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Évènement en prévision - "Fun à Bleu Lointain"
Saol Eile, un monde à la fois fantastique et si proche du nôtre. Un monde où vivent les êtres mythiques du folklore et des légendes.
Alors que sa population ne cesse de diminuer, la grande enchanteresse Kassandra sacrifie sa vie pour offrir à son peuple un espoir. Cet espoir, ce sont les humains, ceux de notre monde d’aujourd’hui.

Dans la grande cité-état de Ta Suil, les Apprentis de Kassandra, ses héritiers, ont créé des portails magiques pour aller n’importe où sur Terre et faire venir des humains pour sauver la population des êtres mythiques.
L’Agence, l’organisme qui supervise et aide les humains à s’installer, est maintenant pleinement opérationnelle et compte faire venir encore plus de nouveaux habitants.

Et vous, qui serez-vous sur ce monde ? Un être mythique appartenant à l’une des très nombreuses espèces et potentiellement désireux d’avoir une descendance ? Un être humain fraichement débarqué et découvrant un monde d’êtres de légendes ? Venez découvrir ce nouveau monde fascinant…

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Et voilà une nouvelle mission qui commençait. Le client était anonyme, importait juste la cible. Un noble de chez les Yume, un type qui posait des problèmes à ce qui paraît. Bof, Fuubuki se fiche totalement de qui il est, du moment qu’il n’est pas trop dur à cueillir. Le kakon se fond dans l’ombre, tel est son pouvoir qui lui a servi à maintes reprises dans le passé. D’habitude très calme, l’ainoko était troublé. Il pensait à ce visage angélique, souriant surmonté de cornes blanches, il repensait à ce lit qu’il avait quitté à regret, la nuit aurait été tellement agréable en sa compagnie. Mais il secouait la tête, il ne devait pas s‘égarer sinon il allait signer sa perte. L’ombre est omniprésente dans les rues, ce qui fait de ces lieux son terrain de chasse de prédilection. Les rares personnes qu’il vit ne le remarquèrent même pas, il était parfaitement dissimulé, n’attendant qu’une personne. Ensuite, il pourrait rentrer le plus vite possible, ou bien, ne pas rentrer, l’impression qu’il avait eu en ouvrant l’enveloppe ne lui disait rien qui vaille. Derrière ce visage serein, le Yume semblait cacher quelque chose.

Le chanteur du crépuscule entonna une petite mélodie, juste pour lui-même. Elle n’était pas destinée à la cible, elle était triste, il avait envie d’être auprès de Miruku. Soudain, des silhouettes pointèrent le bout de leur nez. La cible, six gardes du corps, situation fort aisée. Ils étaient en train de rire à gorge déployée, ne se souciant pas d’un quelconque danger. Tant pis pour lui, Fuubuki descendent au niveau de l’ombre du sol, une longue pointe à la main. Il attend et lorsqu’il s’apprête à bondir, un faisceau de lumière vient l’aveugler. Surpris, il lâcha un petit cri, juste assez pour se faire remarquer. Immédiatement, il est saisi par deux bras titanesques et on le porte devant le Yume qui a un sourire plein de mépris.


« Nälz Fuubuki, ou bien je devrais plutôt dire, Fuubuki, Kakon ! Quel bonheur de vous voir en cette heure tardive. Je viens de passer au Mugen, fort raffiné les goûts du propriétaire à mon humble avis. Mais qu’avez-vous là ? Une arme ? Ce n’était, quand même pas, pour me tuer, j’espère ! Hahahaha. »

L’expression joviale de l’ainoko se changea, on aurait dit Fuubuki lorsqu’il était pris par la folie. Ses yeux bleus électriques étaient tout aussi dément que les siens. Sa voix se fit plus grâve.


« Où est donc parti ton regard fou, chanteur du crépuscule ? D’ailleurs, je n’ai pas entendu ta chanson, à court de rimes ? »

Son poing s’écrasa sur le visage de l’homme-corbeau qui sentit sa lèvre saigner. Il avait été pris au piège comme un débutant. Toutes ces informations étaient trop précises, ils savaient qu’il allait être là, un piège aillant pour simple but de se débarrasser de lui.

