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[Je tiens juste à préciser, que, pour la logique de mon histoire, les membres de la famille Kakon ne sont pas les bienvenus ! Cf My story pour + d'infos !]
Le soleil se faisait agressif. Plissant les yeux, la jeune brune prenait soit de rester à l'ombre du parasol que le vendeur avait installé spécialement pour elle et pour d'autres nocturnes. Anzaï était debout, sur une estrade, derriere d'autres esclaves. Un public aux regards vicieux contemplait la marchandise comme un chien contemple un steak. Ecoeurant. La chauve-souris poussa un soupir en entendant le marchand faire la promo de son étale.
"- ILS SONT BEAUX !! ILS SONT JEUNES !! ILS SONT FRAIS !! ILS SONT POUR VOUS !!"
Tsss...Nan...Sérieux...C'est trop naze...On croirait entendre un vendeur de poiscailles !! 'Fin bref...Anzaï n'était plus à ça près, elle en avait vu d'autre, des marchés aux esclaves.
Le nombres de fois où elle s'était retrouvé sur cette estrade était indénombrable...
"- Et c'est repartit..."
Murmura t'elle pour elle même. Cependant, un petit curieux tout jeune l'entendit, et lui répondit :
"- C'est pas la première fois que tu viens là toi...Non ?"
Anzaï jaugea le jeunot. Un humain. Il était petit et brun, une gueule d'ange, des petits yeux noirs et intelligents.
"- L'expression "la première fois" ne fait plus parti de mon vocabulaire gamin..."
Le garçon haussa les sourcil, songeant qu'en effet, la jeune femme semblait avoir vu bon nombre de choses à travers son regard couleur rubis.
"- Oh..."
Se contenta t'il de murmurer.
"-...ET LAISSEZ MOI VOUS PRÉSENTER LE CLOU DU SPECTACLE !!! LA DRESSEUSE DE CHAUVES-SOURIS !! "
Anzaï poussa un nouveau soupir, et se glissa furtivement sous le second parasol dressé au milieux de l'estrade. Elle regarda la populace qui se tenait devant elle d'un air hautain, puis, jaugea le marchand, un homme gras et barbus, avant de lui dire :
"- Vous savez que les chiroptères vivent la nuit n'est-ce pas ? Non parce que, à chaque vous m'obligez à faire ce numéro en espérant qu'il marchera, même avec un soleil à son zénith et une température digne de la sécheresse, et, à chaque fois, j'ai beau appeler autant d'animaux que je veux, il ne se passe rien...Z'êtes sur que vous avez pas alzheimer ?"
Le vendeur d'esclaves poussa un rire gêné. Il souffla à l'esclave :
"- Ferme-la, et essaye...On sait jamais...Ça se trouve, elle viendront quand même tes bestioles ! De toute façon, c'est trop tard, alors fait moi apparaitre ces vermines !!"
Le ton autoritaire qu'il adopta déplut à Anzaï, qui se contenta de lui jeter un regard mauvais, puis, d'appeler mentalement un nuage de chauves-souris, qui ne vint pas, bien entendu.
"- Alors ?" Insista le gros homme.
"- Comme d'habitude m'sieur..."
Le marchant devint pourpre, et gifla Anzaï, qui ne vit rien venir, et qui bascula pour se retrouver sous le soleil tapant. Elle poussa un cris strident, et se dépêcha de revenir à l'ombre.
Une fois à l'abri, elle empoigna le gros par le col, et l'envoya balader dans le public. C'est bien connu, la colère donne des ailles. En l'occurrence, sous l'effet de l'adrénaline, un afflux de force physique enveloppa ses muscles, lui permettant de soulever l'odieux.
"- SALE RAT !!! (ce n'est pas une insulte, le marchant est un Ainoko du rat) VA TE FAIRE FOUTRE !!! J'TE PERMET PAS DE ME TOUCHER CONNARD !!!(là par contre, c'etait une insulte) TU SAIS QUE JE TE BOUFFE SI JE VEUX !! ALORS GARDE TES SALES PATTES LOIN DE MOI !!"
La fureur donnait à Anzaï un aspect terrifiant. Le public recula, effrayé, tandis que la chauve-souris les regardait avec une soif soudaine. Elle retint ses pulsion, et retourna derriere les esclaves.
Le marchand revint sur son estrade, visiblement confus.
"- Hem...Eh bien, voici une ainoko pratique pour soulever de lourde charges ! Je vous la vend pour la modeste somme de 121 090 Yen (correspond à 1000€) !!"
La foule poussa une exclamation de surprise devant le prix de la créature sauvage. Le vendeur se retrouva bientôt seul avec son désespoir.
"- Jamais j'arriverais à te vendre toi..."
Le soleil se faisait agressif. Plissant les yeux, la jeune brune prenait soit de rester à l'ombre du parasol que le vendeur avait installé spécialement pour elle et pour d'autres nocturnes. Anzaï était debout, sur une estrade, derriere d'autres esclaves. Un public aux regards vicieux contemplait la marchandise comme un chien contemple un steak. Ecoeurant. La chauve-souris poussa un soupir en entendant le marchand faire la promo de son étale.
"- ILS SONT BEAUX !! ILS SONT JEUNES !! ILS SONT FRAIS !! ILS SONT POUR VOUS !!"
Tsss...Nan...Sérieux...C'est trop naze...On croirait entendre un vendeur de poiscailles !! 'Fin bref...Anzaï n'était plus à ça près, elle en avait vu d'autre, des marchés aux esclaves.
Le nombres de fois où elle s'était retrouvé sur cette estrade était indénombrable...
"- Et c'est repartit..."
Murmura t'elle pour elle même. Cependant, un petit curieux tout jeune l'entendit, et lui répondit :
"- C'est pas la première fois que tu viens là toi...Non ?"
Anzaï jaugea le jeunot. Un humain. Il était petit et brun, une gueule d'ange, des petits yeux noirs et intelligents.
