Nom : Keitakku.
Prénom : Klimtelle.
Âge : 17 ans.

Sexe : Féminin.
Sexualité : Hétéro.

Physique :

Comment la qualifier ? Il n'y à pas d'adjectifs exacts. Klimt c'est Klimt. Un mètre soixante sept centimètres pour être précis. Elle est assez maigre, pas jusqu'a en être effrayant mais elle à ce qu'on pourrait apeller les os des poignets saillants. Malgrès ça, une certaine beautée se dégage d'elle, en partie due à son visage, fin, et expressif. Elle a des cheveux auquels elle tient beaucoup qui sont d'une extrème longueur, lui arrivant un peu près aux hanches. Elle aime les attacher au dessus de sa tête, y mêlant parfois des fleurs ou des bijoux tels que des baguettes en ivoire noir agrémenté de petites chaînes. Elle ne fait pas très attention à son apparence ou à son physique, ne suivant aucune mode et se contentant d'enfiler ce qui lui plait. Elle ne se maquille pas à part le trait noir au dessus de ses yeux qui accentue son regard de braise. Au niveau de son habillage ? Des longues robes noires, du rouge, du bordeaux, mais surtout sa couleur préférée, le doré. Jamais de couleurs pétantes ou de fantasies inutiles. Elle porte aussi beaucoup des kimonons courts, ou longs selon le temps. En dessous c'est rigueur et sobreté élégante, elle ne porte pas non plus de sous vêtements sexy, mais juste ce que elle aime.
Ses chaussures, elle les porte tout le temps, ce sont de simples ballerines noires mais qui se laçent jusqu'au genoux. On pense souvent que c'est des plateformes Vivienne W. mais elles n'ont pas de talons. Enfin, pour finir, sa gorge est souvent cachée par un tour de cou noir en dentelle et organza noire surmonté au milieu d'une grande croix gothique renversée en argent, qu'elle tripote souvent quand elle est nerveuse, songeuse, inquiète..

Caractère :

Klimtelle. Rien que à son prénom, on s'attend déjà à quelque chose de particulier. Ce qui est bien vrai. Klimt, c'est un livre à elle seule, un livre aux pages blanches mais cornées par le temps, un livre à la couverture noire et glaciale pour cacher les pages des regards indiscrets. Dedans ? Une écriture fine et reliée, longue, majestueuse tout en restant fragile, penchée dans les angles.

Klimt c'est une rose blanche aux pétales immaculés mais aux épines acérées auxquelles perlent des gouttes de sang de ceux qui ont essayé de la cuillir. D'une nature en apparence froide, voir glaciale et impénétrable, elle se rélève douce, délicate, gentille et presque joyeuse une fois qu'elle à revelé sa vraie nature.

Des facettes, ça elle en a, mais un des adjectifs qui lui sied le mieux est sans doute mystérieuse. Elle parait décalée en ces temps modernes, avec ses manières particulières, son style vestimentaire élégant et sobre, sa façon de parler mais surtout ses expressions.

La rose à la tige tordue. Peut être penchée ? Pliée ? Cassée ? Non, pas cassée. Une jeune femme refermée sur elle même mais ouverte aux changements du monde ; Klimt est différente, dans tout son être et sa psycologie. Elle n'essaye même pas de s'interesser aux choses qui l'entourent, animée juste par le besoin de vivre, d'aimer, et d'être aimée. Malgrès cela, elle est souvent seule, murée dans son silence. Personne ne connait vraiment Klimt. Il n'y avait qu'une personne qui comptait au monde pour elle ; sans être plus important que tout, c'était comme même Elle. Elle, qui était le rayon de soleil de Klimt, sa joie de vivre. Un bruit ? Les murs du manoir de l'enfance de la jeune femme résonne encore de leurs rires et de leurs jeux insouciants. Une odeur ? Celle des fleurs fraiches, les bouquets entiers qu'elles cueillaient à mains nues dans les champs derrière le manoir ; myriade de couleurs exaltées et de parfums envôutants.



Histoire :

Klimtelle est née dans un grand manoir perdu au fond de la campagne française. Elle était sensée être tout pour ses parents. Oh, ses chers parents. Ils l'avaient tant attendue. Ou plutôt devrais-je dire, attendu. En effet, selon les échographies, Klimt s'en devait d'être un homme. Sa naissance fut donc une surprise pour tout le monde, et à peine venait elle de venir au monde que elle était déjà haïe. De sa mère, déçue de voir ses projets s'effondrer ; son père, qui voulait assurer leur prestigieuse descendance de sang noble ; en fait, il n'y avait qu'une seule personne qui lui prouva de l'attachement quelques années plus tard après Klimtelle. Elle. Sa soeur. Lumière blanche dans une obscurité totale ; rayonnemment céleste ; étoile scintillante dans le ciel sombre.
Mais cela ne faisait pas oublier Klimt de ses parents. Contrairement à elle, ils L'adoraient, lui vouant une véritable vénération, tandis que Klimt était l'aînée, tout était toujours de sa faute dans le pire des mondes. Elle grandit en subissant les reproches permanantes de père et mère, se refermant sur elle même, rose fanée. Sa soeur faisait tout pour lui procurer une existance comparée à la sienne, la protégeant de la fureur de la famille detestée ; mais cela n'eu pour effet que de les énerver encore plus. Finalement, ils finirent de décider d'expédier Klimt loin. Ne plus la revoir. L'oublier. La jeter hors de leur monde parfait comme un déchet qu'on met à la poubelle. Il faut dire que c'était une espèce de personnification du diable pour eux ; la cause, la responsable de tout leurs malheurs, de leurs échecs ; il fallait qu'elle en subisse les conséquences ! Il n'y avait que à la voir, avec ses yeux perçants et ses fines mains pâles, ses cheveux rouges sang. Oui, c'était bien un ersatz des enfers en personne. C'est ainsi que déchirée de l'intérieur, secouée de sanglots la filette fut arrachée à la maison natale et d'Elle. Que ce que ça allait donc devenir ? Elle fut d'abord plaçée dans une pension. Contre toutes attentes, elle finit par s'y faire, se forgeant un caractère de glace pour mieux franchir les épreuves - ne plus y penser. - D'années en années, elle grandit, gagnant en beauté, mais également en sagesse, ce qui ne l'empêche pas de se poser toujours autant de questions et d'être parfois secouée par des crises de pleurs incontrôlables voir même des accès de folie durant lesquels sa personnalité se dédouble - reflet insignifiant de sa soeur -, elle hurle, crie, pleure sa douleur, mais elle reste seule. Finalement elle se calme, prostrée dans un coin ; reprend ses esprits ; des larmes continuent à couler sur ses joues mais elle n'y prête pas attention et reprend vite une attitude impénétrable. Enfin, il y à quelques jours, elle répondit à une petite annonçe vue par hasard pour un travail qui lui semblait convenable. Malheureusement, c'était juste une supercherie du gouvernement afin de l'envoyer sur l'île en guise d'échange. Elle ne le comprit que trop tard. - - - - -

Comment avez-vous connu le forum ? Par Yoko.
Code : Code Bon, Yatsuki Rei.
Les Humains arrivent sur l'île de deux manières. Lesquelles ? Réponse Exacte, Yatsuki Rei.