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arrivé sur le port, yuya fut tiré avec des chaines sur le quai. Elle etait habillée d'une grande robe blanche assez legere, elle n'avait pas fait expret pourtant .... Beaucoup la regarderent, le sourire aux levres. Yuya n'avait pas l'habitude de ce genre de regard, elle avanca sur le pont. Les paumettes rougeâtres, elle tribuche et tombe dans l'eau. Beaucoup rierent de sa malchance, elle sort de l'eau, de force par cette brute pensant a l'argent qu'il gagnera encore aujourd'hui.
"AVANCE !!!"
ordonna t il. La robe blanche etait maintenant transparente, les cheveux detachés et mouillés, elle avance vers la place de marché
Beaucoup de bruits, de regards, Yuya etait mal a l'aise. PLeins de pensées lui traversées la tete. Cependant, elle avance a contre coeur; vers l'estrade, ou plein dautres filles et hommes, aussi bien enfant que adulte
(quelle horeur ...)
Certains pleurés, d'autre priés, yuya elle resta silencieuse, les yeux dans le vide
"MESDAMES ET MESIEURS? APPROCHEZ !!!!"
Des regards curieux se tournes
"VOICI SOUS VOS YEUX EMERVEILLES, UNE TOUTE NOUVELLE RECRUE VENANT DES QUARTIERS RICHES DU JAPON !!! ENCORE VIERGE ET PURE !! OBEISANTE COMME UNE CHIENNE !!! J'ATTENDS VOTRE OFFRE, VOUS NE LE REGRETERAI PAS !!!"
Cet hurleur etait gros et sale, pourtant il arrivait a attirer la foule, tellement sa voix porté. Tout en parlant, il tira la chaine pour monter ses rodeurs, et pour ne pas facilité la tache, elle rougit de honte. Elle reste neanmoins silencieuse, la peur au ventre
"AVANCE !!!"
ordonna t il. La robe blanche etait maintenant transparente, les cheveux detachés et mouillés, elle avance vers la place de marché
Beaucoup de bruits, de regards, Yuya etait mal a l'aise. PLeins de pensées lui traversées la tete. Cependant, elle avance a contre coeur; vers l'estrade, ou plein dautres filles et hommes, aussi bien enfant que adulte
(quelle horeur ...)
Certains pleurés, d'autre priés, yuya elle resta silencieuse, les yeux dans le vide
"MESDAMES ET MESIEURS? APPROCHEZ !!!!"
Des regards curieux se tournes
"VOICI SOUS VOS YEUX EMERVEILLES, UNE TOUTE NOUVELLE RECRUE VENANT DES QUARTIERS RICHES DU JAPON !!! ENCORE VIERGE ET PURE !! OBEISANTE COMME UNE CHIENNE !!! J'ATTENDS VOTRE OFFRE, VOUS NE LE REGRETERAI PAS !!!"
Cet hurleur etait gros et sale, pourtant il arrivait a attirer la foule, tellement sa voix porté. Tout en parlant, il tira la chaine pour monter ses rodeurs, et pour ne pas facilité la tache, elle rougit de honte. Elle reste neanmoins silencieuse, la peur au ventre
Invité
Invité
Une nouvelle journée dans la vie de ce gros chat fêtard de Ran. Le boulot au casino l’embêtait quelque peu et sa présence n’était pas indispensable. Aujourd’hui il allait plutôt consacrer sa journée à faire ce qu’on lui demandait de faire depuis un moment, c'est-à-dire se trouver un ou une esclave personnel. L’idée ne l’emballait pas des masses mais bon, même si chez les Meiroo on est un peu laxiste, tout le monde doit se plier à la tradition et chaque membre, à plus forte raison ceux de la branche principale, se doivent d’avoir au moins un esclave personnel. Ran détestait le marché aux esclaves, ici, l’air empestait le vice et l’oppression, ce qui était particulièrement gênant pour un grand amateur de liberté comme lui. Aujourd’hui, il était vêtu de manière assez simple, pantalon sport noir et t-shirt bleu assortit à sa queue et ses cheveux, un bandeau qui tenait ses cheveux en arrière et passait juste au dessus de ses oreilles de chat. Il portait également un bracelet marqué du blason des Meiroo, une pièce fabriqué pour lui.
