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Forum RPG d'Urban-Fantasy tranche de vie.

Évènement en prévision - "Fun à Bleu Lointain"
Saol Eile, un monde à la fois fantastique et si proche du nôtre. Un monde où vivent les êtres mythiques du folklore et des légendes.
Alors que sa population ne cesse de diminuer, la grande enchanteresse Kassandra sacrifie sa vie pour offrir à son peuple un espoir. Cet espoir, ce sont les humains, ceux de notre monde d’aujourd’hui.

Dans la grande cité-état de Ta Suil, les Apprentis de Kassandra, ses héritiers, ont créé des portails magiques pour aller n’importe où sur Terre et faire venir des humains pour sauver la population des êtres mythiques.
L’Agence, l’organisme qui supervise et aide les humains à s’installer, est maintenant pleinement opérationnelle et compte faire venir encore plus de nouveaux habitants.

Et vous, qui serez-vous sur ce monde ? Un être mythique appartenant à l’une des très nombreuses espèces et potentiellement désireux d’avoir une descendance ? Un être humain fraichement débarqué et découvrant un monde d’êtres de légendes ? Venez découvrir ce nouveau monde fascinant…

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L'intégralité du contexte et de l'univers est le travail d'Ourania. L'installation et l'ajustement des codages a été réalisé par Xiang. Les écrits et races sont le bien de leurs auteurs respectifs ♥

Son maitre l'avait conduite jusqu'au commissariat en la faisant marcher à ses cotés, ce qui l'avait beaucoup gêné on lui avait tellement apprit à rester à sa place d'esclave soumise. Elle gardait le plus souvent la tête baissée ou si elle la relevait elle veillait à ne jamais regarder le visage des gens qu'elle croisait, ca aussi on lui avait apprit. Son ancien maitre ne voulait pas prendre le risque qu'elle voit le visage des hommes avec qui il traitait. Elle entra dans la commissariat et se sentit tout de suite très mal, sa race n'était pas très aimé et beaucoup de personne murmurait sur son passage. A moins qu'il l'ai simplement reconnu, après tout vu le nombre d'homme qui avait abusé d'elle peut être que certain ce trouvait ici, cette pensée lui serra le coeur.
Elle arriva enfin au bureau de son maitre une fois à l'intérieur et la porte refermée elle se détendit un peu et osa même lever la tête pour regarder autour d'elle. Ici l'air était doux elle voulu enlever le manteau mais se rappela de la tenue qu'elle portait en dessous, cette tenue indescente dont on l'avait vêtu.
Elle resta là au milieu de la pièce attendant les ordres de son maitre.


"Que désirez vous que je fasse maitre ?"

C'était la première fois qu'elle ouvrait la bouche d'elle même mais encore une fois elle se contentait de rester dans son role d'esclave. Elle avait dit cela d'une voie un peu tremblante elle posait cette question alors qu'elle redoutait la réponse. Qu'allait-il lui demander ?
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Kurumu avancait de front, non sans mal du point de vue de son maitre quipassait une de ses mains lourdement chargé d'acier sur son dos et la poussait a rester a sa hauteur quand elle ralentissait son allure pour se recalquer derriere lui. La marche fut longue, le manteau, enfin la cape de laine, du loup lui manquait cruellement au niveau de sa queue, il se gelait litteralement les entrailles depuis cet endroit. Qu'est ce qu'il pouvait hair les rats de mettre des tennues aussi courtes a leurs esclaves pour les rendre plus attirantes, ils les considerent comme des objets sexuels point, mais c'est pas le point de vue de tous...En pensant a ca, le chef de la section policiere de la ville se demanda si il s'était remis de son coup de taser....Bof, c'est son probleme apres tout, il n'avait pas a le provoquer, une chance meme qu'il n'ait pas dépéché une équipe pour l'arreter lui et sa famille et reduit en esclavage pour outrage grave, atteinte a la pudeur et autre.
Ils passerent la porte, la jeune neko ne regardait que ses pieds alors qu'ils arriverent aux dans le commissairiat. Renji n'eut pas besoin de ses sens canins pour entendre les bribes murmuré entre les agnets, certains étaient méprisant, peux de canidés ou d'ours n'aimaient les mairo et leurs batards, la plupart leur vouahiat presque une haine inconsidéré, c'était comme les capulet et les montague, enfin on aurait put croire que cette piece a inspiré les premieres rancoeurs. Mais bon, le vieil homme était au fait de cette rancoeur, voila 70 ans qu'il avait confiance des escarmouche entre ces deux especes tout a fait a l'opposé a l'etat naturel, les chien bouffes les chats, les ours tuent les tigres et inversement. C'est comme les boelant et les Yume, ils ne s'entendront jamais vraiment. Enfin passons. Une fois les mépris passé, Renji put distinguer des ragots, il n'y preta pas attention, du moins pour l'instant. Ils entrerent dans la salle qui servait de bureau mais qui avait plus une impression de Bumker, les vitres fumé étaient comme des mirroirs sans teint, empechant de voir a l'interieur mais pas l'inverse. L'insonorisation était parfaite. Nos pauvres fonctionaires allaient prendre pour leur grade en remontrance.
Une fois a l'interieur, la jeune Kurumu se placa en plein centre de la piece enmailloté dans la couverture. Elle lui demanda ce qu'il voulait qu'elle fasse, la question ne se posa pas. Son pas cliquant l'acier des jointures de son armures a chaque pas se fit de plus en plus proche. Il lui hota la cape des épaules et la posa sur le porte manteau
Ne bouge pas, je regarde ce qu'il te faut pour te vétir, une de celles qui t'as dénigré va me donner ses vetements.
Un sourire amusé, non pas n rictus apparut sur ses levres alors qu'il passait ses pain le long de ses courbes pour se representer a peuit pres la forme dans son esprit. Un fois fini, il tira sur un pan de l'armoire derriere elle et la poussa en avant avant que le lit ne tombe, draps propre et senteur de printmpes a l'interieur
INstale toi ici, je reviens.
Il sorti, sans barrer la porte mais la fermant pour ne pas qu'elle entende ce que ses hommes allaient subir comme savon. Sa voix rauque et pleine d'une colere non feinte d'un homme qui de patience ne connais que la définition fit taire et blemir tout les visages.
Bande de larves! Vous n'avez donc aucun honneur? Vous lancez des ragots alors que je suis encore dans la meme piece que vous et vous vous fondez dans la masse! Toi, toi, toi et toi! Approchez, je vais vous apprendre a dire que je ramene des putains pour prendre mon pied au lieux de bosser, toi, viens contre cette porte.
Les quatres premiers avancerent, ils avaient assez peur de leur chef, aussi charismatique soit il, il était craint par ses troupes, normal, il n'hésitera pas une seconde a les tuer pour manquement a l'honneur de leur blason gravé sur la poitrine. Le premier, un Homme-grizly, approchait presque timide alors qu'il avait une carrure a faire palir un boxeur poid lourd. Il pris un revers de son chef et cracha trois de ses dents sur le planché dans une giclé de sang, il n'éssaya meme pas de riposter, la main gauche, oui il est gaucher, du loup tapotait sa garde. Les deux autres étaient des femmes renardes fort séduisante, Reinji ota son gant et ses gardes pognets avant de leur déchirer les habits d'un large coup de griffe avec interdiction de se changer. Le dernier se fit simplement casser le nez pour avoir parler un peut trop fort et protester sur les chatiments.
Maintenant a ton tour.
Il regarda la 5me, c'était une femme, elle avait des attributs de fenec, mais elle n'allait pas etre puni, non elle avait la taille et la corpulance de la neko, il passa les mains sur ses courbes en se rememorant la ligne de sa neko et hocha de la tete.
Tu a 50 secondes pour aller a ton casier et m'amener ta tenue de rechange, si tu n'y arrive pas, tu me donnera ta tenue actuelle, TOUTE ta tenue et travaillera comme ca, sans te changer jusqu'a la fin de ton service.
Elle ne chercha pas, ne dégluti meme pas sous la menace et rapliqua moins de 50 secondes plus tard avec ses habits de rechange dans les mains.
Merci.
Il entra, sans faire attention a la fenec langue pendante devant lui et referma sechement. Tous reprirent leur places, les deux renardes étaient rouge de honte de voir leur courbes ainsi dévoilé, peut etre qu'elle retiendront cette lecon. Le vieux loups lui, donna son vetement a l'esclave
Mets le, c'est moins dégradant que de porter cet habit ridicule, une fois chez toi, tu me passera une comande de vetement et je te ferais venir du sur mesure.
Elle ne faisait rien de mal, il la traitait bien, c'était son deal, pour l'instant il l'honorait comme il se devait.
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Son maitre s’approcha d’elle et lui enleva la cape qui la couvrait, la jeune femme eut un léger sursaut de peur mais se laissa faire se demandant ce qui allait lui arriver mais apparemment il voulait juste voir ses mesures. Cela ne l’empécha pas de frémir légèrement tandis que les mains de son maitre parcourait ses courbes. Il s’approcha ensuite du mur et fit tomber un lit encastré avant de sortir de la pièce.

