Bon séjour sur Saol Eile

Ayane ne comprit pas très bien pourquoi elle devait appeler Youjin maîtresse mais l’important était qu’elle était libre à présent. Elle salua et dit :

"Je suis enchantée de vous connaître, maîtresse !"

Puis, la main de Youjin, enfin de la maîtresse, vint effleurer et caresser doucement mon entrejambe. Je frémis et mes petites fesses commencent à remuer, initiant des mouvements de balancier pour mieux se frotter, je suis humide ! J’ai très envie d’elle. Elle a l’air si gentille ! Et elle est si belle !

Et puis, la main fut retirée et un petit signe de deception apparut sur mon visage. La maitresse avait de magnifiques ailes. Etait-ce normal ? Je m’en fichais. Je ne me posais pas la question car j’étais subjuguée par sa beauté.

Aux sources ou chez elle ? Chez elle ! Je lui répondis :

"J’aimerais beaucoup aller chez vous maitresse !"

Elle déploya alors ses ailes et vint me serrer pour s’envoler. Quelle sensation extraordinaire. En vol, je l’embrasse tendrement sur la joue. Quel miracle ! Je vole ! Jamais je n’avais pensé m’envoyer en l’air ainsi ! Mais la sensation est enivrante…

Et le manoir apparut ! Énorme bâtisse situé sur les hauteurs de ce quartier. Ainsi c’est donc là chez elle ? Waaaa, que c’est joli ! Moins qu’elle mais quand même !

Et doucement Youjin atterrit devant la porte. Je la regarde tendrement et suis très excitée de mon vol et de sa vue. Je lui fait alors mon plus beau sourire attendant la suite des réjouissances.

Alors se sera chez moi.. Parfait, on y sera tranquille, les autre sont dehors pour l’instant… Il ne pourrons pas me déranger… J’ai bien sentit que les caresses que je lui avait donnée ne suffisait pas, ce qui est logique aussi, je ne l’avait pas caresser pour la satisfaire mais simplement pour l’énerver un peu plus…

LE vol se passe calmement, au moins elle ne semble pas avoir peur de voler, c’est déjà bien, je ne supporte pas ces être qui on peur quand je m’envole avec eux, il ne me donne qu’un envie, celle de les lâcher et de les laisser s’écraser au sol… J’aime bien l’image que donne un corps écraser sur le bitume…

Enfin elle je ne veux pas encore la lâcher, quelque chose me dit que je pourrais lui faire faire facilement ce que je veux… Doucement je me pose devant la porte d’entrée, qui s’ ouvre rapidement, offrant a la jeune femme la vue d’un manoir de riche, dorure et autre vision de la richesse, un grand escalier avec un tapis rouge.. Bref quelque chose d’écrasant, comme les dizaine de soubrettes qui s’incline alors qu’elle pénètre dans le manoir…

Personnellement je ne leur prêtes aucune attention, tenant toujours la mains de la jeune femme , je m’avance tranquillement, mes ailes battant toujours dans mon dos…

« Tu est ici dans le manoir familial, mes appartement se situe au dernier étages. »

Doucement je la guide vers un ascenseur.. Bien oui on ne peut venir chez moi que par la, la porte de l’escalier, ne s’ouvrant pas souvent, j’aime ma tranquillité… Dans l’ascenseur je prend doucement la jeune femme dans mes bras, venant l’embrasser amoureusement, tendrement, mes mains courant sur son corps en douceur, comme si je la désirais plus que tout…

Dans quelque instant la porte s’ouvrira sur mon salon, un beau salon , grand et agréable… Mais pour l’instant je savoure le goût de sa bouche, la douceur de sa peau sous mes doigts.. J’ai bien envie de la croquer, d’ailleur je n’hésite pas longtemps, mes mains relevant son haut, pour que ma bouche puisse venir caresser la naissance de ces seins, fébriles mes doigts libérer ces seins, pour que ma bouche gourmande, viennes saisir un de ces tétons, pour e titiller, le savourer…

Youjin atterrit doucement devant une énorme bâtisse et Ayane lui offrit son plus beau sourire. La porte du manoir s’ouvre et Ayane ouvre de grands yeux ronds et dit spontanément :

"Comme c’est joli ! Enfin, hihi, pas autant que vous maîtresse !"

Les dorures, la richesse de ce lieu émerveillent la petite humaine. Mais ce qui émerveillait le plus la petite nymphomane, c’est que sa maîtresse la tienne par la main, et ça, ça n’avait pas de prix.

