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Après 7 ans de service auprès de son ancien maitre celui-ci s’était lassé de Kurumu et l’avait revendu à ce marchand d’esclave. Elle se retrouvait donc là, dans ce marché aux esclaves exposée comme un morceau de viande, écoutant le marchand venter ses mérite comme si elle était un objet, d’ailleurs pour beaucoup c’est ce qu’elle était, un objet. De temps à autre le marchand la forçait à se tourner, à se baisser pour que ses acheteurs potentiels puissent l’examiner sous toutes les coutures mais pour le moment aucun n’avaient voulu d’elle.
Le marchand l’avait forcé à revêtir un habit de soubrette, elle portait donc une robe noire bien trop courte qui laissait voir le bas de ses fesses et largement décolté en haut pour laisser apparaitre une bonne partie de sa poitrine. Le temps était couvert elle avait froid, elle s’était recroquevillée sur elle-même pour garder un peu de chaleur. Elle regarda à coté d’elle elle n’était pas la seule esclave à être vendue par ce marchand il y avait d’autre filles dont certaines n’étaient pas d’ici et ne comprenaient apparemment pas ce qui leur arrivait. Elle ressentie de la peine pour elles. Un claquement de fouet la sortie de ses pensées.
« Relève toi immédiatement, personne ne t’achètera si tu te caches »
Le marchand l’attrapas par le bras et l’attira sur le devant de son stand, Kurumu gardait la tête baissée elle se demandait sur quel genre de maitre elle allait tomber. Serais-ce un maitre bon comme le premier qu’elle avait eu ou bien un proxénète qui la forcerait à se prostituer comme le dernier ?
Elle restait donc là debout à attendre qu’on l’achète.
Le marchand l’avait forcé à revêtir un habit de soubrette, elle portait donc une robe noire bien trop courte qui laissait voir le bas de ses fesses et largement décolté en haut pour laisser apparaitre une bonne partie de sa poitrine. Le temps était couvert elle avait froid, elle s’était recroquevillée sur elle-même pour garder un peu de chaleur. Elle regarda à coté d’elle elle n’était pas la seule esclave à être vendue par ce marchand il y avait d’autre filles dont certaines n’étaient pas d’ici et ne comprenaient apparemment pas ce qui leur arrivait. Elle ressentie de la peine pour elles. Un claquement de fouet la sortie de ses pensées.
« Relève toi immédiatement, personne ne t’achètera si tu te caches »
Le marchand l’attrapas par le bras et l’attira sur le devant de son stand, Kurumu gardait la tête baissée elle se demandait sur quel genre de maitre elle allait tomber. Serais-ce un maitre bon comme le premier qu’elle avait eu ou bien un proxénète qui la forcerait à se prostituer comme le dernier ?
Elle restait donc là debout à attendre qu’on l’achète.
Invité
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Une nouvelle journée, une nouvelle errance dans les quartiers de la ville, Renji était comme a son habitude vétue de son armure de plaque d'acier, vestige de la guerre et bien utile dans certains cas, il n'avait aucun mal a se déplacer avec, si un humain portait cette plaque d'acier sur son corps il se romprait les os a son age, mais le demi loup était un vrai guerrier, on pouvait lire sa vie dans ses yeux verts glacé, ses cheveux blancs donnaient une impression de givre sur son visage halé et marqué par les blessures du passé. Ne vous méprenez pas, c'est un soldat, un soldat corrompu depuis sa déchéance au sein de sa famille, mais il a son sens de l'honneur tout de meme.
C'est en recherchant ce qu'il appelle une compagne, que notre Kaijuu avancait sans rencontrer d'encombre sur son chemin, l'air était froid et la pluie menacait d'innonder le marché, marché encore bien pourvu d'esclave a cette heure matinale. Le capuchon de laine sur la tete et le restant de la cape trainant derriere lui, Renji n'avait pas froid, mais son visage a moitié voilé et laissant passer son regard étincelant entre des cheveux volant au vent n'était pas rassurant du tout. L'épée qu'il portait a sa hanche rajoutait un cliqueti a ses pas, c'était une démarche impressionante, crainte de tout les marchands: entendre les pas de cet homme signifiait bien souvent la mort ou la fermeture de l'établissement.
