Sujets Récents
Nos aventures
Codages Perso de MouN
Dim 5 Fév - 13:16 par Le Maître
Décision Importante ! Fermeture de Migoto
Mer 16 Avr - 6:30 par Nailah Kaijuu
Nouvelle fiche de Mandolyn Street
Jeu 3 Avr - 14:57 par Invité
Perfect World (demande de partenariat)
Jeu 5 Sep - 15:02 par Le Maître
Demande de Rp
Mar 30 Juil - 5:33 par Eirin Kirio
Demande global, faisons le points des persos
Mar 23 Juil - 9:40 par Shiroi Nakami
La survie des Rebelles
Mer 17 Juil - 21:30 par Kagami Kousai
Une habitation pour le guépard
Ven 21 Juin - 17:27 par Le Maître
Kao devient une maîtresse de l'ombre
Ven 21 Juin - 17:24 par Le Maître
Un bonus pour un chaton
Ven 21 Juin - 17:23 par Le Maître
La voila de retour attachée par des cordes lui mangeant la peau fine des poignets, Son kimono était défait cachant seulement sa douce poitrine un sous-vêtement cachant son intimité elle avait un regard triste au traverse de ses cheveux couleur de jais sa peau immaculée de sang était coupée a certain endroit, d'autre violet bleu, son dos était manger par les coup de fouet qu'on lui faisait actuellement subir. Chaque coup venant mordre sa peau et lui arracher un cri de douleur de fureur et de tristesse...elle pleurer oui la jeune serpente pleurer. C'est larme salé venant de mélanger au sang sur son visage sur son corps sur ses parcelle d'écaille rouge sang telle la couleur du sang ou d'une rose s'épanouissant sur un sol gelé.
Son ancien maitre avait donné l'autre de la vendre sur le marché mais avant de la battre jusqu'à que son corps soit recouvert de cet hémoglobine rouge. Son kimono détaché était posé de manière a laissait son dos a l'air libre pour sa "punition". Le pire a venir n'était pas les morsures du fouet dans son dos mais un viole en publique elle l'avait entendu son ancien maitre était un pervers et pour lui un viole en publique était la meilleur des dégustations visible. Assise le poteau entre les cuisse et le front dessus la serpente pleurait de peur, de colère espérant que quelqu'un pourrait et voudrait la sauvait prête a retombait dans les bras d'un pervers qui ne lui ferait pas subir cet humiliation oui après cet après midi sa vie allait changée elle qui n'avait jamais reçut de coup la voila quasiment nue, des bleu et contusion sur le corps et des entailles...qui voudrait d'elle maintenant son ancien maitre pris son visage entre une de ses mais et lui dit adieu en la mordant a la joue avec violence.
Une fois le spectacle terminé et la foule dissipée la demoiselle ne bougea pas cachant son visage en pleurant grelotant un peu aussi de sueur de sang de froid et de peur. Désormais elle aurait peur des coups, des personne violente, tombait chez un pervers ne la dérangeais pas du moment qu'il ne la battait et qu'il ne l'a laissait pas seul avec des inconnue tout irait bien.
Son ancien maitre avait donné l'autre de la vendre sur le marché mais avant de la battre jusqu'à que son corps soit recouvert de cet hémoglobine rouge. Son kimono détaché était posé de manière a laissait son dos a l'air libre pour sa "punition". Le pire a venir n'était pas les morsures du fouet dans son dos mais un viole en publique elle l'avait entendu son ancien maitre était un pervers et pour lui un viole en publique était la meilleur des dégustations visible. Assise le poteau entre les cuisse et le front dessus la serpente pleurait de peur, de colère espérant que quelqu'un pourrait et voudrait la sauvait prête a retombait dans les bras d'un pervers qui ne lui ferait pas subir cet humiliation oui après cet après midi sa vie allait changée elle qui n'avait jamais reçut de coup la voila quasiment nue, des bleu et contusion sur le corps et des entailles...qui voudrait d'elle maintenant son ancien maitre pris son visage entre une de ses mais et lui dit adieu en la mordant a la joue avec violence.
Une fois le spectacle terminé et la foule dissipée la demoiselle ne bougea pas cachant son visage en pleurant grelotant un peu aussi de sueur de sang de froid et de peur. Désormais elle aurait peur des coups, des personne violente, tombait chez un pervers ne la dérangeais pas du moment qu'il ne la battait et qu'il ne l'a laissait pas seul avec des inconnue tout irait bien.