Elle lança un regard soumis à Youjin, lui implorant de l’embrasser et la prendre. Elle remua ses petites fesses et sentit un certain liquide couler le long de ses jambes. Sa petite culotte était trempée à présent et Ayane n’arrivait pas à se débarrasser de cette couleur rouge tomate qui chauffait tant ses mignonnes petites joues.

Une fois à l’intérieur de l’ascenseur, Youjin se fit plus entreprenante et ses mains parcoururent le petit corps de son esclave. Ayane frissonna de plaisir et était paralysée d’amour. Elle commença à gémir quelque peu :

"Oooh, maîtresse ! Ouiiiii, haan, hann !"

Qu’il est doux ce baiser. Qu’elles sont douces, les caresses de ma maîtresse. Et puis, elle soulève doucement le petit haut d’Ayane venant caresser la base de ses seins, soulevant également le petit soutien gorge rouge en coton. Ayane se cambre alors de plaisir. Encore plus lorsque la bouche de Youjin vient mordre le téton, le titillant et le savourant. Oui, Ayane a envie, très envie même. Elle se dandine, pousse des cris. Ses mains viennent chercher la forte poitrine de sa maîtresse et elle la caresse langoureusement.

Ayane veut se baisser, veut lécher sa maîtresse mais les portes de l’ascenseur l’en empêchent, s’ouvrant et dévoilant un salon de toute beauté. Magnifique, Ayane, dans un état déjà second et proche de l’orgasme, pousse un petit mêlant surprise et plaisir.

Ayane implore sa maitresse avec de grands yeux humides, emplis de désir et d’amour et murmure :

"Maitresse, je suis à vous…Faites de moi ce que vous voulez ! Prenez moi toute !"

Si je n’avait pas été aussi blindée pour les compliments, j’aurais put être flattée de ce regard amoureux dont me couve mon esclave, mais bon la cela me passe un peu au dessus de la tête bien sur j’aime se regard, mais bon j’en ai l’habitude… J’aime sentir ma proie humide, j’aime la sentir me désirer, il faut que j’apprivoise cette gamine, avant même de faire ce que j’aime le plus, je pense qu’il ne sera pas très difficile de la faire aller dans ma pièces privée…
J’adore les petite cris qu’elle pousse, cela me donne pas mal d’idée, oui mais il faut encore que je me retiennes, si je me laisse trop allez je vais l’abîmer et ça je ne le veux pas, pas encore du moins…

J’adore ces corps souples qui se cambre sous mes caresses, les femmes son tellement plus sensible que les hommes, il y a tellement plus a dévorer que chez un homme… Tellement plus a goûter… Cette main sur mon seins, elle me donne des envie de plus, mais doucement , je dois simplement la rendre folle de désir d’envie, pour que je puisse la manipuler a mon envie, lui donner plus que n’importe qui…

Dans un mouvement rapide, je lui enlève le haut, la faisant s’avancer dans le salon… Moui pas envie de le faire ici.. Sa mouille vas tacher le cuir de mes fauteuil … Un mouvement souple et je la soulève, bien oui je suis forte et puis la chambre n’est pas très loin… En douceur je la laisse tomber sur le lit, finissant de la mettre a nuit…
D’un mouvement qui se veut gourmand je viens reprendre ses tétons dans ma bouches, dévorant presque ces seins.. Quoi moi douce, non pas vraiment, mais rapidement ma main se glisse dans l’intimité humide de la jeune femme, la caressant avec douceur.. Avec passion aussi, mes doigts entrant en elle, pour les faire bouger rapidement, caressant chacun des paroies de la jeune femme, pour la faire monter au paradis…

Pourtant au moment ou je sent qu’elle vas jouir je me retire… Souriantes.. Doucement je me redresse.. Mon regard d’ambre, virant au doré profond…. Oui je sais… J’aurais put continuer, dans un mouvement sensuelles, je porte mes doigts a ma bouche, savourant le goût de la jeune femme…

Me redressant je fait tomber un a un mes vêtements dévoilant mon corps parfait… Un corps attirants mais je ne reviens pas sur la jeune femme…. Pas encore…

« Ne bouge pas ma chérie… »

D’un mouvement souple je vais chercher quelque chose dans l’armoires.. Bah y a pas mal de chose dans cette armoire.. Bon ou ais-je fichu cette chose.. Ha voilà.. Ma jolie ceinture… Un petit rire m’échappe… Alors que je la passe doucement, gémissant en sentant le god entrer dans mon intimité, c’est un peu douloureux… Je ne me suis pas préparées.. Mais c’est agréable… Quand je me retourne vers la jeune femme, elle peux voir que je suis équipée comme un homme sauf que c’est du plastique.. De mon pas souple je reviens vers la jeune femme, venant a quatre patte pour lui lécher en douceur son intimité… Avant de remonter, lentement.. Mon god venant caresser pour finir son intimité sans la pénétrer, je veux qu’elle perde complètement pieds.. Je reste immobile au dessus d’elle, qu’elle agisse la petite…

Ayane est trempée et emplie de désir. Doucement, elle avance dans le salon, contemplant le luxe et la richesse de l'endroit. Le canapé en cuir a l'air délicieusement moelleux et le regard de la jeune esclave se fige dessus.

