Bon séjour sur Saol Eile

Marcus regarda alors, intrigué, sa maitresse, elle le mettait en garde, en garde contre ses envies meurtrieres, mais il n'en avait vraiment rien a faire, c'était simple a comprendre, il ne voulait pas mordre la main qui le nourrissait. On est pas tous profondément débile quand on est un humain, enfin, Marcus ne l'était pas. Sinon, il n'aurait jamais reussi a troquer sa vie contre celle qui l'attend, et oui, il sait bien que les Yatsukei, bien que de moins en moins nombreux, sont a un rang social plutot haut et que leurs relations avec les kahons ne sont tabou pour personne. Dans quel dance il s'embarquait? Il ne le savait pas encore, mais doutait que ca serait excitant et dangereux. Pourtant, il ne répondit rien a la jeune femme, il garda son regard froid et son attitude détendu, comme un lion pret a bondir sur sa proie en feignant le someil. Apres tout, il n'avait rien a predre, tuer sa maitresse, il serait alors libre, mort, il l'est aussi, donc c'est pas cette menace qui arreterait son envie de meurtre, bien au contraire.

Il ne dis rien, n'esquissa aucun geste, elle avait dit magasin, mais qu'avait elle derriere la tete? Il le saura bien assez tot. La femme en cuir parti devant, faisant comprendre a son esclave qu'il devait la suivre. Ils arriverent a une limousine, plutot class comme ticket de sortie. Un esclave se présenta a eux, mais c'était la coquille, il n'avait plus rien d'un etre vivant, aucun regard, aucune expression....Une coquille, servile. Mais Marcus ne s'atarda pas sur cette caricature de la vie et suivit sa maitresse dans la voiture. Il prit place dans l'interieur de cuir, baillant un peut, apres tout on passe pas 1 jour au piquet sans etre legerement fatigué.

Mon destin est lié a la famille des Yatsuke, je porterais donc ce nom, c'est pas mal, Marcus Yatsuke...Mais qu'est ce qu'elle veut faire au boutiques?

Cette pensé était assez génante, il ne savait vraiement pas pourquoi ils allaient au centre comercial, il avait pas jugé bon de preter oreilles a la conversation de sa maitresse. Mais apres une petite réflection, il avait la carure d'un demi ours, c'est peut etre pour lui qu'il y a ce déplacement en exterieur. Oui, peut etre que Rei n'avait aps immaginé qu'elle aurait un eurasien comme esclave, un eurasien assez musvlé qui plus est. C'eest donc un large sourire qui tapissa les traits de notre jeuen humain, il allait donc avoir une noubelle garde robe, surtout de nouveaux coups de pique pour Rei, des bottes en serpent, une ceinture en écaille...elle allait en avoir du serpent, il voulait voir jusqu'où il pourrait aller, apres tout, sa vie actuele ne fait pas vraiment une tapisserie de charme, si il mourrait pour trop d'insolence, il ne le regreterais aps.

La limousine s'arreta alors. Le "robot", allait ouvrir la porte, mais il fut devancer par son compagnon cérébré. Marcus trouvait ce snobisme affligeant, il était un homme simple, se contentant de peut. Sa vie avait été au champs, il n'avait donc pas de larbinisme dans ses souvenirs. Mais passons. Notre fringant jeune homme sorti et s'étira longuement avant de s'avencer dans le centre comercial. Il alla alors, accompagné d'une Rei qui lui semblait absente, dans le premier magasin, il fut plus qu'heureux, c'était une boutique de cuir. Dans le but de s'amuser un peut avec les nerfs de sa maitresse il allat vers les vendeuses et dit sechement et froidement

Yatsuki Marcus, je viens pour chercher une paire de botte en peau de cobra et une ceinture de mamba noir.

