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L'humeur totalement instable de Fuubuki avait à nouveau fait des siennes. Après avoir été parfaitement "adorable", en rendant une robe flambant neuve à sa chère esclave, le jeune maitre était allé cherché des sandwich. Mais sa patience fut mise à rude épreuve en constatant que Kiara mangeait à la vitesse d'un escargot et finalement, il avait craqué en la violentant un peu, puis la força à se mettre en route, même si elle n'avait pas fini. Tant pis, elle essayerait de manger en marchant ou bien d'une autre manière, elle était assez grande pour se débrouiller. Mais plusieurs choses faisaient que Kiara ne pouvait marcher à la même vitesse que son maitre. Déjà, elle était exténuée, même si manger lui redonnait des forces. La belle avait été tirée toute une matinée par l'ainoko à travers une partie de la ville. Puis il lui avait fait subir des violences physiques en la frappant sans retenue. Sa pommette avait d'ailleurs changée de couleur, passant du rouge au violet-bleu. Et ensuite, elle avait trois sacs à tenir avec une main, des sacs contenant des vêtements et qui pouvaient s'avérer un peu lourd pour un bras fatigué. En bref, le maitre poussait son esclave à ses limites, l'obligeant à creuser dans ses propres ressources pour essayer de s'en sortir.
Enchainant rues sur rues, avenue sur avenue, l'ainoko savait se repérer tandis que son esclave était probablement complètement perdue. Elle finirait par connaitre la ville à force de passer son temps à faire des commissions ou d'autres taches qu'il pourrait lui confier lorsqu'il pourrait avoir confiance en elle. C'est finalement après quinze minutes qu'ils arrivèrent devant une grande grille, la grille de son manoir qu'il avait fait construire dans ce quartier résidentiel, assez proche du manoir des Kakons. L'endroit était immense, après la grille il y avait comme un grand parc et il y avait un grand jardin à l'arrière et encore d'autres choses. Kiara en oublia même le respect qu'elle devait avoir, ce qui lui valut à nouveau une tape, un peu plus violente sur la tête.
"Ne me tutoies pas. Oui, c'est mon manoir. Et j'ai d'autres esclaves qui sont déjà toutes prêtes à m'accueillir si tu veux savoir. Ta tache... et bien, celle qui est à la tête des esclaves te dira ce que tu dois faire."
Ils s'avancèrent alors sur la grande allée qui menait au manoir, séparée en deux chemins qui entourent une grande fontaine. Le jeune maitre était réellement riche, vivant avec aisance de la famille ainsi que du Tenjo Tenge dont il était le propriétaire. Fuubuki sourit en voyant la porte s'ouvrir, laissant passer une esclave habillée en soubrette, qui accourut vers lui en s'inclinant respectueusement.
"Bienvenu, maître Fuubuki. Vous avez eu la visite de sire Kris qui voulait s'entretenir avec vous à propos de l'import de marchandises dont il ne m'a pas précisé la nature, il a dit que vous comprendriez. Nous vous avons également préparé le bain, l'eau chaude est déjà en haut, les autres vous attendent."
Fuubuki écouta son esclave, celle qui était nommée dirigeante des esclaves, en quelque sorte une maitresse de maison, puis hocha la tête en la remerciant d'un sourire presque invisible. Mais elle avait appris depuis le temps à lire en son maitre et le connaissait mieux que quiconque, donc elle fut heureuse de le voir sourire, même si ce n'était qu'une bribe. L'ainoko tendit alors la chaine à son esclave en disant:
"Bien, amène cette chère demoiselle, montre lui où s'installer et explique lui un peu les règles de la maison, son boulot, tout ça... je vais prendre mon bain, je me sens las."
Laissant au soin de son esclave, le cas de Kiara, il monta donc à l'étage pour prendre le fameux bain, se laissant déshabiller, laver par ses esclaves qui se montraient toutes dociles. Il se rhabilla après avoir été séché, un jean et resta torse nu. Le jeune ainoko descendit voir la situation avec sa nouvelle esclave.
Pendant ce temps, la maitresse de maison que nous nommerons Magguy, indiquait le chemin à Kiara après lui avoir retirer les menottes. La jeune femme agée de vingt cinq ans se montrait déjà beaucoup plus douce que son maitre, mais elle était tout de même ferme, étant celle qui devait diriger les esclaves lorsqu'il s'absentait. Ainsi, elle mena la nouvelle dans un couloir, et ouvrant une porte, elles débouchèrent sur une espèce de grand dortoir.
"Ce lit sera le tien et la petite malle en-dessous pour tes affaires."
Remarquant les beaux vêtements de Kiara, la jeune femme pinça les lèvres, mais ne fit aucun commentaire. Son maitre ne lui avait jamais rien offert et cette nouvelle semblait déjà avoir été gâtée. Elle lui montra ensuite la cuisine, une grande salle où de nombreuses personnes pouvaient travailler en même temps.
"Toutes les esclaves doivent se rassembler à la cuisine, du moins les cuisinières, lorsqu'il sera cinq heures pour le petit-déjeuné, dix heures et demi pour le déjeuné et cinq heures et demi pour le dîner. Si jamais tu arrives en retard, attend toi à être punie d'une quelconque façon, j'ai l'imagination fertile."
Continuant la visite, Magguy confia tout un couloir à Kiara, couloir dont elle serait responsable.
"La moindre trace de poussières sera un affront à notre maitre, tu devras le laver trois fois tous les jours (le couloir), cela implique également les vitres. Tiens, le local où sont rangées les serpillères est là."
Elle ouvrit donc une porte placard et montra à Kiara la chose en question. Et ainsi se poursuivit la petite visite, ponctuée d'arrêt, de mise en garde, de petits regards méprisants, mais discrêt pour la demoiselle fraichement arrivée.
Enchainant rues sur rues, avenue sur avenue, l'ainoko savait se repérer tandis que son esclave était probablement complètement perdue. Elle finirait par connaitre la ville à force de passer son temps à faire des commissions ou d'autres taches qu'il pourrait lui confier lorsqu'il pourrait avoir confiance en elle. C'est finalement après quinze minutes qu'ils arrivèrent devant une grande grille, la grille de son manoir qu'il avait fait construire dans ce quartier résidentiel, assez proche du manoir des Kakons. L'endroit était immense, après la grille il y avait comme un grand parc et il y avait un grand jardin à l'arrière et encore d'autres choses. Kiara en oublia même le respect qu'elle devait avoir, ce qui lui valut à nouveau une tape, un peu plus violente sur la tête.
"Ne me tutoies pas. Oui, c'est mon manoir. Et j'ai d'autres esclaves qui sont déjà toutes prêtes à m'accueillir si tu veux savoir. Ta tache... et bien, celle qui est à la tête des esclaves te dira ce que tu dois faire."
Ils s'avancèrent alors sur la grande allée qui menait au manoir, séparée en deux chemins qui entourent une grande fontaine. Le jeune maitre était réellement riche, vivant avec aisance de la famille ainsi que du Tenjo Tenge dont il était le propriétaire. Fuubuki sourit en voyant la porte s'ouvrir, laissant passer une esclave habillée en soubrette, qui accourut vers lui en s'inclinant respectueusement.
"Bienvenu, maître Fuubuki. Vous avez eu la visite de sire Kris qui voulait s'entretenir avec vous à propos de l'import de marchandises dont il ne m'a pas précisé la nature, il a dit que vous comprendriez. Nous vous avons également préparé le bain, l'eau chaude est déjà en haut, les autres vous attendent."
Fuubuki écouta son esclave, celle qui était nommée dirigeante des esclaves, en quelque sorte une maitresse de maison, puis hocha la tête en la remerciant d'un sourire presque invisible. Mais elle avait appris depuis le temps à lire en son maitre et le connaissait mieux que quiconque, donc elle fut heureuse de le voir sourire, même si ce n'était qu'une bribe. L'ainoko tendit alors la chaine à son esclave en disant:
"Bien, amène cette chère demoiselle, montre lui où s'installer et explique lui un peu les règles de la maison, son boulot, tout ça... je vais prendre mon bain, je me sens las."
Laissant au soin de son esclave, le cas de Kiara, il monta donc à l'étage pour prendre le fameux bain, se laissant déshabiller, laver par ses esclaves qui se montraient toutes dociles. Il se rhabilla après avoir été séché, un jean et resta torse nu. Le jeune ainoko descendit voir la situation avec sa nouvelle esclave.
Pendant ce temps, la maitresse de maison que nous nommerons Magguy, indiquait le chemin à Kiara après lui avoir retirer les menottes. La jeune femme agée de vingt cinq ans se montrait déjà beaucoup plus douce que son maitre, mais elle était tout de même ferme, étant celle qui devait diriger les esclaves lorsqu'il s'absentait. Ainsi, elle mena la nouvelle dans un couloir, et ouvrant une porte, elles débouchèrent sur une espèce de grand dortoir.
"Ce lit sera le tien et la petite malle en-dessous pour tes affaires."
Remarquant les beaux vêtements de Kiara, la jeune femme pinça les lèvres, mais ne fit aucun commentaire. Son maitre ne lui avait jamais rien offert et cette nouvelle semblait déjà avoir été gâtée. Elle lui montra ensuite la cuisine, une grande salle où de nombreuses personnes pouvaient travailler en même temps.
"Toutes les esclaves doivent se rassembler à la cuisine, du moins les cuisinières, lorsqu'il sera cinq heures pour le petit-déjeuné, dix heures et demi pour le déjeuné et cinq heures et demi pour le dîner. Si jamais tu arrives en retard, attend toi à être punie d'une quelconque façon, j'ai l'imagination fertile."
Continuant la visite, Magguy confia tout un couloir à Kiara, couloir dont elle serait responsable.
"La moindre trace de poussières sera un affront à notre maitre, tu devras le laver trois fois tous les jours (le couloir), cela implique également les vitres. Tiens, le local où sont rangées les serpillères est là."
Elle ouvrit donc une porte placard et montra à Kiara la chose en question. Et ainsi se poursuivit la petite visite, ponctuée d'arrêt, de mise en garde, de petits regards méprisants, mais discrêt pour la demoiselle fraichement arrivée.