En effet, le chef de la police ne se déplacait pas pour faire des rondes ou flaner, il n'a plus vraiment ce genre de chose en tete. Aujourd'hui, il est venu visiter les étales pour avoir une compagne, une personne qui pourrait egaier ses soirées. Evidemment son choix était en premier de prendre une humaine, mais les meiroo, ou les autres sous familles félines avaient un sens festif, c'est donc en suivant ce fil de pensé qu'il s'interessa aux neko et autres félins. Plusieurs étales défilerent, il ne s'arreta pas, soulageant les vendeurs, mais une fille lui tapa a l'oeil, elle sautillait sur place pour se réchauffer...Vraiment, aucune tenu de la part de ces vendeurs.
Toi! la femme en soubrette avec l'uniforme mal tailler...
Il pointa Kurumu du doigt sans la poindre gene, revelant son imposante armure au grand jour, recouvrant jusqu'a ses phalanges de plaques d'acier.
Tu va me la ceder, si tu refuse, je t'embarque pour maltraitence a bien publique, en plus, elle semble avoir été mordu par le fouet...
Le rat intérompi alors le loups en lui parlant d'une voix mielleuse
Messire, cet esclave m'appartient, je peux en disposer comme il me plait
Renji tomba sa cagoule et fit sortir sa gueule dans un craquement osseux et le souleva sans mal d'une poigne de fer
Ne te fie pas a mes cheveux, t'es vivant parce que je n'ai pas envie de m'occuper de toutes tes esclaves! Tu a interet a me la ceder, ainsi que ton fouet si tu ne veux pas que je te passe par le fil de mon épée.
Devant un tel prédatuer, le rat ne pouvait rien argumenter, Renji était toujours en position de force et il le savait, si un Ainoko, libre ou pas, se dressait face a lui, son chatiment serait le démembrement. Ne jamais enerver la bete qui dors, c'est connu, et c'est ce que ce vendeur a fait. Il détacha Kurumu et la poussa avec une certaine violence dans les bras de son proprietaire en lancant un bon débars qui lui valu une décharge electrique le tétanisant sur place.
Une fois l'esclave en sa possetion, son maitre dégrapha sa cape de laine et la lui lanca au visage
Enfile ca, il fait suffisament froid pour tuer un etre faible de corps et suis moi.
Sans ajouter un mot, il se dirigea vers la partie du marché qui ne traitait pas d'exclave en se faisant suivre par la jeune femme, elle dut comprendre que ce qui était arrivé au rat ne serait pas different pour elle si elle refusait de le suivre. Le vieil homme se retourna vers elle, un visage marqué par les batailles et lui planta les yeux emeraudes glacé dans les siens, le vent laissant ses cheveux lui foueter le visage
Quel est ton nom?
Invité
Invité
Kurumu était toujours dans le froid, elle bougeait sur place pour essayer de se réchauffer mais sans grand succès. Pour le moment personne n’avait voulu d’elle, elle regarda le marchand d’un air inquiet, elle savait qu’il détestait garder longtemps la même « marchandise » il lui avait assez bien fait comprendre.
Toi! la femme en soubrette avec l'uniforme mal tailler tu va me la ceder, si tu refuse, je t'embarque pour maltraitence a bien publique, en plus, elle semble avoir été mordu par le fouet...
Ce fut cette voie qui lui fit relever la tête, un homme était arrivé devant le stand et la pointait du doigt, tout en lui imposait la crainte et le respect, son intervention n’était d’ailleurs pas une demande mais plutôt un ordre. Elle vit le marchand pâlir bien qu’il essaya de garder une certaine contenance, mais l’homme lui fit vite comprendre lequel des deux commandait. Le marchand détacha Kurumu la traitant sans douceur, il la poussa en bas du stand dans les bras de son nouveau maitre. La jeune femme se redressa immédiatement et baissa la tête, tomber sur son maitre était une chose à éviter.