Night Tentai
Ainoko Asservie
Nombre de messages :
94
Réputation :
302
Maître de :
je ne suis point maitre ni d'âme, ni de corp car je vous appartient monsieur Ankoku
Esclave de :
Monsieur Ankoku Suzu
Le Marché. Pour beaucoup, ce lieu était un symbole de perversion, de destruction, de morts, de violences gratuites, et la preuve de la non-humanité des ainokos. Cependant, pour d'autre, c'était un lieu où les instincts se réveillait, où la loi du plus fort revenait, où tout était autorisé. C'est comme cela que le marché était interprété par les Ankoku. Eux, ils étaient Maitres du Marché, les seigneurs régnant sur l'instinct animale brute et pure de leur race. Ceux à qui on fait appel pour qu'il trouve un moyen d'assouvir ses plus basses passions.
C'est à cette étrange famille, proche des "fournisseurs", qu'appartenait Ankoku Suzu. Rare membre de sa lignée à ne pas posséder d'esclaves, les vieux de sa famille faisait depuis pas mal de temps déjà, pression sur lui. Il est déjà inadmissible qu'un membre haut-placé de la famille Ankoku ne vivent pas au manoir, mais dans une rue mal-famée, alors, qu'il n'est pas d'esclaves ! C'ets vraiment la pire des catastrophes.
C'est ainsi qu'il était venu ici. Il lui fallait une esclave achetée de manière "officielle". Vu que l'Eden ne fournit que des esclaves n'existant sur aucun registre, et légalement mort, il est clair que le damoiseau était dans l'obligation de se déplacer.
Ses yeux morts étaient, comme toujours, camouflés sous un bandana...de couleur bleu pour changer. Un bleu nuit proche de la couleur du ciel...alors que la chevelure blanche, attaché en catogan lâche, donné l'impression d'une lune, ou d'étoiles.
De plus, les lèvres rouge sang, la peau laiteuse, le juste corps blanc ne cachant rien du torse musclé...il est certain qu'on a l'impression de faire face à une beauté nocturne.
Tiens, ai-je oublié de vous signaler que la nuit commençait à tomber sur le marché ? Juste ciel ! Je suis d'une maladresse ! Enfin, de son pas feutré, et avec une grâce se mêlant au mouvement de son pantalon ample et bleu nuit, la clochette des ténèbres sifflotait gaiement.
Les gens le dévisageaient et ne cachaient pas leur dégout. Selon eux, quelqu'un se baladant avec autant d'accessoires ayant attrait aux chaines et piques, devrait être emprisonné et déclaré esclave ! Surtout s'il est infirme !
Enfin, ses chaines laissait filtrer un doux son, alors que ses pas le guidait vers le bureau du dirigeant centrale, soit, sa Grande-Sœur Adorée.
Soudain, une odeur le prit au nez, lui dont les sens sont assez développé. Se stoppant net, Suzu se dirigea vers l'odeur.
Après plusieurs mètres de parcourue, il arriva à la source de cette odeur de sang, de peur, de crainte, et de tristesse. On avait brisée quelqu'un, et ce quelqu'un était face à lui. Cet inconnu, le voyait-il ? Cela, notre Bouc l'ignorait...et il s'en fichait !
Derrière le parfum nauséabond, il sentait une odeur qui l'attirait. Cette personne, elle ne méritait pas ce qu'il lui arrivait, car il était certain à présent, qu'il s'agissait d'un Ainoko !
Si Suzu se fiche de l'esclavage des Humains, il faut avouer que celui des Ainokos, il a plus de mal à le comprendre. Est-ce dans les mœurs attribuaient par Dame Arano, Sieur Chi et Mère Taisha ? On lui avait dit que "oui"...mais il avait toujours eu du mal à croire en cela, surtout depuis sa rencontre avec une certaine Shin'Rin.
Alors, d'un geste délicat, il se pencha vers l'endroit où devait se trouver une forme, une masse. Ne touchant qu'un poteau, il se guida à ce-dernier pour tomber sur des mains, des mains tremblantes. Alors, il murmura, de son étrange timbre de voix qui apaisait les mœurs, le cœur, et l'âme.
"Je ne te veux aucun mal...Tu es comme moi, un enfant de Mère Taisha. Jamais je ne ferais du mal à un de mes semblables, Mère Taisha et Dame Arano l'interdise..."
Même si cela apaisait, la façon de parlait restait douce et enfantine. On aurait dit l'enfant qui répète sa leçon de "je ne dois pas parler avec un inconnu"...et cela possède quelque peu son charme.
Soudain, un bruit se fit entendre...
[Voilà ^^ C'est à ton tour ma belle ! -_^]
C'est à cette étrange famille, proche des "fournisseurs", qu'appartenait Ankoku Suzu. Rare membre de sa lignée à ne pas posséder d'esclaves, les vieux de sa famille faisait depuis pas mal de temps déjà, pression sur lui. Il est déjà inadmissible qu'un membre haut-placé de la famille Ankoku ne vivent pas au manoir, mais dans une rue mal-famée, alors, qu'il n'est pas d'esclaves ! C'ets vraiment la pire des catastrophes.