Invité
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Une fois arrivés devant le manoir, ils se dirigèrent vers la porte d’entrée après avoir passe le portail de fer forgé. La jeune esclave admirait la résidence et le parc et les jardins qui l’entouraient et ne put s’empêcher de lui demander si ce lieu était à lui et si elle serait seule à s’en occuper. Tout cela, en le tutoyant comme à son habitude, remarquez qu’elle ne ‘lavait pas vouvoyer une seule fois depuis qu’il l’avait acheté au marché… Ca devait d’ailleurs certainement commencer à taper sur le système de Fuubuki, elle s’en doutait… Ces questions lui valurent une tape un peu plus violente sur la tête, enfin rien de bien grave comparé à ce qu’il avait pu lui faire tout à l’heure et lui répondit qu’elle n’était pas sa seule esclave, que ce manoir était bien à lui, que celle qui était a la tête des esclaves lui diraient sa tache et surtout, lui ordonna de ne pas le tutoyer… Kiara leva les yeux au ciel et continuait de le suivre dans l’allée qui se séparerait bientôt en deux autour d’une fontaine immense représentant un corbeau en plein envol… On comprenait assez bien le message que cela semblait envoyer…
Sur le chemin menant a la porte d’entrée, La jeune femme s’amusa à essayer d’imaginer l’intérieur de ce manoir, elle se demandait si c’était moderne ou bien s’il avait mis un point d’honneur à garder le côté ancien de sa propriété… Elle le saurait bientôt… Elle essaya également d’imaginer celle qui était en tête des esclaves… Elle voyait plutôt une vieille femme, un peu genre même de chambre avec une éducation stricte et qui al regarderait sans cesse de haut, elle, la nouvelle jeune esclave rebelle… Elle avait un pressentiment qui lui disait qu’elle n’aurait pas vraiment de bons contacts avec cette femme… Fuubuki continuait d’avancer dans la grande allé jusqu’à arriver à la porte, à peine eut-il le temps de mettre les pieds sur le perron qu’une jeune femme, habillée dans un costume de soubrette, ouvrit la porte et s’inclina devant son maitre.Kiara la regarda d’un air perplexe… C’était pour assouvir un fantasme le costume de soubrette ou juste pour la présentation ? une fois relevée, la jeune femme dit à l’ainoko qu’un certain Krys avait cherché à lui parler pour une livraison de marchandise mystérieuse et qu’un bain chaud était prêt pour lui. Elle dit alors que « les autres » l’attendaient… Surement d’autres esclaves… Mais combien en avait-il à lui seul ???
Après que l’esclave qui semblait être comme une maitresse de maison eut fini son speech, Fuubuki lui tendit la chaine qui le liait à Kiara et lui dit de lui montrer où elle s’installerait et de lui expliquer les règles de la maison t les taches qu’elle devrait accomplir pendant qu’il irait prendre son bain… Bien ! Qu’il s’en aille ! ca ne ferait pas de mal à la jeune femme d’avoir un peu d’air ! Sur ce, leur maitre monta à l’étage tandis que Kiara se retrouvait seule face à la soubrette.
Ainsi, la soubrette se présenta à elle, lui disant qu’elle s’appelait Magguy et qu’elle tait à la tête de tous las esclaves de sire Fuubuki. Esclaves qui, il faut le préciser, sont toutes des femmes… Elle détacha les menottes de Kiara et lui demanda de la suivre jusque dans un couloir, elle ouvrit alors une porte menant à un grand dortoir qui devait contenir environ vingt lits… Ca pouvait déjà donner une petite idée du nombre d’esclaves qu’il y avait, bien que certains lits semblaient ne pas être occupé de part l’absence de la petite malle à côté qui était censé contenir els affaires de l’esclave qui y dormait… C’est un de ces lits que lui montra Magguy. Kiara se dirigea donc vers celui-ci et déposa les sacs qu’elle portait depuis tout à l’heure, contenant sa robe neuve, ses vêtements de travail et celui contenant sa robe remise en état et ses chaussures. Il lui avait sembla que Magguy avait un peu lorgné sur els deux sacs contenant les robes mais elle n’y prêta pas attention. Apres les avoir déposé, Kiara se retourna vers Magguy :
- On n’a même pas d’armoire pour nos affaires ?
Magguy la regarda alors d’un air outré avant de lui répondre sèchement :
-Je crois que tu ne te rends pas compte de la chance que tu as ! Sire Fuubuki nous a aménagé un magnifique dortoir, d’autres esclaves sont installés bien moins confortablement que nous !
-Ouais bon je vois t’as été formaté… se dit à elle-même Kiara
-Pardon ?
-Non rien du tout...
Magguy sorti sans rien dire du dortoir et se dirigea alors vers la cuisine, une grande pièce qui semblait être faite pour que plusieurs esclaves travaillent dedans. La soubrette lui dit alors a quelles heures devaient se rejoindre les esclaves pour les trois repas de l’ainoko. Elle lui dit alors que si elle avait le malheur d’arriver en retard, elle serait punie… Ca ressemblait à une menace non ? Après ce que lui avait fait Fuubuki, elle ne s’attendait pas vraiment à ce que ses punitions soient dures… Déjà, pour ce qui est des coups, elle était beaucoup moins impressionnante que lui…
-Elles ne sont pas un peu avancées, ces heures pour les repas ? Enfin il ne faut tout de même pas trois heures pour préparer son petit déjeuner !
-On ne te demande pas de tout remanier ici, c’est comme ça et pas autrement alors contente toi de m’obéir !
Kiara leva une nouvelle fois les yeux au ciel, cette fille commençait déjà à l’énerver et cela risquerait d’être électrique entre elles deux… Même un imbécile aurait pu remarquer, rien que de la manière dont toutes deux se comportaient et les regards échangé qu’elle n’était absolument pas faite pour s’entendre… Après la visite de la cuisine, elle l’emmena dans un long couloir et lui dit qu’en gros, il devait être impeccable et qu’elle devrait le nettoyer trois fois par jour. Kiara la regarda avec des yeux ébahis et lui dit, un sourire moqueur sur les lèvres :
-TROIS FOIS ???? Ce n’est pas un peu excessif non ?
La réponse de Magguy ne se fit pas attendre, elle donna une gifle à la nouvelle esclave et la regarda d’un air hautain avant de lui dire :
-Je t’ai déjà dit de te contenter d’obéir POINT BARRE. Ne crois pas que tu peux me manquer de respect parce que je suis une esclave aussi !
Une fois cela fait, Magguy lui montra le placard qui contenait les serpillères comme si de rien était et continua sa visite par les douches communes des esclaves. Kiara ne se privait plus à présent pour regarder d’un œil mauvais celle qui ne lui faciliterait certainement pas la vie ici malgré son physique qui pourrait penser qu’elle était douce. Kiara passa à un moment sa main sur sa pommettes douloureuse et remarqua alors que sa main était tachée de sang, la gifle que lui avait donné Magguy avait souvent rouvert la plaie et elle remarqua alors qu’elle avait des taches de sang sur son habit de travail… La jeune femme essuya du revers de sa main le sang sur sa pommette et jeta un regard noir à Magguy. C’est à cet instant que toutes deux arrivèrent dans une grande pièce qui semblait être un salon et se retrouvèrent face à leur maitre. Magguy s’avança vers lui, s’inclina un peu et lui dit quelque chose à voix basse que Kiara ne pouvait entendre de là où elle était :
-Il me semble sire que cette fille ne fera pas une bonne esclave…
Sur le chemin menant a la porte d’entrée, La jeune femme s’amusa à essayer d’imaginer l’intérieur de ce manoir, elle se demandait si c’était moderne ou bien s’il avait mis un point d’honneur à garder le côté ancien de sa propriété… Elle le saurait bientôt… Elle essaya également d’imaginer celle qui était en tête des esclaves… Elle voyait plutôt une vieille femme, un peu genre même de chambre avec une éducation stricte et qui al regarderait sans cesse de haut, elle, la nouvelle jeune esclave rebelle… Elle avait un pressentiment qui lui disait qu’elle n’aurait pas vraiment de bons contacts avec cette femme… Fuubuki continuait d’avancer dans la grande allé jusqu’à arriver à la porte, à peine eut-il le temps de mettre les pieds sur le perron qu’une jeune femme, habillée dans un costume de soubrette, ouvrit la porte et s’inclina devant son maitre.Kiara la regarda d’un air perplexe… C’était pour assouvir un fantasme le costume de soubrette ou juste pour la présentation ? une fois relevée, la jeune femme dit à l’ainoko qu’un certain Krys avait cherché à lui parler pour une livraison de marchandise mystérieuse et qu’un bain chaud était prêt pour lui. Elle dit alors que « les autres » l’attendaient… Surement d’autres esclaves… Mais combien en avait-il à lui seul ???
Après que l’esclave qui semblait être comme une maitresse de maison eut fini son speech, Fuubuki lui tendit la chaine qui le liait à Kiara et lui dit de lui montrer où elle s’installerait et de lui expliquer les règles de la maison t les taches qu’elle devrait accomplir pendant qu’il irait prendre son bain… Bien ! Qu’il s’en aille ! ca ne ferait pas de mal à la jeune femme d’avoir un peu d’air ! Sur ce, leur maitre monta à l’étage tandis que Kiara se retrouvait seule face à la soubrette.
Ainsi, la soubrette se présenta à elle, lui disant qu’elle s’appelait Magguy et qu’elle tait à la tête de tous las esclaves de sire Fuubuki. Esclaves qui, il faut le préciser, sont toutes des femmes… Elle détacha les menottes de Kiara et lui demanda de la suivre jusque dans un couloir, elle ouvrit alors une porte menant à un grand dortoir qui devait contenir environ vingt lits… Ca pouvait déjà donner une petite idée du nombre d’esclaves qu’il y avait, bien que certains lits semblaient ne pas être occupé de part l’absence de la petite malle à côté qui était censé contenir els affaires de l’esclave qui y dormait… C’est un de ces lits que lui montra Magguy. Kiara se dirigea donc vers celui-ci et déposa les sacs qu’elle portait depuis tout à l’heure, contenant sa robe neuve, ses vêtements de travail et celui contenant sa robe remise en état et ses chaussures. Il lui avait sembla que Magguy avait un peu lorgné sur els deux sacs contenant les robes mais elle n’y prêta pas attention. Apres les avoir déposé, Kiara se retourna vers Magguy :
- On n’a même pas d’armoire pour nos affaires ?
Magguy la regarda alors d’un air outré avant de lui répondre sèchement :
-Je crois que tu ne te rends pas compte de la chance que tu as ! Sire Fuubuki nous a aménagé un magnifique dortoir, d’autres esclaves sont installés bien moins confortablement que nous !
-Ouais bon je vois t’as été formaté… se dit à elle-même Kiara
-Pardon ?
