C’est quoi, ça ? … je baissa instinctivement mon regard ver mon esclave…qui était plus là… Ce fils d’humain !… mais bon, ce n’était peut être pas lui avec un peu de chance… mais mes espérances prennent fin quand je vis le petiot blond rouler-bouler jusqu’aux mur le plus proche sortant de la foules dans des effusions de sang chaud…Ah ! Il roule bien ! …Vaudrais que je fasse quelque chose comme même, non ? Je décida enfin a bouger quand je vis hybride ce dirigé vers mon humain toute griffes sortis.
J’apparu sans prévenir derrière le charognard, le retenant de justesse par l’épaule avent qu »il déchiquète mon achat. Il se retourna vivement près a frapper celui qui la arrêter mais se stoppa net en me voyant. Il se dégagea de ma prise prestement en pestant. Et fis quelque pas pour me distancé, j’en profita mon me mettre entre lui et le petiot qui saignait toujours.
- Que vous a donc fait mon esclave pour que vous daignez me déranger a ce point ?
Répliquai-je avec un faux air poli. Un regard méprisant, un ton froid et légèrement hautain vint agrémenter le tout. Dans un grand claquement d’air je déplia mes ailes d’une grandeur déconcertante et se replia aussitôt à la même vitesse. Il était grand mais pas assez pour pouvoir rivaliser mes 1 mètre 95. J’attendis patiemment ou presque la réponse de ce t homme qui bouillonnait en face de moi.
[ je te laisse d’écrire la réaction de la hyène ^^]
Tout en cherchant, un magasin ouvert ou plutôt essayant de me rappeler comment y aller en marchant et non en volant comme a mon habitude, j’entendis derrière moi une querelle entre deux stupide enfoiré brûlant en plus. Je me retourna légèrement pour savoir quel idiot te personne daignait perturber mes réflexions. Je vis une hyène assez imposant et un air énerver et méchant sur le visage. Par contre, je ne pus apercevoir a qui ce dernier s’en prenait, il y avait trop de spectateur autour qui regardait la scène Quand un ricanement qui ressemblait plus à un grognement se détacha du brouhaha …Petit…Humain… C’est quoi, ça ? … je baissa instinctivement mon regard ver mon esclave…qui était plus là… Ce fils d’humain !… mais bon, ce n’était peut être pas lui avec un peu de chance… mais mes espérances prennent fin quand je vis le petiot blond rouler-bouler jusqu’aux mur le plus proche sortant de la foules dans des effusions de sang chaud…Ah ! Il roule bien ! …Vaudrais que je fasse quelque chose comme même, non ? Je décida enfin a bouger quand je vis hybride ce dirigé vers mon humain toute griffes sortis.
J’apparu sans prévenir derrière le charognard, le retenant de justesse par l’épaule avent qu »il déchiquète mon achat. Il se retourna vivement près a frapper celui qui la arrêter mais se stoppa net en me voyant. Il se dégagea de ma prise prestement en pestant. Et fis quelque pas pour me distancé, j’en profita mon me mettre entre lui et le petiot qui saignait toujours.
- Que vous a donc fait mon esclave pour que vous daignez me déranger a ce point ?
Répliquai-je avec un faux air poli. Un regard méprisant, un ton froid et légèrement hautain vint agrémenter le tout. Dans un grand claquement d’air je déplia mes ailes d’une grandeur déconcertante et se replia aussitôt à la même vitesse. Il était grand mais pas assez pour pouvoir rivaliser mes 1 mètre 95. J’attendis patiemment ou presque la réponse de ce t homme qui bouillonnait en face de moi.
[ je te laisse d’écrire la réaction de la hyène ^^]
Dead Scavanger
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mes envies ?
Bon...Ce gosse, sait-il comment on fait pour ne pas s'attirer d'ennui ? Oo Non...C'est bien ce que je craignait.
Enfin, alors que le coup de griffe allait arriver...il se retrouva à voler...et à faire un magnifique rouler-boulé. Alors qu'il commençait seulement à se redresser, il vit du coin de l'œil la hyène revenir. Mais voilà, au moment où cette-dernière s'apprêtait à continuer son œuvre...Le silence se fit. Hell ne voyait pas très bien se qui se passait, trop sonner par le coup. De plus, il saignait légèrement...Mais voilà, surprit par ce silence ambiant, notre franco-russe releva légèrement la tête. C'est alors qu'il le vit. Il se tenait devant, le protégeant de sa grande taille. La hyène semblait mal à l'aise...Mais voilà, alors qu'il se relevait....Helle se rendit compte qu'ils étaient entourés de monde. Rapidement, la panique le reprit...et le monde se remit à tourner.