Tout était calculé et la vendeuse lui apporta, il était vraiment fier de sa connerie et regarda rei avec un large sourire

C'est pour mieux m'integrer a la famille

Pour etre con, il l'était, quand il le voulait c'était une pointure dans ce domaine, mais il s'exposait au couroux de sa maitress. Ou a sa reconnaissance d'avoir un peut de personalité et d'humour noir

Rei n'avait guère pipé mots durant le trajet ? Par manque d'envie ? Non...elle travaillait. Un ordinateur portable se trouvait face à elle, et elle pianotait avec aisance sur l'appareil, faisant défilé des listes de chiffres en apparence sans queue ni tête. En réalité, il s'agissait d'un vulgaire crypto-système employait pour cacher, aussi bien les finances de ses affaires, que le noms des clients et les divers lieux en sa possession, où sa "marchandise" était logée.
Pour elle, qui connaissait la clé, cracker ce système de protection était devenue comme une seconde nature. Dés que ses yeux voyaient les listes de chiffres, des lettres, puis des mots, y étaient automatiquement associé. La clé ? Vous croyez qu'elle va vous la donner ? Humpf...il faut dire qu'un chiffrement de vigenère, dés qu'on possède le pass, est l'un des moyens de cryptage les plus faciles à manipuler.

C'est alors que la limousine se gara, bien en vue devant l'entrée du Centre Commerciale. La jeune héritière des Yatsuki descendit, en compagnie de son nouveau bien. L'allure hautaine et le port altier de son jouet l'amusait...les gens en étaient-ils venus à le prendre pour un Yatsuki ? Cet humain ? Il faut dire que, physiquement, rien ne laisse penser que Rei est une Ainoko, comme une majorité des membres de sa lignée de fous.
Cependant, dés lors oùs ils eurent pénétrer au sein du bâtiment, qu'elle pût voir son étalon filait vers une boutique. Tiens tiens, la boutique de vêtement en cuir la plus cher du Centre...et la favorite de Rei !

S'adossant à l'entrée, la jeune femme écouta avec attention les paroles de son bien. Il ne lui avait pas coutait très cher, mais franchement, il avait l'air d'en valoir la peine ! Tant mieux, elle n'aime pas ce qui est éphémère.
Alors que la vendeuse, connaissant les goûts de Rei, mais n'ayant jamais vu cet homme, arrivait avec les vêtements...la grande Big Boss, la meilleure cliente de la boutique parla :

"Ce n'est pas suffisant. Je suis ici pour lui refaire une garde-robe. Les tons de ses vêtements, noir, rouge, bleu sombre et blanc. Je veux de tout, comprit ? Du sur-mesure, cela va de soit."

La fin avait été susurré....et oui, le mister allait devoir se mettre en boxer pour les mesures...et elle allait clairement en profiter pour le reluquer et apprécier le spectacle !
La vendeuse apporta un tabouret et fit signe à l'humain de monter dessus, et ce, après lui avoir ordonné de se mettre en sous-vêtements. Pas d'inquiétude, personnes, si ce n'est les clients, ne pouvaient voir l'humain et son coprs...et vu qu'ils sont rares les clients de cette boutique, Rei a la vue pour elle seule.
Passant prés de l'humain, elle lui déclara, d'un ton amusé et moqueur :

"Au fait, je ne suis pas de race Cobra, ni même de celle du Mamba Noire. Si tu veux une information, sache que mon venin est celui du Tricot-Rayé."

Sur ce, elle prit place dans un fauteuil, croisa ses jambes fines, et délicatement moulée par cette seconde peau qui lui servait de vêtements, et observa la nouvelle attraction du jour !

[Pardon pour le retard ^^" Je suis débordée avec ma rentrée qui approche...en fait, je reprend els cours Mardi ! C'est la raison de ma baisse d'activité rp ^^"]

C'était amusant, le jeune humain, passait vraiment pour un Yatsuki et pour cause, il avait cette pointe de vivacité dans l'oeil qui faisait parfait contrast avec son état de servitude, on pourrait vraiment le prendre pour un hybride, mais un hybride de caste plutot caché, usant de sa véritable forme que tres rarement. Notre fringant Marcus était des plus fier de sa connerie, en effet, si il trouvait sa nouvelle maitresse térriblement attirante dans ses habits de cuirs moulant et le danger ainsi que la crainte qu'elle inspirait d'un simple regard, il aimait par dessus tout jouer avec elle. C'est vrai, pour une personne condamné a la servitude. Non, il trovait meme ca amusant de se retrouver aux bras de cette femme, il est peut etre fou. Enfin, toujours est il qu'il fit moins le fier quand elle parla de sur mesure. Ca voulait dire qu'elles allaient le mettre a poil. Marcus dégluti a cette pensé, il n'imaginait pas qu'il devrait se dévétir en présence de femmes, surtout dans un lieu public, mais la vendeuse lui donna pas vraiment le choix, elle lui ordonna de se dévétir. Pris au dépouvu, il ne put qu'obéir, retirant ses vetements et laissant paraitre son corps de travailleur, halé par le soleil. Il regarda les femmes prendre ses mesures et aposer des tissus sur son torses pour tester es couleurs. Mais il ne voulait pas etre habiller tout en chuir. Il en fit finalement la remarque a Rei