C'est ainsi qu'il était venu ici. Il lui fallait une esclave achetée de manière "officielle". Vu que l'Eden ne fournit que des esclaves n'existant sur aucun registre, et légalement mort, il est clair que le damoiseau était dans l'obligation de se déplacer.
Ses yeux morts étaient, comme toujours, camouflés sous un bandana...de couleur bleu pour changer. Un bleu nuit proche de la couleur du ciel...alors que la chevelure blanche, attaché en catogan lâche, donné l'impression d'une lune, ou d'étoiles.
De plus, les lèvres rouge sang, la peau laiteuse, le juste corps blanc ne cachant rien du torse musclé...il est certain qu'on a l'impression de faire face à une beauté nocturne.
Tiens, ai-je oublié de vous signaler que la nuit commençait à tomber sur le marché ? Juste ciel ! Je suis d'une maladresse ! Enfin, de son pas feutré, et avec une grâce se mêlant au mouvement de son pantalon ample et bleu nuit, la clochette des ténèbres sifflotait gaiement.
Les gens le dévisageaient et ne cachaient pas leur dégout. Selon eux, quelqu'un se baladant avec autant d'accessoires ayant attrait aux chaines et piques, devrait être emprisonné et déclaré esclave ! Surtout s'il est infirme !
Enfin, ses chaines laissait filtrer un doux son, alors que ses pas le guidait vers le bureau du dirigeant centrale, soit, sa Grande-Sœur Adorée.
Soudain, une odeur le prit au nez, lui dont les sens sont assez développé. Se stoppant net, Suzu se dirigea vers l'odeur.
Après plusieurs mètres de parcourue, il arriva à la source de cette odeur de sang, de peur, de crainte, et de tristesse. On avait brisée quelqu'un, et ce quelqu'un était face à lui. Cet inconnu, le voyait-il ? Cela, notre Bouc l'ignorait...et il s'en fichait !
Derrière le parfum nauséabond, il sentait une odeur qui l'attirait. Cette personne, elle ne méritait pas ce qu'il lui arrivait, car il était certain à présent, qu'il s'agissait d'un Ainoko !
Si Suzu se fiche de l'esclavage des Humains, il faut avouer que celui des Ainokos, il a plus de mal à le comprendre. Est-ce dans les mœurs attribuaient par Dame Arano, Sieur Chi et Mère Taisha ? On lui avait dit que "oui"...mais il avait toujours eu du mal à croire en cela, surtout depuis sa rencontre avec une certaine Shin'Rin.
Alors, d'un geste délicat, il se pencha vers l'endroit où devait se trouver une forme, une masse. Ne touchant qu'un poteau, il se guida à ce-dernier pour tomber sur des mains, des mains tremblantes. Alors, il murmura, de son étrange timbre de voix qui apaisait les mœurs, le cœur, et l'âme.
"Je ne te veux aucun mal...Tu es comme moi, un enfant de Mère Taisha. Jamais je ne ferais du mal à un de mes semblables, Mère Taisha et Dame Arano l'interdise..."
Même si cela apaisait, la façon de parlait restait douce et enfantine. On aurait dit l'enfant qui répète sa leçon de "je ne dois pas parler avec un inconnu"...et cela possède quelque peu son charme.
Soudain, un bruit se fit entendre...
[Voilà ^^ C'est à ton tour ma belle ! -_^]
Ankoku Suzu
Ainoko Libre
Nombre de messages :
115
Réputation :
973
Esclave de :
Personne
Alors que la demoiselle n'avait pas bouger depuis sa "punition" le cœur meurtri , le dos en sang et l'âme déchirée elle entendit cependant des bruit de pas des vêtement se plisser, était-ce encore son maitre qui venait la punir une nouvelle fois...elle se remis a tressaillir le souffle saccadée et des larmes pointant une nouvelle fois le bout de leur nez a la naissance de ses yeux alors quel prenait peur une main vint effleurer la sienne tremblante et une voix douce, apaisante quoi que restant tout de même enfantine se fit entendre disant:
"Je ne te veux aucun mal...Tu es comme moi, un enfant de Mère Taisha. Jamais je ne ferais du mal à un de mes semblables, Mère Taisha et Dame Arano l'interdise..."