Notre humain entendait en boucle les voix des badauds, il voyait leurs regards, leurs sourires moqueurs, leurs sombres silhouettes. S'accrochant férocement au vêtement de celui qui serait son maître, Hell se retrouva à nouveau à genoux. C'est alors que sa voix murmurait, dans une étrange litanie :
~ Остановитесь, Достаточно, Это - достаточно...Остановитесь... ~
Au même moment, la hyène se décida enfin à agir. Essayant, tant bien que mal, de paraître fière...elle exhorta au propriétaire de l'enfant en pleine crise :
"Votre "esclave" m'est rentré dedans ! Sa maladresse a abimer ma veste...Si vous êtes son maître, c'est donc à vous de "payer" le dédommagement."
Le sourire de la Hyène grandit...On aurait dit qu'il était fier de lui, fier d'avoir un moyen de frapper cette infâme créature nocturne lui faisant face. Mais voilà, au même moment où la voix de la hyène parvint aux oreilles de notre petit humain...que ce-dernier n'en supporta pas plus. Bouchant ses oreilles, il hurla :
~ Остановитесь ! ~
Et ceux...Juste avant de s'évanouir...Oui...Il n'en pouvait plus. Bien sûr, jusqu'ici, il avait parlez Russe. cette langue semblait le materner, le protéger. Elle était sa terre natale, sa sauvegarde après tout. Et puis, tous ces gens, pas si humain que ça, qui les entourer...Ne pouvait-il pas être ailleurs ? Pourquoi étaient-ils agglutinés ici ? Il n'avait pas fait exprès de percuter cet homme...Étais-ce si grave que cela ? Avait-il commit un crime ? Bien des questions...des questions que les ténèbres engloutirent, en même temps que sa raison.
Остановитесь => Arrêtez - Stop
Достаточно => Assez
Это - достаточно => C'en est assez
Enfin, alors que le coup de griffe allait arriver...il se retrouva à voler...et à faire un magnifique rouler-boulé. Alors qu'il commençait seulement à se redresser, il vit du coin de l'œil la hyène revenir. Mais voilà, au moment où cette-dernière s'apprêtait à continuer son œuvre...Le silence se fit. Hell ne voyait pas très bien se qui se passait, trop sonner par le coup. De plus, il saignait légèrement...Mais voilà, surprit par ce silence ambiant, notre franco-russe releva légèrement la tête. C'est alors qu'il le vit. Il se tenait devant, le protégeant de sa grande taille. La hyène semblait mal à l'aise...Mais voilà, alors qu'il se relevait....Helle se rendit compte qu'ils étaient entourés de monde. Rapidement, la panique le reprit...et le monde se remit à tourner.
Notre humain entendait en boucle les voix des badauds, il voyait leurs regards, leurs sourires moqueurs, leurs sombres silhouettes. S'accrochant férocement au vêtement de celui qui serait son maître, Hell se retrouva à nouveau à genoux. C'est alors que sa voix murmurait, dans une étrange litanie :
~ Остановитесь, Достаточно, Это - достаточно...Остановитесь... ~
Au même moment, la hyène se décida enfin à agir. Essayant, tant bien que mal, de paraître fière...elle exhorta au propriétaire de l'enfant en pleine crise :
"Votre "esclave" m'est rentré dedans ! Sa maladresse a abimer ma veste...Si vous êtes son maître, c'est donc à vous de "payer" le dédommagement."
Le sourire de la Hyène grandit...On aurait dit qu'il était fier de lui, fier d'avoir un moyen de frapper cette infâme créature nocturne lui faisant face. Mais voilà, au même moment où la voix de la hyène parvint aux oreilles de notre petit humain...que ce-dernier n'en supporta pas plus. Bouchant ses oreilles, il hurla :
~ Остановитесь ! ~
Et ceux...Juste avant de s'évanouir...Oui...Il n'en pouvait plus. Bien sûr, jusqu'ici, il avait parlez Russe. cette langue semblait le materner, le protéger. Elle était sa terre natale, sa sauvegarde après tout. Et puis, tous ces gens, pas si humain que ça, qui les entourer...Ne pouvait-il pas être ailleurs ? Pourquoi étaient-ils agglutinés ici ? Il n'avait pas fait exprès de percuter cet homme...Étais-ce si grave que cela ? Avait-il commit un crime ? Bien des questions...des questions que les ténèbres engloutirent, en même temps que sa raison.