"- L'expression "la première fois" ne fait plus parti de mon vocabulaire gamin..."
Le garçon haussa les sourcil, songeant qu'en effet, la jeune femme semblait avoir vu bon nombre de choses à travers son regard couleur rubis.
"- Oh..."
Se contenta t'il de murmurer.
"-...ET LAISSEZ MOI VOUS PRÉSENTER LE CLOU DU SPECTACLE !!! LA DRESSEUSE DE CHAUVES-SOURIS !! "
Anzaï poussa un nouveau soupir, et se glissa furtivement sous le second parasol dressé au milieux de l'estrade. Elle regarda la populace qui se tenait devant elle d'un air hautain, puis, jaugea le marchand, un homme gras et barbus, avant de lui dire :
"- Vous savez que les chiroptères vivent la nuit n'est-ce pas ? Non parce que, à chaque vous m'obligez à faire ce numéro en espérant qu'il marchera, même avec un soleil à son zénith et une température digne de la sécheresse, et, à chaque fois, j'ai beau appeler autant d'animaux que je veux, il ne se passe rien...Z'êtes sur que vous avez pas alzheimer ?"
Le vendeur d'esclaves poussa un rire gêné. Il souffla à l'esclave :
"- Ferme-la, et essaye...On sait jamais...Ça se trouve, elle viendront quand même tes bestioles ! De toute façon, c'est trop tard, alors fait moi apparaitre ces vermines !!"
Le ton autoritaire qu'il adopta déplut à Anzaï, qui se contenta de lui jeter un regard mauvais, puis, d'appeler mentalement un nuage de chauves-souris, qui ne vint pas, bien entendu.
"- Alors ?" Insista le gros homme.
"- Comme d'habitude m'sieur..."
Le marchant devint pourpre, et gifla Anzaï, qui ne vit rien venir, et qui bascula pour se retrouver sous le soleil tapant. Elle poussa un cris strident, et se dépêcha de revenir à l'ombre.
Une fois à l'abri, elle empoigna le gros par le col, et l'envoya balader dans le public. C'est bien connu, la colère donne des ailles. En l'occurrence, sous l'effet de l'adrénaline, un afflux de force physique enveloppa ses muscles, lui permettant de soulever l'odieux.
"- SALE RAT !!! (ce n'est pas une insulte, le marchant est un Ainoko du rat) VA TE FAIRE FOUTRE !!! J'TE PERMET PAS DE ME TOUCHER CONNARD !!!(là par contre, c'etait une insulte) TU SAIS QUE JE TE BOUFFE SI JE VEUX !! ALORS GARDE TES SALES PATTES LOIN DE MOI !!"
La fureur donnait à Anzaï un aspect terrifiant. Le public recula, effrayé, tandis que la chauve-souris les regardait avec une soif soudaine. Elle retint ses pulsion, et retourna derriere les esclaves.
Le marchand revint sur son estrade, visiblement confus.
"- Hem...Eh bien, voici une ainoko pratique pour soulever de lourde charges ! Je vous la vend pour la modeste somme de 121 090 Yen (correspond à 1000€) !!"
La foule poussa une exclamation de surprise devant le prix de la créature sauvage. Le vendeur se retrouva bientôt seul avec son désespoir.
"- Jamais j'arriverais à te vendre toi..."
Invité
Invité
La journée n’avait pas super bien commencé pour le Neko au pelage d’azur… non en fait c’était carrément une journée pourrie. Depuis peu, on lui avait retiré son travail au casino du cousin mais c’était pour plus le faire travailler sur autre chose. Il y avait eu ces histoires de disparitions inquiétantes et depuis que le jeune héritier de la famille Meiroo en faisait partie, Jiki, la chef de famille, c’était plus aussi joyeuse. Bon n’ayons pas peur des mots, elle était d’une humeur de chiotte en quasi-permanence. N’ayant pas une confiance absolue en la police de l’île, Ranmaru s’était donc retrouvé à enquêter pour sa famille et jusqu’ici, il n’avait rien obtenu de concluant…
Il poussa un long soupir témoignant bien de la lassitude qui l’animait et sans s’en rendre compte, il était arrivé au marché des esclaves, lieu qu’il ne portait pas dans son cœur. Il avait simplement l’intention de quitter les lieux au plus vite lorsqu’une estrade attira son attention. Dessus, un gros rat tentait de faire la promotion d’une jeune femme, à l’ombre d’un parasol. Ran la regarda un instant, la peau très pale, de longs cheveux sombres et des yeux couleur rubis. Son corps était à la fois, bien fait et en même temps athlétique. Elle fut présentée comme une dresseuse de chauve-souris. Ran avait bien sentie qu’elle n’était pas humaine, ainsi donc, il avait à faire à une Ainoko de la famille des chauves-souris. Il eut un sourire amusé à la remarque de la jeune fille, elle avait parfaitement raison, l’autre andouille pouvait attendre longtemps avant de voir l’ombre d’une chauve-souris par une aussi belle journée ensoleillée. Il sembla que ça dégénéra sur scène peu après, car la pauvre jeune femme se prit une gifle assez méchante. Enfin « pauvre était peut-être surfait comme idée vu qu’elle souleva le vendeur avant de le balancer au travers de la foule. Alors que tout le monde semblait terrifié, Ran, lui, était quasiment mort de rire, en voilà une qui avait un sacré caractère ! Et de toute façon, l’autre tâche l’avait bien mérité. Elle lui plaisait bien mais avait-elle ce qu’il fallait. Ran se hissa tranquillement d’un bon sur l’estrade, n’ayant aucune gêne à s’immiscer ainsi. Cette jeune fille était emprunt de l’odeur du sang, son côté fauve le sentait très bien, elle représentait une aide inestimable pour lui, il lui fallait maintenant l’acquérir. Il commença par s’approcher d’elle, ni trop près, ni trop loin.
Bonjour, belle chiroptère, puis-je connaître votre nom ?
