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Kurumu se sentit soulager quand elle sentit les mains de Renji commencer à la caresser, elle avait besoin de tendresse et d’amour et c’était justement ce qu’il lui donnait. Elle ne put s’empêcher de ronronner doucement sous ses mains sa queue battant l’air doucement. A cet instant elle se sentait heureuse. Il lui posa alors la question de savoir comment elle allait l’appeler, à croire qu’il lisait dans ses pensées, elle eut l’air un peu gêné et se tortillât légèrement.
« Et bien… je pensais que je pourrais peut être utilisé ton… enfin votre prénom. »
Elle avait baissé un peu la voix, elle semblait vraiment mal à l’aise, que voulez vous-même si Renji était un bon maitre doux et attentionné avec elle, on n’efface pas comme ça des années d’humiliation, de souffrance et de soumission. Certaines attitudes étaient devenue des réflexes comme : baisser la tête face à son maitre, ne pas parler sans y être autorisé, ne jamais protester… Elle ne pouvait pas oublier tout ça en quelques heures. Elle se décida quand même à relever la tête il n’avait pas l’air faché mais après tout elle n’avait pas été irrespectueuse.
Il se releva venant l’embrasser, elle se sentait en sécurité près de lui, elle savait qu’il serait juste avec elle et qu’il la protègerait. Les mains de Renji continuaient de parcourir tout son corps, passant sur ses cuisses, sa poitrine, son ventre, se glissant même sur son sexe. Elle sentait par moment qu’il la griffait mais c’était involontaire, il semblait perdu dans ses pensés et elle préféra ne rien dire. Quand on vous a appris à subir sans protester difficile de faire autrement. Elle sentit sa main glissé une nouvelle fois entre ses cuisses et cela l’excitait.
Il sembla revenir à la réalité d’un seul coup et se redressa brutalement la faisant sursauter, elle ne comprit pas ce qu’il se passait, il la fit rouler sur le lit avant de venir contre elle. Son cœur battait encore un peu fort mais elle se sentait bien. Alors qu’ils étaient tout deux tendrement enlacés, quelqu’un frappa à la porte brisant ce moment unique. Il se leva visiblement à contre cœur et alla ouvrir en ralant.
Il fit entrer une femme dans son bureau et Kurumu n’écouta pas leur conversation, ça aussi c’était une habitude, elle avait apprit à fermer ses oreilles. Elle se recroquevilla sur elle-même ramenant ses genoux contre sa poitrine pour se cacher et attendit qu’ils aient terminé elle sursauta une nouvelle fois quand elle vit Renji balancer un objet sur la porte. Il revint vers elle de nouveau tendre et lui demanda de s’habiller, elle obéit rapidement mais fut étonné de voir qu’il ne se dirigeait pas vers la porte mais vers une autre pièce.
Elle le suivit docilement et étouffa une exclamation en voyant la salle de torture mais heureusement ils ne s’attardèrent pas, Renji la conduisit à travers un tunnel jusqu'à sa demeure. Elle regarda le jardin avec intérêt, elle avait passé ces huit dernières années enfermées et elle était heureuse de retrouver de la verdure. Ils entrèrent dans la maison, Kurumu regardait tout autour d’elle avec de grand yeux, Renji la conduisit dans une pièce au premier étage.
Voila ta chambre mon ange...
Elle le regarda visiblement surprise, SA chambre à elle ? elle n’avait jamais eu sa propre chambre étant plus habituée à dormir à même le sol. Elle fit le tour de la pièce et s’approcha du lit avant de se laisser tomber dessus et de fermer les yeux. SA chambre, SON lit c’était… incroyable. Elle se souvint alors qu’elle n’était pas seule et se releva, elle avait un grand sourire et ressemblait à un enfant devant sa pile de cadeau le matin de noël. Elle alla vers Renji et passa ses bras autour de son cou avant de l’embrasser passionnément.
« Merci pour tout ça »
« Et bien… je pensais que je pourrais peut être utilisé ton… enfin votre prénom. »
Elle avait baissé un peu la voix, elle semblait vraiment mal à l’aise, que voulez vous-même si Renji était un bon maitre doux et attentionné avec elle, on n’efface pas comme ça des années d’humiliation, de souffrance et de soumission. Certaines attitudes étaient devenue des réflexes comme : baisser la tête face à son maitre, ne pas parler sans y être autorisé, ne jamais protester… Elle ne pouvait pas oublier tout ça en quelques heures. Elle se décida quand même à relever la tête il n’avait pas l’air faché mais après tout elle n’avait pas été irrespectueuse.
Il se releva venant l’embrasser, elle se sentait en sécurité près de lui, elle savait qu’il serait juste avec elle et qu’il la protègerait. Les mains de Renji continuaient de parcourir tout son corps, passant sur ses cuisses, sa poitrine, son ventre, se glissant même sur son sexe. Elle sentait par moment qu’il la griffait mais c’était involontaire, il semblait perdu dans ses pensés et elle préféra ne rien dire. Quand on vous a appris à subir sans protester difficile de faire autrement. Elle sentit sa main glissé une nouvelle fois entre ses cuisses et cela l’excitait.
Il sembla revenir à la réalité d’un seul coup et se redressa brutalement la faisant sursauter, elle ne comprit pas ce qu’il se passait, il la fit rouler sur le lit avant de venir contre elle. Son cœur battait encore un peu fort mais elle se sentait bien. Alors qu’ils étaient tout deux tendrement enlacés, quelqu’un frappa à la porte brisant ce moment unique. Il se leva visiblement à contre cœur et alla ouvrir en ralant.
Il fit entrer une femme dans son bureau et Kurumu n’écouta pas leur conversation, ça aussi c’était une habitude, elle avait apprit à fermer ses oreilles. Elle se recroquevilla sur elle-même ramenant ses genoux contre sa poitrine pour se cacher et attendit qu’ils aient terminé elle sursauta une nouvelle fois quand elle vit Renji balancer un objet sur la porte. Il revint vers elle de nouveau tendre et lui demanda de s’habiller, elle obéit rapidement mais fut étonné de voir qu’il ne se dirigeait pas vers la porte mais vers une autre pièce.
Elle le suivit docilement et étouffa une exclamation en voyant la salle de torture mais heureusement ils ne s’attardèrent pas, Renji la conduisit à travers un tunnel jusqu'à sa demeure. Elle regarda le jardin avec intérêt, elle avait passé ces huit dernières années enfermées et elle était heureuse de retrouver de la verdure. Ils entrèrent dans la maison, Kurumu regardait tout autour d’elle avec de grand yeux, Renji la conduisit dans une pièce au premier étage.
Voila ta chambre mon ange...
Elle le regarda visiblement surprise, SA chambre à elle ? elle n’avait jamais eu sa propre chambre étant plus habituée à dormir à même le sol. Elle fit le tour de la pièce et s’approcha du lit avant de se laisser tomber dessus et de fermer les yeux. SA chambre, SON lit c’était… incroyable. Elle se souvint alors qu’elle n’était pas seule et se releva, elle avait un grand sourire et ressemblait à un enfant devant sa pile de cadeau le matin de noël. Elle alla vers Renji et passa ses bras autour de son cou avant de l’embrasser passionnément.
« Merci pour tout ça »
Invité
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La piece était toujours assez somaire, il n'y avait pas encore sa touche personelle, elle était nue, démoulé juste pour la jeune neko qui semblait avoir des flambeaux dans les yeux tellement ce cadeau, pourtant logique pour le loup, était fort pour elle.
Il nota cependant avec du recul qu'elle avait commencé a le tutoyer avant de se rattraper, a postériorie, il ne trouvait pas outrageant de se faire tutoyer par cette esclave là. Alors que notre vieux guerier flânait sur les derniers ébats qu'il a eut avec sa compagne, elle se jeta a son cou et l'embrassa en le remerciant de ce qu'il faisait pour elle. Sans sortir de son role, le loup resta impassible, ne bougeant pas d'un milimetre, ses traits restaient neutre. Mais il ne s'écarta pas, appréciant la tiedeur de ce corps fin qui réchauffait son âme. C'est avec une voix badine qu'il prit la parole
Tu sais Kurumu, cette chambre n'est rien, enfin avant elle était somptueuse, l'ancien propriétaire avait une maitresse esclave, elle vivait dans cette chambre, comme moi j'occupe actuellement sa chambre a lui. Tout ca pour dire, ta chambre est la plus spacieuse de l'étage des serviteurs, et de surcroit, c'est aussi celle qui a un acces spécial au second étage.
Sans ajouter mot, le loup traversa la piece avant d'appuyer sur une des petites tetes qui étaient incrusté dans l'un des montant de son lit. Une trape se déploya au dessus de son lit, une belle échelle en méral brillant comme de l'argent descendit sur la couche de l'esclave. Le vieil homme se retourna vers sa neko et lui dit d'un ton plutot enjoué
Tu as un acces spécial a la chambre du maitre des lieux, je te logerais bien volontier dans ma chambre ou dans les chambres d'invité, mais... ca serait tres mal vue des autres enfin... j'espere que tu me comprend...
Il ne la considerait pas trop comme esclave, plus comme une amie tres proche qu'il avait pleinement gouté de corps, mais pas encore d'esprit, il voulait prendre possession de cette minette avec toutes ses facettes. Il s'assis sur le lit apres avoir rapuyé sur la tete pour faire remonter le mécanisme et tapota le lit
Viens près de moi, je te mordrais pas... je te le promet
Il nota cependant avec du recul qu'elle avait commencé a le tutoyer avant de se rattraper, a postériorie, il ne trouvait pas outrageant de se faire tutoyer par cette esclave là. Alors que notre vieux guerier flânait sur les derniers ébats qu'il a eut avec sa compagne, elle se jeta a son cou et l'embrassa en le remerciant de ce qu'il faisait pour elle. Sans sortir de son role, le loup resta impassible, ne bougeant pas d'un milimetre, ses traits restaient neutre. Mais il ne s'écarta pas, appréciant la tiedeur de ce corps fin qui réchauffait son âme. C'est avec une voix badine qu'il prit la parole
Tu sais Kurumu, cette chambre n'est rien, enfin avant elle était somptueuse, l'ancien propriétaire avait une maitresse esclave, elle vivait dans cette chambre, comme moi j'occupe actuellement sa chambre a lui. Tout ca pour dire, ta chambre est la plus spacieuse de l'étage des serviteurs, et de surcroit, c'est aussi celle qui a un acces spécial au second étage.
Sans ajouter mot, le loup traversa la piece avant d'appuyer sur une des petites tetes qui étaient incrusté dans l'un des montant de son lit. Une trape se déploya au dessus de son lit, une belle échelle en méral brillant comme de l'argent descendit sur la couche de l'esclave. Le vieil homme se retourna vers sa neko et lui dit d'un ton plutot enjoué
Tu as un acces spécial a la chambre du maitre des lieux, je te logerais bien volontier dans ma chambre ou dans les chambres d'invité, mais... ca serait tres mal vue des autres enfin... j'espere que tu me comprend...
Il ne la considerait pas trop comme esclave, plus comme une amie tres proche qu'il avait pleinement gouté de corps, mais pas encore d'esprit, il voulait prendre possession de cette minette avec toutes ses facettes. Il s'assis sur le lit apres avoir rapuyé sur la tete pour faire remonter le mécanisme et tapota le lit
Viens près de moi, je te mordrais pas... je te le promet
Invité
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Kurumu eut un légère moue véxé quand Renji ne réagi pas à son baiser, en fait il avait l'air de s'en foutre complétement, ce n'était pas le cas bien sur mais la petite neko ne pouvait pas voir les pensées de son maitre. En fait elle avait été un peu blessée, il avait été si tendre avec elle dans son bureau et le voilà qui reprenait son masque de froideur, elle n'arrivait pas à le comprendre, en fait ce qu'elle ne comprenait pas c'est qu'il soit comme ca avec elle, c'était peut être une pensée égoiste mais si elle était plus qu'une amie elle aurait aimé un peu de chalaur de sa part.
