Bon séjour sur Saol Eile

Pas envie de rester chez soi se soir, elle s’est enfuie du manoir trop de monde, ça fait mal a la tête, elle a laisser un mot a Soren pour lui dire de ne pas s’inquiéter, qu’elle reviendra, mais qu’elle a besoin de sentir le contacte avec la nature, toute seule, loin de tous et toute…
Oui la nature c’est tous ce qu’elle aime, c’est tout ce qu’elle veut en fait, Soren est très gentil, mais tout compte fait ce n’est qu’un humain qui ne peut comprendre ce qu’elle approuve quand elle se balade dans la nature, quand elle fusionne presque avec elle .. Non il ne peut pas comprendre cela, les humains sont des destructeur de nature, des manipulateur… Il on détruit la nature chez eux, la pollution est reines de la villes.. Plus le temps passe plus la jeune femme cherche a oublier ces origine humaines, si elle le pouvait elle ne les côtoierais même plus… Les humains, les autres, ça la dégoûte un peu… Leurs odeurs lui donne mal aux cranes… Leur pensée aussi.. ha non ça c’est les pensée de tous les être qui vive loin du temples, il ne pense tous qu’a faire du mal…

Elle a besoin de retrouver ces origine, elle a besoin d’oublier tous ce qui se passe la bas, seul la liberté de son esprit lui importe… Passage rapide dans la cabanes de son enfance, elle y garde toujours des vêtements pour se changer… Parce que porter ce qu’elle portait avant, avec l’odeur des autres ne l’intéresse pas.. Arrivée a la clairière elle se déshabille rapidement et c’est nue qu’elle se glisse sous la petite cascade, qu’elle plaisir de sentir l’eau faire partir toute les odeurs…. Elle reviens a la nature, souriant, elle se laisser porter, laissant ces pensées parasites glisser avec l’eau…

Quand elle sort de l’eau son sourire est lumineux, un peu carnassier.. La jeune femme semble légèrement transformer son corps souple, se mouvant avec plus de sauvagerie qu’avant, sensuelle, troublante petit renarde… C’est nue qu’elle vas chercher un kimono blanc presque transparents, assez court…. Pas de sous vêtement.. pas envie…
La clochette dans ces cheveux, y reste parce que jamais elle ne l’enlève, c’est la dernier chose qui lui reste de ces parents, dont elle ne se rappelle rien…

Pieds nus elle s’enfonce dans les bois, son odorat bien plus développer que les autres, suivant l’odeur d’un lapin elle se laisse guider a travers la forets, aussi souple et silencieuse qu’un renard, aussi douce qu’un feuille, tout est si beau dans cet endroit si naturel…
Ces pieds nu frôlant a peine le sol… Une autre odeur, celle d’un oiseaux, blesser si elle sentait bien l’odeur du sang, suivre encore une fois la piste.. Pour se retrouver face a un loup en train de manger sa proie a genoux non loin de l’animal , elle l’observe ces yeux de lune brillant de plaisir, dieu que les loup sont beau, si beau…

Une odeur encore, qui la fait se redresse et partir comme une biche effrayée, un homme approche, un animal crie sa douleur…. Un chasseur ici, c’est propriété privée, personne ne peut chasser, pareil a un fantôme, elle s’approche du bruit, une biche coincée dans un piége, et a coté un homme avec son fusil… Le sang de la jeune femme ne fait qu’un tours, dans un mouvement aussi souple qu’animal, elle se retrouve entre l’homme et l’animal…

Les lèvres redressée sur ces dents pointues, elle sent l’étonnement de l’homme puis son rire.. Ce qu’il n’aurais pas du faire, dans l’état ou elle était la jeune hybrides est plus animal qu’humain, un bond, alors qu’elle plante ces dents dans la jugulaire de l’homme, mordant aussi fort qu’un loup… Déchirant la peau de l’homme… un simple humain qui s’est enfui de chez son maître…

Un bond en arrière quand elle sent son souffle se couper, avant de se diriger vers la biche, lui transmettant des vague d’apaisement, elle arrive a détacher sa patte, avant de sourit et de s’enfuir en courant, courir pour chasser l’odeur de sang qui reste sur son corps… S’arrêter a une rivières et s’essuyer doucement… Tuer ne lui fait rien, si elle avait eu faim elle l’aurais bouffer l’humain, mais la elle veut juste profiter de la nature…