Il dégrafa sa cape et la lui envoya, lui ordonnant de la mettre, voilà un ordre qu’elle était heureuse d’exécuter. Elle s’enroula dans la cape chaude et se sentit immédiatement mieux, sans compter que cela la cachait aussi aux regards insistant de certains hommes.
Elle suivi son maitre comme celui-ci lui avait ordonné, elle voyait bien qu’elle n’était pas de taille contre lui et qu’il fallait mieux obéir. Il se retourna vers elle et la regarda dans les yeux, ce qui la fit frissonner, son regard était froid et dur elle se sentait vraiment mal à l’aise en sa présence mais elle allait devoir s’habituer.
Je m’appelle Kurumu Kurono maitre
Elle n’ajouta rien de plus il ne lui avait rien demandé d’autre et elle avait appris à se taire, elle se demandait quel genre de maitre il allait être avec elle et surtout ce qu’il l’obligerait à faire.
Toi! la femme en soubrette avec l'uniforme mal tailler tu va me la ceder, si tu refuse, je t'embarque pour maltraitence a bien publique, en plus, elle semble avoir été mordu par le fouet...
Ce fut cette voie qui lui fit relever la tête, un homme était arrivé devant le stand et la pointait du doigt, tout en lui imposait la crainte et le respect, son intervention n’était d’ailleurs pas une demande mais plutôt un ordre. Elle vit le marchand pâlir bien qu’il essaya de garder une certaine contenance, mais l’homme lui fit vite comprendre lequel des deux commandait. Le marchand détacha Kurumu la traitant sans douceur, il la poussa en bas du stand dans les bras de son nouveau maitre. La jeune femme se redressa immédiatement et baissa la tête, tomber sur son maitre était une chose à éviter.
Il dégrafa sa cape et la lui envoya, lui ordonnant de la mettre, voilà un ordre qu’elle était heureuse d’exécuter. Elle s’enroula dans la cape chaude et se sentit immédiatement mieux, sans compter que cela la cachait aussi aux regards insistant de certains hommes.
Elle suivi son maitre comme celui-ci lui avait ordonné, elle voyait bien qu’elle n’était pas de taille contre lui et qu’il fallait mieux obéir. Il se retourna vers elle et la regarda dans les yeux, ce qui la fit frissonner, son regard était froid et dur elle se sentait vraiment mal à l’aise en sa présence mais elle allait devoir s’habituer.
Je m’appelle Kurumu Kurono maitre
Elle n’ajouta rien de plus il ne lui avait rien demandé d’autre et elle avait appris à se taire, elle se demandait quel genre de maitre il allait être avec elle et surtout ce qu’il l’obligerait à faire.
Invité
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Elle suivait docilement, regardait un peut avec honte les yeux de son maitre. Pour une féline elle était étrangement soumise a son maitre, c'est sans doute ce qui mis la puce a l'oreille du Kaijuu lorsqu'il la toisa de son regard glacial. Oui, elle avait appris la soumition extreme par la douleur, d'apres la vue plus que dégagé qu'offrait son uniforme, cette violence était plus mentale que physique. Mais qu'importe, il faudra guerrir ca, apres tout, elle lui appartient, mais il n'achette pas des morceaux d'esclaves, il prefere prendre la totalité, ou du moins en avoir une grande partie. Si elle a perdu quelque chose avant de se retrouver sur l'étale, autre que sa dignité, il s'arrangerais pour qu'elle le retrouve.
C'est vrai, pour une neko, elle n'était pas vraiment festive et bavarde, elle lui ressemblait énormement dans ses manieres, ne parlant que pour dire le nessaicaire, il allait devoir changer tout ca. Renji cherchait de la compagnie, une personne chaleureuse pouvant contraster avec son aura glaciale qui s'est tissé autour de son coeur au fil de la corruption et des années. Oui, il se sent seul, il ne veux que de la compagnie, son nom n'inspire que crainte et les gens, meme si ils respectent le grand guerrier qu'est le loup, ils l'évitent, de peur de se retrouver en mauvaise posture. Dans cette ville ou les affaires mafieuses sont a l'origine de l'esclavage et de la contrebande d'Asservi, il n'est pas vraiment bon de tisser des liens avec la police ou la famille Kaijuu.