Rei, je crois pas que d'etre habillé tout en cuir m'aille bien, je pense qu'il faudrait un peut melanger cuir et tissus a moins que ce charmantes femmes m'offrent des habits pas trop luisant a me mettre sur le dos.

Notre nouveau Yatsuki, car il se considérait comme tel, parlait a sa maitresse comme a son égal, il la considererait pas comme une antité supérieure, il savait qu'elle était son coupa jaret, donc autant prendre ses aises avec son assassin. Elle lui donna sa race a elle, elle avait vue clairement qu'il avait pris des peaux de serpents hautement venimeux, mais comme par hazard, sa maitresse était la pire de toutes ces créatures, son venin était presque aussi foudroyant que la transmition nerveuse, en clair on meur en sentant la piqueure de la bete. C'était pas tres rassurant, mais il le prit en lui plantant son regard noir dans les yeux, le genre de regard qui force le respect.

Bah c'est plutot bien, avec une morsure de ta part, je ne souffrirais pas innutilement, une mort simple et rapide, c'est plutot génereux comme cadeau, si tu était une vipere des sables j'aurais pas apprécié la morsure par contre...

Il jouait, c'était son moyen de ne pas rougir sous les mains des habilleuses. Comme si Rei n'atendait que ca, le voir faiblir, elle pouvait toujours courir, il tiendra le coup, meme si ca veut dire parler comme une pipelette pour éviter de penser a ce qui se passe sur son corps et aux caresses qu'ils subit, autant des mains des vendeuses que des yeux de sa maitresse.

(c'est pas grave, tu sais, on s'habitue a l'attente et c'est pas si mortel en fin de compte^^ bon, au plaisir de lire ta reponse d'ici, l plus tot possible, peut, si c'est trop court ou que tu veux que je rajoute un truc envoie un mp ^_-)

Rei observait en silence. Installée de manière confortable et nonchalante dans un luxueux fauteuil, on comprenait immédiatement qu'elle était du genre "habituée" des lieux. La remarque de son jouet lui fit relever un sourcil. Depuis le temps qu'elle venait ici, les vendeuses savaient ce qu'elle sous-entendait par "Garde-Robe Complète". Aussi, un rictus moqueur sur le visage, elle répondit à son esclave :

"Tais-toi et Observe."

Un regard brillant de miles éclats, mais promettant tant de chose à la fois. Le vice, la luxure, la ruse, l'intelligence, la moquerie...tous se mariait dans les yeux d'or de cette énigmatique créature.
Elle croisa délicatement ses jambes, révélant un peu plus la forme de son corps, que le cuir épousait comme une seconde peau. En réalité, elle appréciait le cuir de part son côté "moulant"...son acuité sensorielle au niveau du toucher la gênait avec des vêtements amples. Ces derniers pouvaient provoquer d'étranges réactions lorsqu'ils suivaient ses mouvements et effleurait sa peau délicate.

Ayant définis les couleurs et les matières, surtout en cuir de reptiles, les vendeuses passèrent commandes auprès du groupe de travail. Ces dernières étant spéciaux, dans leur don, ce fut avec une rapidité étonnante que la commande fuit passé. Pantalons. Vestes. Ceintures. Manteaux. Chaussures. Tels étaient les éléments que les vendeuses faisaient défilaient sur le corps d'athlète du jeune homme d'origine caucasienne. Voilà ce que Rei sous-entendait par "Garde-Robe". Rapidement, une pile de linge fut déposé...alors qu'une jeune femme s'occupaient déjà de entrer les chiffres, faramineux, dans la machine.
Durant les essayages, l'humain fit une étrange réflexion. La rapidité de son venin ne le dérangeait pas ?

