¤Contexte :
Masego Taeriro est une île en dehors de toute juridiction sur lequel on retrouve un hôpital pour les patients atteints mentalement, ainsi qu’un centre de recherche scientifique à la fine pointe de la technologie en ce 24ième siècle. Réputé à travers le monde pour ses découvertes révolutionnaires et médical, certains y vont par choix, d’autres considérés comme des déchets de la société y sont envoyés au lieu de se retrouver en prison. Jusqu’à récemment l’endroit à toujours été un paradis, dernièrement le directeur à été tué et son successeur a fait certaines modifications au règlement… C’est maintenant chacun pour ses propres intérêts.
¤Histoire :
Vous rappelez vous de cette époque lorsque les compagnies pharmaceutique disaient ne pas détenir les remèdes pour d’importante source virale, que le cancer ne pouvait être guérit et que les médecins nous prescrivaient plusieurs médicament dont nous n’arrivions même pas à dire leur nom et encore moins savoir à quoi cela servait réellement? Peut-être que les 300 ans qui nous sépare du 21ième siècle vous l’on fait oublié… Tout ceci n’était qu’une conspiration des plus riches pour remplir d’avantage leurs coffres. Les virus étaient en fait créés par des chercheurs, et non des souches virales naturel qui avaient muté avec le temps, que des foutaises que tout cela. Ils étaient créés simplement dans le but de pouvoir vendre ensuite leur faux remède, des vaccins et médicaments. Les médias aidaient à amplifier la peur chez le peuple face à ces maladies qui en réalité n’étaient pas plus dangereuses qu’un simple rhume, et c’est peu dire, la majorité causait moins de décès qu’une grippe commune. Mais les humains se laissaient dupés par tout ce qui était dit et dépensaient donc des fortunes pour se protéger contre ces maladies créées de mains d’homme. Les scientifiques et le gouvernement se remplissaient les poches ainsi. En réalité, il y avait bien plus de remède qu’on le croyait, toute fois ceux-ci étaient bien cachés, car si tout avait pu se soigner par magie, l’argent n’auraient plus circulé. Vous savez c’est monnaie courante pour le gouvernement de nous cacher des choses pour « notre bien ».
C’est vers la fin de ce siècle que cette conspiration a été mise à jour, non pas que d’autres aient essayé avant, mais ils avaient tous mystérieusement disparu avant de pouvoir y parvenir. C’est un certain Docteur Malek, scientifique réputé, ancien chef du département scientifique de l’armé maintenant travaillant à son propre compte, qui à l’époque avait trouvé le remède pour le cancer des poumons. Il avait apporté sa découverte monumentale à l'association mondiale des médecins. Mais à sa grande surprise, ses recherches avaient mystérieusement disparus après en avoir fait la démonstration. Il avait donc entreprit une enquête pour découvrir ce qui s’était passé. Il était évident que les dirigeants refusaient que des remèdes soient dévoilés au public, car ainsi les patients dépensaient une fortune dans les hôpitaux pour des traitements qui au finale ne faisaient que rallonger leur souffrance sans réellement les guérir. Joshua Malek dut se caché suite à cela pour sa survie. Cette découverte n’était pas sans conséquences et une chasse à l’homme avait débuté pour retrouver cet ancien scientifique de l’armée.
Grâce à ses connaissances dans le milieu militaire, Malek savait qu’il y avait qu’un seul endroit où il pouvait fuir et que personne ne pourrait l’attraper. Dans les mers équatoriales… Là où les lois des hommes ne s’appliquaient plus, en dehors des eaux territoriales. Il s’échappa donc en plein océan, là où la contrebande était bien réputée pour y être pratiquée. C’est d’ailleurs à bord de l’un de ces vaisseaux de pirate moderne qu’il eu une idée…
Masego Taeriro naquit dans l’esprit de ce scientifique. C’était la solution pour apporter aux humains le pouvoir de se guérir sans qu’aucun gouvernement ne puisse l’en empêcher. Il créa son centre de recherche à bord d’un bateau, donnant des soins aux pirates, qui eux en échange lui apportaient ce dont il avait besoin pour sa survie et ses recherches. La rumeur se rependit dans le monde à son sujet et d’autres scientifiques et médecins se joignirent à sa cause et le simple bateau se transforma en laboratoire flottant, grandissant au fil du siècle suivant grâce à l’investissement de chacun des employés et au revenu que les découvertes leur apportaient pour devenir une île créé entièrement de main d’homme, mais où la végétation y était plus luxuriante et naturel que n’importe où dans le monde. L’île devint un site de recherche paradisiaque, et se spécialisa dans les soins de santé mentale.
L’endroit étant en dehors de toute juridiction, un code de lois propre à l’établissement avait été établit par le Dr Malek, le dirigeant et fondateur. C’était un endroit de rêve, aucune violence n’y était exercé, sauf si nécessité, aucun mal traitement envers les patients, ceux-ci étaient traités comme des êtres humains, et non de simple client ou cobaye. Cette île était en soie un monde parfait. La succession de la direction étaient émise par le dirigeant lui-même avant sa retraite ou alors dans son testament. Et les patients admis en ces lieux, étaient tout simplement toutes personnes jugées inapte mentalement, car à quoi bon dépenser de l’argent à conserver des établissements de psychiatrie, si a présent nous avions cet endroit qui ne demandait pas un sous pour accueillir les patients? Les gouvernements en profitèrent pour se débarrasser ainsi de ces « fous ».
Au court de ces quelques 300 ans de vie en ce lieu, jamais aucun crime n’avait été commis, outre les mésaventures causées par quelques patients gravement atteint mentalement. Mais un jour où l’autre, tout fini par changer…
On ne pouvait atteindre Masego par voie marine, pour une question de sécurité des lieux, des courants marins de forte intensité créé artificiellement ce situaient à une distance d’un kilomètre de la berge et s’étendaient sur dix km. Le seul moyen d’atteindre l’endroit était par la voie des airs, aucune surface n’était toute fois suffisamment dégarnie d’arbre pour permettre à un avion d’atterrir, seul un héliport permettait l'accès. C’était donc ainsi que l’île était ravitaillé en nourriture et tout autre besoin, bien qu’il y avait tout ce qu’il fallait pour s’auto-suffire en cas d'imprévu, et c’était ainsi que les patients et personnels étaient transportés. Toute personne y accédant se devait de se faire implanter une micro-puce sous la peau, dans celle-ci se retrouvait toute les informations nécessaire à l’identification et un traceur. L’on pouvait donc savoir ainsi tout ce que chacun faisait. Le système de sécurité était le plus performant que l’on puisse connaître, et ont ne pouvaient quitter l’île sans autorisations, car leur micro-puce enverraient aussitôt des impulsions qui leur causeraient des vomissements suivit d’une forte fièvre jusqu’à leur retour à Masego Taeriro. On aurait donc pu croire que seul des étrangers venu par les airs auraient pu changer l’endroit, et pourtant…
Un hélicoptère s’étaient bien posé une semaine plus tôt, mais aussitôt sa cargaison de vivre remis, il était repartie, pour raconter par la suite au monde extérieur ce qu’ils avaient vu… Le dirigeant des lieux, Monsieur Kole, s’était fait abattre sous leurs yeux par un garde qu’ils connaissaient sous le nom de Capitaine Aarek, ils n’étaient pas restés pour voir la suite, de peur d’être les prochains sur la liste. Le monde extérieur n’en firent pas de cas, ils prirent simplement la décision de ne plus envoyer personne, après tout, qui s’intéressait réellement au sort de tous ces cinglés? Tendis que sur l’île, la confusion régnait lors des premiers jours suivant le meurtre « accidentel » selon le Capitaine Aarek. Le mort n’avait pas eu le temps de nommer de successeur, ni de faire son testament, alors le garde s’autoproclama directeur. Mais cet homme n’était pas aussi doué pour la direction que les autres… C’est ce que l’on pouvait voir à présent qu’une simple petite semaine s’était écoulée. Certains scientifiques aux intentions malveillante prenaient des libertés, quelques patients étaient laissés à eux-mêmes, alors que d’autres essayaient toujours de garder l’ordre qui avaient régné pendant si longtemps...