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[Pardon, pardon, pardon pour le retard]
« Lundi …, Mardi …, Mercredi… »
Si le décompte des jours est juste, cela devrait faire une semaine et trois jours qu’elle est enfermée dans cette foutue cage … Et en plus son gardien n’est même pas gentil !
Le nombre de fois où de petites blagues de rien du tout avaient mis cette montagne de muscle hors d’elle.Mistuko jeta un œil à la grande horloge et soupira.
* Encore deux minutes et se sera la cata…*
Et oui… dans deux minutes, si elle n’avait trouvé une échappatoire, elle devrait Lui céder la place, cette idée ne l’enchantant pas, bien au contraire. Mais elle Lui avait promis hier :
« Laisses moi une heure, et si au bout d’une heure, je n’ai pas trouvé le moyen de nous sortir de là, alors tu auras quartiers libres »
Tels furent ses dires. La jeune femme regarda autours d’elle, quand soudain, la cloche sonna 10 heures. Elle sourit, il était temps pour elle de se retirer. Mais avant, yeux se posèrent sur son geôlier, un regard presque compatissant. Le « pauvre », Elle allait lui en faire voir des vertes et des pas mûres. Son regard devint vague… elle passa la main.
Ses yeux papillonnairent et un immense sourire éclaira son visage. L’adolescente s’étira, bailla, et embrassa la place d’un regard inquisiteur et amusé. Elle avait l’effervescence d’une fourmilière, classique pour un jour de marcher et parfait pour son « plan ». D’un regard, elle repéra son lourdaud de garde chiourme. Celui-ci terminait du cuvé son saké après la soirée (trop ?) arrosée de hier soir, affalé contre les barreaux de sa cage, il somnolait.
« Hé ! Gros blaireau !»
Mou sursaut, ce qu’elle disait n’étant qu’a moitié faux, il tourna la tête et lui lança un regard torve.
« Oui c’est à toi que je parle tonneau sur pattes ! Ben ça alors, je ne savais pas qu’on pouvait laisser des crasses telles que toi sur le bord du chemin… ou alors t’es tellement dèg’ que les éboueurs se sont tirés des qu’ils t’ont vus… »
Bingo ! Cette petite remarque acheva de le réveiller et de le rendre furax si c’étaient nécessaire. L’épave poussa un cri étranglé assez évocateur, se saisit un bâton, et entreprit de flanquer une rouste à cette petite péronnelle à travers les barreaux. Ou plutôt, il tenta … Premier coup : raté. Deuxième coup : raté. Troisième coup :
« Encore raté ! T’es bigleux ou se sont les effets seconds de ta cuvée ? »
Elle est hilare, il fulmine. Trop c’est trop ! Il ouvrit la porte de la cage… cette cage qui n’a que deux qualités : elle est spacieuse et sa porte est très large. Porte qu’il oublia de fermer. Le sang de Mitsuko ne fit pas un tour qu’elle était déjà dehors, bousculant au passage cet ivrogne resté coït et lui lança un :
« Chat ! C’est toi qui es ! »
Quand il tenta de la suivre il était trop tard, son agilité féline de voleuse l’avait déjà menée loin. Malheureusement notre petite vipère n’avait pas prévue qu’on se jetterait aussitôt à ses trousses. Trop occupée à regarder derrière elle, elle n’aperçu cet étrange personnage… et alla s’emplâtrer dedans. Littéralement propulsée en arrière, Mitsuko se retrouva sur les fesses, à dévisagée la cause de sa chute. Grand, longue chevelure neige, yeux verts et un je-ne-sais-quoi de mélancolique : classe !
« T’es Chat toi aussi ? »
A peine eu t’elle prononcé ces mots, ses assaillants étaient déjà sur elle…
« Lundi …, Mardi …, Mercredi… »
Si le décompte des jours est juste, cela devrait faire une semaine et trois jours qu’elle est enfermée dans cette foutue cage … Et en plus son gardien n’est même pas gentil !
Le nombre de fois où de petites blagues de rien du tout avaient mis cette montagne de muscle hors d’elle.Mistuko jeta un œil à la grande horloge et soupira.
* Encore deux minutes et se sera la cata…*
Et oui… dans deux minutes, si elle n’avait trouvé une échappatoire, elle devrait Lui céder la place, cette idée ne l’enchantant pas, bien au contraire. Mais elle Lui avait promis hier :
« Laisses moi une heure, et si au bout d’une heure, je n’ai pas trouvé le moyen de nous sortir de là, alors tu auras quartiers libres »
Tels furent ses dires. La jeune femme regarda autours d’elle, quand soudain, la cloche sonna 10 heures. Elle sourit, il était temps pour elle de se retirer. Mais avant, yeux se posèrent sur son geôlier, un regard presque compatissant. Le « pauvre », Elle allait lui en faire voir des vertes et des pas mûres. Son regard devint vague… elle passa la main.