Tiens elle est arrivée dans la montagne, en souriant elle grimpe un peu plus haute sautant de pierre en pierre, quand soudain elle entendis un bruit.. Se cacher derrière un rocher et attendre de voir ce qui arrive, un sourire sur les lèvres… Envie de jouer a présent… Non monter encore plus haut pour sentir le froid de la neige sur ces pieds nu, ha voilà elle sentis.. Est-ce que l’homme qu’elle a sentit vas venir jusqu’ici.. De nouveau s’asseoir sur un rocher et attendre, laissant le vent caresser ces cheveux blond…

La montagne...Son manteau blanc lui donnait un éclat irréel et une allure majestueuse. Sur l'un de ses sentiers enneigés, un homme se mouvait. Sa peau pâle, ses cheveux blancs...Il faut avouer qu'il se fondait parfaitement dans le décor...surtout qu'il portait un pantalon blanc et un pull à col roulé, tout aussi immaculé.
En fait, il s'agissait là du dénommé Ankoku Suzu. Aujourd'hui, on était le 15 du Mois...et comme tous les 15 de chaque mois, il faisait un "petit retour aux sources" en se baladant pendant une journée entière en pleine nature.
Après tout, passé prier la Déesse Arano, le matin même, l'ainoko du bouc avait besoin d'une ballade dans la nature à présent.
Rythmant ses ballades du 15 part un lieu différent de la nature, il en était arrivé aux Montagnes pour ce 15-ci. Le 15 prochain, ce serait probablement la forêt, ou la plage.

Et ben oui...c'ets tellement logique vous me direz !
Enfin, alors que notre petite clochette arrivé sur un plateau enneigé, le vent noble d'Arashi souffla, faisant voleter la longue chevelure blanche, et entrainant le damoiseau à se laisser aller, rêveur.
Cependant, au moment où il s'apprêtait à reprendre le chemin de son ascension, Suzu ressentit une présence vers les rochers. Le sourire sur le bout des lèvres, il se dirigea vers la source présumée de cette énergie, en disant :

"Tu peux sortir si tu veux ! Ce sera plus drôle pour s'amuser...j'ai toujours aimé les batailles de boules de neige ! On s'y sent libre et soi-même..."

Le ton était doux, innocent, et enfantin. La présence lui rappelait vaguement quelque chose...mais bon, cela n'était pas important pour le moment. Oui, ce qui importait, c'était de profiter des joies, du bonheur et de l'amour que la Déesse Arano leur avait offert, à eux, les Ainokos.

[Pardon >_< C'est court !!!!]

Respirer l’air frai de la nature, elle aimerais pouvoir le faire tout les jours, mais depuis quelque temps, elle se retrouve sans cesse enfermée avec des humains et peu a peu elle a l’impression de perdre ce qu’elle est… De perdre ce qui fait d’elle une fille d’Arano… Il faut qu’elle obéisse aux règles de la maison, qu’elle reste calme qu’elle s’habille, qu’elle mange comme les humains, qu’elle dorme dans un lit et non ailleurs… Qu’elle a l’impression de perdre de son essence, c’est troublant, respecter les règles édictée par un humain, elle a du mal… Et cela la fait pleurer certain soir dans la nuit, quand elle monte sur le toit du manoir… Personne ne connais sa tristesse, parce qu’elle ne le montre pas…

Mais ici pour l’instant aucune envie de penser a cela… Son regard se perds dans le vide, alors qu’elle capte cette odeur qu’elle connaît, sa queue de renard bougeant doucement derrière elle, oui elle le connais et elle sait qu’elle l’aime beaucoup, qu’elle aime la personne a qui elle appartiens… elle sait aussi qu’il est un fidèle du temple… Il leurs fait toujours de belle offrande, et lui la comprend…

