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Oisillon tombé du nid. ( Libre. )  Migoto no Shima :: Archives :: Les Sujets RP| ♆ Dim 24 Aoû - 16:12 | |
| L'obscurité. Une notion qu'on apprend même pas encore venu au monde, dans le ventre de notre mère. Cette même obscurité que ressentait actuellement Klimtelle. Oui, pas vue, ressentie. Le noir intérieur. Elle n'avait plus envie de réfléchir à ce que il lui arrivait en ce moment, tout ces bouleversements dans sa vie déjà houleuse.
Elle sentait derrière son dos, à travers le tissu du court yukata rouge et or dont elle s'habillait le plus souvent, la froideur du métal. Ou était donc elle tombée ?
Ouvrant avec difficulté ses yeux, la lumière du jour aveuglante l'éblouit, l'obligeant ainsi à refermer ses paupières et attendre quelques instants.
Elle en profita pour essayer de changer de position, et dans un gémissement de douleur s'aperçut qu'elle était enchaînée aux barreaux d'acier gris. Des barreaux ? Une prison ? Non. Une cage. On l'avait enfermée dans une cage. Elle. Quelle horreur.
Elle parvient enfin à cligner des yeux, voyant d'abord de vagues formes floues tourbilloner autour d'elle puis se stabiliser. Une cage, petite, simple ; démunie de tout accessoires, juste un simple panneau devant. Elle ne pouvait pas y lire l'inscription, en supposant qu'il y en avait une, puis ce que elle le voyait de derrière. Des gens marchait sur le chemin de gravier devant la cage, parfois il s'arrêtaient pour jeter un coup d'oeil à l'intérieur, mais un homme approchait à ce moment là et après une brève discussion les étrangers repartaient. Klimt avait reuissi à saisir quelques bribes de mots au vol, et elle comprit avec un effroi calme mais lui opressant le coeur que elle était à vendre. Comme un objet. Un objet qu'on achète, dont on se réjouit quelques temps, puis qui finit oublié au fond d'une armoire, laissé seul, voir jeter à la poubelle. Sans remords. |
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 | | ♆ Dim 24 Aoû - 21:33 | |
| Renji ne cherchait ici qu'une femme pouvant lui offrir un peut d'aide, non pas que c'était un vieux croulant, mais il était assez occupé et ses balafres ne se comptaient plus, c'était un homme d'honneur jadis. Jadis, il y a 20 ans, avant de tomber de haut, maintenant il est de meche avec les familles mafieuses, leur assurant son silence sur les bien et les ames transitant dans leur mains. En echange il recevait un généreux tribut, mais il avait besoin d'au moins une esclave, oui une. Ne voyez pas le cliché femme de chambre qui fait tout pour son homme dans le plus grand des sexismes, mais le vieux loup, il se savait plus vraiment jeune, mais encore capable de briser une personne a coups de crocs sans difficulté, et voulait maintenant jouir d'une compagne, autant en vie qu'en amour, mais ca, les esclaves ne le donnent pas forcément, au moins avec une esclave, il aurait de la compagnie, de la conversation, une vie....
C'est dans cette optique que notre homme loup se mis en quete d'une humaine, oui humaine, en sachant que jamais il n'aurait d'enfant d'elle, mais un homme balafré, que le temps et les épreuves ont vieilli prématurément, au regard si froid qu'on croirait qu'il n'est que glace sous sa peau...Non, il ne se trouvait pas un bon pere, de plus il est tombé en disgrasse ses vingts dernieres années. Il préferait les humaaines, moins farouches, moins agressives. En plus, elle lui rappelerait sa jeunesse, son passé de guerier. Marchant entre les étales, ses yeux s'arreterent sur une femme, avec une sorte de kimono rafiné de rouge et d'or, c'était assez tentant, mais il compris vite, elle était vraiment trop chere. Mais, c'était sans compter que le loup avait une arme spéciale. Il approcha en armure noire, l'épée a la hanche, le glock dans le dos, voilé par cune cape de laine; il avait une imposante stature, un vrai guerrier, il inspirait crainte et respect a ceux qui l'entourait, c'était son charisme
Hep....Tu es sur du prix?
Un homme chat approcha de lui, crispant alors le loup, les griffes sur l'épée, mais le félin baissa la tete
Je....Oui monsieur, c'est bien dix mille piece.