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Melwin Poliakoff
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Je foudroyais toujours l’espèce d’hyène en face de moi, lui souriant à la face. Tout son visage était crispé, sa mâchoire était serrée et il avait un rictus horrible. Ses yeux étaient devenus tellement petit, cacher à moitié par les sourcils froncés. Pour être honnête il avait une tête à faire peur…Mais je portai tout presque toute mon attention sur le petit humain derrière moi. Et sans quitter le regard agressif en face de moi, je reniflai l’air, a la recherche de l’odeur du sang du petiot et écouta tout ses mouvement…. Malheureusement, j’ai l’ouïe très fine et avec tout les murmure autour de nous, sa me fessait un gros vacarme. Mais je pus comme même discerné les actions de ce cher esclave. Il s’était lever, et il s’accrochant en tremblant… surement à cause du coup….il doit être assommer….
Mais je changeai d’avis quand je sentis ses mains m’agrippées et ses genoux tombées. Non plutôt à la manière donc il me tenait, il me tenait si fortement qui se n’était pas possible qu’il puisse être a moitié assommer…
*non…non…. Il n’est pas question qu’il me refasse une crise…* Je posai ma main contre lui et tendis mon oreille pour savoir s’il tremblait… mais se n’est que des paroles bizarre qui me venu, je ne compris pas un mot d se qu’il me disait pourtant je l’entendais … mais rien, et j’avais beau me concentrait je ne perçu aucun mot qui pourrais avoir un sens dans mon langage et je ne compris même pas un son… Mais je compris le ton… il était paniqué … complètement paniqué… J’ai pas encore enfin qu’il me fasse de folie, alors se saisissais son épaule de ma grosse main, lui montrait inconsciemment que j’étais là.
Mais le son de la voix de la hyène me revenu a lui, même si le fixait toujours… comment ça le remboursé… ? Il veut vraiment jouer a ça…II va être la souris… sans rien dire je sorti de mon portefeuille et le fis tomber par terre, fessant mine que je les pas fait exprès. Puis une fois la monnaie au sol. Je mis le pied dessus. Laissant un petit bout visible.
« Va la chercher si tu la veux… »
Son sourire fier disparu assis tôt, encore plus rapidement qu’il n’était venu… il avait regardé le billet tomber et ses yeux s’était a grandi quand il a vu que j’avais posé mon pied dessus. Et maintenant il boue complètement sur place… il voulait me tuer de son regard, j’aurais pus le sentir a des kilomètres à la ronde… aller comme je suis gentil je me rajouterais a la liste de personne qui veut me tuer. Il y en a tellement.
Mais il crie déchirait l’air nous réveilla tout les deux de notre réflexion… un crie venant de l’étage plus bas…enfin de mon esclave plutôt…. Je ne compris toujours pas se qu’il voulait dire … Mais cette fois il était complètement désespérer… tellement que j’ai bien crus qu’il allait de péter les oreilles…* aie mais tympans douloureux* Ma mains toujours poser sur lui, c’est une fois, que je sentis ses petite mains me lâcher et son poids décuplé que je daignai baissa ma tête vers lui… il s’était évanoui ! Et vraiment cette fois… Bon… je l’attrapai donc par lez épaule et le posa sur la mienne. C’est deux bras et sa tête derrière jusqu'à la moitié de son buste environ et le reste emprisonner entre les deux bras, le soutenant sous les fesses contre moi.
L’hyène avait l’air encore plus surprise et nous regarda d’un air ahurie maintenant, la bouche à moitié ouverte. Par ailleurs, je ne la regardais même plus… il fallait que je le réanime... il est peut-être mort… mais elle n’a pas aimé son innocence et se rua vers moi toute griffe ouverte alors que je lui avais tourné le dos pour partir… et cette fois c’est elle qui alla roulé-boulé plus loin dans les poubelles avec un bon crochet du droit… et sans me retourner je m’envolais trimballait toujours mon esclave inconscient dans les bras avec trois coup d’aile qui souleva la poussière de la rue…
Mais je changeai d’avis quand je sentis ses mains m’agrippées et ses genoux tombées. Non plutôt à la manière donc il me tenait, il me tenait si fortement qui se n’était pas possible qu’il puisse être a moitié assommer…
*non…non…. Il n’est pas question qu’il me refasse une crise…* Je posai ma main contre lui et tendis mon oreille pour savoir s’il tremblait… mais se n’est que des paroles bizarre qui me venu, je ne compris pas un mot d se qu’il me disait pourtant je l’entendais … mais rien, et j’avais beau me concentrait je ne perçu aucun mot qui pourrais avoir un sens dans mon langage et je ne compris même pas un son… Mais je compris le ton… il était paniqué … complètement paniqué… J’ai pas encore enfin qu’il me fasse de folie, alors se saisissais son épaule de ma grosse main, lui montrait inconsciemment que j’étais là.
