Bon séjour sur Saol Eile

Repliée sur elle même au fond de son boxe la jeune femme ne dit rien elle ne bouge presque pas… Elle sait qu’elle a fait un grosse bêtise, mais elle ne veut pas qu’on le lui dise.. Ca fait trop peur les bêtise, elle ne voulait pas empoisonner son maître, mais il lui a fait si peur… Avec sa folie dans le regard.. On aurais presque dit qu’il était en manque et sur le point de la tuer, alors elle avait réagi elle s’était défendue… Mais c’était la mauvais solution puisqu’elle se retrouvait dans cet endroit … Ca fait mal a son pauvre cœur, qui n’est pas très solide déjà…

Mais ici ça fait encore plus mal.. Parce que même si la maîtresse leur a donner de quoi tirer son lait, les homme son trop occuper pour le faire, ce qui fait que cela fait deux jour qu’elle n’a plus été traie.. et ça fait mal… Ses seins son gonfler, pointant sous sa robe noir et blanche.. ces yeux bleu, doux son emplis de douleur, et de tristesse, oreilles basse, elle balance ça queue, elle ne semble pas prête a se rebeller…

Tant pis elle ne tiens plus ça fait trop mal… Doucement elle relever sa robe dévoilant un short très courts ; et des sein assez gros… au tétons dresser pointant au loin.. La jeune femme pose ces mains sur ces seins, poussant un soupire de douleur… Mon dieux ça fait longtemps qu’il n’on plus été aussi douloureux…

Mais elle ne peut pas se les masturber elle même c’est interdit, sa maîtresse, et son maître le lui on dit tellement de ne pas le faire, oui mais la elle a l’impression qu’il vont éclater… Le regard de la jeune femme se promène de droite a gauche, ces mains caressant ces seins comme pour les apaiser.. Ca marche un peu… Sa clochette bougeant au rythme de ce mouvement de tête…

Personne autour parfait.. La jeune femme viens prendre ces téton entre ces doigts, et tire doucement dessus, faisant des aller et retours, le lait coulant sur ces doigts, tant pis c’est du gâchis, mais cela fait du bien, le soupire de soulagement qui lui est tirer…

Soudain la porte s’ouvre et elle se rhabille, le lait mouillant ces vêtements, les rendant un peu transparents, elle se recroqueville un peu plus contre le murs sans oser bouger d’un seul millimètres… Si quelqu’un viens et lui fait du mal… La jeune femme ne veut pas qu’on lui fasse du mal, elle fera tous ce qu’elle peut si quelqu’un la prends… Les oreilles basse, elle ne regard pas la porte surtout pas…

Il faisait beau aujourd'hui. Encore une fois, Ran et Yuya ce baladaient dans les ruelles marchandes. Le soleil tappait sur les tete chauffant les idées farfelus du couples d'amis. Yuya profitait tous les jours de son maitre, elle etait tellement heureuse avec lui.
Ils avaient fait encore pleins d'acahts, mais cette fois, elle le meritait. Elle avait beaucoup travaillé chez les Meiroo, bon seulement dans le quartier de son maintre, mais elle avait bien travailler ^^ Il en profita donc pour aller faire les boutiques

Apres des heures de marches, Yuya avait tres envie de faire ses besoins (et oui lol). Elle fit signe a son maitre d'aller un peut plus loin pour pouvoir faire. Ils se deplacerent, mais Ran resta un peu en arriere, apres tout, elle n'a pas besoin d'aide lol.

Elle se dirige vers un box, il semblait abandonné. Il etait en piteuse etat. Elle commence a franchir la porte menant a l'interieur. Elle entendit un peu de bruits, mais de mots disant de s'en aller

(peut etre un rat ...)