« Pourquoi ne fuis tu pas ? Ah, peut-être que la lumière te gêne ? J’ai pris mes précautions tu sais. Bien, notez la date, car en ce jour, Fuubuki Kakon, a perdu la vie. »

Un poignard vint se figer dans l’épaule du jeune maître qui cria de douleur, les deux garde-du corps le lâchèrent en rien et commencèrent à le ruer de coups de pied, son ventre, ses jambes, son visage, là où ils pourraient faire du mal. L’ainoko tenta de sauter dans les ombres qu’il y avait plus loin, mais on l’arrêtait, on lui plantait un autre poignard dans la cuisse, ses yeux rouges reprenaient de leur ancienne teinte, et un sourire se dessina sur ses lèvres. Un changement s’était produit en lui. Se relevant en ignorant la douleur, il retira calmement les deux poignards, serrant les dents pour ne pas crier. Sa langue passa sur les lames pour goûter à son sang, il sourit un peu plus.

« Sept personnes ? Un jeu d’enfant, vulgaire petit Yume. »


Le sang coulait abondamment de ses plaies, il devait se dépêcher avant de s’évanouir. Le premier poignard s’enfonça dans la tête d’un garde, le deuxième dans le ventre d’un autre. Sortant les longues pointes de l’intérieur de sa veste il les projeta manquant de peu ses cibles. A nouveau, le regard électrique du Yume le perturba lorsqu’il le croisa. Il avait un pouvoir, c’était certain.

« Je prévois tes mouvements et lorsque je vois une faille… je frappe le petit kakon ! »

En effet, Fuubuki avait sa garde baissée à ce moment là et il fut projeté contre un mur. Il eut presque peur de s’être cassé le dos. Soudain quelqu’un arriva. Ses yeux s'écarquillèrent, perdant de leur éclat effrayant. Il sentit ses mains lâcher, ses armes tombèrent par terre. Non, elle ne pouvait pas venir maintenant, ils allaient lui faire du mal, et dieu sait ce qu'on peut faire à une femme sans défense, il ne voulait pas.


« Q-Qu'est-ce que tu fais là ? »

Le Yume qui ressemblait d'avantage à un ankoku ou un kakon à cet instant, remarqua l'intérêt que portait Fuubuki à cette jeune femme. Il sourit sadiquement et fit signe à deux garde-du corps de se saisir d'elle.

"Alors c'est une de tes esclaves jeune kakon? Je me demande... A quel point tu tiens à elle..."


Dernière édition par Fuubuki le Sam 3 Jan - 9:20, édité 1 fois
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Comment en si peu de temps, est-ce qu’elle pouvait s’être attachée a cet homme, pourquoi est-ce qu’elle lui avait fait si vite confiance, pourquoi elle lui avait ouvert son cœur…. Pourquoi est-ce qu’elle avait l’impression de vivre a son contacte, ce sentiment si puissant qui coulait dans son corps, jamais au court de sa vie, elle ne s’était sentie aussi vivante, aussi bien..
Elle voyait bien qu’il avait du mal a croire ce qu’elle avait dit, mais c’était ce qu’elle ressentait tout au fond d’elle même tous ce que son corps criait, ces trois mots ne faisait qu’éclater dans l’air, alors que son corps le disait depuis bien longtemps… Enfin quelques heures mais cela lui paraissait être une éternité…

Mais enfin il lui sourit ce la, la rassure comme jamais… Le baiser aussi, il ne la repoussait pas a causse des mots, au contraire, il lui semblait que tout le corps de l’homme lui criait ce qu’il éprouvait pour elle, tous ce qu’il ne pouvait dire… Elle pouvait sentir dans le moindre de cet geste, cet amours qu’il avait pour elle, cette tendresse, cela lui donnait presque envie de pleurer tant les sentiments qu’elle éprouvait lui faisait mal, mais tellement de bien… Elle avait l’impression de se perdre dans un océan de passion d’envie…

