Bon séjour sur Saol Eile

Lorsque Mariko fut sortie du bateau, des personnes l'amenèrent, elle et les autres, a une espèce de marché. Un marché d'esclave! Mariko se mit a trembler comme un feuille ce qui fit enrager la personne qui l'emportais. Celui-ci la frappa pour qu'elle ce calme, le contraire se produisit, Mariko se mit a pleuré a cause de la douleur physique mais surtout de la douleur émotionelle. La personne la poussa dans une pièce avec pour seule porte une grille d'où émanait l'air chaud de dehors. Mariko au bout de l'émotion, se renferma sur elle-même et s'assit dans un coin sombre.

*Que vas t'il m'arrivée...?*

Mariko se mit a sangloter.

Aidô Kakon se promenait tranquillement sur le marché, les gens s'écartant sur son passage, bien que personne ne connaisse son visage, tous le reconnaissait par son allure et l'épée à tête de corbeau qu'il portait à son coté. Aidô aimait être craint, les marchands devant lesquels il passait priait pour qu'il ne s'arrête pas chez eux, il était dur en affaire et n'hésitait pas à tuer en pleine rue pour avoir ce qu'il voulait.
Cependant aujourd'hui il cherchait quelque chose de particulier : une humaine.
Les humaines étaient plus faibles et leur espérance de vie était moindre mais elle avaient un avantage: elle ne pouvait tomber enceinte des ainokos leur espèces étant incompatible.
Cela était indispensable pour sa profession il ne pouvait se permettre de fournir à ses clients des femmes qui pourrait ensuite avoir un enfant d'eux.

Il s'arrêta finalement devant un stand ou il vit une humaine derrière des barreaux de fer, elle semblait pleurer elle ne devait pas comprendre ce qui ce passait. Il s'approcha et interpella le marchand

"toi montre moi l'humaine là bas"

Le marchand s'exécuta immédiatement en tremblant, il sortit la jeune fille de sa cage et l'amenna devant Aidô. Le jeune homme la regarda sous toute les coutures oui elle ferait l'affaire.

"Très bien je te la prend 500 pièce d'or et ce n'est pas négociable"

Le marchand déglutit difficilement il devait en espéré au moins 10 000 pièces mais Aidô n'était pas du genre à négocier et tout le monde le savait. Il prit donc les 500 pièces et donna l'esclave à Aidô. Le jeune homme entraina la jeune fille plus loin avant de se retourner vers elle.

"comment t'apelle tu ?"

Il lui avait parlé de son habituel ton froid, il se doutait que la jeune fille devait être terrifiée, elle devait se demander quel monstre se cachait sous cette capuche pour qu'il ne veuille pas montrer son visage

Une fois devant le nouvel homme et lorsqu'il lui posa une question, Mariko trembla comme une feuille mais elle devait lui répondre sinon sa irait plus mal...

- Je... m'appelle... Ma... Mariko....

La pauvre petite avait peine a se tenir debout tellement elle avait peur, en plus ses vêtements étais de vrai locques et presque transparent a cause de l'usure du matériel, donc ses seins parraissait, Mariko le remarqua assez vite et se cacha. Elle se posait plusieurs questions, comme: Que va t'il se passé maintenant?, Pourquoi cache t'il son visage?, Pourquoi les personnes avait peur de lui? ect. Mais elle osa lui en poser une qui pouvais facilement être répondu. En baissant la tête, elle n'osait pas le regarder, elle s'adressa a l'homme.

- Êtes-vous... mon.... maitre?

Elle ne savait pas quel autre mots utiliser pour décrire l'homme devant elle.

Aidô regarda la jeune fille elle tremblait comme une feuille, cela le fit sourire même si elle ne pouvait pas le voir, il aimait que les gens ai peur de lui c'était le but. Il regarda ses vêtements abimés il ne pouvait pas la laisser se promener comme ça c'était mauvais pour sa réputation. Si une rumeur venait à dire qu'il traitait mal ses esclaves il pouvait dire adieu à son petit commerce.