Mais le son de la voix de la hyène me revenu a lui, même si le fixait toujours… comment ça le remboursé… ? Il veut vraiment jouer a ça…II va être la souris… sans rien dire je sorti de mon portefeuille et le fis tomber par terre, fessant mine que je les pas fait exprès. Puis une fois la monnaie au sol. Je mis le pied dessus. Laissant un petit bout visible.
« Va la chercher si tu la veux… »
Son sourire fier disparu assis tôt, encore plus rapidement qu’il n’était venu… il avait regardé le billet tomber et ses yeux s’était a grandi quand il a vu que j’avais posé mon pied dessus. Et maintenant il boue complètement sur place… il voulait me tuer de son regard, j’aurais pus le sentir a des kilomètres à la ronde… aller comme je suis gentil je me rajouterais a la liste de personne qui veut me tuer. Il y en a tellement.
Mais il crie déchirait l’air nous réveilla tout les deux de notre réflexion… un crie venant de l’étage plus bas…enfin de mon esclave plutôt…. Je ne compris toujours pas se qu’il voulait dire … Mais cette fois il était complètement désespérer… tellement que j’ai bien crus qu’il allait de péter les oreilles…* aie mais tympans douloureux* Ma mains toujours poser sur lui, c’est une fois, que je sentis ses petite mains me lâcher et son poids décuplé que je daignai baissa ma tête vers lui… il s’était évanoui ! Et vraiment cette fois… Bon… je l’attrapai donc par lez épaule et le posa sur la mienne. C’est deux bras et sa tête derrière jusqu'à la moitié de son buste environ et le reste emprisonner entre les deux bras, le soutenant sous les fesses contre moi.
L’hyène avait l’air encore plus surprise et nous regarda d’un air ahurie maintenant, la bouche à moitié ouverte. Par ailleurs, je ne la regardais même plus… il fallait que je le réanime... il est peut-être mort… mais elle n’a pas aimé son innocence et se rua vers moi toute griffe ouverte alors que je lui avais tourné le dos pour partir… et cette fois c’est elle qui alla roulé-boulé plus loin dans les poubelles avec un bon crochet du droit… et sans me retourner je m’envolais trimballait toujours mon esclave inconscient dans les bras avec trois coup d’aile qui souleva la poussière de la rue…
Dead Scavanger
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*Tout est si calme...Cela fait si longtemps que je n'avais pas été aussi serein. Plus de cri, plus personnes. C'est vrai, c'est toujours aussi sombre...Mais je m'y sens si bien. Ici, rien ne m'atteindra jamais, n'est-ce pas ? Je suis à l'abri ici...Personne ne viendra me nuire.
Tiens, j'ai eu la sensation d'être secoué...Non...La lumière revient ! Je ne veux pas partir ! A chaque fois, seul le blanc de l'hôpital m'attend. Les gens ne comprennent-ils pas que je veux rester ici...On est si bien, à l'abri de tout. Ici, je peux rêver, je peux vivre comme je l'entend. Je ne suis plus malade ici ! Alors, pourquoi ?! Pourquoi dois-tu revenir lumière ?! Tu vas encore m'éblouir...m'éblouir et me forcer à m'effacer de nouveau, comme l'ombre que je suis...Tu t'effaces mon Monde...Il faut croire qu'on veut encore de moi, alors, à la prochaine.*
...
Un vent brusque, un froid plus dense, intense même. Papillonnant des yeux, Hell rouvrit les yeux, pour les fermer aussitôt dans un gémissement sourd. Le vent glacé, ça brule.
Une chaleur au niveau de son torse, et sa position, lui signala qu'on le portait délicatement. Mais voilà, alors qu'il pensait trouver encore bien des gens, seules les étoiles lui firent face. De sa bouche sortait un léger nuage de froid...Mais ça, ça ne dérangeait aucunement notre Franco-Russe. Lui, il aimait ce froid ! De plus, étonnamment, l'air était pure ici. Où était-il ?