Ran parlait d’une vois calme et posé avec un sourire amical. Cependant, il était parfaitement sur ses gardes. Le tout était de correctement l’aborder, ne pas se montrer hautain avec elle tout en lui faisant comprendre qu’il n’était pas à classer dans la catégorie des faibles ou des proies potentielles. Partir sur un pied d’égalité en somme. Une fois ceci fait, il attendit la réponse de la jeune femme tout en faisant un signe au vendeur pour venir qui se fit très amical à la vue de son bracelet marqué de ses armoiries familiales.
Oui monsieur, cette tar… enfin cette jeune fille vous intéresse ?
En effet.
Je vous la vends pour 1000.
500.
900.
500.
800…
500.
Euh… 700….
500.
600 ?
500.
Bon, d’accord.
Une bonne chose de faite, le vendeur n’avait pas trop cherché à négocier, peut-être souhaitait-il simplement s’en débarrasser au plus vite. Il fallait dire qu’avec son caractère, ça ne devait pas être facile tout les jours, ou simplement ne savait-il pas s’y prendre avec elle…
Ran se contenta de lancer l’argent au vendeur pendant que celui-ci allait s’occuper des formalités nécessaires, ce qui laissait le temps aux deux hybrides de faire connaissance.
Voilà qui est réglé. Permets-moi de me présenter, je m’appelle Ranmaru… Ranmaru Meiroo, ravi de te rencontrer.
Il poussa un long soupir témoignant bien de la lassitude qui l’animait et sans s’en rendre compte, il était arrivé au marché des esclaves, lieu qu’il ne portait pas dans son cœur. Il avait simplement l’intention de quitter les lieux au plus vite lorsqu’une estrade attira son attention. Dessus, un gros rat tentait de faire la promotion d’une jeune femme, à l’ombre d’un parasol. Ran la regarda un instant, la peau très pale, de longs cheveux sombres et des yeux couleur rubis. Son corps était à la fois, bien fait et en même temps athlétique. Elle fut présentée comme une dresseuse de chauve-souris. Ran avait bien sentie qu’elle n’était pas humaine, ainsi donc, il avait à faire à une Ainoko de la famille des chauves-souris. Il eut un sourire amusé à la remarque de la jeune fille, elle avait parfaitement raison, l’autre andouille pouvait attendre longtemps avant de voir l’ombre d’une chauve-souris par une aussi belle journée ensoleillée. Il sembla que ça dégénéra sur scène peu après, car la pauvre jeune femme se prit une gifle assez méchante. Enfin « pauvre était peut-être surfait comme idée vu qu’elle souleva le vendeur avant de le balancer au travers de la foule. Alors que tout le monde semblait terrifié, Ran, lui, était quasiment mort de rire, en voilà une qui avait un sacré caractère ! Et de toute façon, l’autre tâche l’avait bien mérité. Elle lui plaisait bien mais avait-elle ce qu’il fallait. Ran se hissa tranquillement d’un bon sur l’estrade, n’ayant aucune gêne à s’immiscer ainsi. Cette jeune fille était emprunt de l’odeur du sang, son côté fauve le sentait très bien, elle représentait une aide inestimable pour lui, il lui fallait maintenant l’acquérir. Il commença par s’approcher d’elle, ni trop près, ni trop loin.
Bonjour, belle chiroptère, puis-je connaître votre nom ?
Ran parlait d’une vois calme et posé avec un sourire amical. Cependant, il était parfaitement sur ses gardes. Le tout était de correctement l’aborder, ne pas se montrer hautain avec elle tout en lui faisant comprendre qu’il n’était pas à classer dans la catégorie des faibles ou des proies potentielles. Partir sur un pied d’égalité en somme. Une fois ceci fait, il attendit la réponse de la jeune femme tout en faisant un signe au vendeur pour venir qui se fit très amical à la vue de son bracelet marqué de ses armoiries familiales.
Oui monsieur, cette tar… enfin cette jeune fille vous intéresse ?
En effet.
Je vous la vends pour 1000.
500.
900.
500.
800…
500.
Euh… 700….
500.
600 ?
500.
Bon, d’accord.
Une bonne chose de faite, le vendeur n’avait pas trop cherché à négocier, peut-être souhaitait-il simplement s’en débarrasser au plus vite. Il fallait dire qu’avec son caractère, ça ne devait pas être facile tout les jours, ou simplement ne savait-il pas s’y prendre avec elle…
Ran se contenta de lancer l’argent au vendeur pendant que celui-ci allait s’occuper des formalités nécessaires, ce qui laissait le temps aux deux hybrides de faire connaissance.
Voilà qui est réglé. Permets-moi de me présenter, je m’appelle Ranmaru… Ranmaru Meiroo, ravi de te rencontrer.
Ranmaru Meiroo
Ainoko Libre
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568
Réputation :
294
Maître de :
Sacha Anateiva
La foule s'était bien vite échappé, de peur qu'Anzaï leur saute dessus pour leur sucer l'hémoglobine.
La chauve-souris s'était foutue dans une coin, tandis que les autres esclaves s'étaient reculé d'elle, une expression apeurée sur le visage.
Anzaï balaya d'un regard féroce la foule. Il ne restait plus qu'un protagoniste à ne pas avoir fuit. Elle le regarda plus précisément, et elle remarqua qu'il était mort de rire. L'ainoko sentit sa fureur la quitter lorsque le jeune maitre aux cheveux cyan grimpa avec souplesse et d'un bond sur l'estrade.
Un intéressé ? Visiblement oui, puisqu'il demanda à Anzaï son nom d'un ton polit.
Celle-ci murmura d'un air un peu bourru :
"- Anzaï Sakki..."