Cette voix ne ressemblait en aucun point a celle de son maitre elle ouvrit les yeux et leva la tête son visage laissant apparaitre un bleue et du sang sur sa joue gauche. Elle vit alors une personne tout autre une teint blanc des cheveux de la même couleur elle ne put apercevoir ses yeux il était recouvert d'un bandeau nuit laissant penser a la jeune serpente que son interlocuteur devait être aveugle ou tout simplement ce cacher la vue du monde. Elle avait arrêtée de trembler et s'apprêter a parler cherchant ses mot mais elle ne put dire que "Je" d'une voix sanglotante et tremblante qu'elle fut interrompue par une autre voix qui elle se valait dur, froide et méprisante alors qu'un homme richement habillée abordant des oreilles de lion ainsi que la queue assortie s'avancer avec une certaine grasse et un verre de vin blanc sec à la main et un cigare dans l'autre dit:
-Faite attention monsieur cet demoiselle est un serpent un cobra royal du désert sur du Sahara une très belle race mais aussi assez mauvaise comme bestiole...elle pourrait vous mordre et vous injecter son venin et vous tuer...
Alors qu'il continuait à s'avancer frappa Night a l'épaule lui laissant étouffer un crie de douleur et lui retira la collier trop serrer laissant des marque sur son cou puis partit définitivement après quelque sanglot étouffer pour ne pas se faire entendre de son interlocuteur et dit d'une voix étouffer sanglotante et cristalline:
-Je..je ne vous mordrait pas...dame Arano me l'interdit sauf en cas de légitime défense...je suis désolée de vous déranger comme cela vous avez certainement mieux a faire monsieur.
Alors qu'elle avait fini de parler, de trembler et tout se qui vas avec elle regarda son interlocuteur...
"Je ne te veux aucun mal...Tu es comme moi, un enfant de Mère Taisha. Jamais je ne ferais du mal à un de mes semblables, Mère Taisha et Dame Arano l'interdise..."
Cette voix ne ressemblait en aucun point a celle de son maitre elle ouvrit les yeux et leva la tête son visage laissant apparaitre un bleue et du sang sur sa joue gauche. Elle vit alors une personne tout autre une teint blanc des cheveux de la même couleur elle ne put apercevoir ses yeux il était recouvert d'un bandeau nuit laissant penser a la jeune serpente que son interlocuteur devait être aveugle ou tout simplement ce cacher la vue du monde. Elle avait arrêtée de trembler et s'apprêter a parler cherchant ses mot mais elle ne put dire que "Je" d'une voix sanglotante et tremblante qu'elle fut interrompue par une autre voix qui elle se valait dur, froide et méprisante alors qu'un homme richement habillée abordant des oreilles de lion ainsi que la queue assortie s'avancer avec une certaine grasse et un verre de vin blanc sec à la main et un cigare dans l'autre dit:
-Faite attention monsieur cet demoiselle est un serpent un cobra royal du désert sur du Sahara une très belle race mais aussi assez mauvaise comme bestiole...elle pourrait vous mordre et vous injecter son venin et vous tuer...
Alors qu'il continuait à s'avancer frappa Night a l'épaule lui laissant étouffer un crie de douleur et lui retira la collier trop serrer laissant des marque sur son cou puis partit définitivement après quelque sanglot étouffer pour ne pas se faire entendre de son interlocuteur et dit d'une voix étouffer sanglotante et cristalline:
-Je..je ne vous mordrait pas...dame Arano me l'interdit sauf en cas de légitime défense...je suis désolée de vous déranger comme cela vous avez certainement mieux a faire monsieur.
Alors qu'elle avait fini de parler, de trembler et tout se qui vas avec elle regarda son interlocuteur...
Night Tentai
Ainoko Asservie
Nombre de messages :
94
Réputation :
302
Maître de :
je ne suis point maitre ni d'âme, ni de corp car je vous appartient monsieur Ankoku
Esclave de :
Monsieur Ankoku Suzu
Suzu ne put que tourner le visage dans la direction approximative de la voix qui venait de s'élever. De suite, cette dernière le répugna. Un flash-back sonore se fit dans l'esprit du jeune ainoko : cet homme avait le même genre de voix que le ainoko qui avait arraché sa vue au petit bouc. Cachant son dégout, sa colère, et sa rage, la petite clochette se redressa, dominant de toute sa hauteur cet être insignifiant. Il était rare de la part du jeune homme que de quitter son état enfantin...Mais lorsqu'il se laissait aller à la colère et la rage, il n'avait plus rien d'un enfant, mais tout d'un homme froid, calculateur, rusé et cruel s'il le fallait. Il avait ses instincts, et parmi eux, des instincts de combattant. Étant loin de la catégorie Alpha, soit, dominante dans les races animales...Suzu avait tout de même une force de caractère non négligeable.