Il lui releva la tete et la forca a croiser son regard, son visage inexpressif laissa passer un leger rictus, souvenir d'un sourire passé, sur ses levres et il lui dit, d'une voix froide mais sans aucun sentiment de violence ou de haine ou autre encore...
Tu ne m'as pas demander le mien, si on doit limiter nos discutions a un simple passe moi le sel s'il te plait kurumu
oui maitre
on est pas sorti....Avec moi tu as le droit a la parole, limite tu en a le devoir...Je suis vieux tu sais, je recherche un peut de compagnie agréable...
Il secoua mollement la queue, la présence de son manteau sur ses épaules était pour proteger cet organe tres sensible au froid comme au chaud, c'est une zone tres, pas chétive, érogene et en meme temps source de beaucoup de souffrance. Ce seul attribut visible de son appartenance a la race des loups était bien souvent voilé par la lourde laine de sa cape usé par les ans. Renji lui passa la main cailleuse sur la joue, elle avait la peau si douce, c'était comme toucher du satin, alors que la sienne était habitué a croisé le fer et avait laissé sa douceur pour une couche rapeuse et rugueuse de l'homme de travail.
Tu sais, je ne mord pas. Sauf si tu me cherche, mais a ce moment la c'est ta vie qui en tirera la conclusion funeste de ton erreur, tien enfile ca
Un collier, un simple cercle de cuir noir, aucun ajout technologique, son flair remplacé le gps et son habilité a l'épée au pistolet, fusil d'assaut et croc asséré pallié la décharge mortelle de courant.
Il tourna le dos a son aquisition sans la moindre attente, avanceant de son pas lourd et clinquant, son armure brillant au soleil froid de cette matinée, Renji avait confience, elle savait que si elle ne tentait rien de stupide elle serait bien traité, voire meme encouragé a devenir son égal. Mais c'est une rivalité qui vit entre les canidées et les felins, en général ils ne font pas bon ménage, surtout que peut de chat font parti de l'armée et des forces de sécurité, pourtant, agilité et dextérité sont deux de leurs caractéristiques de base.
Invité
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Son maitre lui fit relever la tête afin que leurs regards se croisent, il était froid mais aucune méchanceté n’émanait de lui. Il lui dit qu’avec lui elle avait le droit de parler qu’elle en avait même le devoir, elle qui avait apprit à se taire par la violence parce qu’elle parlait trop, voilà bien un ordre qu’elle allait avoir du mal à mettre en pratique immédiatement. On l’avait si souvent battu pour avoir osé parler sans y être invité.
Il lui passa la main sur sa joue, sa peau était rugueuse, surement du au maniement des armes. La peau de Kurumu par contre était douce la jeune fille n’avait jamais fait de travaux difficiles, son corps n’était pas abimé hormis la marque laissé par le fouet du marchand, son ancien maitre savait qu’en l’abimant il perdait sa source de revenue, maitre en torture en tout genre il savait très bien comment punir sans laisser de trace.
Tu sais, je ne mord pas. Sauf si tu me cherche, mais a ce moment la c'est ta vie qui en tirera la conclusion funeste de ton erreur, tien enfile ca
La jeune fille se contenta d’hocher la tête, pour le moment elle avait bien trop peur pour oser défier son maitre. Ce qui lui faisait le plus peur ce n’était pas vraiment lui c’était plutôt ce qu’il allait lui demander, quel genre de travaux l’attendais ?
Il lui tendit un collier de cuir noir, qu’elle mit là encore sans rien dire, le collier était assez simple, complètement différent de la laisse que lui imposait son ancien maitre.
L’homme se remit en marche et elle le suivi docilement, pour elle le fait qu’il soit un loup ne changeais rien, elle avait souvent été agressé par ceux de sa propre espèce et avait appris à ce méfier de tous quelque soit leur race.
Elle se demandait ou il l’emmenais mais elle n’osait pas poser de question de peur de l’énerver, le souvenir des coups qu’elle avait prit était encore trop présent pour qu’elle ose parler.