Jamais, Ô grand jamais elle n'avait vu un maitre regarder comme cela un esclave. Il montrait un respect hors normes, et son ton calme et posé laissait comprendre qu'il n'était pas hautain avec ses esclaves. En voilà une bonne nouvelle ! Peut être que ce maitre là gardera la chauve-souris un peu plus longtemps que les précédents ! Ça ne serait pas du luxe...Enfin, rien n'était sur encore...De plus, il montrait à Anzaï qu'il n'était pas non plus une proie. Une force tranquille, en quelque sorte.
Il devait être un bon maitre. Un de ces rares qui garde leur esclaves longtemps. Un de ceux pour qui les non-libres seraient prêt à faire n'importe quoi.
Rechercher et tuer étant la vocation d'Anzaï, s'il avait besoin d'éliminer quelqu'un, il allait être servit.
Pendant qu'elle le jaugeait, il entama la négociation. La chiroptère remarqua son bracelet qui portait les armoiries de la famille Meiroo.
"Voilà qui explique le changement d'attitude du gros rat...de plus, il a affaire à un chat..."
Chose amusante en effet, puisque le vendeur avait des gènes de rongeur, et l'acheteur était un félin, à en juger par ses oreilles et sa queue de la même couleur que ses cheveux.
Le gros rat céda la chauve-souris pour le prix de 500(€).
Le gros n'avait pas trop insisté...Sans doute à cause du rang de son interlocuteur, et aussi à cause du fait qu'il était trop content de se débarrasser d'Anzaï pour râler.
Le maitre envoya négligemment l'argent au vendeur, qui commença à remplir les papiers.
Pendant ce temps, le félin se présenta. Ranmaru Meiroo...Anzaï ne s'était pas trompé. Elle avait devant elle un des héritier de la famille Meiroo. Pourtant, ce Ranmaru avait la réputation de ne pas aimer le marché aux esclaves, pourquoi venait-il ici alors ? Sans doute Anzaï le saurait-elle lorsque le moment sera venue.
Anzaï ne dit rien, attendant de quitter l'endroit pour faire plus ample connaissance avec son sauveur.
"- Et voilà Monsieur Meiroo...Il vous reste à signer ici, ici, et là...Après cela, Anzaï Sakki vous appartiendra officiellement."
Ça, c'est fait. Enfin, elle allait pouvoir quitter ce trou crasseux, et surtout, pour ne plus revoir cette face de rat qu'elle haïssait tant. Elle regarda le vendeur un moment, puis, lui lança :
"- J'espère que je te reverrais jamais, sale rat...Sinon, tu fera parti de mes contrat..."
Anzaï faisait allusion à son job, qui était d'exécuter les gens sur qui on avait posé des contrats.
La chauve-souris était un redoutable traqueuse, et surtout, une assassine sans pitié. Son regard trahissait son expérience, mais ne laissait voir aucune faiblesse. Même si elle avait du respect pour quelqu'un, s'il fallait le tuer, elle le faisait. C'était pour cela qu'elle ne se liait jamais d'amitié avec personne...Du moins, c'etait sa méthode du moment, et ce genre de chose est susceptible de changer en fonction des gens qu'elle rencontre.
"Allez, signe ça qu'on se casse..." songea t'elle en regardant les papier que le rat tendait au chat.
La chauve-souris s'était foutue dans une coin, tandis que les autres esclaves s'étaient reculé d'elle, une expression apeurée sur le visage.
Anzaï balaya d'un regard féroce la foule. Il ne restait plus qu'un protagoniste à ne pas avoir fuit. Elle le regarda plus précisément, et elle remarqua qu'il était mort de rire. L'ainoko sentit sa fureur la quitter lorsque le jeune maitre aux cheveux cyan grimpa avec souplesse et d'un bond sur l'estrade.
Un intéressé ? Visiblement oui, puisqu'il demanda à Anzaï son nom d'un ton polit.
Celle-ci murmura d'un air un peu bourru :
"- Anzaï Sakki..."
Jamais, Ô grand jamais elle n'avait vu un maitre regarder comme cela un esclave. Il montrait un respect hors normes, et son ton calme et posé laissait comprendre qu'il n'était pas hautain avec ses esclaves. En voilà une bonne nouvelle ! Peut être que ce maitre là gardera la chauve-souris un peu plus longtemps que les précédents ! Ça ne serait pas du luxe...Enfin, rien n'était sur encore...De plus, il montrait à Anzaï qu'il n'était pas non plus une proie. Une force tranquille, en quelque sorte.
Il devait être un bon maitre. Un de ces rares qui garde leur esclaves longtemps. Un de ceux pour qui les non-libres seraient prêt à faire n'importe quoi.
Rechercher et tuer étant la vocation d'Anzaï, s'il avait besoin d'éliminer quelqu'un, il allait être servit.
Pendant qu'elle le jaugeait, il entama la négociation. La chiroptère remarqua son bracelet qui portait les armoiries de la famille Meiroo.
"Voilà qui explique le changement d'attitude du gros rat...de plus, il a affaire à un chat..."
Chose amusante en effet, puisque le vendeur avait des gènes de rongeur, et l'acheteur était un félin, à en juger par ses oreilles et sa queue de la même couleur que ses cheveux.
Le gros rat céda la chauve-souris pour le prix de 500(€).
Le gros n'avait pas trop insisté...Sans doute à cause du rang de son interlocuteur, et aussi à cause du fait qu'il était trop content de se débarrasser d'Anzaï pour râler.
Le maitre envoya négligemment l'argent au vendeur, qui commença à remplir les papiers.
Pendant ce temps, le félin se présenta. Ranmaru Meiroo...Anzaï ne s'était pas trompé. Elle avait devant elle un des héritier de la famille Meiroo. Pourtant, ce Ranmaru avait la réputation de ne pas aimer le marché aux esclaves, pourquoi venait-il ici alors ? Sans doute Anzaï le saurait-elle lorsque le moment sera venue.
Anzaï ne dit rien, attendant de quitter l'endroit pour faire plus ample connaissance avec son sauveur.
"- Et voilà Monsieur Meiroo...Il vous reste à signer ici, ici, et là...Après cela, Anzaï Sakki vous appartiendra officiellement."