Il s'éloigna d'elle et elle lui lanca un regard indéchiffrable, peine, colère, indifférence ? Impossible de le savoir en tout cas il ne sembla pas le remarquer, il lui montra le système reliant leurs chambres mais elle l'écoutait à peine, il ne pouvait pas la garder avec lui par rapport aux autres esclaves, bien sur c'est vrai que l'opinion des esclaves est TRES importante il ne faudrait surtout pas leur déplaire, elle ne dit rien mais cependant se fut bien un éclair de colère qui passa dans ses yeux.
"je comprend"
*Pas du tout* ajouta-t-elle mentalement, elle avait répondu d'un ton qui se voulait calme mais elle n'avait pas réussi à dissimuler une certaine froideur, elle se mordit légèrement la lèvre espérant qu'il ne l'avait pas remarqué, cependant quelque chose dans l'attitude de la jeune femme avait changé elle semblait avoir remit une certaine distance entre son maitre et elle. Ce n'était pas volontaire c'était plutot comme un mécanisme d'auto défense automatique, son inconscient avait perçus le risque de souffrance et se préparait à encaisser le coup, c'était ca qui lui avait permis de survivre durant toute ces années.
Il lui demanda de venir près de lui, il s'était assis sur le lit elle avanca d'un pas calme et alla s'asseoir, elle lui lanca un regard interrogateur comme si elle attendait un ordre quelquonque pour agir, elle s'était inconsciemment replacée dans son role d'esclave docile
Il s'éloigna d'elle et elle lui lanca un regard indéchiffrable, peine, colère, indifférence ? Impossible de le savoir en tout cas il ne sembla pas le remarquer, il lui montra le système reliant leurs chambres mais elle l'écoutait à peine, il ne pouvait pas la garder avec lui par rapport aux autres esclaves, bien sur c'est vrai que l'opinion des esclaves est TRES importante il ne faudrait surtout pas leur déplaire, elle ne dit rien mais cependant se fut bien un éclair de colère qui passa dans ses yeux.
"je comprend"
*Pas du tout* ajouta-t-elle mentalement, elle avait répondu d'un ton qui se voulait calme mais elle n'avait pas réussi à dissimuler une certaine froideur, elle se mordit légèrement la lèvre espérant qu'il ne l'avait pas remarqué, cependant quelque chose dans l'attitude de la jeune femme avait changé elle semblait avoir remit une certaine distance entre son maitre et elle. Ce n'était pas volontaire c'était plutot comme un mécanisme d'auto défense automatique, son inconscient avait perçus le risque de souffrance et se préparait à encaisser le coup, c'était ca qui lui avait permis de survivre durant toute ces années.
Il lui demanda de venir près de lui, il s'était assis sur le lit elle avanca d'un pas calme et alla s'asseoir, elle lui lanca un regard interrogateur comme si elle attendait un ordre quelquonque pour agir, elle s'était inconsciemment replacée dans son role d'esclave docile
Invité
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Evidemment il s'était mal fait comprendre, pour lui, les autre n'étaient pas les esclaves, franchement il en a rien a cirer, non, les autres sont les ainoko libre, les personnes qui ont du pouvoir et qui veulent s'assurer le soutien de la police dans leurs actions plus ou moins légales. Ils voient ca d'un oeil un peut outrer une esclave qui a la meme qualitée de vie qu'eux, meme si, un étage plus bas, elle n'est pas pire. Enfin, c'est une habitude chez Renji d'etre froid et impassible, il avait retrouvé un semblant de neutralité, voire de tiedeur dans sa voix mais chassez le naturel et il revient au galop.
Enfin, il vit les regards noir emplie de colere de sa compagne, ne comprenant pas de suite il remonta le fil de son achat. Il avait commencé par la tirer des griffes putrides d'un rat, puis l'avait mené dans son commissariat où il avait mouché ceux qui dépréciait Kurumu pour enfin etre tendre et doux amant avec elle. Et voila qu'il devenait aussi glacial qu'un blizzard polaire.
C'est donc ca! Elle avait tres mal pris le fait qu'il ne lui rende pas son baiser et s'était meme écarté de lui lorsqu'il l'avait prié de le rejoindre sur son lit a baldaquin. Elle était redevenue l'esclave servile et docile qu'il avait tiré de la morsure du fouet et des habits incomodant de soubrette. Mais maintenant qu'elle n'était plus en confiance totale, elle semblait... sauvage.
Kurumu... ne te méprend pas... je suis désolé, j'ai sans doute fait une, meme des dizaines, de choses qui ne t'ont pas plue, mais je... ne le fait pas expres, je suis pas habitué a éprouver des sentiments envers une femme...
Il s'exprimait avec maladresse, c'était étrange pour lui, son clame et sa froideur lui permetait de poser ses reflexions comme si il était hors de cause, mais en ce moment meme, il se sentait completement vulnerable et faible face a cette neko pourtant chétive. Lentement, il se rapprocha d'elle, d'un mouvement imperceptible il réduisit la distance entre leurs corps.
Kurumu, regarde moi s'il te plais.
Lorsqu'elle tourna la tete, ses levres se firent capturer par celles de son maitre et sa main passa le long de sa joue fine et parfaite. Il souhaitait se faire pardonner de toute ses erreurs, il n'avait pas voulut la braquer, encore moins la blesser. Il se sentait étrange avec elle, amoureux? Pas sur, peut etre... Qui sait, elle saura peut etre faire battre son coeur, mais pour l'instant, il avait une grande affeection pour elle et surtout un immence désir; la toucher, l'embrasser, sentir sa peau tiede contre son corps, la chaleur de ses baisers.
Purement charnel dans ses reflexions, mais les meilleures relations ne naissent pas ainsi? Une estime l'un pour l'autre avec un grain de sexe et l'on soude une profonde liaison entre deux personnes, que ce soit amitié ou amour, du moment que les fondations sont coulé, le reste vient apres.
Il rompit ce baiser avec une grande délicatesse et pris ma main longue et fine de sa neko avant de la poser sur son coeur, comme pour lui montrer qu'il n'était pas aussi different maintenant que lorsqu'ils partageaient les meme draps plus tot dans la matiné. Il était pareil, comme un jeune amant plein de fougue, d'envie et de reve. C'est peut etre cette sensation de jeunesse retrouvé qui attirait le vieux loup, il se sentait jeune grace a elle, jeune et désirable. Peut etre n'etait ce qu'une illusion, mais c'est l'impression qu'il avait quand Kurumu le serrait contre elle en gémissant son nom le souffle court.
Pardonne moi, je suis un idiot... un vieil idiot...
Enfin, il vit les regards noir emplie de colere de sa compagne, ne comprenant pas de suite il remonta le fil de son achat. Il avait commencé par la tirer des griffes putrides d'un rat, puis l'avait mené dans son commissariat où il avait mouché ceux qui dépréciait Kurumu pour enfin etre tendre et doux amant avec elle. Et voila qu'il devenait aussi glacial qu'un blizzard polaire.
C'est donc ca! Elle avait tres mal pris le fait qu'il ne lui rende pas son baiser et s'était meme écarté de lui lorsqu'il l'avait prié de le rejoindre sur son lit a baldaquin. Elle était redevenue l'esclave servile et docile qu'il avait tiré de la morsure du fouet et des habits incomodant de soubrette. Mais maintenant qu'elle n'était plus en confiance totale, elle semblait... sauvage.
Kurumu... ne te méprend pas... je suis désolé, j'ai sans doute fait une, meme des dizaines, de choses qui ne t'ont pas plue, mais je... ne le fait pas expres, je suis pas habitué a éprouver des sentiments envers une femme...
Il s'exprimait avec maladresse, c'était étrange pour lui, son clame et sa froideur lui permetait de poser ses reflexions comme si il était hors de cause, mais en ce moment meme, il se sentait completement vulnerable et faible face a cette neko pourtant chétive. Lentement, il se rapprocha d'elle, d'un mouvement imperceptible il réduisit la distance entre leurs corps.
Kurumu, regarde moi s'il te plais.
Lorsqu'elle tourna la tete, ses levres se firent capturer par celles de son maitre et sa main passa le long de sa joue fine et parfaite. Il souhaitait se faire pardonner de toute ses erreurs, il n'avait pas voulut la braquer, encore moins la blesser. Il se sentait étrange avec elle, amoureux? Pas sur, peut etre... Qui sait, elle saura peut etre faire battre son coeur, mais pour l'instant, il avait une grande affeection pour elle et surtout un immence désir; la toucher, l'embrasser, sentir sa peau tiede contre son corps, la chaleur de ses baisers.
Purement charnel dans ses reflexions, mais les meilleures relations ne naissent pas ainsi? Une estime l'un pour l'autre avec un grain de sexe et l'on soude une profonde liaison entre deux personnes, que ce soit amitié ou amour, du moment que les fondations sont coulé, le reste vient apres.
Il rompit ce baiser avec une grande délicatesse et pris ma main longue et fine de sa neko avant de la poser sur son coeur, comme pour lui montrer qu'il n'était pas aussi different maintenant que lorsqu'ils partageaient les meme draps plus tot dans la matiné. Il était pareil, comme un jeune amant plein de fougue, d'envie et de reve. C'est peut etre cette sensation de jeunesse retrouvé qui attirait le vieux loup, il se sentait jeune grace a elle, jeune et désirable. Peut etre n'etait ce qu'une illusion, mais c'est l'impression qu'il avait quand Kurumu le serrait contre elle en gémissant son nom le souffle court.
Pardonne moi, je suis un idiot... un vieil idiot...
Invité
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Il sembla enfin remarquer que quelque chose n'allait pas, il lui fit des excuses lui expliquant qu'il n'était pas habitué à avoir des sentiments envers une femme, la jeune neko ne dit rien mais elle pensa qu'il ne devait pas être habitué aux sentiments avec qui que ce soit. Elle ne leva pas les yeux vers lui regardant droit devant elle, elle comprenait bien qu'il ne pouvait pas se montrer chaleureux comme ca du jour au lendemein mais elle avait été vexé qu'il ne réagisse pas à son baiser.
Il ne fallait pas en vouloir à Kurumu de réagir comme ca mais si on regardait la situation sous un autre angle Renji l'avait acheté, il l'avait ramenner au commisariat ou il l'avait mise en confiance avant de finalement lui faire l'amour et maintenant qu'ils avaient quittés son bureau et son lit il redevenait froid. Après tout ce qu'elle avait subi comment pouvait-elle ne pas penser que c'était juste cela qu'il désirait, coucher avec elle ? Elle avait connu tellement de menteur, comment ne pas se méfier ? Il lui faudrait du temps avant qu'elle ne lui fasse totalement confiance.
Il lui demanda de le regarder et elle leva les yeux vers lui, il c'était rapproché d'elle et vint l'embrasser, elle le laissa faire elle n'aurait jamais songé le repousser mais répondit à son baiser sans grand enthousiasme, elle se posait plein de question notamment savoir ce qu'il attendait d'elle exactement, il la voulait, il voulait son corps elle le voyait bien mais après ? Bien sur elle n'attendait pas de lui une déclaration d'amour mais elle était dans le flou, elle avait du mal à le cerner. Son ancien maitre était proxénète ce qu'il attendait d'elle était donc parfaitement clair mais là ?
Elle lui sourit néanmoins quand il lui dit qu'il était un idiot, non elle ne pensais pas ça.
"Tu n'est pas un idiot, tu es maladroit mais je suis fautive aussi je sais que je me méfie surement trop"
Elle lui refit un léger sourire mais ces yeux restaient comme assombris par une douleur passé, Renji pouvait-il seulement imaginé ce qu'elle avait vécu ? Surement pas, il avait du en voir de toute sorte de par son métier mais elle avait du mal à imaginer qu'il ai pu voir une chose aussi atroce qu'avait été sa vie ces dernières années. Elle posa sa tête sur son épaule cherchant du réconfort auprès de son nouveau maitre en espérant qu'elle puisse compter sur lui. Il n'était pas du genre patient et elle espérait qu'il le serait avec elle.
Il lui avait prit sa main pour la poser sur son torse et elle commenca à le caresser du bout des doigts, elle aimait ce contact physique, surtout parce qu'il ne l'obligeait pas à le faire, c'était tellement agréable d'avoir le choix.