Vraiment craignos comme coin… bon allez, je ramasse une esclave et je me casse vite fait…
Alors qu’il passait devant les différentes boutiques, son attention fut captée par une estrade où un homme du genre à avoir un peu trop d’amour pour la bonne bouffe ventait les qualités d’une jeune humaine comme si ce n’était que du bétail. Ran jeta un œil vers l’humaine et se sentit attiré. Grâce à son agilité, il passa la foule et atterrit les mains dans les poches, sur l’estrade juste en face de la jeune fille, se moquant royalement des autres clients et du vendeur. Elle était très belle, de beau yeux bleus, de longs cheveux violets et ce petit truc indescriptible qui la rendait absolument adorable. Ran la regarda avec son grand sourire sympathique et innocent.
Salut. Toi tu m’as l’air sympa, comment t’appelles-tu ?
Minutes boule de poil, y’en a d’autres qui sont intéressé !
Cette voix venait d’un homme au premier rang. Ran se tourna dans sa direction et sourit dès qu’il le vit avant de se placer juste à ses côtés.
Pas de bol mon pote car j’ai bien l’intention de ramener cette jeune fille avec moi, à moins que tu n’ais envie de me la contester. Mais dans ce cas, monsieur le boulet, je me permets de te rappeler ce qui t’es arrivé au Tetsuya il y a deux jours…
L’homme déglutit violemment alors que Ran souriait. Malgré les apparences, il était très malin et se rappelait parfaitement de cet homme qu’il avait dû jeter en main propre du casino. L’homme quant à lui, se rappela soudainement cet épisode et surtout la partie où Ran se transformait en chat géant et où il avait faillit se faire trancher la carotide. Il décida soudain d’aller voir ailleurs et le regard de Ran sur la foule calma tout protestataire, de ce point de vue, c’était réglé. Il revint ensuite vers l’estrade et fut cette fois accueillit par le boulet, pardon, le vendeur, qui ayant remarqué le symbole au poignet de Ran, sentait le très bon client…
Celle-ci vous intéresse monseigneur ? Une magnifique esclave jeune et fraîche, déjà soumise, vous n’aurez peut-être même pas besoin de la dresser ! Pour vous, seulement 1500 monseigneur !
Dis-moi… Je crois que tu as des dettes au Tetsuya ? Tu es sûr d’avoir dis 1500 ? Moi j’ai comprit 500 mais je peux me tromper… Faudra que j’aille voir les comptables un de ces quatre aussi…
L’homme commença à transpirer, Ran feignait très bien l’innocence mais le vendeur comprit vite qu’il avait à faire à trop fort pour lui, inutile de prendre des risques, surtout pour une seule esclave.
B-bien entendue Monseigneur, 500 nous disions…
Parfait !
Il paya le marchand et se retourna vers sa nouvelle acquisition à qui il fit un grand sourire.
Voilà ! Maintenant tu es à moi. Tu n’as pas à avoir peur, je ne te ferais aucun mal, c’est juré.
Vraiment craignos comme coin… bon allez, je ramasse une esclave et je me casse vite fait…
Alors qu’il passait devant les différentes boutiques, son attention fut captée par une estrade où un homme du genre à avoir un peu trop d’amour pour la bonne bouffe ventait les qualités d’une jeune humaine comme si ce n’était que du bétail. Ran jeta un œil vers l’humaine et se sentit attiré. Grâce à son agilité, il passa la foule et atterrit les mains dans les poches, sur l’estrade juste en face de la jeune fille, se moquant royalement des autres clients et du vendeur. Elle était très belle, de beau yeux bleus, de longs cheveux violets et ce petit truc indescriptible qui la rendait absolument adorable. Ran la regarda avec son grand sourire sympathique et innocent.
Salut. Toi tu m’as l’air sympa, comment t’appelles-tu ?
Minutes boule de poil, y’en a d’autres qui sont intéressé !
Cette voix venait d’un homme au premier rang. Ran se tourna dans sa direction et sourit dès qu’il le vit avant de se placer juste à ses côtés.