D'un ton coupant, que lui-même ne se connaissait pas, il répliqua :
"Je ne pense pas vous avoir demandé votre avis. Dame Arano et Mère Taisha nous ont confié nos pouvoirs...Offrant aux Ainokos les plus purs, les dons les plus importants. Vos paroles sont une honte à nos Divinités, je vous prierais donc de vous taire sur le champ, et de la libérer. Je l'emmène avec moi."
Les dires de Suzu ne purent empêcher le geste de l'homme, et le bouc se retint de se laisser aller à ses sentiments lorsqu'il perçut le gémissement de celle qu'il voulait voir comme une amie, une personne le comprenant : une égale.
C'est alors que le vendeur partit, maugréant dans une barbe que Suzu ne pouvait voir. Il savait QUI était ce p'tit aveugle, et ne pouvait donc se permettre d'actes idiots et inconsidérés.
Alors, la jeune serpent parla...Et la colère de Suzu retomba sur le champ. Son sourire revint, et son coeur s'allégea, il retrouvait son côté enfantin, pour le bien de son corps et de son âme. D'une voix douce, il lui répondit alors :
"Je sais. Je me doute bien que tu n'utiliseras pas tes crocs sans raison, ce serait idiot...Et puis, ton odeur n'est pas celle d'une partisane de Sir Kage. Ah ! Je m'appelle Suzu, et toi ? Tu sais...Je vais t'emmener avec moi. Je vis à Kagen, dans un p'tit appart' ! C'est pas grand chose, mais j'espère que cela te plaira ! Ah ! Zut alors ! Il est top tard pour aller faire des courses maintenant ! Je sais, on passe chez moi, je te donnerais des vêtements de Grand-Sœur. Et demain, on ira t'acheter des vêtements, d'accord ? Je suis certain qu'on va bien s'amuser toi et moi !"
Un ton jovial, un sourire enchanteur. Suzu se sentait à l'aise, à sa place, dans un univers parfais pour son lui. Et puis, comme lui par le passé, elle devait à présent se reconstruire la miss !
D'un ton coupant, que lui-même ne se connaissait pas, il répliqua :
"Je ne pense pas vous avoir demandé votre avis. Dame Arano et Mère Taisha nous ont confié nos pouvoirs...Offrant aux Ainokos les plus purs, les dons les plus importants. Vos paroles sont une honte à nos Divinités, je vous prierais donc de vous taire sur le champ, et de la libérer. Je l'emmène avec moi."
Les dires de Suzu ne purent empêcher le geste de l'homme, et le bouc se retint de se laisser aller à ses sentiments lorsqu'il perçut le gémissement de celle qu'il voulait voir comme une amie, une personne le comprenant : une égale.
C'est alors que le vendeur partit, maugréant dans une barbe que Suzu ne pouvait voir. Il savait QUI était ce p'tit aveugle, et ne pouvait donc se permettre d'actes idiots et inconsidérés.
Alors, la jeune serpent parla...Et la colère de Suzu retomba sur le champ. Son sourire revint, et son coeur s'allégea, il retrouvait son côté enfantin, pour le bien de son corps et de son âme. D'une voix douce, il lui répondit alors :
"Je sais. Je me doute bien que tu n'utiliseras pas tes crocs sans raison, ce serait idiot...Et puis, ton odeur n'est pas celle d'une partisane de Sir Kage. Ah ! Je m'appelle Suzu, et toi ? Tu sais...Je vais t'emmener avec moi. Je vis à Kagen, dans un p'tit appart' ! C'est pas grand chose, mais j'espère que cela te plaira ! Ah ! Zut alors ! Il est top tard pour aller faire des courses maintenant ! Je sais, on passe chez moi, je te donnerais des vêtements de Grand-Sœur. Et demain, on ira t'acheter des vêtements, d'accord ? Je suis certain qu'on va bien s'amuser toi et moi !"
Un ton jovial, un sourire enchanteur. Suzu se sentait à l'aise, à sa place, dans un univers parfais pour son lui. Et puis, comme lui par le passé, elle devait à présent se reconstruire la miss !
Ankoku Suzu
Ainoko Libre
Nombre de messages :
115
Réputation :
973
Esclave de :
Personne
Alors qu’il dominait de toute sa hauteur son interlocuteur Night elle ne penser qu’une chose ne plus jamais se retrouver avec cet homme se lion dont la seule envie et de faire mal au gens qui lui sont inferieur…Night n’avait pas choisit de naitre esclave on l’avait obligée vendue a une âme une vie de servitude dévouer alors qu’elle penser la voie de son interlocuteur se fit entendre. Elle avait une teinte coupante une teinte que personne ne voudrait contredire…
"Je ne pense pas vous avoir demandé votre avis. Dame Arano et Mère Taisha nous ont confié nos pouvoirs...Offrant aux Ainokos les plus purs, les dons les plus importants. Vos paroles sont une honte à nos Divinités, je vous prierais donc de vous taire sur le champ, et de la libérer. Je l'emmène avec moi."