"En tout cas la chambre me plait et le passage vers la tienne aussi, j'aurais le droit de l'emprunter souvent ? Au fait tu as d'autre esclave ?"
Il ne fallait pas en vouloir à Kurumu de réagir comme ca mais si on regardait la situation sous un autre angle Renji l'avait acheté, il l'avait ramenner au commisariat ou il l'avait mise en confiance avant de finalement lui faire l'amour et maintenant qu'ils avaient quittés son bureau et son lit il redevenait froid. Après tout ce qu'elle avait subi comment pouvait-elle ne pas penser que c'était juste cela qu'il désirait, coucher avec elle ? Elle avait connu tellement de menteur, comment ne pas se méfier ? Il lui faudrait du temps avant qu'elle ne lui fasse totalement confiance.
Il lui demanda de le regarder et elle leva les yeux vers lui, il c'était rapproché d'elle et vint l'embrasser, elle le laissa faire elle n'aurait jamais songé le repousser mais répondit à son baiser sans grand enthousiasme, elle se posait plein de question notamment savoir ce qu'il attendait d'elle exactement, il la voulait, il voulait son corps elle le voyait bien mais après ? Bien sur elle n'attendait pas de lui une déclaration d'amour mais elle était dans le flou, elle avait du mal à le cerner. Son ancien maitre était proxénète ce qu'il attendait d'elle était donc parfaitement clair mais là ?
Elle lui sourit néanmoins quand il lui dit qu'il était un idiot, non elle ne pensais pas ça.
"Tu n'est pas un idiot, tu es maladroit mais je suis fautive aussi je sais que je me méfie surement trop"
Elle lui refit un léger sourire mais ces yeux restaient comme assombris par une douleur passé, Renji pouvait-il seulement imaginé ce qu'elle avait vécu ? Surement pas, il avait du en voir de toute sorte de par son métier mais elle avait du mal à imaginer qu'il ai pu voir une chose aussi atroce qu'avait été sa vie ces dernières années. Elle posa sa tête sur son épaule cherchant du réconfort auprès de son nouveau maitre en espérant qu'elle puisse compter sur lui. Il n'était pas du genre patient et elle espérait qu'il le serait avec elle.
Il lui avait prit sa main pour la poser sur son torse et elle commenca à le caresser du bout des doigts, elle aimait ce contact physique, surtout parce qu'il ne l'obligeait pas à le faire, c'était tellement agréable d'avoir le choix.
"En tout cas la chambre me plait et le passage vers la tienne aussi, j'aurais le droit de l'emprunter souvent ? Au fait tu as d'autre esclave ?"
Invité
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La neko avait franchis un cap, elle le tutoyais, c'était un pas de plus vers la familiarité et la complicité de ces deux la. Franchement, c'était sans doute ce qui toucha le plus le vieux coeur du loup alors qu'elle semblait lui en vouloir. Comme si sa colere s'émoussait peut a peut, ses traits se détendirent, mais le baiser de l'esclave n'était pas aussi pationé que celui de leur moment au commissariat, il était plutot indifferent, non comme si elle avait la tete ailleur et qu'elle répondait par automatisme. Mais elle sembla reprendre du poil de la bette quand son maitre lui fit caresser son coeur avant de lacher sa petite main douce. Visiblement la jeune neko était en manque de la tendresse qu'il avait peut etre un peut trop montré trop tot.
Ecoute, tu n'est fautive en rien, je suis un crétin et ce passage fait partit de ta chambre autant que l'armoire ou le lit, si tu veux t'en servir libre a toi mais si a un moment la trappe ne s'ouvre pas, c'est que cette fois la, j'aurais besoin de solitude, tu comprend? C'est un peut comme le verrou devant ta porte, tu n'es pas obligé de m'ouvrir si tu a envie de rester seule. Pour les autres esclaves, bah j'en ai besoin pour faire tourner le manoir et tu en a déja croisé, certains des policiers m'appartiennent, ils épongent leur dete de sang en travaillant pour moi, leur vie m'appartient.
Cette fois ci, il l'embrassa plus profondement, comme pour lui montrer qu'il était toujours le loup tendre qu'il avait été dans les draps de son burreau. Qu'il ne voulait pas juste se la taper et la jetter comme in jette une capotte. Non, si il couche avec elle c'est parce qu'il l'aime bien, qu'il la trouve bien differente des putains qu'il peut se payer. Non, elle ne lui coute certe rien, mais ce qu'elle offre volontairement est bien plus doux et sucré que tout ce que l'or peut acheter de la part d'une femme.
Tu veux qu'on reprenne où l'on s'était arrété dans lon burreau pour inaugurer ta chambre? Et tant que j'y pense, tu peux me tutoyer, mais seulement en privé, meme si tu es une ainoko tu reste esclave aux yeux de la societé et m'appeller Renji en me tutoyant n'est pas gage de grande sécurité pour toi, j'ai pas beaucoup d'ennemi, mais si quelqu'un de mal attentioné voit qu'entre nous il existe plus qu'une formalité maitre esclave, tu risque d'en patir pour mes problemes et ca je ne veux pas que ca arrive, une fois ca a été suffisant. J'ai déja perdu un etre cher, je ne veux pas recommencer de si tot.
Sur ce dernier mot sa voix se brisa, elle n'était pas glacé mais tres douce et emprunte d'une sorte de terreur. Quand il eut fini, le vieil homme embrassa sa compagne et la coucha sur le gros matelas de plume qui ne demandait qu'a les acceuillir et commenca a passer les doigts sous le haut de policiere qu'il avait réquisitioner pour elle.
Ecoute, tu n'est fautive en rien, je suis un crétin et ce passage fait partit de ta chambre autant que l'armoire ou le lit, si tu veux t'en servir libre a toi mais si a un moment la trappe ne s'ouvre pas, c'est que cette fois la, j'aurais besoin de solitude, tu comprend? C'est un peut comme le verrou devant ta porte, tu n'es pas obligé de m'ouvrir si tu a envie de rester seule. Pour les autres esclaves, bah j'en ai besoin pour faire tourner le manoir et tu en a déja croisé, certains des policiers m'appartiennent, ils épongent leur dete de sang en travaillant pour moi, leur vie m'appartient.
Cette fois ci, il l'embrassa plus profondement, comme pour lui montrer qu'il était toujours le loup tendre qu'il avait été dans les draps de son burreau. Qu'il ne voulait pas juste se la taper et la jetter comme in jette une capotte. Non, si il couche avec elle c'est parce qu'il l'aime bien, qu'il la trouve bien differente des putains qu'il peut se payer. Non, elle ne lui coute certe rien, mais ce qu'elle offre volontairement est bien plus doux et sucré que tout ce que l'or peut acheter de la part d'une femme.
Tu veux qu'on reprenne où l'on s'était arrété dans lon burreau pour inaugurer ta chambre? Et tant que j'y pense, tu peux me tutoyer, mais seulement en privé, meme si tu es une ainoko tu reste esclave aux yeux de la societé et m'appeller Renji en me tutoyant n'est pas gage de grande sécurité pour toi, j'ai pas beaucoup d'ennemi, mais si quelqu'un de mal attentioné voit qu'entre nous il existe plus qu'une formalité maitre esclave, tu risque d'en patir pour mes problemes et ca je ne veux pas que ca arrive, une fois ca a été suffisant. J'ai déja perdu un etre cher, je ne veux pas recommencer de si tot.
Sur ce dernier mot sa voix se brisa, elle n'était pas glacé mais tres douce et emprunte d'une sorte de terreur. Quand il eut fini, le vieil homme embrassa sa compagne et la coucha sur le gros matelas de plume qui ne demandait qu'a les acceuillir et commenca a passer les doigts sous le haut de policiere qu'il avait réquisitioner pour elle.
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Ca y est il redevenait le loup tendre et attentionné qu'elle avait découvert au commisariat et elle en était contente, elle le préférait comme ça, elle aimait le vois sourire. Elle colla son corps contre le sien tandis qu'il lui donnait un baiser plus pationné. En fait c'était peut être elle qui en demandais trop mais comment la blamer de vouloir un peu d'amour et de tendresse après 8 années de violence. Elle passa ses bras autour de lui et posa la tête sur son épaule tandis qu'il lui parlait. Il lui expliqua qu'il fallait mieux s'en tenir à des rapoorts formels en public, elle acquiessa en silence de toute facon cela ne lui serait pas venue à l'esprit de lui parler comme elle le faisait là devant des témoins. Elle comprenait très bien que cela pourrait être risqué et qu'il ne voulait pas la perdre. Elle releva les yeux vers lui avant de lui caresser doucement le visage. Elle se demandait comment était sa femme mais ne posa aucune question cela ne la regardait pas et elle ne voulait pas commettre de maladresse.
Il la coucha sur le lit et se mit à la caresser, elle en frisonna de plaisir, elle aimait ces tendres caresses mais elle voulait autre chose, juste comme ca, juste pour essayer, elle savait qu'il ne lui en voudrait pas. Elle le repoussa légèrement et le fit basculer sur le dos et enleva ses vetements avant de se mettre sur lui. Les vetement qu'il lui avait donné étaient nettement mieux que ceux qu'elle portait chez le marchand mais elle n'avait plus vraiment l'habitude d'être habillé et cette sensation était étrange pour elle, de plus l'uniforme n'atait pas l'habit le plus attirant qui existait, son corps nu était beaucoup plus beau. Elle avait envie de prendre un peu le dessus pour une fois, elle qui n'avait toujours été que soumise, pouvoir agir par elle même et faire ce qu'elle voulait voilà qui lui semblait merveilleux. On obtient bien plus d'une femme par la douceur que par la violence. Elle se pencha sur lui pour l'embrasser, glissant sa main dans ses longs cheveux blanc, elle lui donna un baiser très tendre, presque amoureux, puis elle commenca à lui enlever sa chemise.
Elle caressa son torse musclé sans aucun dégout par rapport à ses nombreuses cicatrices, elle se pencha de nouveau posant ses lèvres douces sur son cou avant de les faire glisser sur son torse, sa poitrine était appuyée sur lui, il pouvait sentir ses seins glisser sur lui au fur et à mesure qu'elle descendait. Elle arriva à la limite de son pantalon sa poitrine était maintenant appuyée à l'endroit ou se trouvait son sexe, elle se demanda si cette sensation lui plaisait. Mais elle ne s'arreta pas là, elle lui défit son pantalon le mettant nu lui aussi, elle fit ensuite glisser sa main douce contre son sexe le caressant tendrement, elle connaissait déjà toute ces choses mais elle voulait voir ce que cela faisait de les faire par soi même sans y être obligé. Elle descendit encore un peu et glissa sa langue sur le sexe de Renji
Il la coucha sur le lit et se mit à la caresser, elle en frisonna de plaisir, elle aimait ces tendres caresses mais elle voulait autre chose, juste comme ca, juste pour essayer, elle savait qu'il ne lui en voudrait pas. Elle le repoussa légèrement et le fit basculer sur le dos et enleva ses vetements avant de se mettre sur lui. Les vetement qu'il lui avait donné étaient nettement mieux que ceux qu'elle portait chez le marchand mais elle n'avait plus vraiment l'habitude d'être habillé et cette sensation était étrange pour elle, de plus l'uniforme n'atait pas l'habit le plus attirant qui existait, son corps nu était beaucoup plus beau. Elle avait envie de prendre un peu le dessus pour une fois, elle qui n'avait toujours été que soumise, pouvoir agir par elle même et faire ce qu'elle voulait voilà qui lui semblait merveilleux. On obtient bien plus d'une femme par la douceur que par la violence. Elle se pencha sur lui pour l'embrasser, glissant sa main dans ses longs cheveux blanc, elle lui donna un baiser très tendre, presque amoureux, puis elle commenca à lui enlever sa chemise.