Elle rentre en ouvrant la porte en grand, laissant entrer la lumiere dans la piece restrainte. Yuya fit les grands yeux, une jeune fille, toute seule etait la, elle semblait mal. Elle s'approche a grand pas, se mit a genoux a ses cotés

"mademoiselle !! vous allez bien ?"

elle posa sa main sur son epaule, a son opposé comme pour la rassurer

"maitre Ran !!!"

cria t elle, elle attendait ca venu en lui carressant ces cheveux

"ne t'inquiete pas, tu n'as rien a craindre ^^"

il lui sourit tendrement

Aujourd’hui Ran et Yuya se promenaient tranquillement en ville. Même si au début, Ran trouvait ça ennuyeux d’avoir un esclave, la présence de la jeune femme changea bien vite son point de vue, elle était douce, gentille et sympathique, le neko s’était rapidement attaché à elle et cela semblait réciproque. Elle était en plus très travailleuse et faisait de son mieux dans ses quartiers comme partout ailleurs. Pour lui faire plaisir, il l’avait emmené faire les boutiques. Alors qu’ils se promenaient, ils passèrent aux abords du marché aux esclaves. Ranmaru avait toujours détesté cet endroit mais en se rappelant y avoir rencontré la jeune humaine, il paraissait tout de suite moins sombre. Soudainement, la jeune femme exprima son désir d’aller là où on va seul et Ran l’attendait un peu plus loin. Ran entendit soudainement Yuya l’appeler très fort et ayant soudainement peur qu’on s’en prenne à elle, il se précipita dans le bâtiment d’où venait le cri, prêt à se transformer et égorger toutes personnes mal intentionnées. Quand il entra, il trouva Yuya penché aux bords d’une cage, en train d’essayer de calmer une jeune fille recroquevillée et terrifiée. Ran vit qu’il s’agissait d’une Ainoko, de type vache plus précisément si on se fiait à ses attributs animaux. En plus il sentait l’odeur familière du lait et en voyant la flaque blanche au sol et l’humidité sur la robe de la jeune fille, cela semblait encore plus logique. Ran essaya de lui parler le plus gentiment possible.

Bonjour. N’ai pas peur, on ne va pas te faire mal. Comment t’appelles-tu ?

Ran se fit ensuite accoster par le vendeur, un gros Ainoko taupe, qui visiblement avait oublié d’aller prendre un bain, ce bouge était donc un magasin.

La jolie vachette vous intéresse-t-elle ? Elle est mignonne, soumise et son lait est délicieux, vous pourrez faire ce que vous voulez d’elle.

Ran n’aimait pas ce genre d’homme, il se contenta de lui faire un regard menaçant de prédateur.

Combien ?

Je vous la fais à 1500 monsieur.

Ran posa son regard encore plus intensément, faisant transpirer la taupe à grosse gouttes.

Euh… mais je vous fais une remise monseigneur, 500 pour vous.

Ran lui balança l’argent et lui prit la clé des mains avant d’ouvrir la cage et d’aller tendre la main à la vachette avec un grand sourire.

Viens avec nous, là où on va, personne ne te fera plus de mal…

Il lança ensuite un regard gênée à Yuya, elle qui s’était attachée à lui, allait peut-être lui faire la tête pour son achat sur coup de tête justement. Mais il était sûr d’une chose, ni l’un, ni l’autre n’avait le cœur de la laisser là…

La jeune femme ne sait plus trop ou elle en est, cet endroit elle le déteste, elle aimait bien son ancienne maison, mais ici, tout le monde lui faisait, peur, en plus elle avait envie de pleurer, mais elle ne pouvait pas.. Sinon les autre se fâche… Oui elle ne veut pas qu’il se fâche.. Des pas elle les entends, léger très léger, quelqu’un qu’elle ne connais pas l’odeur , elle ne la connais pas non plus…
Non qu’elle n’approche pas, les nouvelles personne lui font peur, en fait le monde lui fait peur… Elle sait qu’elle n’est rien de plus qu’une chose que l’on utilise pour jeter ensuite…

Non elle a peur quand on l’approche, penchant un peu plus la tête elle cherche a se cacher pas facile, avec la paire de seins qu’elle se paye.. Une femme.. les femmes elle sont douce, moins brutal que les hommes… La jeune femme redresse un instant le regard.. avant de le baisser, une humaine, elle lui font peur aussi, sa mère lui racontait comment les humains traitait les vache, et ça fait peur… Si quelqu’un la traite comme cela… Oui oui la jeune femme s’imagine de drôle de chose des fois…

Maître elle appelle son maître, mais elle n’a rien fait de mal, les larmes monte un peu plus au yeux de la vachette, rendant son regard bleu aussi brouiller qu’un jours de pluie…. Les maître il font peur, il peuvent être méchant, très méchant… Pas peur, il ne fallait pas qu’elle aille peur, c’est ce qu’il a dit le chat….