Pas de bol mon pote car j’ai bien l’intention de ramener cette jeune fille avec moi, à moins que tu n’ais envie de me la contester. Mais dans ce cas, monsieur le boulet, je me permets de te rappeler ce qui t’es arrivé au Tetsuya il y a deux jours…
L’homme déglutit violemment alors que Ran souriait. Malgré les apparences, il était très malin et se rappelait parfaitement de cet homme qu’il avait dû jeter en main propre du casino. L’homme quant à lui, se rappela soudainement cet épisode et surtout la partie où Ran se transformait en chat géant et où il avait faillit se faire trancher la carotide. Il décida soudain d’aller voir ailleurs et le regard de Ran sur la foule calma tout protestataire, de ce point de vue, c’était réglé. Il revint ensuite vers l’estrade et fut cette fois accueillit par le boulet, pardon, le vendeur, qui ayant remarqué le symbole au poignet de Ran, sentait le très bon client…
Celle-ci vous intéresse monseigneur ? Une magnifique esclave jeune et fraîche, déjà soumise, vous n’aurez peut-être même pas besoin de la dresser ! Pour vous, seulement 1500 monseigneur !
Dis-moi… Je crois que tu as des dettes au Tetsuya ? Tu es sûr d’avoir dis 1500 ? Moi j’ai comprit 500 mais je peux me tromper… Faudra que j’aille voir les comptables un de ces quatre aussi…
L’homme commença à transpirer, Ran feignait très bien l’innocence mais le vendeur comprit vite qu’il avait à faire à trop fort pour lui, inutile de prendre des risques, surtout pour une seule esclave.
B-bien entendue Monseigneur, 500 nous disions…
Parfait !
Il paya le marchand et se retourna vers sa nouvelle acquisition à qui il fit un grand sourire.
Voilà ! Maintenant tu es à moi. Tu n’as pas à avoir peur, je ne te ferais aucun mal, c’est juré.
Ranmaru Meiroo
Ainoko Libre
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294
Maître de :
Sacha Anateiva
Il faisait jour, et le temps etait magnifique. Il y avait foule, et beaucoups de demandeur. Le marchand arrivait a fair fuir certain dûe au prix exorbitant. Yuya baissa les yeux, elle etait reduite au statut d'esclave, rien de plus humiliant a ses yeux. Pourtant ici, ca semblait etre normal, presque une mode. Beaucoups la touchait, lui parlait, mais elle faisait style de rien entendre, de rien voir.
Pourtant, un homme traversa la foule, il atteris devant elle, elle avait le yeux baissés. A peine avait il idt un mot, qu'elle leva la tete, elle le regarda dans les yeux avec un air triste
".... Yuya ...."
elle ne voulait pas trop parler, elle etait intimidée et neurtrie. Il lui sourit innocement, elle, elle n'y arrivait pas.
Un homme commence a debattre, a lui dire qu'il fallait debattre son prix, il le rembale. Yuya regarde la scene, muette.
Apres l'avoir achetée aupres du marchand,il se tourne dans sa direction, toujours avec se sourire sympathique. Elle ecoute ses paroles. Les chaines encore aux poignets et aux pieds, elle se leve lourdement, le marchand arrive et tend les clefs au proprietaire, puis retourne vendre ses autres marchandises
Yuya se tenait pres de l'inconnu, maintenant son maitre
"...."
elle ne repondit pas, elle se contentait de le suivre pour le moment, sans sourire, sans mots, sans courir ...
(va t il me faire du mal ? maintenant ... que va t il se passer ? ....)
Pourtant, un homme traversa la foule, il atteris devant elle, elle avait le yeux baissés. A peine avait il idt un mot, qu'elle leva la tete, elle le regarda dans les yeux avec un air triste
".... Yuya ...."
elle ne voulait pas trop parler, elle etait intimidée et neurtrie. Il lui sourit innocement, elle, elle n'y arrivait pas.
Un homme commence a debattre, a lui dire qu'il fallait debattre son prix, il le rembale. Yuya regarde la scene, muette.
Apres l'avoir achetée aupres du marchand,il se tourne dans sa direction, toujours avec se sourire sympathique. Elle ecoute ses paroles. Les chaines encore aux poignets et aux pieds, elle se leve lourdement, le marchand arrive et tend les clefs au proprietaire, puis retourne vendre ses autres marchandises
Yuya se tenait pres de l'inconnu, maintenant son maitre
"...."
elle ne repondit pas, elle se contentait de le suivre pour le moment, sans sourire, sans mots, sans courir ...