Alors qu'il allait tourner son visage, pour voir qui le transportait, un bruissement d'ailes le fit observer le dos de son porteur. Deux majestueuses ailes, de type membraneuses, portaient avec grâce l'être de la nuit. Émerveillé par ces-dernières, il tendit délicatement l'une de se raviser rapidement.
Alors, il daigna enfin ouvrir lever les yeux vers son "sauveur" et "porteur". Il le fit alors, cet inconnu. Leurs visages étaient proches, permettant ainsi à l'écrivain rêveur de contempler l'ampleur de la beauté de son vis à vis.
Doucement, Hell reposa sa tête dans le creux du cou de cette étrange créature. S'y sentant en sécurité, il murmura alors, dans la langue d'origine de cette étrangeté de la nature :
"Merci..."
Oui...Hell se sentait en sécurité ici, et ce, malgré le froid. Ses poumons semblaient libérer, l'air pur leur avait toujours fait du bien...Et le froid tue les pires microbes qui soient. C'ets d'ailleurs pour cette raison que l'enfant préférait la campagne, mais aussi, passé ses hivers en Russie.
Enfin, tout a ses rêves...Il faut dire qu'il n'a toujours pas remarqué la distance entre lui et le sol !
Tiens, j'ai eu la sensation d'être secoué...Non...La lumière revient ! Je ne veux pas partir ! A chaque fois, seul le blanc de l'hôpital m'attend. Les gens ne comprennent-ils pas que je veux rester ici...On est si bien, à l'abri de tout. Ici, je peux rêver, je peux vivre comme je l'entend. Je ne suis plus malade ici ! Alors, pourquoi ?! Pourquoi dois-tu revenir lumière ?! Tu vas encore m'éblouir...m'éblouir et me forcer à m'effacer de nouveau, comme l'ombre que je suis...Tu t'effaces mon Monde...Il faut croire qu'on veut encore de moi, alors, à la prochaine.*
...
Un vent brusque, un froid plus dense, intense même. Papillonnant des yeux, Hell rouvrit les yeux, pour les fermer aussitôt dans un gémissement sourd. Le vent glacé, ça brule.
Une chaleur au niveau de son torse, et sa position, lui signala qu'on le portait délicatement. Mais voilà, alors qu'il pensait trouver encore bien des gens, seules les étoiles lui firent face. De sa bouche sortait un léger nuage de froid...Mais ça, ça ne dérangeait aucunement notre Franco-Russe. Lui, il aimait ce froid ! De plus, étonnamment, l'air était pure ici. Où était-il ?
Alors qu'il allait tourner son visage, pour voir qui le transportait, un bruissement d'ailes le fit observer le dos de son porteur. Deux majestueuses ailes, de type membraneuses, portaient avec grâce l'être de la nuit. Émerveillé par ces-dernières, il tendit délicatement l'une de se raviser rapidement.
Alors, il daigna enfin ouvrir lever les yeux vers son "sauveur" et "porteur". Il le fit alors, cet inconnu. Leurs visages étaient proches, permettant ainsi à l'écrivain rêveur de contempler l'ampleur de la beauté de son vis à vis.
Doucement, Hell reposa sa tête dans le creux du cou de cette étrange créature. S'y sentant en sécurité, il murmura alors, dans la langue d'origine de cette étrangeté de la nature :
"Merci..."
Oui...Hell se sentait en sécurité ici, et ce, malgré le froid. Ses poumons semblaient libérer, l'air pur leur avait toujours fait du bien...Et le froid tue les pires microbes qui soient. C'ets d'ailleurs pour cette raison que l'enfant préférait la campagne, mais aussi, passé ses hivers en Russie.
Enfin, tout a ses rêves...Il faut dire qu'il n'a toujours pas remarqué la distance entre lui et le sol !
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Je volais toujours, il y avait plus de vent que je le pensais, quelque fois, une bourrasque, me fis légèrement défier de ma trajectoire mais je la retrouvai aussitôt. De grandes ailes membraneuses c’est le pied, tu peux aller bien plus vite qu’avec des ailes de plume …. Mais quant du vole contre vent ou avec le vent sur le coté, comme là. Bas t’es vite secouer…quoique j’ai vu pire donc en in de compte sa m’allait…
Quand une autre bourrasque, venant de la droite me fis un écart…. Il vaudra que je regarde la météo des vents un jour peut être… ça pourrais me servir… Bas quoi, y’en a qui regarde le monde sur la route bah moi je regarde d’où vient et à quel vitesse est le vent ! Chacun ses trucs …
Bref passons… J’entendis derrière moi, un grognement, il se réveille, ce n’était pas trop tout… il resta muet… c’est vrai les humains ne vole pas …. Le vieux n’aimait pas voler qu’il me disait… il avait le vertige… enfin c’est une vieille histoire et ça sera mieux pour le petiot qu’il n’est pas le vertige car moi je me déplace surtout en volant…. Erk… un nouveau coup de vent… i l était vicieux celui là, je ne l’avais pas sentis arriver. Mais avec un bon cou de l’aile opposer ou redresse un peu tout et nous voila redressé… Rien de bien méchant….
