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Ayumi, rentrait comme toujours tard quand elle travailler pour batsuo. Elle était trempé jusqu’au os, l’odeur de ses vêtements la répugné, il l’avait envoyer sur un quai de pécheur. Il fallait qu’elle protége un petit commerçant harceler par cette foutu famille à cornes, tapant dans le trafic. Apparemment le bateau des pécheurs les aider biens. Elle s’était cachée pendant 30 minutes aux milieux de poissons de moins en moins frais. Son pauvre odorat en avait souffert, tout ça pour attendre le grand complet de ceux qui martyrisé le pauvre marchant. Ce fut un jeu d’enfant uns fois tout rassembler, de s’occuper d’eux, surtout qu’il ne s’agissait que de sous fifre.
Enfin bref, enfin elle rentra, enlevant soigneusement ses bottes, posant son long katana sur le support contre le mur. Toujours le même rituel, son long manteau, elle alla l’accrocher dans la penderie, quoi qu’il méritait bien un bon lavage, bon tant pis, elle le fera après un bon bain. Elle traversa la pièce principale, se trouvant salon fort bien agencé, la cuisine dans la pièce arrière, un peu surélevée d’une marche, délimitant ainsi son espace. Un escalier droit, mener à une sorte de couloir, celui donnant sur sa chambre, une salle annexe qui lui servait de débarras, et la salle de bain.
Elle se rendu dans sa chambre, se déshabilla, en face du miroir, elle vit son reflet, le reflet de cette cicatrice énorme, humiliante, ignoble, un cicatrice qui puer le sang, et l’envie de vengeance. Elle passa sa main dessus, puis parti d’un pas vif dans la salle de bain. Elle fit couler l’eau, et une fois le niveau satisfaisant, elle se mit dedans dans un long soupire de détente. Les bras le long du rebord, elle ferma les yeux, calmant peu à pu sa respiration, n’entendant pas un seul son la déranger, peut être appart celui de l’eau.
La détente n’étant de courte durée, ses cauchemars refaisant surface, sa douleur remontant dans ses chairs, elle se reveilla en sursaut, et dans un cris.
Elle se replia sur elle-même, perdu, elle sortit de son bain, s’enveloppa dans une serviette, et alla se coucher, nue, pas encore sèche, mouillant les draps de ses coussins avec ses cheveux trempés, et une nouvelle fois elle s’endormit, persuader que cette nuit sera relativement semblable aux autres, agitées…
Enfin bref, enfin elle rentra, enlevant soigneusement ses bottes, posant son long katana sur le support contre le mur. Toujours le même rituel, son long manteau, elle alla l’accrocher dans la penderie, quoi qu’il méritait bien un bon lavage, bon tant pis, elle le fera après un bon bain. Elle traversa la pièce principale, se trouvant salon fort bien agencé, la cuisine dans la pièce arrière, un peu surélevée d’une marche, délimitant ainsi son espace. Un escalier droit, mener à une sorte de couloir, celui donnant sur sa chambre, une salle annexe qui lui servait de débarras, et la salle de bain.
Elle se rendu dans sa chambre, se déshabilla, en face du miroir, elle vit son reflet, le reflet de cette cicatrice énorme, humiliante, ignoble, un cicatrice qui puer le sang, et l’envie de vengeance. Elle passa sa main dessus, puis parti d’un pas vif dans la salle de bain. Elle fit couler l’eau, et une fois le niveau satisfaisant, elle se mit dedans dans un long soupire de détente. Les bras le long du rebord, elle ferma les yeux, calmant peu à pu sa respiration, n’entendant pas un seul son la déranger, peut être appart celui de l’eau.
La détente n’étant de courte durée, ses cauchemars refaisant surface, sa douleur remontant dans ses chairs, elle se reveilla en sursaut, et dans un cris.
Elle se replia sur elle-même, perdu, elle sortit de son bain, s’enveloppa dans une serviette, et alla se coucher, nue, pas encore sèche, mouillant les draps de ses coussins avec ses cheveux trempés, et une nouvelle fois elle s’endormit, persuader que cette nuit sera relativement semblable aux autres, agitées…
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