(va t il me faire du mal ? maintenant ... que va t il se passer ? ....)
Invité
Invité
La jeune fille, Yuya, se leva lourdement, le visage neutre et fermé. C’était normal à bien y regarder, elle était nouvelle sur l’île et tout devait lui paraître si irréel, surtout de se retrouver esclave du jour au lendemain. Quand le marchand lui apporta les clés, Ranmanru s’empressa de lui enlever ses chaînes aux pieds et aux poignets, il savait qu’elle n’avait pas envie de s’enfuir, où irait-elle sur une île où tout les humains sont des esclaves ?
Voilà, comme ça tu vas te sentir bien mieux. Au fait j’ai oublié de me présenter, je suis Ranmaru Meiroo mais entre nous tu peux m’appeler Ran.
Le jeune Neko ne perdait rien de sa bonne humeur alors qu’il emmenait la jeune fille avec lui. Cependant il s’inquiétait de l’état de Yuya, elle semblait encore sous le choc.
Ca n’a pas l’air d’aller mais je crois comprendre. Je suppose que c’est la première fois que tu vois des gens qui ont une part animale en eux ? Cette île n’est pas comme le reste du monde, ici tout les humains sont des esclaves mais tu n’as pas à t’inquiéter, je t’expliquerais comment tout fonctionne ici, tu verras, c’est très simple. Et puis tu sais, en générale, les jolies filles comme toi sont achetés pour servir d’esclave sexuelle et être abusée à longueur de journée mais moi je ne suis pas comme ça alors souris ! Tu as beaucoup de chance dans ton malheur crois-moi.
Ran se lâchait pas son sourire. Oui, la jeune fille avait quand même beaucoup plus de chance que la plupart des autres esclaves…
Voilà, comme ça tu vas te sentir bien mieux. Au fait j’ai oublié de me présenter, je suis Ranmaru Meiroo mais entre nous tu peux m’appeler Ran.
Le jeune Neko ne perdait rien de sa bonne humeur alors qu’il emmenait la jeune fille avec lui. Cependant il s’inquiétait de l’état de Yuya, elle semblait encore sous le choc.
Ca n’a pas l’air d’aller mais je crois comprendre. Je suppose que c’est la première fois que tu vois des gens qui ont une part animale en eux ? Cette île n’est pas comme le reste du monde, ici tout les humains sont des esclaves mais tu n’as pas à t’inquiéter, je t’expliquerais comment tout fonctionne ici, tu verras, c’est très simple. Et puis tu sais, en générale, les jolies filles comme toi sont achetés pour servir d’esclave sexuelle et être abusée à longueur de journée mais moi je ne suis pas comme ça alors souris ! Tu as beaucoup de chance dans ton malheur crois-moi.
Ran se lâchait pas son sourire. Oui, la jeune fille avait quand même beaucoup plus de chance que la plupart des autres esclaves…
Ranmaru Meiroo
Ainoko Libre
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Maître de :
Sacha Anateiva
Yuya se retrouva sans chaines, elle ne comprenait pas. C'est vrai qu'elle avait l'idee de partir, mais pour aller ou ? Elle reste aux cotes de Ran, tout en massant ses poignets rouges, usés par la chaine rouillée
L'inconnu se presenta, Yuya le regarde sans rien dire. Tout semblé beau pour lui, pour le moment, elle vivait l'enfer. Meme s'il parressait tres gentil, elle etait quand meme son esclave, vendu par un etrangé qui l'avait taté comme un vulgaire butin. Profitant de sa liberté, elle arrange ses vetements encore humide
Ran etait tellement joyeux, il parlait simplement, pas de discourt philosophique ni politique, il etait simple malgres son pouvoir. yuya avance pres de lui, restant quand meme sur ses gardes
" ... Ran .... je vous ... remercie de m'avoir ... prise ..."
Yuya etait reconnaissante sans vraiment l'etre, elle l'ecouta parlait encore
"de la chance ? hum, on verra bien ..."
Elle le regarde discretement, oui, elle n'osait pas trop le regarder, il avait des yeux verrons, ceux les rendaient captivants et hypnotisants
" ou ... ou est ce que l'on va ?"
