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Le marché aux esclaves… Le pire des lieux de Kyooraku no Machi, sur cette place, la vie des gens était monnayée comme de la vulgaire marchandise. Cela faisait maintenant plusieurs semaines que Kiba voyaient tous les jours les allées et venues des gens amenant et emportant humains et autres Ainokos asservis. Certains avaient à peine la force de se tenir debout et ce qui les attendait n’était souvent guère plus réjouissant.
Kiba était née sur une partie un peu plus isolé de l’île, au cœur de la forêt, son père l’avait éduqué loin de la ville. Il était l’un des rares Ainokos qui soient contre l’esclavage et pour l’égalité avec les humains. Il avait d’ailleurs recueillis quelques esclaves en fuite pour les protéger. Kiba avait grandi avec cette idée en tête et avait suivit une formation guerrière car les humains, principalement des japonais, n’avaient pas amenés que des esclaves et de la technologie avec eux, ils avaient également apportés d’autres choses comme les arts-martiaux, techniques de combat ancestrales accompagnés de certaines philosophies. Au fil du temps, il avait donc développé une sorte de code d’honneur assez proche de celui des samouraïs, coté suicidaire en moins. Kiba avait donc deux atouts en tant que guerrier : Premièrement, son patrimoine génétique. Il possédait en lui les gênes du Panthera Tigris Altaica, le Tigre de Sibérie, la plus grande des huit sous-espèces de tigres et l’un des plus puissants prédateurs terrestre au monde. Cela lui avait octroyé un physique puissant, il était un colosse de presque deux mètres pour quasiment 120 kilos de muscles purs. Il pouvait faire des prouesses physiques largement supérieures aux standards humains et même de la plupart des autres Ainokos, de plus sa vision est tel qu’il y voit aussi bien la nuit qu’en plein jour, couleurs comprises. Deuxièmement, son entrainement martial lui avait apprit à exploiter toute cette puissance et le rendait aussi dangereux à mains nues que tout un groupe de chasseurs armés jusqu’aux dents. Niveau force, il n’avait rien à envier aux Kaijuu.
Pourtant Kiba n’était pas du tout le genre violent, à la mort prématuré de son père, il reprit son devoir de protéger les esclaves en fuite et s’attela pendant un bon moment à rendre la vie dure aux chasseurs. Cependant, contrairement à toutes les rumeurs courant sur le « fauve d’émeraude », il n’avait jamais tué personne. Certes la quasi-totalité de ceux qu’il avait affrontés n’en étaient pas ressortis en très bon état et il ne faisait aucun doute que l’hôpital et même les guérisseurs de la famille Tenshi n’avaient pas dû manquer de travail. Mais son combat était voué à l’échec… Les chasseurs l’attirèrent dans un piège pour le séparer des esclaves qui choisirent se rendre pour ne pas rendre vain tout ce qui avait été fait par Kiba qui lui-même dut se résigner à son sort sous peine que ces protégés n’en pâtissent. Les esclaves avaient été rendus à leurs maîtres et Kiba fut condamné à devenir un Ainoko asservi. Le marchand qui l’avait récupéré pensait sans doute faire l’affaire du siècle, il s’était trompé, Kiba se révéla vite absolument invendable.
Un Ainoko à la responsabilité de ses esclaves or, personne ne semble être prêt à assumer d’avoir une telle force de la nature à son service. Les rumeurs déformées faisaient de lui un tueur sanguinaire, ce qui était bien sûr faux. Depuis des semaines, Kiba était enfermé dans une grande cage, toute la journée, il restait assis en tailleur, les bras croisé, gardant un visage impassible. La plupart de ceux qui le voyait s’attendaient à voir un fauve en cage hurlant et menaçant mais certainement pas cet être d’un calme dérangeant tel un chêne millénaire fermement enracinés. Pour les autres esclaves qui le voyaient, cette séreinité leur redonnait souvent confiance et force de vivre. La nuit, quand les lieux se vidaient, il faisait quelques exercices pour garder son corps en forme ou faisait passer discrètement sa nourriture aux esclaves les plus affaiblis. Il n’était pas difficile pour lui d’avoir du rabe, le marchand avait une peur bleue de lui et n’osait pas l’approcher. D’un simple regard, il pouvait l’intimider un peu pour qu’il lui donne un peu plus à manger, pensant ainsi le garder calme, manipulation psychologique de base. Une seule fois, il avait fait quelque chose en pleine journée, alors que des hommes maltraitaient une esclave très faible, il les avait regardé et avait poussé un puissant rugissement dont il avait le secret, résultat : le marché se vida à moitié en quatrième vitesse. Une chance ce jour-là que Yuki Ankoku, la maitresse du marché, ait été absente, sinon elle n’aurait guère apprécié. Tout le monde craignait les réactions de Kiba depuis mais il ne comptait rien faire. Certes il lui aurait été facile de s’évader et même de libérer pas mal d’esclaves des lieux mais ces actions auraient pu avoir pour conséquences de pousser beaucoup d’autres esclaves à se rebeller, ce qui se serait finit dans un bain de sang. Pour le moment, il fallait attendre, attendre que les choses bougent d’elle-même sur l’île.
