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Aidô était tranquillement installé dans son salon, il était assis sur un magnifique fauteuil en cuir blanc dont il tapotait l'accoudoir avec de plus en plus d'agacement au fur et à mesure que le temps passait il détestait attendre il avait toujours détesté ça. Il était vêtu comme à son habitude de sa longue cape dissimulant son visage, signe qu'il attendait quelqu'un. Au bout de plusieurs minutes enfin on frappa à la porte, Aidô se redressa il espérait que c'était les hommes qu'il attendait sinon gare à celui qui osait le déranger.
"Entrez"
Deux hommes entrèrent dans la pièce, l'un semblait être un reptile tandis que l'autre était humain, ils portaient un sac de grande taille à l'intérieur duquel quelque chose se débattait. Ils s'inclinèrent tout deux
"Tout c'est bien passer, vous ne l'avez pas abimer ?"
"Non Maitre, nous avons fait comme vous nous l'avez demandé, nous ne l'avons pas frappé et nous n'avons pas joué avec elle"
"Bien ouvrez le sac et allez vous en"
L'homme reptile s'executa, il défit le lien qui gardait le sac fermé et sortit en compagnie de l'autre homme. Aidô regardait vers le sac avec un sourire, il avait envoyé ses deux esclaves chercher une fille et pas n'importe laquelle. Il l'avait vu au marcher mais il n'avait alors pas d'argent et n'avait pu l'acheter, seulement il finissait toujours par avoir ce qu'il voulait, il s'était renseigné sur le propriétaire de la fille et avait jugé la menace insignifiante. Jamais sa maitresse ne s'aventurerait ici il le savait. A présent que son jouet était arrivé il avait vraiment hate de l'essayer.
"Tu peut sortir maintenant"
"Entrez"
Deux hommes entrèrent dans la pièce, l'un semblait être un reptile tandis que l'autre était humain, ils portaient un sac de grande taille à l'intérieur duquel quelque chose se débattait. Ils s'inclinèrent tout deux
"Tout c'est bien passer, vous ne l'avez pas abimer ?"
"Non Maitre, nous avons fait comme vous nous l'avez demandé, nous ne l'avons pas frappé et nous n'avons pas joué avec elle"
"Bien ouvrez le sac et allez vous en"
L'homme reptile s'executa, il défit le lien qui gardait le sac fermé et sortit en compagnie de l'autre homme. Aidô regardait vers le sac avec un sourire, il avait envoyé ses deux esclaves chercher une fille et pas n'importe laquelle. Il l'avait vu au marcher mais il n'avait alors pas d'argent et n'avait pu l'acheter, seulement il finissait toujours par avoir ce qu'il voulait, il s'était renseigné sur le propriétaire de la fille et avait jugé la menace insignifiante. Jamais sa maitresse ne s'aventurerait ici il le savait. A présent que son jouet était arrivé il avait vraiment hate de l'essayer.
"Tu peut sortir maintenant"
Invité
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Pauvre… Pauvre petite Ayane…
A vrai dire, elle n’avait pas tout compris, elle se balladait tranquillement dans la rue vêtue de son haut rose et de son minishort noir, et d’un coup le trou noir.
Elle s’était retrouvée dans un sac emporté par des bandits. Oh, elle avait bien essayé de crier, de hurler, elle avait même dit qu’elle appartenait à Youjin, mais rien n’y fit.
Et maintenant, elle pleurait toutes les larmes de son petit corps, enfermé dans ce sac où elle commençait à étouffer.
Au bout d’un moment, elle sentit que l’on posait le sac sans ménagement à terre, et elle eut très peur.
Le sacx s’ouvrit alors, et une voix l’invita à sortir.
Mais ou suis-je ? Pitié, ne me faites pas de mal…
Elle sortit du sac penaude en montrant son colleir avec le cygne et elle bredouilla en pleurant :
" Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ? J'ai déjà une maitresse, vous savez..."
L’étrange individu était dissimulé derrière une cape.
Et soudain, j’eus très peur…
Tout le corps d’Ayane tremblait de la tête aux pieds et la petite pleurait de plus belle…
A vrai dire, elle n’avait pas tout compris, elle se balladait tranquillement dans la rue vêtue de son haut rose et de son minishort noir, et d’un coup le trou noir.
Elle s’était retrouvée dans un sac emporté par des bandits. Oh, elle avait bien essayé de crier, de hurler, elle avait même dit qu’elle appartenait à Youjin, mais rien n’y fit.
Et maintenant, elle pleurait toutes les larmes de son petit corps, enfermé dans ce sac où elle commençait à étouffer.
Au bout d’un moment, elle sentit que l’on posait le sac sans ménagement à terre, et elle eut très peur.
Le sacx s’ouvrit alors, et une voix l’invita à sortir.
Mais ou suis-je ? Pitié, ne me faites pas de mal…
Elle sortit du sac penaude en montrant son colleir avec le cygne et elle bredouilla en pleurant :
" Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ? J'ai déjà une maitresse, vous savez..."
L’étrange individu était dissimulé derrière une cape.
Et soudain, j’eus très peur…
Tout le corps d’Ayane tremblait de la tête aux pieds et la petite pleurait de plus belle…
Invité
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Aidô resta calmement dans son fauteuil, il aimait voir la peur sur le visage des autres et cette petite semblait terrifiée, un sourire mauvais apparu sur son visage bien qu'elle ne put le voir à cause de sa cape. Elle lui montra son collier pour lui indiquer qu'elle avait déjà une maitresse, ça il le savait déjà et elle était loin d'imaginer à quel point il s'en fichait.
"Je suis Aidô Kakon et j'ai très envie de jouer avec toi et ne t'en fait pas pour ta maitresse, personne n'est suffisament fou pour venir s'opposer à moi, je connais ta maitresse elle est courageuse mais même elle ne viendra pas te chercher ici, personne ne viendra. Tu es a moi pour le moment, rassure toi je ne compte pas te garder et je te raménarait chez elle mais plus tard. Pour le moment j'ai envie de profiter de ton joile corps."
Aidô regarda la petite pendant un moment elle tremblait de la tête au pied et pleurait, voilà une bonne chose à première vu ce n'était pas une rebelle. Mater des esprit fort était amusant mais il préférait les filles dans son genre, avec elle le combat était gagné d'avance. Il se leva et s'approcha d'elle avant de s'accroupir pour être à sa hauteur. Même à cette distance elle ne pouvait voir son visage.
"A tu peur ?"
Sa voix était froide, presque sadique, il n'attendit pas la réponse la connaissant déjà, il attrappa la jeune fille par le bras et se releva la forcant à en faire de même, puis il l'entraina dans une chambre et la poussa sur le grand lit.
"Et maintenant on va jouer"
"Je suis Aidô Kakon et j'ai très envie de jouer avec toi et ne t'en fait pas pour ta maitresse, personne n'est suffisament fou pour venir s'opposer à moi, je connais ta maitresse elle est courageuse mais même elle ne viendra pas te chercher ici, personne ne viendra. Tu es a moi pour le moment, rassure toi je ne compte pas te garder et je te raménarait chez elle mais plus tard. Pour le moment j'ai envie de profiter de ton joile corps."
Aidô regarda la petite pendant un moment elle tremblait de la tête au pied et pleurait, voilà une bonne chose à première vu ce n'était pas une rebelle. Mater des esprit fort était amusant mais il préférait les filles dans son genre, avec elle le combat était gagné d'avance. Il se leva et s'approcha d'elle avant de s'accroupir pour être à sa hauteur. Même à cette distance elle ne pouvait voir son visage.
"A tu peur ?"
Sa voix était froide, presque sadique, il n'attendit pas la réponse la connaissant déjà, il attrappa la jeune fille par le bras et se releva la forcant à en faire de même, puis il l'entraina dans une chambre et la poussa sur le grand lit.
"Et maintenant on va jouer"
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Ayane était véritablement terrorisée. Lorsque le monsieur étrange s’approcha, elle crut défaillir. Même à cette distance, elle ne voyait pas son visage et cela lui faisait encore plus peur.
Elle bredouilla un :
"Pitié"
Mais l’individu était sur de lui, et le fait qu’elle possède une maîtresse ne semblait pas le déranger outre mesure. A la question posée, Ayane se contenta d’hocher positivement la tête avec une grande tristesse dans le cœur.
Ensuite, il la prit et la releva avec une certaine brutalité. Elle résistait, ne voulait pas le suivre mais fut projetée avec force sur un grand lit.
En temps normal, Ayane aurait trouvé ça chouette d’avoir des rapports sexuels, mais dans le cas présent, ne pas voir le visage de son agresseur, ne rien connaître sur lui ni sur le sort qu’il lui réservait la paralysait.
Ayane tenta de bouger pour fuir mais la terreur la paralysait. Elle savait que si rapports sexuels il y avait, elle ne serait pas consentante malgré son côté nymphomane, pas ici, pas maintenant, pas comme ça, pas sans voir le visage… Pas sans connaître un minimum la personne..
