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Évènement en prévision - "Fun à Bleu Lointain"
Saol Eile, un monde à la fois fantastique et si proche du nôtre. Un monde où vivent les êtres mythiques du folklore et des légendes.
Alors que sa population ne cesse de diminuer, la grande enchanteresse Kassandra sacrifie sa vie pour offrir à son peuple un espoir. Cet espoir, ce sont les humains, ceux de notre monde d’aujourd’hui.

Dans la grande cité-état de Ta Suil, les Apprentis de Kassandra, ses héritiers, ont créé des portails magiques pour aller n’importe où sur Terre et faire venir des humains pour sauver la population des êtres mythiques.
L’Agence, l’organisme qui supervise et aide les humains à s’installer, est maintenant pleinement opérationnelle et compte faire venir encore plus de nouveaux habitants.

Et vous, qui serez-vous sur ce monde ? Un être mythique appartenant à l’une des très nombreuses espèces et potentiellement désireux d’avoir une descendance ? Un être humain fraichement débarqué et découvrant un monde d’êtres de légendes ? Venez découvrir ce nouveau monde fascinant…

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Elle ne sait plus trop bien comment elles sont arrivées a l’hôpital, elle sait juste qu’elle a laisser son maître entre les mains d’un docteurs, avant de s’asseoir sur un banc et d’attendre, sans demander que quelqu’un la soigne… Pourtant elle eu droit a une infirmières… Qui lui banda le bras et passa une crème pour les coup sur son dos et ses seins, mais tout cela elle s’en fichait, elle ne cessait de demander a la femme qui la soignait quand elle pourrais rejoindre son maître, si il allait bien… Sans cesse le demander, elle se fichait d’elle même…

Quand enfin l’autre femme eu fini de la soigner, elle mit la chemise qu’on lui avait donner pour replacer le haut de sa robe déchirée, encore une fois elle se fichait de savoir ce qu’elle portait, son esprit ne cessait de penser a quelqu’un d’autre sans plus penser a elle… Refuser ce qu’on lui proposait comme boisson… Refuser ce qu’on lui proposait a manger… Juste supplier qu’on la laisse aller rejoindre son maître… Quand enfin on lui permis d’aller prés de lui… Elle put sourire…

Venir s’asseoir prés de lui, pour attraper sa main, en silence son regard sans cesse fixer sur lui, elle ne voulait rien d’autre que cela… Sa main douce serrais sans cesse la main de son maître, surveillant sa respiration, elle ne voulait plus la lâcher, elle ne voulait pas qu’on la fasse partir… Même quand on lui dit qu’il était temps de partir que les visites était terminés, elle ne lâcha pas la main de l’homme, pas envie, pas envie du tout…

Elle était assis au pieds du lit, sans prendre la peine de prendre de s’asseoir sur un chaise, fatiguée par ce qui lui était arrivée, la jeune femme ferma doucement les yeux, son visage poser prés de la tête de l’homme, pour attendre qu’il reviennes a lui, même dans son sommeil elle ne lâchait pas la main de l’homme, jamais plus elle ne le laissera pas partir…
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Fuubuki et Miruku avaient eu l’aide d’un mystérieux bienfaiteur. Qu’il soit pour eux ou qu’il veuille tirer profit de lui, peu importait, grâce ou à cause de lui, le kakon était en vie. Les médecins s’étaient rapidement attelés à la tache, constatant des nombreuses blessures qu’il a fallu désinfecter, traiter, vérifier les dégâts internes puis refermer toutes les blessures. L’anesthésie, ils n’en avaient même pas eu besoin, Fuubuki était comme mort, pâle et froid. Son cœur ne battait encore que faiblement. De son côté, Miruku avait eu des soins, mais elle ne pensait qu’à une personne.

Après le long moment de traitement, Fuubuki fut dirigé vers une chambre, une chambre blanche d’hôpital qui puait les médicaments, il ne s’était pas encore réveillé. Sa main, son esclave la prit. Une infirmière entra pour essayer de la faire sortir, mais visiblement, elle voulait rester, elle resterait toute la nuit. L’autre se dit que comme elle était également blessée, on pouvait la laisser encore là dans la chambre. Souriant, l’ainoko sortit de la chambre sans bruit.

La nuit était déjà bien avancée. Deux heures du matin, le cœur du kakon se mit à cogner brutalement, tout son corps fut pris d’un tremblement et il ouvrit les yeux. La pièce était sombre, sur le côté, la fenêtre ne laissait passer que très peu de lumière. Où était-il ? A côté de lui, c’était Miruku. Il sourit, elle était restée, elle était en vie, et lui aussi. Sa tête se reposa sur le coussin. Il ne voulait pas la réveiller, elle était tellement mignonne endormie. Tout son corps le tiraillait, il avait mal, très mal. Les évènements de la nuit revinrent à son esprit. Le combat, la mort du Yume sans qu’il ne comprenne pourquoi, les garde-du-corps tous à terre, c’était la première mission qui lui avait fait autant sentir le goût de l’échec et de la souffrance. Heureusement qu’elle avait été là, sa vachette, il lui devait la vie. Sa main vint caresser sa joue, doucement, juste l’effleurer pour ne pas la réveiller. Ses yeux rouges étaient tendres à son égard. Il la regardait amoureusement, puis posa ses lèvres sur les siennes. Pendant qu’elle dormait, il pouvait lui dire, il ne se sentirait pas aussi gêné. Dans un chuchotement, il fit :


« Tu sais petite vachette… Moi aussi… J-je t’aime. »

Si elle était réveillée, elle jouait bien la comédie, et sinon, elle l’entendrait peut-être dans son rêve, peu importait. Le kakon referma les yeux, exténué.
Invité
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La position n’est peu être pas très agréable, mais au moins elle était tout prés de son maître, elle pouvait rester prés de lui, elle s’en fichait complètement du reste… Le souffle de la jeune femme était doux, paisible, bien que son visage exprimait encore l’inquiétude, elle avait peur, c’est vrai, elle craignait de perdre ce qu’elle avait acquis il y a si peu de temps…
Dormir dire qu’elle aurais put rester au manoir, mais si elle n’était pas venue le jeune homme serais morts, enfin elle en étais presque sure… Elle ne voulait plus cela… Plus jamais… Elle avait soudain sentit quelque chose bouger dans son sommeil, mais elle ne se réveilla pas totalement, bougeant seulement un peu, pour chercher l’odeur de son maître, oui il était la c’est tout ce qui pouvait avoir la moindre importance…