Elle caressa son torse musclé sans aucun dégout par rapport à ses nombreuses cicatrices, elle se pencha de nouveau posant ses lèvres douces sur son cou avant de les faire glisser sur son torse, sa poitrine était appuyée sur lui, il pouvait sentir ses seins glisser sur lui au fur et à mesure qu'elle descendait. Elle arriva à la limite de son pantalon sa poitrine était maintenant appuyée à l'endroit ou se trouvait son sexe, elle se demanda si cette sensation lui plaisait. Mais elle ne s'arreta pas là, elle lui défit son pantalon le mettant nu lui aussi, elle fit ensuite glisser sa main douce contre son sexe le caressant tendrement, elle connaissait déjà toute ces choses mais elle voulait voir ce que cela faisait de les faire par soi même sans y être obligé. Elle descendit encore un peu et glissa sa langue sur le sexe de Renji
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Plus le temps passe et plus Renji se demande qui commande dans leur couple. Ce n'est pas si mal en fin de compte, passer d'une relation où Kurumu était une esclave obéissante et docile qui ne refusait jamais ce que lui demandait son maitre, sans meme poser de question sur le fait que ce soit bien ou pas, a une femme épanouie qui prenait plaisir a se montrer attirante, dominante et ambitieusement entreprenante. Sur ce plan, le vieux loup était comblé, il voyait en elle, non la soubrette mal habillé qui avait un visage de terreur, mais la neko vivante et épanouie qu'elle était quand sa peur tombait et que ses défence s'ouvraient a de la chaleur humaine. Elle se deshabillat en moins de temps qu'il ne le faut pour dire "extraordinairement" et s'instala confortablement sur l'abdomen de son maitre. Elle était belle et elle le savait parfaitement, elle en profitait meme, se montrer désirable était une chose des plus amusante pour une femme, Kurumu ne faisait pas exception.
Lentement elle dégrapha sa chemise tout en l'embrassant presque amoureusement, comme on ne l'avait pas embrassé depuis presque 30 ans. Puis elle s'occupa sans aucune répulsion de son corps couturé par ses exploits passés, comme si elle aimait de plus en plus son torse recousu et assombrit par les ravages du passé. Lentement, elle descendit sur son pentalon, son regard félin en disait long sur son fil de pensé, le défaire et le retirer. Nu a son tour, le Kaijuu se contenta de soupirer d'aise en sentant son sexe palpitant dans les mains, plutôt et malheureusement pour elle, experte de la neko. Elle le masturba, ou plutôt le caressa avec envie de ses doigts fins avant d'y donner un tres lent et délicieux coup de langue. Cette attitude évéilla un souvenir enfoui profondément, le souvenir qu'il ne voulait plus voir pour ne plus souffrir mais ce fut plus fort que lui.
Alina...
Sans le vouloir, il avait fait l'amalgame entre sa tenshi et la jeune femme qui était en train de satisfaire ses propres envies et d'offrir par la meme occasion un plaisir immence a son maitre. Il ne comprit pas de suite, mais cela ne tarde pas, vraiment pas. Il se redressa, les yeux vides, legerement honteux d'avoir soupirer un nom relégué au passé. Avant que Kurumu ne puisse monter sur ses grandes cheveaux et ne fasse déferler sur le loup une fureur tout a fait justifié, il prit la parole.
Je suis névré, Alina était ma femme, Alina Tenshi, je crois t'en avoir parler plus tot. C'était sa maniere d'entamer les préliminaires, un instant, j'ai cru que c'était elle, que j'avais 30 ans de moins et que j'étais encore un homme séduisant et non cette épave.
Il baissa la tete devant sa pauvre stupidité, un homme ne rajeuni pas, il se raccrochait au passé alors que son avenir pouvait se modifier, il pouvait quitter la solitude et le froid glacial de son coeur auquel il s'était astreint, non, il pouvait tout recomencer avec Kurumu, elle l'avait dégelé, elle lui avait meme montrer qu'il n'y avait plus d'esclave maintenant, juste elle, une femme jeune, belle, souriante et désireuse de lui: vieillissant, blessé dans le coeur, couturé sur tout le corps et se dépréciant a chaque seconde qui passe.
Je suis désolé, je ne voulais pas te blesser, je suis un drétin...
Lentement elle dégrapha sa chemise tout en l'embrassant presque amoureusement, comme on ne l'avait pas embrassé depuis presque 30 ans. Puis elle s'occupa sans aucune répulsion de son corps couturé par ses exploits passés, comme si elle aimait de plus en plus son torse recousu et assombrit par les ravages du passé. Lentement, elle descendit sur son pentalon, son regard félin en disait long sur son fil de pensé, le défaire et le retirer. Nu a son tour, le Kaijuu se contenta de soupirer d'aise en sentant son sexe palpitant dans les mains, plutôt et malheureusement pour elle, experte de la neko. Elle le masturba, ou plutôt le caressa avec envie de ses doigts fins avant d'y donner un tres lent et délicieux coup de langue. Cette attitude évéilla un souvenir enfoui profondément, le souvenir qu'il ne voulait plus voir pour ne plus souffrir mais ce fut plus fort que lui.
Alina...
Sans le vouloir, il avait fait l'amalgame entre sa tenshi et la jeune femme qui était en train de satisfaire ses propres envies et d'offrir par la meme occasion un plaisir immence a son maitre. Il ne comprit pas de suite, mais cela ne tarde pas, vraiment pas. Il se redressa, les yeux vides, legerement honteux d'avoir soupirer un nom relégué au passé. Avant que Kurumu ne puisse monter sur ses grandes cheveaux et ne fasse déferler sur le loup une fureur tout a fait justifié, il prit la parole.
Je suis névré, Alina était ma femme, Alina Tenshi, je crois t'en avoir parler plus tot. C'était sa maniere d'entamer les préliminaires, un instant, j'ai cru que c'était elle, que j'avais 30 ans de moins et que j'étais encore un homme séduisant et non cette épave.
Il baissa la tete devant sa pauvre stupidité, un homme ne rajeuni pas, il se raccrochait au passé alors que son avenir pouvait se modifier, il pouvait quitter la solitude et le froid glacial de son coeur auquel il s'était astreint, non, il pouvait tout recomencer avec Kurumu, elle l'avait dégelé, elle lui avait meme montrer qu'il n'y avait plus d'esclave maintenant, juste elle, une femme jeune, belle, souriante et désireuse de lui: vieillissant, blessé dans le coeur, couturé sur tout le corps et se dépréciant a chaque seconde qui passe.
Je suis désolé, je ne voulais pas te blesser, je suis un drétin...
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Au moment ou elle glissa sa langue sur le sexe de son maitre celui ci soupira d'aise et prononca un prénom, le seul problème est que ce n'était pas le sien. "Alina" voilà ce qu'il avait dit Kurumu stoppa son mouvement et leva les yeux vers lui dans son regard se melait plusieurs émotions : la surprise, l'inconpréhention et bien sur la colère, mais elle n'eut pas le temps de lui faire part de sa pensée. Il se redressa le regard honteux et lui expliqua que Alina était sa femme celle qu'il avait tant aimé et perdue, apparement le geste de Kurumu avait éveillé des souvenirs douloureux pour lui.
En tout cas sa colère de l'instant était passé heureusement qu'il ne lui avait pas laissé le temps de s'exprimer sinon elle s'en serait terriblement voulu, le fait qu'il ai prononcé un autre prénom que le sien ne lui plaisait pas mais vu les circonstances elle ne pouvait pas le lui repprocher au contraire elle avait de la peine pour lui. Elle n'osait imaginer ce que cela devait être de perdre un être cher. Elle se releva et se mit à genoux à coté de lui, elle prit une de ses mains entre les siennes et le regarda
"Ce n'est rien, elle doit beaucoup te manquer, je suis désolé que mon comportement ai ravivé des souvenirs douloureux si à l'avenir il y a des gestes que tu préfère que j'évite dit le moi"
Un de ses mains quitta la sienne pour venir lui caresser le visage, elle voyait bien que ce qui venait de se passer avait rouvert une blessure qui ne s'était jamais refermé totalement et qui ne se refermerais jamais. Elle s'en voulait un peu de lui avoir rapellé de douloureux souvenirs même si elle n'avait eu aucun moyen de l'éviter, en tout cas cela avait refroidie ses ardeurs elle se contentait de rester près de lui et de lui caresser le visage et les cheveux, s'il voulait continuer ils continueraient mais s'il préférait en rester là elle pourrait comprendre.
En tout cas sa colère de l'instant était passé heureusement qu'il ne lui avait pas laissé le temps de s'exprimer sinon elle s'en serait terriblement voulu, le fait qu'il ai prononcé un autre prénom que le sien ne lui plaisait pas mais vu les circonstances elle ne pouvait pas le lui repprocher au contraire elle avait de la peine pour lui. Elle n'osait imaginer ce que cela devait être de perdre un être cher. Elle se releva et se mit à genoux à coté de lui, elle prit une de ses mains entre les siennes et le regarda
"Ce n'est rien, elle doit beaucoup te manquer, je suis désolé que mon comportement ai ravivé des souvenirs douloureux si à l'avenir il y a des gestes que tu préfère que j'évite dit le moi"
Un de ses mains quitta la sienne pour venir lui caresser le visage, elle voyait bien que ce qui venait de se passer avait rouvert une blessure qui ne s'était jamais refermé totalement et qui ne se refermerais jamais. Elle s'en voulait un peu de lui avoir rapellé de douloureux souvenirs même si elle n'avait eu aucun moyen de l'éviter, en tout cas cela avait refroidie ses ardeurs elle se contentait de rester près de lui et de lui caresser le visage et les cheveux, s'il voulait continuer ils continueraient mais s'il préférait en rester là elle pourrait comprendre.
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Ouf! Renji avait évité le pire, prononcer le nom de la femme qui n'est pas dans son lit alors qu'on est dans les bras d'une autre n'est pas vraiment ce qu'on appelle un coup de maitre, c'est plus un tue-l'amour. Elle pouvait comprendre, mais lui ne se pardonnait pas sa maladraisse, il était avec Kurumu, Alina est morte et réduite en pousiere, il n'y a plus rien a aimer d'elle a part un souvenir. Le temps évolu, les hommes grandissent, mais les souvenirs deumeurent.
Reveiller de mauvais souvenirs? Non, du tout, c'était a l'époque où les deux amants étaient ensemble, l'époque où ils vivaient pleinement leur mariage qu'ils consomaient avec délice et passion, plus que de raison meme. C'était les plus belles années de sa vie. La séparations a été douloureuse, mais pas l'amour, le coup de langue tendre de Kurumu avait eveillé un souvenir de pleinitude absolue, d'amour incondissionel et de passion. Ce n'était pas mauvais du tout bien au contraire.
Non, tu n'as rien fait de mal, c'est moi qui dois laisser le passé la ou il ne devrait jamais bouger, au fond de ma mémoire avec une pierre dessus. Tes caresses ont évéillé un moment merveilleux et non pas douloureux, rassure toi, ces geste la me font plaisir, mais arrete de ma tenir comme ca, on dirait que je suis a l'agonie. Je suis pas tout jeune mais j'ai pas les pieds dans la tombe!
Sur cette phrase, il embrassa la main caressant sa joue avant de remonter le long de son poignet, le creux de son bras, son épaule, le coin de son cou et enfin ses levres. Elle avait commencé a l'exciter, si elle était refroidi parce qu'elle culpabilisait, le souvenir de son amour, lui, donnait des ailes au loup et il ne se priva pas de le démontrer, en de nombreux points elles étaient pareilles. Toutes deux esclaves, soumises, faibles, sentimentales, bléssé.... Kurumu était bien plus qu'une neko a ses yeux, elle était son genre de femme, plus qu'une amie, oui, bien plus intime que ca.
Tu crois que tu peux reprendre dans tes spectaculaires initiatives mon ange? Sincerement, j'adore quand tu es entreprenante, quand tu es Kurumu la famme et pas l'esclave, quand tu es celle que tu dois etre...
Il l'embrassa a nouveau, caressant ses formes et profitant de chaque fragments de peaux, plus jamais il ne mentionerait Alina, il n'y avait que sa neko maintenant, elle l'avait réchauffé au point de lui rappeler sa femme, bientot, si elle continuait sur sa landé, elle deviendrait sa femme.