Tu te moque de moi j'espere....Tu a violer la premiere regle de la vente, tu a mis ton barda en dépassement de l'étale, tes esclaves sont dénudé au possible, c'est aussi interdit, je continue?
Mais....Bon, je vous la laisse a 5 mille
A....il faut que je rajoute corruption a ta liste....pas mal comme palmares, je vais appeler une brigade, on va enlever tout ca et te mettre au trou
2000! je peux pas moins, je vous jure, pitié prenez la et partez...
Bon, je te donne 1000 piece, ca devrait suffir, mon silence en vaux bien 1000 autres.
Le marchand baissa encore plus la tete et accepta 10 % du prix du paiment et libéra la nouvelle aquisition du loup de ses entraves avant que celle ci ne rescoive le sceau Kaijuu sur son collier. Il était un peut spécial, si elle le retirait, elle aurait une tres desagréable surprise, la décharge mortelle de courant avait été épargné a ce collier, il y avait une neurotoxine qui paralisait le corps pendant des heures a la place, la puce gps traditionelle et le noir saillant de ce magnifique ouvrage.
Bonjour, ne vous fiez pas aux apparences, je suis pas si vieux que mon corps le donne a penser, je me nomme Renji, je serais a present votre maitre et compagnon, probablement pour le restant de vos jour. On se délie difficilement de la famille Kaijuu a part par la mort, chose que je sais bien donner.
Il n'était pas rassurant, c'était le but, il était froid mais franc, il n'hésitera pas une seconde a la tuer si elle fuit, ou autre connerie du genre, elle serait bien traité avec lui, mais on ne joue pas avec ses nerf, sinon, ca barde.
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| | ♆ Ven 29 Aoû - 13:06 | |
| Du fond de sa cage froide et sombre, Klimt vu peu clairement un homme s'approcher - un parmis les autres, un de plus, un de moins ? - mais il parut parler plus longtemps avec le marchand qu'il s'était à nouveau approché. La jeune femme s'obligea à se lever, s'appuyant avec peu de force contre les barreaux. Elle passa faiblement sa main sur les plis de son yukata pour tenter de défroisser les plis du tissu malmené mais ils ne bougèrent pas. Soupirante, elle regarda le nouveau venu qui continuait à s'attarder. Elle ne s'attendait pas à voir quelqun d'aussi âgé, néamoins il lui inspirait une espèce de crainte, sans doute due à son apparence austère.
Klimtelle entendit de loin la conversation de l'étranger et du marchand, elle ne plus que remarquer que ce dernier se pliait à chaque phrase de l'homme. Il finit ensuite par se diriger vers la cage d'un pas clopinant pour ouvrir la porte et la tirer brutalement vers la sortie. En temps normal, Klimt lui aurait mis un coup de poing dans le ventre ou la nuque, mais la elle était trop faible, se contentant de soupirer et de se débattre d'un mouvement de bras.- Lâchez moi .. -
Ensuite, tout se passa assez rapidement. On lui fixa d'un geste brutal et vif un collier - elle n'en revient pas. Un collier ? Comme un chien ? - que ce que c'était encore que cette mascarade ?
Mais elle n'eu pas le temps de protester, l'étranger se dressa devant elle et prit la parole.
- Bonjour, ne vous fiez pas aux apparences, je suis pas si vieux que mon corps le donne a penser, je me nomme Renji, je serais a present votre maitre et compagnon, probablement pour le restant de vos jour. On se délie difficilement de la famille Kaijuu a part par la mort, chose que je sais bien donner. -
Klimt eu du mal à assimiler toute ces paroles immédiatement. Ah, elle était vendue ? Bien. La mort ? Elle n'en avait pas peur, du moins c'est ce que elle pensait.
Ses yeux sombres un court instants fermés se reouvrirent vivement et elle fixa d'un regard certes profond mais neutre son nouveau maître.