Ses yeux papillonnairent et un immense sourire éclaira son visage. L’adolescente s’étira, bailla, et embrassa la place d’un regard inquisiteur et amusé. Elle avait l’effervescence d’une fourmilière, classique pour un jour de marcher et parfait pour son « plan ». D’un regard, elle repéra son lourdaud de garde chiourme. Celui-ci terminait du cuvé son saké après la soirée (trop ?) arrosée de hier soir, affalé contre les barreaux de sa cage, il somnolait.
« Hé ! Gros blaireau !»
Mou sursaut, ce qu’elle disait n’étant qu’a moitié faux, il tourna la tête et lui lança un regard torve.
« Oui c’est à toi que je parle tonneau sur pattes ! Ben ça alors, je ne savais pas qu’on pouvait laisser des crasses telles que toi sur le bord du chemin… ou alors t’es tellement dèg’ que les éboueurs se sont tirés des qu’ils t’ont vus… »
Bingo ! Cette petite remarque acheva de le réveiller et de le rendre furax si c’étaient nécessaire. L’épave poussa un cri étranglé assez évocateur, se saisit un bâton, et entreprit de flanquer une rouste à cette petite péronnelle à travers les barreaux. Ou plutôt, il tenta … Premier coup : raté. Deuxième coup : raté. Troisième coup :
« Encore raté ! T’es bigleux ou se sont les effets seconds de ta cuvée ? »
Elle est hilare, il fulmine. Trop c’est trop ! Il ouvrit la porte de la cage… cette cage qui n’a que deux qualités : elle est spacieuse et sa porte est très large. Porte qu’il oublia de fermer. Le sang de Mitsuko ne fit pas un tour qu’elle était déjà dehors, bousculant au passage cet ivrogne resté coït et lui lança un :
« Chat ! C’est toi qui es ! »
Quand il tenta de la suivre il était trop tard, son agilité féline de voleuse l’avait déjà menée loin. Malheureusement notre petite vipère n’avait pas prévue qu’on se jetterait aussitôt à ses trousses. Trop occupée à regarder derrière elle, elle n’aperçu cet étrange personnage… et alla s’emplâtrer dedans. Littéralement propulsée en arrière, Mitsuko se retrouva sur les fesses, à dévisagée la cause de sa chute. Grand, longue chevelure neige, yeux verts et un je-ne-sais-quoi de mélancolique : classe !
« T’es Chat toi aussi ? »
A peine eu t’elle prononcé ces mots, ses assaillants étaient déjà sur elle…
Invité
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Pour une fois qu'il faisait simplement son travail de policier, Renji se retrouve a inspecter les étales de tout les marchands de la grande place du marché, les contrebandiers sont de plus en plus opportuniste et ce n'est plus tolérable pour l'économie. C'est donc sur décret de la famille Yume que chaque étale de chaque partie du marché devait etre fouillé de font en comble. Ce matin d'été, la journée allait etre longue, tout les policiers present sur la place avaient fort a faire, mais aucun ne voulait aller dans la zone esclave humain a cause de la véritable contrebande, ici on tuait ceux qui avaient la langue trop avide et c'est donc Renji qui a eut droit a cette super corvée, ce matin la il avait revétu son habit traditionel, c'est a dire une armure noire imposante, une longue cape de laine noire et son épée se balancait a sa hanche au cliquetis de ses pas souples et assuré.
Les humains, immondes créatures ramené comme des rats par navires entiers, l'état se foutait bien de la gueule des dirigeants, au lieux d'envoyer des femmes belles et fertiles ou des hommes forts et capable de travailler aux champs ou aux usines, ils se déchargeaient de tous les rebus: les sdf, les criminels, les immigrants sans papiers... Tout ce qui génait le pays partait dans un bateau a destination de cette ile où ils seraient esclaves. Une puanteur émanait des sans abris malpropres et surtout du lieu mal entretenue, sentant le sang et les viceres séché. Oui, on ne jouait pas dans la dentelle avec les humains, celui qui mord la main qui le nourri, encore faut il qu'ils soient nourri, se retrouve pendu et évicéré dans l'heure avant d'etre découpé en morceaux et brulé. C'est une odeur de mort et de maladie qui accompagnait pas mal des esclaves envoyé par le gouvernement, donc, pour le kaijuu c'était simple de vérifier si ils venaient bien par le transport normal. Si ils étaient mal propres, sentaient pas la rose et avaient une dentission plutot précaire, c'était bon, ils étaient vendu en tribut. Par contre, les belles femmes, les hommes forts, les enfants bien portants... eux on pouvait se poser des questions. Bien sur ils venaient sans doute des terres, elevé en captivité par des propriétaires terriens qui n'avaient pas besoin d'un srcroi de main d'oeuvre et qui revendait ses esclaves.