"Très bien Mariko donc oui je suis ton maitre à partir d'aujourd'hui tu m'obéira et sans discuter. Soit obéissante et tu sera bien traité, désobéi moi et ça ira très mal. Je n'aime pas non plus être contrarié alors fait attention à tes paroles"

Il sortit ensuite un collier de sa poche et le mit au cou de la jeune fille

"Ce collier signifie que tu m'appartient, il est équipé d'un système qui me permet de savoir constamment ou tu es et n'espère même pas l'enlever, il y a un code dessus si tu l'enlève sans le code deux pic rétractable en sortiront en te transperceront le cou"

Il l'entraina ensuite vers une autre partie du marché et en particulier vers une petite boutique de vêtement, il regarda les étalages et finit par choisir une jupe courte et un chemisier, il se tourna vers le marchand et lui donna quelques pièces.

"Je prend ça et je t'emprunte ton arrière boutique quelques instant"

Le marchand s'inclina sans rien dire, pour la deuxième fois Aidô venait d'acheter quelque chose sans en demander le prix, ca se passait comme ça il fixait lui même ses prix et personne n'osait rien dire de peur d'avoir affaire à sa famille et tous savait qu'il était en bonne place pour devenir le prochain chef de clan, il valait donc mieux ne pas l'avoir pour ennemi. Il poussa Mariko dans l'arrière boutique qui était une petite pièce et lui tendit les vêtements avant de s'appuyer contre le mur

"Maintenant change toi"

Alors que son nouveau maitre lui dit comment agir vis-a-vis lui, elle n'eut que plus peur. Elle se devait d'être obéissante sinon... Elle ne voulais même pas y penser. Lorsqu'il lui mit le collier, Mariko étais dabord intriguée mais lorsqu'il lui dit ce qu'il arriverait si elle essayait de l'ôter, elle faillit perdre connaissance! Elle n'eut pas le temps de parler que son maitre l'emmena dans une boutique de vêtements. Lorsqu'il la poussa dans l'arrière-boutique, elle s'imaginait le pire, mais fut surprise de voir qu'il ne la regardait pas se changer. Mariko eut un petit soulagement, au moins c'étais pas un pervert... Elle pris les vêtements et pendant qu'elle les enfilait, elle s'osa a poser une autre petite questions.

- Je vous ai dit mon nom.... Puis-je savoir le vôtre?

Elle finit de s'habiller et sortis de l'arrière-boutique pour aller vers son maitre.

Aidô attendit patiemment que son esclave ai finit de se changer, si ça n'avait tenu qu'à lui il serait aller avec elle et n'aurait pas fait que la regarder qu'elle le veuille ou non. Mais il se méfiait du marchand qui avait l'air un peu trop curieux à son gout. Plusieurs fois il le surprit à jeter des coup d'œil vers eux. La voix de son esclave le tira de ses pensées.

"mon nom est Aidô Kakon, je sais bien que cela ne te dit rien mais pour faire court je suis le pire cauchemar de beaucoup de monde ici fait attention que je ne devienne pas le tient"

Il regarda son esclave des pieds à la tête, oui elle était mieux comme ça, il s'approcha d'elle lentement, il voulait voir si elle était obéissante et à quel point.

"Maintenant ferme les yeux"

Il ne voulait pas lui faire de mal quoique cela dépendrait de sa réaction, pour le moment il voulait la tester pour voir si elle serait facile à mater ou s'il devrait user de moyen plus persuasif

Mariko fut contente de connaitre son nom mais lorsqu'il lui dit qu'il étais le pire cauchemard de tout le monde, Mariko se remit a trembler et baissa la tête.

- Je vois...

Elle fut surprise et inquiète lorsque son maitre lui demanda de fermer les yeux. Elle se rappella du conseil qu'il lui avait donner plus tôt: être obéissante et tu sera bien traitée. Alors elle ferma les yeux et les bras le long de son corps, elle étais un peu crispée car elle étais nerveuse mais bon...

*Pourvue que...*

La petite semblait vraiment apeuré décidément elle lui plaisait, il avait bien vu ses réaction depuis le début elle n'avait pas l'air d'avoir une nature rebelle mais il savait que toute les humaines avaient une limite, contrairement aux esclaves d'ici elles avaient été libres et se faisait souvent mal à la captivité.