- Je m'apelle .. Klimtelle ... -
Elle s'arrêta là ; aller plus loin était au delà d'elle pour le moment. D'ailleurs, il ne lui avait encore rien demandé, son prénom était quand même le minimum des choses. |
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| | ♆ Ven 29 Aoû - 14:18 | |
| Inspirer la crainte, c'est sans doute exact. Renji était connu dans la ville, il avait été décoré comme l'un des grands héro de cette guerre qui a vallu un apport technologique sans precedent sur l'ile, mais aussi l'arrivé d'esclave frai tout les deux mois, c'était en parti grace a cet homme a l'armure de plaque d'acier sombre et aux balafres marquant son visage. Il la toisait sans aucune peur, c'était peut etre une femme rebelle et reveche, mais personne n'a resisté bien longtemps a sa poigne ni a sa discipline. Elle lui donna son nom, bonne initiative. Mais bon, il fallait avouer que le meiroo avait des manieres de traiter ses articlles avec une certaine décadance, son yukata était froissé, montrant un peut trop de chair au gout de vieux loup. Il s'avanca, laissant le soleil fraper dans son armure, le vent battre ses long cheveux blanc sur son visage. Rendant le tout bien plus glacial.
Il était froid comme l'acier couvrant en lourdes plaques son corps, son esprit était affuté comme sa lame et ses yeux étincelant comme deux flammes vertes. Renji savait ce qu'il voulait, une femme a qui parler, une personne pour égayer ses soirées, il n'attendait pas beaucoup plus d'une Ainoko, mais le fait qu'elle soit humaine ajoutait un plus, il pourrait coucher dans son lit sans risquer d'engendrer un héritier a sa race canine. Car d'héritié il n'en voulait pas vraiment, son honneur détruit par une défaite, il ne pouvait pas pretendre a la noblesse d'avoir un enfant.
Bien, Klimtelle, je ne serais pas mauvais en aucune facon si vous vous pliez aux ordres et que vous ne me genez pas, refusez, poussez moi a bout et vous vivrez l'enfer.
Sa voix était tout aussi classiale que son apparence le laissait penser, il était homme d'honneur et de discipline, il inspirait crainte autant que respect, peur autant que dévotion. Meme si il a des manieres un peut obsolete comme le port de l'épée, qu'il manie sans entrave aucune, il reste l'un des plus forts combatant de l'ile. Cela, aucun Ainoko ne l'a oublié, mais les humains ne sont pas au courant de ce que sont les personnes puissantes de la ville. Chef de la police et grand guerrier, elle avait un maitre tout a fait capable de la briser dans son orgueil de liberté. Si elle se pliait a ses demandes sans trop geindre, elle n'aurait rien, enfin si, une bonne vie, calme et douce.
Il fait demi tour, et lanca un regard noir au vendeur qui détourna les yeux avant de revenir sur Klimt et de lui repasser le tissu ses les épaules, une fois que ce fut fait, il dessera sa ceinture sans la moindre pudeur pour replacer les pans de son yukata avant de le refermer.
Bien...c'est déja un peut moins suggestif au viol...ca m'enuirait de tuer quelqu'un pour une megarde féline.
Il se retourna et marcha vers la partie du marché la plus propre, laissant le choix a son sesclave, soit elle emboitait le pas de son maitre, soit elle courrait le risque de titiller sa suceptibilité. A elle de voir
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| | ♆ Ven 29 Aoû - 14:52 | |
| - Bien, Klimtelle, je ne serais pas mauvais en aucune facon si vous vous pliez aux ordres et que vous ne me genez pas, refusez, poussez moi a bout et vous vivrez l'enfer. -
Vivre l'enfer ? C'était une notion bien subjective. Elle était née dans une situation qui était démoniaque ; chacun de ses jours depuis sa naissance était souffrance morale et renfermement sur elle même. Elle n'avait encore rien vécu de pire, même si depuis que elle était arrivée sur l'île sa situation déjà désastreuse n'avait fait que empirer. Enfin, peut être que ça allait s'arranger, mais elle n'y croyait guère. Quand à se plier aux ordres ? On verra bien de quelles nature il sont... Elle n'était vraiment pas du genre totalement soumise, essayant de garder quand même dans cette situation dégradante un peu de sa fierté, même si on voyait bien que l'éclat de ses yeux était terne, non plus complètement éteint, mais sombre et sans sentiments.