Je t'aime...kurumu...
Sur ce murmure, le vieux loup s'allongea sur le lit de sa compagne et attendit qu'elle prenne une nouvelle initiative, impatient mais impassible, il la voulait elle, pas l'esclave, pas le fantome de son passé. Non, son avenir.
Reveiller de mauvais souvenirs? Non, du tout, c'était a l'époque où les deux amants étaient ensemble, l'époque où ils vivaient pleinement leur mariage qu'ils consomaient avec délice et passion, plus que de raison meme. C'était les plus belles années de sa vie. La séparations a été douloureuse, mais pas l'amour, le coup de langue tendre de Kurumu avait eveillé un souvenir de pleinitude absolue, d'amour incondissionel et de passion. Ce n'était pas mauvais du tout bien au contraire.
Non, tu n'as rien fait de mal, c'est moi qui dois laisser le passé la ou il ne devrait jamais bouger, au fond de ma mémoire avec une pierre dessus. Tes caresses ont évéillé un moment merveilleux et non pas douloureux, rassure toi, ces geste la me font plaisir, mais arrete de ma tenir comme ca, on dirait que je suis a l'agonie. Je suis pas tout jeune mais j'ai pas les pieds dans la tombe!
Sur cette phrase, il embrassa la main caressant sa joue avant de remonter le long de son poignet, le creux de son bras, son épaule, le coin de son cou et enfin ses levres. Elle avait commencé a l'exciter, si elle était refroidi parce qu'elle culpabilisait, le souvenir de son amour, lui, donnait des ailes au loup et il ne se priva pas de le démontrer, en de nombreux points elles étaient pareilles. Toutes deux esclaves, soumises, faibles, sentimentales, bléssé.... Kurumu était bien plus qu'une neko a ses yeux, elle était son genre de femme, plus qu'une amie, oui, bien plus intime que ca.
Tu crois que tu peux reprendre dans tes spectaculaires initiatives mon ange? Sincerement, j'adore quand tu es entreprenante, quand tu es Kurumu la famme et pas l'esclave, quand tu es celle que tu dois etre...
Il l'embrassa a nouveau, caressant ses formes et profitant de chaque fragments de peaux, plus jamais il ne mentionerait Alina, il n'y avait que sa neko maintenant, elle l'avait réchauffé au point de lui rappeler sa femme, bientot, si elle continuait sur sa landé, elle deviendrait sa femme.
Je t'aime...kurumu...
Sur ce murmure, le vieux loup s'allongea sur le lit de sa compagne et attendit qu'elle prenne une nouvelle initiative, impatient mais impassible, il la voulait elle, pas l'esclave, pas le fantome de son passé. Non, son avenir.
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Kurumu était rassuré de voir qu'il ne lui en voulait pas elle était désolé d'avoir ravivé le souvenir de sa femme, il avait beau lui dire que ce n'était pas grave qu'elle était morte et qu'il devait passer à autre chose pour elle cela lui semblait plus facile à dire qu'a faire. Enfin pour le moment il voulait qu'elle continue, elle espérait seulement qu'il ne referais pas la même maladresse parce que il faut le dire c'est quand même vexant. Il passa ses mains sur elle pour la caresser et elle lui sourit avant de se remettre dans sa position d'origine.
Il lui murmura quelque chose avant de se rallonger, elle eut une seconde d'hésitation par rapport aux mots qu'il avait dit avait-elle bien entendu ? Non elle avait du loupé un mot il avait du dire je t'aime beaucoup ou un truc dans le genre, oui c'était surement ca. Elle préféra ne pas répondre et se concentrer sur ce qu'elle faisait avant cette interruption, elle donna un nouveau coup de langue sur son sexe, elle n'avait jamais vraiment aimé faire ca mais c'était surtout parce qu'on l'y avait toujours forcé. Quand un homme vous empèche de respirer par le nez ou vous fait mal pour vous obliger à ouvrir la bouche et y enfoncer son sexe dégoutant ca ne donne pas vraiment envie de recommencer.
Mais il lui avait déjà montrer que des actes qu'elle n'aimait pas avec d'autre elle pouvait les aimer avec lui alors pourquoi pas ca ? En tout cas ca vallait la peine d'essayer et puis si ca ne lui plaisait vraiment pas et bien elle éviterais de recommencer et puis voilà.
Elle se mit donc à passer sa langue partant de la base du sexe pour aller jusqu'au gland, elle le léchait doucement, comme si elle goutait son sexe avant de se décider si oui ou non elle allait allez plus loin. Finallement elle décida que oui et le prit dans sa bouche pour le sucer doucement, elle espérait qu'elle s'y prenais bien et qu'il aimait ca. Tandis qu'elle le sucait elle prit son sexe en main ajoutant le mouvement de son poignet à la caresse de sa langue
Il lui murmura quelque chose avant de se rallonger, elle eut une seconde d'hésitation par rapport aux mots qu'il avait dit avait-elle bien entendu ? Non elle avait du loupé un mot il avait du dire je t'aime beaucoup ou un truc dans le genre, oui c'était surement ca. Elle préféra ne pas répondre et se concentrer sur ce qu'elle faisait avant cette interruption, elle donna un nouveau coup de langue sur son sexe, elle n'avait jamais vraiment aimé faire ca mais c'était surtout parce qu'on l'y avait toujours forcé. Quand un homme vous empèche de respirer par le nez ou vous fait mal pour vous obliger à ouvrir la bouche et y enfoncer son sexe dégoutant ca ne donne pas vraiment envie de recommencer.
Mais il lui avait déjà montrer que des actes qu'elle n'aimait pas avec d'autre elle pouvait les aimer avec lui alors pourquoi pas ca ? En tout cas ca vallait la peine d'essayer et puis si ca ne lui plaisait vraiment pas et bien elle éviterais de recommencer et puis voilà.
Elle se mit donc à passer sa langue partant de la base du sexe pour aller jusqu'au gland, elle le léchait doucement, comme si elle goutait son sexe avant de se décider si oui ou non elle allait allez plus loin. Finallement elle décida que oui et le prit dans sa bouche pour le sucer doucement, elle espérait qu'elle s'y prenais bien et qu'il aimait ca. Tandis qu'elle le sucait elle prit son sexe en main ajoutant le mouvement de son poignet à la caresse de sa langue
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Lentement, la neko repris confiance en elle, elle se redressa et retourna entre les cuisses de son maitre, si on peut toujours l'appeler maitre et elle esclave, avant de se remettre a lecher tendrement le membre du loup. Il semblait troublé, elle n'avait rien dit face a son murmure, pourtant, il aurait aimé l'entendre pronnoncer n'importe quoi, rougir, l'embrasser, meme le gifler, mais rien. Comme si Kurumu la femme était redevenu Kurumu le jouet sexuel de son maitre. Mais que pouvait il faire? Elle refusait d'entendre des propos clair mais rougissait violement aux déguisé, allez savoir.
Couché sur le lit, le chef de la police soupirer en sentant la douceur de sa langue explorer sa hampe avec une pointe d'envie, ca devait etre dur pour elle de faire ca, il le savait, cette enfant avait été violé pendant les dernieres années de sa vie et la fellation forcé est un incontournable du viol. Mais visiblement, vue qu'elle fermait legerement les yeux, la neko prenait plaisir a aiguiser la chair de son maitre. Il le lui rendait bien en passant sa lourde main dans ses cheveux et soupirant par des respirations haché en signe d'aprobation. C'est alors qu'elle prit clairement confiance, portant les douces petites levres qui avaient encore tant de mal a embrasser son maitre sur le gland de ce dernier, le sucotant avant de faire de petits mouvements de tete, la langue passant avec délice autour de sa chair emprisoné dans cette antre humide et accueillante alors que la main fine et plus douce que de la soie de Kurumu s'empara de son membre a la base pour commencer a la masturber.
Qu'est ce qui c'est passé dans sa tete? Il n'en sait rien, mais cette douceur, cette chaleur retrouvé lui fit perdre ses moyens et c'est un jet puissant qui récompensa les efforts de la neko. Loin de s'excuser, le loup détendit completement ses muscles alors que celui qui lui servait a combler sa compagne était encore bien tendu dans la bouche de l'esclave, avec un mélange de salive et de sperme l'entourant. Devait elle prendre ca comme un compliment sur ses talents passioné? Peut etre.
J'ai envie d'etre en toi ma chérie, viens.
Ceci dit, il appuyait bien sur ce qu'elle avait fait mine de ne pas entendre, cette fois, il la verrait rougir, il graverait son image dans la tete pour ne jamais oublier la beauté d'une vierge, vierge d'amour et de délicatesse. Chose qu'il n'avait pas dépensé depuis 25 ans et dont il regorgeait a l'heure actuelle.
Couché sur le lit, le chef de la police soupirer en sentant la douceur de sa langue explorer sa hampe avec une pointe d'envie, ca devait etre dur pour elle de faire ca, il le savait, cette enfant avait été violé pendant les dernieres années de sa vie et la fellation forcé est un incontournable du viol. Mais visiblement, vue qu'elle fermait legerement les yeux, la neko prenait plaisir a aiguiser la chair de son maitre. Il le lui rendait bien en passant sa lourde main dans ses cheveux et soupirant par des respirations haché en signe d'aprobation. C'est alors qu'elle prit clairement confiance, portant les douces petites levres qui avaient encore tant de mal a embrasser son maitre sur le gland de ce dernier, le sucotant avant de faire de petits mouvements de tete, la langue passant avec délice autour de sa chair emprisoné dans cette antre humide et accueillante alors que la main fine et plus douce que de la soie de Kurumu s'empara de son membre a la base pour commencer a la masturber.
Qu'est ce qui c'est passé dans sa tete? Il n'en sait rien, mais cette douceur, cette chaleur retrouvé lui fit perdre ses moyens et c'est un jet puissant qui récompensa les efforts de la neko. Loin de s'excuser, le loup détendit completement ses muscles alors que celui qui lui servait a combler sa compagne était encore bien tendu dans la bouche de l'esclave, avec un mélange de salive et de sperme l'entourant. Devait elle prendre ca comme un compliment sur ses talents passioné? Peut etre.
J'ai envie d'etre en toi ma chérie, viens.
Ceci dit, il appuyait bien sur ce qu'elle avait fait mine de ne pas entendre, cette fois, il la verrait rougir, il graverait son image dans la tete pour ne jamais oublier la beauté d'une vierge, vierge d'amour et de délicatesse. Chose qu'il n'avait pas dépensé depuis 25 ans et dont il regorgeait a l'heure actuelle.
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Renji se laissait faire en soupirant doucement de plaisir sous ses caresses, elle était ravie de réussir à lui faire plaisir et ne trouvait pas ca si désagréable. C'était peut être un peu ca l'amour, vouloir faire plaisir à l'autre qui sais. Le seul amour qu'elle est connu c'est l'amour maternel mais jamais elle n'a connu l'amour d'un homme, elle avait donc un peu de mal à comprendre les émotions qu'elle ressentait, et puis on lui avait tellement menti et elle même avait du tant de fois simuler des sentiments qu'elle ne ressentait pas que pour le moment elle était un peu perdu.
Avec le temps elle reprendra confiance mais pour le moment qu'on puisse l'aimer elle une simple esclave cela la dépassait un peu, c'est aussi pour ca qu'elle n'avait pas voulu entendre les mots de Renji. Enfin pour le moment elle se concentrait sur ce qu'elle faisait pour le faire du mieux possible et elle du bien s'y prendre car alors qu'elle ne s'y attendait pas elle sentie un puissant jet de sperme se déverser dans sa bouche, elle l'acceuillit avec une légère grimace, ca par contre amour ou pas le gout était toujours horrible.