Elle s’assit d’abord sur le lit comme il lui avait dit mais sa curiosité était plus forte elle alla près d’une vitre et regarda dans le bureau d’à coté ce qu’il s’y passait. Quatre policiers dont deux femmes avaient l’air de se faire passer un sérieux savon, en voyant son maitre dans une telle colère contre ceux qui l’avait insulté elle ne put retenir un sourire de satisfaction. Une fois le sors des quatre réglé il parla à une troisième femme qui partit en courant et revint quelques secondes plus tard avec une pile de vêtements propre. Il fit ensuite demi tour et se dirigea vers son bureau. Kurumu reprit sa place sur le lit avant qu’il ne rentre et attrapa les vêtements qu’il lui tendait.


« Merci maitre »

La jeune fille se leva il fallait maintenant qu’elle se change, elle commença à déboutonner sa robe en prenant soin de rester de dos, lorsque celle-ci tomba son maitre put voir qu’elle ne portait rien en dessous, encore un ordre du marchand, sa peau était blanche et sans imperfection, elle se sentait gêné d’être nue comme ça mais après ce qu’elle avait connu ce n’était pas grand-chose. Elle fut ravie de retrouver de vrai vêtements et se dépêcha de les enfiler, la taille était bonne. Une fois habillée elle se retourna vers son maitre qui put pour la première fois la voir sourire.
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Kurumu avait vite repris sa place pour ne pas se faire engueuler d'avoire regarder par la fenetre, il n'y avait pas de mal, elle ne voyait que la facette de son maitre la plus autoritaire. Il la regarda rougir en le remerciant, c'était juste un uniforme a peut pres a sa coupe, il n'y avait pas de quoi le remercier. Il s'avanca vers son bureau alors qu'elle était en train de se changer, face a un coin de la piece. Elle était pudique et reservé, c'était bon signe, meme si Renji ne préta pas grande attention a sa nudité. Au moment ou la derniere agraphe de son bustier céda, la robe tomba au son du cliqueti de l'armure de son maitre. Il ne la regardait meme pas, c'est pas qu'il s'en moquer, juste qu'il n'était pas spécialement attiré par les partiques humains, elle voulait lui montrer son corps? Elle se serait mise faca a lui, l'oeil malicieux et le sourire au levre avant d'arracher sa tenue de soubrette.
Ca te vas?
Il était toujours de dos, ne parlait pas plus que de raison. A son tour, lui aussi se deshabilla, posant ses gants sur l'étagere ainsi que ses gardes mains. Son torses d'armure pesant facilement dans les 40 kg fut retirer comme une chemise en lin, traduisant l'habitude et les muscles puissants allant de paire. une fois la plauqe retiré, il la posa sur un manequin en fonte et en bois avant de s'attaquer a ses jambieres et cuissardes qui s'enleverent en desanglant l'arriere. En peut de temps, on était passé du commissaire dhef de la police de l'ile a un loup simple, musclé, marqué par de multiples cicatrices, portant de simples chausses en laine épaisse renforcé de cuir et une cote de maille camoufflant une chemise de lin.
Voila, ils sont changé, mais pour finir son travail de déshabillage, notre loup a besoin d'aide, il n'arrive pas a faire lacher les attaches de sa cotes. oui, ces machins la s'enreillent souvent, c'est l'un des soucis de ce moyen de protection. deux fois plus efficasse qu'un pare balle mais bien plus dur a retirer quand il fait des sienes.
Kurmumu? Pourais tu me defaire les agraphes s'il te plait, j'ai un petit souci la....
Il détestait dépendre des autres, c'était pour lui une marque de sa faiblesse. Evidement, il ne se leurait pas, il savait qu'il avait atteint la moitié de son existance, c'était donc un point d'honneur qu'il mettait a passer pour une persoone autonome, il avait besoin du crédit de ses hommes, mais bon, apres avoir severement réprimendé les 4 récalcitrants a la discipline d'une poigne de fer, il avait encore pas mal de jours de vaillance devantlui.
Je suis désolé de t'abaisser a simple habilleuse, mais bon, je n'ai pas franchement le choix, si je ne veux pas crever de chaud.
Sa confiance envers son esclave était des plus hautes, il n'avait pas pris la peine de cadenacer les armoires a mattraques et son armurerie, si elle le voulait, elle pouvait prendre une arme en faire un otage et troquer sa vie contre sa liberté, mais son sourrire face a l'attention banale de son maitre lui fit comprendre que ce scenario n'arriverait pas. Et puis c'est pas comme si elle lui avait couter quelque chose, si elle faisait ca, il la tuerais sans une ombre d'hésitation et avec une rapidité digne de son rang de tueur dans la chaine alimantaire
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Une fois habillé plus convenablement Kurumu regarda son maitre, celui-ci défaisait son armure, il n’avait même pas cherché à en profiter quand elle s’était retrouvé nue, alors qu’il aurait très bien pu profiter d’elle, cela la rassura un peu plus il était froid mais ce n’était pas un monstre violent comme son ancien maitre. Elle profita du temps qu’il se déshabillait pour s’approcher des vitrines et regarder les armes qui y était exposée. Elle regardait simplement avec curiosité l’idée de s’en emparer ne la traversa même pas.

Kurmumu? Pourais tu me defaire les agraphes s'il te plait, j'ai un petit souci la....

La voix de son maitre lui fit tourner la tête, apparemment il avait un léger problème avec sa tenue.

« Bien sur maitre »

Elle s’approcha de lui, ravie de pouvoir se rendre utile et commença à dégrafer sa cote de maille, les agrafes se détachèrent avec difficultés mais elle y parvint tout de même.


Je suis désolé de t'abaisser a simple habilleuse, mais bon, je n'ai pas franchement le choix, si je ne veux pas crever de chaud.


« Ne vous excuser pas j’ai été rabaissé à pire que ça ce n’est rien »

Elle avait dit cela simplement, elle ne cherchait pas à se faire plaindre mais c’était la vérité après tout ce qu’elle avait subi servir d’habilleuse ne lui semblait pas du tout rabaissant.

« Maitre je peux vous posez une question ? Pourquoi m’avoir choisie chez le marchand plutôt qu’une autre ? Je sais qu’en principe votre race n’aime pas la mienne »