-Non rien du tout...
Magguy sorti sans rien dire du dortoir et se dirigea alors vers la cuisine, une grande pièce qui semblait être faite pour que plusieurs esclaves travaillent dedans. La soubrette lui dit alors a quelles heures devaient se rejoindre les esclaves pour les trois repas de l’ainoko. Elle lui dit alors que si elle avait le malheur d’arriver en retard, elle serait punie… Ca ressemblait à une menace non ? Après ce que lui avait fait Fuubuki, elle ne s’attendait pas vraiment à ce que ses punitions soient dures… Déjà, pour ce qui est des coups, elle était beaucoup moins impressionnante que lui…
-Elles ne sont pas un peu avancées, ces heures pour les repas ? Enfin il ne faut tout de même pas trois heures pour préparer son petit déjeuner !
-On ne te demande pas de tout remanier ici, c’est comme ça et pas autrement alors contente toi de m’obéir !
Kiara leva une nouvelle fois les yeux au ciel, cette fille commençait déjà à l’énerver et cela risquerait d’être électrique entre elles deux… Même un imbécile aurait pu remarquer, rien que de la manière dont toutes deux se comportaient et les regards échangé qu’elle n’était absolument pas faite pour s’entendre… Après la visite de la cuisine, elle l’emmena dans un long couloir et lui dit qu’en gros, il devait être impeccable et qu’elle devrait le nettoyer trois fois par jour. Kiara la regarda avec des yeux ébahis et lui dit, un sourire moqueur sur les lèvres :
-TROIS FOIS ???? Ce n’est pas un peu excessif non ?
La réponse de Magguy ne se fit pas attendre, elle donna une gifle à la nouvelle esclave et la regarda d’un air hautain avant de lui dire :
-Je t’ai déjà dit de te contenter d’obéir POINT BARRE. Ne crois pas que tu peux me manquer de respect parce que je suis une esclave aussi !
Une fois cela fait, Magguy lui montra le placard qui contenait les serpillères comme si de rien était et continua sa visite par les douches communes des esclaves. Kiara ne se privait plus à présent pour regarder d’un œil mauvais celle qui ne lui faciliterait certainement pas la vie ici malgré son physique qui pourrait penser qu’elle était douce. Kiara passa à un moment sa main sur sa pommettes douloureuse et remarqua alors que sa main était tachée de sang, la gifle que lui avait donné Magguy avait souvent rouvert la plaie et elle remarqua alors qu’elle avait des taches de sang sur son habit de travail… La jeune femme essuya du revers de sa main le sang sur sa pommette et jeta un regard noir à Magguy. C’est à cet instant que toutes deux arrivèrent dans une grande pièce qui semblait être un salon et se retrouvèrent face à leur maitre. Magguy s’avança vers lui, s’inclina un peu et lui dit quelque chose à voix basse que Kiara ne pouvait entendre de là où elle était :
-Il me semble sire que cette fille ne fera pas une bonne esclave…
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Les deux jeunes gens, maitre et esclave étaient enfin de retour au manoir. C'était la première fois pour Kiara, mais bien plus que la millième fois pour Fuubuki. Ce dernier entrait sortait chaque jour plusieurs fois et cela depuis qu'il était tout petit. C'est à l'âge de dix ans qu'on lui avait offert comme esclave Magguy qui était celle qui le satisfaisait le plus, étant parfaitement obéissante. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle était devenue en quelque sorte la gouvernante et l'ainoko nourrissait en secret de l'affection pour elle, même si il n'en était même pas conscient. Enfin, c'était souvent elle qu'il appelait lorsqu'il s'ennuyait la nuit, alternant souvent entre les esclaves, mais la préférant aux autres. L'ainoko menait une vie tranquille, dans la luxure chez lui et dans la douleur et la mort lorsqu'il était à l'extérieur de nuit.
Après avoir confié Kiara aux soins de sa chère Magguy, le maitre alla prendre son bain puis alla se planter dans le salon en attendant que la visite guidée se termine. Elles prenaient un sacré temps à faire le tour, cela en devenait agaçant. Il s'installa dans un grand canapé et attendit en tapant du pied nerveusement. Lorsqu'une porte s'ouvrit, il se leva en voyant les deux esclaves entrer. Magguy s'empressa de venir auprès de lui en lui faisant un commentaire sur Kiara. L'ainoko lui répondit alors sur le même ton chuchoté:
"Une fois domptée, elle sera parfaite."
Se tournant vers Kiara, il remarqua que sa joue saignait. Il lui avait pourtant semblé que le sang avait arrêté de couler. S'approchant d'elle, il vit une blessure réouverte, blessure à cause de lui, mais réouverte, pas trop de sa faute. Vu le visage de Kiara, la gouvernante en était la responsable. Se retournant alors le kakon avança vers celle qu'il aurait pu appeler son "amie d'enfance" et lui donna une gifle monumentale. Celle-ci ne cilla presque pas s'inclina sans rien dire.
"Tu es peut-être gouvernante, mais évite d'abimer les nouvelles de cette manière, elle risque d'avoir peur!"
Fuubuki à la fin, avait un air presque amusé lorsqu'il regardait Magguy soumise. Son attention se porta à nouveau sur Kiara.
"Bon, j'espère que les locaux te plaisent, parce que c'est ici que tu travailles à partir de maintenant. N'oublie pas les horaires, n'oublie pas de sourire lorsqu'il y a des invités et si jamais quelque chose te déplait, et bien tant pis pour toi, ce ne sont pas mes affaires. Maintenant, va te changer et nettoie moi cette plaie. Magguy, tu t'en charges, montre lui le local avec les médocs et autres. Je veux te voir présentable dans une demi-heure, dans ma chambre. Tu peux enfiler une des nouvelles robes après t'être lavée."
Après la série d'ordres, le maitre sortit par la porte et monta l'escalier vers sa grande chambre. En attendant, Magguy était toujours un peu plus loin de Kiara et la regardait avec des yeux perçants. D'une voix sèche et lui dit:
"Je ne sais pas pourquoi il te protège comme ça petite insolente, mais sache que tu ne m'auras jamais moi. je suis au service de maitre Fuubuki depuis neuf ans et je ne me ferai pas avoir par une petite inconsciente qui ne mesure pas le privilège qu'elle a de servir ce maitre qui t'as offert des robes en plus! Personne n'avait eu ce privilège avant toi et pourtant il y en a des dix fois plus méritante que toi. Espèce de souillon, suis moi!"
Elle n'était pas plus vieille, mais était très autoritaire. Et par dessus tout, elle détestait cette Kiara ça c'était sûr. Cette fille était effrontée, elle avait bien vu la manière dont elle parlait au maitre Fuubuki de loin. Elle n'avait pas ce regard soumis, elle pensait peut-être être son égale? Non, cette Kiara allait comprendre la dureté de la vie. Magguy mena le chemin vers le local-pharmacie et lança de l'alcool et du coton à Kiara avant de faire demi-tour.
"Prend ta douche et va voir le maitre. Débrouille toi pour te trouver une serviette, j'ai du travail maintenant."
Et c'est ainsi qu'elle abandonna Kiara, probablement perdue dans le manoir avec tous ses couloirs qui se ressemblent. Fuubuki lui était dans sa chambre avec plusieurs esclaves qui allaient venaient en apportant des plateaux pleins de nourriture pour gouter. Son regard allait de la table à la porte, sans arrêt, espérant voir Kiara entrer rapidement parce qu'il commençait sérieusement à avoir faim.
Après avoir confié Kiara aux soins de sa chère Magguy, le maitre alla prendre son bain puis alla se planter dans le salon en attendant que la visite guidée se termine. Elles prenaient un sacré temps à faire le tour, cela en devenait agaçant. Il s'installa dans un grand canapé et attendit en tapant du pied nerveusement. Lorsqu'une porte s'ouvrit, il se leva en voyant les deux esclaves entrer. Magguy s'empressa de venir auprès de lui en lui faisant un commentaire sur Kiara. L'ainoko lui répondit alors sur le même ton chuchoté:
"Une fois domptée, elle sera parfaite."
Se tournant vers Kiara, il remarqua que sa joue saignait. Il lui avait pourtant semblé que le sang avait arrêté de couler. S'approchant d'elle, il vit une blessure réouverte, blessure à cause de lui, mais réouverte, pas trop de sa faute. Vu le visage de Kiara, la gouvernante en était la responsable. Se retournant alors le kakon avança vers celle qu'il aurait pu appeler son "amie d'enfance" et lui donna une gifle monumentale. Celle-ci ne cilla presque pas s'inclina sans rien dire.
"Tu es peut-être gouvernante, mais évite d'abimer les nouvelles de cette manière, elle risque d'avoir peur!"
Fuubuki à la fin, avait un air presque amusé lorsqu'il regardait Magguy soumise. Son attention se porta à nouveau sur Kiara.
"Bon, j'espère que les locaux te plaisent, parce que c'est ici que tu travailles à partir de maintenant. N'oublie pas les horaires, n'oublie pas de sourire lorsqu'il y a des invités et si jamais quelque chose te déplait, et bien tant pis pour toi, ce ne sont pas mes affaires. Maintenant, va te changer et nettoie moi cette plaie. Magguy, tu t'en charges, montre lui le local avec les médocs et autres. Je veux te voir présentable dans une demi-heure, dans ma chambre. Tu peux enfiler une des nouvelles robes après t'être lavée."
Après la série d'ordres, le maitre sortit par la porte et monta l'escalier vers sa grande chambre. En attendant, Magguy était toujours un peu plus loin de Kiara et la regardait avec des yeux perçants. D'une voix sèche et lui dit:
"Je ne sais pas pourquoi il te protège comme ça petite insolente, mais sache que tu ne m'auras jamais moi. je suis au service de maitre Fuubuki depuis neuf ans et je ne me ferai pas avoir par une petite inconsciente qui ne mesure pas le privilège qu'elle a de servir ce maitre qui t'as offert des robes en plus! Personne n'avait eu ce privilège avant toi et pourtant il y en a des dix fois plus méritante que toi. Espèce de souillon, suis moi!"
Elle n'était pas plus vieille, mais était très autoritaire. Et par dessus tout, elle détestait cette Kiara ça c'était sûr. Cette fille était effrontée, elle avait bien vu la manière dont elle parlait au maitre Fuubuki de loin. Elle n'avait pas ce regard soumis, elle pensait peut-être être son égale? Non, cette Kiara allait comprendre la dureté de la vie. Magguy mena le chemin vers le local-pharmacie et lança de l'alcool et du coton à Kiara avant de faire demi-tour.
