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Il se réveilla, les mains enchainer, la lanière de son sac l'étranglant légèrement, et du sable plein la figure... Il ouvrit lentement les yeux et s'aperçut qu'il était sur une plage... Regardant devant lui des pieds apparue. Les pieds était entouré de sorte de sandale faite en cuir... pas vraiment de dernière mode, surtout pour un homme... Il releva alors légèrement la tête apercevant la carrure de la personne devant lui... Mais, après il dû refermer les yeux à cause du sable, déjà présent puis aussi porter par le vent...Dire que :
Le jour d'avant son père s'était montré gentils pour une fois et ne l'avait pas frapper. Il aurait du se méfier de se charlatan, prêt à se débarrasser de son fils pour garder une apparence de rustre japonnais. Les traditions, la culture, et cette foutue droiture... Si cela correspondait à notre monde actuel, il n'aurait pas eu besoin de se teindre les cheveux et de devenir extravagant. Si seulement les enfants et adolescent qu'il avait fréquenter n'était pas aussi étroit d'esprit lui-même n'aurait aucun soucis à s'adapter malgré la couleur de ces yeux... Son père l'avait abandonné sur une plage et il se retrouvait face à quelqu'un les mains lié...
La réalité refaisant surface, la personne devant lui le tira par les chaines dans l'eau... Il lui mis la mains sur la tête et le força a plonger dans la mer. Il n'eut à peine le temps de reprendre une bouffé d'air à chaque fois que l'homme bourru le sortait de l'eau et le remettait dans celle-ci... Mais que faisait donc cette homme ? Essayait-il de tuer Aiba ou simplement de le rincer de manière carrément brutale ? De toutes façon, il n'appréciait pas du tout ce qu'il était en train de subir et il se débattu portant un coup à l'homme...
- " Alors comme sa, tu te débat ? "
Lui dit-il...
- " Mais tu te vendra mieux ainsi, bien propre !"
D'un rire malsain, il le traina derrière lui, le faisant se relever pour qu'il soit le plus intact possible. Il le mit alors sur une espèce de petit camion avec une cage à l'arrière.. Il était traité comme une bête, une fois de plus...
- " Tu as une drôle de couleur de...."
Mais Aiba n'entendit pas la fin de la phrase, il devînt inconscient surement dû au choc... Il ne pouvait penser que tous cela était vrai.. Ce n'était pas normal d'enfermer un humain qui n'a commis aucune faute en prison, mais là c'était encore pire, il se retrouvé dans une cage... Après, quelques claques sur la figure il se réveilla de nouveau se prenant un sceau d'eau froide directement dans les yeux... Il avait du sable plein les habits, et sa peau le tirer du au sel de la mer... Il était d'apparence propre mais ne se sentait pas à l'aise...
De nouveaux l'homme le fit se relever, l'aspergeant désormais avec un jet d'eau... Il était enchainer et ne pouvait résister... Après s'être fait à l'idée, il ne résista plus cacha ses partie génitale de la puissance du jet. Il se laisser arroser tous en regardant l'endroit où il avait attéri... Puis il remarque que prêt du pneu se trouvait le sac qu'il gardait souvent avec lui. Il voudrait le garder avec lui, que celui-ci sois l'objet de sa vie passé...
- " Tu as un nom mon p'tit gars ?!"
Lui demanda l'homme, le temps d'arrêter le jet d'eau... Il hésita une longue seconde avant de répondre puis regardant la tête de l'homme qui commençait à s'énerver. Il voulait éviter les coups autant que possible... Il allait dont y répondre.
- " Aiba..."
Il baissa les yeux, attendant une réponse de son torsionaire...
- " Et bien Aiba, tu vas me rapporter du fric."