Pour l’instant, il était condamné à attendre. Il était fort probable que, vu sa carrure, il se retrouve acheté pour faire des travaux physiques pénibles ou il pouvait aussi tomber sur une personne qui avait assez de jugeotes pour se rendre compte de ses capacités martiales et ainsi s’adjoindre les services d’un protecteur efficaces et dévoués. Il faisait donc aujourd’hui la même chose qu’il faisait depuis des semaines : attendre, tranquillement assis au milieu de sa grande cage…
Kiba était née sur une partie un peu plus isolé de l’île, au cœur de la forêt, son père l’avait éduqué loin de la ville. Il était l’un des rares Ainokos qui soient contre l’esclavage et pour l’égalité avec les humains. Il avait d’ailleurs recueillis quelques esclaves en fuite pour les protéger. Kiba avait grandi avec cette idée en tête et avait suivit une formation guerrière car les humains, principalement des japonais, n’avaient pas amenés que des esclaves et de la technologie avec eux, ils avaient également apportés d’autres choses comme les arts-martiaux, techniques de combat ancestrales accompagnés de certaines philosophies. Au fil du temps, il avait donc développé une sorte de code d’honneur assez proche de celui des samouraïs, coté suicidaire en moins. Kiba avait donc deux atouts en tant que guerrier : Premièrement, son patrimoine génétique. Il possédait en lui les gênes du Panthera Tigris Altaica, le Tigre de Sibérie, la plus grande des huit sous-espèces de tigres et l’un des plus puissants prédateurs terrestre au monde. Cela lui avait octroyé un physique puissant, il était un colosse de presque deux mètres pour quasiment 120 kilos de muscles purs. Il pouvait faire des prouesses physiques largement supérieures aux standards humains et même de la plupart des autres Ainokos, de plus sa vision est tel qu’il y voit aussi bien la nuit qu’en plein jour, couleurs comprises. Deuxièmement, son entrainement martial lui avait apprit à exploiter toute cette puissance et le rendait aussi dangereux à mains nues que tout un groupe de chasseurs armés jusqu’aux dents. Niveau force, il n’avait rien à envier aux Kaijuu.
Pourtant Kiba n’était pas du tout le genre violent, à la mort prématuré de son père, il reprit son devoir de protéger les esclaves en fuite et s’attela pendant un bon moment à rendre la vie dure aux chasseurs. Cependant, contrairement à toutes les rumeurs courant sur le « fauve d’émeraude », il n’avait jamais tué personne. Certes la quasi-totalité de ceux qu’il avait affrontés n’en étaient pas ressortis en très bon état et il ne faisait aucun doute que l’hôpital et même les guérisseurs de la famille Tenshi n’avaient pas dû manquer de travail. Mais son combat était voué à l’échec… Les chasseurs l’attirèrent dans un piège pour le séparer des esclaves qui choisirent se rendre pour ne pas rendre vain tout ce qui avait été fait par Kiba qui lui-même dut se résigner à son sort sous peine que ces protégés n’en pâtissent. Les esclaves avaient été rendus à leurs maîtres et Kiba fut condamné à devenir un Ainoko asservi. Le marchand qui l’avait récupéré pensait sans doute faire l’affaire du siècle, il s’était trompé, Kiba se révéla vite absolument invendable.
Un Ainoko à la responsabilité de ses esclaves or, personne ne semble être prêt à assumer d’avoir une telle force de la nature à son service. Les rumeurs déformées faisaient de lui un tueur sanguinaire, ce qui était bien sûr faux. Depuis des semaines, Kiba était enfermé dans une grande cage, toute la journée, il restait assis en tailleur, les bras croisé, gardant un visage impassible. La plupart de ceux qui le voyait s’attendaient à voir un fauve en cage hurlant et menaçant mais certainement pas cet être d’un calme dérangeant tel un chêne millénaire fermement enracinés. Pour les autres esclaves qui le voyaient, cette séreinité leur redonnait souvent confiance et force de vivre. La nuit, quand les lieux se vidaient, il faisait quelques exercices pour garder son corps en forme ou faisait passer discrètement sa nourriture aux esclaves les plus affaiblis. Il n’était pas difficile pour lui d’avoir du rabe, le marchand avait une peur bleue de lui et n’osait pas l’approcher. D’un simple regard, il pouvait l’intimider un peu pour qu’il lui donne un peu plus à manger, pensant ainsi le garder calme, manipulation psychologique de base. Une seule fois, il avait fait quelque chose en pleine journée, alors que des hommes maltraitaient une esclave très faible, il les avait regardé et avait poussé un puissant rugissement dont il avait le secret, résultat : le marché se vida à moitié en quatrième vitesse. Une chance ce jour-là que Yuki Ankoku, la maitresse du marché, ait été absente, sinon elle n’aurait guère apprécié. Tout le monde craignait les réactions de Kiba depuis mais il ne comptait rien faire. Certes il lui aurait été facile de s’évader et même de libérer pas mal d’esclaves des lieux mais ces actions auraient pu avoir pour conséquences de pousser beaucoup d’autres esclaves à se rebeller, ce qui se serait finit dans un bain de sang. Pour le moment, il fallait attendre, attendre que les choses bougent d’elle-même sur l’île.