Mais avant qu'elle n'ait pu faire quoique ce soit, sa maîtresse décide de passer la vitesse supérieure et lui enlève son haut, dévoilant une poitrine où les tétons pointent déjà et soutenue par un soutien gorge rose en coton.

Et Ayane se sentit portée et posée sur un grand lit douillet. Elle souriait. Il faut dire que la petite humaine respirait la joie de vivre et souriait constamment. Puis sa maîtresse la déshabilla entièrement, lui enlevant son soutien gorge, puis son petit short noir et enfin sa petite culotte rose trempée par les eaux du désir.

Youjin continua son travail en venant sucer à nouveau les petits tétons roses et pointues de l'humaine puis elle introduit deux doigts dans son intimité qu'elle fit bouger très rapidement, caressant toutes les parois vaginales d'Ayane.

Ayane se tortillait, gémissait de plaisir, agrippait sa maîtresse avec envie et avec de grands yeux emplis de désir et de reconnaissance.

Et puis, au moment où elle allait venir, Ayane sentit avec une pointe de tristesse, les doigts de sa maitresse, se retirer et la contempla les léchant goulument.

Et le regard d'Ayane se fit encore plus beau lorsqu'elle découvrit le corps maintenant nu de Youjin. Elle se tortillait, suppliait d'envie. Elle murmura :

"Prends moi, je t'en supplie !"

Comme si Youjin avait anticipé ce moment, elle se dirigea vers le placard et sortit un objet assez hétéroclite qu'elle enfila. Ayane ne dit rien mais n'en pensait pas moins.

Puis Youjin revint vers elle et commença à la lécher. Ayane avait très chaud, était rouge et poussait des petits cris. Son accessoire en plastique vint alors caresser l'intimité d'Ayane qui en frémit de plaisir et poussa de nombreux cris de suppliques envers sa maitresse.

Puis quand elle eut fini, Youjin était au dessus de la petite esclave. Ayane n'en demandait pas tant et décida de lui montrer à son tour son amour.

Elle se releva légèrement et ses mains parcoururent tout le corps de Youjin, tendrement. Elles massaient les épaules, puis le dos, les fesses, caressèrent l'entrejambe de Youjin, effleurèrent son god, remontèrent sur le bas ventre, hérissèrent les poils pubiens, massant le bas ventre pour finalement remonter à la poitrine. Là, la bouche d'Ayane prit le relais et vint lécher la poitrine de sa maitresse. Tout d'abord, ses lèvres tournèrent autour des tétons de sa maîtresse, dans le sens des aiguilles d'une montre, s'amusant avec le désir de Youjin. Une fois ce petit jeu fini, Ayane plaqua complètement sa bouche et engloutit le sein droit. Une de ses mains vint masser le sein gauche et de l'autre, elle caressa l'intérieur des cuisses de sa maîtresse, zone érogène par excellence.

Et puis, sa bouche changea de sein et sa main aussi, son autre main caressait toujours les cuisses de Youjin en dessinant des petits cercles concentriques.

Et encore après, la bouche d'Ayane se dirigea vers les jambes de sa maitresse. Elle lui lécha d'abord un pied, puis sa langue remonta sur le mollet, le genou et enfin la cuisse. Ses mains titillaient alors sans relache les tétons de Youjin. Une fois le léchage de la première jambe achevée, elle recommença sur l'autre jambe.

Et puis, lorsque sa bouche fut remonté au niveau du god, la petite langue rose d'Ayane lécha par petits coups le god avec envie puis sa bouche termina son trajet sur les lèvres de Youjin, et sa petite langue tenta d'aller chercher celle de youjin, tendrement. Ses mains massant tour à tour la poitrine de la belle ou l'intérieur de ses cuisses. Ayane murmura :

"Vous êtes si belle..."