Elle peut sortir pour jouer, la jeune femme sourit un peu plus.. Sans vraiment réfléchir, elle bondit, sautant au coup du bouc, enroulant ces bras autours de son cou… Posant un instant sa bouche contre la sienne, avant de venir frotter son nez contre le sien, c’est la joie pure qui semble irradier de la jeune femme… Il est peu être celui qui peut mieux la comprendre, qui ne pense pas comme les humains.. Le plus naturel , le plus vrai de tout les ainoko qu’elle a rencontrer jusqu'à maintenant…
Elle se fiche de savoir que son corps souple, que sa poitrine colle contre le torse du jeune homme, elle est juste heureuse de le revoir…
Et sans hésiter elle lui parle, a sa façons s a voie résonant dans la tete de l’autre… Rauque et douce a la fois…

*Shin’rin est contente de voir Suzu…. *

La jeune femme sourit encore une fois se serrant un peu plus contre le jeune homme, elle se sentait un peu trembler et c’est pas le froid.. C’est plutôt comme une émotion qui la ravage… La captivité ne lui vas pas elle dépéris lentement même si elle cherche a tout prix a le faire oublier… Un instant plonger son visage dans le cou de l’homme, avant de bondir en arrière… avec un petit rire, souple insaisissable…

*shin’rin veut jouer.. Shin’rin veut etre libre…Pour toujours…*

Un rire qui résonne alors qu’elle se penche, prenant dans ces mains un peu de neige, en faisant un boule, elle la laçant sur le bouc, avant de s’enfuir, souple… Sauvage comme toujours, aérienne, comme si rien ne pouvait la retenir sur terre, pourtant quelqu’un qui la connaissait pouvait voir que quelque chose lui pesait, que son pas était moins souple que d’habitude…

Notre petit animal savait qu'il y avait quelqu'un dans les parages. C'est pourquoi il ne fut pas surprit d'avoir une renarde dans les bras. Le baiser, cependant, le fit légèrement rougir...Trop innocent le Suzu ? Oui. Il avait toujours était assez timide avec les relations de ce genre.
C'est alors qu'il entendit, pour la première fois, la voix de la renarde. Elle résonnait dans son esprit, le troublant. Il faut avouer que le jeune homme se guidait au son, et là, il perdait le moyen de savoir où elle était de cette façon. Il se rendait compte que pour la "voir" il lui fallait être en contact direct avec elle, comme actuellement, et cela le troublait.
Cependant, les paroles étaient si douce et enfantine qu'il répondit de bon cœur, avec cette même innocence animale, ce côté naturelle qui les dirigent tout deux :

"Moi aussi je suis heureux que tu sois là Shin'rin !"

Il ne savait comment réagir lorsqu'elle se laissa aller dans ses bras, son visage dans sa nuque. Refermant ses bras autour de la taille de la jeune femme, il put respirer l'odeur de liberté, de nature, que laissait savoir le corps et la chevelure libertine de cette créature divine.
Sentant qu'elle allait se déplacer, il écarta ses bras et la sentit bondir un peu plus loin, avec un rire et une invitation de jeu. Oui ! Lui aussi aimer jouer avec la nature, vivre en osmose avec elle. Il en avait besoin pour rester lui-même, il en avait besoin pour garder ses instincts, son naturel, et sa force céleste offert des Divinités elles-même. Leur faire honneur, c'était vivre comme les anciens, les premiers, vivre et existaient en cohésion avec la technologie et la nature. Mêler intelligence et naturel...et cherchait à ne pas tout ramener à du "culturel".
Seuls eux, ainokos, hybride d'animaux, pouvaient ressentir les Dieux avec force et passion. Ils les sentaient se mêler de leur quotidien, Divinités suprêmes de la vie, de la mort, et de ce monde de Nature.