Ce fut la plus grande surprise il voulait la prendre avec lui , la prendre a son service malgré se que venait de lui dire l’homme a la crinière de fauve…la jolie serpente en eu les lames au yeux au fond elle, elle le savait elle pourrait partir avec cet homme jamais il ne la battrait jamais il ne la brasserait comme l’avait fait son ancien maitre. C’est alors que le gèrent de night partit maugréant des mots imperceptible, inaudible pour quelqu’un de normal.
Après le départ du lion le visage du jeune bouc redevint doux et enfantin , il avait perdu tout trace de cet colère froide et calculatrice faisant apparaître un léger sourire au lèvre de l’esclave, un sourire doux , sincère, un sourire comme Night n’en faisait qu’aux personnes en qui elle croyait, en qui elle se disait pouvoir faire confiance. C’est alors que d’une voix doucereuse il lui dit :
"Je sais. Je me doute bien que tu n'utiliseras pas tes crocs sans raison, ce serait idiot...Et puis, ton odeur n'est pas celle d'une partisane de Sir Kage. Ah ! Je m'appelle Suzu, et toi ? Tu sais...Je vais t'emmener avec moi. Je vis à Kagen, dans un p'tit appart' ! C'est pas grand chose, mais j'espère que cela te plaira ! Ah ! Zut alors ! Il est top tard pour aller faire des courses maintenant ! Je sais, on passe chez moi, je te donnerais des vêtements de Grand-Sœur. Et demain, on ira t'acheter des vêtements, d'accord ? Je suis certain qu'on va bien s'amuser toi et moi !"
Suzu quel jolie prénom. Il avait raison jamais elle ne serait une partisane ou même une courtisane du dieu Kage elle n’aimait pas la violence et jamais n’en avait fait preuve envers quelqu’un qui ne lui avait rien fait.
Quelques minutes après le départ du lion un de ses employer notamment une des personnes qui avait battue night tout à l’heure revient avec ne pair de clef . En le voyant la jeune femme se crispa immédiatement…il était claire qu’elle aurait peur des moindres mains levées pendant un petit moment. L’homme approcha doucement les clefs des fers de la demoiselle libérant ses chevilles et ses poignet avant de repartir un sourire désolé au visage et les larmes au yeux…s’en voulait il ??? .
Night se relava rattacha son kimono ensanglanté se tourna vers Suzu pris une de ses main dans la sienne et s’inclina avec respect …il ne l’a voyait peut être pas mais elle avait quand même préférer s’incliner pour elle c’était une marque de respect et de remerciement envers son nouveau maitre… puis elle dit doucement d’une voix douce et cristalline :
-Je vous remercie…maitre. Mon nom et Night, Night Tentai. J’essaierait de vous faire honneur en tout point monsieur car jamais je ne veut revivre cet enfer….Pour les vêtement c’est a vous de voir on les choisis souvent a ma place…
C’est alors que dans le coucher de soleil elle se releva et lâcha sa main . Puis un des subordonnés de son ancien maitre viens a leurs rencontre s’inclinant devant Suzu avec respect avant de lui remettre en main une lettre de la griffe du lion… que pouvait- elle bien contenir cet lettre ….
"Je ne pense pas vous avoir demandé votre avis. Dame Arano et Mère Taisha nous ont confié nos pouvoirs...Offrant aux Ainokos les plus purs, les dons les plus importants. Vos paroles sont une honte à nos Divinités, je vous prierais donc de vous taire sur le champ, et de la libérer. Je l'emmène avec moi."
Ce fut la plus grande surprise il voulait la prendre avec lui , la prendre a son service malgré se que venait de lui dire l’homme a la crinière de fauve…la jolie serpente en eu les lames au yeux au fond elle, elle le savait elle pourrait partir avec cet homme jamais il ne la battrait jamais il ne la brasserait comme l’avait fait son ancien maitre. C’est alors que le gèrent de night partit maugréant des mots imperceptible, inaudible pour quelqu’un de normal.
Après le départ du lion le visage du jeune bouc redevint doux et enfantin , il avait perdu tout trace de cet colère froide et calculatrice faisant apparaître un léger sourire au lèvre de l’esclave, un sourire doux , sincère, un sourire comme Night n’en faisait qu’aux personnes en qui elle croyait, en qui elle se disait pouvoir faire confiance. C’est alors que d’une voix doucereuse il lui dit :
"Je sais. Je me doute bien que tu n'utiliseras pas tes crocs sans raison, ce serait idiot...Et puis, ton odeur n'est pas celle d'une partisane de Sir Kage. Ah ! Je m'appelle Suzu, et toi ? Tu sais...Je vais t'emmener avec moi. Je vis à Kagen, dans un p'tit appart' ! C'est pas grand chose, mais j'espère que cela te plaira ! Ah ! Zut alors ! Il est top tard pour aller faire des courses maintenant ! Je sais, on passe chez moi, je te donnerais des vêtements de Grand-Sœur. Et demain, on ira t'acheter des vêtements, d'accord ? Je suis certain qu'on va bien s'amuser toi et moi !"