Ayane, un bon choix a mon avis, j’aime ce genre de femme, ce genre de damoiselle qui semble toujours avoir faim de sexe, je me demande, si mes esclaves pourrons la satisfaire, oui sûrement, si il y passe tous, mais le moment n’est pas venus de l’offrire au autres, il y a d’autre chose qu’elle doit apprendre…
J’aime l’entendre gemir sous moi, en fait j’aime quand le desir est naturel, avec elle pas besoin de mes aphrodisiaque, elle s’emballe toute seule.. JE sais déjà que si quelqu’un lui fait plus de mal que de bien il le payera, je ne veut pas qu’on me la casse, comme je peut me fiche des hommes, je protége plus farouchement les femmes qui sont sous ma protection….

J’aime faire attendre les gens qui me désir, la jeune femme doit apprendre que plus on attends, meilleur sera le goût de la jouissance… Plus savoureux sera le moment de la libérations… J’aime l’entendre me supplier, mais il faudra plus que cela pour que je craque.. Pour que je lui donne satisfaction…

Dieu que ces cris son existant, me donnant des idées des plus malsaine, la salle a coté de ma chambre, serais parfaite pour la jeune femme, mais il faut que je la fasse jouir au moins une fois qu’elle soient mienne totalement… Et je pense savoir comment faire pour qu’elle fasse tous ce que je veux…

C’est mains sur son corps, dieux que j’aime cela, les mains des femmes sont tellement plus douce que celle d’un homme… Cette bouche sur ces seins, envie de gémir, en fait je le fait pas besoin de me gêner… Des gémissement, le plaisir montant rapidement en moi, depuis combien de temps je n’avait plus vraiment désirer quelqu’un…

Quand je sentit les lèvres de la jeune humaines sur mes pieds je souris, parfait, cette gamines est vraiment parfaite, je pourrais en faire ma petite soumise, sans peine, oui il suffit d’un mots pour qu’elle m’appartiennes.. Un rire encore quand elle lécher mon god, faisant monter mon envie..
Un baiser que je lui donne passionner presque amoureux… Et doucement la pousser sur le lit, et la pénétrer d’un coup de mon god.. Me faisant gémir simplement parce que le mien bouge également… .. Mes mains sur ces poignets pour les tenir au dessus de sa tête, je l’emprisonne de mon poids de mes yeux…

« Tu est a moi.. Mon ange… Toute a moi.. »

Les mots était prononcer avec un possessivité qui se rapprochait de celle de l’amour, comme la lueur dans mes yeux, oui je jouait bien la comédie, mais cette fille était a moi .. D’un mouvement souple, je commence a bouger, sans lâcher les mains de la jeune femme me penchant pour prendre la pointe d’un de ces seins dans ma bouche, mes mouvement son rapide, violent presque, mais passioner ,je veut que lui donner du plaisir pas lui faire de mal…

Ayane sent sa maîtresse prolonger le tendre baiser et ses mains se font encore plus caressantes. Elle se sent repoussée sur le lit et se laisse faire, puis la pénétration se fait subite, violente et jouissive. Ayane ne peut réprimer un petit cri lorsqu'elle sent, surprise, le jouet de sa maitresse pénétrer en elle, d'un coup, d'un seul:

"Haaaaaan"

Puis Ayane veut caresser à nouveau sa maitresse, lui faire plaisir et sa main se dirige vers ses tétons, mouvement avorté car Youjin, tient à présent plaqués les poignets d'Ayane, entravant le moindre de ses mouvements par le poids du corps sur le sien. Sa bouche vient mordiller le téton d'Ayane et cette dernière gémit de plus belle.

Les mouvements se font encore plus rapides, encore plus violents et l'entrenjambe d'Ayane est à présent trempé. La petite humaine voudrait bien donner elle aussi, mais emprisonnée entre l'appel du désir imminent et la force de Youjin, celle-ci ne peut simplement pas bouger.

Elle voudrait pourtant donner du plaisir à sa maitresse...

Ayane essaye de se tortiller mais pas le moindre effet ne se produit, non, au lieu de ça, elle sent le jouet de sa maitresse en elle. Très gros jouet pour le petit vagin d'Ayane, mais le plaisir en est plus fort.

Ayane n'est pas très épaisse, ni très grande, alors son intérieur est à son image. Et puis, elle sent qu'elle va venir. Tout son corps tressaille et elle voudrait embrasser sa maitresse, se libérer de son étreinte.

Elle gémit de plus belle, non, elle hurle de plaisir maintenant, ses yeux humides implore sa maitresse de sa gratitude, la suppliant de se retirer tellement le plaisir devient fort, trop fort...