Comment sa, pensait-il... Qu'allait-il faire de lui, allait-il l'obliger à travailler dans des endroit pas très catholique ou bien lui faire des trucs bizarre auquel il ne voulait absolument pas penser... Il commençait à sentir le stress peu à peu monter en lui, jusqu'à ce que l'homme l'attrapa de nouveau par le col et l'emmena à l'avant du camion, le mettant à la place du passager. Aiba observa l'intérieur du camion, il y avait plusieurs mégots, mais aussi plein de boulon et vis. C'était un intérieur complètement pourris, et rien que le fat de s'assoir dans cette chose voudrait dire qu'il devait à nouveaux se laver... Bref, c'était vraiment dégueulasse...
- " Direction le marché mon petit gars "
* Un marché ? Un marché de quoi... *
Il ne savait pas vraiment quoi pensait. Etait-il juste un marchands peu scrupuleux, vendant de la drogue ou d'autre truc dans le genre... Mais un panneau lui fit comprendre tous à coup pourquoi avait-il eu droit à lavage aussi brusque... Il était arrivé au "marché aux esclaves". Après une centaines de mètre trouvant une place libre, l'homme sorti Aiba du camion et commença à annoncé son produit... Comme un marchands de poisson annoncerait sa pêche miraculeuse, sauf que la, le produit c'était lui...
Le jour d'avant son père s'était montré gentils pour une fois et ne l'avait pas frapper. Il aurait du se méfier de se charlatan, prêt à se débarrasser de son fils pour garder une apparence de rustre japonnais. Les traditions, la culture, et cette foutue droiture... Si cela correspondait à notre monde actuel, il n'aurait pas eu besoin de se teindre les cheveux et de devenir extravagant. Si seulement les enfants et adolescent qu'il avait fréquenter n'était pas aussi étroit d'esprit lui-même n'aurait aucun soucis à s'adapter malgré la couleur de ces yeux... Son père l'avait abandonné sur une plage et il se retrouvait face à quelqu'un les mains lié...
La réalité refaisant surface, la personne devant lui le tira par les chaines dans l'eau... Il lui mis la mains sur la tête et le força a plonger dans la mer. Il n'eut à peine le temps de reprendre une bouffé d'air à chaque fois que l'homme bourru le sortait de l'eau et le remettait dans celle-ci... Mais que faisait donc cette homme ? Essayait-il de tuer Aiba ou simplement de le rincer de manière carrément brutale ? De toutes façon, il n'appréciait pas du tout ce qu'il était en train de subir et il se débattu portant un coup à l'homme...
- " Alors comme sa, tu te débat ? "
Lui dit-il...
- " Mais tu te vendra mieux ainsi, bien propre !"
D'un rire malsain, il le traina derrière lui, le faisant se relever pour qu'il soit le plus intact possible. Il le mit alors sur une espèce de petit camion avec une cage à l'arrière.. Il était traité comme une bête, une fois de plus...
- " Tu as une drôle de couleur de...."
Mais Aiba n'entendit pas la fin de la phrase, il devînt inconscient surement dû au choc... Il ne pouvait penser que tous cela était vrai.. Ce n'était pas normal d'enfermer un humain qui n'a commis aucune faute en prison, mais là c'était encore pire, il se retrouvé dans une cage... Après, quelques claques sur la figure il se réveilla de nouveau se prenant un sceau d'eau froide directement dans les yeux... Il avait du sable plein les habits, et sa peau le tirer du au sel de la mer... Il était d'apparence propre mais ne se sentait pas à l'aise...
De nouveaux l'homme le fit se relever, l'aspergeant désormais avec un jet d'eau... Il était enchainer et ne pouvait résister... Après s'être fait à l'idée, il ne résista plus cacha ses partie génitale de la puissance du jet. Il se laisser arroser tous en regardant l'endroit où il avait attéri... Puis il remarque que prêt du pneu se trouvait le sac qu'il gardait souvent avec lui. Il voudrait le garder avec lui, que celui-ci sois l'objet de sa vie passé...
- " Tu as un nom mon p'tit gars ?!"
Lui demanda l'homme, le temps d'arrêter le jet d'eau... Il hésita une longue seconde avant de répondre puis regardant la tête de l'homme qui commençait à s'énerver. Il voulait éviter les coups autant que possible... Il allait dont y répondre.