"Prend ta douche et va voir le maitre. Débrouille toi pour te trouver une serviette, j'ai du travail maintenant."
Et c'est ainsi qu'elle abandonna Kiara, probablement perdue dans le manoir avec tous ses couloirs qui se ressemblent. Fuubuki lui était dans sa chambre avec plusieurs esclaves qui allaient venaient en apportant des plateaux pleins de nourriture pour gouter. Son regard allait de la table à la porte, sans arrêt, espérant voir Kiara entrer rapidement parce qu'il commençait sérieusement à avoir faim.
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Kiara regarda Magguy et Fuubuki se parler à voix basse, pas besoin de se poser beaucoup de question... Ils parlaient bien évidemment d’elle… Elle les regarda tous deux, on sentait bien qu’il y avait quelque chose entre eux deux mais elle n’aurait pas su dire quoi, en tout cas ce qui était sur, c’est que Magguy était en totale admiration devant lui, bien dressée et tout à fait soumise… S’il comptait faire de Kiara une deuxième Magguy, il risquerait d’être déçu… La jeune esclave leur adressa à tous deux un regard mauvais et se contait de rester à distance, ca lui allait très bien…
Une fois leur petit dialogue en aparté terminé, l’ainoko sembla remarquer la blessure rouverte de sa nouvelle esclave et s’approcha d’elle pour voir de plus près lui sembla-t-il… Kiara s’attendait à ce qu’un sourire mauvais apparaisse sur son visage et qu’il aille féliciter sa soubrette préférée… Effectivement, Fuubuki se dirigea vers celle-ci mais au lieu de la féliciter comme elle le pensait, il lui donna une énorme gifle. Kiara e regarda avec de grands yeux, elle avait beau avoir déjà pris des claques de sa part il ne lui semblait pas en avoir reçu d’aussi énorme… Et Magguy était si bien dressée qu’elle ne réagit pas et se contenta de s’incliner, silencieuse. Kiara resta bouché bée, comment pouvait elle se laisser faire ainsi ? L’ainoko lui dit alors qu’elle n’avait pas à la frapper ainsi et que ca lui ferait certainement peur… Kiara resta immobile. La défendre ? Mais bien sûr... Elle n’avait pas que ca a faire après tout… Et c’était un peu comme une vengeance pour elle après tout…
Une fois cela fait, Fuubuki se retourna vers elle et s’approcha. Kiara ne bougea pas, à sa place certainement Magguy se serait incliné… Mais elle n’était pas Magguy… Kiara resta bien droite et le regardait dans les yeux, sans expression particulière sur le visage. Il lui dit qu’il espérait que le manoir lui plaisait et qu’elle ne devrait pas oublier les règles du manoir que Magguy lui avait exposé durant leur visite. Il lui dit alors d’aller se changer de se laver et de nettoyer sa plaie pour être présentable et enfiler une de ses robes pour le rejoindre dans sa chambre. Dans sa chambre, dans une des tenues qu’il lui avait dit de porter dans des occasions exceptionnelles ? C’était quoi ce plan ? Kiara resta sans voix, lui lançant un regard perplexe ; un regard qui lui demandait clairement ce qu’il manigançait. Il rajouta alors que Magguy devrait lui montrer ou se trouvait le nécessaire pour soigner sa plaie. Génial, en plus elle devrait passer encore du temps avec celle-là… Kiara soupira en levant les yeux au ciel et regarda ensuite Fuubuki sortir de la pièce, la laissant une nouvelle fois seule avec Magguy.
Une fois la prote refermée derrière lui, Magguy se rapprocha de Kiara avec un regard qui montrait clairement son animosité envers elle. Elle lui dit alors qu’elle ne la bernerait pas et qu’elle ne mesurait pas la chance qu’elle avait de par le fait qu’il lui ait acheté des robes. Elle lui dit alors de la suivre. Kiara adressa un sourire mauvais à Magguy et finit par lui répondre, tout en la suivant :
-Peut-être que tu n’es plus intéressante à ses yeux… Trop bien dressée pour cela certainement…
Magguy était jalouse, il n’y avait pas de doute là dessus et Kiara allait se faire un plaisir d’attiser cette jalousie… La soubrette l’amena vers le nécessaire pour panser sa plaie et lui lança du coton et de l’alcool avant de faire demi-tour et de lui dire de rejoindre le maitre et de trouver elle-même une serviette. Sur ce elle l’abandonna là. Bien sur, elle savait très bien qu’elle se perdrait dans le manoir et qu’elle aurait du mal à trouver la serviette mais c’était bien le but… Elle voulait ainsi l’affoler, lui faire peur de par le fait d’arriver en retard dans la chambre du maitre mais cela n’inquiétait en rien Kiara, elle prendrait son temps comme depuis le début…
Apres avoir désinfecté sa plaie et une fois que le sang avait coagulé, Kiara essaya de retrouver els douches communes qu’elles avaient vu tout à l’heure. Son sens de l’orientation était pitoyable et elle essaya de retrouver ses repères en vain… C’est après 15 minutes qu’elle réussit à trouver les douches. Il lui restait encore à trouver un savon, mais ce fut chose faite rapidement car ils étaient à disposition dans la douche et une serviette. Kiara eut alors l’idée de regarder dans la malle sous sont lit et se dirigea donc vers le dortoir, tout prêt des douches. Elle sortit la malle de sous son lit et y trouva heureusement une serviette. Elle retourna alors dans les douches et se lava en ne se dépêchant pas plus que cela. Son corps avait gardé les marques des coups que lui avait donnés Fuubuki.
Une fois sa douche prise, la demoiselle se sécha et retourna dans le dortoir seulement vêtu de sa serviette. De toute manier les seules personne présentes ici étaient des esclaves et Fuubuki et lui était en train de l’attendre dans sa chambre tandis que les filles étaient au petit soin avec lui… La jeune femme enfila tranquillement sa robe noire restaurée, comme neuve et mit ses chaussures noires. Elle brossa ses cheveux avec une brosse qu’elle trouva sur un lit et se dirigea alors vers la porte. Cela devait faire plus d’une demi-heure qu’il l’attendait, elle ne savait aps exactement et il lui restait encore sa chambre à trouver... Etant donné qu’elle n’avait aucune idée de l’endroit où elle était, cela risquerait d’être difficile… Kiara avait l’intuition que sa chambre se trouvait à l’étage, elle retrouva donc les escaliers et les monta, elle croisa alors une esclave qui descendait rapidement les marches, elle l’arrêta alors en la tenant par le bras et lui demanda :
-Excuse moi, ou se trouve la chambre de Fuubuki ?
L’esclave la regarda de la tête aux pieds, ébahis, se demandant si elle était la nouvelle esclave qu’il attendait depuis trois quarts d’heure ou bien une invitée qu’elle ne connaissait pas vu la tenue qu’elle avait. La sonnette n’avait pas résonné dans le manoir et l’arrivée d’une invitée n’avait aps été annoncé, elle en déduit donc qu’elle était bien la nouvelle esclave.
-Tu l’appelles Fuubuki ? Ne fait jamais cela devant lui, il va s’énerver sinon, il faut que tu l’appelles maitre ou sire Fuubuki ! Cela fait 45 minutes qu’il t’attend dépêches toi d’y aller, c’est au premier, étage, troisième porte à gauche ! Dépêche-toi !!!
Kiara regarda, amusée l’esclave descendre à nouveau en vitesse l’escalier et suivit son indication. Elle arriva devant une porte qu’elle ouvrit sans une seule hésitation et se retrouva alors dans la chambre de Fuubuki. Elle le vit alors, entouré de plusieurs esclaves qui la regardèrent, ébahis, arriver dans cette tenue et sortirent de la pièce. Devant Fuubuki étaient placé plusieurs plateaux pleins de nourriture, des aliments sucrés pour son gouter. Kiara s’avança élégamment de quelques pas et se retrouva alors seule dans la chambre de l’ainoko. Cela faisait 45 minutes qu’il l’attendait, comment allait-il réagir ? Elle l’apprendrait certainement tout de suite…
Une fois leur petit dialogue en aparté terminé, l’ainoko sembla remarquer la blessure rouverte de sa nouvelle esclave et s’approcha d’elle pour voir de plus près lui sembla-t-il… Kiara s’attendait à ce qu’un sourire mauvais apparaisse sur son visage et qu’il aille féliciter sa soubrette préférée… Effectivement, Fuubuki se dirigea vers celle-ci mais au lieu de la féliciter comme elle le pensait, il lui donna une énorme gifle. Kiara e regarda avec de grands yeux, elle avait beau avoir déjà pris des claques de sa part il ne lui semblait pas en avoir reçu d’aussi énorme… Et Magguy était si bien dressée qu’elle ne réagit pas et se contenta de s’incliner, silencieuse. Kiara resta bouché bée, comment pouvait elle se laisser faire ainsi ? L’ainoko lui dit alors qu’elle n’avait pas à la frapper ainsi et que ca lui ferait certainement peur… Kiara resta immobile. La défendre ? Mais bien sûr... Elle n’avait pas que ca a faire après tout… Et c’était un peu comme une vengeance pour elle après tout…
Une fois cela fait, Fuubuki se retourna vers elle et s’approcha. Kiara ne bougea pas, à sa place certainement Magguy se serait incliné… Mais elle n’était pas Magguy… Kiara resta bien droite et le regardait dans les yeux, sans expression particulière sur le visage. Il lui dit qu’il espérait que le manoir lui plaisait et qu’elle ne devrait pas oublier les règles du manoir que Magguy lui avait exposé durant leur visite. Il lui dit alors d’aller se changer de se laver et de nettoyer sa plaie pour être présentable et enfiler une de ses robes pour le rejoindre dans sa chambre. Dans sa chambre, dans une des tenues qu’il lui avait dit de porter dans des occasions exceptionnelles ? C’était quoi ce plan ? Kiara resta sans voix, lui lançant un regard perplexe ; un regard qui lui demandait clairement ce qu’il manigançait. Il rajouta alors que Magguy devrait lui montrer ou se trouvait le nécessaire pour soigner sa plaie. Génial, en plus elle devrait passer encore du temps avec celle-là… Kiara soupira en levant les yeux au ciel et regarda ensuite Fuubuki sortir de la pièce, la laissant une nouvelle fois seule avec Magguy.