Elle sentit quelque chose caresser sa joue, un sourire qui naquit sur ces lèvres, a moitié endormie… Parce qu’elle reconnaissait la douceur de ces doigts… Elle reconnus aussi dans son sommeil le goût de ces lèvres, et le soupire qu’elle poussa était celui d’une femme qui se sent bien, rassurée…
Dans ce demi-sommeil elle entendis les mots de l’homme, ce qui la fit sourire doucement, il l’aimait aussi … Oui c’était rassurant de l’entendre, même si elle n’était pas sure de s’en souvenir après…

Doucement ouvrire les yeux et les poser sur son maître, avant de sourire, et de monter doucement dans son lit, pour se blottir contre lui, tant pis si les infirmières lui en voulait, la elle était bien, bien qu’elle fasse doucement pour ne pas lui faire de mal s’endormir en sentant son odeur c’est le plus agréable…
Elle ne sait pas combien de temps elle dormis, et pourtant elle se réveille toujours contre son maître, en douceur elle laissa ces mains glisser sur ces joues.. C’est si doux…


« Maitre… »


Doucement poser un bisou sur la joue avant de se redresser rapidement, poussant un petit cris de douleur quand elle tomba les fesse sur le sol… L’infirmières l’avait surprise, elle savait qu’elle n’aurais pas du être dans le lit… Doucement elle se redresse revenant prendre la main de l’homme dans sa main, personne ne pourrais la faire bouger d’ici, tant q’elle ne le verrais pas éveiller… Un instant elle pose le regard sur le plateau que l’infirmières viens d’amener…

« Je.. je vais.. m’en ..m’en occuper… me…merci »
Invité
Invité
Fuubuki s’était rendormi, la fatigue se peignait sur son visage. La vachette s’était ensuite blottie contre lui, elle l’avait entendu, sans pour autant en être sure. Le kakon sentait un peu plus tard, des mains caresser ses joues, une voix l’appelant, mais il ne se réveilla pas tout de suite. Un cri le réveilla en sursaut. Lorsqu’il ouvrit les yeux, le kakon vit son esclave par terre qui se relevait pour lui prendre la main, une infirmière avec un plateau sur lequel il y avait à manger. Elle le posa sur la table puis sortit pour entrer à nouveau avec un autre plateau sur lequel il y avait un gant de toilette, une serviette, des bandages neufs et de l’eau chaude dans une bassine. La vachette se ressaisit à temps et la congédia. L’ainoko la regarda étonnée, dans son esprit, elle se rappelait encore de ce baiser sur la joue de son maître, c’était bien étrange. L’infirmière suspicieuse sortit en souriant tout de même et ferma la porte derrière elle. Enfin, ils étaient seuls. Fuubuki regarda la vachette qui était en chemise, sa robe, elle avait été déchirée par l’autre fou, il lui en rachèterait une plus belle. Après un temps, il dit en souriant :

« Bonjour Miruku. »


La tirant de la main qui le tenait, il l’approcha pour l’embrasser. Oui, c’était réel, il était bien en vie, elle l’était également, ils pouvaient continuer de vivre cette histoire qui débutait la veille, ce n’était pas un rêve. Le kakon regarda la vachette avec tendresse, pinçant les lèvres en sentant des bandages sous ses doigts, alors qu’il caressait son dos. Elle avait été touché par sa faute. Reprenant sur un ton jovial, l’ainoko lança :

« Et bien, tu as envoyé baladé l’infirmière, il va falloir que tu joues le rôle d’infirmière petite vachette. »

Le maître souriait, il était content que Miruku soit là pour s’occuper de lui, il préférait mille fois ça, aux mains froides et insensibles d’une autre femme qui n’aurait aucune douceur à son égard. Miruku, il le savait, partageait avec lui ce sentiment, elle resterait auprès de lui, comme elle l’avait fait cette nuit et ce, pour toujours. Fuubuki se redressa en lâchant un petit cri de surprise mêlé à de la douleur, puis déboutonna les boutons de l’espèce de chemise blanche d’hôpital qu’on lui avait passé, laissant voir des bandes rouges foncées sur ses plaies au bras. Prenant la main de son esclave, il la posa sur son cœur :

« Il bat encore, tant que tu seras auprès de moi il battra… »


Le jeune homme embrassa la vachette avant de la laisser faire. Il était soulagé que la mission soit terminée, et espérait que la prochaine serait dans fort longtemps, il devait s’en remettre et s’occuper d’une ainoko qui se trouvait près de lui. L'ainoko déboutonna le haut de la chemise de la vachette pour entrevoir son décolleté avec un plaisir certain pour les yeux, puis caressa sa joue en lui confiant:

"Je suis heureux que tu n'aies rien de grave, je n'aurais pas pu continuer si il t'était arrivé quelque chose..."
Invité
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Oui elle est la seule qui peu soigner son maître elle ne veut pas que quelqu’un d’autre la touche… Oui elle est un peu jalouse… Troublée aussi parce qu’elle ne s’est jamais sentie aussi protectrice avec quelqu’un , jamais elle autant eu envie de toucher quelqu’un… Ni sentie aussi jalouse des regarde qu’on porte sur lui… Oui bien quoi elle était bien capable de soigner son maître toute seule, plus que capable même…

« Bonjours maitre »

La voie de la jeune femme était douce, paisible, complètement oublieuse du monde… Elle se laissa attirer a lui , simplement pour avoir droit au baiser, cette bouche, se souffle qui se mélange quand il lui parla…Une légére couleur apparus sur les joues de la jeune femme, au sien qu’elle plaisir…

« Je.. je voulait pas… Qu’elle vous touche… »

C’est vrai elle ne voulait pas que cette femme le touche… Doucement elle trempa le linge dans l’eau.. Regardant son maître se redresser doucement, douloureusement… Une grimace quand elle vit les blessures, il avait faillit mourir, elle avait faillit ne plus jamais le revoir, non elle ne l’aurais pas supporter, elle rougit encore une fois quand il lui mit la main sur son cœur, oui il battait et cela la rassurais, l’apaisait… Un sourire lumineux fut adresser a l’homme, alors qu’elle lui rendit son baiser, en douceur, tendrement..