Elle le sentit se répandre en elle, figer au fond de son corps, comme s’il ne formait tout les deux plus qu’un.. Comme si il pouvait rester comme cela pendant des siècles… Elle sentait l’homme la serre contre lui presque a lui en faire mal, mais elle se fichait de tout cela.. Que du contraire cela lui plaisait…. Elle aimait alors que la jouissance s’apaisait doucement resté blottie contre l’homme, elle aimait le sentir toujours en elle.. Ne plus faire qu’un avec lui.
Son regard plonger dans le sien, un regard amoureux, paisible, satisfait… Elle aimait ces baisers qui la rapprochaient de lui, si langoureux, si amoureux aussi… Quand l’horloges sonna la jeune femme frissonna doucement sans qu’elle ne sache pourquoi elle avait l’impression que cela sonnait le glas de quelque chose… Les paroles de l’homme la firent rougir doucement, ma chérie, il l’avait vraiment appeler comme cela, dieu que cela lui plaisait comme mots…Elle n’en demandait pas plus…

Le sentir se retirer d’elle c’est comme un peu perdre une partie d’elle même… Non elle veut pas qu’il parte, sans qu’elle ne comprenne pourquoi son corps se mit a trembler, elle en voulait pas qu’il parte, elle veut pas rester toute seule ici… Elle ne veut pas qu’il s’en aille… Pourquoi il a l’air si triste et pourquoi il a l’air si triste… Les yeux bleus de la vachette s’emplire doucement de larme.. Qu’elle retiens le plus possible, non surtout ne pas pleurer…

Amenant vers elle un draps, parce que le froid prenait doucement son corps, elle le regard s’habiller, ces yeux bleu emplis de tristesse, mais elle se retenait de pleure, de le supplier de rester, elle ne pouvait pas… Enregistrant le moindre de ces mouvements elle semblait vouloir le retenir juste par le regard… Une mission… Eliminer quelqu’un, cela ne la choquait pas vraiment, elle le savait déjà qu’il était un tueur… Mais le fait que cela soient dangereux pour lui, la fit trembler doucement, elle cherche encore a retenir les larmes qui pointe a ces yeux.. Non elle ne veut pas qu’il parte…. Ce baiser, il lui fait peur, tendre un instant la main pour le retenir avant de la laisser tomber… Des que l’homme eu disparu, la jeune femme éclata en sanglots, restant assise, les larmes coulant sans cesse sur ces joues, incapable de vraiment bouger, elle ramena ces jambes contre elle… Son corps tremblant… Ces deux mains enserrant le collier… Adressant des prières a tous les dieux qu’elle connaissait, sans pouvoir apaiser ces sanglots… Qu’on lui rende son maître, sans lui elle ne pourrais plus vivre… Elle n’entendis pas la jeune esclave entrer, c’est juste en entends sa voie qu’elle la remarqua, son regard baigner de larmes… Se posant sur la jeune femme…

Le mugen no ichi, un petit gémissement s’échappe de ces lèvres, c’est la que sa mère a été envoyer et c’est de la que les cornes qu’elle portait lui furent renvoyées, son maître lui avait dit qu’elle avait fini sous les dents des clients…. Qu’est ce qu’elle doit faire, son maître lui a dit de rester ici, doucement la jeune femme se tordit les mains… Se levant enroulée dans le draps du lit, elle tremble doucement en se postant a la fenêtres, qu’est ce qu’elle doit faire… Se lancer a sa poursuite, pour avoir la chance de le voir une dernières fois, ou alors attendre comme il lui a demander…


Ho grande déesse , qu’est ce que je doit faire…

D’un geste décider la jeune femme essuie ces larmes… Elle va y aller, il le faut, elle ne sait pas pourquoi, fouiller dans ces affaires pour trouver ce qu’elle cherchait, un boxer simple, un corset encore pour le haut, et un robe noir très simple…
Passer une paire de chaussure a talon plat, avant de sortir de la chambre, sans prendre vraiment le temps de plus réfléchir… Une main serrant doucement le collier qu’il lui avait donner, pourquoi cela lui faisait si mal… Pourquoi elle se sentait si angoissée…

Sortir du manoir, sans faire attention au autre, en fait il n’y a qu’une chose qui reste dans son esprit, il faut qu’elle retrouve son maître.. C’est tout.. Rien d’autre ne compte… Marcher dans les ruelles assez vite, cherchant son chemin, sans réfléchir plus.. Le moindre de ces pas, la menant un peu plus prés de son maître…