Une fois la prote refermée derrière lui, Magguy se rapprocha de Kiara avec un regard qui montrait clairement son animosité envers elle. Elle lui dit alors qu’elle ne la bernerait pas et qu’elle ne mesurait pas la chance qu’elle avait de par le fait qu’il lui ait acheté des robes. Elle lui dit alors de la suivre. Kiara adressa un sourire mauvais à Magguy et finit par lui répondre, tout en la suivant :
-Peut-être que tu n’es plus intéressante à ses yeux… Trop bien dressée pour cela certainement…
Magguy était jalouse, il n’y avait pas de doute là dessus et Kiara allait se faire un plaisir d’attiser cette jalousie… La soubrette l’amena vers le nécessaire pour panser sa plaie et lui lança du coton et de l’alcool avant de faire demi-tour et de lui dire de rejoindre le maitre et de trouver elle-même une serviette. Sur ce elle l’abandonna là. Bien sur, elle savait très bien qu’elle se perdrait dans le manoir et qu’elle aurait du mal à trouver la serviette mais c’était bien le but… Elle voulait ainsi l’affoler, lui faire peur de par le fait d’arriver en retard dans la chambre du maitre mais cela n’inquiétait en rien Kiara, elle prendrait son temps comme depuis le début…
Apres avoir désinfecté sa plaie et une fois que le sang avait coagulé, Kiara essaya de retrouver els douches communes qu’elles avaient vu tout à l’heure. Son sens de l’orientation était pitoyable et elle essaya de retrouver ses repères en vain… C’est après 15 minutes qu’elle réussit à trouver les douches. Il lui restait encore à trouver un savon, mais ce fut chose faite rapidement car ils étaient à disposition dans la douche et une serviette. Kiara eut alors l’idée de regarder dans la malle sous sont lit et se dirigea donc vers le dortoir, tout prêt des douches. Elle sortit la malle de sous son lit et y trouva heureusement une serviette. Elle retourna alors dans les douches et se lava en ne se dépêchant pas plus que cela. Son corps avait gardé les marques des coups que lui avait donnés Fuubuki.
Une fois sa douche prise, la demoiselle se sécha et retourna dans le dortoir seulement vêtu de sa serviette. De toute manier les seules personne présentes ici étaient des esclaves et Fuubuki et lui était en train de l’attendre dans sa chambre tandis que les filles étaient au petit soin avec lui… La jeune femme enfila tranquillement sa robe noire restaurée, comme neuve et mit ses chaussures noires. Elle brossa ses cheveux avec une brosse qu’elle trouva sur un lit et se dirigea alors vers la porte. Cela devait faire plus d’une demi-heure qu’il l’attendait, elle ne savait aps exactement et il lui restait encore sa chambre à trouver... Etant donné qu’elle n’avait aucune idée de l’endroit où elle était, cela risquerait d’être difficile… Kiara avait l’intuition que sa chambre se trouvait à l’étage, elle retrouva donc les escaliers et les monta, elle croisa alors une esclave qui descendait rapidement les marches, elle l’arrêta alors en la tenant par le bras et lui demanda :
-Excuse moi, ou se trouve la chambre de Fuubuki ?
L’esclave la regarda de la tête aux pieds, ébahis, se demandant si elle était la nouvelle esclave qu’il attendait depuis trois quarts d’heure ou bien une invitée qu’elle ne connaissait pas vu la tenue qu’elle avait. La sonnette n’avait pas résonné dans le manoir et l’arrivée d’une invitée n’avait aps été annoncé, elle en déduit donc qu’elle était bien la nouvelle esclave.
-Tu l’appelles Fuubuki ? Ne fait jamais cela devant lui, il va s’énerver sinon, il faut que tu l’appelles maitre ou sire Fuubuki ! Cela fait 45 minutes qu’il t’attend dépêches toi d’y aller, c’est au premier, étage, troisième porte à gauche ! Dépêche-toi !!!
Kiara regarda, amusée l’esclave descendre à nouveau en vitesse l’escalier et suivit son indication. Elle arriva devant une porte qu’elle ouvrit sans une seule hésitation et se retrouva alors dans la chambre de Fuubuki. Elle le vit alors, entouré de plusieurs esclaves qui la regardèrent, ébahis, arriver dans cette tenue et sortirent de la pièce. Devant Fuubuki étaient placé plusieurs plateaux pleins de nourriture, des aliments sucrés pour son gouter. Kiara s’avança élégamment de quelques pas et se retrouva alors seule dans la chambre de l’ainoko. Cela faisait 45 minutes qu’il l’attendait, comment allait-il réagir ? Elle l’apprendrait certainement tout de suite…
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Après sa petite entrevue avec Kiara et Magguy, Fuubuki était remonté dans sa chambre, faisant une petite escale par la salle de jeu, où étaient disposés des billards, babyfoot, et autres amusements, pour vérifier que tout était en ordre au cas où des invités pointeraient le bout de leur nez à l'improviste. Mais comme il s'y attendait, tout était parfait. Les esclaves ne voulaient pas le décevoir, on se demandait même quelques fois si la soumission n'était pas devenue admiration, enfin, du moment qu'elles font bien leur travail, il n'avait rien à redire. Le kakon fit ensuite demi-tour et monta les escaliers pour aller dans sa grande chambre avec un lit imposant contre le mur. Les esclaves avaient déjà commencé à disposer la nourriture un peu partout dans la table, faisant une présentation parfaite, un mélange de couleurs qui rendait l'ensemble fort appétissant. Il alla s'assoir sur une chaise et les regarda s'activer lorsque Magguy fit irruption dans la pièce. Personne ne fit attention à elle lorsqu'elle alla vers Fuubuki en lui déposant un bisou discret dans les cheveux. Ce dernier grogna en la poussant légèrement puis reprenant le sens des priorités, il demanda:
"Tu lui as montré alors?"
"Tout comme vous me l'aviez demandé maitre..."
"Te connaissant, tu ne l'as pas fait... T'as vraiment quelque chose contre les nouvelles ma parole!"
"M... maitre! Je..."
"Tais toi, je vois lorsque tu mens... Va t'assurer qu'elle arrive à temps."
La gouvernante sortit précipitamment, la tête basse et les larmes aux yeux. Elle avait à nouveau déçu son maitre à cause de ses propres sentiments. Mais après tout, ce n'était pas de sa faute si elle ne voulait pas que qui que ce soit s'approche de lui! A force, elle était tombée amoureuse de son maitre, même si il était dur, cruel, assassin, mais elle l'aimait malgré tout. Lui n'en avait rien à faire d'elle, elle le savait bien qu'il passait des nuits avec d'autres dames de grande famille ou bien des filles de joie lorsqu'il se lassait d'elle. Elle vieillissait peut-être mais était tout de même encore jeune! Et maintenant il y avait cette Kiara qui semblait être son obsession nouvelle, qu'est-ce qu'il lui trouvait à cette garce que elle, Magguy, n'avait pas? C'est dans des pensées de ce genre que la jeune femme s'en alla à la recherche de celle qu'elle avait abandonné, ne se doutant pas que cette dernière avait déjà bientôt fini. D'ailleurs, elles ne se croisèrent pas et Magguy continua de chercher alors que Kiara arrivait bientôt à la chambre, croisant entre temps une esclave qui fut orifiée de l'entendre appeler son maitre par son nom.
Pendant ce temps, Fuubuki avait commencé à grignoter un peu, un gateau par-ci, un gateau par là, la meilleure qualité de toute la ville se situait dans cette pièce et c'était un régal. Lorsque la porte s'ouvrit, l'ainoko avait un air à la fois soulagé et contrarié. En effet, quinze minutes de retard, c'était du jamais vu. Lorsqu'il donnait une heure, il avait l'habitude qu'on arrive à l'heure, voire en avance, dans quel cas c'était lui qui faisait patienter la personne. Les esclaves sortirent les unes après les autres avec des plateaux, jetant des coups d'oeil envieux à la nouvelle qui était réellement jolie dans sa robe. Une fois le calme revenu dans la chambre, Fuubuki s'éclaircit la voix.
"Tu as déjà commencé à enfraindre une règle de la maison. Aucun retard toléré, pas même un seul. Mais on va dire que t'es nouvelle n'est-ce pas? Autant est-il que tu m'as fait attendre quinze minutes, quinze minutes de mon temps précieux... Pff, assied toi."
L'ainoko regarda la jeune femme réellement ravissante une fois qu'elle s'était lavée, peignée. Sa peau semblait plus douce sans la poussière qui la recouvrait précédemment et ses cheveux semblaient réellement bien entretenus. Fuubuki reprit, prenant un éclair au chocolat en même temps.
"Si tu étais plus obéissante, tu pourrais t'élever haut dans la hiérarchie des esclaves de ma maison, plus haut que Magguy même. Avec un tel physique tu pourrais devenir ambassadrice, porte parole de sire Fuubuki..."
Il se leva alors et s'approcha d'elle. Sa main se posa sur les cheveux de la demoiselle et il commença à les lui caresser, puis elle descendit sur sa joue. Tellement douce, son index frôla la blessure qu'il avait causé, puis se retira. L'ainoko reprit alors, s'éloignant de son esclave pour avancer vers son lit. Il resta planté devant. Son air doux se modifia alors, comme il l'avait déjà fait au centre commercial et lorsqu'il se retourna, son visage était beaucoup plus expressif, ses yeux semblaient cracher des flammes rouges alors qu'il s'approchait de Kiara. Il saisit son visage comme il l'avait déjà fait tant de fois et la regarda droit dans les yeux, son visage à lui assez proche du sien.
"Le problème... C'est que tu ne veux pas écouter, tu ne veux pas obéir et tu n'as aucun respect, c'est pourquoi à partir de maintenant, toutes les esclaves de la maison ont l'autorisation de te punir, pour la moindre petite faute. Elles sont toutes un peu sadique lorsqu'il s'agit des nouvelles, alors tiens toi bien. Fais de sorte... à ce que je n'ai rien à te reprocher tu vois?"
Lachant le visage délicat de la belle, l'homme-corbeau retourna s'assoir en face d'elle et mangea un gateau avec peu de classe, la regardant avec de la méchanceté dans le regard.
"Les personnes qui ont du potentiel comme toi, je suis patient avec elle, mais je finis toujours, j'ai bien dit toujours, par les écraser. Tu finiras par devenir gentille... D'ailleurs, ce soir, je vais te confier une tache bien importante. Il va y avoir une soirée d'aristo dans mon manoir, un truc où les kakons se ramènent pour manger la nourriture que j'ai chèrement payée. Et bien, tu feras l'accueil. Aimable, souriante, une bonne petite hotesse qui indiquera le chemin du salon. D'habitude, c'est Magguy qui fait ça, mais j'ai envie de voir, ce que tu sais faire. N'oublie pas qu'à la moindre faute, tu paieras très cher."