Aidô se disait qu'il avait vraiment fait une bonne affaire, elle était plutôt obéissante, elle ferma les yeux comme il lui avait demandé, elle était très tendu cela se voyait mais elle avait quand même obéi c'était le mieux à faire dans son propre intérêt mais le vrai test allait avoir lieu. Il s'approcha d'elle lentement il voulait voir jusqu'où elle allait obéir pour connaitre sa limite. Il passa une de ses mains dans ses cheveux avant de caresser son visage, un de ses doigts glissa sur ses douces lèvres.

Il se pencha en avant et posa ses lèvres sur celles de son esclave, l'embrassant doucement sa main caressait toujours son visage. Sa seconde main passa dans son dos et descendit jusqu'à ses fesses qu'il se mit à caresser

Lorsque son maitre l'embrassa et la toucha, Mariko frissona. Elle voulait le repousser mais elle se rappella toujours que si elle étais obéissante, elle serait bien traitée et si sa voulais dire ce faire violée et bien.... Qu'il en sois ainsi.

Mariko étais toujours nerveuse et elle n'osait pas bouger. La jeune fille sentais que son maitre cherchait a tester quelque chose mais quoi? Sa volonté? Son obéissance? Quoi que c'étais, elle allais passer le test. Elle n'étais que de la monnaie d'échange après tout... Pensant a cette idée, des larmes coula ses joues.

Mariko se laissa faire et ne bougea même pas, Aidô s'attendait à ce qu'elle se laisse faire mais seulement jusqu'a une certaine limite, il la lacha et se recula, bon même si ca le surprenait au moins elle était docile.

"c'est bon tu peut ouvrir les yeux"

Il vit les larmes qui coulaient le long de ses joues et les essuya avec son pouce. Cela ne lui plaisait pas trop de la voir pleurer c'était un signe de faiblesse et si elle se mettait à pleurer face à ses clients il perdrais la face, il allait d'abord devoir l'endurcir.

"pourquoi pleure tu ? J'embrasse si mal que ça ? Sèche tes larmes que nous puissions sortir je ne veux pas qu'on puisse penser que je maltraite mon esclave"

Voilà qu'il faisait de l'humour maintenant mais bon il voulait qu'elle s'arrête de pleurer et n'avait pas envie d'y passer une heure

"au fait mariko dit moi est-tu vierge ?"

Il avait failli oublier ce point qui était pourtant des plus important

Mariko ouvrit les yeux comme lui avait demander son maitre. Ses larmes coulait encore et elle fut surprise de voir son maitre les essuyer. Lorsqu'il lui demande s'il embrassa si mal que sa, Mariko sursauta et secoua la tête.

- Non non! Ce n'est pas le problème Maitre... J'ai seulement penser a quelque chose de désagréable... Ne vous en faite pas...

Lorsqu'elle eut finit sa phrase, Mariko obéit et essuya ses larmes du revert de la main. Aisô lui posa une question assez troublante a répondre. Pourquoi voulait-il savoir sa? Elle baissa la tête et répondit avec une petite voix.

- Oui, maitre...

La jeune rousse se mit a rougir un peu.

La jeune fille était tellement apeuré qu'elle ne comprit même pas qu'il rigolait, elle finit cependant par se calmer un peu et par sécher ses larmes. Il vit que sa question sur sa virginité la troublait elle ne devait pas comprendre ou il voulait en venir pauvre petite elle allait vite comprendre.

"ce n'est pas grave que tu soit vierge je résoudrait le problème"

En réalité cela le contrariait un peu si elle était vierge elle n'allait pas pouvoir travailler tout de suite il faudrait d'abord la former. Bon ce n'était pas si grave il s'en chargerais il avait l'habitude, il se demanda si là aussi elle serais docile ou s'il allait devoir lui forcer la main. Il s'en fichait un peu mais ce serait tellement plus simple qu'elle se laisse faire.

Il l'entraina hors de la boutique et retraversa le marché pour la conduire à sa demeure.

TERMINE

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