Renji lui par contre ne sembla pas du tout gêné, elle lui lanca un léger regard de repproche, elle n'avait pas aimé et elle était sur qu'il préférait le savoir plutôt qu'elle ne lui mente. Par contre cela ne l'avait pas refroidie et elle lui grimpa dessus. Jusqu'a maintenant ses initiatives avaient l'air de lui plaire donc autant continuer, c'est sur que quelqu'un serrait entré dans la pièce il aurait pu se demander qui était le maitre et qui était l'esclave. Elle sourit et rougit un peu quand il l'apella chérie elle avait souvent entendu se mot mais jamais prononcé de cette manière. Elle placa son sexe au dessus de sien et se baissa légèrement pour le faire entrer, petit à petit elle reprenait gout au sexe, elle avait l'impression d'etre vierge et de tout découvrir.
Avec le temps elle reprendra confiance mais pour le moment qu'on puisse l'aimer elle une simple esclave cela la dépassait un peu, c'est aussi pour ca qu'elle n'avait pas voulu entendre les mots de Renji. Enfin pour le moment elle se concentrait sur ce qu'elle faisait pour le faire du mieux possible et elle du bien s'y prendre car alors qu'elle ne s'y attendait pas elle sentie un puissant jet de sperme se déverser dans sa bouche, elle l'acceuillit avec une légère grimace, ca par contre amour ou pas le gout était toujours horrible.
Renji lui par contre ne sembla pas du tout gêné, elle lui lanca un léger regard de repproche, elle n'avait pas aimé et elle était sur qu'il préférait le savoir plutôt qu'elle ne lui mente. Par contre cela ne l'avait pas refroidie et elle lui grimpa dessus. Jusqu'a maintenant ses initiatives avaient l'air de lui plaire donc autant continuer, c'est sur que quelqu'un serrait entré dans la pièce il aurait pu se demander qui était le maitre et qui était l'esclave. Elle sourit et rougit un peu quand il l'apella chérie elle avait souvent entendu se mot mais jamais prononcé de cette manière. Elle placa son sexe au dessus de sien et se baissa légèrement pour le faire entrer, petit à petit elle reprenait gout au sexe, elle avait l'impression d'etre vierge et de tout découvrir.
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Elle n'avait pas aprécié le sperme dans sa bouche, mais pour Renji c'était une sorte de maniere de lui montrait que lui avait adoré ce qu'elle lui avait fait, un peut dégradante il est vrai, mais c'était un fait établi. Mais ca, elle ne le comprit pas de suite, lui glissant un regard empli de reproche et d'incomprehention. Apres une petite attente, la jeune neko se redressa, grimpa avec envie sur son maitre avant de s'assoir sur son membre, elle semblait assuré, mais les rougeurs sur ses joues étaient due non pas a la sensation de la hampe de son amant sur son intimité mais au mot chérie qu'il avait employé pour l'appelé, mais pas comme les clients qu'elle avait eut qui employé des "ma chérie" comme ils pourraient dire "ma putain", non, il avait dit ca sur un ton profondément doux, encore un peut froid et neutre, mais il y avait dans la voix du Kaijuu une grande douceur.
Doucelent se pencher pour faire entrer le membre de son maitre en elle, Kurumu semblait apprecier cet acte, elle qui lui avait dit avoir passé les 7 dernieres années a servir son maitre en se faisant violer par le premier invité venu. Visiblement, la térapie marchait, Kurumu perdait de sa timidité et de sa peur et prenait gout a la doucuer du sexe quand il y a des sentiments. Il la laissa faire, entrant au plus profond de son intimité qui était des plus excité, il n'avait pourtant rien fait pour la mettre dans cet état. Le simple fait de satisfaire Renji l'avait elle excité au point qu'elle ne soit plus qu'humidité? Peut etre. Lorsqu'elle arriva au plus profond d'elle meme, le loup laissa un gémissement trahir son plaisir que de sentir les levres intimes de sa compagne aspirer son membre et ses parois le comprimer.
Tu es si belle quand tu rougie Kurumu, on dirait une reine.
Quand elle se pensait vierge, dans un sens ce n'était pas faux, elle l'était toujours, dans le domaine du plaisir elle n'était pas plus haut qu'une pucelle, elle n'avait connu qu'une fois du sexe doux et cette fois, c'était dans le burreau de son maitre quelques minutes plus tot. Maintenant, elle voulait en avoir encore. Lentement, il remonta pour l'embrasser et attirer son corps contre le sien avant de la laisser bouger son bassin d'elle meme, elle était dominante dans cette position, alors pourquoi ne pas profiter de sa position pour se faire plaisir quand elle voulait et comme elle le voulait? Une main sur la fesse descendit sur l'anneau de velour avant de le caresser tendrement.
Mon coeur, quand tu sera prete, j'aimerais passer par là, je ne te ferais pas mal, si tu es prete, tu ne sentira que du plaisir, mais si tu ne veux pas, dis le, je ne ferais rien pour te contredire mon amour. Embrasse moi...
s'abandonnant sur le lit, il était completement soumis a son esclave, elle avait tout les droits, c'était plus son esclave, c'était sa compagne, sa maitresse, sa kurumu, dans ce lit il n'y avait qu'eux deux, elle, lui, eux, rien d'autre.
Je t'aime Kurumu... j'ai envie d'aimer a nouveau, de t'aimer toi, tu le mérite, mais je ne sais pas si je te merite toi...
Doucelent se pencher pour faire entrer le membre de son maitre en elle, Kurumu semblait apprecier cet acte, elle qui lui avait dit avoir passé les 7 dernieres années a servir son maitre en se faisant violer par le premier invité venu. Visiblement, la térapie marchait, Kurumu perdait de sa timidité et de sa peur et prenait gout a la doucuer du sexe quand il y a des sentiments. Il la laissa faire, entrant au plus profond de son intimité qui était des plus excité, il n'avait pourtant rien fait pour la mettre dans cet état. Le simple fait de satisfaire Renji l'avait elle excité au point qu'elle ne soit plus qu'humidité? Peut etre. Lorsqu'elle arriva au plus profond d'elle meme, le loup laissa un gémissement trahir son plaisir que de sentir les levres intimes de sa compagne aspirer son membre et ses parois le comprimer.
Tu es si belle quand tu rougie Kurumu, on dirait une reine.
Quand elle se pensait vierge, dans un sens ce n'était pas faux, elle l'était toujours, dans le domaine du plaisir elle n'était pas plus haut qu'une pucelle, elle n'avait connu qu'une fois du sexe doux et cette fois, c'était dans le burreau de son maitre quelques minutes plus tot. Maintenant, elle voulait en avoir encore. Lentement, il remonta pour l'embrasser et attirer son corps contre le sien avant de la laisser bouger son bassin d'elle meme, elle était dominante dans cette position, alors pourquoi ne pas profiter de sa position pour se faire plaisir quand elle voulait et comme elle le voulait? Une main sur la fesse descendit sur l'anneau de velour avant de le caresser tendrement.
Mon coeur, quand tu sera prete, j'aimerais passer par là, je ne te ferais pas mal, si tu es prete, tu ne sentira que du plaisir, mais si tu ne veux pas, dis le, je ne ferais rien pour te contredire mon amour. Embrasse moi...
s'abandonnant sur le lit, il était completement soumis a son esclave, elle avait tout les droits, c'était plus son esclave, c'était sa compagne, sa maitresse, sa kurumu, dans ce lit il n'y avait qu'eux deux, elle, lui, eux, rien d'autre.
Je t'aime Kurumu... j'ai envie d'aimer a nouveau, de t'aimer toi, tu le mérite, mais je ne sais pas si je te merite toi...
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Malgré sa douceur dans sa voix et ses gestes Renji restait froid au fond de lui mais elle commencais à comprendre qu'elle ne devait pas s'arreter à ça, il était rester seul pendant de nombreuses années et il n'allait pas se montrer chaleureux en quelques heures même si par moment cette froideur pouvait être vexante, comme au moment ou elle l'avait embrassé en entrant dans la chambre et qu'il n'avait pas réagi. En tout cas comme elle l'avait supposée son initiative ne le dérangeas pas, il l'accueillit sur lui avec un gémissement de plaisir quand son membre entra au plus profond d'elle. Pour elle aussi c'était une sensation très agréable sentir se membre entrer en elle, la remplir, frotter contre les parois humide de son sexe. Elle avait fermé les yeux tandis qu'il s'enfoncait en elle et elle lacha à son tour un léger gémissement.
Il l'attira contre lui pour un tendre baiser qu'elle lui donna avec plaisir sa langue se glissanrt dans sa bouche pour allre chercher la sienne et jouer avec, tandis qu'une de ses mains se perdait dans sa chevelure blanche. A cet instant elle se sentait parfaitement bien. Il glissa sa main sur ses fesses avant de caresser son anneau de velour et il dut la sentir se contracter légèrement, un pur réflexe, il voulait aussi passer par là mais c'était par là qu'elle avait ses plus mauvais souvenirs.
"Peut être plus tard mon chéri mais pour le moment je n'en ai pas envie j'ai encore trop de souvenirs douloureux par rapport à ça"
Elle n'excluait pas l'idée mais pas tout de suite, elle avait beaucoup souffert à cause de ça, elle avait déjà découvert de nombreuses choses qu'elle aimait avec lui alors qu'elle avait tant détesté avec les autres, mais cela serait surement la chose qu'il aurait le plus de mal à obtenir, il lui faudrait de la patience mais elle savait qu'il comprendrais ca. Il enleva sa main et elle se détendit de nouveau. Encore préoccupé par sa demande elle ne s'était pas rendu compte qu'elle avait employé le mot "chéri" pour lui répondre, comme si ce mot c'était naturellement imposé à alle. Le loup s'en était-il rendu compte ? En tout cas il l'attira contre lui pour un nouveau baiser.
"Je t'aime Kurumu" ces trois mots à eux seuls la pétrifièrent, non pas de peur mais de stupeur, son coeur rata un battement avant de s'emballer, il lui avait dit je t'aime. Alors tout à l'heure elle n'avait pas mal entendu il le lui avait vraiment dit mais que devait-elle répondre ? Ses lèvres bougèrent comme si elle s'appretait à dire quelque chose mais elle referma la bouche. Elle ne savait pas quoi lui dire, l'amour, un sentiment tellement inconnu pour elle. En tout cas si son "ma chérie" de tout à l'heure l'avait fait un peu rougir là elle était rouge tomate. Elle ne savait toujours pas quoi lui répondre et elle ne voulait surtout pas le vexer car elle ressentait elle aussi quelque chose même si elle n'arrivait pas vraiment à identifier ce sentiment qu'elle n'avait jamais connu, elle choisie donc une autre option et se penchant vers lui elle lui glissa le baiser le plus tendre et le plus passionner qu'elle ne lui ai jamais donné. C'était sa facon de lui faire comprendre qu'elle ressentait aussi quelque chose même si elle n'était pas prête à le lui dire.
"Je ne voit pas pourquoi tu ne me mériterais pas ?"
On lui avait tellement rabaché qu'elle n'était qu'une esclave parfaitement remplacable et qu'elle n'avait aucune valeur qu'elle n'arrivait pas à comprendre ses paroles. Elle se redressa ensuite, le regardant tendrement elle lui souriait un peu gêné, elle en aurait presque oublié leur position. Elle se pencha légèrement en avant prenant appuis sur ses bras et se souleva légèrement avant de redescendre, elle sentit le sexe de Renji frotter à ses parois intimes lui procurant une sensation de chaleur incroyable. Elle lacha un gémissement et recommenca, elle faisait bouger son bassin à un rythme lent elle accélérerais plus tard mais pour le moment elle voulait le sentir en elle. Elle se redressait au maximum faisant pratiquement sortir son sexe de son vagin avant de le replonger à l'intérieur le faisant entrer au maximum.
Elle avait fermé les yeux, sa bouche était légèrement entre-ouverte et sa respiration s'était accélérée, elle sentait le plaisir monter, elle n'y résista pas et accéléra la cadence, elle se soulevait à un rythme plus soutenue lachant des cris à chaque va et vient, elle aimait ça. Son bassin bougeait maintenant à un rythme rapide, elle prenait du plaisir et à en croire les réaction du loup le plaisir était partagé.