Ah ! Je sentis mon esclave bougé … mais enfaite je me fichais de se qu’il fessait le temps qui ne bouge pas trop… qui heureusement pour lui ne fis pas… Par contre il parla, ma langue ! Alléluia ne n’aurais pas a lui apprendre..Quoique savoir dire merci dans cette langue ne veux pas dire qu’on s’est la parler… Pauvre de moi, qu’est ce que j’ai récupéré comme calamité…. Il est malade, il ne sait pas parler, il est tout sec, il panique pour un rien et je ne sais même s’il a un bon sang… s’il est dégelasse, je le refourgue en plus c’est satisfaire ou rembourser à l’Eden Glitterting donc c’est parfait !
Quand je sentis une tête se poser et un souffle chaud dans mon cou… Allons donc… Il ne va pas s’endormir là tout de même. Certes je suis très confortable mais j’ai encore des courses à faire et s’il savait ce que je lui réserverais à cette petite chose il ne se ferais bien plus méfiant…Mais une énorme rafale venant de en dessus nous fit tout les deux monté rapidement de quelque mètre… s’il y un a truc que je peux pas faire ou du moins très difficilement c’est combatte les vent…surtout aussi fort que celui là… il nous a bien secouer comme même et nous a emmener vachement haut…on vois toute la ville…
« Hey, au lieu de te reposer accroche-toi ! Sinon tu va décorer le trottoir de la ville. »
Criais-je sur la personne qui reposait sur mon épaule enfin reposer… Elle devait comme même être bien secoué par la bourrasque qu’on avait eue… Surtout s’il n’est pas habituer… Mais je n’attendais pas se savoir si e petiot était bien attacher et piqua la tête la première sur le magasin que je cherchais depuis tout à l’heure… Un grand magasin d’accessoire pour esclave…Entre autre…
[Désolé il n’est pas super celui là…-_- Il y a énormément de ‘…’ je trouve TT.TT]
Quand une autre bourrasque, venant de la droite me fis un écart…. Il vaudra que je regarde la météo des vents un jour peut être… ça pourrais me servir… Bas quoi, y’en a qui regarde le monde sur la route bah moi je regarde d’où vient et à quel vitesse est le vent ! Chacun ses trucs …
Bref passons… J’entendis derrière moi, un grognement, il se réveille, ce n’était pas trop tout… il resta muet… c’est vrai les humains ne vole pas …. Le vieux n’aimait pas voler qu’il me disait… il avait le vertige… enfin c’est une vieille histoire et ça sera mieux pour le petiot qu’il n’est pas le vertige car moi je me déplace surtout en volant…. Erk… un nouveau coup de vent… i l était vicieux celui là, je ne l’avais pas sentis arriver. Mais avec un bon cou de l’aile opposer ou redresse un peu tout et nous voila redressé… Rien de bien méchant….
Ah ! Je sentis mon esclave bougé … mais enfaite je me fichais de se qu’il fessait le temps qui ne bouge pas trop… qui heureusement pour lui ne fis pas… Par contre il parla, ma langue ! Alléluia ne n’aurais pas a lui apprendre..Quoique savoir dire merci dans cette langue ne veux pas dire qu’on s’est la parler… Pauvre de moi, qu’est ce que j’ai récupéré comme calamité…. Il est malade, il ne sait pas parler, il est tout sec, il panique pour un rien et je ne sais même s’il a un bon sang… s’il est dégelasse, je le refourgue en plus c’est satisfaire ou rembourser à l’Eden Glitterting donc c’est parfait !