- " Aiba..."
Il baissa les yeux, attendant une réponse de son torsionaire...
- " Et bien Aiba, tu vas me rapporter du fric."
Comment sa, pensait-il... Qu'allait-il faire de lui, allait-il l'obliger à travailler dans des endroit pas très catholique ou bien lui faire des trucs bizarre auquel il ne voulait absolument pas penser... Il commençait à sentir le stress peu à peu monter en lui, jusqu'à ce que l'homme l'attrapa de nouveau par le col et l'emmena à l'avant du camion, le mettant à la place du passager. Aiba observa l'intérieur du camion, il y avait plusieurs mégots, mais aussi plein de boulon et vis. C'était un intérieur complètement pourris, et rien que le fat de s'assoir dans cette chose voudrait dire qu'il devait à nouveaux se laver... Bref, c'était vraiment dégueulasse...
- " Direction le marché mon petit gars "
* Un marché ? Un marché de quoi... *
Il ne savait pas vraiment quoi pensait. Etait-il juste un marchands peu scrupuleux, vendant de la drogue ou d'autre truc dans le genre... Mais un panneau lui fit comprendre tous à coup pourquoi avait-il eu droit à lavage aussi brusque... Il était arrivé au "marché aux esclaves". Après une centaines de mètre trouvant une place libre, l'homme sorti Aiba du camion et commença à annoncé son produit... Comme un marchands de poisson annoncerait sa pêche miraculeuse, sauf que la, le produit c'était lui...
Invité
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La naïade s'ennuyait a mourir en cette belle journée ensoleillée. Au temple rien de spécial. Tout allait bien, tout était calme, beaucoup trop calme pour elle d'ailleurs. C'est en quête de distraction quelconque que la belle s'en alla du temple habillée d'une simple robe bleu nuit aux armoiries du temple soulignant ses courbes avec un très léger décolté. Bien sur, elle lui arrivait aux chevilles mais possédait deux longues fentes sur les cotés laissant apparaitre quand elle marchait ses longues jambes fines et galbés. Qui a dis que les prêtresses ne savaient pas s'habiller sexy ? Surement pas elle. Mais bref. A ses pieds elle avait des spartiates argentés et sur la tête la coiffe des grandes prêtresses comme ici. Elle avait aussi un petit sac argenté lui aussi. L'ensemble était très plaisant a regarder et bien sur, son physique atypique faisait que la plus part des regards se tournaient vers elle. Surtout a cause de son air froid. Le tenue normale étant assez encombrante, elle avait préféré se mettre a l'aise. De toute façon en tant que grande prêtresse et descendante directe d'une des 7 grandes familles, elle faisait ce qu'elle voulait.
Yuuki marchait d'un pas aérien dans les rues, comme si elle était dans l'eau mais laissait couler son regard acier glacial sur ceux qui osaient ouvertement la dévisager. Il était assez rare de la voir en ville, elle fuyait la plus part du temps le monde et en fait et beaucoup de ragots couraient sur elle, tous infondés bien sur. Tout en marchant elle laissait ses pensées dériver, laissant un regard inintéréssé sur toutes les boutiques qui défilaient devant ses yeux.
Ses jambes la portèrent finalement aux marchés aux esclaves. Elle resta un moment devant, regardant les ventes a suivre sur un des panneaux et s'avança. De toute façon elle n'avait pas d'esclave, le dernier elle l'avait revendu au vu de son incompétence. La demoiselle s'avança donc, ignorant le silence plus ou moins respectueux qui se faisait en sa présence et regarda autour d'elle, souriant légèrement pour que le silence cesse. Son regard s'arrêta sur un -apparement- humain au vu de son air déboussolé et de ses cheveux rose. Son regard acié croisa un instant celui couleur soleil de l'humain. Le marchand lui, avait vu qu'elle regardé l'humain et se mit a crier a son encontre.