Cette ruelle, une fois son ancien maître l’avait emmener a cet endroit, mais elle ne voulait pas penser a ce qu’elle y avait vécut, cela avait été les jours les plus longs de sa vie, elle avait crus que jamais elle ne s’en sortirait… Soudain elle sentit le sang, s’arrêtant un instant, ne sachant plus trop que faire… Soudain aussi c’est des voies qu’elle entendis… Cette voie elle la connaissait, un frisson qui la parcours… Elle connais la voit qui parle… Un pas encore, un état d’urgence qu’elle ressent au fond d’elle…

Puis la voie de son maître… Qui la reconnais, le regard de la jeune femme trouve tout de suite le regard de l’homme, mon dieu… Faite qu’il s’en sorte vivant, il faut qu’elle trouve un moyen de l’aider, si elle pouvait amener celui qui lui faisait du mal a prendre un peu de son lait, elle pourrais les éliminer…
Elle sentit les deux hommes lui prendre les bras assez violemment, et elle poussa un cri de détresse, cherchant a se débattre, peu habituée a se défendre… Quand son regard croisa celui du Yume la jeune femme poussa un cris de peur.. Son corps tremblant doucement….


« Je.. je… Vous.. vous..Connais… vous.. veniez souvent.. chez.. chez maitre Gaisuru … … Vous… vous êtiez un des plus violent….»

Oui elle se rappelle de lui, elle se rappelle aussi que son maître avait peur de lui, qu’il savait ce que son lait pouvait faire, en tous cas qu’il pouvait être des plus savoureux… Un cri encore, alors qu’elle se baisse planta ces dents dans la main de l’homme qu’elle tenait, écrasant le pied de l’autre juste pour pouvoir bondir de l’avant…
Pour allez rejoindre le seul homme qu’elle voit encore… Si seulement elle pouvait rester juste un instant avec lui, juste quelque seconde pour l’aider a se reprendre… La jeune femme était perdues la violence elle connaissait mais elle n’aimait pas cela.. ..

Alors qu’elle allait toucher le Kakon, elle se sentit tirer en arrières et propulser au pied du Yume… Un petit cris de douleur s’échappe de sa bouche quand son corps touche brutalement le sol… L’homme se baissa un instant déchirant le haut des vêtements de la jeune femme…


« Humm.. oui en effet je me rappelle… Si je me rappelle bien ton lait est des meilleurs… »

Le Yume eu un petit rire, serrant doucement le seins de la jeune femme dans ces mains… Ne lâchant pas le kakon, du regard, alors que la jeune vachette poussa un cris de douleur… Ca fait mal, si mal, comme avant… Qu’il vienne prendre son seins dans sa bouche qu’il prenne son lait, elle se ficherais alors d’avoir mal…

« M..maitre… »

Un mot murmurer comme un appel… Un regard embuer par les larmes poser sur le Kakon.. alors qu’elle cherche à échapper a la poigne du Yume… Qui semble trouver amusant de libérer les seins de la jeune femme, pour les serre ensuite d’une mains encore plus fort… Pourquoi elle ‘n’arrive pas sa s’enfuir… Il le faut.. Elle veut rejoindre Fuubuki, ces cris de douleur quand l’homme sert trop fort, faisant un peu sortir son lait crémeux… Elle ne voulait plus qu’il la touche.. Surtout qu’elle se savait sans défense face a lui…
Invité
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L’odeur du sang, l’odeur de son propre sang, cela faisait tellement longtemps qu’il ne l’avait pas sentie. Les missions, d’habitude il les faisait, clair et net, sans une bavure, c’était la troisième fois que cela lui arrivait, qu’il se faisait blesser. La vue de Miruku l’avait ramené à la raison un moment, mais à tout instant, il pouvait de nouveau chavirer de l’autre côté, avec l’autre sadique qu’il avait en lui. La jeune femme était venue, même si il lui avait dit d’attendre calmement au manoir. Il ne lui en voulait pas, peut-être que c’était bien comme ça, de pouvoir la regarder avant de partir définitivement. Mais non, il n’était pas content parce qu’elle se mettait en danger inutilement, elle se créait des problèmes, juste pour lui. Il pensait que c’était totalement suicidaire, irréfléchi, et il ne l’en aimait que d’avantage.

