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Ayumi venait de terminer sa journée avec Batsuo, c’était une journée plutôt tranquille et calme, pas de situation inattendu comme certains contrat le présente. Il n’était que le milieu d’après midi, cela lui laissait tout le reste de la journée pour enquêter sur le meurtre de sa famille. Et une chance pour elle, la femme qu’elle avait du protéger toute la journée, lui avait parler d’un repaire ou se trouver bon nombre de trafiquant et de criminels. Un repaire comme celui la était forcément très attractif pour les informations en tout genre, il lui fallait trouver quelqu’un de facile à attraper, peu protéger et un peu naïf.
Sa cliente, lui avait parler d’un Ankoku aveugle, un peu extravagant et insouciant, mais en revanche accompagné d’une foulé de garde. Ayumi connaissait cette famille, avec celle des Kakons, et savait que toute forme d’insouciance était impossible de leur part, donc elle ferait mieux de faire attention.
Elle quitta son loft vers les 17h, habiller d’un short serrer à sa peau, ça lui permettait de mieux se déplacer, ses bottes, son t-shirt a col montant, et enfin sa grande veste, le tout était en noir, pas une once de couleur la dedans. Ce n’était pas son genre, et c’était plus pratique une fois la nuit tomber. Son Katana, elle avait ranger le fourreau dans son dos, le préparerait mieux une fois rendu aux marchés des esclaves.
Elle s’y rendit à pieds, pas très loin des quais où elle passait la majeur partit de son temps, elle ne mit à peine une demi heure pour s’y rendre. Une foule de gens y était, en plus la plupart était des races qu’elle n’aimait pas trop, des corbeaux, des bêtes à cornes, même les chats avait pour elle plus de clémence à ses yeux. Elle regarda défiler les gens, en recherchant sa proie, parmi eux, l’un d’eux avait les yeux couvert, mais marchait bien droit, de plus il avait des cornes, s’était bien un Ankoku, et vu la frappada de gorilles autour de lui, elle savait qu’elle ne pouvait se tromper. Elle sortit de sa planque et se glissa dans la foule, pas loin derrière le bouc… Elle le suivait des yeux et ne fixait son attention que sur lui cherchant la moindre ouverture. Puis il rentrèrent dans le complexe, ou se trouvait le marcher, cela ressemblait à une grande foire, et toute sorte de gens s’y bousculer, elle regarda autour d’elle toujours en suivant l’Ankoku. Elle voyait des gens, qui se ressemblait tous, appart quelques changement de race, cela l’énerver, qu’on puisse faire de certains des esclaves, elle avait eu la chance de naître libre, et d’avoir était élever ensuite par Batsuo.
L’Ankoku resta un moment sur place, il discuter avec quelqu’un d’autre, elle ne voyait pas bien qui s’était, et la faille des gorilles qu’elle attendait tarder à se faire, ce qui agacé Ayumi au plus haut points…
Sa cliente, lui avait parler d’un Ankoku aveugle, un peu extravagant et insouciant, mais en revanche accompagné d’une foulé de garde. Ayumi connaissait cette famille, avec celle des Kakons, et savait que toute forme d’insouciance était impossible de leur part, donc elle ferait mieux de faire attention.
Elle quitta son loft vers les 17h, habiller d’un short serrer à sa peau, ça lui permettait de mieux se déplacer, ses bottes, son t-shirt a col montant, et enfin sa grande veste, le tout était en noir, pas une once de couleur la dedans. Ce n’était pas son genre, et c’était plus pratique une fois la nuit tomber. Son Katana, elle avait ranger le fourreau dans son dos, le préparerait mieux une fois rendu aux marchés des esclaves.
Elle s’y rendit à pieds, pas très loin des quais où elle passait la majeur partit de son temps, elle ne mit à peine une demi heure pour s’y rendre. Une foule de gens y était, en plus la plupart était des races qu’elle n’aimait pas trop, des corbeaux, des bêtes à cornes, même les chats avait pour elle plus de clémence à ses yeux. Elle regarda défiler les gens, en recherchant sa proie, parmi eux, l’un d’eux avait les yeux couvert, mais marchait bien droit, de plus il avait des cornes, s’était bien un Ankoku, et vu la frappada de gorilles autour de lui, elle savait qu’elle ne pouvait se tromper. Elle sortit de sa planque et se glissa dans la foule, pas loin derrière le bouc… Elle le suivait des yeux et ne fixait son attention que sur lui cherchant la moindre ouverture. Puis il rentrèrent dans le complexe, ou se trouvait le marcher, cela ressemblait à une grande foire, et toute sorte de gens s’y bousculer, elle regarda autour d’elle toujours en suivant l’Ankoku. Elle voyait des gens, qui se ressemblait tous, appart quelques changement de race, cela l’énerver, qu’on puisse faire de certains des esclaves, elle avait eu la chance de naître libre, et d’avoir était élever ensuite par Batsuo.