« Mi..mi..miruku »

Elle a réussi a parler c’est déjà pas mal…. Garder la tête baissée, sans boucher, elle sent bien la mains de la jeune femme sur son épaules, et elle n’ose pas bouger.. Les yeux fermer elle cherche a oublier tous ce qu’il y a autour d’elle… Elle entends pourtant l’homme parler, il veut l’acheter.. Mais mais, il vas faire quoi d’elle… Elle sent les larmes couler le long de ces joues, a la douleur de ces seins trop gonfler se rajoute un autre peur… Elle entends la porte s’ouvre et ces yeux qui s’ouvre pour voir l’homme qui est devenus son maître..

Regarder la main du jeune homme, avant de regarder la jeune femme.. Troublée elle ne sait pas trop que faire.. Poser en délicatesse sa mains tremblante dans celle de l’homme…

« Pas de..de mal… C’est..c’est vrai ? »

La jeune femme eu un sourire timide a travers ces larmes, se redressant doucement elle poussa un petit cris de douleur, ces seins était bien trop douloureux… Doucement lâcher la mains du jeune homme , et passer ces bras sous sa poitrine la soutenant, en poussant un petit gémissement…

« Je.. J’ai.. be..be..soin.. Du..du..de..la .tr..trayeuse…. »

La jeune femme rougit violemment, déjà qu’elle n’avait pas parler fort, en plus elle ne savait plus ou se mettre sa clochette sonnant a son cou… Les larmes coulant un peu plus vite sur ces joues, la jeune vachette était complétement perdue dans un monde qu'elle ne connaissait pas et qui lui faisait peur..

Yuya ecouta son maitre. Il acheta la jeune vachette. Elle eut comme un picement au coeur, le maitre etait tellement gentil. Et voila, elle n'etait plus l'unique maintenant. Mais Yuya ne voyait que le bien dans cette action, une nouvelle amie peut etre, mais aussi peut etre une rivale. En attendant, elle avait tout pour lui plaire. Le physique, le lait, la timidité, tout ce que Maitre Ran aimait. Neanmoins, elle cachait sa jalousie vraiment tres bien, elle n'etait pa mechante, elle ne montrait rien, rien. Elle remarqua le regard gené de Ran, elle lui reponds par un sourire.

La jeune vachette pleurait dans ses bras, elle sortit en ne faisant pas attention a elle, peut etre avait elle peur des humains, ou des inconnus. Pourtant elle attrappa la main de Ran, se relve et place ses bras sous sa poitrine. Yuya rougit, elle ne savait pas trop quoi faire, c'etait la premiere fois qu'elle voyait ca.
L'homme taupe n'etait pas loin, il regardait Yuya des pieds a la tete, une main dans sa poche, elle bougereait au niveau de son entre jambe, elle ne fit pas trop attention meme si elle avait bien vu son idee deguellasse.

Yuya se redresse et rejoinds son maitre et la vachette, elle reclama un trayeuse. Yuya tourne sur elle meme et remarque l'objet en question, elle va le chercher et le ramene en le tendant a son maitre

"je pense qu'elle a mal, vous devriez vous en occuper, je ne me sens pas tres bien, je vous attend dehors ^^"

elle faisait allusion a plusieurs choses, dont le marchand et la situation dans laquelle ils se trouvaient. Elle sortit de la piece et les entendirent a l'exterieur

Elle le cachait très bien mais Ran sentait très bien que Yuya était mal à l’aise, elle s’était attachée à lui et avait peur de le perdre. Il était vrai que Miruku avait tout pour plaire, le physique, l’innocence et le lait mais Yuya avait une place bien particulière dans le cœur de Ran et ça, la vachette ne l’enlèverais pas. Mais il est sûr que la cohabitation allait être difficile. Cependant, il ne regrettait pas son achat vu le proprio des lieux. En parlant de ce dernier Ran l’observe en train de se tripoter tout en regardant Yuya l’air dégelasse. Il garde son calme mais boue intérieurement d’une envie folle de le déchiqueter. Il pose son regard sur le vendeur et ce dernier le sens, quand il tourne la tête vers le neko, celui-ci commence une petite transformation partielle, ses yeux deviennent ceux d’un fauve et il montre très discrètement ses ongles qui sont en train de se changer en griffes. C’est trop pour la grosse taupe qui décide, apeurée, d’aller voir s’il y a mieux à faire en arrière-boutique.