Voilà elle venait de prendre la parole par elle-même et de lui poser une question c’était déjà un grand progrès pour elle mais vu qu’il voulait qu’elle parle elle avait décidé de prendre le risque d’ouvrir la bouche. Elle espérait juste que sa question ne le dérangerait pas
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Maitre, voila une situation assez déroutante, surtout lorsqu'une néko vous le dit, encore, c'était pas la premiere fois, mais cette fois, il avait pleinement entendu, il n'y avait pas le vent dans ses oreilles ni le sang dans ses tempes a cause de la colere,il l'avait clairement entendu lui dire maitre. Bon, c'est vrai en meme temps, elle est son esclave et ne lui a rien couté en plus. Il la laissa faire, elle se débrouillait bien avec cette cote. Bien qu'il put la sentir forcer par moment dans un gémissement ou plus un grognement sourd pour faire sauter des mailles mal placé dans les agraphes. Elle semblait accepeter sa condition d'esclave, c'était peut etre mieux ainsi, Renji n'était pas du genre a se laisser tourner en bourique, mais plus de celui d'une personne posé, occupé par les années de travail.
Elle assura alors a son maitre que ce n'était rien, qu'elle avait vue pire. Là, il tombait d'accord, les 4 réprimendé avaient parlé d'une putain bon marché qui avait la couche facile et qui ne disait jamais non a ses clients. En plus, son etat de soumition était simple a comprendre, le rapide coup d'oeil lorsqu'elle mit son dos a nue ne laissa qu'une legere marque du coup de fouet du rat de ce matin, mais aucune autre cicatrices. Elle avait due en baver avec le précedent maitre, pour accepter de coucher sans rien dire, elle avait due se faire violer par puniton... Ce genre de comportement est celui qui révulse le plus le vieux guerrier, probablement a cause de ses valeurs. Mais il chassa les idées noires et colériques de son esprit, ca serait con qu'il s'enerve et qu'elle en patisse pour rien.
Vint la question! Enfin! Elle se mettait a parler, a s'exprimer d'elle meme, de toute facon c'est dans ses genes elle ne pourra pas faire autrement, meme un dressage draconien et millitaire ne caleme pas un meoori. Alors comme ca elle voulait savoi pourquoi les deux familles avaient une relation assez ambigue et des querelles intestines...
Tu connais Roméo et juliette Kurumu? C'est l'histoire de deux familles qui se déteste depuis si longtemps qu'ils ont oublié pourquoi. Et bien dans le cas des plus jeunes de nos deux clan raciaux c'est ca. Mais je sais a peut pres pourquoi c'est pas vraiment l'amour entre nous deux.
Il sinstala confortablement dans son fauteuil de cuir, visiblement allegé par la perte de son armure et déposa sa lame sur la table. Il croisa le regard de la jeune femme et conserva le ton de la conversation.
Tu sais j'ai pres de 80 ans humains, je me souviens que ca a commencé a cause de nos races animales, tu vois, les chiens chassent les chats, les lions chasses le chien, les loups saignent les lions, c'est juste une histoire de querelle intestine par rapport a ce. Ensuite apres notre humabisation, hé bien...on a eut des penchant totalement diffetents. Nous les Kaijuu avont eut le calme, l'efacement et la brutalité, vous les Meicoo avaient eut l'instinct festif tres en avant et pacifique. Tu vois meme nos carracteres nous opposent.
Il s'approcha lentement du visage de Kurumu qui était face a lui et lui dit en lui regardant ses courbes de policieres
Tu vois, avec cet uniforme tu es une Kaijuu, c'est vraiment stupide on se déteste mais on a besoin l'un de l'autre pour vivre...Si je t'es prise c'est a cause du fouet, de ta tenue de soubrette trop courte qui m'a donné une tres agréable vue et du fait que je chercais a faire la conversation avec une neko....Regarde : on conversa mainteant
Il lui souriait, son sourire était neutre, tout comme ses paroles, que voulez vous on ne change pas en une seconde, mais bon, il était passé de froid a neutre, c'était un bon début. Mais surtout, il l'appreciait, elle n'était pas une pipelette, ni une fille trop reservé, elle lui ressemblait un peut en parlant quand elle a un truc a dire, se taisant quand il n'y a rien...Une chique fille
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Kurumu fut soulagée de voir que son maitre allait répondre à sa question, il semblait satisfait qu’elle se soit décidée à parler, il s’installa confortablement dans son fauteuil et commença à lui expliquer les raisons de la haine entre leur race, tout cela se resumait pour elle à une simple histoire de différence et d’intolérance. Leur race étaient différentes et n’acceptaient pas l’autre à cause de cela, ça lui paraissait un peu idiot mais elle était encore jeune et beaucoup de chose lui restait inconnue.

Quand il lui répondit qu’il l’avait prise à cause de fouet, de sa tenue et du fait qu’il voulait faire la conversation elle resta songeuse, alors il l’avait prise parce qu’il voulait… parler. Cela lui paraissait totalement incroyable, après tout les viols qu’elle avait subi qu’un homme veuille simplement parler avec elle lui semblait étrange. Il ne l’avait pas regardé se déshabiller, il n’avait pas essayer de la toucher. Elle se rendit alors compte de son raisonnement et réalisa qu’après toutes ces années le viol lui apparaissait presque comme étant une chose normale, cela la dégouta.


« Alors vous voulez juste qu’on parle ? c’est tout ? »

Elle lui posait la question car elle n’arrivait pas à le croire c’était tellement simple, pas de coup, pas de viol juste parler, elle avait du mal à comprendre.


« Et comment voulez vous que je vous apelle, dois-je continuer à dire maitre ou préferez vous un autre nom ? »
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C'était amusant, il racontait juste un truc banal mais la jeune neko semblait completement perdu. Et dire qu'il ne parlait que d'une banalaité, mais, meme si elle semblait étonné qu'il parle simplement sans essayer d'abuser d'elle, c'était sans doute la chose qui paraissait le plus étrange pour la travestie en policiere. Elle avait perdu l'habitude de poser des questions, il l'avait remarqué, meme de dos. Elle avait sursauté en parlant la premiere fois comme si elle raidissait ses muscles pour prévoir un coup qui n'est pas venu. C'est vrai, il voulait simplement une compagne, un jouet sexuel, il y en a plein le Mugen, alors pourquoi chercher a en former un? Non, si elle veut du sexe, elle n'a qu'a demander. Mais il faut avouer que cette pensé lui a tout de meme traversé l'esprit, il avait furtivement regardé ses courbes quand il prenait ses mesures, elles étaient tout a fait appétissantes. Son sourire joyeux quand il lui avait tendus ses habits qu'elle portait maintenant lui avait illuminé son visage, sa voix était douce quand elle l'avait questioné. Non, franchement il ne regretait rien, elle était ce qu'il n'était plus, belle, jeune douce et charmante.
Oui, pour parler, enfin si tu veux faire autre chose, tu peux toujours demander, on verra si je tombe d'accord.
Il eut un leger sourire entendu, il la taquinait évidemment, c'était pas dans son intention immédiate de l'enmener dans le lit qu'il avait fait tomber pour qu'elle s'emitoufle de couverture, et puis il se connaissait, il savait quelle tete il avait et a quel point son corps était ravagé par les combats.
Non, crois moi Kurumu, je ne compte pas t'infliger le fardeau de coucher avec moi...je sais a quoi je ressemble, je ne te force pas a me regarder, je saus au courant que mon corps n'est plus attirant....tu serais a cette endroit il y a 30 ans...tu me tomberais dans les bras...j'étais jeune et beau...
Et oui, notre vieux loup solitaire était en train de devenir mélancolique, il n'avait jamais parlé sur un ton aussi las, c'était comme si Renji en avait marre, marre de ce visage bardé de cicatrices blanches sur son teint ivoire. Non, il était vieux, meme si pour un Ainoko ce n'est pas vraiment vieux, mais son temps avait été long, 50 ans de service c'est long, il ne sera délié de son engagement qu'a sa mort...Sa mort, jamais personne n'aura plus detesté que lui la longévité de sa race.
Se voila legerement le visage de ss cheveux blanc neigeux, il répondit a la deuxieme question
Tu peux m'appeler comme tu veux, mais pese tes mots, je ne te pardonnerais aucun faux pas...
Cette phrase était froide et sans la moindre émotion alors que la precedente avait une pointe de regret. Il était tres serieux, son niveau de suceptibilité était tel qu'il risquait de s'enrager pour un oui ou un non, mais connaissant un peut son passé et le comment élle avait été mise au pas pour devenir une parfaite pute docile, ce qui le répugnait au plus profond de lui meme, Renji tenterais d'user de reserve pour elle, mais rien n'est certain.
Invité
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Oui, pour parler, enfin si tu veux faire autre chose, tu peux toujours demander, on verra si je tombe d'accord.

« Non pas du tout ! Enfin c’est pas que je ne veuille pas, enfin je… »

Elle était en train de s’enfoncer elle s’en rendit compte, elle décida de se calmer et prit deux seconde pour respirer avant de dire le mot de trop et de le vexer. Elle reprit donc d’une voie plus calme


« ce que je veut dire c’est que vous ne me dégoutez pas et c’est vous le maitre je ferais ce que vous me direz mais je ne veut pas que vous pensiez que j’aimais ce que je faisait avant »

Elle espérait s’être rattrapée, elle ne voulait pas le vexer, elle ne voulait simplement pas qu’il puisse penser qu’elle aimait son ancienne vie. Au niveau du sexe elle ne connaissait que la brutalité, elle ne pouvait même pas imaginer que cela puisse être un acte doux auquel on prenne du plaisir. Pour elle le sexe était quelque chose de violent, quand on a connu que ça difficile de penser autrement.