Enfin, un travail long, ingrat et surtout d'une tristesse monumentale, pour tout dire, Renji se faisait une joie de voir les dernieres étales s'approcher. 3 contrebandiers arrété pour fraude a l'origine des esclaves, vendre 3 fois le prix un étranger en le faisant passer pour un résident de la cote, c'était vraiment rien, mais la loi est faite pour etre obéit. Enfin, l'un des derniers était une vieille connaissance de notre loup, il le connaissait autant qu'il aimait la bouteille.
Mais c'est curieux, il n'était pas en train de roupiller dans son étale en attendant qu'on demande une de ses esclaves, toutes tres belles, mais plus en train de courir lourdement, la pense encore imbibé d'alcool. Il avait encore fait échapé une esclave, courant dans le meli melo des étales, elle s'écrasa contre l'armure du policier en demandant si c'était le chat. Lentement, son regard tomba sur la jeune femme, il lui posa sa main ganté lourde de cuir et de metal, il baissa ses yeux vert sur elle avant d'affermir sa poigne pour l'empecher de fuir
Chat? tu veux que j'abrege tes souffrances?
Wowowo! Renji tue pas ce qui ne t'appartiens pas, t'oublie la loi, jusqu'a present c'est a moi que tu dois te réferer
Je sais Yosko, mais elle m'a traité de chat, je suis dans mon droit de lui trancher la gorge
bah achete la si tu veux, cette abruti s'est retrouvé ici en contrebande, ne me regarde pas comme ca, c'est elle qui est monté en contrebande sur le bateau et je l'ai trouvé au reveil dans les anexes de la cales...
Interessant, en plus elle a pas l'air mal portante, qui sait
bon en ami je te fais un prix...800?
Mouais, c'est plus qu'aceptable, c'est quoi son nom?
Heu...Mi...Mitsuki je crois
Parfais, Mitsuki je me nomme Renji, maintenant je serais ton maitre et ton employeur. Ne m'appele plus chat...
Sa voix était passé d'enjoué a froide quand il passait de son ami a son esclave, c'était comme cela qu'il vivait, il n'était chaleureux qu'avec ceux qu'il connaissait de longue date.
Les humains, immondes créatures ramené comme des rats par navires entiers, l'état se foutait bien de la gueule des dirigeants, au lieux d'envoyer des femmes belles et fertiles ou des hommes forts et capable de travailler aux champs ou aux usines, ils se déchargeaient de tous les rebus: les sdf, les criminels, les immigrants sans papiers... Tout ce qui génait le pays partait dans un bateau a destination de cette ile où ils seraient esclaves. Une puanteur émanait des sans abris malpropres et surtout du lieu mal entretenue, sentant le sang et les viceres séché. Oui, on ne jouait pas dans la dentelle avec les humains, celui qui mord la main qui le nourri, encore faut il qu'ils soient nourri, se retrouve pendu et évicéré dans l'heure avant d'etre découpé en morceaux et brulé. C'est une odeur de mort et de maladie qui accompagnait pas mal des esclaves envoyé par le gouvernement, donc, pour le kaijuu c'était simple de vérifier si ils venaient bien par le transport normal. Si ils étaient mal propres, sentaient pas la rose et avaient une dentission plutot précaire, c'était bon, ils étaient vendu en tribut. Par contre, les belles femmes, les hommes forts, les enfants bien portants... eux on pouvait se poser des questions. Bien sur ils venaient sans doute des terres, elevé en captivité par des propriétaires terriens qui n'avaient pas besoin d'un srcroi de main d'oeuvre et qui revendait ses esclaves.
Enfin, un travail long, ingrat et surtout d'une tristesse monumentale, pour tout dire, Renji se faisait une joie de voir les dernieres étales s'approcher. 3 contrebandiers arrété pour fraude a l'origine des esclaves, vendre 3 fois le prix un étranger en le faisant passer pour un résident de la cote, c'était vraiment rien, mais la loi est faite pour etre obéit. Enfin, l'un des derniers était une vieille connaissance de notre loup, il le connaissait autant qu'il aimait la bouteille.