Le yume avait immédiatement saisi le genre de relations que pouvaient entretenir le maître et son esclave, Fuubuki aurait beau dire qu’elle n’était rien pour lui, son regard et son corps parlaient à sa place et disaient tout le contraire. Ainsi, le kakon ne chercha même pas à dissimuler son trouble aussitôt que ses yeux s’étaient posés sur Miruku. Il cria aux ainokos d’arrêter lorsqu’ils se saisirent d’elle, ne pouvant pas encore bouger, il assistait impuissant à cette scène qui virait au cauchemar. Mais la vachette avait plus d’un tour dans son sac, elle parvint à se libérer par on ne sait quel miracle et essaya d’aller vers son maître. Grande erreur, elle fut rattrapée, jetée vers le yume qui souriait sadiquement et lui déchira le haut de ses vêtements avec une aisance incroyable. Fuubuki écoutait la vachette parler, elle le connaissait, il était brutal oui, cela se voyait, c’était réellement quelqu’un de dangereux à neutraliser à tout prix.. Le kakon se redressait lentement en grimaçant de douleur. Le sang, il en perdait beaucoup, ça venait, il sentait que l’autre venait.

« Lâche là. »

Sa voix couvrit les éclats de rire de l’ainoko qui pressait les seins de Miruku avec brutalité. Le yume le regarda alors avec amusement. Le kakon était décidément divertissant, il avait une grosse flaque rouge sous lui et parvenait encore à marcher. Une envie irrésistible de lui planter d’autres clous de fer dans le corps le pris et il lança deux couteaux qui se fichèrent dans le bras gauche, la cuisse de Fuubuki. Celui-ci grogna, sans perdre de vue le yume de son regard haineux. Ses yeux rouges se posèrent sur la vachette qui le regardait les larmes aux yeux. Un petit sourire étira discrètement ses lèvres lorsqu’il croisa son regard pour la rassurer, ce sourire qui semblait dire : « On rentrera ensemble petite vachette ». Les quatre gardes restant s’interposèrent entre l’homme-corbeau et leur maître. Ils le regardaient avec un air moqueur et commencèrent à faire les paris sur combien de temps il allait encore tenir debout. Fuubuki n’écoutait rien, il se concentrait sur son unique objectif, éliminer le yume, sauver Miruku, le reste n’avait pas d’importance, sa vie ne tenait déjà plus qu’à un fil, si elle s’en sortait, il serait heureux. La voix rauque, le kakon s’éleva, menaçante :

«Ton erreur a été de la toucher, maintenant, toi et les tiens, vous allez morfler ! »

Le pied du kakon vola en direction du visage d’un type qui eut la mâchoire brisée, les autres prirent leurs distances et envoyaient des coups lorsqu’ils pensaient que c’était le bon moment, mais totalement imprévisible, Fuubuki évitait tous les coups avec aisance, n’ayant toujours qu’une seule idée en tête pour ignorer toute blessure. Le kakon réussit à venir à bout de trois personnes, mais le dernier, plus entraîné que les autres le mit à terre en appuyant sur les couteaux qui étaient encore sur lui. Le kakon hurla de douleur, complètement paralysé. De ses yeux on lisait l’impuissance, le désespoir. Il regardait la vachette, tendait la main vers elle, main qui fut écrasée par le pied de l’ainoko garde-du corps.

« Si jeune et pourtant déjà si dangereux, quel dommage Fuubuki… Mais ce soir, tu as perdu et moi, je vais profiter un moment des douceurs de la vie, hahahaha ! »

Les mains du Yume compressèrent la poitrine de la vachette avec violence, faisant couler son lait de ses mamelles, il appuyait comme un force-né, jouissant avec la douleur qu’il infligeait. Le yume ne se doutait pas, que dans ce genre de situation, le lait de Miruku peut devenir mortel pour qui en boit. Sans plus attendre, le yume s’accroupit et regarda Fuubuki puis Miruku avec une perversité étonnante. Prenant un sein, il adressa au kakon un signe de tête :


« Cher ami, je bois à la tienne, puisse ton âme reposer en paix avec toutes celles que tu as envoyé vers l’au-delà. »