« Ne dites pas ça maitre votre corps montre simplement que vous êtes une personne de courage, vous n’êtes pas vieux, vous êtes fort et vous imposer le respect à tous, être dans votre lit ne serais pas un fardeau »


Elle le pensait il ne la rebutait pas, elle avait couché avec des personnes bien plus vieille que lui, physiquement elle avait du tout voir. Concernant sa dernière question il lui répondit d’un ton qui la refroidit quelque peu. Pourtant elle n’avait rien dit de mal selon elle mais parmi les hommes qu’elle avait connu certain voulaient qu’elle les appelle maitres, d’autres préféraient qu’elle utilise leur prénom certain même lui demandait de les appeler chéri, elle voulait simplement savoir ce qu’il désirait mais vu sa réponse elle s’en tiendrait au « maitre »
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La pauvre Kurumu, elle s'y prenait vraiment mal, mais alors d'une maniere si mauvaise qu'il faillit éclater de rire, un exploit pour cet homme vieux et las de ne connaitre que la crainte. Un peut de moquerie de la part de la neko ou d'ironie ne lui aurait pas fait de mal, elle lui tendait une perche, perche qu'il saisie au vol. Car il avait compris que cette femme n'avait jamais fait l'amour, ne l'avait jamais connu, elle était une victime, victime de la barbarie humaine qui coule dans tout les ainokos, ils sont tous perverti par la partie humaine qui les hybride, une vraie honte, surtout quand on voit les degats qu'on engendre en était a ce point égoiste.
Mais oui c'est vrai, qui n'adore pas se faire violer? Vraiment je reviens je vais demander a celle qui t'a prété ses vetements, elle doit etre du meme avis que toi, on prend pas son pied si on ne se fait pas violer c'est bien connu...
Il arréta et passa son ton moqueur et ironique en un ton un peut tendre mais toujours assez froid, on ne change pas une vieille bete aussi vite, déja il arrive a etre un peut tendre...c'est énorme pour lui
...Non, je me doute bien que tu n'aimais pas ca, je te rassure, personne n'aime la violence dans les rapports sexuels, personnellement quand on acceptait encore de partager mes nuits sans etre payé pour, je n'usais jamais de violence, peut etre un peut de bestialité, mais apres tout on est pas un peut des annimaux?
Ensuite, il planta ses yeux droit devant, laissantses cheveux glisser de son épaule sur ses yeux, il avait une tete d'enterement presque, en fait il réflichissait, jamais il ne s'était vue de cette maniere. Un héro de guerre, il le savait qu'il l'était, mais que ses cicatrices marquent son honneur et son courage, lui pensait plus que sa montrait son incapacité a les éviter...Mais elle devait avoir raison, c'est une chose qu'il avait appris en une vie si longue et si remplie: les femmes ont toujours la bonne impression.
Je te remerci de m'adresser de telles éloge, mais je ne suis pas sur que tout le monde pense comme toi, mon nom et ma poigne imposent le respect et certainement une grande crainte, tu a bien vue, je sais que tu t'es déplacé, on ne trompe pas le nez, comment un ours pourtant capable de me briser sans effort a courbé l'échine...C'est la peur plus que mon charisme qui fait ca, la peur que si il leve une patte je la lui tranche sechement.
Maia a voir la mine de sa neko, car il la voyait a travers sa chevelure, elle semblait plus que refroidi par les paroles sur les appelations, lui ne voyait pas son nom ou meme un mon chéri ou mon coeur, il voyait le péjoratif, les sac a puces, cabot et autres insultes que ses comparses félin affectionaient tellement.
Mais dis moi, juste comme ca, tu comptais m'appeler comment? Pas sac a puce ou une autre dégradation de ce genre j'espere...
C'est étrange, une seule question a rendu le Kaijuu bavard, il faut avouer qu'il en a besoin, il ne donne que des ordres clair et conscit. C'est son mode de vie depuis son enfance, elevé dans les combats pour montrer sa valeur, les kaijuu sont une société a part, ce n'est qu'apres s'etre gorgé des connaissances humaine que cette famille assez bagareuse a trouvé une socité ancienne qui suivait ses principes et son mode de vie, ils avaient une grande similitude avec l'organisation spartiates. C'était sans doute involontaire, mais une citée de guerrier, immité par une famille de guerrier, c'était en fait assez probable....Tout ca pour dire, que notre vieux loup a été elevé a la dure, il n'a jamais aimé etre dénigré par rapport a son espece qu'il trouve des plus nobles. C'est un loup, il est fier, legerement orgueilleux et c'est un vieux suceptible...
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Kurumu soupira légèrement de soulagement en voyant qu’elle ne l’avait pas vexé, il alla même jusqu'à lui répondre d’un ton ironique qui la rassura, il avait comprit qu’elle n’avait jamais connu l’amour, d’ailleur depuis qu’elle avait quittée sa mère le mot amour était sortit de son vocabulaire. Elle était jeune mais elle avait déjà subi tellement de chose. Il lui dit qu’il n’usait jamais de violence au lit c’était déjà une bonne chose au moins elle savait que si elle se retrouvait dans son lit il lui ferais pas de mal.
Il resta pensif quelques instant réfléchissant à la façon dont elle le percevait


Je te remerci de m'adresser de telles éloge, mais je ne suis pas sur que tout le monde pense comme toi, mon nom et ma poigne imposent le respect et certainement une grande crainte, tu a bien vue, je sais que tu t'es déplacé, on ne trompe pas le nez, comment un ours pourtant capable de me briser sans effort a courbé l'échine...C'est la peur plus que mon charisme qui fait ca, la peur que si il leve une patte je la lui tranche sechement.

Apparemment cela lui faisait plaisir qu’elle le perçoive comme un être courageux, il semblait las que tout le monde ai sans cesse peur de lui, mais c’était vrai qu’il était impressionnant, pour sa part elle avait déjà moins peur qu’a leur rencontre, il était impressionnant et plutôt froid certes mais elle ne le trouvait pas méchant.


« Ils ont peur de vous parce qu’ils savent que vous êtes un grand guerrier et vous avez plus d’honneur qu’ils n’en auront jamais, vous n’êtes pas perverti comme eux, vous m’avez prise chez ce marchand qui me maltraitait, vous m’avez prêté votre cape pour que je n’ai pas froid, vous m’avez donné des vêtements et vous n’avez pas essayé d’abuser de moi. Vous avez été bon avec moi qui ne suis pourtant qu’un chat. »

C’est vrai elle lui était reconnaissante de ce qu’il avait fait pour elle. Revient ensuite l’histoire du nom qu’elle pensait lui donner.


Mais dis moi, juste comme ca, tu comptais m'appeler comment? Pas sac a puce ou une autre dégradation de ce genre j'espere...

Elle ouvrit la bouche de surprise, elle ne pensait pas qu’il avait pu croire cela.


« Je ne me serrais jamais permise de vous appeler d’un nom comme ça, mais avant certains hommes voulaient que je les appelle maitre, d’autre préféraient que j’utilise leur prénom, d’autre encore préférait les surnoms comme mon chéri, je voulais juste savoir ce que vous vouliez »
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Une personne d'honneur, peut etrte que la neko avait bien cerné le personnage de son maitre. Il ne se regardait pas sous ce jour, il se dépeignait comme une brute sanguinaire faisant reigner la terreur dans ses rangs, en fait c'est juste qu'il irradiait l'honneur de guerrier...En meme temps c'est vrai, son armure imposait a sa stature une puissance incomparable face aux autres, on aurait dit qu'il était invincible enfin, il était ce qu'il était, une arme au service de la justice, mais sa justice, il avait sombré dans la corruption a cause de son salaire de misere et le fait qu'il n'a aucune distinction de la part de ses peres pour avoir sauver leur ile de la destruction humaine. Bien sur, il n'a pas négocié avec les humains le traité de cecez le feux mais il a oeuvré pour gagner la guerre, son corps en porte encore les stygmates

Mon chéri? C'était pas vraiment un autre nom, mais il ne serait pas desagréable de l'entendre de la bouche d'une femme, il aimait bien ce mot, mais ce mot était mort il y a un bon moment, c'est ainsi, il a accepté de sacrifier sa personne pour les 7 familles. Son corps a recut les blessures que son monde n'a pas eut. Il en était fier.

Dans un geste lent, il se leva et alla chercher un verre de café, il en posa un sur la table a l'intention de la neko, par ce geste il lui faisait clairement comprendre que ce n'était pas un homme a prendre les esclaves pour des bonnes a tout faire. Il savait encore se débrouiller seul, mais pour parler c'est comme pour faire l'amour, il faut etre au moins 2

Tu sais, te donner une laine, te sortir d'un maitre un peut trop débile qui brave l'autorité et t'offrir une tenue descente c'est le minimum que je puisse faire, tu te souviens de l'accord, tu ne fais rien de mal, je te traite bien, tu déraille tu es punie. C'est assez simple comme lien.


Il parlait toujours sur son ton détaché et impersonel, cette attitude poouvait choquer voire blesser les autres, il s'en foutait, il parlait comme ca depuis son enfance, depuis son apprentissage. Lentement, il buti son café avant de s'assoir sur le bord du bureau et de regarder sa neko, pas méchament bien sur, mais toujours avec une certaine froideur qui se morcelait au fil de la conversation.

Kurumu? Moi qui ne suis qu'un loup, crois tu qu'en un autre lieu et dans d'autres circonstances tu te sentirais honoré de partager mes draps comme tu l'as dit plus tot? Ou penserais tu comme toutes les femmes que je ne suis qu'un vestige du passé, une relique abimé et immonde?