Ça, c'est fait. Enfin, elle allait pouvoir quitter ce trou crasseux, et surtout, pour ne plus revoir cette face de rat qu'elle haïssait tant. Elle regarda le vendeur un moment, puis, lui lança :
"- J'espère que je te reverrais jamais, sale rat...Sinon, tu fera parti de mes contrat..."
Anzaï faisait allusion à son job, qui était d'exécuter les gens sur qui on avait posé des contrats.
La chauve-souris était un redoutable traqueuse, et surtout, une assassine sans pitié. Son regard trahissait son expérience, mais ne laissait voir aucune faiblesse. Même si elle avait du respect pour quelqu'un, s'il fallait le tuer, elle le faisait. C'était pour cela qu'elle ne se liait jamais d'amitié avec personne...Du moins, c'etait sa méthode du moment, et ce genre de chose est susceptible de changer en fonction des gens qu'elle rencontre.
"Allez, signe ça qu'on se casse..." songea t'elle en regardant les papier que le rat tendait au chat.
Invité
Invité
Elle était assez peu loquace, sans doute se méfiait-elle encore de lui. Remarque, ce serait bien normal, il eut une petite surprise lorsqu’il entendit son nom. Sakki ? Comme le clan exterminé par les Kakon ? Peu était au courant mais Ran était du genre très bien renseigné. Elle serait sans doute difficile à tenir mais son talent était inestimable. Le vendeur revint très vite avec les papier, lui demandant de signer. Anzai lui fit une sorte d’au revoir sauce personnelle et regarda les papiers d’un œil presque suppliant chez elle. Ran les signa bien vite, histoire d’être enfin tranquille.
Voilà qui est bon Monsieur. C’était…
Casses-toi.
Tout de suite.
Ran l’avait envoyé balader d’une voix plate sans un regard et le rat ne se fit pas prier.
Voilà qui est fait, accordes-moi deux secondes.
Ranmaru descendit de l’estrade et alla acheter une grande cape. C’était un drôle de commerce qui s’était développé en parallèle du marché. La plupart des esclaves étaient souvent vêtus de vêtements très endommagé voir parfois de quasiment rien. Certains maîtres, plus gentil quez d’autres leur acheter ces grandes capes bon marché en attendant de rentrer pour avoir mieux. En l’occurrence, le problème ici était le soleil qui gênait la jeune chiroptère, cela devrait l’aider à le supporter, il y avait même une capuche. Ran remonta voir Anzai et lui mit la cape sur les épaules, pendant qu’elle se l’ajustait, il prit son téléphone et appela chez lui pour qu’une voiture passe le chercher au marché. En temps normal, il adorait marcher mais là il n’allait pas forcer la jeune femme à faire le trajet sous ce soleil de plomb, une voiture aux vitres teintés sera plus agréables.
Et bien, nous y allons Anzai ?
Il lui tendit la main pour l’aider à descendre de l’estrade. Il savait qu’elle n’en avait pas besoin et bien qu’il restait sur ses gardes, cela n’empêchait pas la galanterie non plus. Malgré sa force de caractère, il aimait à rester quelqu’un d’agréable.
Saches que je ne t’ai pas acheté par lubies ni pour faire de toi un assassin ou quoique ce soit du même genre. Tu possèdes d’autres talents ma belle Anzai. Des talents qui te sont uniques et dont je vais avoir besoin. Mais inutile de parler boulot maintenant, cela attendra.
Une fois éloignés du marché, ils tombèrent sur la voiture que Ran avait demandé, simple et discrète, aux vitres teintés, ce qui rendrait le trajet agréable pour la chiroptère. Le chauffeur ne dit rien et vint ouvrir la porte arrière, Ran invita Anzai à s’installer puis monta à sa suite.
En attendant, je te propose de te montrer là où tu vas vivre maintenant. As-tu des questions ?
Voilà qui est bon Monsieur. C’était…
Casses-toi.
Tout de suite.
Ran l’avait envoyé balader d’une voix plate sans un regard et le rat ne se fit pas prier.
Voilà qui est fait, accordes-moi deux secondes.
Ranmaru descendit de l’estrade et alla acheter une grande cape. C’était un drôle de commerce qui s’était développé en parallèle du marché. La plupart des esclaves étaient souvent vêtus de vêtements très endommagé voir parfois de quasiment rien. Certains maîtres, plus gentil quez d’autres leur acheter ces grandes capes bon marché en attendant de rentrer pour avoir mieux. En l’occurrence, le problème ici était le soleil qui gênait la jeune chiroptère, cela devrait l’aider à le supporter, il y avait même une capuche. Ran remonta voir Anzai et lui mit la cape sur les épaules, pendant qu’elle se l’ajustait, il prit son téléphone et appela chez lui pour qu’une voiture passe le chercher au marché. En temps normal, il adorait marcher mais là il n’allait pas forcer la jeune femme à faire le trajet sous ce soleil de plomb, une voiture aux vitres teintés sera plus agréables.
Et bien, nous y allons Anzai ?
Il lui tendit la main pour l’aider à descendre de l’estrade. Il savait qu’elle n’en avait pas besoin et bien qu’il restait sur ses gardes, cela n’empêchait pas la galanterie non plus. Malgré sa force de caractère, il aimait à rester quelqu’un d’agréable.
Saches que je ne t’ai pas acheté par lubies ni pour faire de toi un assassin ou quoique ce soit du même genre. Tu possèdes d’autres talents ma belle Anzai. Des talents qui te sont uniques et dont je vais avoir besoin. Mais inutile de parler boulot maintenant, cela attendra.
Une fois éloignés du marché, ils tombèrent sur la voiture que Ran avait demandé, simple et discrète, aux vitres teintés, ce qui rendrait le trajet agréable pour la chiroptère. Le chauffeur ne dit rien et vint ouvrir la porte arrière, Ran invita Anzai à s’installer puis monta à sa suite.