Sans plus attendre, l’ainoko se mit à sucer avec violence les mamelles de la vachette, tout en touchant son corps avec brutalité. Aucune douceur, il était sadique, il aimait voir le visage des jeunes femmes se tordre de douleur, c’était jouissif. Fuubuki pleurait de rage face à se spectacle. L’autre le tenait debout et l’obligeait à regarder son esclave se faire violer, sans pouvoir rien y faire. Le maître regardait Miruku, rien que son visage, il était désolé, il n’avait pas pu la sauver, baissant les yeux, les larmes de rages coulèrent sur ses joues. Il était trop faible, il n’arrivait pas à bouger, et l’autre lui faisait mal. Bientôt, le monde commença à s’enflouer. Trop de sang, il en avait perdu trop. Fuubuki finit par s’écrouler par terre.
Invité
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Suicidaire, la jeune femme n’avait aucune raison de vivre si le Kakon venait a mourir, alors pour elle , se n’était pas suicidaires, mais la seule manières de survivre… Elle avait bien entendus le cris de son maître, quand il l’avait attraper la premières fois, elle savait ce qu’il ressentait pour elle, et ça lui faisait mal de le voir blesser comme cela… Chercher a se redresser pour s’enfuir, pour ne plus rester a la merci de l’homme, elle voyait bien qu’il cherchait a venir l’aider…
Encore un cri de douleur quand l’homme joua un peu plus fort sur son sein, elle avait souvent fini evanuie quand il avait eu fini de jouer avec elle… Les larmes qui coulait de ces yeux l’empêchait de voir correctement, elle savait pourtant que son maître perdait du sang, beaucoup de sang, cela se sentait… Un cri encore quand elle vis les couteaux se figer dans la jambes de son maîtres, dans son bras… Son regard cherchait celui de l’homme, perdus, troublée, elle ne savait pas que faire… Elle voulait juste rentrer avec son maître, il le lui disait dans son regard, qu’elle pouvait voir malgré ces larmes…

Elle n’aimait pas que les hommes paries sur le temps que son maître mettrait a tenir… Morfler cela veut dire qu’il vas les tuer, oui , qu’il survive aussi c’est ce qu’elle veut…Elle entendis les coup donner par son maître, elle vit les hommes s’écrouler, alors qu’elle luttait toujours pour se redresser… Elle arrivait a le voir, si beau quand il se battait, mais pourquoi il saignait autant… Elle vit soudain l’homme le clouer au sol, son cris de détresse résonna dans la nuit, elle ne voulait pas qu’on le tue… Cherchant a bouger, elle voulut aller vers l’homme, sa mains se tendant sans cesse vers lui… Non .. Non elle ne veut pas qu’il meurt…

Non… Ce seul mots ressona dans les ruelles, non elle ne voulait pas qu’il le tue, jamais, jamais, les grimace de douleur causée par les mains de l’homme, elle savait qu’il lui resterais des marques rouge sur son seins, qu’elle aurais des coup bleu a cause de la force de l’homme… Elle n’aimait pas se regard, et en le voulant cette fois elle changea les nutriments de son lait, en faisant un poisson violent, douloureux, il avait blesser son maître, le seul homme quelle aimait, il devait payer…

Un frisson quand elle sent la main de l’homme sur son sein, elle déteste cela, elle a toujours détester qu’on lui fasse si mal, les larmes coulant sans cesse sur son visage… Ces mains ça lui donnent envie de vomir, la jeune femme se débat plus quand elle sent un mains de l’homme s’infiltrer sous son boxer… Le corps de la jeune femme se cambrait sans cesse, mais le poisson était déjà dans le corps du Yume, encore quelque instant, juste quelque seconde, et il allait la lâcher…

Quand elle vit son maître s’évanouir la jeune femme hurla de peur… Au même instant l’homme crispa sa main sur sa cuisse, son corps se raidissant sous la douleur … La jeune femme pouvait sentir chaque membres de l’homme devenir raide, alors qu’il tomba en arrières quand elle le poussa, poussant des cris de douleur.. Il pouvait sentir l’air lui manquer, il mourrait a petit feu, elle savait que le moindre de ces muscles devait lui faire du mal…
Entendant crier son maître, l’ainokos qui retenait fuubuki, le lâcha pour se précipiter vers lui… La jeune femme ne se souciait déjà plus de l’homme en train de mourir, elle préféra se dépêcher de venir prés de son maîtres… Pour le prendre dans ces bras les larmes coulant sur ses joue… Passant un main sur celle de l’homme, elle le suppliait silencieusement de revenir, de ne pas la laisser seule…