Mais c'est curieux, il n'était pas en train de roupiller dans son étale en attendant qu'on demande une de ses esclaves, toutes tres belles, mais plus en train de courir lourdement, la pense encore imbibé d'alcool. Il avait encore fait échapé une esclave, courant dans le meli melo des étales, elle s'écrasa contre l'armure du policier en demandant si c'était le chat. Lentement, son regard tomba sur la jeune femme, il lui posa sa main ganté lourde de cuir et de metal, il baissa ses yeux vert sur elle avant d'affermir sa poigne pour l'empecher de fuir
Chat? tu veux que j'abrege tes souffrances?
Wowowo! Renji tue pas ce qui ne t'appartiens pas, t'oublie la loi, jusqu'a present c'est a moi que tu dois te réferer
Je sais Yosko, mais elle m'a traité de chat, je suis dans mon droit de lui trancher la gorge
bah achete la si tu veux, cette abruti s'est retrouvé ici en contrebande, ne me regarde pas comme ca, c'est elle qui est monté en contrebande sur le bateau et je l'ai trouvé au reveil dans les anexes de la cales...
Interessant, en plus elle a pas l'air mal portante, qui sait
bon en ami je te fais un prix...800?
Mouais, c'est plus qu'aceptable, c'est quoi son nom?
Heu...Mi...Mitsuki je crois
Parfais, Mitsuki je me nomme Renji, maintenant je serais ton maitre et ton employeur. Ne m'appele plus chat...
Sa voix était passé d'enjoué a froide quand il passait de son ami a son esclave, c'était comme cela qu'il vivait, il n'était chaleureux qu'avec ceux qu'il connaissait de longue date.
Invité
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*Pleine lune ? Qu’est ce qu’il nous chante cet abruti avec la pleine…*
Tilt
« Mitsuko ! Mon prénom c’est Mitsuko sale loque dépravée ! Non seulement tu bois du matin au soir, mais en plus ta mémoire est pire que ... Aïe !! »
A force de trop tirer sur la corde celle-ci finie par rompre. Excédé, le blaireau Yosko se jeta sur elle en explosant :
« Putain, chieuse de mes deux, vivement que je sois débarrassé de toi ! Tiens, passe-la-moi Renji ! Je vais lui mettre un collier dont tu me diras des nouvelles. Et t’en fait pas pour le prix, c’est cadeau ! »
Et sans même attendre la réponse, il embarqua tant bien que mal, l‘insolente harpie furibonde. Aidé d’un de ses employés, il réussit à lui passer cet accessoire injurieux. Le collier était quand même le plus cher de l’étale, et à raison. Un magnifique cuire noir de première qualité, large quatre centimètres, boucle, clous et anneau en argent. Et, bien entendu, tournés vers l’intérieur, les clous. Si bien que, lorsque cette brute sera, Mitsuko senti s’enfoncer dix pointes acérées dans son cou.
« Enflure !»
Le sang coulait lentement sur sa poitrine tandis que des larmes de souffrance naissaient aux coins de ses yeux. Mordant cruellement la main de son tortionnaire, elle escalada lestement une haute cage, afin de trouver refuge… Sur les épaules de ce « Grand-Père » en armure.
Je doute quant à la prudence de ce choix…
( désolé je n'étais pas très inspirée ^^)
Tilt
« Mitsuko ! Mon prénom c’est Mitsuko sale loque dépravée ! Non seulement tu bois du matin au soir, mais en plus ta mémoire est pire que ... Aïe !! »
A force de trop tirer sur la corde celle-ci finie par rompre. Excédé, le blaireau Yosko se jeta sur elle en explosant :
« Putain, chieuse de mes deux, vivement que je sois débarrassé de toi ! Tiens, passe-la-moi Renji ! Je vais lui mettre un collier dont tu me diras des nouvelles. Et t’en fait pas pour le prix, c’est cadeau ! »
Et sans même attendre la réponse, il embarqua tant bien que mal, l‘insolente harpie furibonde. Aidé d’un de ses employés, il réussit à lui passer cet accessoire injurieux. Le collier était quand même le plus cher de l’étale, et à raison. Un magnifique cuire noir de première qualité, large quatre centimètres, boucle, clous et anneau en argent. Et, bien entendu, tournés vers l’intérieur, les clous. Si bien que, lorsque cette brute sera, Mitsuko senti s’enfoncer dix pointes acérées dans son cou.
« Enflure !»
Le sang coulait lentement sur sa poitrine tandis que des larmes de souffrance naissaient aux coins de ses yeux. Mordant cruellement la main de son tortionnaire, elle escalada lestement une haute cage, afin de trouver refuge… Sur les épaules de ce « Grand-Père » en armure.
Je doute quant à la prudence de ce choix…
( désolé je n'étais pas très inspirée ^^)
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