Et Ayane pleurait, mais ne pouvait point bouger, elle aurait voulu partir mais ses jambes flageollantes étaient tout simplement paralysées et incapable de faire un seul mouvement.
Et alors, elle fit ce qui lui semblait le plus juste ne ce moment, elle hurla et implora le monsieur sous cape :
"NOOOOOOON ! Pitié, ne me faites de mal… Je ne veux pas jouer avec vous, laissez moi partir, je vous en supplie !"
Elle bredouilla un :
"Pitié"
Mais l’individu était sur de lui, et le fait qu’elle possède une maîtresse ne semblait pas le déranger outre mesure. A la question posée, Ayane se contenta d’hocher positivement la tête avec une grande tristesse dans le cœur.
Ensuite, il la prit et la releva avec une certaine brutalité. Elle résistait, ne voulait pas le suivre mais fut projetée avec force sur un grand lit.
En temps normal, Ayane aurait trouvé ça chouette d’avoir des rapports sexuels, mais dans le cas présent, ne pas voir le visage de son agresseur, ne rien connaître sur lui ni sur le sort qu’il lui réservait la paralysait.
Ayane tenta de bouger pour fuir mais la terreur la paralysait. Elle savait que si rapports sexuels il y avait, elle ne serait pas consentante malgré son côté nymphomane, pas ici, pas maintenant, pas comme ça, pas sans voir le visage… Pas sans connaître un minimum la personne..
Et Ayane pleurait, mais ne pouvait point bouger, elle aurait voulu partir mais ses jambes flageollantes étaient tout simplement paralysées et incapable de faire un seul mouvement.
Et alors, elle fit ce qui lui semblait le plus juste ne ce moment, elle hurla et implora le monsieur sous cape :
"NOOOOOOON ! Pitié, ne me faites de mal… Je ne veux pas jouer avec vous, laissez moi partir, je vous en supplie !"
Invité
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Aidô leva les yeux au ciel et soupira, le petite lui crevait les tympan à hurler comme ça, heureusement il savait qu'elle pouvait hurler autant qu'elle voudrait personne ne se risquerait à venir voir ce qu'il se passait. Il s'approcha d'elle et se laissa tomber sur le lit, il l'attrapa par le bras pour l'attirer contre lui, un moyen d'être sur qu'elle ne s'enfuirait pas, de toute façon les portes étant verrouillé elle n'irait pas loin. Il posa une de ses mains sur sa bouche pour la faire taire, en profitant pour lui bloquer la respiration.
"Maintenant tu la ferme je te prévient que ma patience à des limites"
Il lui déboucha le nez pour la laisser respirer mais garda sa main sur sa bouche. Le bras avec lequel il la plaquait contre lui était le même qu'il utilisait pour la faire taire, son second bras étant libre il se mit à passer sa main sur le corps de la jeune fille, caressant doucement sa poitrine, son ventre, ses hanches.
Elle lui plaisait bien, mais elle se débattait et il commençait à être agacé.
"Ecoute moi bien, si tu ne te calme pas je vais être obligé de te bâillonner et de t'attacher c'est ce que tu veut ? "
Pour illustrer ses propos il la lâcha complètement et attrapa des liens en cuir qui se trouvait dans une malle à coté du lit.
"Pourquoi tu ne te laisse pas simplement faire tu n'est pas toujours aussi farouche d'après ce que j'ai pu observer"
"Maintenant tu la ferme je te prévient que ma patience à des limites"
Il lui déboucha le nez pour la laisser respirer mais garda sa main sur sa bouche. Le bras avec lequel il la plaquait contre lui était le même qu'il utilisait pour la faire taire, son second bras étant libre il se mit à passer sa main sur le corps de la jeune fille, caressant doucement sa poitrine, son ventre, ses hanches.
Elle lui plaisait bien, mais elle se débattait et il commençait à être agacé.
"Ecoute moi bien, si tu ne te calme pas je vais être obligé de te bâillonner et de t'attacher c'est ce que tu veut ? "
Pour illustrer ses propos il la lâcha complètement et attrapa des liens en cuir qui se trouvait dans une malle à coté du lit.
"Pourquoi tu ne te laisse pas simplement faire tu n'est pas toujours aussi farouche d'après ce que j'ai pu observer"
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L’homme vint s’asseoir sur le lit et plaqua férocement une main contre la bouche d’Ayane en l’attirant vers lui violemment. Cette dernière ne pouvant plus hurler commença à se débattre, mais assez mollement, vu qu’il était en train de l’étouffer.
Elle devint rouge puis ouvrit de grands yeux où la perspective de sa mort proche la terrorisait encore plus.
Je me débats, l’air, de l’air, il me faut de l’air… Je ne veux pas mourir, non, pitié…
Et puis le nez fut débouché et elle se retrouva peloté par les mains de l’homme. Elle voulut se débattre mais l’homme lui précisa que si elle faisait cela elle allait finir bâillonnée et ligotée…
Je ne sais plus quoi faire…
Lorsque la main de l’homme s’arrêta sur sa poitrine, elle poussa un petit cri de surprise puis la main descendit sur le ventre et enfin au niveau des hanches…
Ayane bredouilla :
"Pitié, je ne crierai plus mais je ne veux pas…"
Ayane rougit à l’annonce que d’habitude elle était consentante. Oui, c’est vrai mais… Elle rétorqua d’une voix timide :
"D’habitude, on ne m’enlève pas et on ne me met pas dans un sac… Et, je ne vois même pas votre visage… Je… Je ne peux nier que j’aime le sexe, mais pas comme ça… Pas avec vous… Pitié… Vous me faites peur et pas envie."
A la vue des liens en cuir, Ayane recula et se blottit contre l’autre côté du lit. Elle ne voulait pas être attachée… Ni bâillonnée d’ailleurs…
Elle commença alors, dans un geste plus desespéré qu’autre chose à vouloir s’enfuir de la pièce. Tant pis s’il la ligotait, au moins elle aurait essayé… Mais se retrouva bien vite devant la porte verrouillée…
Elle regarda alors l’homme encapuchonné avec de la terreur dans le regard et s’écroula à genoux, implorante…
Elle devint rouge puis ouvrit de grands yeux où la perspective de sa mort proche la terrorisait encore plus.
Je me débats, l’air, de l’air, il me faut de l’air… Je ne veux pas mourir, non, pitié…
Et puis le nez fut débouché et elle se retrouva peloté par les mains de l’homme. Elle voulut se débattre mais l’homme lui précisa que si elle faisait cela elle allait finir bâillonnée et ligotée…
Je ne sais plus quoi faire…
Lorsque la main de l’homme s’arrêta sur sa poitrine, elle poussa un petit cri de surprise puis la main descendit sur le ventre et enfin au niveau des hanches…
Ayane bredouilla :
"Pitié, je ne crierai plus mais je ne veux pas…"
Ayane rougit à l’annonce que d’habitude elle était consentante. Oui, c’est vrai mais… Elle rétorqua d’une voix timide :
"D’habitude, on ne m’enlève pas et on ne me met pas dans un sac… Et, je ne vois même pas votre visage… Je… Je ne peux nier que j’aime le sexe, mais pas comme ça… Pas avec vous… Pitié… Vous me faites peur et pas envie."
A la vue des liens en cuir, Ayane recula et se blottit contre l’autre côté du lit. Elle ne voulait pas être attachée… Ni bâillonnée d’ailleurs…
Elle commença alors, dans un geste plus desespéré qu’autre chose à vouloir s’enfuir de la pièce. Tant pis s’il la ligotait, au moins elle aurait essayé… Mais se retrouva bien vite devant la porte verrouillée…
Elle regarda alors l’homme encapuchonné avec de la terreur dans le regard et s’écroula à genoux, implorante…
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Quand la petite se leva pour tenter de s'enfuir Aidô ne fit même pas un mouvement il savait qu'elle n'avait aucune chance, il la regarda s'effondrer au sol en pleurant et en suppliant. Elle avait très peur principalement parce qu'elle ne voyait pas son visage mais cela il allait y remédier il ne comptait pas rester habillé.
"Tu te sentirais mieux si tu voyais mon visage ?"
Il attrapa le cordon qui retenait sa cape fermé et le défit, il lança un coup d'oeil à la jeune fille qui ne le quittait pas des yeux se demandant surement quel monstre se cachait son cette cape, cela le fit sourire, il aimait cet instant ou il voyait clairement l'imagination de ses victimes s'emballer et imaginer le pire. Il défi la cape et la posa sur un fauteuil.
"c'est mieux comme ça ?"
Il la regardait attendant une quelconque réaction de sa part, sous sa cape il portait une chemise blanche et un pantalon noir, la jeune fille pouvait aussi voir deux grandes ailes noires lui sortir du dos. Il n'était pas repoussant comme garçon, ses cheveux blond était en bataille et ses yeux d'un bleu azur étaient calmement posé sur la petite.
Il alla ensuite s'asseoir au bord du lit et tapota la place à coté de lui
"Maintenant vient te rasseoir tu voit bien que je ne suis pas un monstre"
"Tu te sentirais mieux si tu voyais mon visage ?"