Suzu quel jolie prénom. Il avait raison jamais elle ne serait une partisane ou même une courtisane du dieu Kage elle n’aimait pas la violence et jamais n’en avait fait preuve envers quelqu’un qui ne lui avait rien fait.
Quelques minutes après le départ du lion un de ses employer notamment une des personnes qui avait battue night tout à l’heure revient avec ne pair de clef . En le voyant la jeune femme se crispa immédiatement…il était claire qu’elle aurait peur des moindres mains levées pendant un petit moment. L’homme approcha doucement les clefs des fers de la demoiselle libérant ses chevilles et ses poignet avant de repartir un sourire désolé au visage et les larmes au yeux…s’en voulait il ??? .
Night se relava rattacha son kimono ensanglanté se tourna vers Suzu pris une de ses main dans la sienne et s’inclina avec respect …il ne l’a voyait peut être pas mais elle avait quand même préférer s’incliner pour elle c’était une marque de respect et de remerciement envers son nouveau maitre… puis elle dit doucement d’une voix douce et cristalline :
-Je vous remercie…maitre. Mon nom et Night, Night Tentai. J’essaierait de vous faire honneur en tout point monsieur car jamais je ne veut revivre cet enfer….Pour les vêtement c’est a vous de voir on les choisis souvent a ma place…
C’est alors que dans le coucher de soleil elle se releva et lâcha sa main . Puis un des subordonnés de son ancien maitre viens a leurs rencontre s’inclinant devant Suzu avec respect avant de lui remettre en main une lettre de la griffe du lion… que pouvait- elle bien contenir cet lettre ….
Night Tentai
Ainoko Asservie
Nombre de messages :
94
Réputation :
302
Maître de :
je ne suis point maitre ni d'âme, ni de corp car je vous appartient monsieur Ankoku
Esclave de :
Monsieur Ankoku Suzu
Suzu ne pouvait décoller de son visage son sourire heureux et jovial. Elle était vraiment gentil comme fille ! Oui, elle pourrait probablement l'aider à la boutique...Tout du moins, pour gérer la partie l'égale...Vu que celle illégale, il se la réservait et personnes n'y avait accès, à part lui. Même ses vendeurs ignoraient une majeur partie de l'affaire : pour dire !
Cependant, les mots de la jeune fille parvinrent enfin dans son esprit dérangé. On choisissait ses vêtements pour elle ? Oo Mais...Mais lui...Il n'y connait rien en vêtement féminin ! De plus, il n'a jamais fait les boutiques en personnes, ni accompagnaient qui se soit pour les faire...Pourquoi ? Probablement car sans la vue, il est difficile de donner des conseils de mode !
C'est alors qu'un éclair de génie, dieu de c'est rare, traversa son esprit de gamin naïf à souhait...
"AH ! Je croit qu'il y a encore quelques affaires de Nee-sama à l'Appart'. Je pense qu'en attendant qu'on aille faire du shopping, tu pourras y trouver ton choix. Nee-sama aime bien les habits traditionnels, mais y'a un peu de tout dans l'armoire...J'espère que tu y trouveras ton compte, sinon, on ira faire du shopping ensemble ! Cela devrait être amusant...Je n'ai jamais fait de shopping alors bon !"
Un petit rire accompagna sa dernière remarque. Il l'avait prononcé comme s'il était normal pour lui de n'avoir jamais pratiqué l'activité dîtes du "lèche-vitrine"...Tous le monde n'a pas la même conception du Monde me direz-vous. S'étirant, il tendit sa main vers Night avec un sourire engageant, et toujours si pur et tendre..dans l'intention clair de lui expliqué qu'il la voyait comme une amie, et non une servante.
Au moment où elle se releva, le coucher du soleil arriva. Youkou allait laisser place à Kage pour la nuit, comme l'avait décidé Mère Taisha. Les frères ennemis, encore une fois, ne feront que se croiser. C'est alors que Suzu se retrouva avec une lettre en main. Décachetant cette-dernière, il passa ses doigts fins sur le papier...Pour se rendre compte que le texte n'était ni en relief, ni en morse ! Bon sang ! Il est censé le lire comment ?!
