[ Si c'est possible j'aimerai plutôt avoir une maitresse plutôt qu'un maitre...]

Esclave...un nom qui sonnait tel un paradis aux oreilles de beaucoup.. Pourtant pour ce jeune homme.. ce n'etait rien d'autre qu'un enfer.. Un enfer dont il n'etait pas pres de s'enfuir... Il rêvait chaque nuit que quelqu'un prenait pitié de lui.. venait le chercher.. et ou il pourrait finir sa vie sans craindres les pluies de coups, la sous alimentation et ou Agito recevrai un peu de douceur... Tout cela il en avait revé mais n'y avait jamais eut droit.. Pourtant.. chaque matin, son rêve prenait fin quand le vendeur le reveillait en lui jetant quelques morceaux de pains..

Vendeur : Dépéche toi et mange ! Sois présentable ! J'vais pas te garder eternellement ici !

Agito se mit a se rappeller le bon vieux temps, oû il était encore libre de vivre a ça façon. Cela faisait déjà pas mal de temps qu'il était devenu esclave. Avant il était l'un de ces humains rebelles comme tout, qui ignorait les parents etc... Maintenant il était docile comme un agneau, obéissant a son maitre, voire sa maitresse. Tout les matins le vendeur le reveillait de la même manière, en lui jettant des morceaux de pain, et il priait pour qu'il parte enfin. Cela faisait déjà deux ans qu'il vivais dans son magasins et personne ne voulait l'acheter. Certains lui cracher au nez, en lui disant, trop maigre, trop beau pour être obeissant ou des trops moches, ou trop faible etc... Perosnne ne voulait de lui, et le vendeur ne se génais pas pour le mettre des coups de batons et des coups de fouets en lui disant : TU as interet a faire mieux demain ! Mais a chaque fois le même rituel et ça depuis deux ans.

Agito était habillé d'un jean trés sale, arraché de partout, et il n'avait même pas de haut. On pouvait voir du noirs partout sur son corps, ce qui montrait qu'il n'était pas trés propre, mais si il aurait bien voulu le contraire...Son corps étaient rempli de cicatrice et de d'égratiniure, montrant bien qu'il était maltraité.Il vivait dans une cage trés petite, a peine assez de plaçe pour se lever. Il ne pouvait rien faire dedans. Il ne voyait pas la lumière du jour. Si, quand un client rentrait dans le magasin, mais à peine quelque minute. Il vivait constament dans les ténébres. Il avait tous de même réussi a avoir un ours en peluche, le seul ami qu'il n'avait jamais eu. Il avait appellé Frankelin, et il ne le quittait jamais. Vous pourrez peut être trouver ça pathétique, mais quans vous vivaient enfermer sans bouger, vous seriez content d'avoir un ami comme Frankelin.

Cette journée commençait comme toute les autres, les clients entrés, et l'ignorait, et lui se contentait de carressait son seul et unique ami. A force de vivre comme ça Agito perdait carrement toute notion de temps, et tout style de vie, il avait tout oublier, les forme de polittesse etc... Son éducation était presque a refaire. Alors Agito admirait le clients qui l'ignorait. Il priait...

" Faites que quelqu'un m'achete.... Veux plus de coup de baton ! "

..Un matin comme tout les autres, le même reveil, les habitudes semblables aux autres, le soleil vous chatouillant le visage en esperant que celà vous reveille. Yumio était encore endormie dans son lit, les volets fermés, ne supportant pas la lumière du jour lorsque cette sphère jaunâtre se pointait à l'horizon. La jeune femme avait chaque matin le même reveil, la pendule dans la chambre qui ne cessait ses tic tac règulier, au dehors, le chant imperturbable des oiseaux. Silencieuse, la jeune femme se leva, sa colonne vertebrale craquant dans un bruit sinistre, elle s'etira simplement avant de sortir de sa chambre, seule dans la demeure, elle bailla longuement avant d'attraper des affaires, celles-ci étaient composées d'une jupe arrivant à mi cuisse comme celles des ecolières japonaises de couleur rouge, une chemise noire sans manche et des sous vêtements, prennant aussi des collants noir. Là elle fila à la salle de bain, evitons les details, en gros, elle se prepara pour sortir. Là elle descendit les grands escaliers de l'etage et se rendit dans la cuisine, se preparant simplement quelques tartines avec du beurre, un chocolat chaud avec deux sucres, elle termina son dejeuner puis prit un sac, enfilant de petites chaussures elle sortit en trombe. Prennant soin de refermer à clefs le manoir qui était d'une beautée presque parfaite pour elle, Yû se rendait en ville, son sac en bandoulière sur l'épaule..
..Peu après une dixaine de minutes à marcher sur les pavés encore mouillés par la pluie de cette nuit, elle fixa les petites boutiques en souriant, decidement, il y avait pas mal de chose plus ou moins. Dans les rues, il n'y avait pas grand monde, il était assez tôt puis les touristes étaient sûrement ailleurs, puis son attention fût attirée vers un magasin assez spacieux mais ridiculement petit vu de l'extèrieur, il était à peine remarquable mais l'enseigne etait assez grande. La jeune hybride s'en approcha, visiblement, c'était le marché, elle fixa longuement la vitrine, on pouvait voir à l'intèrieur mais difficilement. Yumio deposa alors ses doigts telles des pattes d'araignés sur la poignée, entrant avec precaution, le vendeur vînt l'accueillir chaleureusement, mais il était réellement ennuyeux, ce qui l'interessait, c'était surtout ce qu'il y avait dans les cages, ces hommes ou ces femmes enfermées. Là elle detourna son attention sur un jeune homme avec une peluche dans les bras, celà ne l'interpella pas, mais c'est surtout ce regard qui l'avait fais reagir. Elle s'approcha, le vendeur avait une lueur d'espoir dans son regard mais il était aussi déçue, sûrement ne pourrait il plus jamais frapper cet homme..
..Après l'avoir longuement observé, elle ordonna presque au vendeur de lui donner les clefs de cette cage, ce qu'il fit sans se faire attendre, là elle l'ouvrit et prit doucement la main du jeune homme à l'intèrieur, fixant ses habits qui n'étaient pas des plus beaux, il fallait qu'elle passe aux magasins avec lui. La jeune femme le releva et cogna d'un coup de pied la cage dans laquelle il était, donnant alors le double au vendeur de ce que l'esclave vallait. En effet, elle donnait tellement d'importance aux êtres quis sont soumis, non pas de la pitié, mais simplement un petit sentiment comme ça qui lui arrive d'avoir. Ne prennant la peine de parler à cet homme petit et empoté qu'on nommait ' vendeur ', Yumio sortit de la boutique, regardant dans quel etat il était, mais d'abord, les presentations, ayant eut l'heureuse chance d'avoir pu voir son prenom sur la cage, elle lui dit simplement de sa voix douce..