"Si la rapidité d'action de mon venin t'arrange, dit-toi qu'elle me dérange. Je n'ai pas le temps de profiter du spectacle...n'est-ce pas triste que de ne pas pouvoir jouir de ce qui nous fait tant plaisir ?"

La voix de Rei était délicate, fluide et sensuelle. La moquerie laissait place à un je ne sais quoi d'énigmatique. On ne ressentait aucune tristesse réelle, juste une résolution...elle s'était résolue à tuer avec vivacité.
La jeune femme sortit de nouveau son portable et pianota un sms sur ce dernier. Une fois eut-elle terminé, elle se retourna vers les jeunes vendeuses et déclara :

"Noa arrivera d'ici une dizaine de minutes. Pour l'argent, faites le transfert comme à l'accoutumée.
- Bien Madame.
- Bon, et si nous poursuivions notre shopping, Marcus..."

Noa...contrairement à la pensée générale des gens, il ne s'agissait pas de son Majordome. Ce dernier, d'ailleurs, porte le nom de Jiki...
Noa n'est autre qu'un assistant de Jiki, chargeait du transport des courses et des diverses livraisons à faire pour la demeure des Yatsuki. Il va s'en dire que, dés leur arrivé chez Rei, tous se trouvera en place dans la chambre du jeune homme !

Quoiqu'il en soit, Rei avait insisté pour que l'homme porte un des pantalons en cuir acheté. A présent, les sous-vêtements, les haut en tout genre et tenu de soirée étaient devenus leur objectif. Quittant la boutique, Rei et Marcus se trouvait côte à côte...Rei marchait d'un pas délicat, feutré, presque glissant et surréaliste.
Après quelques pas, les deux jeunes gens arrivèrent devant un riche magasin de vêtements. Ce dernier ne vendait que peu d'affaire en cuir, pour ne pas dire aucunes affaire en cuir. Non, ils étaient là pour du subtile et une matière plus souple et moins moulante que le cuir.

Un vendeur vint à les accueillir. De suite, l'héritière des Yatsuki précisa que du sur-mesure étaient requis. Elle savait que les ainokos de la boutique étaient en rapport avec les araignées, cocon de soie et autre type d'ainoko. Comme pour le magasin de cuir, la confection serait du rapide !
Quoiqu'il en soit, on en vint à les installer dans un petit salon. Trois couturiers se trouvait sur place.

"Satin, Soie, Cachemire...je me fout de la matière ! Je veut qu'il est de tout. Les teintes : des bleu sombres, le noir, le rouge et le blanc.
- Bien."

De suite, ils firent mettre l'humain, en sous-vêtement, sur un tabouret et prirent ses mensurations. Taille, épaule, bassin, jambes...tout y passa.
La maitresse, elle, sirotait un verre de nectar rouge : du vin. Les jambes croisées, dans un fauteuil harmonieux, elle était agréablement installée dans ce petit salon.
Dans les tons beiges et marrons, les lieux étaient neutre et serein. Après une dizaine de minutes, les couturiers déguerpirent...histoire d'aller confectionner les vêtements. Selon eux, ils en auraient pour une bonne heure, en raison du nombres d'effets demandés.

Se taire, observer, c'est pas vraiment compliquer, il n'y avait rien d'autre a faire a part attendre, bien, il attendrait, en silence, regardant les femmes s'affairer a lui prendre ses mesures. Rei s'amusait a regarder le mal aise relatif de son jouet, il ne lui avait rien couté, mais sa garde robe ne serait pas gratuite, quand il croisa ses yeux, il releva pas mal de choses, comme une sorte de perversion, un peut d'amusement, de la ruse, de la dérision, mais rien de méchant, pas de haine, pas de basses intentions, c'était une maitresse des plus apréciables. Elle n'était pas cruelle, juste un peut differente, dans son attitude, elle ressemblait un peut a sa récente aquisition, c'est ce qui le fit se plier a elle et acceter d'etre sien. Si Marcus ne la juegeais pas comme son égal, elle vivrait un enfer.