C'était posé de maniere claire et directe, il exigeait une réponse tout aussi franche que cette question. Elle pouvait dire oui ou non, il ne se vexerait, le but de cette question était de relancer la conversation et d'approfondire la personalité de Kurumu. Loin de lui l'idée de tendre un piege pour la violer en cas de oui et la battre en cas de non. Pour l'instant, il lui faisait conversation, si elle voulait prolonger cette conversation dans un lit, il ne s'y oppoerait pas, bien au contraire, le charme de cette femme était grand, meme si elle ne savait plus ce que voulait dire amour et désir. Pour elle il n'y avait que viol et coups. Elle n'aurait jamais l'un, mais peut etre l'autre, on ne peut rien faire contre la discipline millitaire. Si elle comet une erreur, une taloche ou un coup de trique la remetra dans le droit chemin, mais pas plus, on ne frappe pas pour le plaisir, on frappe pour corriger et une seule fois ca suffit...le geste en lui meme suffit, pas besoin de frapper de toutes ses forces, c'est sugestif. Ca peut de maitre le comprennent, rouer de coup ou en donner un seul a le meme effet, sauf qu'il économise les pertes dénergies et qu'il preserve l'integirté de l'apprenti fautif.
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Kurumu regarda son maitre se lever pour aller se servir un café, il prit deux verres et en posa un devant elle à son attention, visiblement il n’attendait pas d’elle qu’elle fasse les choses à sa place, cela ne l’étonna pas vraiment il n’avait rien d’un homme aimant se faire assister au contraire c’était plutôt un solitaire ne faisant confiance qu’à lui-même. Elle prit son café et le bu lentement pendant qu’il parlait. Elle comprit que pour lui ce qu’il avait fait n’était rien mais pour elle c’était énorme, il l’avait fait passer du stade d’objet sexuel à celui d’individus, cela faisait longtemps qu’on ne lui avait pas parlé comme étant un individu à part entière et pas un vulgaire jouet. En tout cas la règle qu’il lui imposait était simple comparé à toute celle qu’elle avait du suivre. Cependant elle se posait néanmoins une question, question qui l’empêchait de se sentir totalement rassuré.

« Maitre vous désirez que nous parlions mais vous êtes quelqu’un d’occuper que devrais-je faire en dehors de cela ? «

C’était vrai ils n’allaient pas passer leur journée à parler, alors que ferait-elle le reste du temps ? Elle l’avait encore appelé maitre car il ne lui avait pas dit sa préférence pour le nom qu’elle devait employer dans le doute elle préférait sans tenir à maitre.

Kurumu? Moi qui ne suis qu'un loup, crois tu qu'en un autre lieu et dans d'autres circonstances tu te sentirais honoré de partager mes draps comme tu l'as dit plus tot? Ou penserais tu comme toutes les femmes que je ne suis qu'un vestige du passé, une relique abimé et immonde?

Elle baissa la tête non pas de peur elle était simplement en train de réfléchir. Qu’aurait-elle fait d’en d’autre circonstance ? Bonne question. Ce qu’elle pensait de lui n’avait rien à voir avec ce qu’elle avait subi, elle avait simplement été élevé comme cela elle avait apprit à respecter ceux qui s’était battu pour leur ile.

« Je pense que si les circonstances avaient été différentes la seule chose qui aurait pu me gêné est que vous soyer un loup mais avec ce que j’ai vécu je sais maintenant que la cruauté ne dépend pas de l’espèce, mon ancien maitre était une panthère et cela ne l’a pas empêcher de me faire subir les pires choses. "
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C'était étrange, l'un comme l'autre avait de l'influance sur le comportement de son interlocuteur, Kurumu avait délié une lange depuis trop longtemps coincé derriere la machoire de son maitre et la jeune esclave avait récuperer un peut de courage et de saveur a la vie. C'était assez bien de voir ca; en fait, Renji trouvait cette atmosphère rassurante, le fait qu'il arrive a retrouver un peut de son passé, qu'il degelle son coeur et sa voix a chaque seconde passé en presence de cette néko lui rendiat espoir. Oui, espoir. Maitre de cette femme il pouvait en abuser comme il le voulait, elle n'aurait pas son mot a dire, d'ailleurs, il abusait d'elle en ce moment, il jouissait de sa compagnie sans la moindre gene, sans se soucier de ce qu'elle voulait faire. Tiens, c'est vrai ca....Le Kaijuu avait acheté cette femme pour l'arracher aux morsures du vents et aux lanieres du fouet, quoi que il ne l'a pas vraiment acheté mais plus prise sans demander l'avis du marchand, mais a part lui tenir compagnie il ne savait pas ce qu'il pouvait faire.

Oui, pour lui, coucher avec une ainoko represente le risque de se retrouver avec un enfant, mais il ne se trouvait pas assez digne d'avoir un enfant. Elle trouvait que son maitre était un homme d'honneur, c'est exactement ce qu'il était. Il avait demandé son chef en duel et avait perdu, dignement, avec honneur mais il restait sur une défaite. En ayant perdu, il ne se considerait pas digne d'engendrer un enfant et de faire perdurer ses genes. C'était son choix, mais bon, la neko avait délié sa langue qui s'était presque jamais montré aussi pendu depuis son enfance, peut etre qu'elle lui ferait reconsiderer la question.

Elle lui répondit ensuite, pas de crainte, pas de honte, pas de peur, une voix calme et franche. Kurulu ne serait pas honoré de partager ses draps, enfin plutot géné parce qu'ils seraient sujet a la rancoeur maladive enrte leurs especes mais qu'a part ca elle ne dirait pas non et qu'elle aprécierait. Cette opinion le laissa dubitatif, il regardait son esclave sans croiser ses yeux, il réflichissait, est-ce vrai? Estce qu'il est désirable et conserve un charme, meme avec cette armée de cicatrice sur son corps et dans son ame? Peut etre.

Sans répondre a sa question, il posa sa main sur celle de la neko qui buvait son café avant de l'en écarter et de l'embrasser, rien de méchant, un simple baiser, un éfleurement de levres qui ne dépassa pas la seconde avant qu'il ne se leve et dépose sa chemise de lin.

Il lui tournait le dos, laissant la chemise simple tomber sur une des armoires, exhibant son corps plus que musclé par des années d'entrainement et de travail, rien a voir avec les muscles déconfits des humains de son age, il avait la carrure d'un humain de 20 ans mais avec une longue chevelure blanche, des impacts de balles sur toute la partie abdominale, une cicatruce noueuse sur le trapeze gauche, cadeau d'un félin qui lui avait arraché de ses croc une bonne bouché de chair et la trace entre ses homoblates, une sorte d'étoile au coeur enfoncé dans son dos et noirci comparé au brin des contours de sa cicatrice. C'était un vestige de son amour perdu pendant la guerre, une bayonnette planté juste a coté de sa colonne. Elle s'été brisé et une partie était resté planté dans son dos, l'infectant, lors de la gangrene une partie de la chair fut emputé et le reste cotérisé au fer blanc. Autant dire qu'il n'a pas de bon souvenir de la mort de celle qui lui avait ouvert son coeur en ravissant le sien.

Heu...ce que tu pourrais faire? Si tu veux tu peux travailler ici en temps que secretaire ou alors rester au manoir et faire du shoping, je te laisse une relative liberté, du moment que tu sais t'en montrer digne.


Il s'allongea sur les draps et poussa un soupir de plainitude et de soulagement a la fois, dieu qu'il était bien. Maintenant il verrait si elle est toujours dépendante de son ancienne vie, apres tout, il ne la forcerait a rien, elle fait ce qu'elle veut du moment qu'elle n'empiette pas sur ses plates bandes
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A chaque instant qui passait Kurumu se sentait mieux sa peur disparaissait petit à petit, son maitre lui-même semblait se détendre il était moins froid avec elle. Elle avait vraiment eu peur quand il l’avait prise chez le marchand, ce demandant ou elle allait se retrouver mais finalement elle était plutôt satisfaite. Déjà il se montrait bon avec elle et la traitait bien ce qui était une très bonne chose mais surtout étant donné la crainte qu’il inspirait personne n’oserait l’embêter de peur de le contrarié ce qui la rassurait énormément. C’était exactement ça elle se sentait protégé, le temps ou chacun pouvait disposer d’elle à sa guise en échange d’un simple service rendu à son maitre était fini. Pendant près de 7 ans elle avait servi de moyen de paiement, son maitre l’envoyait systématiquement chez les gens à qui il devait quelque chose, parfois il la donnait même à un autre esclave pour le récompenser. Elle n’était pas seulement esclave des envie de son maitre elle était aussi l’esclave de ses serviteurs. L’esclave des esclaves, la position la plus rabaissante qui soit.