Un sourire apparu sur les lèvres de la jeune femme quand il détacha le haut de sa chemise, que lui veuille voir son corps cela lui plaisait plus que tout…. Un sourire encore plus grand quand il parla encore une fois..


« Je..je… n’aurais.. pas ..put ..vivre .. Non… plus…. Mais… maintenant je vais.. te changer tes.. bandages »

La jeune femme sourit défaisant en doucement les bandages de l’homme, ces mains étaient agiles doucement, de même quand elle les défaisait ou les nettoyait… Aussi douce quand elle remit les bandages propres… Ca lui faisait mal de le voir blesser, de le voir comme cela… Il semblait si faible dans le lit blanc…
Doucement elle passa une mains dans les cheveux de l’homme, en souriant tendrement…


« Tu.. Vous… savez je… peux…Vous aider a aller …mieux plus vite… Mon.. mon lait je peut le changer… Il peut vous aider a cicatriser et a reprendre…. Votre énergie… »

La jeune femme sourit tranquillement, détachant un peu plus sa chemise, pour dévoiler ces seins ferme, qui déjà commençaient a grossir, oui il faudrait qu’elle lui demande une machine pour qu’elle le fasse toute seule… Doucement s’asseoir sur le lit, et attirer doucement le jeune homme vers elle.. Souriant, caresser délicatement ces cheveux…

« Vous..vous voulez. »
Invité
Invité
Fuubuki se sentait faible, mais avoir Miruku comme compagnie lui donnait des forces, rien que sa présence, sa main qui serre la sienne lui suffisait. Mais voilà, la vachette, ne voulant pas que quelqu’un d’autre touche à son maître avait fait sortir l’infirmière suspicieuse, pour s’occuper elle-même de lui. Le kakon était bien heureux de ce geste, c’était la première fois qu’ils seraient ensemble depuis l’incident qui ne remontait qu’à quelques heures auparavant. Sa main dans ses cheveux, il aimait lorsqu’elle faisait ce petit geste doux et prit un air amusé lorsque la vachette avoua n’avoir pas voulu que l’infirmière ne le touche.

« Oh, c’est son travail tu sais… Mais tu as eu raison petite vachette, c’est comme si tu avais lu dans mes pensées… »


Les bandages rouges se déroulèrent au fur à mesure. L’ainoko serrait les dents pour ne pas inquiéter la jeune femme qui faisait son possible pour faire les choses le plus doucement. Elle lui repassa des bandages propres, serrant bien, sans lui faire mal. Fuubuki détestait porter ces bandelettes blanches, mais c’était indispensable, il n’avait qu’à faire plus attention, on ne reçoit que ce que l’on mérite. L’ainoko avait juste avant pris son aise en déboutonnant le haut de la chemise de son esclave. Elle lui apprit alors qu’elle pouvait l’aider à aller mieux plus rapidement avec son lait, ce lait qui avait tant de pouvoir, même celui de mort sur les autres. Fuubuki la regarda dévoiler ses seins fermes qui avaient eu la journée et la nuit pour se gorger de lait. S’asseillant sur le côté du lit, la vachette attira son maître vers elle en lui caressant les cheveux. Fuubuki sourit et entoura la taille de l’ainoko asservie, avant de déposer ses lèvres sur son téton pour le sucer. Le liquide blanc coula dans sa bouche, puis dans sa gorge, il remplissait sa bouche avant d’avaler les gorgées qui lui faisaient le plus grand bien. En effet, à chaque gorgée, il avait l’impression de regagner des forces. Ses mains massaient en même temps la poitrine de la vachette. Il sentait sa peau un peu tendue, elle était presque aussi gonflée que la veille, au matin lorsqu’il l’avait trouvé par terre dans le parc.

« Je te trairai chaque jour Miruku, les machines doivent te faire mal non ? »


Et par dessus tout, il ne laisserait pas la scène se reproduire, il ne voulait pas qu’elle tombe à nouveau sous la douleur, qu’elle reste paralysée à terre comme lorsqu’il l’avait trouvé, il ne pouvait pas se permettre de la laisser souffrir. Le maître aspirait encore un peu de lait de la belle poitrine de la vachette, puis, en s’allongeant lentement pour ne pas se faire mal, il l’attirait contre lui. Elle devait faire attention à ne pas s’appuyer sur lui. En tout cas, Fuubuki de son côté, l’enlaçait par la taille et voulait qu’elle soit contre lui. Il l’embrassa avec tendresse, tout en massant sa poitrine d’où coulait un peu de lait à chaque fois qu’il refermait sa main.