Il l'attira contre lui pour un tendre baiser qu'elle lui donna avec plaisir sa langue se glissanrt dans sa bouche pour allre chercher la sienne et jouer avec, tandis qu'une de ses mains se perdait dans sa chevelure blanche. A cet instant elle se sentait parfaitement bien. Il glissa sa main sur ses fesses avant de caresser son anneau de velour et il dut la sentir se contracter légèrement, un pur réflexe, il voulait aussi passer par là mais c'était par là qu'elle avait ses plus mauvais souvenirs.
"Peut être plus tard mon chéri mais pour le moment je n'en ai pas envie j'ai encore trop de souvenirs douloureux par rapport à ça"
Elle n'excluait pas l'idée mais pas tout de suite, elle avait beaucoup souffert à cause de ça, elle avait déjà découvert de nombreuses choses qu'elle aimait avec lui alors qu'elle avait tant détesté avec les autres, mais cela serait surement la chose qu'il aurait le plus de mal à obtenir, il lui faudrait de la patience mais elle savait qu'il comprendrais ca. Il enleva sa main et elle se détendit de nouveau. Encore préoccupé par sa demande elle ne s'était pas rendu compte qu'elle avait employé le mot "chéri" pour lui répondre, comme si ce mot c'était naturellement imposé à alle. Le loup s'en était-il rendu compte ? En tout cas il l'attira contre lui pour un nouveau baiser.
"Je t'aime Kurumu" ces trois mots à eux seuls la pétrifièrent, non pas de peur mais de stupeur, son coeur rata un battement avant de s'emballer, il lui avait dit je t'aime. Alors tout à l'heure elle n'avait pas mal entendu il le lui avait vraiment dit mais que devait-elle répondre ? Ses lèvres bougèrent comme si elle s'appretait à dire quelque chose mais elle referma la bouche. Elle ne savait pas quoi lui dire, l'amour, un sentiment tellement inconnu pour elle. En tout cas si son "ma chérie" de tout à l'heure l'avait fait un peu rougir là elle était rouge tomate. Elle ne savait toujours pas quoi lui répondre et elle ne voulait surtout pas le vexer car elle ressentait elle aussi quelque chose même si elle n'arrivait pas vraiment à identifier ce sentiment qu'elle n'avait jamais connu, elle choisie donc une autre option et se penchant vers lui elle lui glissa le baiser le plus tendre et le plus passionner qu'elle ne lui ai jamais donné. C'était sa facon de lui faire comprendre qu'elle ressentait aussi quelque chose même si elle n'était pas prête à le lui dire.
"Je ne voit pas pourquoi tu ne me mériterais pas ?"
On lui avait tellement rabaché qu'elle n'était qu'une esclave parfaitement remplacable et qu'elle n'avait aucune valeur qu'elle n'arrivait pas à comprendre ses paroles. Elle se redressa ensuite, le regardant tendrement elle lui souriait un peu gêné, elle en aurait presque oublié leur position. Elle se pencha légèrement en avant prenant appuis sur ses bras et se souleva légèrement avant de redescendre, elle sentit le sexe de Renji frotter à ses parois intimes lui procurant une sensation de chaleur incroyable. Elle lacha un gémissement et recommenca, elle faisait bouger son bassin à un rythme lent elle accélérerais plus tard mais pour le moment elle voulait le sentir en elle. Elle se redressait au maximum faisant pratiquement sortir son sexe de son vagin avant de le replonger à l'intérieur le faisant entrer au maximum.
Elle avait fermé les yeux, sa bouche était légèrement entre-ouverte et sa respiration s'était accélérée, elle sentait le plaisir monter, elle n'y résista pas et accéléra la cadence, elle se soulevait à un rythme plus soutenue lachant des cris à chaque va et vient, elle aimait ça. Son bassin bougeait maintenant à un rythme rapide, elle prenait du plaisir et à en croire les réaction du loup le plaisir était partagé.
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Kurumu était si belle quand elle se voyait femme plutot qu'esclave dans les mains de son vieux maitre. Il la regarda avec la plus grande douceur s'empaler en soupirant et gémissant tendrement de plaisir sur sa hampe, il la guerissait petit a petit, bientot elle aura tourné completement la page sur son passé violent et douloureux, mais son refus lorsqu'elle contracta ses fesses a cause de sa caresse douce le fit redescendre sur terre, ses fantomes du passé n'étaient pas encore passé, il restait toujours sa souffrance passé. Les viols par ce passage la sont particulierement douloureux, Renji le savait pertinament et elle n'avait pas a lui donner de justification. Meme si elle lui dit clairement qu'elle n'était pas contre cette pratique avec lui, mais il lui faudra du temps avant d'oser et d'aimer.
Comprenant parfaitement les sensations de son esclave, le vieux maitre laissa en paix ce tourment de souvenir en lui déclarant clairement qu'il l'aimait. Elle rougissait encore plus en devenant pivoine, il l'aimait et n'avait pas peur d'affirmer que c'était un fait aquis, de plus, la voir rougir lui donnait encore plus envie de la dévorer, elle était si belle et si douce... Il se sentait lentement revivre, se rajeunir a chaque seconde qu'ils passaient tout les deux. Le corps nu et parfait de la jeune neko et celui couvert d'estafilade de son vieux loup de maitre, c'était si étrange, tout les opposait, mais il ne savait pas pourquoi, elle était comme elle, c'était une sorte de retour dans le passé, elle avait les memes manieres qu'Alina, rougissait pareil et comme elle elle était une esclave.
Pour seule réponse a sa déclaration, la jeune femme lui donna la plus belle et la plus profonde embrassade qu'elle avait dans son esprit, il sentit alors cette passion dans son corps, cette envie enivrante et ce bien etre que lui donnait Kurumu dans ce oui silencieux. Lentement, elle commenca a bouger, couché sur son maitre, ses mouvements étaient des plus prodigieux, arrachant un gémissement de plaisir au kaijuu qui sentait le corps de sa neko se serrer contre le membre tendu en elle, elle le ressortait presque entierement avant de le remettre dans son antre, plongeant sa chair au plus profond d'elle meme dans un soupir exquis et plein de passion pour son maitre. Elle l'aimait, elle ne le savait pas, elle n'avait jamais connu ca, mais vue sa maniere de faire et de parler, cette conclusion crevait les yeux de son maitre et amant.
Humm c'est si bon mon amour... tu es parfaite.
Elle accelera soudains ses mouvements, le souffle cour de toutes ses émotions et de cette pratique dure qu'elle s'infligeait en se redressant soudain. Ses coups de bassins sur celui de son maitre étaient plus fort et bien plus rapide, la neko se pousserait elle au bout d'elle meme pour pouvoir jouir? Dans tout les cas, cette femme nouvelle plaisait a Renji, il aimait la voir si épanouie et rouge de plaisir. Pour lui montrer qu'il n'était pas indifférent, le vieux guerrier se redressa en prenant appui sur son coude avant de prendre le sein de sa compagne entre les levres, la forcant a se arquer pour qu'elle puisse profiter de son traitement vaginal et mammere.
Comprenant parfaitement les sensations de son esclave, le vieux maitre laissa en paix ce tourment de souvenir en lui déclarant clairement qu'il l'aimait. Elle rougissait encore plus en devenant pivoine, il l'aimait et n'avait pas peur d'affirmer que c'était un fait aquis, de plus, la voir rougir lui donnait encore plus envie de la dévorer, elle était si belle et si douce... Il se sentait lentement revivre, se rajeunir a chaque seconde qu'ils passaient tout les deux. Le corps nu et parfait de la jeune neko et celui couvert d'estafilade de son vieux loup de maitre, c'était si étrange, tout les opposait, mais il ne savait pas pourquoi, elle était comme elle, c'était une sorte de retour dans le passé, elle avait les memes manieres qu'Alina, rougissait pareil et comme elle elle était une esclave.
Pour seule réponse a sa déclaration, la jeune femme lui donna la plus belle et la plus profonde embrassade qu'elle avait dans son esprit, il sentit alors cette passion dans son corps, cette envie enivrante et ce bien etre que lui donnait Kurumu dans ce oui silencieux. Lentement, elle commenca a bouger, couché sur son maitre, ses mouvements étaient des plus prodigieux, arrachant un gémissement de plaisir au kaijuu qui sentait le corps de sa neko se serrer contre le membre tendu en elle, elle le ressortait presque entierement avant de le remettre dans son antre, plongeant sa chair au plus profond d'elle meme dans un soupir exquis et plein de passion pour son maitre. Elle l'aimait, elle ne le savait pas, elle n'avait jamais connu ca, mais vue sa maniere de faire et de parler, cette conclusion crevait les yeux de son maitre et amant.
Humm c'est si bon mon amour... tu es parfaite.
Elle accelera soudains ses mouvements, le souffle cour de toutes ses émotions et de cette pratique dure qu'elle s'infligeait en se redressant soudain. Ses coups de bassins sur celui de son maitre étaient plus fort et bien plus rapide, la neko se pousserait elle au bout d'elle meme pour pouvoir jouir? Dans tout les cas, cette femme nouvelle plaisait a Renji, il aimait la voir si épanouie et rouge de plaisir. Pour lui montrer qu'il n'était pas indifférent, le vieux guerrier se redressa en prenant appui sur son coude avant de prendre le sein de sa compagne entre les levres, la forcant a se arquer pour qu'elle puisse profiter de son traitement vaginal et mammere.
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Kurumu avait le souffle court, en cet instant elle était purement égoiste, elle cherchait son plaisir grace au sexe de Renji, le faisant coulisser en elle rapidemment, elle apprenait à quel point le sexe pouvait être bon quand il était pratiqué librement avec un homme doux. Mais l'amour ca se fait à deux et le vieux loup n'était pas un jouet sexuel, elle se pencha pour l'embrasser de nouveau, son plaisir comptait autant que le sien. Kurumu se soulevait à un rythme soutenue, lachant des gémissements de plaisir.
Renji se redressa venant s'occuper de sa poitrine, elle sentit la bouche du loup prendre un de ses tétons en bouche et l'aspirer tendrement, le sucant avec avidité ce qui eut pour effet de la faire gémir encore plus. Elle était en train de prendre du plaisir comme jamais, le redressement de Renji avait changer légèrement l'angle de pénétration et elle le ressentait encore mieux ainsi. Elle passa sa main dans les cheveux de Renji le retenant contre sa poitrine, une manière supplémentaire de lui montrer qu'elle aimait ça.
La jeune neko était rouge de plaisir, elle sentait des vagues de chaleur la submerger, bientôt elle ne tient plus, elle repoussa Renji sur le dos et se mit sur lui l'embrassant plus intensément que jamais tandis que son corps se crispait sous la jouissance, son cri fut étouffer par la bouche de Renji et le loup put la sentir se raidirent tandis que son sexe se faisant comprimer à l'intérieur de la jeune fille.
Kurumu mit fin au baiser posant sa tête contre l'épaule de Renji, sa respiration était encore rapide mais ralentissait petit à petit, elle resta collée contre le vieux loup se sentant trop bien comme ça pour bouger, sa bouche embrassa son épaule, puis son cou avant de venir mordiller le lobe de son oreille et de murmurer doucement.
"je t'aime"
Renji se redressa venant s'occuper de sa poitrine, elle sentit la bouche du loup prendre un de ses tétons en bouche et l'aspirer tendrement, le sucant avec avidité ce qui eut pour effet de la faire gémir encore plus. Elle était en train de prendre du plaisir comme jamais, le redressement de Renji avait changer légèrement l'angle de pénétration et elle le ressentait encore mieux ainsi. Elle passa sa main dans les cheveux de Renji le retenant contre sa poitrine, une manière supplémentaire de lui montrer qu'elle aimait ça.
La jeune neko était rouge de plaisir, elle sentait des vagues de chaleur la submerger, bientôt elle ne tient plus, elle repoussa Renji sur le dos et se mit sur lui l'embrassant plus intensément que jamais tandis que son corps se crispait sous la jouissance, son cri fut étouffer par la bouche de Renji et le loup put la sentir se raidirent tandis que son sexe se faisant comprimer à l'intérieur de la jeune fille.