Son maitre s’approcha d’elle et écarta la main ou elle tenait son café, il pencha son visage vers le sien et l’embrassa très légèrement, elle avait à peine senti ses lèvres sur les siennes, cela n’avait duré qu’une seconde et pourtant elle ne put s’empêcher d’avoir un très léger sourire. Il lui tourna ensuite le dos, retirant sa chemise, dévoilant ses cicatrices celle de son dos était particulièrement moche à voir, elle regarda son corps musclé sans aucun dégout là encore elle avait le souvenir d’avoir vu pire.
Mais vint ensuite le point qui l’intéressait le plus, ces attributions.


Heu...ce que tu pourrais faire? Si tu veux tu peux travailler ici en temps que secretaire ou alors rester au manoir et faire du shoping, je te laisse une relative liberté, du moment que tu sais t'en montrer digne.

Elle resta songeuse, avoir un vrai travail lui ferait plaisir mais travailler au commissariat ne lui disait rien, en particulier à cause des policiers qui ne manqueraient pas de lui faire des réflexions ou d’essayer d’abuser d’elle dès que leur chef aurait le dos tourné.

« je crois que ce serais mieux que je reste au manoir »

Il alla ensuite s’allonger sur le lit, sans rien dire, avec son ancien maitre elle aurait comprit ce que cela voulait dire mais avec lui elle ne savait pas quoi faire elle se décida quand même à aller s’asseoir près de lui, elle en avait marre d’être debout.
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Alors que Kurumu se détendait, son maitre lui déposa un furtif baiser, ce qui, au lioeux de la faire reculer et de la braquer la fit sourire, elle devait sans doute comprendre que c'était sa maniere tendre de lui dire merci, il l'observa du coin de l'oeil alors qu'il avait mis sa blessure la plus genante en vue, celle qui simbolisé la mort de son amour, dans tout les sens du terme. Elle en avait vue des pires...C'est pas vraiment comme cela qu'il faudrait le présenter. Ses blessures étaient duent a la guerre, a la défence du pays, elles étaient pas jolie a voire, ne seraient pas la si il n'avait pas eut une envie suicidaire car oui, ses balafres sont les restes de ses envies de mort.

L'étoile dans le dos, c'est la blessure la plus ancienne de son corps, il avait perdu sa promise dans les premiers mois du conflit, apres il ne voulait que mourrir, acceptant les missions suicides et recouvrant son corps de cicatrice. Plus il provoquait la mort, plus elle le fuyait. Aujourd'hui encore elle le fuit, ce guerrier est connu dans toute la ville, il est un héro, mais etre un héro ne paye pas, c'est bien regretable.

Il se coucha en repensant sa tout ca, se replongeant dans les fantomes du passé et fut tiré de sa reverie par un creu cans le matelas. Elle venait de le rejoindre. Elle était assise a ses cotées. souriante et confiante. Lui avait envie de rien, juste de lui faire plaisir, il était heureux d'avoir une amie, il la voyait comme ca.

Dis moi Kurumu, si je te demande de m'offrir une fois, juste une, pour me rappeler ce que c'est de le faire avec une personne a laquelle on a de l'attachement tu accepterais?


Sa voix n'était pas froide, mais plutot chaleureuse. Il lui posait une simple question, mais en meme temps il voulait qu'elle dise oui. D'un autre coté, un refus ne l'aurait pas dérangé, elle ne voulait plus etre comme avant, ne plus se faire violer pour un oui ou pourun non....C'est compréhensible. De toute maniere, Renji est quelqu'un de tres patient dans ce domaine la, il compense cette patience par son impatience lors de ses ordres.

C'est une simple question, elle ne t'engage a rien je te rassure


Son ton était legerement géné et il rougissait un peut! L'ennui c'est qu'avec ses cheveux, on le voyait de suite.
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Dis moi Kurumu, si je te demande de m'offrir une fois, juste une, pour me rappeler ce que c'est de le faire avec une personne a laquelle on a de l'attachement tu accepterais?

La jeune femme regarda son maitre un peu surprise, c'était la première fois qu'on lui demandais son avis pour ça, d'habitude les hommes se servaient sans demander, elle y était tellement habituer que cela lui faisait bizarre qu'il lui demande son consentement. Pour la première fois 'était à elle de décider si elle voulait ou non d'un homme.

Elle le regarda un instant, pour être honnête elle hésitait, d'un coté elle avait peur car elle n'avait connu que des rapports violent mais voila une bonne occasion de voir ce que ca fait de coucher avec un homme sans être battue, d'un autre coté il lui avait dit qu'il avait de l'attachement pour elle et cela lui faisait vraiment plaisir. Et puis elle n'avait jamais prit de plaisir à faire cela la encore c'était peut être l'occasion de découvrir le coté agréable de la chose.

Son maitre du voir qu'elle hésitait car il ajouta qu'elle n'était pas obligé, elle le vit rougir et n'en comprit pas vraiment la raison. Finalement elle décida d'accepter après tout qu'avait-elle à perdre ?


"oui je veut bien"


Elle ne dit pas plus n'en voyant pas l'utilité et attendit la suite
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Songeuse et assez perplexe, la jeune femme resta encore un long moment sans répondre, mais ce fut suffisant pour faire tomber les émotions de ses joues. Elle restait assise a ses cotées, elle ne savait pas si elle devait dire oui ou non, ou encore ne pas répondre. C'est vrai, elle était esclave, un ordre et elle obéirait, les termes du contrat étaient simple, soit gentille et obéissante et je te donne ma laine pour te proteger du vent, refuse d'octemperer et je te traine dans la neigne fraichement tombé entierement nue. C'est le niveau de contraste qu'il lui avait exposé. Mais bon, il lui avait posé une simple question, est ce que oui ou non elle accepterait de partager ses draps si il le lui demander, il a bien préciser une fois. Ce qui veux dire qu'ellle n'aurait plus ce genre de demande de la part de son maitre, elle ferait ce qu'elle voudrait. Si elle voulait retourner le voir, elle pourait, lui ne l'y obligerait plus.

Alors qu'il s'appretait a se relever pour s'étirer et d'habiller pour partir, elle lui dit oui, elle lui dit qu'elle accederait a sa requette.C'était de loin la réponse la plus innatendue, elle avait passé ses dernieres années de servitude a etre violé, un non aurait été plus logique. Mais notre loup usa de sa cervelle, peut etre qu'elle avait été violé et passé a tabac, mais c'est l'ancien maitre, ce n'est PAS Kaijuu Renji. Elle devait donc penser comme ca, essayer une fois et peut etre aimer ca.

Dans une grimmace douloureuse, la seule chose qui traversa son visage a part ses cheveux, il posa une main sur la cuisse de kurumu, l'autre sur sa joue et lui répliqua sur le ton de la conversation.

Oui? Tu veux ici et maintenant? je te rassure de suite, c'est insonorisé et verouillé de l'interieur.


Il la caressa avec une douceur infinie, ces mains qui étaient calleuse de manier depuis si longtemps l'épée s'averaient douce malgres le cotérapeux des peaux mortes d'une utilisation répété de cette arme noble. Apres quelques caresses, il vint déposer un baiser au coin de ses levres. Il savait qu'elle ne le trouvait pas atirant, elle n'avait pas l'eclat dans les yeux, c'était domage mais c'était ainsi. Maintenant, elle avait les cartes en main, elle pouvait choisir de l'endroit, de la maniere et meme de la date si elle voulait, Renji n'était pas pressé pour ca, au contraire, il aimait faire durer le plaisir.
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Elle qui n'avait connu que la violence voulait vraiment savoir ce qu'était la douceur même si elle ne savait pas vraiment comment s'y prendre en générale les hommes la jetais sur un lit avant de la violer, elle ignorait tout des préliminaires, des caresses. Le simple baiser qu'il lui avait donné tout à l'heure était nouveau pour elle, bref elle se sentait comme une jeune fille vierge au moment de sa première fois : nerveuse.

Oui? Tu veux ici et maintenant? je te rassure de suite, c'est insonorisé et verouillé de l'interieur.