« En effet, ça va beaucoup mieux ! Merci petite vachette. »


Bientôt, ce lit d’hôpital commencerait à l’agacer, il voudrait s’envoler, malgré ses blessures, retourner au manoir, chez lui avec Miruku. Mais pour l’instant, il devait encore un peu se reposer, avant de faire son escapade en légalité ou en illégalité. L’ainoko eut tout de même une envie, comme chaque fois qu’il était avec Miruku. Hélas, ils ne pourraient pas faire l’amour dans ces conditions, mais Miruku, il était persuadé qu’elle pouvait le faire se sentir encore mieux. Alors que leurs lèvres étaient collées, il prit sa main et la glissa dans son pantalon blanc, sans sous-vêtement pour la poser sur son membre. En souriant, il lui murmura à l’oreille :


« Amène moi au paradis. »
Invité
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Oui elle savait que c’était son travail.. Mais bon c’était son maître a elle.. C’est elle seule qui peu s’en occuper, qui peu lui donner l’affection dont l a besoin personne d’autre… Surtout pas quand elle est dans la pièces, elle sait qu’elle devra se retenir quand il y aura du monde autour d’eux, mais pour l’instant elle peut l’avoir a elle toute seule…
Dieu qu’elle peut aimer quand son maitre pose ces lévres sur son sein, c’est si doux, il est si doux avec elle.. Dire qu’elle avait eu peur de lui au début, peur de ce qu’il pouvait lui faire… Elle sait que les hommes peuvent être méchant, elle a toujours peur normalement, mais pas avec lui, elle se sent bien a l’abris de tout danger… La traire tout les jours, oui se serais bien…


« Un peu… Certaine plus que d’autre… Elle me font peur les machines… J’aime mieux que vous me trayait. »

Un sourire angélique encore, une fois simplement parce qu’elle se sentait bien avec son maître, parce qu’elle se sentait a sa place… Jamais plus elle ne veut le quitter, elle sait pourtant qu’elle doit faire attention, si elle l‘étouffe il va fuir… Elle qui déteste les Kakon, est tombée amoureuse de l’un d’eux… Qu’elle étrange paradoxe n’est pas… Mais les Kakon soin dangereux elle le sait, elle sait aussi que son maître n’est pas un ange que du contraire… Mais elle se fiche de tout cela, elle l’aime c’est tout…

Etre contre lui même si elle devait faire attention de ne pas lui faire mal lui plaisir, elle pouvait entendre son cœur battre et cela la réjouissait plus que tout, elle avait eu peur, que se cœur cesse de battre, qu’elle ne puisse plus jamais l’entendre… Un petit soupire lui échappa quand il commença a malaxer sa poitrine sensible, si sensible pour l’instant… Mais c’était si agréable… Dieu qu’elle aime ces baisers, elle qui n’en avait presque jamais eu.. Elle pouvait passer des heures a goûter ces lèvres… Une rougeur apparue sur ces joues quand soin maitre guida sa main sur son sexe…


« Avec plaisir maître Fuubuki »

Qu’elle aime prononcer son nom comme cela, le dégustant en douceur, sa main bouge doucement sur le sexe de son maître le caressant en douceur, alors qu’elle se déplace doucement, venant baisser le pantalon de l’homme, sa bouche venant se poser sur le gland de sa virilité, la suçotant en douceur, ces mains courant toujours sur le membre de l’homme.. Avant qu’elle n’enfonce doucement le membre dans sa bouche pour le sucer avec toute son envie sa passion, tout son amour, sa langue caressait avec force le sexe de l’homme, ça bouche faisant des aller et retours en douceur… Sa queue de vache bougeant doucement dans son dos, alors qu’elle prenait du plaisir a sucer comme cela son maître… Elle voulait lui donner le plus de plaisir possible…
Invité
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Le maitre avait laissé Miruku s'occuper de lui. Elle avait tout fait avec douceur et le travail était bien fait, il n'en attendait pas moi de sa chère vachette. La question de traire Miruku arriva, enfin, Fuubuki lui proposa de la traire chaque matin, cela ne serait qu'avec plaisir. Il avait du mal à se passer de cette ainoko, elle était devenue comme sa drogue. Fuubuki aimait la voir sourire, il aimait la voir heureuse. C’est bien pour ça qu’il lui donne toute la douceur qu’il avait toujours retenue, il n’avait jamais voulu être doux avec qui que ce soit. Encore une fois il pouvait voir à quel point la vachette l’avait changé, rien qu’en une journée elle avait modifié tant de choses en lui.

Maintenant elle est contre lui, il aimerait qu’elle ne se détache jamais, qu’elle soit toujours à ses côtés, mais c’était impossible, à part si ils fuient l’île, ou bien qu’ils s’isolent dans un endroit où personne ne les trouverait. Mais à ce moment là, il doutait que Miruku soit heureuse avec lui, juste lui. Elle finirait par se lasser et voudrait peut-être voir du monde quand même ? Au fond de lui, il savait qu’être avec son maître lui suffisait. Le kakon accepta le lait de son esclave, caressant sa peau de ses doigts tandis que ses lèvres suçaient ses mamelles pointantes. Son lait était le meilleur qu’on puisse boire, et de plus, elle apportait son amour dedans ce qui le rendait d’autant plus délicieux. Fuubuki se sentait revigoré, mais toujours pas assez.

Enfin, le maître voulut d’avantages, il voulait ce que Miruku accepterait toujours de lui donner, du plaisir et il savait qu’elle aimait lui en donner. Fuubuki guida sa main dans son pantalon d’hôpital et lui demanda de lui faire du bien, même si le geste pouvait être interprété sans paroles. Miruku répondit avec ce ton de voix qu’il adore. Son sourire, ses yeux pétillants d’amour, il en était fou. Le kakon laissa son esclave descendre son pantalon et soupira de bien-être lorsqu’elle commença à mettre en bouche son membre en érection. L’esclave mettait tout son savoir faire dans la chose, elle le léchait, le caressait de la main, tout était toujours parfait. Lentement, Fuubuki se redressa en position assise et déboutonna les autres boutons de la chemise de Miruku. Elle en avait déjà ouvert quelques uns pour lui donner le sein, il la lui retirait maintenant entièrement. La vue de son corps le ravirait toujours. Elle n’était pas parfaite loin de là, il avait des esclaves beaucoup plus belles aux courbes sans défaut, mais c’était cette vachette qu’il aimait plus que tout. Le kakon se rallongea en massant la poitrine de la vachette.

Ce qu’il vit soudain le stoppa. Un bandage sur le dos de Miruku à l’endroit où un couteau s’était planté. Elle avait utilisé son corps comme bouclier pour le protéger. Son index effleura le bandage blanc, ne voulant pas lui faire mal et il s’en voulait à nouveau de ne pas avoir pu protéger cette esclave qu’il chérissait. Fuubuki la regarda avec des yeux un peu attristés, mais s’il restait excité par ce qu’elle faisait. Le maître stoppa un moment sa vachette et remonta son visage pour qu’elle le regarde.