Pour l’instant, il était condamné à attendre. Il était fort probable que, vu sa carrure, il se retrouve acheté pour faire des travaux physiques pénibles ou il pouvait aussi tomber sur une personne qui avait assez de jugeotes pour se rendre compte de ses capacités martiales et ainsi s’adjoindre les services d’un protecteur efficaces et dévoués. Il faisait donc aujourd’hui la même chose qu’il faisait depuis des semaines : attendre, tranquillement assis au milieu de sa grande cage…
Kiba Suigyoku
Ainoko Libre
Nombre de messages :
174
Réputation :
166
Maître de :
mon honneur
Esclave de :
à déterminer
C'est une journée normal qui commence pour la jeune Kakon Avec un réveil des plus simple. Kyra quitta ses couvertures entourrer des domestique de sa maison. Un, tenait une robe de chambre noir l'autre un verre d'eau. Tout ceci l'agacait un peuu, se faire agresser par des domestique appeuré de faire la moindre erreur auprès de la jeune fille. Celle ci attrapa la robe de chambre qu'elle enfila et passa a coté du domestique au verre d'eau sans lui adresser le moindre regard. Sans perdre de temps elle s'occupa de sa toilette pour se vetir d'une robe comme a son habitude d'un noir de jais, coiffant ses long cheveux roux. Kyra prise d'une envie de se balader se mit sur son balcon et sortant ses grans elle noir elle s'envola laissant quelque plusme derrière elle.
Son arriver dans la ville fut remarqué, elle se posa en pleine rue et masqua ses ailes. Tout le monde la regardait mettre son ma nteau et quand elle releva le regard il reprirent tous leur occupation comme si elle n'était pas la. De toute facon elle avvait horreur d'être fixé. L'air était humide mais, pas trop frais, juste de quoi prendre une grand bouffée d'air du dehors. De le ou elle était, la jeune Kakon pouvait entendre les vendeur du marché venter les mérite de leurs esclave qu'il soit humain ou ainoko. Dans un soupir elle contiua son chemin passant l'allé du marché sans y préter un regard, les mains dans le dos. Pourquoi se serait-elle arrêter elle était déja entourer de domestique assigné a ses quartiers et ils lui cassaient dejà les pieds pourquoi s'enticher d'un esclave. C'est en se posant cette question, qu'elle fit demi tour et entreprit d'avancer dans l'allé du marché. Les vendeurs l'interpelait lui montrant des esclave tous aussi mal en point les uns que les autres. Un vendeur ignorant essaya même de l'intimider pour qu'elle achéte un esclave, et c'est avec un grand sourire qu'elle sortie doucement ses ailes. La réaction de ce pauvre ignorant fit assez rapide, il s'inclina plus bas que terre en s'excusant. Elle soupira et repris sa route. Ele marchait jetant des regard furtif de chaque coté du chemin sans vraiment regarder. Mais quelque chose attira son attention. De loin elle voyait le haut d'une cacge qui semblait immense, quel esclave pouvait bien habiter cette cage. Elle masqua ses ailes et s'en approcha doucement.
Dans cette maison de fer était enfermer un homme d'un carrure, montrant sa puissance. Intéressant, finalement son passage inutile au marché s'averrait même très intéressant. Alors qu'elle le regardait le vendeur, un bof malpoli s'approcha d'elle en se frottant déjà les mains de la vente qu'il était sur de faire:
-Ben alors ma p'tite dame on est intéressé par la grosse bestiole
Kyra leva son regard rouge et froids vers le vendeur qui sembla se glacer sur le coup; il avait un peu comprit qu'il n'avait pas a faire a quelqu'un de commode et se recula un peu comme pour être sur de ne rien recevoir comme coup. Il posa sa main sur la cage et reprit la parole:
-Vous fête un bon choix Mademoiselle, un hybride grand et fort vous serez bien protégé ^^
-Je n'ai pas besoin d'être protégée... A combien me le vendez-vous ?
-Je le vend a 2000 pièce d'or Mademoiselle mais pour...
Kyra ne s'occupa pas de sa réponce et s'approcha de la cage, elle le fixa comme pour en trouver le moindre détail. Elle s'accroupit en face de celleci, son long manteau noir touchant le sol et se décida a parler a l'intéressé:
-Puis-je savoir ton nom ?
Son arriver dans la ville fut remarqué, elle se posa en pleine rue et masqua ses ailes. Tout le monde la regardait mettre son ma nteau et quand elle releva le regard il reprirent tous leur occupation comme si elle n'était pas la. De toute facon elle avvait horreur d'être fixé. L'air était humide mais, pas trop frais, juste de quoi prendre une grand bouffée d'air du dehors. De le ou elle était, la jeune Kakon pouvait entendre les vendeur du marché venter les mérite de leurs esclave qu'il soit humain ou ainoko. Dans un soupir elle contiua son chemin passant l'allé du marché sans y préter un regard, les mains dans le dos. Pourquoi se serait-elle arrêter elle était déja entourer de domestique assigné a ses quartiers et ils lui cassaient dejà les pieds pourquoi s'enticher d'un esclave. C'est en se posant cette question, qu'elle fit demi tour et entreprit d'avancer dans l'allé du marché. Les vendeurs l'interpelait lui montrant des esclave tous aussi mal en point les uns que les autres. Un vendeur ignorant essaya même de l'intimider pour qu'elle achéte un esclave, et c'est avec un grand sourire qu'elle sortie doucement ses ailes. La réaction de ce pauvre ignorant fit assez rapide, il s'inclina plus bas que terre en s'excusant. Elle soupira et repris sa route. Ele marchait jetant des regard furtif de chaque coté du chemin sans vraiment regarder. Mais quelque chose attira son attention. De loin elle voyait le haut d'une cacge qui semblait immense, quel esclave pouvait bien habiter cette cage. Elle masqua ses ailes et s'en approcha doucement.