Quand je sentis une tête se poser et un souffle chaud dans mon cou… Allons donc… Il ne va pas s’endormir là tout de même. Certes je suis très confortable mais j’ai encore des courses à faire et s’il savait ce que je lui réserverais à cette petite chose il ne se ferais bien plus méfiant…Mais une énorme rafale venant de en dessus nous fit tout les deux monté rapidement de quelque mètre… s’il y un a truc que je peux pas faire ou du moins très difficilement c’est combatte les vent…surtout aussi fort que celui là… il nous a bien secouer comme même et nous a emmener vachement haut…on vois toute la ville…
« Hey, au lieu de te reposer accroche-toi ! Sinon tu va décorer le trottoir de la ville. »
Criais-je sur la personne qui reposait sur mon épaule enfin reposer… Elle devait comme même être bien secoué par la bourrasque qu’on avait eue… Surtout s’il n’est pas habituer… Mais je n’attendais pas se savoir si e petiot était bien attacher et piqua la tête la première sur le magasin que je cherchais depuis tout à l’heure… Un grand magasin d’accessoire pour esclave…Entre autre…
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Le froid brulait sa peau délicate, et le vent le mordait de part en part. Et pourtant, Hell se sentait bien, il se sentait enfin libre de toutes les chaînes qu'étaient les siennes. Alors qu'il s'accrochait, plus par instinct qu'autre chose, ses yeux se levèrent de façon à observer ce ciel...si proche et pourtant si loin. Ses yeux se mirent à étinceler d'une joie infinie, alors qu'il pouvait enfin respirer à plein poumon l'air le plus pur qu'il lui ai été permit de respirer.
C'est alors qu'une bourrasque, plus violente que les précédentes, le sortit de sa rêverie, de son extase même. A cause d'elle, il n'avait pas put empêcher un léger cri de surprise, ayant faillit lâcher prise. Bien entendu, il entendit les paroles de son sauveur...Mais n'en comprit pas un mot. Mais bon, n'étant pas idiot, il soupçonna qu'on lui demandait de s'accrocher, histoire de ne pas tomber. D'ailleurs, à quelle hauteur peuvent-ils bien être ?
Quoiqu'il en soit, alors qu'il avait resserrer sa prise sur les épaules du demi-humain, Hell fut surprit par un brusque piquet. Franchement, il s'attendait à tout, mais pas à ça ! ^^"
Observant la descente de ses yeux orages, on pouvait lire en lui toute la joie, et l'excitation qu'étais la sienne. Oui...pour la première fois, Hell Van'Dervil se sentait libre, et heureux. Il se sentait enfin vivant.
Une fois qu'ils furent posé, Hell descendit avec délicatesse du dos de son sauveur. Alors, sans le moindre préavis, il fonça dans les bras de celui en déclarant, en anglais :
~ Merci, merci ! Je suis heureux de vous avoir rencontré Monsieur...Je me sens enfin libre ! Merci ! ~
Pourquoi de l'anglais ? Car bon, il ne savait quasiment rien dire de tous cela en japonais, si ce n'est "merci" et "monsieur". L'homme ne semblait pas connaître le français et le russe...donc bon, y reste encore l'allemand, l'italien, l'espagnol et l'anglais en réserve, n'est-ce pas ?
Enfin, on pouvait lire dans le regard de cet humain, jusqu'ici timide comme jamais, une joie immense...et une admiration sans borne. Il semblait rayonner, comme jamais il n'avait rayonner. Et pourtant, il est censé l'avoir perdu : sa liberté.
[Pas grave ^^ Par contre, désolé, c'est court...]
C'est alors qu'une bourrasque, plus violente que les précédentes, le sortit de sa rêverie, de son extase même. A cause d'elle, il n'avait pas put empêcher un léger cri de surprise, ayant faillit lâcher prise. Bien entendu, il entendit les paroles de son sauveur...Mais n'en comprit pas un mot. Mais bon, n'étant pas idiot, il soupçonna qu'on lui demandait de s'accrocher, histoire de ne pas tomber. D'ailleurs, à quelle hauteur peuvent-ils bien être ?
Quoiqu'il en soit, alors qu'il avait resserrer sa prise sur les épaules du demi-humain, Hell fut surprit par un brusque piquet. Franchement, il s'attendait à tout, mais pas à ça ! ^^"
Observant la descente de ses yeux orages, on pouvait lire en lui toute la joie, et l'excitation qu'étais la sienne. Oui...pour la première fois, Hell Van'Dervil se sentait libre, et heureux. Il se sentait enfin vivant.