Elle réfléchi un court instant mais pourquoi attendre ? elle hocha la tête

"oui c'est bien ici"


Elle le laissa la caresser et frémi légèrement sous ses mains elle n'avait pas l'habitude d'une telle douceur. Elle se pencha vers son maitre et prit l'initiative de l'embrasser doucement, elle posa une de ses mains sur son torse musclé et le caressa tendrement cela lui paraissait bien même si ses gestes restaient maladroit. Elle se redressa et enleva ses vêtement se mettant entièrement nue devant lui, elle espérait que son corps lui plairait.
Sa peau était blanche et lisse, elle ne comportait aucune cicatrice ni imperfection contrairement à ce que l'on pourrait croire compte tenu de son passé. La seule chose qui pouvait attiré l'oeil se trouvait au niveau de son avant bras droit, à cet endroit non loin de la pliur du coude, la peau formait un léger relief comme si quelque chose avait été glissé sous la peau. Mais ce n'était pas choquant et la plupart du temps personne ne le voyait
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Dans un sens c'était drole, elle n'avait pas l'attitude d'une femme d'expereince peut etre parce qu'elle n'était guère okus qu'une viere dabs le domaine de ka douceyr. Ekke était tendu, la tete baisse, ne sachant pas que fair, ses mots eux meme dans sa réponse étaient étrangement crispé. Renji se retin d'éclater de rire, il la respectait et l'aimait bien, cette neko était mignone, gentille et reservé, c'était juste ce qu'il voulait Ne se lassant pas de la regarder, il fit un leger mouvement de recul lorsqu'elle vint l'embrasser en douceur, personne n'avait osé faire ca depuis qu'elle était morte. Il avait passé 30 ans sans qu'une femme prenne l'initiative de l'embrasser et trouvait ca normal, il se dépressiait et ne trouvait aucune fierté a sa vie, il avait tout raté, meme sa mort avait été un fiasco, une mission suicide qui aurait due le condamner, mais non, meme la mort avait peur de lui maintenant.

Elle se deshabilla avec lenteur et une sorte d'apréhention, c'était mignon, le chef de la police la regardait d'un oeil presque pétillant, il lui fallait faire un effort pour ne pas rester de glace, si pour lui c'était tout a fait naturel, son attitude et son stoiscisme glacial choquait pas mal de gens qui prenaient ca pour de l'indiference. Mais au contraire, il n'était pas indifferent, c'est juste sa maniere d'etre de ne laisser transparaitre aucune pensé ni aucun sentiment. Il était insondable.

Mais, revenons au corps nue de la neko qui avait la queue qui s'enroulait pudiquement autour de sa jambe. Si elle n'avait pas eut ses viols, elle seraient sans aucun doute devenue une grande séductrice, elle avait l'art de plaire dans sa timidité. Son corps était pur comme la neige, vierge de toute imperfection alors que celui de son maitre était bardé de cicatrices, cicatrice dont il avait honte, oui, il savait qu'elles ne l'attiraient pas particulierement et esperait au fond de lui qu'elle ne serait pas trop dégouté par ce rapport.

Tu es vraiment belle Kurumu....


Un compliment, sur une voix détaché mais un compiment quand meme. Il avait mis plus d'un sens dans sa phrase, il la complimentait sur sa beauté, la perfection de son grain mais en meme temps se reprochait de ne plus etre l'homme qu'il était avant, de ne plus avoir ce corps beau et pur, celui d'un gomme normal et non des guerrier au coeur brisé et aux tendances suicidaires.

Renji se mis en position assise et pris les mains pour faire venir son escllave tout contre lui, il ne pensait pas a faire ca en l'achetant ni meme 20 minutes plus tot, c'était étrange comme sensation. Mais bon, il la coucha qur le lit et se pencha sur son corps, lui caressant tendrement ses courbes avant de passe sur son visage et d'écarter les cheveux de la neko pour l'embrasser et la regarder.

Si jamais tu ne veux pas, si tu es dégouté par mes cicatrices, je ne t'en voudrais pas, je ne veux pas faire ca contre ton gré, pour un viol on peut etre seul, mais pour faire l'amour en général c'est a deux...


c'était elle qui voyait, si elle ne voulait pas de lui par peur ou par dégout, il se foutrait en rogne, mais il respecterait son choix, c'est un loup pas un homme. Mais quoi qu'il en fut, Renji appreciait Kurumu, elle était franche et honnete, c'étiat deux qualités qui lui manquaient cruellement, il avait trouvé la perle rare, celle qui était une compagne de choix, c'est sur qu'il ne s'ennuirait pas avec elle, pas nessaicairement par le sexe, plutot par des discutions ou son carractere et ses qualités donneraient du poid a ses arguments, le sexe, c'est tres secondaire pour ce genre de relation, c'est une sorte de bonus. Et apres tout, il pouvait lui montrer que par la douceur c'était loin d'etre desagréable. Pour le moment, il se cantonnait a la caresser avec douceur et presque tendresse, juste le cou et le visage, il faut prendre son temps quand il s'agit de ca, surtout ne pas ce presser et ne pas brusquer sa partenaire, sinon c'est du viol...
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Son maitre la regarda se déshabiller lentement presque maladroitement, il regarda son corps avant de lui dire qu’elle était belle, ce simple compliment eu pour effet de la faire rougir, elle qui n’était guère habitué à ce qu’on la complimente. Il l’attira contre lui et la fit s’allonger avant de caresser son corps ce qui la fit frémir, elle n’était pas non plus habituée aux caresses.

Si jamais tu ne veux pas, si tu es dégouté par mes cicatrices, je ne t'en voudrais pas, je ne veux pas faire ca contre ton gré, pour un viol on peut etre seul, mais pour faire l'amour en général c'est a deux...

Elle lui sourit en retour il lui donnait encore la possibilité de reculer, mais elle n’en avait pas envie, c’est vrai que son corps était marqué mais elle avait apprit à ses dépend qu’un corps de rêve et un beau sourire pouvaient cacher le pire des monstres, alors peu importe ses cicatrices tant qu’il était doux avec elle cela lui convenait.
Elle redressa légèrement le buste et vint l’embrasser à nouveau toujours aussi tendrement pour lui faire comprendre qu’elle le voulait encore. Ses mains si rugueuse savaient se faire douce avec son corps, pour le moment ce qu’elle découvrait lui plaisait il prenait son temps la caressant doucement, elle tendit la main et lui repoussa une mèche de cheveux pour voir son visage, elle lui souriait elle se sentait déjà nettement moins stressé. Elle passa une de ses mains sur son torse le caressant doucement.
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Par deux fois il lui avait laissé loisir de quitter ses bras et son lit, par deux fois elle avait choisit le lit. Il n'y aura plus de retour en arriere maintenant. Mais elle a néanmoins passé le test de son maitre, oui il la testait: sa premiere question était de savoir si elle obéirait a une demande et non un ordre ou un ordre camouflé, elle y obéirait, du moins si elle trouvait ca normal; le second test était pour éprouver sa volonter de rester sur sa position, elle avait donc du caractere, si elle se braque elle ne reviendra pas en arriere apres une remontrance. Tant mieux! Renji n'aime pas les lunatiques, si elle desobéit elle prendra un coup, si elle revient sur ses actes ou ses paroles elle en prendra un second. C'est assez étrange de punir un esclave qui avoue la superiorité de son maitre, mais il ne cherche pas a s'affirmer en tant que maitre puisqu'il sait qu'il l'est. Non, il cherche a faire de ses esclaves des femme d'honneur qui n'ont pas peur de défendre leur point de vue, au prix de la souffrance. Mais vue sa réaction, elle ne sera pas souvent exposé au second coup.

C'est ainsi qu'elle se montra enclin a continuer, embrassant son maitre et se colant un peut plus a lui, il faudra a cette neko plus d'une caresse pour pouvoir rendre le vieux loup solitaire fou d'excitation. Le désir il l'avait, mais il était endurant et tres expérimenté, ca ne serait pas facile pour une vierge de le combler, oui du point de vue du chef de la police elle est toujours vierge car un viol n'apprend rien a part que de se faire penetrer sans etre excité brule le vagin. Evidemment il n'allait pas faire ca, il allait simplement prendre le temps qu'il faut, il s'occuperait d'elle jusqu'a ce qu'il puisse passer a plus serieux. Après tout, sentir ce corps si jeune et si tiede contre sa peau, c'est en soit un excitant.