Dans cette maison de fer était enfermer un homme d'un carrure, montrant sa puissance. Intéressant, finalement son passage inutile au marché s'averrait même très intéressant. Alors qu'elle le regardait le vendeur, un bof malpoli s'approcha d'elle en se frottant déjà les mains de la vente qu'il était sur de faire:
-Ben alors ma p'tite dame on est intéressé par la grosse bestiole
Kyra leva son regard rouge et froids vers le vendeur qui sembla se glacer sur le coup; il avait un peu comprit qu'il n'avait pas a faire a quelqu'un de commode et se recula un peu comme pour être sur de ne rien recevoir comme coup. Il posa sa main sur la cage et reprit la parole:
-Vous fête un bon choix Mademoiselle, un hybride grand et fort vous serez bien protégé ^^
-Je n'ai pas besoin d'être protégée... A combien me le vendez-vous ?
-Je le vend a 2000 pièce d'or Mademoiselle mais pour...
Kyra ne s'occupa pas de sa réponce et s'approcha de la cage, elle le fixa comme pour en trouver le moindre détail. Elle s'accroupit en face de celleci, son long manteau noir touchant le sol et se décida a parler a l'intéressé:
-Puis-je savoir ton nom ?
Invité
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Aujourd’hui encore, Kiba était enfermé dans sa grande cage, assis en tailleur, les bras croisé et l’air impassible en attendant la suite. Sa quiétude du jour fut troublée par l’arrivée d’une femme qu’il semblait intéressé. Après plusieurs semaines, quelqu’un avait finalement envie d’y regarder de plus près. Le puissant tigre se demandait bien qu’elle genre de personne elle était. Le vendeur le présenta d’abord comme une « grosse bestiole », sympa…
Toi ce soir, si elle m’embarque pas, je vais m’amuser à te foutre une trouille de tous les diables…
La jeune femme semblait froide et le vendeur recula, semblant la craindre, bien fait pour sa tête à claque. Il remonta un peu dans l’estime de Kiba en le ventant comme bon protecteur plutôt que bête de somme, enfin un qui avait comprit ce pourquoi Kiba était le meilleur. Le jeune fille ignora ensuite le pauvre homme et vint s’accroupir en face de la cage pour mieux contempler le fauve d’émeraude. Kiba en fit de même, une jeune fille, ou du moins elle en avait l’apparence, facteur aléatoire au vu de l’espérance de vie des Ainokos. Plutôt petite, en même temps, quand on fait deux mètre, tout le monde vous semble petit, assez fine et jolie, de longs cheveux roux attachés avec style, deux yeux rouges semblables à des rubis et un visage impassible. Elle était vêtue d’une robe noire et d’un manteau de la même couleur et au vu de leurs qualités, ils devaient coûter chère. Cependant Kiba voyait bien qu’il ne s’agissait que d’une jeune fille riche, elle avait autre chose, quelque chose que seul un guerrier comme lui pouvait aisément sentir…
L’odeur du sang… intéressant…
Pas au sens physique du terme, elle était propre, non, l’odeur semblait venir de son âme. En la regardant dans les yeux, Kiba sentit qu’elle cachait de sombres secrets…
De sa voix douce, elle ne lui demanda qu’une chose, son nom. Kiba la regardait dans les yeux et lui répondit d’une voix calme et sans excès.
Kiba… Suigyoku Kiba…
Bon, c’est pas encore la grande conversation mais c’était déjà ça. Le tigre se demandait maintenant ce que la jeune femme allait faire…
Toi ce soir, si elle m’embarque pas, je vais m’amuser à te foutre une trouille de tous les diables…
La jeune femme semblait froide et le vendeur recula, semblant la craindre, bien fait pour sa tête à claque. Il remonta un peu dans l’estime de Kiba en le ventant comme bon protecteur plutôt que bête de somme, enfin un qui avait comprit ce pourquoi Kiba était le meilleur. Le jeune fille ignora ensuite le pauvre homme et vint s’accroupir en face de la cage pour mieux contempler le fauve d’émeraude. Kiba en fit de même, une jeune fille, ou du moins elle en avait l’apparence, facteur aléatoire au vu de l’espérance de vie des Ainokos. Plutôt petite, en même temps, quand on fait deux mètre, tout le monde vous semble petit, assez fine et jolie, de longs cheveux roux attachés avec style, deux yeux rouges semblables à des rubis et un visage impassible. Elle était vêtue d’une robe noire et d’un manteau de la même couleur et au vu de leurs qualités, ils devaient coûter chère. Cependant Kiba voyait bien qu’il ne s’agissait que d’une jeune fille riche, elle avait autre chose, quelque chose que seul un guerrier comme lui pouvait aisément sentir…
L’odeur du sang… intéressant…
Pas au sens physique du terme, elle était propre, non, l’odeur semblait venir de son âme. En la regardant dans les yeux, Kiba sentit qu’elle cachait de sombres secrets…
De sa voix douce, elle ne lui demanda qu’une chose, son nom. Kiba la regardait dans les yeux et lui répondit d’une voix calme et sans excès.
Kiba… Suigyoku Kiba…
Bon, c’est pas encore la grande conversation mais c’était déjà ça. Le tigre se demandait maintenant ce que la jeune femme allait faire…
Kiba Suigyoku
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Kyra l'obersait toujours alors qu'a coté d'elle le vendreu la regardait. Elle demanda a l'hybride son nom qu'il lui dona très simplement et d'un voix calme. Eh bien pour une fois quelqu'un d'extérieur a la famille Kakon lui parlait normalement. Ca lui fit bizarre sur le coup mais bon, ce n'était qu'un détail et puis elle ne lui avait pas encore dit son nom. Le vendeur risuerait de faire un arrêt cardiaque alors elle se contenterai de donner son prénom, bien sur quand elle le voudrait. Elle amena sa main vers le cadena qui maintenait la porte fermé et tendit la main au vendeur. Celui ci ne voulut pas remettre la clé avant d'avoir eu l'argent. Kyra très calme insista encore un peu mais il se refusa a la donner. La jeune hybride se releva et craquant doucement les os de ses mains elle laissa ses ailes apparaitre. Ses deux grand ailes noir emplir son dos laissant quelque plume ébène volter:
-Je... veux... cette clé
-Je.... oui.. D'ac... d'accords...