Fuubuki but sa tasse de thé et reprit un gateau avant de tirer une sonnette. Une esclave fit immédiatement irruption dans la salle, comme si elle attendait cette sonnerie depuis tout à l'heure. Fuubuki lui dit qu'il avait chargé la nouvelle de l'accueil et lui demanda également de faire transmettre le message à toutes les esclaves, comme quoi elle devait être corrigée si jamais elle faisait mal quelque chose. La mesure était peut-être draconienne, mais il espérait que cela ferait réfléchir à deux fois Kiara, avant de paraitre à nouveau impolie ou désobéissante. Par contre, il ne garantissait pas le succès de cette mesure, cette fille était insondable, on ne sait pas ce qu'elle pense et on ne sait pas ce qu'elle est capable de faire. La présence de beaucoup de Kakon pourrait être dangereuse pour elle en tout cas, ils sont réputés pour être particulièrement sadiques et pervers lorsqu'ils voient une jolie demoiselle dont ils peuvent profiter si jamais ils trouvent bon prétexte pour soi-disant la punir.
Au final l'ainoko ne savait même plus ce qu'il voulait. Kiara devait être obéissante, elle pouvait être punie par toutes ses esclaves, mais être touchée par un autre ainoko ou un autre esclave, ça, non, il l'acceptait déjà beaucoup moins. Surtout qu'il avait oublié Magguy qui maintenant qu'elle avait le feu vert, allait tout faire pour faire tomber Kiara de très haut. Bref, il n'avait plus que deux heures pour se préparer avant l'arrivée des invités qu'il avait oublié le matin même lorsqu'il était allé au marché chercher Kiara.
"Tu lui as montré alors?"
"Tout comme vous me l'aviez demandé maitre..."
"Te connaissant, tu ne l'as pas fait... T'as vraiment quelque chose contre les nouvelles ma parole!"
"M... maitre! Je..."
"Tais toi, je vois lorsque tu mens... Va t'assurer qu'elle arrive à temps."
La gouvernante sortit précipitamment, la tête basse et les larmes aux yeux. Elle avait à nouveau déçu son maitre à cause de ses propres sentiments. Mais après tout, ce n'était pas de sa faute si elle ne voulait pas que qui que ce soit s'approche de lui! A force, elle était tombée amoureuse de son maitre, même si il était dur, cruel, assassin, mais elle l'aimait malgré tout. Lui n'en avait rien à faire d'elle, elle le savait bien qu'il passait des nuits avec d'autres dames de grande famille ou bien des filles de joie lorsqu'il se lassait d'elle. Elle vieillissait peut-être mais était tout de même encore jeune! Et maintenant il y avait cette Kiara qui semblait être son obsession nouvelle, qu'est-ce qu'il lui trouvait à cette garce que elle, Magguy, n'avait pas? C'est dans des pensées de ce genre que la jeune femme s'en alla à la recherche de celle qu'elle avait abandonné, ne se doutant pas que cette dernière avait déjà bientôt fini. D'ailleurs, elles ne se croisèrent pas et Magguy continua de chercher alors que Kiara arrivait bientôt à la chambre, croisant entre temps une esclave qui fut orifiée de l'entendre appeler son maitre par son nom.
Pendant ce temps, Fuubuki avait commencé à grignoter un peu, un gateau par-ci, un gateau par là, la meilleure qualité de toute la ville se situait dans cette pièce et c'était un régal. Lorsque la porte s'ouvrit, l'ainoko avait un air à la fois soulagé et contrarié. En effet, quinze minutes de retard, c'était du jamais vu. Lorsqu'il donnait une heure, il avait l'habitude qu'on arrive à l'heure, voire en avance, dans quel cas c'était lui qui faisait patienter la personne. Les esclaves sortirent les unes après les autres avec des plateaux, jetant des coups d'oeil envieux à la nouvelle qui était réellement jolie dans sa robe. Une fois le calme revenu dans la chambre, Fuubuki s'éclaircit la voix.
"Tu as déjà commencé à enfraindre une règle de la maison. Aucun retard toléré, pas même un seul. Mais on va dire que t'es nouvelle n'est-ce pas? Autant est-il que tu m'as fait attendre quinze minutes, quinze minutes de mon temps précieux... Pff, assied toi."
L'ainoko regarda la jeune femme réellement ravissante une fois qu'elle s'était lavée, peignée. Sa peau semblait plus douce sans la poussière qui la recouvrait précédemment et ses cheveux semblaient réellement bien entretenus. Fuubuki reprit, prenant un éclair au chocolat en même temps.
"Si tu étais plus obéissante, tu pourrais t'élever haut dans la hiérarchie des esclaves de ma maison, plus haut que Magguy même. Avec un tel physique tu pourrais devenir ambassadrice, porte parole de sire Fuubuki..."
Il se leva alors et s'approcha d'elle. Sa main se posa sur les cheveux de la demoiselle et il commença à les lui caresser, puis elle descendit sur sa joue. Tellement douce, son index frôla la blessure qu'il avait causé, puis se retira. L'ainoko reprit alors, s'éloignant de son esclave pour avancer vers son lit. Il resta planté devant. Son air doux se modifia alors, comme il l'avait déjà fait au centre commercial et lorsqu'il se retourna, son visage était beaucoup plus expressif, ses yeux semblaient cracher des flammes rouges alors qu'il s'approchait de Kiara. Il saisit son visage comme il l'avait déjà fait tant de fois et la regarda droit dans les yeux, son visage à lui assez proche du sien.
"Le problème... C'est que tu ne veux pas écouter, tu ne veux pas obéir et tu n'as aucun respect, c'est pourquoi à partir de maintenant, toutes les esclaves de la maison ont l'autorisation de te punir, pour la moindre petite faute. Elles sont toutes un peu sadique lorsqu'il s'agit des nouvelles, alors tiens toi bien. Fais de sorte... à ce que je n'ai rien à te reprocher tu vois?"
Lachant le visage délicat de la belle, l'homme-corbeau retourna s'assoir en face d'elle et mangea un gateau avec peu de classe, la regardant avec de la méchanceté dans le regard.
"Les personnes qui ont du potentiel comme toi, je suis patient avec elle, mais je finis toujours, j'ai bien dit toujours, par les écraser. Tu finiras par devenir gentille... D'ailleurs, ce soir, je vais te confier une tache bien importante. Il va y avoir une soirée d'aristo dans mon manoir, un truc où les kakons se ramènent pour manger la nourriture que j'ai chèrement payée. Et bien, tu feras l'accueil. Aimable, souriante, une bonne petite hotesse qui indiquera le chemin du salon. D'habitude, c'est Magguy qui fait ça, mais j'ai envie de voir, ce que tu sais faire. N'oublie pas qu'à la moindre faute, tu paieras très cher."
Fuubuki but sa tasse de thé et reprit un gateau avant de tirer une sonnette. Une esclave fit immédiatement irruption dans la salle, comme si elle attendait cette sonnerie depuis tout à l'heure. Fuubuki lui dit qu'il avait chargé la nouvelle de l'accueil et lui demanda également de faire transmettre le message à toutes les esclaves, comme quoi elle devait être corrigée si jamais elle faisait mal quelque chose. La mesure était peut-être draconienne, mais il espérait que cela ferait réfléchir à deux fois Kiara, avant de paraitre à nouveau impolie ou désobéissante. Par contre, il ne garantissait pas le succès de cette mesure, cette fille était insondable, on ne sait pas ce qu'elle pense et on ne sait pas ce qu'elle est capable de faire. La présence de beaucoup de Kakon pourrait être dangereuse pour elle en tout cas, ils sont réputés pour être particulièrement sadiques et pervers lorsqu'ils voient une jolie demoiselle dont ils peuvent profiter si jamais ils trouvent bon prétexte pour soi-disant la punir.
Au final l'ainoko ne savait même plus ce qu'il voulait. Kiara devait être obéissante, elle pouvait être punie par toutes ses esclaves, mais être touchée par un autre ainoko ou un autre esclave, ça, non, il l'acceptait déjà beaucoup moins. Surtout qu'il avait oublié Magguy qui maintenant qu'elle avait le feu vert, allait tout faire pour faire tomber Kiara de très haut. Bref, il n'avait plus que deux heures pour se préparer avant l'arrivée des invités qu'il avait oublié le matin même lorsqu'il était allé au marché chercher Kiara.
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Kiara ouvrit la porte et entra dans la pièce d’un pas mi décidé mi timide. La voyant arrivé, les autres esclaves, qu’elle n’avait pas encore croisé, la regardèrent de la tête aux pieds. Kiara semblait être une privilégié à leurs yeux car c’était bien la première fois selon elle, qu’une esclave était si bien traité malgré la blessure qu’on pouvait voire à son visage il lui avait tout de même acheté une magnifique robe noir des le premier jour ! Bien sur, elles ne savaient que cette robe était à elle et que Fuubuki s’était juste contenté de la « rénover ». Une fois le calme revenu dans la pièce, Kiara se contenta de regarder Fuubuki dans les yeux en attendant la moindre réaction de sa part. Celle-ci ne se fut pas vraiment attendre, son maitre lui dit qu’elle commençait déjà à enfreindre les règles de la maison. En arrivant en retard et en lui faisant perdre son précieux temps… Il ajouta alors un ordre lui disant de s’asseoir en face de lui. Tout en se dirigeant vers la chaise face a son maitre ; l’esclave lui répondit :
-On ne m’a pas facilité la tache… Il était prévisible que j’arrive en retard… On me lâche seul dans un manoir alors que je viens tout juste d’arriver et on me dit d’aller dans une chambre alors que je ne sais absolument pas ou elle se trouve… Il me semble que, pour une fois, cet « affront » n’est pas entièrement de ma faute non ?