Il lui passa la main sur sa joue, sa peau était rugueuse, surement du au maniement des armes. La peau de Kurumu par contre était douce la jeune fille n’avait jamais fait de travaux difficiles, son corps n’était pas abimé hormis la marque laissé par le fouet du marchand, son ancien maitre savait qu’en l’abimant il perdait sa source de revenue, maitre en torture en tout genre il savait très bien comment punir sans laisser de trace.
Tu sais, je ne mord pas. Sauf si tu me cherche, mais a ce moment la c'est ta vie qui en tirera la conclusion funeste de ton erreur, tien enfile ca
La jeune fille se contenta d’hocher la tête, pour le moment elle avait bien trop peur pour oser défier son maitre. Ce qui lui faisait le plus peur ce n’était pas vraiment lui c’était plutôt ce qu’il allait lui demander, quel genre de travaux l’attendais ?
Il lui tendit un collier de cuir noir, qu’elle mit là encore sans rien dire, le collier était assez simple, complètement différent de la laisse que lui imposait son ancien maitre.
L’homme se remit en marche et elle le suivi docilement, pour elle le fait qu’il soit un loup ne changeais rien, elle avait souvent été agressé par ceux de sa propre espèce et avait appris à ce méfier de tous quelque soit leur race.
Elle se demandait ou il l’emmenais mais elle n’osait pas poser de question de peur de l’énerver, le souvenir des coups qu’elle avait prit était encore trop présent pour qu’elle ose parler.
Invité
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Marcus avancait, son dos était droit, il avait la cheveleure battue par les rafales de vent, si bien qu'elle ne vit pas qu'il observait son esclave du coin de l'oeil. Elle était des plus dociles, c'était assez bon qu'elle soit pas rebelle, elle avait l'air gentille comme femme, mais sa soummition était assez génante pour le loup, il voulait une femme de carractere qui pourrait tenir tete a son maitre, lui faire une conversation musclé sans avoir peur de devenir rouge de colere. Si elle savait a quel point elle l'attristait, lui qui pensait se retrouver avec une petite pipellette qui lui courerait sur le systeme, il était tombé sur une femme timide qui avait peur d'ouvrir ses levres.
Alors qu'ils étaient a la sortie du marché, Renji se mis a frissonner de froid, le clinquement de son armure l'indiquait clairement, il avait vraiment froid de voir sa queue exposé a ce vent glacial. Mais bon, il ne regardait pas sa petite faiblesse frileuse, ce n'était rien comparé au frisson de son esclave, elle était vraiment faiblement vétue, Kurumu était enmitouflé dans son manteau de laine et se couvrait presque entierement pour paraitre au chaud. En regardant comme ca, elle était une enfant, oui c'est ce qu'elle était pour lui, une gamine, mais elle ne sentait pas l'enfant, elle sentait la faiblesse et la souillure fraiche de l'homme.
Je comprend mieux maintenant....
Il parlait plus pour lui que pour elle, il comprenait pourquoi elle n'osait pas parler, comment son esprit avait été brisé, elle avait été violé, encore et encore jusqu'a ce qu'elle ne dise plus mot. C'était assez cruel et digne des hommes, oui Renji s'estimait pas un homme, mais un loup, les hommes le dégoutait au plus haut point, ils ne sont que faiblesse et honte, violant leurs femelles plutot que de les courtiser, c'est honteux de voir des ainokos se pervertir en s'humanisant. Soudain il s'arreta et entendi un bong dans son dos, Kurumu le suivait de pres, elle venait de le percuter sans s'en rendre compte, un autre vestige de sourire s'afficha sur ses traits. Il se retourna et la regarda droit dans les yeux en lui relevant le visage pour voir ses yeux une nouvelle fois
Tu devrais marcher a ma hauteur, ca t'éviterais de te taper sur mon dos
Il n'avait rien de mechant, il ne parlait que pour dire quelque chose d'utile, il ne parlait pas pour rien. C'est sa vie, il a toujours donné des ordres, ne disant que ce qu'il fallait et se passant des commentaires innutiles. Le Kaijuu se mis a sa hauteur et la guida vers le comissariat
(je te laisse poster dans mon bureau ^^)
Topic terminé
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