Le vendeur d'une main pressante sortit le trousseau de clé et détacha celle qui ouvrait la cage il tendit la clé vers la paume ouvrete de la jeune femme et l'y déposa en faisant un bon en arrière, ses yeux rué vers le sol. Les autre vendeur qui depuis tout a l'heure criait les mérite de leurs esclaves s'était arrête subitement . Kyra allait ouvrit la cage quand elle remarqua le silence soudain. Elle se retourna et dit d'une voix calme:
-Un problème ? Non... Parfait
Il reprirent tous leur affaire jettant quand même des regard furtif en direction de la Kakon qui finalement ouvrit la cage ouvrant la porte en grand pour que le fauve sorte. Son regard terrifiant se reposa sur le vendeur:
-Eh au faite a combien me le vendez vous ?
-A... a 5...500 pièce d'or Madame...
-Parfait je savais qu'on pourrait s'entendre Voila.
Kyra s'approcha du vendeur effrayé, prit sa main et y déposa une petite bourse contenant le somme convenu puis elle se mit devant le fauve qu'elle n'imaginait pas aussi grand:
-Bien suis moi je n'aime pas cette endroit ...
-Je... veux... cette clé
-Je.... oui.. D'ac... d'accords...
Le vendeur d'une main pressante sortit le trousseau de clé et détacha celle qui ouvrait la cage il tendit la clé vers la paume ouvrete de la jeune femme et l'y déposa en faisant un bon en arrière, ses yeux rué vers le sol. Les autre vendeur qui depuis tout a l'heure criait les mérite de leurs esclaves s'était arrête subitement . Kyra allait ouvrit la cage quand elle remarqua le silence soudain. Elle se retourna et dit d'une voix calme:
-Un problème ? Non... Parfait
Il reprirent tous leur affaire jettant quand même des regard furtif en direction de la Kakon qui finalement ouvrit la cage ouvrant la porte en grand pour que le fauve sorte. Son regard terrifiant se reposa sur le vendeur:
-Eh au faite a combien me le vendez vous ?
-A... a 5...500 pièce d'or Madame...
-Parfait je savais qu'on pourrait s'entendre Voila.
Kyra s'approcha du vendeur effrayé, prit sa main et y déposa une petite bourse contenant le somme convenu puis elle se mit devant le fauve qu'elle n'imaginait pas aussi grand:
-Bien suis moi je n'aime pas cette endroit ...
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La jeune femme ne demanda rien de plus à Kiba. Elle voulut ouvrir sa cage et demanda la clé au vendeur, ce dernier refusa de lui donner avant d’avoir eu son argent. Garantie ou peur ? Sans doute un peu des deux. La jeune femme insista calmement mais le vendeur refusa de céder. Elle se releva et fit apparaitre deux grandes ailes noires dans son dos. Tout le monde sembla surpris, Kiba, lui, restait impassible et se contenta d’attraper une plume noire volant dans sa direction.
Corbeau ?... Intéressant…
Face aux nouveaux arguments de la jeune femme, le vendeur céda et lui donna la clé. Toutes les personnes présentes s’arrêtèrent un moment, qu’est-ce qui leur faisaient si peur ? La jeune femme ou l’idée que la cage du fauve d’émeraude soit ouverte ? Surement les deux. Cette jeune femme n’était pas une frêle jeune fille sans défense et la réputation de Kiba auprès des marchands d’esclaves n’était plus à faire. Tout en continuant leurs activités, ils gardaient un œil sur le coin, prêt à détaler comme des lapins au premier signe d’ennuis. Elle lui ouvrit la cage et pour la première fois depuis des semaines, Kiba voyait les choses sans avoir des barreaux devant les yeux. La jeune femme négocia, si on peut dire ça, le prix avec le marchands qui tira au final du tigre une misère. Ce dernier souriait intérieurement, bien fait pour eux. Quand elle revint vers lui, on put facilement mesurer la différence de taille, elle ne lui arrivait même pas aux épaules, Kiba lui donnait entre 1m60 et 1m65 de taille. D’une voix neutre, elle lui ordonna de le suivre et le fauve s’exécuta. Au moment de quitter le magasin il croisa le regard de certains autres esclaves qui semblaient désespéré que l’une de leurs rares lueur d’espoir s’en aille. Kiba leur fit discrètement un sourire pour les rassurer, les aidant à ne pas perdre espoir jusqu’au jour où les choses changeraient. Le seul qui devait être content qu’il s’en aille était le marchand qui allait arrêter de stresser toutes les secondes maintenant.
Dehors, Kiba suivait sa nouvelle maîtresse juste derrière elle, telle une ombre immense et menaçante. Cette jeune femme pouvait se montrer effrayante, avec le grand tigre derrière elle, elle pouvait devenir la terreur incarnée. Pour l’instant ce fut une autre considération plus simple qui anima l’esprit du fauve. Il s’adressa à elle d’une voix calme.