Il attrapa le cordon qui retenait sa cape fermé et le défit, il lança un coup d'oeil à la jeune fille qui ne le quittait pas des yeux se demandant surement quel monstre se cachait son cette cape, cela le fit sourire, il aimait cet instant ou il voyait clairement l'imagination de ses victimes s'emballer et imaginer le pire. Il défi la cape et la posa sur un fauteuil.
"c'est mieux comme ça ?"
Il la regardait attendant une quelconque réaction de sa part, sous sa cape il portait une chemise blanche et un pantalon noir, la jeune fille pouvait aussi voir deux grandes ailes noires lui sortir du dos. Il n'était pas repoussant comme garçon, ses cheveux blond était en bataille et ses yeux d'un bleu azur étaient calmement posé sur la petite.
Il alla ensuite s'asseoir au bord du lit et tapota la place à coté de lui
"Maintenant vient te rasseoir tu voit bien que je ne suis pas un monstre"
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Ayane s’attendait au pire mais le pire ne vint pas. Au lieu de cela, l’homme s’assit sur le lit et commença à défaiore le nœud de sa cape.
Ayane fixait le visage de son hôte. La curiosité malsaine prenait le pas, et elle en était très gênée, touché dans ses manières et sa gentillesse profonde.
Elle ne voulait pas le fixer comme une bête curieuse, et c’était très honteux.
Et puis, une magnifique chevelure blonde apparut ainsi que deux grands yeux bleus magnifiques.
Ayane en était tout émoustillée. Un apollon se cachait sous la cape ! Incroyable.
Bien que cela n’excuse en rien ses manières violentes et rustres, comme l’enlèvement et la mise en sac par exemple, Ayane se mit à avoir de la compassion pour son agresseur.
Oui, en effet, c’est beaucoup mieux, et un sourire radieux illumina le visage d’Ayane et c’est tout naturellement qu’elle vint s’asseoir à côté de l’homme sur le lit.
Elle répondit à ses questions, car Ayane était toujours très polie :
"Je vous trouve très joli ! Vos yeux et vos cheveux sont magnifiques. Non, vous n’êtes pas un monstre mais pourquoi m’avoir fait enlever et brutaliser dans ce cas ? Vous savez, je préfère qu’on me fasse un minimum la cour… Au lycée, il disait que je suis une fille facile… Mais ce n’est pas vrai…"
Ayane esquisca un petit sourire en coin et sécha ses larmes…
Ayane fixait le visage de son hôte. La curiosité malsaine prenait le pas, et elle en était très gênée, touché dans ses manières et sa gentillesse profonde.
Elle ne voulait pas le fixer comme une bête curieuse, et c’était très honteux.
Et puis, une magnifique chevelure blonde apparut ainsi que deux grands yeux bleus magnifiques.
Ayane en était tout émoustillée. Un apollon se cachait sous la cape ! Incroyable.
Bien que cela n’excuse en rien ses manières violentes et rustres, comme l’enlèvement et la mise en sac par exemple, Ayane se mit à avoir de la compassion pour son agresseur.
Oui, en effet, c’est beaucoup mieux, et un sourire radieux illumina le visage d’Ayane et c’est tout naturellement qu’elle vint s’asseoir à côté de l’homme sur le lit.
Elle répondit à ses questions, car Ayane était toujours très polie :
"Je vous trouve très joli ! Vos yeux et vos cheveux sont magnifiques. Non, vous n’êtes pas un monstre mais pourquoi m’avoir fait enlever et brutaliser dans ce cas ? Vous savez, je préfère qu’on me fasse un minimum la cour… Au lycée, il disait que je suis une fille facile… Mais ce n’est pas vrai…"
Ayane esquisca un petit sourire en coin et sécha ses larmes…
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Bon voilà déjà une bonne chose, elle s'était instantanément calmé et était venue s'asseoir bien docilement à coté de lui. Elle lui dit qu'elle trouvait ses cheveux et ses yeux magnifiques et il eu un sourire un peu triste. Il était un Kakon, un corbeau, tout ceux de son clan avaient les cheveux et les yeux noire tous sauf lui. Ces parties de son physique qui plaisaient tant aux femmes étaient ses plus grandes honte c'est pour cela qu'il les cachaient constamment.
Enfin le moment n'était pas à l'apitoiement, il regarda la jeune fille assise maintenant à coté de lui, à présent qu'elle était rassuré de voir qu'elle n'était pas avec un monstre elle souriait.
"Si j'ai fait ça c'est simplement parce que ça m'amuse"
Oui il n'avait pas d'autres explications cela l'amusait de voir la panique sur le visage des esclaves lorsqu'il ne savait pas ce qui les attendaient. Il attira de nouveau la jeune fille contre lui mais plus doucement et se contenta simplement de glisser sa main dans son dos, la caressant du bout des doigts. Il fit ensuite glisser ses lèvres dans son cou, l'effleurant à peine.
"Alors dit moi maintenant que tu me voit tu va être sage ?"
Il voulait s'assurer qu'elle allait enfin se laisser faire, les bavardages c'est bien mais il avait autre chose en tête et n'avait pas envie qu'elle refasse une crise, bien sur il pourrait se passer de son consentement mais il n'avait pas envie d'expliquer à sa maitresse pourquoi il lui rendait une esclave en mauvais état, après tout Youjin était la directrice de l'hôpital, c'était le genre de personne qu'il fallait mieu avoir dans ces relations.
Enfin le moment n'était pas à l'apitoiement, il regarda la jeune fille assise maintenant à coté de lui, à présent qu'elle était rassuré de voir qu'elle n'était pas avec un monstre elle souriait.
"Si j'ai fait ça c'est simplement parce que ça m'amuse"
Oui il n'avait pas d'autres explications cela l'amusait de voir la panique sur le visage des esclaves lorsqu'il ne savait pas ce qui les attendaient. Il attira de nouveau la jeune fille contre lui mais plus doucement et se contenta simplement de glisser sa main dans son dos, la caressant du bout des doigts. Il fit ensuite glisser ses lèvres dans son cou, l'effleurant à peine.
"Alors dit moi maintenant que tu me voit tu va être sage ?"
Il voulait s'assurer qu'elle allait enfin se laisser faire, les bavardages c'est bien mais il avait autre chose en tête et n'avait pas envie qu'elle refasse une crise, bien sur il pourrait se passer de son consentement mais il n'avait pas envie d'expliquer à sa maitresse pourquoi il lui rendait une esclave en mauvais état, après tout Youjin était la directrice de l'hôpital, c'était le genre de personne qu'il fallait mieu avoir dans ces relations.
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Ayane eut une moue contrariée lorsque l’homme avec des ailes lui dit qu’il avait fait cela pour son amusement. Elle rétorqua alors :
"Comment peut-on enlever des gens, les mettre dans des sacs et leur faire peur pour son plaisir ? Comment peut-on s’en amuser ? Je ne comprends pas… C’est si méchant."
Ayane se laissa néanmoins faire lorsqu’il l’attira à lui et passa une main dans son dos. Le pauvre devait être bien triste et seul en fait pour faire enlever des jeunes filles dans la rue. Elle le plaignait, il ne devait pas avoir beaucoup d’ami et elle savait combien il était facile de souffrir de la solitude.
Le pauvre devait être très complexé par son physique et n’osait même plus se montrer dans la rue. Il se cachait en dessous d’une cape de honte très certainement. Le pauvre, comme elle le plaignait en fait.
C’est ainsi que d’une voix douce, elle tenta de lui faire passer son amitié et sa gentillesse :
"Vous devez beaucoup souffrir tout seul et complexé comme vous l’êtes sur votre physique. Mais si ça peut vous rassurer, je vous trouve très mignon ! Je suis toujours gentille, moi, enfin je le tente. Mais c’est vous qui n’avez pas été gentil de m’enlever ainsi… Si vous étiez venu me voir, nous n’en serions pas là. Je trouve que vous devriez montrer votre visage sans en avoir honte et aussi être gentil avec les gens. Et peut-être que vous seriez moins seul, après tout ! On m’a toujours dit que si l’on souriait aux autres et on s’intéressait à eux, on ne pouvait qu’être heureux !"
Ayane fit un grand sourire à l’ange blond aux ailes noirs pour appuyer ses paroles.
"Comment peut-on enlever des gens, les mettre dans des sacs et leur faire peur pour son plaisir ? Comment peut-on s’en amuser ? Je ne comprends pas… C’est si méchant."
Ayane se laissa néanmoins faire lorsqu’il l’attira à lui et passa une main dans son dos. Le pauvre devait être bien triste et seul en fait pour faire enlever des jeunes filles dans la rue. Elle le plaignait, il ne devait pas avoir beaucoup d’ami et elle savait combien il était facile de souffrir de la solitude.
Le pauvre devait être très complexé par son physique et n’osait même plus se montrer dans la rue. Il se cachait en dessous d’une cape de honte très certainement. Le pauvre, comme elle le plaignait en fait.