"Grande prêtresse ! Quel honneur ! Vous ferriez un très bon choix en le prenant. Tout frais, il vient juste d'arriver ! .."
Tout en parlant il faisait tourner le pauvre humain pour qu'elle puisse le voir sous toutes les coutures en continuant son baratin
".. est un peu déboussolé mais facilement maléable vous ne serez pas déçue .."
Elle ne le laissa pas finir. Sa voix mélodieuse au ton froid résonna un instant. Son baratin elle s'en foutait, elle avait besoin d'un esclave et il avait l'air d'être le seul potable ici. L'originalité lui plaisait et ses yeux étaient, elle l'avouait magnifique. Elle soupira un instant juste avant de parler.
"Votre baratin ne m'interresse pas je n'ai besoin ni de vos conseil ni de votre avis pour choisir mes futurs esclaves est-ce clair ?"
Il commença a s'excuser mais encore une fois elle le coupa. Pff tous aussi minables ces marchands. En plus l'humain avait l'air d'avoir froid ou je ne sais quoi mais en tout cas pas dans son assiette. Qu'est-ce qu'ils avaient bien pu lui faire encore ?
"Bien. Son prix s'il vous plait ?"
"2000 grande pretresse."
Elle réflechit un instant, pas vraiment envie de marchander et les regards des gens autour d'elle commençait a lui casser les pieds. Pas patiente la fille .. Elle pris donc une liasse de billet qu'elle avait prévue dans le sac, paya le vendeur qui lui sourait de toutes ses dents. Elle alla vers son acquisition, son regard froid le scrutant de bas en haut. Elle pouvait faire peur certes, mais pour l'instant aucune méchanceté ne luisait dans son regard, juste un certain dégout pour ses marchant verreux. Elle lui parla doucement, mais d'un ton beaucoup moins froid qu'au vendeur d'esclave, juste rassurant. Elle lui enleva les menottes, lui laissant le collier et gardant la laisse que le marchand lui avait entre temps donné dans la main.
"Comme tu as du le comprendre, je suis la grande pretresse d'ici. Mais apelles-moi Yuuki. Je ne te ferai pas de mal si tu m'obéit. Et d'ailleurs on va aller de suite faire ta garde robe tu pourras te laver quand on retrera au temple. Je suppose que tu ne sais rien d'ici je t'expliquerai tout en route cet endroit m'exaspère. Ton nom c'est ?"
Il eu droit a un léger sourire de sa part qui lui donnait un air enfantin. D'ailleurs ses vingt ans elle ne les faisait pas vraiment, tout comme un personne extérieure aurait du mal a la voir occuper une fonction si haut placée dans un temple. N'attendant pas la réponse de l'humain, elle commença a l'entrainer hors du marché qui commencer a l'étouffer
Yuuki marchait d'un pas aérien dans les rues, comme si elle était dans l'eau mais laissait couler son regard acier glacial sur ceux qui osaient ouvertement la dévisager. Il était assez rare de la voir en ville, elle fuyait la plus part du temps le monde et en fait et beaucoup de ragots couraient sur elle, tous infondés bien sur. Tout en marchant elle laissait ses pensées dériver, laissant un regard inintéréssé sur toutes les boutiques qui défilaient devant ses yeux.
Ses jambes la portèrent finalement aux marchés aux esclaves. Elle resta un moment devant, regardant les ventes a suivre sur un des panneaux et s'avança. De toute façon elle n'avait pas d'esclave, le dernier elle l'avait revendu au vu de son incompétence. La demoiselle s'avança donc, ignorant le silence plus ou moins respectueux qui se faisait en sa présence et regarda autour d'elle, souriant légèrement pour que le silence cesse. Son regard s'arrêta sur un -apparement- humain au vu de son air déboussolé et de ses cheveux rose. Son regard acié croisa un instant celui couleur soleil de l'humain. Le marchand lui, avait vu qu'elle regardé l'humain et se mit a crier a son encontre.