Puis-je connaître le nom de celle qui est ma maîtresse dorénavant ?
Ce serait plus pratique de savoir qui il servait, ne serait-ce que pour savoir comment s’adresser à elle… et peut-être aussi glaner quelques infos sur ce qui l’attendait maintenant…
Corbeau ?... Intéressant…
Face aux nouveaux arguments de la jeune femme, le vendeur céda et lui donna la clé. Toutes les personnes présentes s’arrêtèrent un moment, qu’est-ce qui leur faisaient si peur ? La jeune femme ou l’idée que la cage du fauve d’émeraude soit ouverte ? Surement les deux. Cette jeune femme n’était pas une frêle jeune fille sans défense et la réputation de Kiba auprès des marchands d’esclaves n’était plus à faire. Tout en continuant leurs activités, ils gardaient un œil sur le coin, prêt à détaler comme des lapins au premier signe d’ennuis. Elle lui ouvrit la cage et pour la première fois depuis des semaines, Kiba voyait les choses sans avoir des barreaux devant les yeux. La jeune femme négocia, si on peut dire ça, le prix avec le marchands qui tira au final du tigre une misère. Ce dernier souriait intérieurement, bien fait pour eux. Quand elle revint vers lui, on put facilement mesurer la différence de taille, elle ne lui arrivait même pas aux épaules, Kiba lui donnait entre 1m60 et 1m65 de taille. D’une voix neutre, elle lui ordonna de le suivre et le fauve s’exécuta. Au moment de quitter le magasin il croisa le regard de certains autres esclaves qui semblaient désespéré que l’une de leurs rares lueur d’espoir s’en aille. Kiba leur fit discrètement un sourire pour les rassurer, les aidant à ne pas perdre espoir jusqu’au jour où les choses changeraient. Le seul qui devait être content qu’il s’en aille était le marchand qui allait arrêter de stresser toutes les secondes maintenant.
Dehors, Kiba suivait sa nouvelle maîtresse juste derrière elle, telle une ombre immense et menaçante. Cette jeune femme pouvait se montrer effrayante, avec le grand tigre derrière elle, elle pouvait devenir la terreur incarnée. Pour l’instant ce fut une autre considération plus simple qui anima l’esprit du fauve. Il s’adressa à elle d’une voix calme.
Puis-je connaître le nom de celle qui est ma maîtresse dorénavant ?
Ce serait plus pratique de savoir qui il servait, ne serait-ce que pour savoir comment s’adresser à elle… et peut-être aussi glaner quelques infos sur ce qui l’attendait maintenant…
Kiba Suigyoku
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Bien maintenant que le fauve avait été sotie de sa cage et que Kyra avait payé ce qu'elledevait au vendeur, il quittèrent le marché, la jeune femme supportait de moins en moins cette endroit ou les gens la regardait d'un air désespérant pensant qu'elle est la pour les acheter. Déjà qu'elle ne savait pas pourquoi elle avait acheter cette ainoko s en plus il fallait qu'elle joue l'amrée du salut on avait pas finis. Très vite il furent sortie du marché alors que Kyra marchait devant et Kiba la suivait marchant derrière elle. Elle s'arrêta quand il lui demanda poliment mais d'un voix simple et monotomne comment elle se nommait. Toujours de dos a lui elle ferma doucement les yeux ses ailes se masquant jusqu'a ne laisser que quelques plumes volatiles. Elle se retourne lentement obligé de lever la tête pour le regarder:
-Appelle moi Kyra
Ca lui faisait quand même bizarre, elle ne distinguait aucune peur, aucune inquiétude dans le regard du fauve. Il la regardait et s'adressait a elle comme a une personne normale. Il faut dire qu'avec la carrure qu'il avait si il avait peur du petit 1m63 de Kyra cela aurait donner un air ridicule a la situation. La jeune hybride fit volte face et repris sa marche. Puisqu'elle ne pouvait pas rentrer en volant cela serait un peu plus longd'arriver jusqu'au manoir des Kakons. En marchant elle se demandait toujours pour l'avoir acheter mais bon, après tout pourquoi elle pouvait bien faire tout ce qui lui passait par la tête. Il n'était qu'a une dizaine de minute de marche et a deux minute de vol et s'imaginer marché pendant 10 minutes la faisait déjà soupirer. Ele s'arrêta en restant de dos:
-A quelle vitesse peux tu courir ?
-Appelle moi Kyra
Ca lui faisait quand même bizarre, elle ne distinguait aucune peur, aucune inquiétude dans le regard du fauve. Il la regardait et s'adressait a elle comme a une personne normale. Il faut dire qu'avec la carrure qu'il avait si il avait peur du petit 1m63 de Kyra cela aurait donner un air ridicule a la situation. La jeune hybride fit volte face et repris sa marche. Puisqu'elle ne pouvait pas rentrer en volant cela serait un peu plus longd'arriver jusqu'au manoir des Kakons. En marchant elle se demandait toujours pour l'avoir acheter mais bon, après tout pourquoi elle pouvait bien faire tout ce qui lui passait par la tête. Il n'était qu'a une dizaine de minute de marche et a deux minute de vol et s'imaginer marché pendant 10 minutes la faisait déjà soupirer. Ele s'arrêta en restant de dos:
-A quelle vitesse peux tu courir ?
Invité
Invité
La jeune femme s’arrêta à sa question et replia lentement ses ailes avant de se tourner vers lui. Ses gestes étaient emprunt d’une sorte de grâce, quelque chose d’étrange. Allez savoir pourquoi mais Kiba sentait déjà que la vie auprès d’elle serait tout sauf monotone.