Sale porc, la prochaine fois, je l’égorge !

Pendant ce temps, la vachette commença à souffrir en se tenant la poitrine et réclama la trayeuse. Yuya tend l’objet à Ran qui commence à faire le calcul dans sa tête en se rappelant avoir à faire à une Ainoko de type vache. Gênée, Yuya préféra attendre dehors.

Non Yuya, attends s’il-t…

Trop tard, elle était déjà sortit et attendait dehors, tout cela avait dû trop peser sur ses nerfs et Ran se promit de se faire pardonner du mieux qu’il pourrait. Il préférait quand la jeune femme lui souriait. En attendant, il avait un autre problème, il était rouge de gêne et ne savait pas trop quoi faire avec l’engin.

Euh… Miruku, qu’est-ce que je dois faire avec ça ?

C’est pas qu’elle n’aimait pas, la jeune femme, c’est juste qu’elle lui faisait peur, c’est la premières fois qu’elle voyait une humaine d’aussi prés.. Chez elle il n’y avait que des hybrides, son maître ne supportant pas les simple humain… Alors il lui faisait peur… En fait elle avait peur de tout….
Elle voyait bien le regarde de l’homme taupe, mais pour elle s’était habituelle, qu’elle l’ignora complètement… Sa queue balançant doucement dans son dos… C’est la faute des vendeur si elle ne peut pas bouger pour l’instant le moindre pas tire sur sa poitrine, et lui tire un cris…

Un sourire timide a la jeune femme, quand elle amena ce qu’elle a demander, elle sait qu’elle n’aurais pas du se plaindre, mais ça faisait trop mal…
La jeune vachette regard avec étonnement la jeune humaine partir… Pourquoi elle pars, elle a fait quelque chose de mal… Les oreilles de la jeune femme se rebâtir en douceur sur sa tête, il allait la punir.. C’est certain elle avait fait une bêtise…

Mais quand le jeune homme parla, elle releva la tête, timide, il ne semblait pas avoir envie de lui faire du mal…. Qu’est ce qu’il devait faire avec cela… Un sourie timide naquit sur le visage de la jeune femme, éclairant un instant son instant son visage maculer de larmes….
Un mouvement sans gêne, pour elle c’est habituelle, elle détacha son haut… Dévoilant ces seins bien trop gonfler… Un gémissement encore, il était vraiment temps de le faire, ça fait vraiment un mal de chien…

« Je..je..peu..peu, le faire tou..te …seul… »

La jeune femme eu un sourire tendant la main vers les bout de la trayeuse, sans hésiter une seconde elle placa le premier sur son sein, allumant du même coup l’aspiration… Un soupire de plaisir quand elle sentit le mouvement de succion… Un mouvement pour mettre le deuxième… Et le liquide blanc coula doucement dans les tuyaux.. Jusqu'à un bouteille….. Ca soulage…

« Y..y en…en a que..que pour ..une..une..Mi…minute… »

C’est vrai elle va pas se traire totalement, si l’homme avait envie de goûter a même le pis… Pendant la traite la jeune femme ne pouvait s’empêcher de pousser de petit soupire de plaisir, le soulagement était t’elle, qu’elle se laissait aller, restant debout pendant que son lait été aspirer par la machine…. Les yeux fermer, elle laissait faire la machine, offerte, combien de fois, a quatre patte, l’homme qui était son maître avait abuser d’elle, mais elle y pensait…

« Vous..Vous ne ..préférez pas..Que..Que je …me met…te a quatre patte ? »

Mais ou était la jeune humain, dehors c’est dangereux , très dangereux….

Ran remarqua que Miruku semblait avoir un peu peur de Yuya, peut-être avait-elle peur des humains en général. Quand la jeune humaine quitta l’endroit, Ran vit la vachette baisser les oreilles et prendre la moue d’une petite fille en faute. Il lui caressa gentiment la tête pour la rassurer.

Ne fais pas cette tête, je ne vais pas te punir. Yuya est très gentille, c’est juste qu’elle est un peu gênée par la situation, ne t’en fais pas.