« Miruku… Plus jamais je ne te laisserai souffrir par ma faute… Je… Je… ne pourrai pas supporter de voir à nouveau un seul bandage sur toi. Ma chérie, viens t’allonger contre moi, je veux juste te sentir avec moi… »

La journée ne serait pas longue si jamais sa vachette était avec lui. Et déjà, grâce au lait, ses blessures guérissaient plus rapidement qu’avec n’importe quel traitement. Ce soir ils pourraient partir même si les médecins seraient étonnés. Le maître Kakon ne pouvait plus se retenir, il murmura à sa vachette qu’il l’aimait, alors qu’elle avait la tête posée contre son épaule.
Invité
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Le monde fait peur a la jeune femme, tout ce qui a autour d’elle lui fait peur… Elle ne puisse qu’une certaine force dans le regard de l’homme, dans sa présence… La peur ne l’avait pas paralysée cette fois, et elle ne savait pas trop pourquoi, normalement elle aurais du rester a trembler dans un coin, quand l’homme criait quand il la frappait, mais la peur ne l’avait pas prise…

Faire plaisir a son maître lui semble si naturel, il le demande si doucement qu’elle ne pourra pas lui refuser, mais elle n’a aucune envie de refuser… Il est tout pour elle, pourquoi le lui refuser…. Elle l’aime tellement… Et puis elle aimait la sensation qu’elle lui donnait du plaisir, elle aimait sentir sa peau sur sa langue, oui avec son maître elle aimait ces jeux de chair qu’elle avait longtemps détester… Qui longtemps lui avait fait peur…
La jeune vachette ne pensait pas vraiment a son corps elle savait qu’elle ne valait pas d’autre, qu’elle était un peu trop épaisse, qu’elle avait plus de forme que la plus par des personnes, qu’elle ne correspondait pas a ce qui faisait la beauté, mais elle s’en fichait, son maître l’aimait comme cela c’est tout ce qui avait de l’importance…

Cette caresse sur son sein, la faisait gémir doucement, mais elle ne comprit pas trop pourquoi il s’arrêtait.. ha oui son bandage, la douleur elle l’avait déjà oubliée… Elle n’aime pas se regard, il lui fait de la peine… Elle n’aimait pas le voir triste… Le sourire de la jeune femme se fait doux alors qu’elle se reléche les lèvres… Il ne pouvait pas la voir souffrire c’était étrange pour elle… Surtout qu’elle n’avait pas mal a sa blessures.. Ma chérie, ce mots la fit sourire et c’est avec plaisir qu’elle viens se blottir contre lui, sa tête posée en douceur sur son épaule, ou elle pouvait respirer avec plaisir l’odeur de son maître…. Les mots d’amour qu’il murmurait la faisait rougir.. Et doucement elle leva sa main pour caresser la joue de l’homme…


« Vous savez ça fait pas mal …. J’ai eu beaucoup plus mal certaine fois…Le premier maître de Miruku il était méchant… Il aimait faire mal, il la frappait des fois jusqu'à ce qu’elle tombe au sol, et il frappait encore, et encore… Une fois Miruku a eu des cote cassée et un bras cassé aussi…. Il a laisse Miruku toute seule dans l’étable, avec juste de la paille et des couverture pour se couvrire… C’est la maîtresse qui est venus soigner miruku, mais le maître voulait qu’elle le satisfaite encore, il la prenait malgré que ça fasse mal, et pour la punir qu’elle ne lui donnait pas assez de plaisir, il ne la trayait pas… Mais maintenant Miruku a plus mal… »


La jeune femme avait parler d’une voie un peu étrange détachée, comme si elle ne parlait pas d’elle mais de quelqu’un d’autre, le seul moyen qu’elle avait de ne pas souffrire comme cette fois la, tant de chose avait été faites a son corps, tant de douleur.. Qu’un simplement petit coup de couteau ne l’inquiétait pas.. .En douceur la jeune femme se déplace venant se coller un peu plus a son maître posant ces lèvres sur les sienne, sa langue cherchant sa jumelles… Un baisser passionner, une main qui caresse et qui descend doucement… Toujours plus bas sur le corps de l’homme…


« Je.. je suis .. Heureuse …. Maintenant…. Je.. je … vous aime.. plus que tout.. tant que .. vous êtes la.. j’aurais pas mal… Quoi qu’on me fasse. »

Ce qui est vrai la douleur du corps pour la jeune femme n’est rien…
Invité
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Le moment de non retour était arrivé. Il avait cédé, dévoilé ce qu’un maître n’était jamais censé dévoiler, même si il n’en éprouve pas moi. Mais tant que cela resterait entre lui et Miruku, il n’avait pas à s’inquiéter. L’hôpital ne devait sûrement pas enregistrer les conversations dans la chambre des blessés, ils étaient seuls, ensemble, c’était tant mieux. Le kakon se sentait tellement serein lorsque sa vachette se blottissait contre lui, elle était son remède miracle, à tous les maux qui pourraient le toucher, elle serait le médicament qu’il lui faudrait. Le maître n’avait pas caché sa tristesse en voyant la blessure de Miruku, elle l’avait remarqué et immédiatement l’avait rassuré en disant qu’elle n’avait pas mal. Elle était presque obligée de dire ça, lui savait qu’elle devait quand même un peu souffrir, cela était normal, mais s’abstint de le lui faire remarquer. Elle était tellement douce, tellement aimante et dévouée. Miruku lui dévoila une petite partie de son passé pour expliquer que la douleur, elle y était habituée. L’attitude de son ancien maître le révoltait, il aurait voulu se lever pour aller directement chez lui et le tuer de ses propres mains. Mais hélas, tout ce qu’il entreprendrait dorénavant aurait un lien avec Miruku. Il devait faire attention à ne pas mettre trop en valeur son esclave ou sinon, les autres familles commenceraient à s’intéresser à elle, trouvant en elle la faiblesse de Fuubuki Nälz. Sa faiblesse… Les seuls témoins avaient payé de leur vie, personne ne pouvait savoir que cette ainoko était plus qu’une esclave, bien plus.