Kiara regarda Fuubuki droit dans les yeux, elle parlait tout à fait calmement et bien sur le « on » omniprésent dans sa phrase désignait Magguy, qui se ferait certainement un plaisir de lui rendre le vie difficile dans ce manoir… Fuubuki reprit en lui disant qu’elle pourrait s’élever haut dans la hiérarchie, plus haut que la soubrette même… Tiens… ca pourrait être une idée de vengeance... Cela la rendrait certainement verte de la voir s’attribuer ainsi les faveurs de leur maitre… Mais Kiara arriverait elle à s’abaisser à un tel niveau de soumission ? Cela restait à voir… Il ajouta alors qu’avec son physique, elle pourrait être son ambassadrice et son porte parole… Un léger sourire s’afficha sur les lèvres de la jeune femme… Il ne s’y croyait pas un peu trop ? On avait un peu l’impression d‘entendre les projets fou d’un homme ayant une soif de pouvoir immense… Seulement lui, il l’avait déjà ce pouvoir et certainement essayait-il, en lui parlant ainsi, de lui donner un peu de sa soif de pouvoir et ainsi l‘assagir un peu… Kiara continua de le regarder dans les yeux ; et lui répondit par une question dont elle aurait hâte de connaitre la réponse car il avait peut être joué ce petit jeu avec toutes ses esclaves :
-Et pourquoi moi et pas une autre ? Il me semble que vos esclaves sont toutes plus jolies les unes que les autres non ?
La jeune esclave le regarda se lever jusqu'à ce qu’il soit juste à côté d’elle, sans réagir, elle le laisse lui caresser les cheveux puis la joue. Elle s’attendait à ce qu’il insiste un peu plus sur sa blessure quand il passa dessus histoire de lui aire un peu de mal encore une fois mais il n’en fit rien. Kiara continuait de le regarder dans les yeux d’un air de dire que ce n’est pas parce qu’elle le laissait faire qu’elle appréciait franchement cela et qu’il ne prenne pas ca pour un acquis… Il avait déjà surement compris qu’elle en disait plus d’un simple regard que par de belles paroles… Fuubuki retira alors sa main de son visage et se dirigea vers son lit, tous deux se tournaient le dos et ainsi, Kiara ne put voir le changement d’expression soudain, une fois de plus, de son maitre mais le remarqua de suite quand il revint près d’elle. Il saisit alors son visage sans aucune délicatesse et la regarda droit dans les yeux, comme s’il voulait l’impressionner une nouvelle fois ; Kiara soutint son regard et ne montrait aps qu’au fond d’elle, elle appréhendait ce qu’il allait faire ou dire. Quand elle voyait cette telle rage dans ses yeux magnifiquement rouge, La jeune femme savait qu’il n’allait rien se dérouler de bon….
Tous deus restèrent donc ainsi, leur visage proche l’un de l’autre sans rien dire jusqu’à ce que son maitre lui dise que le problème était qu’elle n’obéissait pas et qu’elle n’avait aucun respect. Kiara leva els yeux au ciel et puis le regarda de nouveau dans les yeux quand il lui dit que ses esclaves pourraient la punir pour la moindre faute. Kiara le regarda avec de grands yeux… La, il était clair que Magguy lui en ferait voir de toutes les couleurs… Ca corsait les choses pour elle ! Elle arriverait certainement à manipuler un peu certaines esclaves pour les mettre dans sa poche mais cela ne faciliterait pas énormément sa vie ici…Elle regarda son maitre s’asseoir de nouveau devant elle et manger un gâteau. Ainsi il voulait qu’elle se fasse punir au moindre faux pas, surveillée par tout le monde à la fois... Cela n’étonnerait pas la jeune femme que certaines essaient d’en profiter pour lui donner des coups sans raison d’ailleurs…
-Si elles ont tendances à être jalouses… ne risque-t-elle aps d’en profiter un peu trop ? Il serait bête que vous ayez investi de l’argent en m’achetant pour finalement vous retrouver avec une esclave qui ne puisse plus servir à grand-chose…
Cristina le regardait dans les yeux avec un sourire cynique sur les lèvres, soutenant encore et toujours ce regard plein de méchanceté et de cruauté qui la scrutait. Il lui dit alors qu’il finirait par l’écraser. Un sourire amusé et provocateur s’afficha alors sur les lèvres de la jeune femme qui continua malgré tout de l’écouter. Il continua en lui disant qu’il organiserait une soirée ce soir avec des membres de sa famille et qu’elle devrait être l’hôtesse, à la place de Magguy. Une nouveau sourire s’afficha sur les lèvres de Kiara, cela la rendrait certainement morte de jalousie de voir que Kiara prendrait sa place à cette soirée… Fuubuki lui rappelé alors qu’au moindre faux pas, elle le paierait très cher…
-Ainsi je dois jouer les hypocrites en accueillant avec un grand sourire ces gens… Ca me convient très bien comme place, j’adore jouer des rôles…
Kiara adressa un sourire légèrement machiavélique à Fuubuki et attrapa un gâteau. Qu’elle soit autorisée ou pas à en prendre, après tout, elle n’en avait pas grand chose à faire… Fuubuki fit alors sonner une clochette et une esclave accouru dans la pièce, il lui dit alors quel serait le rôle de Kiara à la soirée et que toutes ses autres « collègues » pourraient punir la nouvelle si elle faisait la moindre erreur. La jeune femme essaya de sonder la moindre réaction sur le visage de l’inconnue mais elle ne vit rien, surement avait elle appris a garder ses sentiments et ressentiments pour elle face à son maitre… C’était d’ailleurs certainement ca la clef d’une bonne esclave… Une fois qu’elle fut sortie, Kiara regarda de nouveau son maitre et une question lui vint à l’esprit :
-Eeeet… par pur hasard… Que se passerait-il si je ne parvenais pas à être assez aimable selon vos hôtes ?
Kiara ne savait pas encore si elle allait faire en sorte de gâcher la soirée de son maitre ou de tout bien faire pour rendre folle de rage mais impuissante face à elle, Magguy, surement y réfléchirait-il d’ici la mais le dilemme lui semblait Cornélien…
-On ne m’a pas facilité la tache… Il était prévisible que j’arrive en retard… On me lâche seul dans un manoir alors que je viens tout juste d’arriver et on me dit d’aller dans une chambre alors que je ne sais absolument pas ou elle se trouve… Il me semble que, pour une fois, cet « affront » n’est pas entièrement de ma faute non ?
Kiara regarda Fuubuki droit dans les yeux, elle parlait tout à fait calmement et bien sur le « on » omniprésent dans sa phrase désignait Magguy, qui se ferait certainement un plaisir de lui rendre le vie difficile dans ce manoir… Fuubuki reprit en lui disant qu’elle pourrait s’élever haut dans la hiérarchie, plus haut que la soubrette même… Tiens… ca pourrait être une idée de vengeance... Cela la rendrait certainement verte de la voir s’attribuer ainsi les faveurs de leur maitre… Mais Kiara arriverait elle à s’abaisser à un tel niveau de soumission ? Cela restait à voir… Il ajouta alors qu’avec son physique, elle pourrait être son ambassadrice et son porte parole… Un léger sourire s’afficha sur les lèvres de la jeune femme… Il ne s’y croyait pas un peu trop ? On avait un peu l’impression d‘entendre les projets fou d’un homme ayant une soif de pouvoir immense… Seulement lui, il l’avait déjà ce pouvoir et certainement essayait-il, en lui parlant ainsi, de lui donner un peu de sa soif de pouvoir et ainsi l‘assagir un peu… Kiara continua de le regarder dans les yeux ; et lui répondit par une question dont elle aurait hâte de connaitre la réponse car il avait peut être joué ce petit jeu avec toutes ses esclaves :
-Et pourquoi moi et pas une autre ? Il me semble que vos esclaves sont toutes plus jolies les unes que les autres non ?
La jeune esclave le regarda se lever jusqu'à ce qu’il soit juste à côté d’elle, sans réagir, elle le laisse lui caresser les cheveux puis la joue. Elle s’attendait à ce qu’il insiste un peu plus sur sa blessure quand il passa dessus histoire de lui aire un peu de mal encore une fois mais il n’en fit rien. Kiara continuait de le regarder dans les yeux d’un air de dire que ce n’est pas parce qu’elle le laissait faire qu’elle appréciait franchement cela et qu’il ne prenne pas ca pour un acquis… Il avait déjà surement compris qu’elle en disait plus d’un simple regard que par de belles paroles… Fuubuki retira alors sa main de son visage et se dirigea vers son lit, tous deux se tournaient le dos et ainsi, Kiara ne put voir le changement d’expression soudain, une fois de plus, de son maitre mais le remarqua de suite quand il revint près d’elle. Il saisit alors son visage sans aucune délicatesse et la regarda droit dans les yeux, comme s’il voulait l’impressionner une nouvelle fois ; Kiara soutint son regard et ne montrait aps qu’au fond d’elle, elle appréhendait ce qu’il allait faire ou dire. Quand elle voyait cette telle rage dans ses yeux magnifiquement rouge, La jeune femme savait qu’il n’allait rien se dérouler de bon….
Tous deus restèrent donc ainsi, leur visage proche l’un de l’autre sans rien dire jusqu’à ce que son maitre lui dise que le problème était qu’elle n’obéissait pas et qu’elle n’avait aucun respect. Kiara leva els yeux au ciel et puis le regarda de nouveau dans les yeux quand il lui dit que ses esclaves pourraient la punir pour la moindre faute. Kiara le regarda avec de grands yeux… La, il était clair que Magguy lui en ferait voir de toutes les couleurs… Ca corsait les choses pour elle ! Elle arriverait certainement à manipuler un peu certaines esclaves pour les mettre dans sa poche mais cela ne faciliterait pas énormément sa vie ici…Elle regarda son maitre s’asseoir de nouveau devant elle et manger un gâteau. Ainsi il voulait qu’elle se fasse punir au moindre faux pas, surveillée par tout le monde à la fois... Cela n’étonnerait pas la jeune femme que certaines essaient d’en profiter pour lui donner des coups sans raison d’ailleurs…
-Si elles ont tendances à être jalouses… ne risque-t-elle aps d’en profiter un peu trop ? Il serait bête que vous ayez investi de l’argent en m’achetant pour finalement vous retrouver avec une esclave qui ne puisse plus servir à grand-chose…
Cristina le regardait dans les yeux avec un sourire cynique sur les lèvres, soutenant encore et toujours ce regard plein de méchanceté et de cruauté qui la scrutait. Il lui dit alors qu’il finirait par l’écraser. Un sourire amusé et provocateur s’afficha alors sur les lèvres de la jeune femme qui continua malgré tout de l’écouter. Il continua en lui disant qu’il organiserait une soirée ce soir avec des membres de sa famille et qu’elle devrait être l’hôtesse, à la place de Magguy. Une nouveau sourire s’afficha sur les lèvres de Kiara, cela la rendrait certainement morte de jalousie de voir que Kiara prendrait sa place à cette soirée… Fuubuki lui rappelé alors qu’au moindre faux pas, elle le paierait très cher…
-Ainsi je dois jouer les hypocrites en accueillant avec un grand sourire ces gens… Ca me convient très bien comme place, j’adore jouer des rôles…
Kiara adressa un sourire légèrement machiavélique à Fuubuki et attrapa un gâteau. Qu’elle soit autorisée ou pas à en prendre, après tout, elle n’en avait pas grand chose à faire… Fuubuki fit alors sonner une clochette et une esclave accouru dans la pièce, il lui dit alors quel serait le rôle de Kiara à la soirée et que toutes ses autres « collègues » pourraient punir la nouvelle si elle faisait la moindre erreur. La jeune femme essaya de sonder la moindre réaction sur le visage de l’inconnue mais elle ne vit rien, surement avait elle appris a garder ses sentiments et ressentiments pour elle face à son maitre… C’était d’ailleurs certainement ca la clef d’une bonne esclave… Une fois qu’elle fut sortie, Kiara regarda de nouveau son maitre et une question lui vint à l’esprit :
-Eeeet… par pur hasard… Que se passerait-il si je ne parvenais pas à être assez aimable selon vos hôtes ?