La vachette lui sourit timidement, c’était déjà une amélioration. Le neko se mit à rosir quand elle dévoila sa poitrine, l’air peu gênée par la situation. Elle attrapa le bout de la trayeuse et se l’installa d’elle-même, lui tirant des soupirs de satisfaction à chaque secondes où la machine lui aspirait le liquide blanc. Ran détourne le regard bien que la vachette n’ai pas spécialement l’air gênée de d’avoir son imposante poitrine à l’air. Elle lui demande après si elle doit se mettre à quatre pattes et le neko ne comprend pas ce qu’elle lui demande sinon il aurait tiré une autre tête.

Euh… non, pas spécialement, mets-toi comme il te convient.

Ran s’inquiétait de plus en plus pour Yuya, il n’aimait pas la savoir seule ici. Il avisa à droite et à gauche, s’assurant que le magasin était bien désert et regarda la vachette.

Je reviens dans une petite minute Miruku, je vais voir ce que fait Yuya, ne t’inquiètes pas, on ne t’abandonne, prends ton temps pour finir tranquillement.

Il agrémenta la réponse d’un sourire sympathique pour la rassurer et sortit de la boutique. Yuya était proche du mur, juste à côté de la porte et comme il soupçonnait, certains commençaient à la regarder d’un air intéressé. Ran passa le bras autour de la nuque la jeune femme, la serrant contre lui et montrant bien son bracelet orné de son sceau. Cela accompagné d’un de ses regards menaçants dont il avait le secret eut vite fait de faire fuir tous les idiots. Il sourit tendrement à la jeune humaine.

Pardonnes-moi Yuya, j’ai agi sur un coup de tête… Mais je te promets que la présence de Miruku ne changera rien, tu seras toujours spéciale pour moi mon petit chaton.

Il lui posa ensuite un petit bisou sur la joue.

Et je ferais tout ce que tu veux pour me faire pardonner…

Lui avait-il dit tout bas, il ferait tout pour que la jeune fille lui pardonne et il tiendrait parole.

Emmenons Miruku et rentrons à la maison. Promets-moi aussi que l’on ne reviendra plus ici, sinon le manoir risque d’être trop petit à ce rythme^^

Une petite note d’humour dont il avait le secret, voulant ramener le sourire à Yuya alors qu’il l’emmenait avec lui dans la boutique pour emporter la jeune Ainoko avec eux.

Yuya etait a l'exterieur, elle ne savait pas ce qui ce passé. Elle avait plein d'idees en tete, tous aussi farfelus les uns que les autres. Elle approuvé a 100% la descision de son maitre, elle semblait si malheureuse dans la cage cette petite vachette si jolie

Dehors il faisait beau, et beaucoup de monde passait pres d'elle, certains hommes et femmes se retournaient sur son passage. Yuya n'etait pas vraiment belle, mais elle etait bien dans sa tete et dans son corps, ca y joue sur le physique. Ca la rendait un peu sure d'elle et plus coquette, donc, cette attirance etait constante, comme un miel qui attire les abeilles.

En parlant d'abeille, alors qu'elle etait perdu dans ses pensées, Ran sortit du magazin delabrée. Il semblait inquiet. Yuya le vit arriver, elle lui sourit pour lui assurer que tout aller bien. Sans attendre, il la prit dans ses bras. Il lui dit des mots doux, des promesses

"heu ... non Maitre Ran, vous avez bien fait !"

dit elle d'un ton sure, il lui promet de repondre a tus ses caprices, a ses demandes. Yuya rougit, ses bras etaient forts et protecteurs, ca la rassurée. Son baisé sur la joue la fit fremir.
Sur un ton amusé, elle dit

"attention je risuqe d'en profiter ..."

Pourquoi ce faire pardonner ? Yuya allait avoir une nouvelle amie, et puis il etait son maitre, il fait ce qu'il veux ... Neanmoins, elle sourit de ces paroles, elle etait heureuse qu'il accorde tant d'importance a elle
Elle releve la tete suite a ce derniere phrase, plus personnes ne la regarde, elle etait la propriété de Ran maitnenant.

"oui amenons la a la maison, elle sera mieu, plus en securité ^^"

elle l'embrasse furtivement sur les levres, comme une amie pourrait le faire a son autre ami. Elle rougit, car pour elle, c'etait plus qu'un baisé amical. Elle se detache de lui et avance vers la porte

"maitre, allez la chercher .. moi je me sens mal a l'aise avec le marchand a coté ..."

elle sourit, a coté de la porte, elle attendait sa future amie de chambre

Yuya ne semblait pas être trop embêtée par ce qu’il venait de se passer, Ran espérait qu’il en serait ainsi pour longtemps, il aimait la jeune humaine et ne voulait pas qu’elle lui fasse la tête par jalousie. C’est pourquoi il lui répond d’un ton doux.