Vint les essayages, Marcus fut sidéré en voyant la rapidité de la comande arriver, ses pentalons étaient fait dans l'instants, tout comme ses manteaux longs, elles avaient fait si vite, comme si il avait déja une coupe préparé dans l'arriere boutique. Les yeux rond, il passa les articles un par un, ne trouvant aucun vetement our son torse, ils avaient pas fini de faire les courses, lui n'avait pas fini de faire le pitre sur un tabouret a la man poweur. Il regarda sa maitresse pianoter a son ordinateur de poche, a ce niveau de telephone il avait que le nom, elle le referma et s'en alla res de la caisse ou les chiffres défilaient. Marcus avait un orgueil, voir que sa maitresse dépensait autant poour lui lui faisait asser la pillule des 500 pieces. Profitant de ce moment de répis, le jeune homme se rhabilla. Il eut a peine le temps qu'il dut emboiter le pas de sa maitresse qui se dirifeait cette dois dans une boutique de son choix.

Pareil, on recommence avec une autre essayeuse, un autre tissu, un autre tabouret. Mais cette fois, l'atmoshere était differente, les cliants spéciaus étaient dans une autre salle, un salon marron brun, ares lui avoir passé quelques éttofes foncé, une blanche et une rouge- le blanc et le sombre, normal ,ke rouge?? qu'est ce que ca fait là?- les tisserands annoncerent a la jeune Yatsuki que les vettements serait pret dans une heure. Ils laisserent alors les 2 Yatsuki ensemble.

Bon, on fait quoi pendant une heure? Tu compte rester a ruminer ta rage de ne pas pouvoir voir ta victime agoniser le temps que tu releve la tete....Ou tu va faire autre chose....de plus amusant.

Il n'était pas dupe, elle l'essayerais tot ou tard, mais bon une heure, ca lui laissait un temps plus que suffisant poir s'occuper de sa propriété, en plus Marcus était en boxer, elle avat déja le travail de maché et il ne dirait certaienement pas non, il la désirait, elle était comme lui, le meme regard, la meme tete sir les épaules....

Une heure. Ils allaient devoir partager une heure d'attente, dans ce petit salon de style victorien. Toujours bien installée dans son fauteuil, l'ainoko avait un sourire mutin à la commissure des lèvres. Elle avait observé, avec une attention délicate et discrète, les réactions de cet homme.
A son attitude, on pourrait penser qu'il avait toujours été dans ce genre d'endroit, et pourtant, Rei n'avait pas manqué l'étonnement dans le regard de l'humain...surtout au sujet de la rapidité de fabrication des vêtements !

C'est alors que le jeunot vint à parler. Son port altier, son regard, ses expressions, la fierté même de cette "personne" donnait l'envie à la Yatsuki de "tester la marchandise". Quittant d'un pas feutrer son fauteuil, telle une reine, Rei fit de nouveau le tour du spécimen, comme précédemment au marché. Bonne musculature, attitude prouvant une certaine forme de respect et de fierté...Oui, elle avait fait un bon choix.
Se stoppant nette face à lui, elle glissa sa main fine et aristocrate sur le torse nu de l'humain. Lascivement, elle dessina les abdominaux de ce "parent éloigné"...tout en descendant vers le boxer noir. Glissant un doigt sous l'élastique, elle se servit de ce dernier pour le faire quitter le tabouret, et surtout, pour l'attirer un peu plus prés d'elle, de manière à le faire légèrement plié un genoux.

Alors, en se penchant vers l'oreille de l'éphèbe, désormais accessible, elle susurra sensuellement :

"Pourquoi ne pas me prouver que j'ai fait une bonne affaire ?"

Regardant paisiblement sa maitresse, un oeil
malicieux et plein de vie, Marcus n'avait en aucun cas peur de la ticot
rayé, il s'amusait avec elle en fait. De plus, elle semblait l'aguicher
dans sa démarche, allons bon...pourquoi ne pas prendre un peut de
plaisir, il était esclave, c'était sa maitresse, si elle ne lui donnait
pas l'odre de la toucher, il se contenterais de la regarder. Faire des
jeux charnels, voila un des trucs qu'il affectione dans sa vie
d'esclave, une maitresse mécontente de son rat puant de mari qui lui
ordonne de la rejoindre dans son lit la nuit. C'est sans doute la plus
belle chose qu'une maitresse hase puisse demander a son esclave, la
combler encore et encore. Ah, c'est la seule cose qu'il regretait,
cette rongeur avait le qualificatif des lapins et des lievres, une hase
parfaitement soumise pendant le sexe et désirant qu'une chose, le faire
souvent et longtemps. Autant dire que lorsqu'elle était en chaleur,
notre jeune humain ne passait pas beaucoup de nuit avec morphé. C'était
la meme démarche, le meme regard....

Ellele contourna, de la
meme maniere qu'au marché, le toisant ouvertement et s'approchant sans
aucune crainte. Digne et fier, le jeune Yatsuki, car c'est ainsi qu'il
s' voyait, ne cilla pas, soutenant son regard lorsqu'elle se planta
devant lui, plus haute par la position assise de son esclave et passa
sa main fine sur son torse, s'amusant a faire le tour de ses courbes
abdominales. Un imperceptible frisson pour les humains passa sur son
échine, mais son touché était celui d'un serpent et donc bien plus
sensible aux vibrations. Tiens, une idée, perverse et tres bien trouvé
traversa l'esprit de ce jouet si particulier. Elle tira sur l'elastique
de son boxer, pas pour l'arracher, juste pour pouvoir le faire plier.
il ceda avec délice devant sa belle maitresse au corset si avantageux
et sourrit a sa demande.

Donne moi une seconde...

Trouver
un machin qui vibre....BIEN SUR! Un large sourire s'afficha sur son
visage lorsqu'il se releva l'air de rien et attrapa son portable pour
brancher le vibreur en continue. Elle voulait voir si elle avait fait
une bonne affaire hein? Alors on va lui montrer ce qu'on a appris plus
tot dans les chambres d'une hase infatiguable. Il se rapprocha d'elle,
sans prevenir, il lui pril le poignet et lui fit une clef de bras tout
en retirant le lacet de son corcet, le retirant completement pour
pouvoir la ficeler. Gros pervers qu'il était. Il lui attacha la main en
clef de bras a l'autre, les liant dans son dos avant d'introduire le
téléphone vibrant toujours a la puissance maximale dans la peau de cuir
de son pentalon, tout contre son bas ventre et son intimité. Il pris un
malin plaisir a la caresser avec une extreme douceur et languer pour
rendre ses caresses insuportables. C'est un inconveignant de ses crocs,
une peau tres sensible et facilement torturable. Il tonba finalement le
corset a terre et commenca a décrire des cercles autour de son téton
droit, rien que pour l'attisser, voire l'enerver. La violence et la
brutalité dans le sexe c'est pas si mal, si on sait y faire....

Le tuer. Là, elle avait envi de le tuer, le découper en rondelle, en faire du civet, et se servir de ses entrailles pour faire des portes-jarretelles ! Comment, ne serait-ce qu'une seule seconde, avait-il pût oser lui faire une clé de bras ?! Comment pouvait-il l'avoir attaché ainsi ? Il pense qu'un serpent ayant sa souplesse peut rester attaché ainsi ? Mais c'est qu'il rêve tout éveillé le petit !!
Au début, lorsqu'il lui avait demandé une seconde, elle avait été dubitatif. Mais lorsqu'elle l'avait vu prendre le portable, et le brancher sur continu, elle avait de suite comprit qu'il avait fait tilt sur sa nature serpentaire. Bon sang....pourquoi fallait-il qu'elle est le sens du toucher aussi bien développé ?!
Pourtant, elle avait juste gardé un air supérieur et un sourire hautain, jusqu'à ce qui lui fasse cette clé de bras !

Alors que le portable passait sur son corps, la forçant à laisser s'échapper de ses lèvres de sourds gémissements, Rei réfléchissait à comment exploiter son actuel position.
Alors que son corset tombé, elle arriva enfin à faire glisser ses fines et délicates main du lacet les retenant. En raison de la vitesse utilisé pour exécuter tout ceci, le nœud était moins serré que ce qui aurait dû être fait...et la souplesse légendaire des serpents, il faut croire que l'humain l'avait oubliée celle-là ! Ce n'est pas un pouvoir, mais quelque chose d'innée chez tout les ainoko serpent.
Sa main droite captura alors la gorge de l'humain. Forçant le visage de ce dernier de s'approcher du sien, elle lui susurra à l'oreille :

"N'espère même pas m'attacher...Tu n'es pas le Maître, ici."

Un grondement sourd, une menace. Son corps tremblait sous l'effet du vibreur, placé à une certaine partie du corps de la Miss. Il faut l'avouer, tout le monde possède une faiblesse, et elle comptait bien trouver celle de Marcus, pour l'exploiter quand viendra son tour de faire mumuse !
En attendant, sa main gauche se dirigea vers les cuisses de l'humain, alors que sa main droite descendait sur son torse. De ses ongles, la jeune femme traçait des sillons, en fait, elle le griffait de manière à attisait son désir. Comment ça ? Oh...disons que la main gauche est proche de l'entre-jambe, et la droite au niveau des mamelons. D'ailleurs, se penchant vers le mamelon gauche de l'homme, elle n'hésita pas à le mordre, croc dehors. Bon, je rassure, pas de venin avec la morsure !

Dommage... Rei le mande pour lui faire plaisir comme son ancienne maitresse aimait qu'un homme la prenne, résultat, elle semble ne pas apprecier la domination, mais lui y avait pas pris gout, il ne connaissait pas vraiment les relation égalitaire et ne savait pas etre soumis. Bien sur il était devenu orgueilleux avec le temps, donc au pire, sa maitresse aurait une relation égalitaire, mais si elle souhaite une soummission, meme une pluie de coups ne fera rien, les souvenir de ce que lui demandait de faire sa maitresse sont un peut trop fort pour ca. Se faire lacerer au fouet, vercer de la cire brulante dans les entailles, la violer... Toutes sortes de délires completement déplacé, une fois elle lui a meme demandé de la tuer et de baiser son cadavre, et comme par hasard, c'était la veille de sa mise en vente.

Le poignet de la maitrresse avait bougé pendant qu'il lui passait des liens serré, normalement, il était fait pour l'empecher de bouger, limite entailler la peau, mais cette serpent avait prévue le coup en déplaceant son poignet. D'un geste rapide, elle sembla se déboiter l'épaule pour retirer plus simplement ses liens avant de lui prendre la gorge pour lui sussurer une menace a laquelle il répondit de bon coeur.

Pourtant, tu ne semble pas regreter ce telephone, maitresse.

C'est alors qu'elle le lachat et commenca a le griffer de maniere plutot excitante avant de planter ses crocs dans sa chair. Lui était en boxer et elle ne portait que son pentalon de cuir. Il senti un liquide chaud couler de son pectoral, ca y est elle l'a tué, attend, non, elle a dit qu'il n'aurait pas le loisir de sentir ses dents entailler sa chair si elle devait le tuer. Enfin. Laissant la jeune femme souple finir de sucer son sang, il la repoussa quelques peut avant de la plaquer contre le mur, une cuisse entre ses jambes et les mains sur ses poignets. Ca pouvait passer pour de la domination, mais aussi pour un rapport fougeux entre deux amants de longue date. Il mordit son cou, sans douceur, mais sans laisser de marque avant de l'embrasser en lui laissant le loisir de mordre.

Une main lacha un de ses poignets pour descendre sur le portable qu'il glissa encore plus bas dans son pentalon de cuir, c'était la moulure de cet habit qui n'avait pas value une totale nudité a sa maitresse. Il faisait joujou avec le telephone alors que sa maitresse lui entaillait la levres entre ses crocs, ca fait tres mal, mais bon, si c'est ce qu'elle aime, autant lui en donner, tant que c'est raisonable du point de vue du jeune homme. Marcus arreta son jeu pour venir caresser la genereuse poitrine de la Yatsuki avant de lui caresser la joue en mettant fin au baiser.

Dis moi Rei, si on oublier la maitresse et l'esclave, si on était simplement Rei et Marcus, un homme et une femme, ou un mâle et une femmelle c'est toi qui vois....

C'était une interogation interessante, Rei avait l'air d'une femme dominante, manque de bol, son esclave avait apris aussi a etre dominant, tout ses rapports étaient de la domination extreme. Donc, forcement, a qui dominera l'autre le mieux, les deux seraient perdant et sans doute en piteux état...

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