"Grande prêtresse ! Quel honneur ! Vous ferriez un très bon choix en le prenant. Tout frais, il vient juste d'arriver ! .."
Tout en parlant il faisait tourner le pauvre humain pour qu'elle puisse le voir sous toutes les coutures en continuant son baratin
".. est un peu déboussolé mais facilement maléable vous ne serez pas déçue .."
Elle ne le laissa pas finir. Sa voix mélodieuse au ton froid résonna un instant. Son baratin elle s'en foutait, elle avait besoin d'un esclave et il avait l'air d'être le seul potable ici. L'originalité lui plaisait et ses yeux étaient, elle l'avouait magnifique. Elle soupira un instant juste avant de parler.
"Votre baratin ne m'interresse pas je n'ai besoin ni de vos conseil ni de votre avis pour choisir mes futurs esclaves est-ce clair ?"
Il commença a s'excuser mais encore une fois elle le coupa. Pff tous aussi minables ces marchands. En plus l'humain avait l'air d'avoir froid ou je ne sais quoi mais en tout cas pas dans son assiette. Qu'est-ce qu'ils avaient bien pu lui faire encore ?
"Bien. Son prix s'il vous plait ?"
"2000 grande pretresse."
Elle réflechit un instant, pas vraiment envie de marchander et les regards des gens autour d'elle commençait a lui casser les pieds. Pas patiente la fille .. Elle pris donc une liasse de billet qu'elle avait prévue dans le sac, paya le vendeur qui lui sourait de toutes ses dents. Elle alla vers son acquisition, son regard froid le scrutant de bas en haut. Elle pouvait faire peur certes, mais pour l'instant aucune méchanceté ne luisait dans son regard, juste un certain dégout pour ses marchant verreux. Elle lui parla doucement, mais d'un ton beaucoup moins froid qu'au vendeur d'esclave, juste rassurant. Elle lui enleva les menottes, lui laissant le collier et gardant la laisse que le marchand lui avait entre temps donné dans la main.
"Comme tu as du le comprendre, je suis la grande pretresse d'ici. Mais apelles-moi Yuuki. Je ne te ferai pas de mal si tu m'obéit. Et d'ailleurs on va aller de suite faire ta garde robe tu pourras te laver quand on retrera au temple. Je suppose que tu ne sais rien d'ici je t'expliquerai tout en route cet endroit m'exaspère. Ton nom c'est ?"
Il eu droit a un léger sourire de sa part qui lui donnait un air enfantin. D'ailleurs ses vingt ans elle ne les faisait pas vraiment, tout comme un personne extérieure aurait du mal a la voir occuper une fonction si haut placée dans un temple. N'attendant pas la réponse de l'humain, elle commença a l'entrainer hors du marché qui commencer a l'étouffer
Invité
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Il regarda le sol... De la terre, de la poussière... Tous cela collait au vêtement encore humide du jeune homme terrorisé par ce qu'il était en train de lui arrivé... Peu à peu ses habits noir se coloriser en marron orangé. Le bruit de l'eau dans ses chaussures, les rendait inconfortable au bruit et à la sensation... C'était horrible, il sentait du sable dans ses chaussures, mélangé à de l'eau... Et rien que le fait de marcher sur lui-même ne faisant que quelques pas, lui avait créer des ampoules...Il avait mal du sang coulait des égratignure qu'il c'était fait pendant le chemin... Il avait mal, il était fatigué et ne comprenait absolument rien au mots prononcer par les gens passant devant lui... Il doutait de la réalité de ce monde.. Mais, était-il revenu dans le passé ? Le temps de l'esclavage... Le temps où l'homme se permettez de tué sans avoir à payer pour ses crimes.. Le temps ou les femmes se faisait violer... Le temps où tous est diriger par un empereur, un roi, une dignité... Si c'était le cas, il devait paraitre bien étrange à la vue du peuple... Une couleur de cheveux si particulière, et des yeux remplit de larme de couleur or... Un accoutrement bizarre aussi... C'est alors qu'il réagit... Il ne pouvait