Très bien Kyra-sama.
Simple, efficace et respectueux. Kiba avait été élevé selon les traditions martiales et ses façons de faire étaient emprunte de code d’honneur et de respect. Il ressemblait un peu à un samouraï mais sans le côté suicidaire. Il n’était pas non plus un gentil toutou obéissant, il ne fera rien qui ira contre son code d’honneur et l’ouvrira quand il le jugera nécessaire. Kyra s’était attachée les services de l’esclave le plus étrange de toute l’île. En parlant d’elle, Kiba remarqua quelque chose quand elle le regardait, une forme d’intrigue mais très légère tant elle était douée pour garder un visage impassible. Visiblement, elle devait avoir l’habitude d’être crainte si on se référait aussi au comportement des gens sur le marché. Or Kiba ne la craignait pas, il la respectait car elle était sa maîtresse mais elle ne lui inspirait aucune peur, il était entraîné au combat et avait combattu, il en fallait beaucoup pour l’effrayer.
Puis-je vous demander pour qu’elle fonction vous allez avoir besoin de moi ?
Plus tôt il saurait à quelle sauce il serait mangé, mieux ce serait…
Soudainement, la jeune femme lâcha un soupir et s’arrêta sans se retourner, lui demandant s’il savait courir vite. Kiba avait bien sa petite idée de pourquoi elle lui demandait.
Il m’est impossible de vous donner une vitesse précise mais je cours bien plus vite que les humains et la plupart des Ainokos.
En termes de vitesse, il enfumait presque tout le monde, les tigres peuvent faire de belle pointe et Kiba possède cette capacité, ce qui a généralement tendance à surprendre lorsque l’on voit cette masse se déplacer avec vitesse et agilité…
Très bien Kyra-sama.
Simple, efficace et respectueux. Kiba avait été élevé selon les traditions martiales et ses façons de faire étaient emprunte de code d’honneur et de respect. Il ressemblait un peu à un samouraï mais sans le côté suicidaire. Il n’était pas non plus un gentil toutou obéissant, il ne fera rien qui ira contre son code d’honneur et l’ouvrira quand il le jugera nécessaire. Kyra s’était attachée les services de l’esclave le plus étrange de toute l’île. En parlant d’elle, Kiba remarqua quelque chose quand elle le regardait, une forme d’intrigue mais très légère tant elle était douée pour garder un visage impassible. Visiblement, elle devait avoir l’habitude d’être crainte si on se référait aussi au comportement des gens sur le marché. Or Kiba ne la craignait pas, il la respectait car elle était sa maîtresse mais elle ne lui inspirait aucune peur, il était entraîné au combat et avait combattu, il en fallait beaucoup pour l’effrayer.
Puis-je vous demander pour qu’elle fonction vous allez avoir besoin de moi ?
Plus tôt il saurait à quelle sauce il serait mangé, mieux ce serait…
Soudainement, la jeune femme lâcha un soupir et s’arrêta sans se retourner, lui demandant s’il savait courir vite. Kiba avait bien sa petite idée de pourquoi elle lui demandait.
Il m’est impossible de vous donner une vitesse précise mais je cours bien plus vite que les humains et la plupart des Ainokos.
En termes de vitesse, il enfumait presque tout le monde, les tigres peuvent faire de belle pointe et Kiba possède cette capacité, ce qui a généralement tendance à surprendre lorsque l’on voit cette masse se déplacer avec vitesse et agilité…
Kiba Suigyoku
Ainoko Libre
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166
Maître de :
mon honneur
Esclave de :
à déterminer
Sa façon de parler convenait a la jeune hybride. De toute façon elle avait l'habitude parceque tout les domestique de la maison l'appelait ainsi mais pas pour les même raisons. Eux il avait peur alors il fallait se montrer respectueux pour ne pas avoir d'ennuis. L'idée lui plaisait d'avoir quelqu'un a son service qui serait capable de lui tenir tête ou de lui dire sa façon de penser si elle exagérait trop, ce qui était tout a fais son style. L'idée de le tester lui effleura l'esprit mais pas tout de suite pour le moment alors qu'elle vaquait a ses pensée il lui posa la question qu'elle même se posait. Pourquoi l'avoir acheter ? Elle eu un rire discret et doux avant de lui répondre:
-Pour être franche je n'en ai pour l'instant aucune idée j'y réfléchirais plus tard pour le moment rentrons.
Le chemin ne s'annoncait pas long mais l'idée de marcher pendant 10 minute gonfflait Kyra au plus au point. C'est pour ca qu'elle lui demanda la vitesse a laquelle il courrait. Car en volant il ne faudrait pas plus de deux munite a Kyra pour arriver a la demeure de sa famille. Elle se stoppa donc restant de dos en lui posant la question. La réponse était a peu près satisfaisante, d'après ce qu'il avait dit, elle se dit qu'il arriverait a la suivre si elle restait visible. Ses ailes qu'elle avait masquer il n'y avait pas si longtemps réapparure et en deux battement d'ailes, Kyra ne toucha plus le sol, a peu près a la même hauteur que le fauve:
-Essaie de me suivre si tu n'y arrive pas fais moi signe mais je pense que tu réussiras.
Avec un petit sourire la jeune hybride prit de l'altitude touranant sur elle même le chemin jusqu'au manoir était assez dégagé si il la surveillait assez il ne la perdrait pas de vue. Elle commenca a battre des ailes et jetant un dernier regard vers le sol elle commenca a voler a un grand vitesse vers le manoir.