Pendant qu'elle était perdue dans ses pensées sans sens véritable, comme d'habitude, il esquissa un mouvement vers elle, ce qui la fit d'instinct se mordre la lèvre, peu fort mais c'était une vraie manie. Mais il ne fit que rehausser les bords de son yukata qui s'était affaissé durant l'éprouvant trajet de Klimt du Japon jusqu'a l'île perdue au milieu de l'océan. Elle le laissa donc faire et le remercia d'un simple signe de tête en baissant les yeux une fois qu'il avait fini, elle n'était pas encore très bien habituée à la relation maître esclave ..
- Bien...c'est déja un peut moins suggestif au viol...ca m'enuirait de tuer quelqu'un pour une megarde féline.-
Suggestif au viol ? Tiens donc. Cette pensée ne lui avait même pas traversé la tête, mais elle n'y fit plus attention quand son maître commença à marcher, sans prévenir. Elle resta quelques secondes indécise, il n'allait quand même pas la laisser là ? Apparament si.
Tout en posant deux de ses délicats doigts sur le collier autour de son cou, elle n'était pas encore habituée à sa présence, elle démarra à son tour et hâta le pas en quelques enjambées afin de le rejoindre, mais tout en restant légèrement en retrait derrière lui. |
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| | ♆ Dim 31 Aoû - 15:25 | |
| Elle mis un temps a réagir lorsque son maitre la quitta, il l'observait du coin de l'oeil, remerciant sa longue chevelure blancha cacher son visage. En fait elle était dubitative, ne sachant pas vraiment si elle devait le suivre ou resster planter la. Mais heureusement pour elle, le bon choix fut fait. Renji ne ralenti pas pour autat, il conservait son allure avant de mettre la cpuche de laine sur sa tete pour se proteger du froid et surtout du vent qui transformait se long cheveux d'un blanc pur en fouet cinglant. Elle fini par la rattraper, restant en retrait, c'était une attitude servile, mais en meme temps c'était prévisible, il irradiait la puissance et le charisme de chef, peu de personne osaient marcher a sa hauteur. C'était un excelent moyen d'exciter son orgueil, c'était sa force car il imposait le respect en sachant pertinament qui il était mais aussi sa faiblesse. Il était facille a provoquer et a mettre a dos. Mais dans un souci de bien s'entendre avec son esclave, il ralentis le pas, la forcant a se mettre a son niveau dans un cliquetit de metal entrechoqué de son armure.
Marche a coté de moi, la tete haute et le regard vif, vous n'etes pas n'importe lequel de ces esclaves qui se comporte comme un cloporte, vous etes une Kaijuu maintenant, alors acceptez le fait que tu dois etre fiere, meme dans la douleur.
La fiereté dans la douleur, il en connais un rayon, rien qu'a voir son visage, il avait defendu son honeur et sa fierté, meme si c'était dans un but autodestructeur a la base, il se batait pour l'honneur, en guerrier. Il comptait bien inculquer ces notions a son esclave, c'était vrai, elle était de la famille maintenant, il lui fallait obéir au code d'honneur et honorer le blason familial. Le vieux loup sorti du marché en compagnie de Klimt, passant de petite tapes a l'arriere du crane pour qu'elle reste droite et fiere lorsqu'elle baissait le regard ou se replacait en retrait. Il n'était pas violent, c'était juste une petite tape de rappel, pas un coup véritable... Lorsqu'ils furent a la sortie du marché, une voiture noire laqué les attendait. Le kaijuu poussa le porté et entra sans aucune céremonie, laissant les sons metaliques de ses mouvements couvrir son déplacement dans la limousine. Il y invita l'humaine a prendre place a l'interieur, une fois tout deux entré, il la regarda droit dans les yeux alors que le portié et chauffeur mettait le moteur en route pour se diriger vers la demeure de son maitre.
ON a une bonne grosse demi heure de trajet avec cette circulation, montrez moi vos domaines de competenvces.
La limousine était équipé d'un mini bar, si elle savait y faire avec les boissons ils s'entendraient super bien, si elle comprenait autre chose, ca serait tant mieux pour le loup, meme si sa froideur refroidissait considérablement l'atmosphère, tout comme sa présence en armure dans cette immence limousine. Son épée posé sur un des sieges pour ne pas le gener prenait une place assez consequante dans l'espace tout de meme. Le kaijuu s'étira les jambes et détacha sa cape en laine, gardant toujours les lourdes plaques d'armures sur lui, ne trouvant pas trop d'endroit ou la déposer pour se mettre a son aise.
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