Il fut un temps ou il était jeune et beau, un temps ou comme les gaisha japonaises il faisait dévier une femme de ses emeuraudes scintillantes. Aujourd'hui il n'est plus que le fantome de lui meme, son apparence mutilé et meurtri peut attirer encore des femmes, mais moins que son teint pur, ses cheveux d'un blond nordique ni de son apparence moins menacante.Il se connaissait, il savait comment il était jadis et maintenant, franchement, il regretait son désir de mort, sans ce désir, les caresses timides de Kurumu auraient sans doute étaient plus assuré. Le maitre tranquille passa sur le corps nue de son esclave une main experte, elle était incroyablement tendue, il n'y avait que deux solutions pour détendre vite fait bien fait ses muscles crispé par son stress: l'orgasme ou un massage. Allons pour le massage, ca permettra au vieux loup de s'exciter lentement en parcourant la peau de son amante. Il se redressa de toute sa musculature et coucha lentement la jeune femme, elle fut probablement surprise de ce revirement de situation, mais elle devrait s'y faire. La couchant sur le ventre, il l'enjamba, elle devait penser un tas de choses, comme 'va t il me violer? Sera t il comme tout les autres?" ou une autre élucubration de superposition avec son vécu, mais non, rien ne vint dans ses orifices. Il ne toucha meme pas a ses fesses galbé. Ses mains se poserent délicatement sur ses épaules et les masserent, comme si elle pétrissaient de la pate, avec force et douceur. Il la laissa se décontracter lentement avant de descendre le long de la colonne, il muat son massage en douce caresse au fil des secondes où il touchait ce corps sans imperfection. Au final, il s'arreta dans le creu de ses reins, la laissant ronger son frein par son désir, oui il aimait ca, les bondages et les préliminaires. C'est mieux que d'aimer le viol et le smurf style, c'est surtout moins salissant. En pensant aux bondages, le Kaijuu passa son soufle dans le creux du cou de sa compagne et soufla quelques mots de ses levres

Kurumu...est ce que tu aime etre attaché?


Simple formalité bien sur, si il le voulait vraiment il ne demanderait pas l'avis de la neko, mais le vieil homme voulait que sa véritable premiere fois soit un moment de bonheur, autant demander que de prendre sans permission. En attendant sa réponse, les mains caleuses mais doté d'une dextérité montrant l'experience charnelle parcoururent avec délice le dos de son esclave
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Son maitre lui avait laissé plusieurs chance de quitter son lit mais elle avait refusé, elle avait vraiment envie de connaitre enfin ce qu’était le plaisir, même si elle avait un peu peur. Elle ne pouvait s’empêcher de se demander si, après ce qu’elle avait vécu, elle arriverait un jour à prendre du plaisir à faire cela mais au moins voulait-elle essayer.

Il la fit se placer sur le ventre et elle se demanda ce qu’il allait lui faire, elle eu un peu peur mais cependant l’idée de la sodomie ne lui vint pas en tête. Son maitre était une personne d’honneur elle ne l’imaginait pas sodomisant sauvagement une jeune fille sans préliminaires cela ne collait pas avec ce qu’il était.

Elle ne put néanmoins s’empêcher de se raidir un peu attendant la suite, elle n’avait pas vraiment peur de la douleur, s’il lui faisait mal elle fermerait simplement son esprit. Kurumu était assez faible physiquement elle n’avait jamais été bien nourrit mais mentalement elle s’était crée une sorte de carapace, un endroit ou elle se réfugiait en attendant que ca passe. D’ailleurs quand le marchand l’avait fouettée elle n’avait sursauté qu’a cause du bruit mais n’avait pas ressentie la douleur.

Elle sentit les mains de son maitre venir se poser sur elle et commencer à la masser, elle fut surprise de ce geste mais cela ne lui déplut pas le moins du monde, son ses mains expertes elle se détendit rapidement laissant échappé un léger soupir de plaisir. Oui elle était bien ainsi, dans un lit avec son maitre. Elle n’avait d’ailleurs à ce moment précis pas l’impression d’être une esclave.

Kurumu...est ce que tu aime etre attaché?

Son maitre c’était penché et lui avait murmuré sa question, la jeune fille failli l’espace d’une seconde lui répondre qu’il faisait ce qu’il voulait mais elle comprit que ce n’était pas cela qu’il attendait.

« je… non je n’aimes pas ça »

Pour elle être attaché signifiait se retrouver avec des chaines aux chevilles et aux poignets, cela lui rapellait des souvenirs qu’elle préférait oublier.
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Renji avait débuté un massage, mais il se mua en caresses sensuelles, le vieux loup opperait avec logique et une pointe de tendresse. Cette femme voulait autre chose que du sexe, sonin elle se serait pas plein de s'etre fait violé et de ne pas vouloir revivre son ancienne vie, car elle ne se serait pas fait violé et aurait pris plaisir a la violence de ses clients. Or, elle ne voulait plus de ca, juste de la douceur, de la tendresse et de l'amour. Pourquoi pas, apres tout, cela faisait presque 30 ans qu'il s'était interdit l'amour et les sentiments y conduisant, pourquoi pas maintenant, essayer juste une fois d'éprouver autre chose que de l'attirance physique. Mais chaque chose en son temps, pour l'instant, il détendait les muscles de sa compagnes en la caressant avec toute la douceur possible alors que ses baisers tentaient de tranquiliser son esprit et de le détendre.
Elle ne voulait pas de bondage, c'était son droit, le devoir de son maitre serait de respecter sa demande. Il ne l'attachera don pas, pas avant qu'elle ne le lui demande en gage de confiance. Cette pensé de l'attacher le jour ou elle le demandera d'elle meme parce qu'elle aura confiance en lui le réchauffa un peut, toujours vétu de son pentalon, le loup massa sensuellement ses hanches avant de se relever et de s'offrir sa croupe dans une position bien soumise et fmailliere. Kurumu était couché sur le ventre, la croupe relevé et les jambes legerements écarté.
Dommage, a ce qu'on m'a dit, ca rend ceci bien meilleur.
Dans cette position et sous la poigne de son maitre, la jeune femme devait avoir peur, en effet, ses orifices lui étaient offert, facile a prendre, il pouvait la violer comme il le souhaiter, c'est donc ca qu'elle devait voir en premier dans sa position, il le savait et se réjouissait de cette possibilité. En effet, si elle craignait un viol, se faire caresser du bout de la langue ne rendra le tout que bien meilleur pour elle. C'est donc fort de cette envie de plaire et de faire jouir sa compagne que Renji descendi sa tete entre ses fesses, ne respirant pas, pour la surprendre au moment ou sa langue se mis a décrire des mouvements circulaires autour de son anneau de velour, le mouillant legerement et le sentant bouger un peut sous sa langue. Apres quelques tours, la langue entra avec une force assez importante en écartant délicatement les parois qu'elle lechait avec fougue. Oui, le loup était fougueux, ses 78 anées sur cette terre ne l'avait pas rendu amorphe comme un humain mais endurant et plein de courage a la tache. Quelle tache! C'est Kurumu qui allait etre contente. Apres lui avoir fouiller avec fougue et dexterité les entraillles de sa langue, le guerrier descendit les levres sur son intimité pour pouvoir poursuivre sa torture, la langue agile et habitué a ce traitement se faufila entre ses levres alors que les sienes les caressaient avec passion. Notre homme savait y faire, il aimait faire durer le plaisir, laissat son clitoris vierge de toutes caresses bucales pour l'instant. Ses bras et ses doigts caressaient les courbes genereuse da la jeune femme dans un doux efleurement...pourvue qu'elle aime ca et ne se braque pas.
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Son maitre la caressait maintenant sensuellement et Kurumu aimait beaucoup ça, il avait bien comprit qu’elle désirait autre chose que de la violence, elle voulait de la douceur et il lui en donnait. Son corps finit par se détendre, elle se sentait bien, se disant que s’il voulait la violer se serrait déjà fait et qu’il ne perdrait pas son temps à la mettre à l’aise. Elle lui était reconnaissante d’être si bon avec elle, elle ne pensait pas encore au mot amour l’ayant oublié depuis longtemps mais elle appréciait son nouveau maitre.

Il la fit changer de position, la mettant dans une position qu’elle n’avait que trop souvent adopté mais elle se forca à ne pas penser à ça et le fait qu’il ai encore son pantalon la rassurait. Elle se demandait néanmoins ou il voulait en venir après tout il pouvait aussi se servir d’un objet. Chaque seconde qui passait l’inquiétait un peu que faisait-il ?

Elle poussa un cri de surprise au moment ou elle senti sa langue entre ses fesses, elle ne s’attendait pas à cela et pour cause : jamais personne n’avait glissé sa langue à cet endroit de son corps. C’était nouveau, étrange et pas désagréable.
Elle sentit sa langue entrer en elle et se surprit à trouver cela bon mais le meilleur restait à venir, la langue du loup descendit entre ses lèvres pour la lécher doucement ce qui lui procura un léger frisson.

Elle était heureuse de voir que malgré tout elle était capable de prendre du plaisir à ces caresses, elle ferma les yeux pensant uniquement à cette langue qui la léchait et aux mains de son maitre sur son corps. Instinctivement elle se cambra légèrement pour mieux ressentir ce qu’il lui faisait. Elle se trouvait dans une position ou elle était totalement soumise et offerte et pour la première fois cela lui plaisait. D’ailleurs son maitre pu s’en rendre compte par le léger soupire de plaisir qu’elle laissa s’échapper
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