Tout son corps semble s'enfoncer dans le matelas, retombant d'une tension orgasmique qui a été terrible. Maintenant, Ayane est ailleurs, et un petit sourire est dessiné sur ses lèvres...

Un simple murmure en conclusion:

"Ooooh maitresse, vous êtes la plus douée..."

Les cris que pousse la petit son plaisant, j’adore les entendre, j’adore aussi voir son corps bouillir, j’adore le voir.. Oui j’aime tous cela, ca fait bien longtemps qu’une personne ne m’avait plus plue comme cela, allez savoir pourquoi j’en avait envie, j’avait aussi envie qu’elle fasse une bêtise pour que je puisse la punir, jouer dans la salle d’a coté avec elle… J’aime la voir se démener pour échapper a ma poigne, j’aime qu’elle ne puisse plus bouger…

Parce que comme cela je suis totalement la maîtresse, personne ne peut m’échapper, même pas elle, chacun de mes mouvement me faisait gémir, les deux god qui était en moi bougeant en rythme, j’adore cette sensation.. Et je sens le plaisir assez proche, ce qui est rares, mais cette fille m’existe étrangement..

J’aime la voir comme cela sous moi.. C’est si plaisant, jen’ai jamais regretter d’être née femme, enfin si mais il y a longtemps, alors qu’il me violait, je leur ai fait payer.. Au centuples… J’aime entendre hurler la gamine, je veut lui donner le plus possible qu’elle soient a moi qu’elle m’obéisse a tout instant.. Oui cela sera amusant…

Je souris, je sais reconnaître quand quelqu’un viens de jouir, moi j’en suis encore lon, mais bon après autant d’année c’est normale, j’ai toujours eu du mal a prendre autant de plaisir qu’elle.. Doucement je me retire d’elle.. Retirant aussi ma ceinture pour venir ensuite me recoucher prés d’elle… la prenant délicatement dans mes bras…

« Tu a été parfaite, mon amour… »

Un baiser sur le front, alors que je la serre tout contre mon corps, elle doit être fatiguée n’est pas… Alors autant dormir.. Doucement caresser les cheveux de la jeune femme, elle sait déjà ce que veut faire le Kakon, elle a des espion partout elle aussi… Si sa petit esclave prend du plaisir et on s’amusera…

[tu peut faire la suite.. Comme si c'était aprs qu'aido t'aille déposer ^^]

Ayane allait venir sous les coups de butoir de Youjin et ne se retint pas. Elle gémissait, se débattait faussement et finalement elle vint.

"Ouiiiiiiiii, oh maitresse, je vous aime...Ouiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiii... Han"

Youjin se retira alors et se déharnacha puis vint s'allonger près d'une Ayane tremblante et fatiguée, mais dont le regard transpirait la gratitude et l'amour pour sa maitresse.

Elle était extrêmement fatiguée et quand Youjin embrassa son front, elle plongea dans les bras de morphée, non sans serrée très fortement sa maitresse qu'elle aimait tant.

[Quelques jours plus tard]

Ayane pénétra dans le manoir des Tenshi après qu'Aido l'ai laissé. Elle espérait que sa maîtresse ne remarque pas les traces sur les cuisses et son état de fébrilité suite aux rapports plutôt violents avec Aido.

Elle marcha sur la pointe des pieds, prit l'ascenseur et appuya sur le bouton de l'étage de Youjin. Hormis le fait qu'elle ne portait évidemment pas les mêmes vêtements que quand elle était partie, que les rapports avec Aido avaient laissé des marques sur son corps, Ayane ne voulait pas que sa maîtresse le sache. A vrai dire, elle les aimait tous les deux Aido et Youjin mais différemment...

Elle essaya de remettre sa jupe correctement, de bien cacher les marques de ses cuisses et d'avoir l'air normale lorsque les portes s'ouvriraient. Faite que Youjin ne soit pas là et qu'elle ne remarque rien...

Les portes s'ouvrirent et Ayane prit son plus pas de velours pour ne faire aucun bruit à son arrivée, elle regarda le canapé et quand elle fut sure qu'il n'y avait personne dans la pièce, elle se mit à longer les murs, ramper derrière les meubles et tout ceci pour accéder à la chambre.

Une fois la main sur la poignée, elle prit une profonde inspiration et entra. Personne, ouf !

Elle soupira fortement, un petit bruit la fit sursauter et elle poussa un cri de surprise :

"HIIIIIIII"

Elle sentait la présence de sa maitresse derrière elle mais était trop tétanisée pour faire le moindre mouvement. Elle priait silencieusement pour que Youjin ne lui fasse pas payer son enlèvement...

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