Yuya resta pres de lui, sans trop l'etre, legerement en arriere
L'inconnu se presenta, Yuya le regarde sans rien dire. Tout semblé beau pour lui, pour le moment, elle vivait l'enfer. Meme s'il parressait tres gentil, elle etait quand meme son esclave, vendu par un etrangé qui l'avait taté comme un vulgaire butin. Profitant de sa liberté, elle arrange ses vetements encore humide
Ran etait tellement joyeux, il parlait simplement, pas de discourt philosophique ni politique, il etait simple malgres son pouvoir. yuya avance pres de lui, restant quand meme sur ses gardes
" ... Ran .... je vous ... remercie de m'avoir ... prise ..."
Yuya etait reconnaissante sans vraiment l'etre, elle l'ecouta parlait encore
"de la chance ? hum, on verra bien ..."
Elle le regarde discretement, oui, elle n'osait pas trop le regarder, il avait des yeux verrons, ceux les rendaient captivants et hypnotisants
" ou ... ou est ce que l'on va ?"
Yuya resta pres de lui, sans trop l'etre, legerement en arriere
Invité
Invité
Ran avait beau avoir l’air détendue en permanence, il avait en fait toujours l’œil ouvert et observait attentivement ce qu’il se passait autour de lui. Et là il remarqua clairement que la jeune fille était méfiante.
Tu n’as pas besoin de me remercier Yuya, tu restes une esclave après tout et je sais que ce n’est pas facile pour toi.
Il avait eu l’air un peu mélancolique sur le coup mais se rattrapa et reprit son visage souriant.
Oui, tu as de la chance, chez nous les Meiroo, on est tous bons fêtards, y’ a que des gens sympa chez nous et on est la plus cool des sept grandes familles. Si t’étais tombé chez les Ankoku ou les Kakon, tu ferais pas la même tête crois moi.
La jeune fille semblait éviter son regard toujours méfiante, visiblement c’était pas gagné pour avoir sa confiance mais Ran était patient et puis c’était quelqu’un de bien, la jeune fille finirait part l’apprécier et une fois qu’elle connaitrait un peu mieux les mœurs de l’île, elle se rendrait compte de la chance qu’elle a de travailler chez les Meiroo.
Et bien pour le moment, on va chez moi… Enfin, là où j’habite, à la demeure de la famille Meiroo, j’y ai mes propres quartiers. Une fois là-bas tu pourras manger et surtout te changer car je suppose que cette robe humide ne doit pas être agréable.
Ces marchands d’esclaves n’ont vraiment aucune morale, comment laisser cette jeune fille dans un tel état ? C’est un coup à tomber malade et vu les soins fournis sur le marché…
Tu n’as pas besoin de me remercier Yuya, tu restes une esclave après tout et je sais que ce n’est pas facile pour toi.
Il avait eu l’air un peu mélancolique sur le coup mais se rattrapa et reprit son visage souriant.
Oui, tu as de la chance, chez nous les Meiroo, on est tous bons fêtards, y’ a que des gens sympa chez nous et on est la plus cool des sept grandes familles. Si t’étais tombé chez les Ankoku ou les Kakon, tu ferais pas la même tête crois moi.
La jeune fille semblait éviter son regard toujours méfiante, visiblement c’était pas gagné pour avoir sa confiance mais Ran était patient et puis c’était quelqu’un de bien, la jeune fille finirait part l’apprécier et une fois qu’elle connaitrait un peu mieux les mœurs de l’île, elle se rendrait compte de la chance qu’elle a de travailler chez les Meiroo.
Et bien pour le moment, on va chez moi… Enfin, là où j’habite, à la demeure de la famille Meiroo, j’y ai mes propres quartiers. Une fois là-bas tu pourras manger et surtout te changer car je suppose que cette robe humide ne doit pas être agréable.
Ces marchands d’esclaves n’ont vraiment aucune morale, comment laisser cette jeune fille dans un tel état ? C’est un coup à tomber malade et vu les soins fournis sur le marché…
Ranmaru Meiroo
Ainoko Libre
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Maître de :
Sacha Anateiva
Yuya etait mal dans sa tete, c'est vrai qu'elle n'etait pas tres limpide, elle ne l'a vraiment jamais ete. Vu la vie qu'elle menait avant d'etre la, c'est vrai que ca ne change pas vraiment. Ran discutait volontier avec elle, il la tutoyait tout en souriant
"les septs grandes familles ?"