Le baiser de Miruku était délicieux, le contact de leurs lèvres le ravissait, il adorait lorsqu’elle se penchait ainsi pour l’embrasser. Sa main remonta pour lui caresser les cheveux, une de ses cornes, puis se reposa sur le lit. La jeune femme avoua son amour inconditionné, elle l’aimait à la folie, il le savait. Fuubuki sourit tendrement à Miruku, frissonnant un peu en sentant que sa main redescendait en bas. Son pantalon n’avait pas été remonté et il était toujours en érection. Si l’infirmière arrivait maintenant il serait plus que mécontent.


« Miruku, va fermer la porte à clé s’il-te-plait ».

Regarder la jeune femme se lever, sa poitrine nue rebondir à chacun de ses pas, il observait sans s’en cacher, elle savait qu’il aimait la regarder. La douleur à sa cuisse se réveilla soudain, lui arrachant un petit cri. C’était une mise en garde, il n’était pas entièrement guéri et ne devait pas pousser tout de suite son corps vers ses limites. Fuubuki fulminait à l’idée de ne pas pouvoir faire tout ce qu’il avait envie de faire, juste à cause de vulgaires plaies. C’était terrible, il avait envie d’elle, mais ne pouvait rien y faire, cela ouvrirait ses plaies si ils le faisaient maintenant. Il devait prendre son mal à patience. Enfin, Miruku revenait s’allonger à côté de lui, sa main se reposa là où elle s’était arrêtée. Fuubuki avait pris une décision.

« Ce soir à vingt et une heure… On rentre à la maison. »

Peu importe son état à ce moment là, ils s’envoleraient par cette fenêtre et retourneraient au manoir. Il préférait rester en convalescence là-bas avec pour seule infirmière Miruku, cela lui irait déjà très bien. Le kakon embrassa sa vachette, puis descendit son visage pour sucer quelques instants ses mamelles, puis sa tête se reposa sur le côté de l’oreiller blanc. L’autre moitié était pour la jeune femme. Sa main caressait le ventre nu de Miruku, et puis enfin, il tilta sur ce qu’il pouvait faire. Peut-être pas l’acte en lui-même, mais ça il pouvait. Sa main descendit lentement en multipliant les caresses puis se glissa par le haut de la robe déchirée. Ce lambeau de vêtements, Miruku pourrait le jeter, il lui offrirait des robes bien plus jolie. Sa main entra directement dans la culotte de la vachette et il se mit à caresser ses lèvres intimes. Son regard se perdit dans celui de Miruku et il l’embrassa passionnément.
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Elle était heureuse de ce que lui disait son maître, elle était heureuse qu’il la veuille prés de lui, elle ne savait pas combien de temps cela allait durer, pendant qu’elle travaillait chez son ancien maître, elle avait vu des hommes avouer leur amour a des femmes, elle savait que cela ne pouvait rimer avec toujours… Mais qu’elle importance, tant qu’elle pouvait être prés de lui, tant qu’elle pourrait le toucher, elle serais heureuse, elle ne voulait pas le quitter, elle ne voulait pas être seule… Plus jamais… Cette lueur de rage qui naquit dans le regard de son maître quand elle parla de l’autre ça lui serra doucement le ventre, elle ne connaissait pas vraiment la haine, trop douce de caractères… Elle ne voulait pas qu’il risque quelque chose pour elle, surtout que tout cela était du passée, son avenir était plus beau… Alors le passée elle veut l’oublier…
La jeune femme se fait la promesse que si quelqu’un découvre ce que l’homme éprouve pour elle, de tout faire pour en pas l’affaiblir…

Fermer la porte la jeune femme sourit se redressant doucement, de son pas tranquille elle va la fermer a clef, ou un pas tranquille pas dansant comme les autres un peu lourd… Comme si elle portait un fardeau trop lourd sur ces épaules c’est un peu vrai, ces seins lui pèse des fois, mais elle aime sentir sur elle le regard de son maître, surtout quand il y brille cette lueur d’envie… Pourquoi il crie ? Il a mal…. Les gestes de la jeune femme quand elle revient prés de lui était bien plus doux, plus léger… A la maison a 21 et une heures… s’il le voulait.. De toute façon tant qu’il reste ici, elle reste avec lui…


« Quand.. on .. rentrera je passerais une tenue d’infirmière… »


la jeune femme souris un peu plus fort, un petit sourire coquin… Elle aimait sentir ces baiser, sa bouche qui venait se poser sur ces seins, cela lui fait tellement de bien… Elle aimait sa main sur son corps, allumant un feu qu’elle ne se connaissait pas…. Quand il vient poser sa main sur son intimité la jeune femme poussa un soupir profond de bien être ces yeux brillant de désir, alors que sa main se faisait plus active sur son sexe… Elle lui rend son baiser sa deuxième main caressant sa joue… Alors qu’il peu sentir ces hanches bouger doucement sous sa main, elle veut lui donner autant de plaisir qu’il lui en donne a la caresser comme cela…
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Quoi de mieux lorsqu’on est en convalescence, que la présence de l’être qu’on aime le plus au monde ? Fuubuki avait cette chance, contrairement à d’autres patients qui étaient à l’article de la mort, sans un seul soutien de proches ou d’amis. C’était triste mais comme ça, les ainokos comme les humains, ne sont pas toujours amicaux et ne s’attachent pas toujours aux autres. Miruku était bien là, il la sentait contre lui, son parfum discret, un parfum naturel puisqu’il se doutait bien qu’elle n’en avait pas. D’ailleurs, il songerait sûrement à lui en offrir un. Tant de choses qu’il voulait lui offrir et si peu de temps. Une vingtaine d’années n’aurait pas suffit pour qu’il puisse lui offrir tout ce qu’il aimerait lui offrir. La vachette se leva à sa demande pour fermer la porte à clé, puis revint contre lui. Le bref instant où elle l’avait quitté, il s’était senti refroidi, comme un manque qu’elle venait combler à chaque fois qu’elle le touchait, qu’elle se blottissait contre lui. Le kakon décida finalement de retourner chez lui, peu importe son état, il devait entrer. L’odeur d’hôpital lui donnait déjà la nausée et ces murs blancs étaient laids. Heureusement que son esclave était là pour égayer le décor et pour lui faire oublier l’environnement dans lequel ils se trouvaient. Elle lui apprit qu’elle enfilerait une tenue d’infirmière une fois rentrés, ce qui le fit sourire. Où avait-elle trouvé cette idée, non pas que cela lui dérangeait, bien au contraire. Lui caressant les cheveux, il répondit d’une voix douce qui ne ressemblait pas à celle qu’il avait d’habitude lorsqu’il parlait aux gens.