Une fois qu'ils furent posé, Hell descendit avec délicatesse du dos de son sauveur. Alors, sans le moindre préavis, il fonça dans les bras de celui en déclarant, en anglais :
~ Merci, merci ! Je suis heureux de vous avoir rencontré Monsieur...Je me sens enfin libre ! Merci ! ~
Pourquoi de l'anglais ? Car bon, il ne savait quasiment rien dire de tous cela en japonais, si ce n'est "merci" et "monsieur". L'homme ne semblait pas connaître le français et le russe...donc bon, y reste encore l'allemand, l'italien, l'espagnol et l'anglais en réserve, n'est-ce pas ?
Enfin, on pouvait lire dans le regard de cet humain, jusqu'ici timide comme jamais, une joie immense...et une admiration sans borne. Il semblait rayonner, comme jamais il n'avait rayonner. Et pourtant, il est censé l'avoir perdu : sa liberté.
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…. Il a bien l’air content, le petit gars sur mon épaule… Hey !je ne suis pas une attraction ! Certes ici l’air est pure et gelé, sa secoue dans tout les sens et la vue et magnifique mais je ne suis pas une attraction. Enfin bon, il aime voler c’est déjà ça… il va juste devoir avoir un peu plus de force, je ne fait pas le porter comme cela tout le temps, même très rarement… Ce n’est pas pratique d’avoir les deux bras de pris…
Bref une fois au sol, il descendit tout doucement de mon épaule et me sauta dans les bras… manquait plus que ça… me voila avec un chiot suspendu au cou… d’ailleurs je ne compris pas un traitre mot de ses qu’il me disait … j’avais reconnu l’anglais… Langue que j’ai un peu appris lors que je fessais récupérateur de jeune esclave humain sur le bateau… a ! Je reconnu « merci » et « monsieur » …Il m’a remercié trois fois… il est vraiment content, lui… pourtant j’ai rie fait… il faut comme même rappeler qu’il y a même pas une demi-heure, il était tout tremblait complètement terroriser et paniquer… et maintenant il saute partout… il est lunatique le gosse… quoique a ce point la c’est bipolaire…. Enfin bref
Je ‘détacha mon nouveau collier et le posa a terre… et rentra dans le magasin…direction le collier, j’en avais vu un de pas mal la dernière fois… un collier ay ras du cou, noir assez simple et en cuir…avec en quelque sorte un cadenas derrière. En faite le collier plus on tirait dessus pour l’enlever plus il se resserrait. Et le mauvais esclave mourrait étouffé s’il cherchait à l’enlever sans la clé… ingénieur petit bijou de torture en quelque sorte… pauvre petit esclave qui ne se doutait de rien…
Je lui intimai de s’approcher de lui et une fois payer, lui passa le collier autour de son frêle cou… d’ailleurs je restai quelque petite seconde à fixer la vaine jugulaire qui passait sous sa peau. Je réfléchissais aussi un autre instant, cherchant mon anglais…
« N’y touche pas ! Don’t touch »
Avertissais je d’une fois autoritaire… je n’ai pas envi de le s’étouffé maintenant…
Bref une fois au sol, il descendit tout doucement de mon épaule et me sauta dans les bras… manquait plus que ça… me voila avec un chiot suspendu au cou… d’ailleurs je ne compris pas un traitre mot de ses qu’il me disait … j’avais reconnu l’anglais… Langue que j’ai un peu appris lors que je fessais récupérateur de jeune esclave humain sur le bateau… a ! Je reconnu « merci » et « monsieur » …Il m’a remercié trois fois… il est vraiment content, lui… pourtant j’ai rie fait… il faut comme même rappeler qu’il y a même pas une demi-heure, il était tout tremblait complètement terroriser et paniquer… et maintenant il saute partout… il est lunatique le gosse… quoique a ce point la c’est bipolaire…. Enfin bref
Je ‘détacha mon nouveau collier et le posa a terre… et rentra dans le magasin…direction le collier, j’en avais vu un de pas mal la dernière fois… un collier ay ras du cou, noir assez simple et en cuir…avec en quelque sorte un cadenas derrière. En faite le collier plus on tirait dessus pour l’enlever plus il se resserrait. Et le mauvais esclave mourrait étouffé s’il cherchait à l’enlever sans la clé… ingénieur petit bijou de torture en quelque sorte… pauvre petit esclave qui ne se doutait de rien…
Je lui intimai de s’approcher de lui et une fois payer, lui passa le collier autour de son frêle cou… d’ailleurs je restai quelque petite seconde à fixer la vaine jugulaire qui passait sous sa peau. Je réfléchissais aussi un autre instant, cherchant mon anglais…
« N’y touche pas ! Don’t touch »
Avertissais je d’une fois autoritaire… je n’ai pas envi de le s’étouffé maintenant…
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