En attendant, je te propose de te montrer là où tu vas vivre maintenant. As-tu des questions ?
Ranmaru Meiroo
Ainoko Libre
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Maître de :
Sacha Anateiva
Le "casses-toi" de Ranmaru déclencha une vague d'admiration chez Anzaï. Il avait dit ça avec une telle neutralité, comme si le rat était encore de plus bas étage qu'un esclave.
Le vendeur s'en alla sans se faire prier, sous peine de se faire croquer par le Meiroo. Ensuite, il pria Anzaï de lui accorder quelques secondes, et il s'en alla. Il revint avec une cape noire et épaisse. Bien vu le chatton ! Anzaï ayant les gène d'un animal nocturne, la lumière solaire lui était douloureuse, et lui brulait la peau. Peu de maitre aurait eu cette réflexion et cette jugeote. Ranmaru mit la cape sur les épaules de l'esclave, qui l'ajusta, pendant que le maitre passait un coup de fil.
Et bien, nous y allons Anzai ?
Elle acquiesça d'un signe de tête. Il lui tendit la main pour l'aider à descendre, bien qu'elle n'en eut pas besoin. Et justement, parce qu'elle n'en avait pas besoin, Anzaï ignora la bonne manière de son maitre. Comme pour dire "C'est bon, j'ai vécu des années sans toi, tu ne m'es pas indispensable".
En effet, bien qu'esclave depuis belle lurette, la chauve-souris était plus que capable de vivre seule...Chose qu'elle aurait faite si ce rat ne l'avait pas choppé.
Sur le chemin Ranmaru donna quelques explication à l'ainoko. Il ne voulait ni faire d'elle un jouet sexuel, ni une tueuse. Étrange...Qu'avait-elle qui l'intéressait à ce point ? Peut être le fait qu'elle soit "dresseuse de chauve-souris", comme l'avait si bien dit le rat. Mais pour quoi faire ? Cette question allait rester en suspens quelques temps sans doute...
Il s'éloignèrent du marché pour rejoindre une belle voiture noire, mais discrète néanmoins. Anzaï grimpa dedans, suivit de Ranmaru. Les vitre teintée rendait le voyage agréable, et la chauve-souris ôta sa capuche, pour laisser son regard vagabonder à l'extérieur tandis la voiture avançait.
L'intérieur du véhicule était revêtu de tissus imitant le cuir, sans doute par respect pour les ainokos bovins, et d'un beige pale, contrastant avec le noir luisant de la carrosserie.
Devant, un chauffeur en smoking noir conduisait. Il ne lui manquait plus que les lunette de soleil noir et on se serait crut dans Men In Black.
Dehors, la populace déambulait dans les rues. Ainokos, humains, maitres, esclaves, hommes, femmes, enfants...Par un jour comme celui-ci, les gens profitait au maximum du soleil, normal. Anzaï détestait le soleil...Même abrité par un parasol ou une cape, elle considérait le soleil comme un ennemi la mettant à découvert. Logique, étant une fervente admiratrice de la discrétion et de l'ombre, elle était comme à nue, sous la lumière solaire.
Ranmaru la tira de ses pensés en lui proposant de lui montrer l'endroit où elle allait vivre, et en lui demandant si elle avait des questions. Anzaï reflechit. Des questions...hum...Oui, une lui vint en tete...
"- Oui...En fait, ce n'est pas vraiment une question...Mais, comme vous l'aurez remarqué, je suis une ainoko de la chauve-souris...donc, je me nourris de sang...aussi bien animal que humain...Sans ça, je ne puis vivre...Comment comptez-vous faire ? Me laisserez-vous m'alimenter seule à l'exterieur ? Ou préférez vous controler mes consomations ?"
Comme les Kakon autrefois...Tout leur passaient entre les doigts à ceux-là, rien ne pouvait leur échapper...Il contrôlait la moindre goute de sang qui arrivait chez les Sakki.
Aucun tremblement, aucune faiblesse n'étaient audible dans la voix d'Anzaï. On la croirait sortit de l'armée. De plus, elle ne s'adressait à Ranmaru que lorsque c'etait nécessaire...Il lui faudrait certainement quelques temps avant d'amadouer la belle brune...
Le vendeur s'en alla sans se faire prier, sous peine de se faire croquer par le Meiroo. Ensuite, il pria Anzaï de lui accorder quelques secondes, et il s'en alla. Il revint avec une cape noire et épaisse. Bien vu le chatton ! Anzaï ayant les gène d'un animal nocturne, la lumière solaire lui était douloureuse, et lui brulait la peau. Peu de maitre aurait eu cette réflexion et cette jugeote. Ranmaru mit la cape sur les épaules de l'esclave, qui l'ajusta, pendant que le maitre passait un coup de fil.
Et bien, nous y allons Anzai ?
Elle acquiesça d'un signe de tête. Il lui tendit la main pour l'aider à descendre, bien qu'elle n'en eut pas besoin. Et justement, parce qu'elle n'en avait pas besoin, Anzaï ignora la bonne manière de son maitre. Comme pour dire "C'est bon, j'ai vécu des années sans toi, tu ne m'es pas indispensable".
En effet, bien qu'esclave depuis belle lurette, la chauve-souris était plus que capable de vivre seule...Chose qu'elle aurait faite si ce rat ne l'avait pas choppé.
Sur le chemin Ranmaru donna quelques explication à l'ainoko. Il ne voulait ni faire d'elle un jouet sexuel, ni une tueuse. Étrange...Qu'avait-elle qui l'intéressait à ce point ? Peut être le fait qu'elle soit "dresseuse de chauve-souris", comme l'avait si bien dit le rat. Mais pour quoi faire ? Cette question allait rester en suspens quelques temps sans doute...