se trouver dans le passé... Les engins motoriser n'existait pas alors.. Mais peut être une dimension similaire, un trou dans l'espace temps... Une déformation de notre présent pour l'aspirer à l'intérieur de ce monde étrange.... De toutes façon quelques choses ne tournait pas rond... Les gens avait des têtes plus ou moins bizarre... Certains avait des queues, d'autres des oreilles avec des poils par dessus leurs chevelures. Il réagit alors une nouvelle fois... Et si ce n'était qu'une caméra caché, et des gens devant lui serait des cosplayeurs... C'est gens bizarre qui aime se déguiser, enfin pas plus bizarre que lui, mais plutôt d'une autre façon...Il aimerait croire à cette version mais il savait au fond de lui, que ce n'était pas vrai... Ce monde était réel... Et cet homme était bel et bien en train de le vendre à une femme devant lui... Il l'appelait "Grande Prêtresse", et il lui fit tourner sur lui-même, pour qu'elle observe une nouvelle fois sous divers angle la marchandise... Une marchandise qu'il n'achèterait pas lui même... Après tout, il ne valait pas grand chose...
Tous à coup, la "femme" devant lui interrompu l'esclavagiste, elle semblait mécontente, non pas par la "marchandise" mais par le comportement de l'homme. Non pas à l'égare de l'esclave, mais par le fait qu'il avait "osé" donné son avis sur la "marchandise"... C'était normal, tous les marchands essaye d'influencer un potentiel acheteur... Mais cette femme semblait haut gradé dans cet endroit si bizarre. Une grande prêtresse, c'était un peu comme un pape pour les chrétiens et un Dallai lama pour les bouddhiste ? Enfin de nouveau, il n'eut pas vraiment le temps de réfléchir à cela... La femme parla à nouveau et cette fois-ci c'était quasiment sûr qu'elle allait devenir sa propriétaire... Alors il coûtait à peine 2000... Mais 2000 quoi ? Qu'utiliser ces barbares pour payer ? De l'argent comme dans le monde civiliser ou alors des pièces d'or, sans en connaître la vrai valeur dans le monde réel...
Enfin, il aperçut la monnaie qu'ils utilisait.. C'était comme dans le monde réel. C'était bel et bien des billets de différente couleur et avec différente figure dessus. Sûrement que les motifs dessus était différent des motifs imprimé sur celui de son pays... Bref, il n'était pas si peu évolué finalement... Mais où était-il ? Allait-il vivre toute sa vie dans cet enfer, ou pour meilleur avenir il serait esclave toute sa vie et au pire on le tuerait surement pour avoir désobéi, à cette "Grande prêtresse"...
La vente se conclue finalement, et l'homme souriait, montrant ses dents noirci par la crasse, et dégageant une odeur fétide de cet endroit... Il était de plus en plus ignoble, et de plus en plus dégoutant... Rien que de partir et de n'espérait plus le revoir, était en soi un soulagement des plus grands... Elle s'approcha de lui le débarrassant de ses chaînes, le regardant une fois de plus, crutant son visage et son regard... Il détourna alors les yeux, il avait assez subis de moquerie...Il ne voulait pas avoir à subir d'avantage de torture morale ou corporel... Il allait devoir l'écouter, et sûrement obéir à ses moindres petit caprice... Elle approcha sa figure de la sienne et lui parlait un peu plus agréablement que le ton qu'elle avait utilisé pour parler au marchand... Elle avait dans sa main une laisse qui était relié au collier que Aiba avait autour du cou... Comme un humain attachant son chien.. Alors il n'était désormais plus rien d'autre qu'un animal de compagnie, plus docile et obéissant. Il devait être gentils pour ne pas être punis, il devait être obéissant et faire ce qu'elle disait pour ne pas être punis... De plus, il devait avoir une allure fréquentable, comme pour valoriser l'estime des gens envers sa maitresse. De toutes façon il ne pouvait rien faire d'autre que de l'écoutait...