Bien sûr, tu peux profiter de moi tant que tu veux mon chaton.

Quand elle l’embrassa furtivement, il l’embrassa à nouveau, plus profondément, lui tirant une de ces rougeurs qui la rendait adorable. Elle refusa cependant d’entrer dans la boutique, le vendeur lui aillant fait la plus mauvaise des impressions.

Ne t’inquiètes pas pour ce bouffon, je lui ai exposé mes arguments, il a été très… réceptif si je puis dire.

Il lui fit un grand sourire lui signalant qu’il avait parfaitement vengé son honneur et rentra dans la boutique où ledit bouffon n’avait pas remis les pieds. Miruku était toujours devant sa cage, elle en avait finit et était rhabillée. Elle était en train de ranger sa machine dans une petite mallette adaptée.

Tu as finis Miruku ? Bien dans ce cas nous y allons ? Je t’emmène dans un endroit où je te promets que plus personne ne te feras de mal.

Il s’empara de la mallette et tendit la main à la vachette avec un grand sourire pour la rassuré.

La jeune vachette sourit doucement, ce maître lui semblait si différents de celui qu’elle avait connus, il semblait pas avoir les même idée que lui… En tous cas cela faisait du bien de sentir son lait s’évacuer, elle se demande un instant si son maître voudra un jours le goûter a même ces mamelle, parce que même si elle ne le dit pas, elle apprécie beaucoup plus cette façon de la traire que les machine, les machine lui blesse les seins, la bouche un peu moins…

Hocher doucement la tête, elle se doutait bien qu’il s’inquiétait pour son autre esclave, elle avait l’habitude qu’on ne fasse pas plus attention a elle qu’a un objets bon marcher…. Elle le regard sortir doucement, un peu troublée cet homme ne ressemblait pas a ceux qu’elle connaissait… Quand elle eu beaucoup moins mal a ces seins, elle détacha les machine les posant doucement dans la boitte troublée, elle ne sais pas trop ce qu’elle vas devenir, que vas lui demander cet homme, son nouveau maîtres…

Et est-ce qu’elle vas réussir a parler avec l’humain, a prononcer deux mots devant elle, elle lui fait peur, mais comment expliquer cela au gens… se rhabiller, tirant son vêtement sur ses sein, rougissant un peu en voyant les tache de lait… Dieu qu’elle peu détester ces seins, des fois elle en viens même a regretter d’être née… Finissant de se rhabiller, elle sent les larmes couler sur ces yeux… Les essuyant en entendant le maître revenir, ne pas pleurer quand le maître est la.. Elle doit être le mieux mise possible devant son maître…

On fini de remballer les affaires… prendre la main ou non de l’homme… encore une fois elle hésite avant de poser sa main délicatement dans celle de l’homme… Oui elle peu lui faire confiance …

« Plus..de mal… »

C’est trop.. elle ne peut pas y croire… Sortir… un pas dehors, et la jeune femme se mets a trembler, il y a du monde dans la rue… Fermer les yeux et ce laisser guider…. Voilà elle est dehors, un instant respirer l’air… Doucement ouvrire les yeux… Quand elle le posa sur l’humaine, elle se cacha légèrement derrière son nouveau maître…

Avant de timidement regarder la jeune femme, laissant échapper un petit sourire, elle n’ose pas encore parler, restant juste derrière l’homme…. Son regard bleu poser sur la jeune femme… Ouvrant la bouche pour dire quelque chose, mais se taisant, parce qu’elle ne sait pas quoi dire…. Son maître peut sentir sa mains trembler, violemment…

Quand Ran embrassa Yuya profondement, elle ne put contenir sa joie en montrant n grand sourire avec des paumettes rosées .

"heuresement que vous etes là ^^"

elle faisait reference au marchand deguellasse de la boutique. Apres ce petit intermede, Ran alla chercher la jeune demoiselle. Des qu'ils furent dehors, elle se cacha des autres en restant derriere Maitre Ran, Yuya ne put s'empecher de sourire, elle la trouvée vraiment mignone a croquer !