Il s'éloignèrent du marché pour rejoindre une belle voiture noire, mais discrète néanmoins. Anzaï grimpa dedans, suivit de Ranmaru. Les vitre teintée rendait le voyage agréable, et la chauve-souris ôta sa capuche, pour laisser son regard vagabonder à l'extérieur tandis la voiture avançait.
L'intérieur du véhicule était revêtu de tissus imitant le cuir, sans doute par respect pour les ainokos bovins, et d'un beige pale, contrastant avec le noir luisant de la carrosserie.
Devant, un chauffeur en smoking noir conduisait. Il ne lui manquait plus que les lunette de soleil noir et on se serait crut dans Men In Black.
Dehors, la populace déambulait dans les rues. Ainokos, humains, maitres, esclaves, hommes, femmes, enfants...Par un jour comme celui-ci, les gens profitait au maximum du soleil, normal. Anzaï détestait le soleil...Même abrité par un parasol ou une cape, elle considérait le soleil comme un ennemi la mettant à découvert. Logique, étant une fervente admiratrice de la discrétion et de l'ombre, elle était comme à nue, sous la lumière solaire.
Ranmaru la tira de ses pensés en lui proposant de lui montrer l'endroit où elle allait vivre, et en lui demandant si elle avait des questions. Anzaï reflechit. Des questions...hum...Oui, une lui vint en tete...
"- Oui...En fait, ce n'est pas vraiment une question...Mais, comme vous l'aurez remarqué, je suis une ainoko de la chauve-souris...donc, je me nourris de sang...aussi bien animal que humain...Sans ça, je ne puis vivre...Comment comptez-vous faire ? Me laisserez-vous m'alimenter seule à l'exterieur ? Ou préférez vous controler mes consomations ?"
Comme les Kakon autrefois...Tout leur passaient entre les doigts à ceux-là, rien ne pouvait leur échapper...Il contrôlait la moindre goute de sang qui arrivait chez les Sakki.
Aucun tremblement, aucune faiblesse n'étaient audible dans la voix d'Anzaï. On la croirait sortit de l'armée. De plus, elle ne s'adressait à Ranmaru que lorsque c'etait nécessaire...Il lui faudrait certainement quelques temps avant d'amadouer la belle brune...
Invité
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Pour le moment, Anzai restait très méfiante avec lui, ne parlant que le strict minimum et refusant ses politesses. La circulation étant encombré, il leur faudrait du temps pour arriver au manoir des Meiroo, ce qui laissait le temps de discuter, pour que Ran la mette un peu plus à l’aise. Elle lui posa une seule question, liée à son régime alimentaire. Le neko avait eu de gros doute à ce sujet et apparemment, ils étaient fondés.
Et bien, de toutes les espèces de chauves-souris, tu as hérité des gênes de l’une des trois espèces de la famille des Desmondotidae, les seules à s’alimenter de sang.
Ran connaissait un peu son sujet, il était plus malin que ce que beaucoup croyait. Bon le régime alimentaire de la jeune allait poser quelques problèmes mais il avait déjà quelques idées à ce sujet.
Et bien, vu que je n’aime guère les ennuis inutiles, je voudrais que tu ne t’attaques à personne, c’est la seule grosse concession que je te demande. Je vais m’arranger pour nous faire livrer des poches de sang médical, pourras-tu t’en contenter dans un premier temps ? J’ai certes quelques autres idées mais plus difficile à mettre en œuvre pour le moment.
Il est sûr que si certaine rumeurs courants sur les Sakki étaient fondées, il aurait un peu de mal à tenir la jeune femme mais elle semblait intelligente et raisonnable, ils devraient bien arriver à un terrain d’entente.
Tu as d’autres questions sinon ? N’hésites pas à me demander si quoique ce soit te dérange.
Le neko essayait de la mettre le plus à l’aise possible, histoire qu’elle quitte un peu son visage martial et desserre les dents pour lui parler un peu.
Et bien, de toutes les espèces de chauves-souris, tu as hérité des gênes de l’une des trois espèces de la famille des Desmondotidae, les seules à s’alimenter de sang.
Ran connaissait un peu son sujet, il était plus malin que ce que beaucoup croyait. Bon le régime alimentaire de la jeune allait poser quelques problèmes mais il avait déjà quelques idées à ce sujet.
Et bien, vu que je n’aime guère les ennuis inutiles, je voudrais que tu ne t’attaques à personne, c’est la seule grosse concession que je te demande. Je vais m’arranger pour nous faire livrer des poches de sang médical, pourras-tu t’en contenter dans un premier temps ? J’ai certes quelques autres idées mais plus difficile à mettre en œuvre pour le moment.
Il est sûr que si certaine rumeurs courants sur les Sakki étaient fondées, il aurait un peu de mal à tenir la jeune femme mais elle semblait intelligente et raisonnable, ils devraient bien arriver à un terrain d’entente.
Tu as d’autres questions sinon ? N’hésites pas à me demander si quoique ce soit te dérange.
Le neko essayait de la mettre le plus à l’aise possible, histoire qu’elle quitte un peu son visage martial et desserre les dents pour lui parler un peu.
Ranmaru Meiroo
Ainoko Libre
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Sacha Anateiva
Rare sont ceux qui sont aussi bien renseigné sur les chiroptère buveuse de sang. Ranmaru était plus intelligent qu'il n'en avait l'air. Anzaï elle même n'avait qu'une vague idée de la race animale à laquelle elle appartenait.
"- En effet, c'est juste. Les Sakki sont pourvut des gênes du Desmodus rotundus, ou plus simplement, du vampire commun."
Du sang médical ? Du sang cloné ? berk...Les globules rouges en sachets n'ont pas la saveur du véritable sang chaud pompé par un cœur en pleine santé...Mais il faudrait faire avec...Anzaï n'avait pas le choix...Et au pire, elle mangerait des steaks saignants...Très saignants...
"- Ok pour le sang médical, je m'en contenterais..."
"...Pour le moment du moins...Non, je ne dois pas penser comme ça, je dois être sage..."