L’Ankoku resta un moment sur place, il discuter avec quelqu’un d’autre, elle ne voyait pas bien qui s’était, et la faille des gorilles qu’elle attendait tarder à se faire, ce qui agacé Ayumi au plus haut points…
Invité
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Rah ! Pourquoi a-t-il fallu qu'il aille rendre visite à sa GSA (Grande-Sœur Adorée) ce crétinus de première !!!? >_<
Hein ? De quoi je parle ? De Ankoku Suzu pardi ! Sachant qu'il n'avait pas vu, parlait, côtoyait, sa GSA chérie depuis longtemps, le p'tit bouc s'était rendu au manoir familial : en vain. Et oui, elle était partit en voyage à l'étranger pour signer un truc pas très net, en rapport avec la mafia Italienne, ou Chinoise, ou Russe, ou Japonaise...Bah ! Il ne se souvient pas trop le bougre !
Enfin, le voilà entouré d'une masse de gorilles sans cervelles pour le "protéger" alors qu'il est OBLIGE d'aller au Marché, pour régler une affaire de finances...qui lui a donné un don avec les chiffres et le sens des affaires déjà ? Taisha ? Bon, c'est pardonné alors.
Marchant fièrement, notre clochette innocente se laissait allé à ses pensées. Il se souvenait encore de sa visite au Temple, et de sa ballade en montagne...ah, que de nostalgie. Shin'Rin, une véritable princesse cette prêtresse. Hein ? On lui parle ? Ah...le Marché est en "vue" ? Bof, il n'y vas que rarement de gaieté de cœur, il préfère son sous-sol high-tech où l'on trouve de tous les genres d'esclaves, étrangers en majorité.
Mais bon, il y a allait car, paraîtrait-il, que sa "Déesse" Yuki le lui avait demandé. Comme-ci on ignorait, vous et moi, que les vieux de conseil familiale des Ankoku étaient les seuls à lui avoir demandé ça...Comment pourraient-ils avouer à leur Chef qu'ils avaient merdés dans les finances de la famille ? Bon sang, de quoi finir dans les égouts, à baigner dans son sang et sa pourriture.
Toujours entouré de garde du corps, il se retrouva à négocier et parler avec un Lapinou, devenu très docile. Ben quoi ? La voie de Suzu a toujours eu un "je ne sais quoi" d'irréel. On a l'impression d'être sur un petit nuage, et on se prend facilement "d'amitié" pour cet ange déchu, ayant perdu son doux regard rubellite.
Bref, passons. Prétextant une envie pressante, il sa faufila aux toilettes publiques...pour ressortir par la porte arrière. Malin le bougre ? Disons qu'il a envi de liberté, et qu'actuellement, trop de présence l'étouffe...le privant de son sixième sens, celui qui l'aide à se repérer et à ressentir la présence d'autrui prés de lui. Un besoin vital, quand on est un peu parano sur les bords, à cause d'une expériences traumatisante enfant.
C'est alors, qu'au détour d'une ruelle, quelque chose fit tilt. Se stoppant net, il se concentra sur les sons et les odeurs, un peu fétides quand même ces-dernières, et finit par demander...un sourire aux lèvres :
"Vous avez besoin d'aide ?"
Le ton était doux, et enfantin. Son ouïe avait perçut le même bruit de pas depuis qu'il s'était fait la malle...et une étrange odeur, camouflée par celle détestable du marché, avait été perçu par l'odorat fin de la créature. Encore heureux que la perte d'un sens se compense par une acuité soudaine des autres sens ! Que serait-elle devenu sans cela...notre petite clochette des ténèbres...
Hein ? De quoi je parle ? De Ankoku Suzu pardi ! Sachant qu'il n'avait pas vu, parlait, côtoyait, sa GSA chérie depuis longtemps, le p'tit bouc s'était rendu au manoir familial : en vain. Et oui, elle était partit en voyage à l'étranger pour signer un truc pas très net, en rapport avec la mafia Italienne, ou Chinoise, ou Russe, ou Japonaise...Bah ! Il ne se souvient pas trop le bougre !
Enfin, le voilà entouré d'une masse de gorilles sans cervelles pour le "protéger" alors qu'il est OBLIGE d'aller au Marché, pour régler une affaire de finances...qui lui a donné un don avec les chiffres et le sens des affaires déjà ? Taisha ? Bon, c'est pardonné alors.
Marchant fièrement, notre clochette innocente se laissait allé à ses pensées. Il se souvenait encore de sa visite au Temple, et de sa ballade en montagne...ah, que de nostalgie. Shin'Rin, une véritable princesse cette prêtresse. Hein ? On lui parle ? Ah...le Marché est en "vue" ? Bof, il n'y vas que rarement de gaieté de cœur, il préfère son sous-sol high-tech où l'on trouve de tous les genres d'esclaves, étrangers en majorité.
Mais bon, il y a allait car, paraîtrait-il, que sa "Déesse" Yuki le lui avait demandé. Comme-ci on ignorait, vous et moi, que les vieux de conseil familiale des Ankoku étaient les seuls à lui avoir demandé ça...Comment pourraient-ils avouer à leur Chef qu'ils avaient merdés dans les finances de la famille ? Bon sang, de quoi finir dans les égouts, à baigner dans son sang et sa pourriture.