« Tu seras la plus jolie infirmière que je puisse avoir ma chérie. »


Le kakon l’embrassa ensuite, puis lécha ses seins. Elle savait qu’il la désirait, cela se voyait toujours, et elle aussi le désirait. Blessé ou pas, il voulait qu’elle se sente bien et il avait trouvé le meilleur moyen possible. Ses doigts s’étaient rapidement glissés dans la culotte de Miruku pour caresser son intimité et elle, prenait son pénis à pleine main en accélérant le mouvement. Son bassin bougeait alors qu’il entrait son index dans cette intimité humide et chaude et il entama des va et vient, long pour qu’elle apprécie la chose. Ses lèvres prirent possession des siennes. On tambourina à la porte, on essaya d’ouvrir, mais elle resta fermée. Aucun des deux ainokos ne pensa un instant à ouvrir à la personne qui avait essayé d’entrer. Ils étaient ensemble, ce qu’ils voulaient le plus au monde. La main de Fuubuki s’activa un peu plus vite, il entra un doigt en plus pour augmenter le plaisir qu’il offrait à sa dulcinée pendant que celle-ci lui en donnait encore d’avantage. Sa main libre vint prendre celle de Miruku qui était contre sa joue et il la serra tendrement alors que sa langue caressait la sienne avec douceur et amour.

La respiration de Fuubuki s’accélérait. Si il avait été en état, il aurait déjà commencé les choses. Ses doigts étaient rapides, ils entraient et sortaient avec une fréquence doublée. Les soupirs se faisaient entendre de plus en plus fort. Les yeux rouges du kakon observaient ceux de Miruku, voulant se noyer dedans en tout instant. Qu’est-ce qu’il l’adorait, qu’est-ce qu’il l’aimait cette vachette.

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Tout en elle était naturel, elle n’avait pas l’habitude de se camoufler de se maquiller et tout le reste, depuis toujours elle avait du se montrer le plus discret possible pour en pas qu’on la maltraite, qu’on l’élimine… Jamais de sa vie elle ne s’était sentit autant désirée, protégée…. Pour la jeune femme le décors n’avait aucune importance, il aurais aussi bien put être dans une cage au fond d’un puit qu’elle s’y serais sentie aussi bien, tant qu’il était la, tant que sa présence l’emplissait… La plus jolie des infirmières le compliment la fit rougir parce qu’elle ne savait comment les accepter, personne ne lui disait qu’elle était belle, elle ne l’était pas au yeux des autres…

Elle aime sentir la main, la bouche de l’homme sur son corps, ces yeux plonger dans les sien, elle s’y perd, elle perd pieds, mais le plaisir n’en est que plus grand… Elle aimait le sentir bouger ces doigts en elle, sur les lèvres de la jeune femme naquirent des petits gémissements de plaisir, petit soupire d’envie…. Tiens quelqu’un frappe a la porte, non pas envie d’aller ouvrire, même pas envie d’y penser… La jeune femme se laissait porter par ces envie, par ce qu’elle ressentait, par l’envie qu’elle avait de son maître…
Un cri un peu plus fort quand elle sentit d’autres doigts entré en elle, même comme cela son maître savait faire monter le plaisir….

Elle savoure chaque baiser,s a main s’activant sur le sexe de l’homme, comme pour lui donner le plus de plaisir possible… Elle aimait se noyer dans les pupilles écarlates de l’homme, son corps ondulant doucement sous ces doigts, oui elle l’aimait plus que tout…


« J’ai envie de boire votre lait maître. »

La jeune femme sourit, angélique, des mots un peu crus dit avec sa voie douce et sensuelle, c’est vrai, un baiser encore passionner, comme si elle voulait lui transmettre tout l’amour quelle avait pour lui avant qu’elle ne se déplace…. Se positionnant de façon à ce que l’homme puisse encore la toucher, en fait une jambe de chaque coté de la tête, qu’il puisse goûter sa cyprine qui coulait assez fortement, exitée oui elle l’était la jeune femme, plus qu’elle ne pouvait le dire.. Gourmande elle vient prendre le sexe de son maître dans sa bouche, faisant tout sont possible pour ne pas appuyer sur ces blessures… La bouche de la jeune femme se faisait gourmande, prenant le sexe de l’homme bien au fond de sa gorge aspirant son sexe au fond d’elle , ces lèvres serrée autour, oui elle voulait sa semence dans sa bouche, elle voulait tout lui donner..
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Les heures passeraient beaucoup plus rapidement que prévu. Les deux amants se procuraient de douces caresses érotiques, alors que leurs lèvres se collaient et se décollaient en de longs baisers amoureux. Fuubuki transmettait ses sentiments par ce baiser, n’étant pas habitué à dire sans arrêt qu’il aimait une personne, d’ailleurs, cela ne lui était jamais arrivé. L’ainoko soupirait un peu plus et regarder son esclave crier de plaisir l’encourageait à accélérer le mouvement de ses doigts dans son intimité. Il aimait la voir jouir, son visage exprimait un bonheur énorme, il voulait toujours la voir comme ça. Lui retenait avec difficulté de grands soupirs tant ce que Miruku lui faisait était divin. Et pourtant, ce n’était que sa main, elle pouvait lui donner plus. C’est d’ailleurs, ce qu’elle voulut, lui faisant une déclaration assez imagée. Son lait ? Et bien elle pouvait le prendre autant qu’elle en voudrait. Un petit sourire pervers naquit sur les lèvres du kakon qui laissa la vachette se positionner à quatre pattes au dessus de lui. Son intimité était coulante, il adorait cette image si érotique de la jeune femme. Sa langue s’avança pour caresser les lèvres intimes de la vachette, prenant toute cette cyprine qui coulait de son vagin. Fuubuki laissa sa langue se promener entre les lèvres humides, gémissant discrètement à chaque coup de langue de l’ainoko. L’envie d’elle se faisait plus grande, il la désirait encore plus, il voulait ne faire qu’un avec elle. Vite, il faut que l’heure tourne plus vite, pour qu’ils puissent rentrer au manoir et faire l’amour toute la nuit avec son infirmière. Le traitement qu’elle lui administrait actuellement marchait pour le mieux, il se sentait revigorer, vivant.