Lorsqu'on a passé sa vie à tuer pour vivre, certains instincts ne nous quitte pas comme cela...C'est ce qu'il se passait pour Anzaï, la jeune ainoko ayant un gout assez prononcé pour l'hémoglobine.
"Je ne suis pas qu'une bête, je suis une humaine aussi..." En effet, à moitié, du moins.
La vie des ainoko n'était pas si simple, certains étant déchiré entre leur deux natures, humaine et animal, certain plus humain, d'autre plus sauvage...Le juste milieux était plutôt rare chez les hybrides.
Tu as d’autres questions sinon ? N’hésites pas à me demander si quoique ce soit te dérange.
Ranmaru se forçait à mettre la chauve-souris plus à l'aise. Celle-ci avait bien du mal à se défaire de sa méfiance, ce sentiment qui l'accompagnait tout le temps depuis le massacre de sa famille.
Cependant, elle remarqua les effort du neko, et elle lui esquissa un tout petit sourire en coin accompagné de quelque mots :
"- Ça ira pour le moment...Merci..."
Elle regarda un instant la petit chat bleu, le détaillant furtivement. Son look indiquait clairement, par les couleurs vives qu'il portait, qu'il aimait profiter de la vie, voire, la croquer à pleine dents. Du moins, c'etait l'interprétation qu'en faisait Anzaï. Ses oreilles félines cyan assortit à la couleur de ses cheveux frémissait, comme celle d'un véritable chat. Rarement, Anzaï ou autre membre de la famille Sakki avait eu l'occasion de rencontrer un Meiroo. Mais ceux qui avait eu cette chance avait assuré que ça changeait des Kakon avec leur plumes sombres. Oiseaux de malheur, les appelait-on...Ce nom leur va à merveille, puisque eux-même l'adopte...
Anzaï réfléchit...avait-elle d'autres questions ? Non...Le problème de son régime alimentaire était plus ou moins résolu, comme avec ses précédent maitres. Elle ne souhaitait pas désobéir à Ranmaru, étrangement. Pourquoi ? Pour rester le plus longtemps sous sa direction sans doute...De plus, il avait besoin d'elle. Pourquoi ? Cette question trottinait dans la tête de la chiroptère, elle avait hâte de savoir pourquoi le Meiroo avait besoin d'un tueuse, puisqu'il ne voulait pas lui faire commettre de meurtres justement...
Tout en songeant, le regard couleur rubis d'Anzaï vagabondait dehors, ou dans la voiture. Elle s'arrêtait parfois sur son maitre, inconsciemment, elle le dévisageait quelque secondes, puis, elle regardait ailleurs ensuite...
Elle avait hâte d'arriver au manoir...
"- En effet, c'est juste. Les Sakki sont pourvut des gênes du Desmodus rotundus, ou plus simplement, du vampire commun."
Du sang médical ? Du sang cloné ? berk...Les globules rouges en sachets n'ont pas la saveur du véritable sang chaud pompé par un cœur en pleine santé...Mais il faudrait faire avec...Anzaï n'avait pas le choix...Et au pire, elle mangerait des steaks saignants...Très saignants...
"- Ok pour le sang médical, je m'en contenterais..."
"...Pour le moment du moins...Non, je ne dois pas penser comme ça, je dois être sage..."
Lorsqu'on a passé sa vie à tuer pour vivre, certains instincts ne nous quitte pas comme cela...C'est ce qu'il se passait pour Anzaï, la jeune ainoko ayant un gout assez prononcé pour l'hémoglobine.
"Je ne suis pas qu'une bête, je suis une humaine aussi..." En effet, à moitié, du moins.
La vie des ainoko n'était pas si simple, certains étant déchiré entre leur deux natures, humaine et animal, certain plus humain, d'autre plus sauvage...Le juste milieux était plutôt rare chez les hybrides.
Tu as d’autres questions sinon ? N’hésites pas à me demander si quoique ce soit te dérange.
Ranmaru se forçait à mettre la chauve-souris plus à l'aise. Celle-ci avait bien du mal à se défaire de sa méfiance, ce sentiment qui l'accompagnait tout le temps depuis le massacre de sa famille.
Cependant, elle remarqua les effort du neko, et elle lui esquissa un tout petit sourire en coin accompagné de quelque mots :
"- Ça ira pour le moment...Merci..."
Elle regarda un instant la petit chat bleu, le détaillant furtivement. Son look indiquait clairement, par les couleurs vives qu'il portait, qu'il aimait profiter de la vie, voire, la croquer à pleine dents. Du moins, c'etait l'interprétation qu'en faisait Anzaï. Ses oreilles félines cyan assortit à la couleur de ses cheveux frémissait, comme celle d'un véritable chat. Rarement, Anzaï ou autre membre de la famille Sakki avait eu l'occasion de rencontrer un Meiroo. Mais ceux qui avait eu cette chance avait assuré que ça changeait des Kakon avec leur plumes sombres. Oiseaux de malheur, les appelait-on...Ce nom leur va à merveille, puisque eux-même l'adopte...
Anzaï réfléchit...avait-elle d'autres questions ? Non...Le problème de son régime alimentaire était plus ou moins résolu, comme avec ses précédent maitres. Elle ne souhaitait pas désobéir à Ranmaru, étrangement. Pourquoi ? Pour rester le plus longtemps sous sa direction sans doute...De plus, il avait besoin d'elle. Pourquoi ? Cette question trottinait dans la tête de la chiroptère, elle avait hâte de savoir pourquoi le Meiroo avait besoin d'un tueuse, puisqu'il ne voulait pas lui faire commettre de meurtres justement...
Tout en songeant, le regard couleur rubis d'Anzaï vagabondait dehors, ou dans la voiture. Elle s'arrêtait parfois sur son maitre, inconsciemment, elle le dévisageait quelque secondes, puis, elle regardait ailleurs ensuite...
Elle avait hâte d'arriver au manoir...
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Ranmaru Meiroo
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