Yuya ne comprenait pas tout. Tout etait nouveau pour elle, il lui avait dis qu'il lui apprendrait tout d'ici. Elle precipite son pas pour etre a sa hauteur.Elle n'osait pas encore le regarder
"chez vous ? c'est loin d'ici ?"
Yuya arrivait peu a peu a parler un peu plus, les bras le long du corps, elle reste pres de lui esseyant de marcher a la meme vitesse
"Ran ? si vous avez beaucoups d'esclave chez vous, pourquoi est ce que vous me prenez moi ?"
pour elle s'etait evident
tout etait noir dans sa tete. Ils marcherent longtemps.
"les septs grandes familles ?"
Yuya ne comprenait pas tout. Tout etait nouveau pour elle, il lui avait dis qu'il lui apprendrait tout d'ici. Elle precipite son pas pour etre a sa hauteur.Elle n'osait pas encore le regarder
"chez vous ? c'est loin d'ici ?"
Yuya arrivait peu a peu a parler un peu plus, les bras le long du corps, elle reste pres de lui esseyant de marcher a la meme vitesse
"Ran ? si vous avez beaucoups d'esclave chez vous, pourquoi est ce que vous me prenez moi ?"
pour elle s'etait evident
tout etait noir dans sa tete. Ils marcherent longtemps.
Invité
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Le malaise de Yuya ne semblait pas vouloir se dissiper et c’était assez logique vu sa situation, Ran allait devoir lui expliquer les choses en détails pour qu’elle comprenne vite où elle avait atterrit…
Sur cette île, la vie des Ainokos est régie par sept clans que l’on appelle les sept grandes familles, j’appartiens à la ligné principale de l’une d’entre elle : les Meiroo. Chaque famille a officieusement sa « spécialité » si je peux dire, nous on est les fêtards de base.
Ran tourna ses yeux vairons vers la jeune fille qui ne semblait pas à l’aise et se rappela qu’elle devait être épuisée par ses épreuves. Lui était venue à pieds, c’était un chat qui aimait trop flâner pour s’encombrer d’utiliser une voiture mais il aurait peut-être du aujourd’hui.
Hum… techniquement, il y a un peu de chemin à faire… la demeure de mon clan est dans le quartier résidentiel, un lieu plus calme qu’ici. Si tu es fatigué, je peux te porter, ca ne me gêne pas.
Lui avait-il répondu avec son grand sourire. Lui ne s’embêtait pas de beaucoup de considérations, il avait toujours traité les esclaves très gentiment et ça ne le gênait pas de la porter, elle n’était pas bien lourde et lui était assez fort. Elle lui posa alors la question logique, pourquoi l’acheter alors que sa famille possède plein d’esclaves ?
Je t’explique, par tradition, chaque membre de la famille doit avoir au moins un esclave personnel choisit par ses soins, moi je n’en avais pas et maintenant je t’ai toi. Donc à partir de ce jour, tu es mon esclave personnelle, tu vivras dans mes quartiers et ta principale tâche sera de t’en occuper, rien de bien compliqué et en échanges tu vivras tranquille. Moi je ne suis pas le genre à utiliser les esclaves comme outils sexuels. Si j’avais besoin de forcer la main, ça voudrait dire que je n’ai aucun charme, tu ne crois pas ?
Il n’avait pas perdue son grand sourire, d’autant plus que sa dernière phrase était logique, lui qui était mignon et sympa, pourquoi forcer ? Il n’avait qu’à jouer de son charme pour passer d’agréables moments qu’il préférait savoir partagés. Si il avait prit Yuya, ce n’était pas pour but d’en faire ce genre d’esclave, il l’avait acheté sur un coup de tête, parce qu’elle se détachait du reste du monde à ce moment-là…
Sur cette île, la vie des Ainokos est régie par sept clans que l’on appelle les sept grandes familles, j’appartiens à la ligné principale de l’une d’entre elle : les Meiroo. Chaque famille a officieusement sa « spécialité » si je peux dire, nous on est les fêtards de base.
Ran tourna ses yeux vairons vers la jeune fille qui ne semblait pas à l’aise et se rappela qu’elle devait être épuisée par ses épreuves. Lui était venue à pieds, c’était un chat qui aimait trop flâner pour s’encombrer d’utiliser une voiture mais il aurait peut-être du aujourd’hui.