Sa langue s’agita un peu plus, il sentait la mouille couler de plus en plus alors que son esclave gémissait et laissait échapper des cris étouffés par son pénis. Fuubuki entra deux doigts dans l’intimité féminine puis se mit à lécher l’anus de Miruku. Il n’avait jamais fait les choses de ce côté avec elle, il y songerait un jour. Mais pensant à elle, sa vachette si innocente, il doutait qu’elle soit directement d’accord, ou bien, elle exigerait de lui une extrême douceur, chose qu’il lui offrait sans arrêt. Parce qu’il l’aimait vraiment, tant de sentiment, il l’adorait cette vachette et ne pourrait plus vivre sans sa présence. Lorsqu’il serait loin d’elle, il voudrait la voir.

Son bassin commençait à se mouvoir un peu, il était terriblement excité et Miruku lui donnait tellement de plaisir qu’il sentait que son lait allait finalement sortir. Ses doigts accélérèrent les va et vient et sa langue léchait l’anus avec plus de ferveur. Fuubuki voulait que Miruku jouisse avec lui dans ce cas, pour qu’ils puissent tous deux boire ce jus qu’ils produisaient. Pour finir sur la dernière ligne droite, le kakon avait retiré ses doigts et entrait sa langue le plus loin possible dans l’intimité de la vachette, caressant les parois chaudes et humides de son vagin, il tournait très rapidement en soufflant beaucoup de plaisir.

L’orgasme ne tarda pas et la cyprine coula contre sa bouche, il en avala la moindre goutte tandis que lui avait jeté son lait dans la bouche de son esclave. Le maître était satisfait, il avait adoré ce remède. Attirant contre lui Miruku, il l’embrassa amoureusement, mêlant leurs langues et ainsi leurs substances respectives dans leurs bouches. Puis en souriant à Miruku, il lui fit comprendre qu’il voulait y aller, même si il n’était pas vingt et une heure, ils devaient y aller. Dans ses yeux rouges se lisait son désir intense et son amour qui dépassait tout entendement.


« Rentrons chez nous, Miruku. »
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Elle aimait se sourire un peu pervers qu’avait le kakon quand il la regardait a certain moment, elle aimait cette sensation qu’il la désirait plus que n’importe qui… Quand elle sentit la langue de son maître effleurer son intimité, elle poussa un soupire étouffer parce qu’elle avait en bouche, mais dieu quelle pouvait adorer cette sensation…
Son maître allait la rendre folle de ces doigts, de ces mains, non que dis-je il l’avait déjà rendues folle, son corps l’appelait, il demandait plus donnait plus aussi…. Ces doigts en elle la fire crier doucement, cris heureusement étouffer par le membre de l’homme, qu’elle suça avec plus de plaisir, sa langue sur son anus la fit frémir, non pas que cela lui faisait peur, mais ça l’angoissait un peu, a chaque fois que quelqu’un l’avait prise par la cela lui avait fait très mal… Pourtant si c’est son maître qui voulait la prendre par cet endroit elle se laisserait faire, parce qu’elle sait qu’il ne lui fera aucun mal…

Elle gémit un peu plus fort, le plaisir montant d’un crans quand il accéléra ces mouvements, elle aussi d’ailleurs, les vas et viens de sa bouche se faisait plus fort plus présent sur le sexe de son maître, alors qu’elle ne cessait de gémir de plaisir… Cette langue lui faisait perdre pieds, la jeune femme se laissait simplement porter par la douceur, par le plaisir, se laissant porter par ces vague puissante….

Enfin elle sentit le goût un peu étrange du sperme dans sa bouche, qu’elle avala le mieux possible, juste parce qu’elle le voulait…. Un instant elle lécha encore le sexe de l’homme comme pour le nettoyer, avant de se laisser remonter en souriant, ce genre de baiser, elle les adorait plus puissant que des mots, il lui disait ce que l’homme éprouvait pour elle, et les siens disait la même chose…
Alors il voulait rentrer, est-ce qu’il serais assez fort pour marcher…


« Oui chez nous. »

Un sourire angélique naquit sur les lèvres de la jeune femme, alors qu’elle aidait en douceur son maître a se relever et s’habiller, chacun des geste de la vachette était fait en douceur, mais avec un certain savoir….Quand à elle, elle remit sa chemise, la fermant le mieux possible… Doucement aller rouvrire la porte et revenir se placer prés de son maître, passant ces mains autour de son corps, pour le soutenir, non pas seulement juste pour être prés de lui… En ayant une excuse….


« On vas prendre un Taxi maître ... Je n’ai pas envie que vous voliez pour l’instant… Si il vous arrivait quelque chose je ne m’en remettrait pas. »


Un sourire alors qu’elle décroche un téléphone, demandant que l’on fasse préparé un taxi, pour une fois sa voie ne tremblait pas, par contre quand elle reposa le téléphone ces joue tait rouge et elle tremblait un peu, c’est pas son habitude de parler comme cela

« Il on dit qu’il était prés… Nous y allons ? »
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