Kiara ne savait pas encore si elle allait faire en sorte de gâcher la soirée de son maitre ou de tout bien faire pour rendre folle de rage mais impuissante face à elle, Magguy, surement y réfléchirait-il d’ici la mais le dilemme lui semblait Cornélien…
Invité
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Fuubuki enchainait entre l'emportement le plus total et les actes de "douceur" durant lesquels il s'avère à peu près compréhensif, protecteur. Car au final, qui est Fuubuki? Un jeune ainoko qui n'a vécu que dix-huit ans de sa longue vie et qui est resté plongé dans la pur débauche et le pur crime. Assassinat, viol, qu'avait-il fait de bien dans sa vie? Il avait reçu un manoir, éduqué à sa manière des esclaves et au final celles-ci l'aiment et le respectent beaucoup. Pourquoi? Parce que malgré des airs de kakon sans coeur, l'homme corbeau s'avère très protecteur envers les choses et les personnes qu'il possède. Il n'accepte pas que d'autres touchent à ses esclaves ou leur fasse de mal, même si il laisse quelques fois faire en tant que punition. Probablement un état d'esprit qu'il se permet pour se recueillir en face de toutes les atrocités qu'il a commis jusque là. C'est donc pour ça qu'il avait fait refaire la robe de Kiara, qu'il avait réussi à être un peu un bon maitre, juste un peu, car la violence était sans limite lorsqu'il se mettait en colère, même sans raison.
Et c'est d'ailleurs ce qui arriva lorsque la demoiselle était assise dans sa chambre. Il lui avait demandé de venir, avait brièvement acquiescé lorsque l'esclave lui avait expliqué que Magguy l'avait laissé complètement perdue dans le manoir et donc, que l'affront, n'était pas entièrement de sa faute. Soit pour cette fois, mais la demoiselle continuait à lui parler comme-ci ils étaient d'égal à égal et ça, il ne pouvait l'accepter, malgré le fait qu'il était attiré par ce culot qu'elle avait. Il la voyait déjà entièrement soumise, ambassadrice ou autre rêve un peu lointain, et Kiara ne se retint pas de lui demander pourquoi il ne choisissait pas quelqu'un d'autre.
"Parce que tu es spéciale..."
Fuubuki laissa sa phrase en suspens laissant libre court à l'imagination de la demoiselle. C'est ensuite qu'il s'emporta en la voulant plus soumise, toujours en complète contradiction avec ce qu'il désirait. Au final, son but était une esclave soumise mais qui continue à penser d'elle-même, qui a un caractère bien trempé qui fera fléchir ceux qu'il voudra, en quelques sortes un pion intelligent. Kiara fit alors remarqué qu'elle risquait d'être sérieusement amochée à la fin, si toutes les esclaves s'y mettaient. Fuubuki ne put que réprimer un petit rire et répondit d'une voix normale:
"Dans ce cas, fais tout pour ne pas t'en prendre."
Tout de manière, maintenant, il ne pouvait plus revenir sur sa décision puisque cela signifierait qu'il avait tord, qu'il avait commis une erreur, quelque chose qu'il ne pouvait se permettre. Il donna alors le nouveau boulot pour la soirée, de Kiara: hôtesse. Sa description de ce qu'elle avait à faire était des plus satisfaisante.
"Ouaip, tu fais un grand sourire, tu indiques les lieux lorsqu'on t'en demande l'emplacement. Et pour cela, tu devras mémoriser rapidement le chemin pour atteindre les pièces importantes du manoir. Il n'y en a pas des centaines donc tu devrais pouvoir faire ça, à part si tu te juges trop bête pour arriver à faire ça?"
Une nouvelle question atterrit soudain sur le tapis. Fuubuki regarda Kiara d'un mauvais oeil et se pencha un peu sur la table. Sa voix se faisait sifflante et basse:
"Si c'est le cas, je peux t'assurer, que tu vas regretter tes actes... Tu ne t'imagines pas à quel point mon imagination peut être débordante... Si tu t'avères trop dure à éduquer... Je te liquide et je cherche une autre esclave, pas compliqué. Je préfère simplement éviter d'avoir payé pour rien. Après c'est toi qui voit, si tu préfères souffrir pendant le restant de tes jours par un quelconque stratagème que je pourrais concocter, ou bien servir gentillement les hôtes pour ce soir."
L'ainoko fit un petit sourire à la fin de sa menace non-dissimulée, puis se radossa contre la chaise, les bras croisés. Il regarda encore un moment Kiara, puis lui dit qu'elle pouvait partir.
"Profites-en pour demander à l'esclave qui est dehors de te montrer les bonnes pièces. Celle-ci, tu peux lui faire confiance, pas de jalousie, rien que les ordres donnés."
Fuubuki se replongea alors dans la contemplation de ses gâteaux, puis lassé, se leva pour aller regarder par sa fenêtre, tout le parc qui était devant son manoir. Dans peu de temps, les kakons allaient affluer avec des esclaves dans tous les sens, le genre de fêtes qu'il détestait organiser, mais il était un peu forcé, c'est la règle: une fête quelques fois pour "nouer" symboliquement des liens sociaux, même si personne ne s'aimait dans la famille, enfin, ça c'était encore un autre problème. Fuubuki espérait juste que Kiara n'allait pas tout envoyer en l'air et qu'elle se conduirait gentillement le temps de cette fichue soirée.
Et c'est d'ailleurs ce qui arriva lorsque la demoiselle était assise dans sa chambre. Il lui avait demandé de venir, avait brièvement acquiescé lorsque l'esclave lui avait expliqué que Magguy l'avait laissé complètement perdue dans le manoir et donc, que l'affront, n'était pas entièrement de sa faute. Soit pour cette fois, mais la demoiselle continuait à lui parler comme-ci ils étaient d'égal à égal et ça, il ne pouvait l'accepter, malgré le fait qu'il était attiré par ce culot qu'elle avait. Il la voyait déjà entièrement soumise, ambassadrice ou autre rêve un peu lointain, et Kiara ne se retint pas de lui demander pourquoi il ne choisissait pas quelqu'un d'autre.
"Parce que tu es spéciale..."
Fuubuki laissa sa phrase en suspens laissant libre court à l'imagination de la demoiselle. C'est ensuite qu'il s'emporta en la voulant plus soumise, toujours en complète contradiction avec ce qu'il désirait. Au final, son but était une esclave soumise mais qui continue à penser d'elle-même, qui a un caractère bien trempé qui fera fléchir ceux qu'il voudra, en quelques sortes un pion intelligent. Kiara fit alors remarqué qu'elle risquait d'être sérieusement amochée à la fin, si toutes les esclaves s'y mettaient. Fuubuki ne put que réprimer un petit rire et répondit d'une voix normale:
"Dans ce cas, fais tout pour ne pas t'en prendre."
Tout de manière, maintenant, il ne pouvait plus revenir sur sa décision puisque cela signifierait qu'il avait tord, qu'il avait commis une erreur, quelque chose qu'il ne pouvait se permettre. Il donna alors le nouveau boulot pour la soirée, de Kiara: hôtesse. Sa description de ce qu'elle avait à faire était des plus satisfaisante.
"Ouaip, tu fais un grand sourire, tu indiques les lieux lorsqu'on t'en demande l'emplacement. Et pour cela, tu devras mémoriser rapidement le chemin pour atteindre les pièces importantes du manoir. Il n'y en a pas des centaines donc tu devrais pouvoir faire ça, à part si tu te juges trop bête pour arriver à faire ça?"
Une nouvelle question atterrit soudain sur le tapis. Fuubuki regarda Kiara d'un mauvais oeil et se pencha un peu sur la table. Sa voix se faisait sifflante et basse:
"Si c'est le cas, je peux t'assurer, que tu vas regretter tes actes... Tu ne t'imagines pas à quel point mon imagination peut être débordante... Si tu t'avères trop dure à éduquer... Je te liquide et je cherche une autre esclave, pas compliqué. Je préfère simplement éviter d'avoir payé pour rien. Après c'est toi qui voit, si tu préfères souffrir pendant le restant de tes jours par un quelconque stratagème que je pourrais concocter, ou bien servir gentillement les hôtes pour ce soir."
L'ainoko fit un petit sourire à la fin de sa menace non-dissimulée, puis se radossa contre la chaise, les bras croisés. Il regarda encore un moment Kiara, puis lui dit qu'elle pouvait partir.
"Profites-en pour demander à l'esclave qui est dehors de te montrer les bonnes pièces. Celle-ci, tu peux lui faire confiance, pas de jalousie, rien que les ordres donnés."
Fuubuki se replongea alors dans la contemplation de ses gâteaux, puis lassé, se leva pour aller regarder par sa fenêtre, tout le parc qui était devant son manoir. Dans peu de temps, les kakons allaient affluer avec des esclaves dans tous les sens, le genre de fêtes qu'il détestait organiser, mais il était un peu forcé, c'est la règle: une fête quelques fois pour "nouer" symboliquement des liens sociaux, même si personne ne s'aimait dans la famille, enfin, ça c'était encore un autre problème. Fuubuki espérait juste que Kiara n'allait pas tout envoyer en l'air et qu'elle se conduirait gentillement le temps de cette fichue soirée.
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