Hum… techniquement, il y a un peu de chemin à faire… la demeure de mon clan est dans le quartier résidentiel, un lieu plus calme qu’ici. Si tu es fatigué, je peux te porter, ca ne me gêne pas.
Lui avait-il répondu avec son grand sourire. Lui ne s’embêtait pas de beaucoup de considérations, il avait toujours traité les esclaves très gentiment et ça ne le gênait pas de la porter, elle n’était pas bien lourde et lui était assez fort. Elle lui posa alors la question logique, pourquoi l’acheter alors que sa famille possède plein d’esclaves ?
Je t’explique, par tradition, chaque membre de la famille doit avoir au moins un esclave personnel choisit par ses soins, moi je n’en avais pas et maintenant je t’ai toi. Donc à partir de ce jour, tu es mon esclave personnelle, tu vivras dans mes quartiers et ta principale tâche sera de t’en occuper, rien de bien compliqué et en échanges tu vivras tranquille. Moi je ne suis pas le genre à utiliser les esclaves comme outils sexuels. Si j’avais besoin de forcer la main, ça voudrait dire que je n’ai aucun charme, tu ne crois pas ?
Il n’avait pas perdue son grand sourire, d’autant plus que sa dernière phrase était logique, lui qui était mignon et sympa, pourquoi forcer ? Il n’avait qu’à jouer de son charme pour passer d’agréables moments qu’il préférait savoir partagés. Si il avait prit Yuya, ce n’était pas pour but d’en faire ce genre d’esclave, il l’avait acheté sur un coup de tête, parce qu’elle se détachait du reste du monde à ce moment-là…
Ranmaru Meiroo
Ainoko Libre
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Maître de :
Sacha Anateiva
Tout en marchant Yuya regardait autour d'elle, c'est vrai, beaucoups de personnes "animales" avaient des humains de compagnie. Mais elle n'etait pas a plaindre, elle remarqua que certains avait comme des laisses, ils les trainaient comme de vulgaires objets, tandis que elle marchait, libérée de liens, a coté de son maitre
"humm je vois ..."
elle sentait son regard se poser sur elle, il ne semblait pas avoir d'arreires pensées, ce qui la rendait plus confiante, plus calme. Puis il lui demande, une question bizarre d'ailleur, si elle voulait qu'il la porte, Yuya fit les gros yeux, surprise de cette demande. Elle sourit brievement avant de dire
"noon non merci ca ira ^^' "
elle tourne la tete legerement en souriant, de facon a ce qu'il ne voit pas cette facette.
Il continuerent de marcher, Ran parlait toujours autant, il lui expliqua les traditions et autres
"alors si je comprends bien, je serai une esclave domestique ? je ferai menage et je m'occuperai de vous, dans tout les sens du terme ?"
puis elle le regarde en ajoutant
"oui je pense que vous n'avez pas besoin de forcer les femmes"
elle baisse les yeux, un peu confuse de sa franchise, apres tout, fallait dire la verité, il etait pas mal.
"n-ne ne .... on arrvie bientot ?"
elle le savait plus trop quoi dire apres ce petit compliment, Ils marcherent jusqu'a la residence Meiroo
"humm je vois ..."
elle sentait son regard se poser sur elle, il ne semblait pas avoir d'arreires pensées, ce qui la rendait plus confiante, plus calme. Puis il lui demande, une question bizarre d'ailleur, si elle voulait qu'il la porte, Yuya fit les gros yeux, surprise de cette demande. Elle sourit brievement avant de dire
"noon non merci ca ira ^^' "
elle tourne la tete legerement en souriant, de facon a ce qu'il ne voit pas cette facette.
Il continuerent de marcher, Ran parlait toujours autant, il lui expliqua les traditions et autres
"alors si je comprends bien, je serai une esclave domestique ? je ferai menage et je m'occuperai de vous, dans tout les sens du terme ?"
puis elle le regarde en ajoutant
"oui je pense que vous n'avez pas besoin de forcer les femmes"
elle baisse les yeux, un peu confuse de sa franchise, apres tout, fallait dire la verité, il etait pas mal.
"n-ne ne .... on arrvie bientot ?"
elle le savait plus trop quoi dire apres ce petit compliment, Ils marcherent jusqu'a la residence Meiroo
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