-Pour être franche je n'en ai pour l'instant aucune idée j'y réfléchirais plus tard pour le moment rentrons.
Le chemin ne s'annoncait pas long mais l'idée de marcher pendant 10 minute gonfflait Kyra au plus au point. C'est pour ca qu'elle lui demanda la vitesse a laquelle il courrait. Car en volant il ne faudrait pas plus de deux munite a Kyra pour arriver a la demeure de sa famille. Elle se stoppa donc restant de dos en lui posant la question. La réponse était a peu près satisfaisante, d'après ce qu'il avait dit, elle se dit qu'il arriverait a la suivre si elle restait visible. Ses ailes qu'elle avait masquer il n'y avait pas si longtemps réapparure et en deux battement d'ailes, Kyra ne toucha plus le sol, a peu près a la même hauteur que le fauve:
-Essaie de me suivre si tu n'y arrive pas fais moi signe mais je pense que tu réussiras.
Avec un petit sourire la jeune hybride prit de l'altitude touranant sur elle même le chemin jusqu'au manoir était assez dégagé si il la surveillait assez il ne la perdrait pas de vue. Elle commenca a battre des ailes et jetant un dernier regard vers le sol elle commenca a voler a un grand vitesse vers le manoir.
Invité
Invité
A sa question, la belle hybride eut un petit rire discret avant de lui répondre qu’elle-même ne savait pas pourquoi.
Ha ? Un achat compulsif ?
Finalement, elle avait quand même des manies de jeune femme pour rentrer dans un magasin et acheter un truc sur un coup de tête sans même savoir si ca serait utile. Kiba sentait qu’elle ne lui mentait pas, ce qui confirmait sa pensée, la vie risquait d’être fascinante aux côtés de cette jeune femme.
Quand il lui annonça sa vitesse, elle parut satisfaite car elle fit apparaître ses deux grandes ailes noirs de corbeau. Elle quitta le sol pour avoir sa tête à hauteur de la sienne. Elle lui fit un petit sourire et prit de l’altitude avant de partir à plus grande vitesse. Kiba ne put s’empêcher un sourire, il venait de sortir de sa cage et allait pouvoir se dégourdir les jambes, une bonne course tombait à point. Il prit appuis sur ses pieds, observa Kyra pour voir quelle direction prendre et s’élança dans une puissante impulsion. Les gens défilaient autour de lui, il était lancé dans un puissants sprint, le corps bas, se faufilant entre les gens avec une agilité incroyable. A un moment, le chemin fut bouché et d’un bond, il sauta contre un rebord de fenêtre et d’élança au dessus de l’obstacle avant de reprendre sa course. Cela lui rappelait ses combats contre les chasseurs en pleine forêt, là où il jouait de sa vitesse au sol et dans les arbres, tombant sur ses adversaires qui ne voyaient jamais venir l’attaque…
Après deux trois minutes de courses, il était dans le quartier résidentiel et plus précisément devant le manoir de la famille Kakon, ce qui laissa perplexe…
J’aurais dû m’en douter. Corbeau riche=Kakon. J’espère juste qu’ils ne me feront pas faire le sale travail lié à leurs magouilles…
Pour l’instant, il ne savait pas trop à quoi s’attendre, il en avait apprit un peu plus sur sa maîtresse mais pas sur ce qu’elle comptait faire de lui. Pour le moment, il attendait qu’elle se pose à côté de lui.
Ha ? Un achat compulsif ?
Finalement, elle avait quand même des manies de jeune femme pour rentrer dans un magasin et acheter un truc sur un coup de tête sans même savoir si ca serait utile. Kiba sentait qu’elle ne lui mentait pas, ce qui confirmait sa pensée, la vie risquait d’être fascinante aux côtés de cette jeune femme.
Quand il lui annonça sa vitesse, elle parut satisfaite car elle fit apparaître ses deux grandes ailes noirs de corbeau. Elle quitta le sol pour avoir sa tête à hauteur de la sienne. Elle lui fit un petit sourire et prit de l’altitude avant de partir à plus grande vitesse. Kiba ne put s’empêcher un sourire, il venait de sortir de sa cage et allait pouvoir se dégourdir les jambes, une bonne course tombait à point. Il prit appuis sur ses pieds, observa Kyra pour voir quelle direction prendre et s’élança dans une puissante impulsion. Les gens défilaient autour de lui, il était lancé dans un puissants sprint, le corps bas, se faufilant entre les gens avec une agilité incroyable. A un moment, le chemin fut bouché et d’un bond, il sauta contre un rebord de fenêtre et d’élança au dessus de l’obstacle avant de reprendre sa course. Cela lui rappelait ses combats contre les chasseurs en pleine forêt, là où il jouait de sa vitesse au sol et dans les arbres, tombant sur ses adversaires qui ne voyaient jamais venir l’attaque…
Après deux trois minutes de courses, il était dans le quartier résidentiel et plus précisément devant le manoir de la famille Kakon, ce qui laissa perplexe…
J’aurais dû m’en douter. Corbeau riche=Kakon. J’espère juste qu’ils ne me feront pas faire le sale travail lié à leurs magouilles…
Pour l’instant, il ne savait pas trop à quoi s’attendre, il en avait apprit un peu plus sur sa maîtresse mais pas sur ce qu’elle comptait faire de lui. Pour le moment, il attendait qu’elle se pose à côté de lui.
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