Toujours entouré de garde du corps, il se retrouva à négocier et parler avec un Lapinou, devenu très docile. Ben quoi ? La voie de Suzu a toujours eu un "je ne sais quoi" d'irréel. On a l'impression d'être sur un petit nuage, et on se prend facilement "d'amitié" pour cet ange déchu, ayant perdu son doux regard rubellite.
Bref, passons. Prétextant une envie pressante, il sa faufila aux toilettes publiques...pour ressortir par la porte arrière. Malin le bougre ? Disons qu'il a envi de liberté, et qu'actuellement, trop de présence l'étouffe...le privant de son sixième sens, celui qui l'aide à se repérer et à ressentir la présence d'autrui prés de lui. Un besoin vital, quand on est un peu parano sur les bords, à cause d'une expériences traumatisante enfant.
C'est alors, qu'au détour d'une ruelle, quelque chose fit tilt. Se stoppant net, il se concentra sur les sons et les odeurs, un peu fétides quand même ces-dernières, et finit par demander...un sourire aux lèvres :
"Vous avez besoin d'aide ?"
Le ton était doux, et enfantin. Son ouïe avait perçut le même bruit de pas depuis qu'il s'était fait la malle...et une étrange odeur, camouflée par celle détestable du marché, avait été perçu par l'odorat fin de la créature. Encore heureux que la perte d'un sens se compense par une acuité soudaine des autres sens ! Que serait-elle devenu sans cela...notre petite clochette des ténèbres...
Ankoku Suzu
Ainoko Libre
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973
Esclave de :
Personne
Ayumi le regardait, plutôt discrête, ressemblant à un loup en chasse, les oreille baissé, toutefois elle ne perda pas du regard la clochette, qui semblat prétexté quelque chose à ses gardes du corps. Elle le vit se diriger seul, quoi qu'il est dis, ces gorilles était de piètre professionel. Il est bien connu dans ce milieu, qu'importe ce que le client demande, il faut toujours s'assurait de sa sécurité. Enfin bref, en passant par un autre "couloirs", elle suivit cette homme cornu aveugle, jusqu'a à la porte de derrière. Elle le laissa sortir, et bien plus loin, elle remarqua personne autour de lui, c'était sa chance, elle le suivit à pas de loup, c'était cas de le dire. Hélas, il semblerait que sa discrétion soit beaucoup moins avancé que les sens de cette aveugle qui se tenant face à elle, lui tournan le dos.
Ayumi ne le lacha pas du regard, mais elle le vit ne plus bouger, et elle savait qu'elle était repérer, il lui restait donc deux choix, soi l'assomer avant qu'il n'alerte les autres, soit voir ce qu'il aller faire et improviser par la suite. Quand le cornu parla, elle se resigna donc à choisir le deuxième choix. mais cela eveilla quand même sa méfiance. Il ne semblait pas craindre une présence hostile, donc cela voulais dire qu'il ne fallait pas le sous- estimer malgrès son handicap.
La main sur la garde de son katana, elle y alla de but en blanc, ne passant pas par 4 chemins.
"Qui à commenditer le meurtre de la famille Hara ?"
Bien sur elle se garda de dire, qu'elle en était l'unique survivante, cette information était inutile d'être expliquer, surtout que ne sachant pas le fin mot de cette histoire, savoir qu'elle était encore en vie, pourrait lui apporter des ennuis.
Elle s'approcha lentement de lui, ne cachant plus le bruit de ses pas. puis, d'un geste vif, elle retira sa lame de son fourreau et la glissa sous la gorge de son ennemi. D'une voix grave et en colère elle lui parla à l'oreille.
"Répond"
Ayumi ne le lacha pas du regard, mais elle le vit ne plus bouger, et elle savait qu'elle était repérer, il lui restait donc deux choix, soi l'assomer avant qu'il n'alerte les autres, soit voir ce qu'il aller faire et improviser par la suite. Quand le cornu parla, elle se resigna donc à choisir le deuxième choix. mais cela eveilla quand même sa méfiance. Il ne semblait pas craindre une présence hostile, donc cela voulais dire qu'il ne fallait pas le sous- estimer malgrès son handicap.
La main sur la garde de son katana, elle y alla de but en blanc, ne passant pas par 4 chemins.
"Qui à commenditer le meurtre de la famille Hara ?"
Bien sur elle se garda de dire, qu'elle en était l'unique survivante, cette information était inutile d'être expliquer, surtout que ne sachant pas le fin mot de cette histoire, savoir qu'elle était encore en vie, pourrait lui apporter des ennuis.
Elle s'approcha lentement de lui, ne cachant plus le bruit de ses pas. puis, d'un geste vif, elle retira sa lame de son fourreau et la glissa sous la gorge de son ennemi. D'une voix grave et en colère elle lui parla à l'oreille.
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