Se prenant la boule de neige en plein visage, il rigolait. Il attrapa lui aussi de la neige, et riant aux éclats comme l'enfant qu'il était, il essayait de la poursuivre. mais elle était si silencieuse, qu'il se prit une paroi rocheuse !
Terminant sur les fesses, son bandeau accrochait autour de ses yeux se décrocha, et fut emporter par le souffle céleste de Arashi. Cette dernière devait être curieuse et vouloir savoir ce qui se cachait dessous, il faut croire.
Ainsi, n'importe qui aurait alors put voir le visage de Suzu au complet. A la place de ses yeux, une barre unique de chair brûlé. La peau n'était que cicatrice, et la peau situait là où il devait y avoir eut des yeux ne laissait voir qu'un amas de chair. Oui, on pouvait clairement voir la trace de la barre de métal en fusion qui avait été apposé sur son fin visage...
Mais le jeune Ainoko n'avait pas encore remarqué que ses yeux étaient libéré de leur carcan, de leur bandeau. Se relevant, il demanda d'une petite voix d'enfant, la chose suivante :

"Shin'rin ! T'es où ? Je ne peux pas réussir mon lancer si tu me dis pas où t'es..."

Elle savait bien que certain personne était troublée par sa voie, parce qu’elle leur parlait dans la tête, elle ne pouvait pas faire autre chose, simplement parce qu’elle n’avait pas de voie, elle pouvait communiquer avec les animaux, avec la terre , mais pas avec les hommes, pas comme il parlait… Elle savait bien aussi que certaine personne aimait pas qu’on leur saute au cou comme cela.. Son maître ne l’aimait pas vraiment… Il semblait toujours ailleurs même quand il était avec elle et cela la troublait l’ennuis… Après sa rencontre avec Yamato, elle savait qu’elle ne pouvait pas être la femme d’un seul homme qu’elle pouvait se laisser aller avec qui elle voulait…

C'est amusant de jouer avec lui, elle a presque l’impression de trouver un frère, quelqu’un qui comprend vraiment ce qu’elle est, les autre ceux qui on oublier qui il était ne peuvent pas la comprendre, il ne peuvent pas comme elle entendre parler les dieux… Même si elle est prêtresse certain ne la comprenne pas, parce qu’elle n’est pas comme elle, plus naturel, plus fragile aussi… Plus forte dans un certain sens…
Un grimace quand il se prit la paroi… IL ne s’est pas fait mal, non elle ne sent pas la douleur en lui, juste de l’amusement…. Hooo son bandeau, la jeune femme sourit et courus pour le rattraper au vol… Un instant elle posa le bandeau sur ces yeux avant de grimacer.. C’est désagréable ce genre de chose…

Doucement elle se déplaça pour regarder les yeux du jeune homme, une vague de douleur qui la fit frissonner, qui avait bien put lui faire cela.. Fichu être qui on oser abîmer ce qu’a créer les dieux… Un frisson qui la parcours de la colère ou dans un sens…
D’un bon elle se retrouve prés du jeune homme, aussi silencieuse qu’un renard….

*Shin’rin ne peu pas parler… Mais Elle est juste devant toi.*

La jeune femme souris doucement, levant la main pour la poser sur les yeux du jeune homme, comme si elle voulait effacer la trace indélébile qu’il portait… Ca lui faisait mal au cœur de voir quelque chose comme cela…Ses question courait dans son esprit, mais elle se tut, il ne voulait peu être en parler, elle espérais juste que cela ne lui fasse pas de mal… Qu’il ne souffrais pas a cause de cela…

*Shin’rin ne comprend pas les gens… Elle est perdue…. Et a envie de pleure…*

Oui pleurer toute les larmes de son corps, elle ne savait même pas pourquoi, doucement laisser retomber sa main, et remettre dans les mains de l’aveugles le bandeau… Ca na la gênait pas de voir la blessure, mais ça lui rappelait trop de souvenir, trop de douleur, doucement elle passa ces mains autour de son corps… Pourquoi certain font souffrire les autres… Un petit gémissement lui échappe, son don aussi d’ailleurs, a cet instant le jeune homme peu sentir le trouble qui habite l’esprit de la jeune femme, la peur de se perdre, la peur de perdre son lien avec la nature… Sa peur du monde dans lequelle elle vit… sa tristesse aussi qu’on aille put abîmer quelque chose de si parfait qu’une créature des dieux… Cette envie d’être libre, cette sensation d’étouffement a cause de ces chaînes… La jeune femme se laisse tomber a genoux, trop de sensation en une fois… Elle qui se retiens depuis des jours… Elle lâche tout, un larme coulant sur ces joues…

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