"je suis desolée pour tout a l'heure, la taupe m'avait mise mal a l'aise ^^"

elle lui sourit en lui carressant la tete sans gestes brusque

"je m'appelle Yuya, bienvenue parmis nous ^^"

Yuya avait des manieres tres douces, elle etait aussi gentil bisounours lol. Elle lui laissa son plus grand sourire. Elle remarqua que la jeune vachette voulait prononcer des mots, mais elle lui mit un doigt sur la bouche

"ne t'inquiete pas ^^ on parlera ensemble des que tu seras prete a le faire ^^ j'ai hate ^^"

Elle renleve sa main puis regarde Ran

"elle est trop belle !!!!"

elle rougit en haussant les epaules comme une enfant, elle se mit a coté de Minoue

"bon, nous y allons ?"

dit elle enthousiaste

La jeune vachette se saisit de la main de Ran, troublée par la gentillesse dont il fait preuve. La pauvre n’avait dut connaître que les mauvais traitements, Ran en était attristé.

Oui, plus de mal, c’est promis. Au fait je m’appelle Meiroo Ranmaru mais tu peux m’appeler Ran.

Ils sortent dehors et l’Ainoko se cache des autres dans son dos. Yuya se sentait mieux et semblait attendrie par la vachette. Elle se montrait douce avec elle et cherchait à la mettre en confiance. Cependant Miruku n’arrivait pas à lui parler et semblait toujours apeurée.

Tu sais Yuya, tu as eu beaucoup de chance. Certains, voir même beaucoup, traitent très mal leurs esclaves et on en retrouve la plupart à moitié brisé mentalement quand ce n’est pas totalement, il lui faudra un peu de temps pour s’habituer à une vie plus normale et plus saine.

La jeune femme vint se mettre à ses côtés. Il lui fait un sourire tendre pour lui montrer qu’il tient toujours autant à elle puis il se penche vers la vachette et lui fait son grand sourire rassurant.

Oui, allons-y, nous avons assez trainé ici tous les trois.

Ran, Yuya et Miruku quittèrent alors le marché vers la demeure des Meiroo.

La taupe l’homme qui était dans le magasin, la jeune femme n’avait pas fait attention personnellement parce que pour elle, tout les homme était dangereux, alors elle préférais ne pas les garder, elle préférais ne rien faire… Yuya c’est un joli nom, ça sonne bien sous la langue, sur les lèvres de la jeune femme se dessine un sourire timide, très timide, il faut qu’elle fasse un effort…

Son maître lui avait promis qu’on ne lui ferais plus de mal.. Un meirroo, donc un chat, donc quelqu’un qui aime le lait.. Non , elle devrait pouvoir réussir a se faire apprécier, même si elle fait des bêtise elle pourra se faire pardonner…

Non pas la toucher, la jeune vachette eu un sursaut quand elle sentit la main de la jeune femme sur sa ouche, un petit sursaut qui fit sonner sa clochette… Elle ne savait pas pourquoi l’humaine lui faisait aussi peur, trop d’histoire a leur sujet, trop de folie qu’elle avait entendus… Pourtant elle ne semblait pas méchante, il vaudrais qu’elle se détendes, mais c’est pas facile, elle n’en a pas l’habitude… Et l’enfant qu’elle allaiter lui manque… Mais cela elle ne le dira jamais…

Elle belle, son regard se pose un instant sur la jeune femme avant de retourner vite fait sur le sol… Une vie saine c’est quoi ça, elle ne sait même pas, des qu’elle a put produire du lait, on l’a violée régulièrement, on l’a utilisée pour le plaisir, elle n’a jamais oser rien dire, et sur sa fesses, une marque au fer rouge parce que son maître voulait la marquer….
Doucement sa queue de vache battait l’air derrières elle, elle avait peur, peur d’être de trop, peur de faire une bêtise…

Suivre son maître, sa démarche un peu étrange au yeux des autres, un peu plus lente que la normale plus sautillante… C’est pas sa faute, essayer de marcher avec un paire de seins pareil… Pourtant elle en a l’habitude, et elle marche sans rien dire sans se plaindre… Suivant la jeune humaine et son nouveau maître…

Bon séjour sur Saol Eile

Forum RPG d'Urban-Fantasy tranche de vie.

Le Staff Complet

A contacter en priorité ♥

Sujets Récents

Nos aventures

Nos Prédéfinis

Top-Sites

Nos Partenaires