« Tue..tue les tout le deux … »

C’est la voie du yume, sortie on ne sait comment de sa gorge enflée, dans quelque seconde il serait mort, il le savait sûrement, mais la jeune femme ne s’en souciait pas vraiment.. Doucement elle avait poser sa main sur le couteau toujours dans l’épaule de son maître, le retirant doucement… Soudain elle sentit une douleur dans son épaule, un peu étonnée, elle y vit quelque chose de planter.. Pourtant pas un instant elle ne lâcha son maître, penchant le corps pour le protéger.. Pour empêcher les coups de lui toucher la tête… Parce qu’elle les sentait les coup du garde du corps s’abattre sur son corps…. Des cris de douleur qui s’échappe de sa bouche, avant qu’elle ne plante un couteau dans le pied de l’homme, celui qu’elle avait enlever au Kakon…

« Je vous en prie maître revenez.. Je veux pas rester tout seul Fuubuki… »

La jeune femme avait murmurer ces mots juste a l’oreilles de l’homme, le protégent toujours de son corps, qu’il se réveille…
Invité
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Fuubuki était inconscient, il ne savait pas ce qu’il se passait autour de lui, il ne savait pas à quel point Miruku souffrait en le voyant ainsi, et souffrait à cause du Yume qui la touchait brutalement. Le kakon perdait lentement vie, le sang faisait une flaque autour de son cœur, imprégnant ses vêtements, ses cheveux, lentement mais sûrement. Ses yeux clos étaient encore humides de larmes, il avait pleuré oui, pour cette esclave, pour cette ainoko qu’il aimait, il avait pleuré d’être aussi faible, de ne pas réussir à venir à bout de toutes les personnes qui lui feraient du mal. Il lui avait promis de la protéger, et il n’avait pas pu. L’ainoko ne sentait plus la douleur, il semblait vide de tout.
Mais voilà, des chocs sur son corps le ramenèrent à lui. Miruku était là, elle criait de douleur, lui ne savait pas ce qu’il se passait. Un peu plus loin, le Yume était mort, empoisonné. La jeune femme prenait les coups à sa place et lui disait de revenir à lui. Encore faible, Fuubuki ouvrit timidement les yeux, la douleur revint d’un coup, aussi intense qu’au départ. Mais elle était là, la jeune femme était encore en vie, mais pourquoi…


« Qu’est-ce que tu fais, inconsciente ?! »


Elle se servait de son corps comme bouclier! Avec les dernières forces qui lui restaient, Fuubuki arracha le poignard de sa cuisse en hurlant de douleur et l’envoya se figer dans le cou du dernier survivant du combat. L’autre ne s’attendait pas à ce qu’il soit encore en vie et prit le coup sans broncher. Son visage perdit le bonheur qu’il y avait gravé, ses yeux s’ouvrirent grand, et ses lèvres se mirent à trembler avant de laisser échapper un gargouillis d’agonie alors qu’il crachait du sang et s’effondrait par terre, les membres vides de vie. Fuubuki toussa à son tour en grimaçant, mais il ne pensait pas à lui, il pensait à Miruku, il la regardait. Elle n’avait qu’une blessure à l’épaule, les autres avaient été des coups. Qu’est-ce qu’elle pouvait être… Il ne lui en voulait pas, elle lui avait sauvé la vie.

« Tu… ne refais jamais ça Miruku ! Tu aurais pu mourir toi aussi ! »


Le kakon ne savait pas par quel bout commencer, sa colère, sa crainte pour elle, ou son bonheur de la voir. Il choisit tout d’abord de la réprimander en lui disant qu’il fallait réellement être dingue pour se jeter dans la gueule du loup comme ça. Mais voyant que ses paroles ne servaient à rien et que ce qui avait poussé Miruku à faire ça, était d’un autre degré, un degré plus puissant, ce sentiment qu’elle lui avait avoué précédemment, il ne pouvait que la pardonner d’avoir désobéis, même, il la considérait plus comme une ainoko que comme une esclave, donc ce n’était finalement pas tellement un ordre. Enfin, le kakon ne s’excusa pas de sa conduite précédente, il sourit simplement en regardant les yeux bleus de la vachette. Le sang avait séché sur sa lèvre inférieure, il était bien amoché de toute part, en particulier bras et jambe avaient pris le plus.