- " Vous voulez aussi mon nom Madame ?"
D'un geste il se protégea le visage, ne sachant pas la réaction que pourrait avoir l'individu en face de lui... Mais en fait elle avait déjà commençait à avancé et ne s'intéressât pas vraiment à lui... Il sentit la laisse lui tirer au niveau du cou et fut obliger d'avancer dans la direction de sa "maîtresse". Après tous, si il pouvait avoir un séjour agréable en ces lieux, juste en l'écoutant et faisant les corvers... Il allait essayer de survivre...
Tous à coup, la "femme" devant lui interrompu l'esclavagiste, elle semblait mécontente, non pas par la "marchandise" mais par le comportement de l'homme. Non pas à l'égare de l'esclave, mais par le fait qu'il avait "osé" donné son avis sur la "marchandise"... C'était normal, tous les marchands essaye d'influencer un potentiel acheteur... Mais cette femme semblait haut gradé dans cet endroit si bizarre. Une grande prêtresse, c'était un peu comme un pape pour les chrétiens et un Dallai lama pour les bouddhiste ? Enfin de nouveau, il n'eut pas vraiment le temps de réfléchir à cela... La femme parla à nouveau et cette fois-ci c'était quasiment sûr qu'elle allait devenir sa propriétaire... Alors il coûtait à peine 2000... Mais 2000 quoi ? Qu'utiliser ces barbares pour payer ? De l'argent comme dans le monde civiliser ou alors des pièces d'or, sans en connaître la vrai valeur dans le monde réel...
Enfin, il aperçut la monnaie qu'ils utilisait.. C'était comme dans le monde réel. C'était bel et bien des billets de différente couleur et avec différente figure dessus. Sûrement que les motifs dessus était différent des motifs imprimé sur celui de son pays... Bref, il n'était pas si peu évolué finalement... Mais où était-il ? Allait-il vivre toute sa vie dans cet enfer, ou pour meilleur avenir il serait esclave toute sa vie et au pire on le tuerait surement pour avoir désobéi, à cette "Grande prêtresse"...
La vente se conclue finalement, et l'homme souriait, montrant ses dents noirci par la crasse, et dégageant une odeur fétide de cet endroit... Il était de plus en plus ignoble, et de plus en plus dégoutant... Rien que de partir et de n'espérait plus le revoir, était en soi un soulagement des plus grands... Elle s'approcha de lui le débarrassant de ses chaînes, le regardant une fois de plus, crutant son visage et son regard... Il détourna alors les yeux, il avait assez subis de moquerie...Il ne voulait pas avoir à subir d'avantage de torture morale ou corporel... Il allait devoir l'écouter, et sûrement obéir à ses moindres petit caprice... Elle approcha sa figure de la sienne et lui parlait un peu plus agréablement que le ton qu'elle avait utilisé pour parler au marchand... Elle avait dans sa main une laisse qui était relié au collier que Aiba avait autour du cou... Comme un humain attachant son chien.. Alors il n'était désormais plus rien d'autre qu'un animal de compagnie, plus docile et obéissant. Il devait être gentils pour ne pas être punis, il devait être obéissant et faire ce qu'elle disait pour ne pas être punis... De plus, il devait avoir une allure fréquentable, comme pour valoriser l'estime des gens envers sa maitresse. De toutes façon il ne pouvait rien faire d'autre que de l'écoutait...
- " Vous voulez aussi mon nom Madame ?"
D'un geste il se protégea le visage, ne sachant pas la réaction que pourrait avoir l'individu en face de lui... Mais en fait elle avait déjà commençait à avancé et ne s'intéressât pas vraiment à lui... Il sentit la laisse lui tirer au niveau du cou et fut obliger d'avancer dans la direction de sa "maîtresse". Après tous, si il pouvait avoir un séjour agréable en ces lieux, juste en l'écoutant et faisant les corvers... Il allait essayer de survivre...
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