C’est ainsi que d’une voix douce, elle tenta de lui faire passer son amitié et sa gentillesse :
"Vous devez beaucoup souffrir tout seul et complexé comme vous l’êtes sur votre physique. Mais si ça peut vous rassurer, je vous trouve très mignon ! Je suis toujours gentille, moi, enfin je le tente. Mais c’est vous qui n’avez pas été gentil de m’enlever ainsi… Si vous étiez venu me voir, nous n’en serions pas là. Je trouve que vous devriez montrer votre visage sans en avoir honte et aussi être gentil avec les gens. Et peut-être que vous seriez moins seul, après tout ! On m’a toujours dit que si l’on souriait aux autres et on s’intéressait à eux, on ne pouvait qu’être heureux !"
Ayane fit un grand sourire à l’ange blond aux ailes noirs pour appuyer ses paroles.
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Aidô lacha un long soupire elle était si... naïve s'en était presque drôle. D'ailleurs il ne put retenir un éclat de rire, elle ne connaissait pas grand chose à la vie c'est du moins l'impression qu'elle donnait.
"Mais je suis méchant tu sais, tu veut savoir comment je gagne ma vie ? En forçant des jeunes filles comme toi à faire le trottoir. Et qui te dit que la solitude me dérange ? Qui te dit que j'ai envie d'avoir des amis ? Qui te dit que j'ai envie d'être aimé ? Et surtout qui te dit que je veut de ta pitié?"
Sa voix était monté à chaque phrase pour finir par crier, elle était dur, il n'avait pas envie d'être gentil. Il poussa la jeune fille en arrière et se mit sur elle lui emprisonnant les poignets, elle avait réussi à l'énerver et il devait vraiment se controler pour ne pas lui en coller une.
"Tu ne sait rien de cette île ni de moi alors garde tes conseils. Je suis un Kakon, un corbeau, je devrais avoir les yeux et les cheveux noir et regarde moi, tu ne peut pas imaginer ce que c'est d'être rejeté constamment alors garde ta morale. Je suis un bâtard aux yeux de tous, être méchant est la seule chose qui m'a permis de rester en vie et d'être ici au lieu de me retrouver esclave. Alors je ne vais surement pas changer."
Aidô la regardait avec un regard méchant mais il faut le comprendre s'il avait appliqué les conseils de la jeune fille il serait surement mort à l'heure actuelle ou bien il aurait été réduit à l'esclavage. Allez donc expliquer à quelqu'un qui ne doit sa survit et sa liberté qu'a sa méchanceté qu'il devrait être gentil. C'est impossible.
"Assez bavarder petite, tu n'est pas là pour me faire la conversation"
Emprisonnant ses poignets d'une seule main il se pencha en avant et colla ses lèvres sur les siennes l'embrassant longuement
"Mais je suis méchant tu sais, tu veut savoir comment je gagne ma vie ? En forçant des jeunes filles comme toi à faire le trottoir. Et qui te dit que la solitude me dérange ? Qui te dit que j'ai envie d'avoir des amis ? Qui te dit que j'ai envie d'être aimé ? Et surtout qui te dit que je veut de ta pitié?"
Sa voix était monté à chaque phrase pour finir par crier, elle était dur, il n'avait pas envie d'être gentil. Il poussa la jeune fille en arrière et se mit sur elle lui emprisonnant les poignets, elle avait réussi à l'énerver et il devait vraiment se controler pour ne pas lui en coller une.
"Tu ne sait rien de cette île ni de moi alors garde tes conseils. Je suis un Kakon, un corbeau, je devrais avoir les yeux et les cheveux noir et regarde moi, tu ne peut pas imaginer ce que c'est d'être rejeté constamment alors garde ta morale. Je suis un bâtard aux yeux de tous, être méchant est la seule chose qui m'a permis de rester en vie et d'être ici au lieu de me retrouver esclave. Alors je ne vais surement pas changer."
Aidô la regardait avec un regard méchant mais il faut le comprendre s'il avait appliqué les conseils de la jeune fille il serait surement mort à l'heure actuelle ou bien il aurait été réduit à l'esclavage. Allez donc expliquer à quelqu'un qui ne doit sa survit et sa liberté qu'a sa méchanceté qu'il devrait être gentil. C'est impossible.
"Assez bavarder petite, tu n'est pas là pour me faire la conversation"
Emprisonnant ses poignets d'une seule main il se pencha en avant et colla ses lèvres sur les siennes l'embrassant longuement
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Ayane ouvrit de grands yeux ronds suite aux paroles de l’homme corbeau. Elle ne comprenait pourquoi la morale interférait avec la gentillesse et se dit que ce dernier devait être bien malheureux.
Il était méchant, selon ses dires, mais Ayane ne le ressentait pas ainsi. Sa naïveté et sa gentillesse la rendait presque aveugle de toute méchanceté. Tout le monde est rose et gentil, c’est bien connu.
Elle articula :
" Mais je ne vous rejette pas ! Je vous trouve gentil moi ! Vous êtes amoureux de moi, c'est ça ?"
L’homme la regardait avec un regard méchant mais Ayane prit plus cela pour du jeu qu’autre chose. La vraie méchanceté, elle ne connaissait pas et cela n’existait pas après tout !
Le corbeau prit alors fermement ses poignets et commença à l’embrasser fougueusement. Oh, mais il est amoureux d’elle en fait ! Il ne peut pas être méchant, non, c’est un gentil. Il est simplement maladroit car il est amoureux !
Ayane était heureuse, il n’était pas méchant, il était amoureux ! Et cela l’excitait un peu. Elle se laissa donc embrasser et passa son bras autour du cou du corbeau.
Elle commençait à être excitée et frotta ses petites fesses contre le lit.
Après tout, le méchant kidnappeur était en fait un gentil amoureux et Ayane était de plus en plus excitée… Elle se laissa donc faire.
Il était méchant, selon ses dires, mais Ayane ne le ressentait pas ainsi. Sa naïveté et sa gentillesse la rendait presque aveugle de toute méchanceté. Tout le monde est rose et gentil, c’est bien connu.
Elle articula :
" Mais je ne vous rejette pas ! Je vous trouve gentil moi ! Vous êtes amoureux de moi, c'est ça ?"
L’homme la regardait avec un regard méchant mais Ayane prit plus cela pour du jeu qu’autre chose. La vraie méchanceté, elle ne connaissait pas et cela n’existait pas après tout !
Le corbeau prit alors fermement ses poignets et commença à l’embrasser fougueusement. Oh, mais il est amoureux d’elle en fait ! Il ne peut pas être méchant, non, c’est un gentil. Il est simplement maladroit car il est amoureux !
Ayane était heureuse, il n’était pas méchant, il était amoureux ! Et cela l’excitait un peu. Elle se laissa donc embrasser et passa son bras autour du cou du corbeau.
Elle commençait à être excitée et frotta ses petites fesses contre le lit.
Après tout, le méchant kidnappeur était en fait un gentil amoureux et Ayane était de plus en plus excitée… Elle se laissa donc faire.
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Aidô dut faire un réel effort pour ne pas éclater de rire, la petite croyait qu'il était tombé amoureux d'elle, cela lui semblait tellement... ridicule. Il s'attendait à tout sauf à cette réaction, il s'accorda quelques secondes pour respirer et reprendre son sérieux. Lui amoureux ? Et puis quoi encore. Mais après réflexion il se dit que sa valait peut être le coup de jouer le jeu, après tout elle ne se laissait faire que pour deux raisons: elle le trouvait beau et elle croyait qu'il l'aimait. Alors pourquoi la décevoir si sa naïveté lui permettait d'obtenir ce qu'il voulait... Il se pencha près de son oreille pour lui murmurer doucement
"Oui je suis amoureux de toi, je te trouve tellement jolie et gentille"
Cela lui faisait bizarre de prononcer ses mots mais si c'était ce qu'elle voulait entendre alors allons y. Il se redressa et lui fit un sourire qu'il s'efforça de rendre doux avant de se pencher de nouveau pour l'embrasser. Il lui avait lacher les mains voyant qu'elle ne s'enfuirait plus et put ainsi en profiter pour la caresser.
Prenant appui sur son bras gauche, il lui caressa d'abord le visage avant de descendre sur sa poitrine qu'il malaxa un instant à travers ses vêtements, il descendit ensuite sur le ventre puis le long des cuisses. Il voyait qu'elle s'excitait à chaque instant
"Oui je suis amoureux de toi, je te trouve tellement jolie et gentille"
Cela lui faisait bizarre de prononcer ses mots mais si c'était ce qu'elle voulait entendre alors allons y. Il se redressa et lui fit un sourire qu'il s'efforça de rendre doux avant de se pencher de nouveau pour l'embrasser. Il lui avait lacher les mains voyant qu'elle ne s'enfuirait plus et put ainsi en profiter pour la caresser.