« … Je suis content que tu sois venue petite vachette. »

L’homme-corbeau puisa ses dernières forces pour redresser son visage et poser ses lèvres sèches contre celles de l’esclave qu’il aimait, puis sa tête retomba par terre, inconscient. Le kakon était à bout de force, il fallait lui procurer des soins de toute urgence, heureusement que l’hôpital était dans le quartier.

*Mission, accomplie*

Un homme se tenait sur le toit d’un bâtiment et regardait les deux ainokos, maître et esclave, blessés à terre, mais en vie. Il disparut aussi vite qu’il était apparu, les laissant seuls. Le pouvoir de cette vachette était très intéressant, du lait empoisonné, cela pourrait se montrer un atout. Le maître Fuubuki après son rétablissement, risque de reprendre beaucoup de service, tel est la vie d'un ainoko de la famille Kakon.

*En attendant, repose toi bien, Chanteur du Crépuscule, tu risques d'en voir grand besoin, d'ici la prochaine fois.*
Invité
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Une seule chose dans l’esprit de la petite vachette protéger le Kakon.. tant pis si elle souffre, ça fait pas vraiment plus mal qu’avant, cette douleur, elle s’en fiche, mais elle ne veut pas qu’il parte, elle ne veut pas rester toute seule… Elle viens d’entendre sa voie, malgré la douleur que l’autre lui infligeait toujours le sourire de la jeune femme se fit lumineuse… Il n’était pas morts, il vivait encore…Il lui parlait inconsciente oui sûrement, mais elle ne pouvait pas faire autre chose, son esprit ne voulait pas faire autrement… Elle entendis le derniers homme mourir, mais elle s’en fichait, la seule chose maintenant c’est qu’elle savait que son maître était vivant, elle savait qu’elle allait avoir des coups partout sur le corps, mais qu’elle importance…

« Je..je m’en fiche de… de mourir… sans… vous.. je… je ne vivrais plus .. de ….de toute ..façon »


Doucement la jeune femme passa sa main sur le visage de l’homme, qu’elle importance, que les autre soient mort, même si elle déteste ce genre de chose elle s’en fichait, la seule chose importante c’est qu’il soient en vie… Elle sentait bien que son cœur tremblait un peu, mais elle s’en fichait, seulement entendre le cœur de l’homme battre lui plaisait… Elle sentit encore une fois les larmes couler de ces yeux, elle s’en fichait complètement qu’il la punisse… Il pouvait même la frapper, elle referais la même chose si il le fallait…

Elle sentit les lèvres de l’homme sur les siennes.. avant de le sentir se détendre… Poussant un cri de détresse, la jeune femme le rattrapa avant qu’il ne tomber, avant que son front ne heurte le sol… Tremblant, elle passa doucement le bras de l’homme autour de son épaules… Elle n’est pas vraiment forte, mais elle sait qu’elle doit agir… Il faut se lever, encore et encore… Porter le jeune homme… Elle avait l’habitude d’aller au delà de ces force, il trouvait amusant son ancien maître de la traiter comme un animal de bats, il lui faisait souvent tirer la charrue…

Sans qu’elle ne sache vraiment comment, elle vit apparaître une des esclaves de l’homme, une des esclave de fuubuki… Qui en silence, elle viens prendre l’autre coté de son maître, pour l’aider a le porter, la jeune femme tremblait toujours, mais elle ne dit rien, elle sentait bien que le sang coulait de la blessure qu’elle avait a l’épaules… Qu’elle importance… Il faut juste qu’elle se rende a l’hopital…


[ Arrow l'hôpital^^ https://migoto-no-shima.forumsactifs.com/l-hopital-f35/quand-la-peur-s-echappe-fuubuki-t516.htm#5625 ]
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