Kurumu mit fin au baiser posant sa tête contre l'épaule de Renji, sa respiration était encore rapide mais ralentissait petit à petit, elle resta collée contre le vieux loup se sentant trop bien comme ça pour bouger, sa bouche embrassa son épaule, puis son cou avant de venir mordiller le lobe de son oreille et de murmurer doucement.
"je t'aime"
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La petite Kurumu prenait son plaisir égoistement, mais qui l'en blamera? Elle a tellement subis ce genre d'acte que ce ne peut que lui faire du bien de penser a elle, une fois au moins. Renji lui donnait de son coté autant de plaisir que s'en était possible, il lui sucait tendrement les seins alors qu'elle se donnait son propre rythme de va et viens, elle faisait l'amour, oui, elle ne se faisait ni baiser, ni violer, elle faisait un acte qu'elle voulait et elle y mettait tout son coeur pour réussir, c'était ca faire l'amour. Et puis, dans son égoisme, elle faisait du bien a son maitre, les va et viens qu'elle s'infligeaient étaient bon a sentir, il ne souffrait pas d'un délaissement de sa part, au contraire, c'est cette douceur et cette tendresse qui rendait l'acte encore plus doux et tendre. Elle appuya la tete de son amant contre sa poitrine pour lui montrer qu'elle aimait ca.
Alors qu'il lui posait une main dans le creux de ses reins pour accompagner ses gestes, elle le repoussa sur le lit, rouge et ivre de son plaisir avant d'étoufer sa jouissance dans un baiser tendre et empli d'une satisfaction nouvelle, son corps se crispa, ses muscles vaginaux se contracterent sur la hampe de son maitre, lui donnant une nouvelle source de plaisir, mais ne le faisant pas jouir, il se maudissait de ne pas lui offrir sa jouissance en cadeau pour cet effort qu'elle avait accomplie pour lui, mais c'était ainsi.
Sa tete sur son épaule, la jeune femme se remettait de ses émotions alors que la hampe de Renji restait toujours bien au chaud en elle, ses oreilles frétillaient encore de plaisir quand elle pris son souffle pour lui chuchoter en mordant son oreille un tendre je t'aime. A ces simples mot, le coeur de Renji loupa un battement, il était sur le cul, il ne comprenait pas vraiment, c'était leffet de sa jouissance qui lui faisait dire ca ou simplement son coeur qui parlait? Peut importe, cette remarque lui fit un bien fou. Il se retira du corps de sa splendide compagne et la poussa sur le coté avant de grimper sur elle et de lui embrasser le buste et la gorge
Je t'aime moi aussi mon ange. Tu es prete a y retourner?
Oui, malgré le fait que la petite neko ait connu une vrai jouissance de son propre chef avec son amant, elle n'avait pas réussi a faire jouir le vieux loup, ce dernier attendait patiement, jouant a faire frotter sa longue queue soyeuse sur les cuisses où la transpiration du plaisir exaurté perlait lentement alors que ses mains caressaient la peau douce de sa compagne.
Alors qu'il lui posait une main dans le creux de ses reins pour accompagner ses gestes, elle le repoussa sur le lit, rouge et ivre de son plaisir avant d'étoufer sa jouissance dans un baiser tendre et empli d'une satisfaction nouvelle, son corps se crispa, ses muscles vaginaux se contracterent sur la hampe de son maitre, lui donnant une nouvelle source de plaisir, mais ne le faisant pas jouir, il se maudissait de ne pas lui offrir sa jouissance en cadeau pour cet effort qu'elle avait accomplie pour lui, mais c'était ainsi.
Sa tete sur son épaule, la jeune femme se remettait de ses émotions alors que la hampe de Renji restait toujours bien au chaud en elle, ses oreilles frétillaient encore de plaisir quand elle pris son souffle pour lui chuchoter en mordant son oreille un tendre je t'aime. A ces simples mot, le coeur de Renji loupa un battement, il était sur le cul, il ne comprenait pas vraiment, c'était leffet de sa jouissance qui lui faisait dire ca ou simplement son coeur qui parlait? Peut importe, cette remarque lui fit un bien fou. Il se retira du corps de sa splendide compagne et la poussa sur le coté avant de grimper sur elle et de lui embrasser le buste et la gorge
Je t'aime moi aussi mon ange. Tu es prete a y retourner?
Oui, malgré le fait que la petite neko ait connu une vrai jouissance de son propre chef avec son amant, elle n'avait pas réussi a faire jouir le vieux loup, ce dernier attendait patiement, jouant a faire frotter sa longue queue soyeuse sur les cuisses où la transpiration du plaisir exaurté perlait lentement alors que ses mains caressaient la peau douce de sa compagne.
Invité
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Renji se retira d'elle et la fit basculer sur le lit pour inverser les roles, il se mit sur elle et commenca à lui embrasser le corps. Elle avait senti qu'il n'avait pas joui en même temps qu'elle et elle ne fut donc pas étonné qu'il lui propose de remettre ca. Décidemment son loup était increvable et il pourrait donner des lecons à bien des petits jeunes. Elle passa ses petits bras autour de lui et attira son visage pour l'embrasser encore une fois, elle sentait la queue de Renji lui caresser les cuisses et lui procurer d'incroyable et délicieux frissons, ses oreilles frétillaient doucement signe qu'elle aimait ca.
"Je veut bien recommencer"
Pour elle il était important que lui aussi prenne du plaisir, l'amour ca se fait à deux et pas égoistement. Elle glissait doucement ses mains dans son dos prenant garde à sa cicatrice elle ne voulait pas risquer de lui faire mal par inadvertence, elle descendit ses mains jusqu'a ses fesses, elle aimait beaucoup le corps de son amant, certe il était marqué par de nombreuse cicatrice mais il était aussi très puissant, musclé, elle se sentait en sécurité près de lui et cela lui faisait un bien fou. Elle se sentait protéger, avec lui personne ne lui ferait plus jamais de mal car le premier qui oserait la toucher passerait un très mauvais moment.
Elle eut un léger sourire en repensant à son arrivé au commisariat et à la facon dont Renji avait remit ses hommes à leur place quand il avait osé être désagréable envers elle. Après l'ancien maitre qu'elle avait eu une telle douceur lui faisait du bien
"C'est agréable d'être avec toi, tu es si gentil avec moi, j'ai de la chance"
[oui je sais c'est court désolé]
"Je veut bien recommencer"
Pour elle il était important que lui aussi prenne du plaisir, l'amour ca se fait à deux et pas égoistement. Elle glissait doucement ses mains dans son dos prenant garde à sa cicatrice elle ne voulait pas risquer de lui faire mal par inadvertence, elle descendit ses mains jusqu'a ses fesses, elle aimait beaucoup le corps de son amant, certe il était marqué par de nombreuse cicatrice mais il était aussi très puissant, musclé, elle se sentait en sécurité près de lui et cela lui faisait un bien fou. Elle se sentait protéger, avec lui personne ne lui ferait plus jamais de mal car le premier qui oserait la toucher passerait un très mauvais moment.
Elle eut un léger sourire en repensant à son arrivé au commisariat et à la facon dont Renji avait remit ses hommes à leur place quand il avait osé être désagréable envers elle. Après l'ancien maitre qu'elle avait eu une telle douceur lui faisait du bien
"C'est agréable d'être avec toi, tu es si gentil avec moi, j'ai de la chance"
[oui je sais c'est court désolé]
Invité
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Si belle et si jeune, pourtant, Kurumu se laissait aller a aimer un vieux shnoque comme Renji, il ne s'en plaignait pas du tout, au contraire, lui qui avait décidé de retenter l'expérience de l'amour avec une femme qui, comme lui, était meurtri dans son ame avait réussi son coup. Le kaijuu était amoureux d'elle, mais que faire? Pouvait il lui faire confiance au point de l'affranchir? Pouvait il lui donner sa propre chambre dans le quartier des inviter? La réponse est non, il ne lui donnera aucune chambre dans les quartiers des maitres, elle aura sa chambre a lui, ce sera sa femme, plus son esclave, apres leur petits jeux, il comptait bien la mener au temple pour jurer devant les 13 divinitées que ce n'était plus une esclave mais sa femme et que maintenant elle ne porterait plus jamais de collier.
Si on peut recommencer, je crois que je reconnais le chemin pour te retrouver.
Son sourire était léger, mais il était la, Renji était heureux de pouvoir enfin se lacher completement avec celle qu'il avait décidé de laisser entrer dans son coeur gelé par la mort de l'amour. Elle caressa alors son dos, évitant soigneusement sa plus ancienne et plus douloureuse, du moins moralement, blessure. Elle l'aimait et lui sourait avec tendresse alors que ses doigts découvraient son corps avec une grande avidité. Qui aurait cru que ces deux amants étaient en fait un maitre et son esclave. Esclave qu'il avait au départ pris juste pour taper un brin de causette. Mais bon, il n'allait pas se plaindre des sentiments réciproques qu'il s'échangeaient.
Je crois plutot que c'est moi qui ai de la chance de t'avoir, tu es si femme... Je ne veux pas te perdre...
Il était temps de continuer, lentement, le Kaijuu se présenta devant son intimité, se souvenant bien de la peur qu'il avait lu dans les yeux de sa compagne lors qu'il avait glissé la main sur son anneau de velour. Elle lui avait confié que peut etre, le temps aidant, il pourrait la prendre par cette voix tabou, mais pour le moment, il y avait trop de souffrence en elle. Lentement, il entra, enfoncant son membre tendu aussi profondement que possible en elle avant de s'arreter en buté dans un soupir de plaisir. Le loup embrassa son chaton dans le cou avant de lui retrirer son collier de cuir et de la regarder droit dans les yeux avec des émeraudes pétillante de désir et de passion
Tu m'avais manqué... ma femme.
Apres cette phrase, une main se saisie de la cuisse de la petite neko pour la placer contre ses reins alors que l'autre pétrissait sa poitrine avec tendresse. Quand a la bouche de l'amoureux, elle retrouvait rapidement la grotte accueillante de sa compagne qui abritait une langue qui lui manquait aussi un peut trop. Quand a sa hampe, elle entamait de lent coups de reins pour offrir du plaisir a sa compagne ainsi qu'a lui meme.
Si on peut recommencer, je crois que je reconnais le chemin pour te retrouver.
Son sourire était léger, mais il était la, Renji était heureux de pouvoir enfin se lacher completement avec celle qu'il avait décidé de laisser entrer dans son coeur gelé par la mort de l'amour. Elle caressa alors son dos, évitant soigneusement sa plus ancienne et plus douloureuse, du moins moralement, blessure. Elle l'aimait et lui sourait avec tendresse alors que ses doigts découvraient son corps avec une grande avidité. Qui aurait cru que ces deux amants étaient en fait un maitre et son esclave. Esclave qu'il avait au départ pris juste pour taper un brin de causette. Mais bon, il n'allait pas se plaindre des sentiments réciproques qu'il s'échangeaient.
Je crois plutot que c'est moi qui ai de la chance de t'avoir, tu es si femme... Je ne veux pas te perdre...
Il était temps de continuer, lentement, le Kaijuu se présenta devant son intimité, se souvenant bien de la peur qu'il avait lu dans les yeux de sa compagne lors qu'il avait glissé la main sur son anneau de velour. Elle lui avait confié que peut etre, le temps aidant, il pourrait la prendre par cette voix tabou, mais pour le moment, il y avait trop de souffrence en elle. Lentement, il entra, enfoncant son membre tendu aussi profondement que possible en elle avant de s'arreter en buté dans un soupir de plaisir. Le loup embrassa son chaton dans le cou avant de lui retrirer son collier de cuir et de la regarder droit dans les yeux avec des émeraudes pétillante de désir et de passion
Tu m'avais manqué... ma femme.
Apres cette phrase, une main se saisie de la cuisse de la petite neko pour la placer contre ses reins alors que l'autre pétrissait sa poitrine avec tendresse. Quand a la bouche de l'amoureux, elle retrouvait rapidement la grotte accueillante de sa compagne qui abritait une langue qui lui manquait aussi un peut trop. Quand a sa hampe, elle entamait de lent coups de reins pour offrir du plaisir a sa compagne ainsi qu'a lui meme.
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