Prenant appui sur son bras gauche, il lui caressa d'abord le visage avant de descendre sur sa poitrine qu'il malaxa un instant à travers ses vêtements, il descendit ensuite sur le ventre puis le long des cuisses. Il voyait qu'elle s'excitait à chaque instant
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Ayane était contente, après tout, ce monsieur l’aimait mais il ne savait pas exprimer ses sentiments, voilà tout !
Et c’est vrai qu’elle était jolie et gentille !
Ayane rougit très fortement devant les compliments du monsieur et encore plus lorsque celui-ci commença à lui masser la poitrine en lui faisant un grand sourire doux.
Ayane se laissa faire, embrasser, et masser. Lorsque les mains de l’apollon blond descendit au niveau des cuisses, elle se mit à pousser quelques petits gémissements de plaisir.
haaan haaan
Elle n’en pouvait plus, après tout elle n’était pas nymphomane pour rien. Elle n’osait en revanche ne rien faire avant qu’il n’ordonne quoique ce soit en bonne petite esclave qu’elle était.
Elle avait envie.
Et ses petites fesses se tortillaient de plaisir sur le lit, s’autocarressant cette partie devenue si sensible.
Et c’est vrai qu’elle était jolie et gentille !
Ayane rougit très fortement devant les compliments du monsieur et encore plus lorsque celui-ci commença à lui masser la poitrine en lui faisant un grand sourire doux.
Ayane se laissa faire, embrasser, et masser. Lorsque les mains de l’apollon blond descendit au niveau des cuisses, elle se mit à pousser quelques petits gémissements de plaisir.
haaan haaan
Elle n’en pouvait plus, après tout elle n’était pas nymphomane pour rien. Elle n’osait en revanche ne rien faire avant qu’il n’ordonne quoique ce soit en bonne petite esclave qu’elle était.
Elle avait envie.
Et ses petites fesses se tortillaient de plaisir sur le lit, s’autocarressant cette partie devenue si sensible.
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Cette fois il n'y avait pas de doute possible elle en avait vraiment envie alors pourquoi la faire attendre. Il la voyait se tortiller sur le lit sous le coup de l'excitation. Il avait réussi à l'amener là ou il voulait, une fois qu'elle serait complètement excité il pourrait se permettre un peu plus de brutalité mais pour le moment il continuais de jouer le jeu de l'amoureux maladroit.
En fait il trouvais ça assez drôle, il ne se souciait pas de savoir comment elle le prendrais en découvrant qu'il n'était pas sincère. Cette petite ignorait tout de la méchanceté mais elle allait vite apprendre. Après un dernier baiser il se redressa et alla s'asseoir sur le lit pour lui permettre de se relever.
"Et si tu enlevais tes vêtement que je puisse mieux te caresser ma chérie ?"
Il avait fait exprès de dire ma chérie pour le mettre en confiance, après tout il était censé l'aimer. En attendant qu'elle se décide il commença à enlever sa chemise dévoilant un torse musclé, la jeune fille aimait son visage il espérait qu'elle aimerait aussi le reste. Il enleva ensuite son pantalon mais s'arrêta là gardant son boxer, ce serait à elle de venir lui enlever.
A travers le tissus noir on pouvait cependant voir qu'il commençais à être excité.
En fait il trouvais ça assez drôle, il ne se souciait pas de savoir comment elle le prendrais en découvrant qu'il n'était pas sincère. Cette petite ignorait tout de la méchanceté mais elle allait vite apprendre. Après un dernier baiser il se redressa et alla s'asseoir sur le lit pour lui permettre de se relever.
"Et si tu enlevais tes vêtement que je puisse mieux te caresser ma chérie ?"
Il avait fait exprès de dire ma chérie pour le mettre en confiance, après tout il était censé l'aimer. En attendant qu'elle se décide il commença à enlever sa chemise dévoilant un torse musclé, la jeune fille aimait son visage il espérait qu'elle aimerait aussi le reste. Il enleva ensuite son pantalon mais s'arrêta là gardant son boxer, ce serait à elle de venir lui enlever.
A travers le tissus noir on pouvait cependant voir qu'il commençais à être excité.
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Ayane était sous le charme de l’ange blond aux ailes de corbeaux, m’enfin, aucun ange n’est parfait. Il l’avait appelé ma chérie. Que c’était romantique !
Et puis, il la lâcha et commença à se déshabiller révélant un torse musclé et un boxer noir où une érection avait du mal à se dissimuler.
Ayane se leva donc et commença à se déshabiller à son tour en jouant vaec ses vêtements et le regard du corbeau.
Elle commença tout d’abord à oter son haut rouge mais en se retournant afin que ce dernier ne voit pas sa poitrine puis elle lança son vêtement sur lui et les mains sur les seins et un soutien gorge rose bonbon, elle se dirigea vers son amoureux.
Elle se frotta alors à lui puis commença à enlever délicatement son petit short noir moulant et se retourna encore en se baissant langoureusement pour permettre à l’ange d’admirer ses fesses, révélant là encore une petite culotte rose assortié au soutein gorge.
Elle s’assit alors près de Aido et l’embrassa en lui murmurant :
"Tu m’aimes ?"
Et puis, il la lâcha et commença à se déshabiller révélant un torse musclé et un boxer noir où une érection avait du mal à se dissimuler.
Ayane se leva donc et commença à se déshabiller à son tour en jouant vaec ses vêtements et le regard du corbeau.
Elle commença tout d’abord à oter son haut rouge mais en se retournant afin que ce dernier ne voit pas sa poitrine puis elle lança son vêtement sur lui et les mains sur les seins et un soutien gorge rose bonbon, elle se dirigea vers son amoureux.
Elle se frotta alors à lui puis commença à enlever délicatement son petit short noir moulant et se retourna encore en se baissant langoureusement pour permettre à l’ange d’admirer ses fesses, révélant là encore une petite culotte rose assortié au soutein gorge.
Elle s’assit alors près de Aido et l’embrassa en lui murmurant :
"Tu m’aimes ?"
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Aidô regarda Ayane se déshabiller avec intérêt, elle avait un jolie corps. Elle enleva son haut et se retourna pour qu'il ne la voit pas, cela l'agaça un peu mais il se devait de jouer le jeu il se contenta donc de la regarder en souriant même si au fond de lui il n'avait qu'une envie : lui sauter dessus. Elle enleva ensuite son short lui laissant le loisir d'admirer ses fesses. Elle portait des sous vêtement rose qu'il avait hâte de pouvoir enfin lui enlever.
Intérieurement il se dit qu'il aurait peut être mieux fait de la violer dès le début, il n'était pas patient et devait se retenir pour ne pas perdre le contrôle, mais elle n'était pas encore totalement à point. Elle vint s'asseoir près de lui et lui posa la question piège : es-ce qu'il l'aimait ? Il se mordit légèrement la lèvre, pourquoi insistait-elle sur le sujet ?
"oui je t'aime et toi ?"
Il espérait que son ton sonnait juste mais pas facile de savoir comment dire des mots que l'on a jamais entendu. Il ignorait tout de l'amour mais avait suffisamment observé les gens qui l'entourait pour savoir le simuler du moins à petite dose. Il espérait aussi que cette réponse lui suffirait et qu'elle passerait à autre chose.
Il l'attira doucement contre lui de sorte qu'elle se retrouve le dos collé à son torse, dans cette position il avait une vu particulièrement bonne sur sa poitrine. Il posa d'abord ses mains sur son ventre et en fit descendre une sur ses cuisses tandis que l'autre montait sur sa poitrine.
Il lui écarta doucement les jambes et passa sa main sur l'intérieur de ses cuisses remontant jusqu'au bord de sa culotte qu'il écarta avant de faire glisser le bout de ses doigts sur son sexe.
Intérieurement il se dit qu'il aurait peut être mieux fait de la violer dès le début, il n'était pas patient et devait se retenir pour ne pas perdre le contrôle, mais elle n'était pas encore totalement à point. Elle vint s'asseoir près de lui et lui posa la question piège : es-ce qu'il l'aimait ? Il se mordit légèrement la lèvre, pourquoi insistait-elle sur le sujet ?
"oui je t'aime et toi ?"
Il espérait que son ton sonnait juste mais pas facile de savoir comment dire des mots que l'on a jamais entendu. Il ignorait tout de l'amour mais avait suffisamment observé les gens qui l'entourait pour savoir le simuler du moins à petite dose. Il espérait aussi que cette réponse lui suffirait et qu'elle passerait à autre chose.
Il l'attira doucement contre lui de sorte qu'elle se retrouve le dos collé à son torse, dans cette position il avait une vu particulièrement bonne sur sa poitrine. Il posa d'abord ses mains sur son ventre et en fit descendre une sur ses cuisses tandis que l'autre montait sur sa poitrine.
Il lui écarta doucement les jambes et passa sa main sur l'intérieur de ses cuisses remontant jusqu'au bord de sa culotte qu'il écarta avant de faire glisser le bout de ses doigts sur son sexe.
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La phrase sonnait faux. Le « et toi ? » était de trop et le ton employé était trop hâtif. Ayane voulut lui redemander s’il l’aimait mais elle n’en eut pas le temps.
Il la colla alors à lui, dos contre torse puis commença à la parcourir de ses mains. Une descendant et l’autre montant. Le bas ventre d’Ayane était en feu malgré la contrariété de la réponse du corbeau.
Quand il enfouit sa main dans la culotte d’Ayane et commença à le caresser, celle-ci n’en pouvait plus et gémit de plus belle.
Haaaan… Haaaaan
Elle était comme un jouet entre ses mains mais elle demanda à nouveau :
Dis moi que tu m’aimes ! Pitié ! haaaan !
Ayane était au bord de l’implosion…
Il la colla alors à lui, dos contre torse puis commença à la parcourir de ses mains. Une descendant et l’autre montant. Le bas ventre d’Ayane était en feu malgré la contrariété de la réponse du corbeau.
Quand il enfouit sa main dans la culotte d’Ayane et commença à le caresser, celle-ci n’en pouvait plus et gémit de plus belle.
Haaaan… Haaaaan
Elle était comme un jouet entre ses mains mais elle demanda à nouveau :
Dis moi que tu m’aimes ! Pitié ! haaaan !
Ayane était au bord de l’implosion…
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Là elle commençais sérieusement à le gonfler, il voyait bien qu'elle ne l'avait pas cru mais simuler un sentiment que l'on a jamais connu ce n'est pas évident. Il voyait bien qu'il s'engageait dans une impasse, il était incapable de lui dire ce qu'elle voulait entendre et elle risquait de le repousser même si il en doutait vu son état d'excitation. Cependant s'il y a une chose qu'il avait appris c'est que les filles étaient vraiment très compliquée il décida donc de revenir à son idée numéro 1 avant qu'elle ne lui échappe.
Trop occupé à garder les yeux sur lui elle n'avait pas remarqué l'anneau fixé dans le mur au dessus de la tête de lit, il arrêta de la caresser et la maintient contre lui grâce à l'un de ses bras, de l'autre il prit discrètement une chaine qu'il gardait rangée près de son lit. Il en fixa un bout au mur, l'autre extrémité se terminais par des menottes. Il lui attrapa alors les bras et avant qu'elle ne puisse comprendre, les fit passer derrière son dos et lui mit les menottes, ainsi attachée elle ne pourrait plus aller nul part.
Il se doutait qu'elle n'allait peut être pas rester sage après cela et il n'avait pas envie qu'elle lui casse les oreilles, il attrapa un bâillon qu'il lui attacha autour de la bouche pour l'empêcher de crier.
"Alors écoute moi bien maintenant tu va être bien sage et tu va arrêter avec tes stupides questions sur l'amour"
Il se leva du lit et la poussa en arrière, de sorte quelle se retrouve allongée sur le dos cette position ne devait pas être très confortable à cause des menottes mais il s'en fichait. Il attrapa les bords de sa culotte et la tira vers le bas pour la lui enlever. Il s'agenouilla entre ses jambes qu'il maintenait écartée et fit entrer deux de ses doigts en elle, commençant immédiatement des va et vient rapide
Trop occupé à garder les yeux sur lui elle n'avait pas remarqué l'anneau fixé dans le mur au dessus de la tête de lit, il arrêta de la caresser et la maintient contre lui grâce à l'un de ses bras, de l'autre il prit discrètement une chaine qu'il gardait rangée près de son lit. Il en fixa un bout au mur, l'autre extrémité se terminais par des menottes. Il lui attrapa alors les bras et avant qu'elle ne puisse comprendre, les fit passer derrière son dos et lui mit les menottes, ainsi attachée elle ne pourrait plus aller nul part.
Il se doutait qu'elle n'allait peut être pas rester sage après cela et il n'avait pas envie qu'elle lui casse les oreilles, il attrapa un bâillon qu'il lui attacha autour de la bouche pour l'empêcher de crier.
"Alors écoute moi bien maintenant tu va être bien sage et tu va arrêter avec tes stupides questions sur l'amour"
Il se leva du lit et la poussa en arrière, de sorte quelle se retrouve allongée sur le dos cette position ne devait pas être très confortable à cause des menottes mais il s'en fichait. Il attrapa les bords de sa culotte et la tira vers le bas pour la lui enlever. Il s'agenouilla entre ses jambes qu'il maintenait écartée et fit entrer deux de ses doigts en elle, commençant immédiatement des va et vient rapide
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Ayane n’en pouvait plus, elle avait envie en bonne nymphomane qu’elle était mais alors très envie… Il allait sûrement lui dire qu’il l’aimait et ensuite, il viendrait en elle, tout ceci serait merveilleux !
Elle le dévisageait de tout son amour, mais à sa grande surprise et de manière inattendue, elle se retrouva menottée, les bras dans le dos. Et cela lui faisait mal, elle n’aimait pas cela. Elle comprit alors qu’il lui avait menti et qu’il ne l’aimait pas et elle en fut extrêmement triste.
Elle allait protester, lui dire sa façon de penser, dire qu’elle était très déçue, hurler mais un bâillon sur sa bouche, serré fort.
Il la poussa ensuite en arrière et la pauvre Ayane se retrouva sur le dos et elle avait horriblement mal aux épaules vu que ses mains étaient coincées sous ses reins dans une position très peu confortable.
Elle ne voulait pas le faire ainsi, non. Elle essaya de protester, de gigoter, de fuir, mais elle était à présent à sa merci :
"Mmmm…Mmmmm…MMmmm"
Le baillon l’empêchait de parler. Lange corbeau s’agenouilla alors et écarta violemment les jambes d’Ayane. La petite tenta de résister et de lui donner un coup de pied main en vain.
Attachée, bâillonnée, elle était son jouet à présent. Et c’est à ce moment-là qu’il lui enleva sa petite culotte rose et enfonça deux doigts sans ménagement dans son intimité, et les va et vient étaient rapides, très rapides pour un début.
Elle avait l’impression qu’à chaque mouvement, il allait encore un peu plus loin en elle. Ses yeux s’agrandirent et elle fixa Aido pour lui supplier d’arrêter mais sans grand succès.
Elle se tortillait, avait envie de hurler mais il fallait bien reconnaître qu’en bonne nymphomane, elle aimait cela. Elle prenait même du plaisir à être le jouet de ce méchant corbeau.
Elle avait envie de hurler de plaisir, la gorge sèche, cette sensation de chaleur dans le bas ventre.
Ayane se tortillait de plaisir sur le lit attendant, impuissante, la suite des évènements…
Elle le dévisageait de tout son amour, mais à sa grande surprise et de manière inattendue, elle se retrouva menottée, les bras dans le dos. Et cela lui faisait mal, elle n’aimait pas cela. Elle comprit alors qu’il lui avait menti et qu’il ne l’aimait pas et elle en fut extrêmement triste.
Elle allait protester, lui dire sa façon de penser, dire qu’elle était très déçue, hurler mais un bâillon sur sa bouche, serré fort.
Il la poussa ensuite en arrière et la pauvre Ayane se retrouva sur le dos et elle avait horriblement mal aux épaules vu que ses mains étaient coincées sous ses reins dans une position très peu confortable.
Elle ne voulait pas le faire ainsi, non. Elle essaya de protester, de gigoter, de fuir, mais elle était à présent à sa merci :
"Mmmm…Mmmmm…MMmmm"
Le baillon l’empêchait de parler. Lange corbeau s’agenouilla alors et écarta violemment les jambes d’Ayane. La petite tenta de résister et de lui donner un coup de pied main en vain.
Attachée, bâillonnée, elle était son jouet à présent. Et c’est à ce moment-là qu’il lui enleva sa petite culotte rose et enfonça deux doigts sans ménagement dans son intimité, et les va et vient étaient rapides, très rapides pour un début.
Elle avait l’impression qu’à chaque mouvement, il allait encore un peu plus loin en elle. Ses yeux s’agrandirent et elle fixa Aido pour lui supplier d’arrêter mais sans grand succès.
Elle se tortillait, avait envie de hurler mais il fallait bien reconnaître qu’en bonne nymphomane, elle aimait cela. Elle prenait même du plaisir à être le jouet de ce méchant corbeau.
Elle avait envie de hurler de plaisir, la gorge sèche, cette sensation de chaleur dans le bas ventre.
Ayane se tortillait de plaisir sur le lit attendant, impuissante, la suite des évènements…
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Comme il le pensais Ayane essaya de se débattre, elle voulut même lui donner un coup de pied mais Aidô eu un rictus méprisant, si elle croyait pouvoir le faire arrêter d'un simple coup de pied elle se trompais lourdement, il attrapa sa jambe et regarda la jeune fille dans les yeux.
"ce n'est pas très gentil de frapper son amoureux"
Il avait dit cela d'un ton ironique, apparemment ça semblait beaucoup l'amuser. Il retira les doigts qu'il avait en elle puis il se leva du lit et alla chercher sa malle pour la rapprocher, il l'ouvrit et à l'intérieur il prit deux grandes lanières de cuir noires et retourna au lit avec un sourire amusé.
"On dirait bien que je vais devoir t'attacher les jambes aussi ma chérie"
Il fit une boucle à une extrémité et la passa autour de la cuisse droite d'Ayane il attacha ensuite l'autre extrémité à la tête de lit, il fit ensuite pareil à la cuisse gauche. Ayane se retrouvais donc avec les cuisses grandes écartée et ramenée sur sa poitrine, une position ou elle était totalement offerte sans pouvoir se débattre.
"je t'explique le principe, tant que tu reste sage tu n'auras pas mal par contre si tu essai de serrer les cuisses les lanières vont se tendre et les boucles se resserreront et là tu aura mal."
Il contempla ensuite son sexe offert, il aurait pu y entrer immédiatement mais il voulait s'amuser avant, se penchant en avant il effleura son sexe de sa langue. Il utilisa sa main pour écarter les lèvres et donna de petit coup rapide sur son clitoris. Ses doigts reprirent leur place à l'intérieur de son sexe qu'il recommença à caresser mais il eu vite une autre idée. Il retira ses doigts qui s'étaient recouvert de mouille et les glissa entre ses fesse à la recherche de son autre entrée. Arrivée à destination il se mit à toucher du bout des doigts cette zone si sensible.
Aidô commençais à s'amuser mais il avait encore plein d'idée pour offrir à la petite une journée qu'elle n'était pas prête d'oublier, d'ailleurs les yeux suppliants d'Ayane et ses effort pour se débattre ne le trompais pas, il avait sentit la mouille couler de son sexe et il avait perçus son envie et son excitation
"ce n'est pas très gentil de frapper son amoureux"
Il avait dit cela d'un ton ironique, apparemment ça semblait beaucoup l'amuser. Il retira les doigts qu'il avait en elle puis il se leva du lit et alla chercher sa malle pour la rapprocher, il l'ouvrit et à l'intérieur il prit deux grandes lanières de cuir noires et retourna au lit avec un sourire amusé.
"On dirait bien que je vais devoir t'attacher les jambes aussi ma chérie"
Il fit une boucle à une extrémité et la passa autour de la cuisse droite d'Ayane il attacha ensuite l'autre extrémité à la tête de lit, il fit ensuite pareil à la cuisse gauche. Ayane se retrouvais donc avec les cuisses grandes écartée et ramenée sur sa poitrine, une position ou elle était totalement offerte sans pouvoir se débattre.
"je t'explique le principe, tant que tu reste sage tu n'auras pas mal par contre si tu essai de serrer les cuisses les lanières vont se tendre et les boucles se resserreront et là tu aura mal."
Il contempla ensuite son sexe offert, il aurait pu y entrer immédiatement mais il voulait s'amuser avant, se penchant en avant il effleura son sexe de sa langue. Il utilisa sa main pour écarter les lèvres et donna de petit coup rapide sur son clitoris. Ses doigts reprirent leur place à l'intérieur de son sexe qu'il recommença à caresser mais il eu vite une autre idée. Il retira ses doigts qui s'étaient recouvert de mouille et les glissa entre ses fesse à la recherche de son autre entrée. Arrivée à destination il se mit à toucher du bout des doigts cette zone si sensible.
Aidô commençais à s'amuser mais il avait encore plein d'idée pour offrir à la petite une journée qu'elle n'était pas prête d'oublier, d'ailleurs les yeux suppliants d'Ayane et ses effort pour se débattre ne le trompais pas, il avait sentit la mouille couler de son sexe et il avait perçus son envie et son excitation
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La tentative de coup de pied d’Ayane avait lamentablement échoué, mais en pouvait-il être autrement ? L’homme lui avait saisi la cheville et malgré le fait qu’elle se débattait, elle était bel et bien impuissante…
Puis il avait enfoncé ses doigts… Et là, bizarrement, il les retirait… Mais pourquoi faire ? Il approcha une malle du lit, fouilla à l’intérieur pour en ressortir deux lanières de cuir.
Ayane ouvrit de grands yeux où la peur se mélangeait au désir dans un mélange improbable de sensations antinomiques… Et puis…
Et puis, il l’attacha, il saisit la cuisse d’Ayane et passa la première lanière de cuir autour. Elle sentit sa main et le cuir sur la petite peau fragile de la cuisse, proche de son sexe. Elle ne voulait pas être plus attachée qu’elle ne l’était actuellement.
Si elle avait pu hurler, elle l’aurait fait lorsque le corbeau attacha l’autre extrémité de la lanière à la tête de lit. Cette position lui faisait mal, les mains dans le dos menottée et les cuisses grandes ouvertes offrant son sexe béant à la vue de son bourreau.
Ce dernier recommença immédiatement avec l’autre jambe et Ayane eut très envie de pleurer. Cette position lui tordait les épaules et les hanches et elle ne pouvait esquisser le moindre mouvement sans que les lanières lui lacèrent sa peau douce ou que ses articulations ne la fassent horriblement souffrir.
La peur et l’horreur se lisaient dans le pauvre regard humide de la jeune esclave.
Puis, l’ange effleura son sexe de sa langue et Ayane se cambra, augmentant les douleurs de son corps. Elle voulait crier, hurler mais ne pouvait pas. La douleur et l’envie étaient insoutenables. La petite esclave croyait qu’elle allait imploser de l’intérieur…
Ayane sentit son clitoris se gonfler de sang sous les coups de langue de son bourreau. Elle voulait hurler, elle voulait pousser des cris de plaisir mais impossible d’extérioriser quoique ce soit… Puis, les deux doigts la pénétrèrent à nouveau… Nouvelle cambrure, nouvelle douleur, Ayane voulait bouger, remuer, s’offrir, mais impossible…
La douleur et le plaisir étaient insoutenables, puis les doigts du corbeau des retirèrent, longèrent le périnée et s’arrêtèrent sur l’anus d’Ayane le caressant du bout des doigts…
Et là, Ayane ouvrit de grands yeux et elle secoua la tête en signe de refus… Non, pas là, je n’aime pas… Pas là, pitié…
* Non, je suis vierge de là… Pas là pitié…*
Ayane se débattit, tenta d’éloigner son anus des doigts du corbeau mais les lanières s’enfoncèrent dans ses cuisses au moindre mouvement et cela lui faisait horriblement mal… Elle ne pouvait rien faire, rien dire, elle était son jouet, il fallait se rendre à l’évidence…
Puis il avait enfoncé ses doigts… Et là, bizarrement, il les retirait… Mais pourquoi faire ? Il approcha une malle du lit, fouilla à l’intérieur pour en ressortir deux lanières de cuir.
Ayane ouvrit de grands yeux où la peur se mélangeait au désir dans un mélange improbable de sensations antinomiques… Et puis…
Et puis, il l’attacha, il saisit la cuisse d’Ayane et passa la première lanière de cuir autour. Elle sentit sa main et le cuir sur la petite peau fragile de la cuisse, proche de son sexe. Elle ne voulait pas être plus attachée qu’elle ne l’était actuellement.
Si elle avait pu hurler, elle l’aurait fait lorsque le corbeau attacha l’autre extrémité de la lanière à la tête de lit. Cette position lui faisait mal, les mains dans le dos menottée et les cuisses grandes ouvertes offrant son sexe béant à la vue de son bourreau.
Ce dernier recommença immédiatement avec l’autre jambe et Ayane eut très envie de pleurer. Cette position lui tordait les épaules et les hanches et elle ne pouvait esquisser le moindre mouvement sans que les lanières lui lacèrent sa peau douce ou que ses articulations ne la fassent horriblement souffrir.
La peur et l’horreur se lisaient dans le pauvre regard humide de la jeune esclave.
Puis, l’ange effleura son sexe de sa langue et Ayane se cambra, augmentant les douleurs de son corps. Elle voulait crier, hurler mais ne pouvait pas. La douleur et l’envie étaient insoutenables. La petite esclave croyait qu’elle allait imploser de l’intérieur…
Ayane sentit son clitoris se gonfler de sang sous les coups de langue de son bourreau. Elle voulait hurler, elle voulait pousser des cris de plaisir mais impossible d’extérioriser quoique ce soit… Puis, les deux doigts la pénétrèrent à nouveau… Nouvelle cambrure, nouvelle douleur, Ayane voulait bouger, remuer, s’offrir, mais impossible…
La douleur et le plaisir étaient insoutenables, puis les doigts du corbeau des retirèrent, longèrent le périnée et s’arrêtèrent sur l’anus d’Ayane le caressant du bout des doigts…
Et là, Ayane ouvrit de grands yeux et elle secoua la tête en signe de refus… Non, pas là, je n’aime pas… Pas là, pitié…
* Non, je suis vierge de là… Pas là pitié…*
Ayane se débattit, tenta d’éloigner son anus des doigts du corbeau mais les lanières s’enfoncèrent dans ses cuisses au moindre mouvement et cela lui faisait horriblement mal… Elle ne pouvait rien faire, rien dire, elle était son jouet, il fallait se rendre à l’évidence…
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Aidô regardais avec amusement les émotions contraire qui traversaient Ayane, la peur bien sur, la douleur mais aussi l'envie et le désir. Elle lui plaisait bien cette petite, il avait remarqué la facon dont elle s'était crispée au contact de ses doigts sur son anus et il avait vu son regard suppliant, apparemment personne n'était encore passé par là, dommage pour elle elle ne savait pas ce qu'elle manquait, il allait falloir qu'il y remédie. Mais plus tard, il savait ce qu'il allait faire mais le moment n'était pas venue, il retira ses doigts et se concentra sur son clitoris qu'il harcelait de petit coup de langue, son but n'était pas de la faire jouir mais de faire monter son désir.
Il descendit sa langue dans la fente de son sexe jusqu'a l'entrée de son vagin qu'il lécha doucement, il aimait bien son gout. Ses mains parcourait le corps de la petite caressant son ventre montant jusqu'a sa poitrine, il se rapella alors qu'il ne lui avait pas enlevé son soutien gorge le problème c'est qu'elle était attaché, bon tant pis, il attrapa un couteau et coupa les bretelles avant de le coupé en deux sur le devant dévoilant ainsi la poitrine d'Ayane. Il ne put s'empécher de rire au regard qu'elle lui lança.
"Ne t'inquiète pas ma chérie je t'en rachèterais un, promis"
Il massa ses seins les pressant dans ses mains, jouant avec les tétons déjà durci par l'excitation, il se pencha et en prit un dans sa bouche avant de l'aspirer et de jouer avec, une de ses mains glissa entre les cuisses de la jeune fille et se remit à caresser son sexe, il effleurait à peine son clitoris pour la faire languir. Il aimait voir ses proies rétissantes au début lui en redemander, elle avait peur mais bientôt elle le supplierais de continuer.
Il descendit sa langue dans la fente de son sexe jusqu'a l'entrée de son vagin qu'il lécha doucement, il aimait bien son gout. Ses mains parcourait le corps de la petite caressant son ventre montant jusqu'a sa poitrine, il se rapella alors qu'il ne lui avait pas enlevé son soutien gorge le problème c'est qu'elle était attaché, bon tant pis, il attrapa un couteau et coupa les bretelles avant de le coupé en deux sur le devant dévoilant ainsi la poitrine d'Ayane. Il ne put s'empécher de rire au regard qu'elle lui lança.
"Ne t'inquiète pas ma chérie je t'en rachèterais un, promis"
Il massa ses seins les pressant dans ses mains, jouant avec les tétons déjà durci par l'excitation, il se pencha et en prit un dans sa bouche avant de l'aspirer et de jouer avec, une de ses mains glissa entre les cuisses de la jeune fille et se remit à caresser son sexe, il effleurait à peine son clitoris pour la faire languir. Il aimait voir ses proies rétissantes au début lui en redemander, elle avait peur mais bientôt elle le supplierais de continuer.
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Ayane se tortillait sur le lit tentant toujours de ne pas présenter son anus au corbeau. Mais, contre toute attente, ce dernier s’en détourna et préféra venir lécher à nouveau le clitoris d’Ayane. Cette dernière commença à vouloir pousser de petits cris de plaisir mais le bâillon l’en empêchait.
Puis, il commença à pénétrer son intimité avec sa langue et là Ayane crut qu’elle allait littéralement exploser. Elle voulait le supplier de la prendre, qu’elle était à lui mais encore une fois le bâillon l’en empêchait. Après tout, le corbeau n’était pas si méchant. Il ne savait pas comment draguer les filles mais il savait leur faire plaisir c’était certain. Bien qu’Ayane ait largement préféré ne pas être attachée ainsi vu la douleur que cette position inconfortable produisait.
Et puis, elle le vit attraper un couteau, et là, Ayane commença fortement à avoir peur. Elle se débattit mais les lanières s’enfoncèrent encore plus dans la chair tendre de ses cuisses. Ainsi, il allait la tuer ? La terreur dans le regard, Ayane fixa le corbeau.
* Pitié, ne me tuez pas ! *
Et puis, il coupa les bretelles et le soutien gorge en deux, libérant les seins rebondis d’Ayane qui reprirent leur volume.
* Oh non ! Mon joli soutien gorge ! Il a coupé mon joli soutien gorge ! *
Les seins d’Ayane étaient de taille tout à fait raisonnables et les petits tétons roses commencèrent légèrement à pointer sous les caresses de l’ange blond. Elle gémissait intérieurement et était si impuissante en même temps. Elle ne pouvait même pas gémir de plaisir.
Le voici qui effleurait à nouveau son clitoris et Ayane se cambra sous le coup du plaisir. Là, c’était sur, elle n’en pouvait plus, elle le supplia du regard de la pénétrer… Peu importe s’il l’avait enlevée puis attachée…
* Pitié, prends-moi ! *
Le regard d’Ayane trahissait maintenant l’envie imminente d’être prise par son tortionnaire…
Puis, il commença à pénétrer son intimité avec sa langue et là Ayane crut qu’elle allait littéralement exploser. Elle voulait le supplier de la prendre, qu’elle était à lui mais encore une fois le bâillon l’en empêchait. Après tout, le corbeau n’était pas si méchant. Il ne savait pas comment draguer les filles mais il savait leur faire plaisir c’était certain. Bien qu’Ayane ait largement préféré ne pas être attachée ainsi vu la douleur que cette position inconfortable produisait.
Et puis, elle le vit attraper un couteau, et là, Ayane commença fortement à avoir peur. Elle se débattit mais les lanières s’enfoncèrent encore plus dans la chair tendre de ses cuisses. Ainsi, il allait la tuer ? La terreur dans le regard, Ayane fixa le corbeau.
* Pitié, ne me tuez pas ! *
Et puis, il coupa les bretelles et le soutien gorge en deux, libérant les seins rebondis d’Ayane qui reprirent leur volume.
* Oh non ! Mon joli soutien gorge ! Il a coupé mon joli soutien gorge ! *
Les seins d’Ayane étaient de taille tout à fait raisonnables et les petits tétons roses commencèrent légèrement à pointer sous les caresses de l’ange blond. Elle gémissait intérieurement et était si impuissante en même temps. Elle ne pouvait même pas gémir de plaisir.
Le voici qui effleurait à nouveau son clitoris et Ayane se cambra sous le coup du plaisir. Là, c’était sur, elle n’en pouvait plus, elle le supplia du regard de la pénétrer… Peu importe s’il l’avait enlevée puis attachée…
* Pitié, prends-moi ! *
Le regard d’Ayane trahissait maintenant l’envie imminente d’être prise par son tortionnaire…
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Elle lui lancait maintenant un regard suppliant rempli de désir, elle le voulait et il s'en amusa cette réaction était prévisible, il continua de sucer doucement son téton tout en la caressant, il sentait sa mouille chaude couler sur ses doigts quelle sensation agréable. Il avait très bien comprit ce qu'elle voulait et s'amusait à la faire attendre. Il la voyait se cambrer désireuse de s'offrir.
Il la lacha soudainement se relevant, elle dut se demander ce qu'il préparait mais il se contenta d'enlever son caleçon, désormais nu il revint sur le lit, il voyait que le désir de la petite avait encore augmenter, si c'était possible, il décida alors de la torturer de la pire facon qui soit vu son état. Il s'installa entre ses jambes et elle pu sentir son sexe dur entrer en contact avec le sien, mais au lieu de la pénétrer et de la prendre comme elle le désirait, il se contenta de positionner son sexe à l'entrée du sien et de rester comme ça.
Il avait posé ses mains sur sa poitrine et lui malaxait les seins, pincant légèrement les tétons pour les rendre plus sensible, ce devait être une torture pour elle de sentir son glan appuyé contre l'entrée de son sexe sans cependant y pénétrer.
Il se pencha en avant et lui retira son baillon il savait qu'elle ne crirait pas si ce n'est de plaisir.
"Alors ? A tu envie que je te prenne ?"
Tout en lui disant ça il était légèrement entré en elle, il avait juste introduit son glan et faisait de petits mouvements
Il la lacha soudainement se relevant, elle dut se demander ce qu'il préparait mais il se contenta d'enlever son caleçon, désormais nu il revint sur le lit, il voyait que le désir de la petite avait encore augmenter, si c'était possible, il décida alors de la torturer de la pire facon qui soit vu son état. Il s'installa entre ses jambes et elle pu sentir son sexe dur entrer en contact avec le sien, mais au lieu de la pénétrer et de la prendre comme elle le désirait, il se contenta de positionner son sexe à l'entrée du sien et de rester comme ça.
Il avait posé ses mains sur sa poitrine et lui malaxait les seins, pincant légèrement les tétons pour les rendre plus sensible, ce devait être une torture pour elle de sentir son glan appuyé contre l'entrée de son sexe sans cependant y pénétrer.
Il se pencha en avant et lui retira son baillon il savait qu'elle ne crirait pas si ce n'est de plaisir.
"Alors ? A tu envie que je te prenne ?"
Tout en lui disant ça il était légèrement entré en elle, il avait juste introduit son glan et faisait de petits mouvements
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