Observant de manière dubitatif le morceau de papier, Suzu soupira. se retournant ver sle vendeur, il lui déclara :
"Anone, je ne suis pas devin...y'a quoi sur ce bout d'papier ?
- Les certificats de la serpent Sir.
- Ah ! ok ! Bon, ben merci ! On va y aller dans ce cas.
- Vous n'achetez pas de collier ?
- Hein ? Je pense qu'un joli médaillon est bien mieux qu'un collier que vous vendez. J'ai déjà ce qu'il faut chez moi, merci quand même !"
A peine avait-il finit de parler, que Suzu passa sa main sur l'épaule de la jeune fille, l'entraînant ainsi à sa suite. Une fois arrivé à l'entrée du Marché, il lui fit signe de passer devant, histoire qu'elle s'installe de manière confortable dans la berline noire.
"Et si on allait d'abord chez moi ? Comme ça, tu pourras te changer...Et puis, on pourra aller manger au restaurant, ou s'amuser ! C'est toi qui voit, car ce soir, c'est ta soirée de Bienvenue ! Après tout, je t'avoue que c'est la première fois que j'ai quelqu'un à mon service...alors, autant que se soit une bonne amie ! Tu pourras toujours m'aider et me conseiller, comme le fait Nee-sama. Oui, je suis certain que tu es aussi gentille et agréable que Nee-sama !"
Cependant, les mots de la jeune fille parvinrent enfin dans son esprit dérangé. On choisissait ses vêtements pour elle ? Oo Mais...Mais lui...Il n'y connait rien en vêtement féminin ! De plus, il n'a jamais fait les boutiques en personnes, ni accompagnaient qui se soit pour les faire...Pourquoi ? Probablement car sans la vue, il est difficile de donner des conseils de mode !
C'est alors qu'un éclair de génie, dieu de c'est rare, traversa son esprit de gamin naïf à souhait...
"AH ! Je croit qu'il y a encore quelques affaires de Nee-sama à l'Appart'. Je pense qu'en attendant qu'on aille faire du shopping, tu pourras y trouver ton choix. Nee-sama aime bien les habits traditionnels, mais y'a un peu de tout dans l'armoire...J'espère que tu y trouveras ton compte, sinon, on ira faire du shopping ensemble ! Cela devrait être amusant...Je n'ai jamais fait de shopping alors bon !"
Un petit rire accompagna sa dernière remarque. Il l'avait prononcé comme s'il était normal pour lui de n'avoir jamais pratiqué l'activité dîtes du "lèche-vitrine"...Tous le monde n'a pas la même conception du Monde me direz-vous. S'étirant, il tendit sa main vers Night avec un sourire engageant, et toujours si pur et tendre..dans l'intention clair de lui expliqué qu'il la voyait comme une amie, et non une servante.
Au moment où elle se releva, le coucher du soleil arriva. Youkou allait laisser place à Kage pour la nuit, comme l'avait décidé Mère Taisha. Les frères ennemis, encore une fois, ne feront que se croiser. C'est alors que Suzu se retrouva avec une lettre en main. Décachetant cette-dernière, il passa ses doigts fins sur le papier...Pour se rendre compte que le texte n'était ni en relief, ni en morse ! Bon sang ! Il est censé le lire comment ?!
Observant de manière dubitatif le morceau de papier, Suzu soupira. se retournant ver sle vendeur, il lui déclara :
"Anone, je ne suis pas devin...y'a quoi sur ce bout d'papier ?
- Les certificats de la serpent Sir.
- Ah ! ok ! Bon, ben merci ! On va y aller dans ce cas.
- Vous n'achetez pas de collier ?
- Hein ? Je pense qu'un joli médaillon est bien mieux qu'un collier que vous vendez. J'ai déjà ce qu'il faut chez moi, merci quand même !"
A peine avait-il finit de parler, que Suzu passa sa main sur l'épaule de la jeune fille, l'entraînant ainsi à sa suite. Une fois arrivé à l'entrée du Marché, il lui fit signe de passer devant, histoire qu'elle s'installe de manière confortable dans la berline noire.
"Et si on allait d'abord chez moi ? Comme ça, tu pourras te changer...Et puis, on pourra aller manger au restaurant, ou s'amuser ! C'est toi qui voit, car ce soir, c'est ta soirée de Bienvenue ! Après tout, je t'avoue que c'est la première fois que j'ai quelqu'un à mon service...alors, autant que se soit une bonne amie ! Tu pourras toujours m'aider et me conseiller, comme le fait Nee-sama. Oui, je suis certain que tu es aussi gentille et agréable que Nee-sama !"
Ankoku Suzu
Ainoko Libre
Nombre de messages :
115
Réputation :
973
Esclave de :
Personne
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum