Bon séjour sur Saol Eile

Bon elle doit aller faire les course, elle a demander pour une fois d’y aller seule de se débrouiller seule, parce qu’elle ne sait pas trop…. Mais elle a envie d’essayer de le faire seule, pour montrer qu’elle n’est plus un enfant.. Doucement passer ce qui lui sert de sous-tiens gorge, elle n’aime pas cela, ça fait mal.. Un t-shirt noir et blanc.. Assez long et un mini short blanc, un paire de haute chaussette blanche avec le porte jarretelles, elle sait qu’elle n’est pas vraiment belle , mais pour elle c’est parfait comme tenue, elle peu marcher facilement… Se matin elle n’a pas put traire ces seins, mais elle a fait tout comme ne voulant pas déranger les deux autres…

Chausser es chaussure a talons plant avant de s’avancer dans les rues, doucement en souriant, il est assez tot, pas de problème, personne ne vue, elle peut profiter du soleil qui réchauffe sa peau.. Qui réchauffe son cœur aussi, comme elle est trop tôt pour aller dans les magasin, la jeune femme décide d’aller s’amuser dans le parc, enfin pour elle s’amuser c’est se promener doucement…

Marcher dans le parc avant de sentir une douleur au niveau de ces seins, cherchant a l’ignorer elle recommence a marcher, avant de s’écrouler au sol, les larmes coulant le long de ces joues, douloureux comme sensation, douloureux , elle a besoin de quelqu’un pour la soulager, mais elle sait quelle ne pourra le demander….

Elle sent ces seins dure et gonfler, doucement passer ces bras autour pour essayer de les soulager, doucement glisser un de ces mains sous le t-shirt pour les libérer en douceur, soupirant de plaisir quand elel détache le sous-tiens gorge, qu’elle instrument de torture.. Heureusement il n’y a personne dans le parc… Normale elle est dans un endroit assez loin du centre la ou tout le monde se retrouve...

Un matin, dans le domaine Kakon, Nälz Fuubuki ou Kakon Fuubuki, se levait de fort bonne heure. Réveillant toutes les servantes de son manoir, il réclama un bain chaud. On le lui fit immédiatement, de peur qu’il se mette en colère. L’homme corbeau était une véritable terreur et en même temps, les servantes le respectaient et l’appréciaient, lorsqu’il était bon. Après s’être fait lavé tout le corps par d’autres esclaves humaines, l’ainoko s’habilla avec un jean blanc et un t-shirt blanc sur lequel la sceau de la famille Kakon figurait en haut à gauche, un coin discret. Le maître quitta ensuite le manoir en s’envolant par la fenêtre de sa chambre. Le trajet fut rapide, il s’arrêta au parc, dans le coin où personne n’allait en général. De plus, il était encore tôt, donc il y avait encore moins de chance qu’il rencontre quelqu’un. Le soleil laissait glisser ses rayons sur la peau pâle du kakon qui avait remonté ses manches, marchant lentement en regardant autour de lui. Ses yeux rouges d’habitude déments, étaient pour le moment calmes, serein.
Soudain, il entendit un brui .Il y avait quelqu’un, une femme et elle pleurait. Curieux, l’ainoko avança discrètement, regardant loin devant lui. Mais le bruit était juste à sa gauche et sortant du buisson, il vit une jeune femme, les seins à l’air. Elle semblait souffrir. Fuubuki remarqua étonné que la poitrine de l’inconnue était anormalement gonflée. Ne se sentant pas partir sans rien faire il approcha. Son regard perçant toisa la femme, comme si il voulait lire dans ses pensées. Sur un ton froid, il demanda :

« Que vous arrive t-il ? »

Le kakon gardait les mains dans les poches, ne faisant pas mine de porter secours à la pauvre esclave. Il se contentait de la regarder, observait avec intéressement cette grande poitrine. Elle devait être une esclave, ça en avait tout l’air, mais il ne pouvait en être sûr. Ne bougeant toujours pas, et connaissant déjà la réponse, il sourit sadiquement et demanda :

« Besoin d’aide ? »

Fermer les yeux pour essayer d’oublier la douleur, pour essayer de tout oublier en fait, mais la douleur se faisait de plus ne plus forte, si elle avait été élevée autrement, elle aurais traits son lait toute seule, elle l’aurais fait couler, mais dans son esprit il était bien marquer qu’elle ne pouvait pas le faire, seul un de ces maître avait le droit de le faire, ou alors un autre maître, mais pas elle…
Les larmes qui coulait sur ces joues montrait bien qu’elle mourrais de douleur, mais qu’elle ne le dirais pas a son vrai maître, elle ne voulait pas lui faire de la peine, ni a son humaine, et elle savait que si elle disait avoir mal, il ferait tout pour la soulager et l’humain se fâcherait… Elle en veut pas qu’elle se fâche…

Un homme, un pas d’homme, la jeune femme se couvre un instant les seins des ces mains, mais la douleur la fait grimacer, quand elle lève le regard, il est un peu effrayer tremblant, comme si elle avait peur… En fait elle avait peur, la jeune femme était perpétuellement apeurée…. Même chez son nouveau maître qui pourtant été gentil…
LE regard glacial bien que de couleur chaude de l’homme la faisait trembler, elle n’était pas gênée de montrer sa poitrine, parce que pour elle c’était logique…

Sa clochette sonnant doucement quand elle bouge la tête, un collier, un bracelet aussi a la main tous cela montre qu’elle est esclave et rien de plus… Elle n’aimait pas son regard, mais elle n’avait pas le courage de se lever, ces seins lui donnait l’impression de peser des tonnes, et quand elle poussait un peu dessus son lait en sortant doucement…

« J’ai..Mal… Au …sein… Mon…Maitre … m’a pas…trait .. se …ma..matin… »

La jeune femme leva vers le jeune homme un regard doux, douloureux suppliant… Comme si elle voulait lui demander quelque chose, a plusieurs reprise, elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose… Avant de la refermer, il lui avait demander si elle avait besoin d’aide mais son regard lui faisait peur…

« J’…. Vous.. Pouvez m’aider… en… me trayant les …mam..elle… »

La jeune femme rougit brutalement, baissant son regard sur cette poitrine qu’elle détestait tant, mais peu être que lui pourra la soulager doucement, avec sa bouche, et non avec cette fichue machine qui fait mal…

Fuubuki était face à une femme-vache, chose fort original. Il n’en avait jamais vu jusqu’alors et continuait de l’observer se tortiller par terre en gémissant de douleur. Le kakon n’esquissait pas un geste, c’était presque comme si il appréciait le spectacle. Tout habillé de blanc, on aurait pu pensé qu’il était pur, mais ses ailes de corbeau et son regard effrayant disaient tout le contraire. Pourtant, il n’avait l’air de vouloir faire du mal à la jeune femme, non, il regardait juste le spectacle qui lui était offert et c’était tout. Son sourire malsain avait probablement effrayé mais elle ne pouvait s’enfuir. Lorsque le maître demanda à l’esclave ce qui lui arrivait, elle lui expliqua avec difficulté. De ses mamelles coulaient un peu de lait lorsqu’elle appuyait dessus. Fuubuki continuait de la regarder et demanda :

« Pourquoi tu ne te soulages pas toi-même ? »

Visiblement, c’était au-dessus de ses moyens, c’est pourquoi, l’ainoko n‘insista pas. Il prit un moment pour réfléchir. Elle venait de le supplier de l’aider, devrait-il le faire ? Depuis quand était-il devenu le bon samaritain ? Le kakon s’amusa à observer la personne continuait de gémir, puis finalement, il s’avança vers elle, s’agenouillant à côté d’elle. Doucement, il posa la main sur sa tête et caressa ses cheveux. Son regard était devenu froid et en contraste face à cela, ses gestes étaient doux. D’un ton neutre, il dit :

« Dis moi, comment je dois m’y prendre. Je dois traire avec mes mains ou autrement ? »

Il n’avait jamais trait une vache, il ne savait donc pas si il avait besoin d’une machine ou si juste appuyer dessus suffirait, ou une autre manière peut-être ? Fuubuki n’en avait aucune idée. Sa main se posa sur le sein de la jeune femme, sans gêne aucune et il constata que la peau était tendue. Oui, elle était pleine à ra bord, ce n’était pas étonnant qu’elle ait mal à ce point. Le kakon attendait toujours une indication de la part de l’inconnue, il la regardait froidement, elle qui était à l’agonie et qui souffrait terriblement.

Original…oui elle savait qu’elle était original, il y avait peu de vachette comme elle… Elle n’en connaissait qu’une de plus qu’elle, mais son maître l’avait tellement traumatisée qu’elle n’arrivait même plus a parler juste a mugler comme un animal, sans plus… Elle ne pouvait pas dire qu’elle aimait la présence du kakon, pour elle c’était synonyme de morts, parce que sa mère avait fini dans leur plats lords d’une orgies… Mais qu’il n’aille pas vers elle des geste brûla, l’apaisait un peu… Se soulager elle même, son maître la punirais, c’était ancrés dans son cerveaux, insolubles, impossible a effacer…

Le corps tremblant elle ne savait que penser de cet homme… Un frisson quand il s’agenouille devant elle, est-ce qu’il allait l’aider, le regard de la jeune femme se teinta d’un espoir… Un instant fermer les yeux, pas lever la main, pourtant quand il pose sa main sur ces cheveux, elle bouge doucement la queue contente de sentir la main de l’homme a ces endroit sans violence…

Alors il voulait bien l’aider, sur le visage de la jeune femme se dessina doucement un sourire lumineux, elle ne voulait pas regarder l’homme dans les yeux, voulant plus se fier a ces geste qu’a son regard froid… Un soupire de bien être lui échappe a peine la mains de l’homme se posant sur son seins… cherchant son souffle elle reprend la paroles, a douleur c’est difficile a contrôler…

« Vous.. Pouvez avec… les mains, en.. les….. pressant… Ou..Ou alors en les prenant en bouche et en tétant… »

La jeune femme rougit a nouveau en disant cela, posant sa main sur celle du kakon, elle viens lui poser sur ces tétons, d’ou coulait un fin filet de lait, doucement elle imprime a la main de l’homme un mouvement poussant un petit cris qui mêle la douleur et le soulagement… Ca faisait de plus en plus mal, pourvus qu’il veuille encore bien l’aider.. .Elle sent une larme couler le long de sa joue…

Le kakon était maintenant à genou en face de la vachette-humaine. Elle continuait de souffrir, ne voulant décidément pas se soulager elle-même. Peut-être une espèce de fantasme que de se faire traire par les autres, ou bien alors une obligation. Il n’en savait rien et d’un autre côté, cela lui importait peu. La jeune femme semblait au départ effrayé de sa présence. La blancheur de son accoutrement faisait penser à l’arrivée d’un fantôme. Elle contrastait également avec la noirceur de son âme pervertie. Enfin, il n’était pas si méchant que ça pour le moment. Il aurait très bien pu lui sauter dessus, profiter d’elle pendant qu’elle était en détresse et la laisser telle quel comme il l’avait trouvé. La main de Fuubuki était posée sur la tête de la jeune femme, comme pour l’apaiser et il la posa ensuite sur son sein, demandant comment il devait s’y prendre. Elle lui expliqua avec difficulté, puis prit sa main en imprimant une petite poussée qui la fit crier de douleur et de soulagement. Il essuya la larme qui perlait de sa joue et murmura:

« Laisse moi faire alors. »

L’ainoko prit les deux mamelles de la vachette et tira un peu dessus. Le lait coula immédiatement hors de sa poitrine, mouillant l’herbe de sa couleur blanche. Il continuait, imprimant un mouvement de va et vient, poussant, tirant dessus. Au fur à mesure, l’herbe était devenue entièrement blanche mais la poitrine de la belle était un peu moins gonflée, même si elle était toujours aussi pleine. Le maître s’arrêta et regarda la vachette. Un petit sourire restait sur ses lèvres.

« Est-ce que tu te sens un peu mieux ? Hum, dis moi, pourquoi ton maître ne te trait t-il pas ? Ca pourrait éviter ce genre de situation. »

Il ne le remarquait que trop tard, le lait avait couler sous ses genoux et s’imprégnait sur son pantalon blanc. L’humidité était désagréable, c’est pour quoi, il se décala sur le côté, sans arrêter de traire Miruku. Une envie soudaine le prit. Il fit s’asseoir la jeune femme, en l’aidant, puisqu’elle avait du mal à bouger, souffrant encore atrocement. Le kakon la regarda un moment, puis se pencha en avant, posant ses lèvres sur le téton de la vachette. Il suça doucement et le lait arriva dans sa bouche. Il était délicieux. L’ainoko recommença alors, alternant sur chaque sein pour prendre une quantité égale des deux côtés. Hélas, lui-même sentait que quelque chose gonflait en lui et c’était également une chose soulageable en la suçant. La vachette remarqua probablement la bosse sur le pantalon blanc de l’ainoko, alors qu’il suçait avidement ses tétons pour boire de son lait.

Il était gentil le monsieur elle ne comprenait pas pourquoi il se montrait aussi gentil avec elle, malgré son air froid il voulait bien l’aider, pourquoi cela… Elle ne savait pas trop, pas vraiment habituée a ce qu’on lui fasse plaisir… La main qui essuie sa larme c’est si rare…
De gémissement de plaisir et de douleur qui lui échappe, alors que la vachette garde les lèvres entrouverte, il ne pouvait savoir a qu’elle point cela lui faisait du bien de sentir ces mains sur ces seins, ces mouvements comme cela qui évacue le lait…

Un soupire de soulagement sentant la douleur tomber un peu elle pouvait apprécier la douceur de la main de l’homme, sa force aussi, il n’hésitait pas c’était agréable…Les mouvements de l’homme créait dans le corps de la vachettes des envies qu’elle savait ne pouvoir dire, parce que sinon il risquait de lui faire du mal… Le voilà qu’il arrête, et la regarde, la jeune femme rougit violemment, encore une fois c’est quelque chose qu’elle n’a pas vraiment l’habitude…

« Oui… Mon..maitre…je..je ..voulait pas le.. déranger… J’a…vais oublier..que ca faisait si mal… »

La jeune femme rougit un peu plus surtout quand elle vit que le pantalon de l’homme était humide a causse de son lait, elle ouvrit la bouche pour s’excuser… Mais en le voyait se mettre sur le coté, elle se tut, parce qu’il continuait a lui faire du bien… S’asseoir c’est pas facile, mais elle sourit au jeune homme…
Quand il poussa sa bouche sur son seins, la jeune femme poussa un petit cris de plaisir, dieu que c’était bon de sentir cette bouche sur ces seins, elle sentait aussi un autre envie monter en elle, envie qui changea doucement les nutriment de son lait, le rendant légèrement aphrodisiaque… Très légèrement sans en changer le goût…

Doucement le regard de la jeune femme se posa sur l’entre jambe de l’homme, la faisant rougir violemment, un peu timidement elle avança la main pour la poser sur son pantalon… La main un peu tremblant, elle caresse la bosse, son regard bleu timide se posant sur l’homme….

« Vous.. voulez…Que..que je vous …Soulage.. ici… »
la main de la jeune femme appuyant un peu plus fort sur le sexe de l’homme, elle savait soulager pendant qu’on la trayait ou alors après…

Fuubuki n’avait pas conscience que le simple fait de commencer à sucer les seins de la vachette créait en elle une envie. Lui aussi commençait à en avoir, et en buvant le lait légèrement modifié, il sentait la tension s’accentuer au fur à mesure qu’il en buvait. Maintenant, il ne se contentait pas de sucer, il s’attardait quelques fois en léchant le téton longuement, avant de reprendre la trait. Le kakon adorait le goût, l’odeur de ce lait et aussi l’odeur de la jeune femme. L’ainoko appuya un peu plus fort sur sa poitrine pour faire sortir d’avantage de lait. Comme il était délicieux. Soudain, une main s’appuya sur son entre-jambe. L’ainoko releva ses yeux rouges et froids pour croiser le magnifique regard bleu de la vachette. Elle était timide, cela devait être dur de demander une telle chose et pourtant, elle l’avait demandé. L’ainoko sourit soudain. Oui, il en avait envie, le lait avait monté l’envie en flèche et il était terriblement à l’étroit maintenant. Ses mains lâchèrent les mamelles de la vachette.

« Mets toi à quatre pattes, pendant que je te traits. »

La laissant s’exécuter, il avança ses genoux sur l’herbe verte, approchant son entre-jambe du visage de la vachette. Il se pencha en avant pour saisir à nouveau les mamelons, tirant dessus pour la soulager à nouveau de son lait. Il la laissait ouvrir ce pantalon comme elle le voulait.

« Si tu trouves la position inconfortable, proposes une idée pour que je puisse te traire en même temps, d’accord ? »

Le gout du lait lui manqua terriblement. Il aurait voulu la sucer en même temps qu’elle le lui faisait, mais à ce moment là, il faudrait qu’elle soit sur le dos et le lait coulerait sur elle. Peut-être que ça ne serait pas si mal. Mais pour le moment, le maître gardait la position attendant une proposition de la vachette, ainsi que sa langue pour le soulager.

Elle n’avait pas fait exprès de lui donner cette substance, quand elle prenait du plaisir cela venait tout seule, sans qu’elle ne puisse le retenir… Elle aimait pourtant qu’il s’attarde a lécher doucement son tétons qu’il le reprenne ensuite en bouche… Elle aimait la façon dont il avait de malaxer ces seins, des les presser, son anciens maître était pas aussi doux, et son nouveau maître un peu plus timide…

La petite vachette aimait bien le regard de l’homme en fait, même si il était froid, il n’était pas méchant, elle n’y lisait pas la folie comme dans le regard de son ancien maître… La jeune femme sourit elle connaissait cette position, et se mit immédiatement a quatre patte, sa queue se balançant doucement dans son dos..

Elle pouvait voir a présent, la bosse bien dur du membre de l’homme, la faisant rougir un peu plus… Avec douceur elle viens prendre dans ces mains, la tirette pour baiser le pantalon et le dessus, un peu hésitante dans ces mouvements…

« Non.. c’est.. pa..parfais… »

C’est vrai elle avait souvent sucer comme cela, ou alors son maître la prenait par derrière alors qu’il la trayait sans douceur, au moins le kakon était doux dans ces mouvements…. La jeune femme viens prendre doucement le sexe de l’homme dans sa bouche, le sucent, avec douceur, un peu hésitante au début, a langue pourtant savait que faire, elle savait bien sucer, mais elle ne se mordrait pas trop sur d’elle, juste ce qu’il fallait pour que cela soient agréable, sa langue caressant le sexe alors qu’elle l’effoncait très loin, aillant une gorge profonde… Sucer un moment avec de petit cris qui ressemblait un peu a des meuglement… avant de retirer le sexe de sa bouche….

« Si..si le..maitre.. veut..chan..ger de possi..tion.. Qu’il…le ..disent… Miruku… Ne ..connais pas .. beaucoup… »

La jeune femme ne connaissait pas beaucoup de position, son maître, l’ancien,ne la faisait pas beaucoup changer, elle reviens prendre dans sa bouche le sexe chaud et humide continuant a le sucer avec douceur, avec plus d’envie que de véritable savoir…

Le kakon était enivré par les hormones que produisait Miruku. La vachette n’en était même pas consciente, s’excitant un peu plus, provoquant ainsi l’excitation de Fuubuki. Le maître ne se doutant de rien, continuait de traire la vachette en suçant ses mamelons. Sa bosse continuait de grandir, tendant le pantalon blanc si bien qu’il finissait par se sentir serré sans réaliser directement pourquoi. Ce n’est que lorsque Miruku posa la main dessus, mettant en évidence la chose, que l’ainoko réalisa à quel point il était excité. Acceptant sans hésiter la proposition de l’esclave, l’homme-corbeau la laissa faire, alors qu’il recommençait à la traire, avec le regret de ne pouvoir goûter à son lait. A force, tout le parterre était imprégné. Le kakon décala la vachette et lui-même sur une place quelques centimètres à côté pour ne pas être touché. Le lait coulait des mamelles de la vache alors que Fuubuki commençait à sentir sa langue sur son membre. L’esclave était douée, il tira légèrement plus fort sur la poitrine de la vachette sur le coup de l’excitation. Le lait sortit plus rapidement sur le coup. Miruku dit alors, toujours avec timidité, qu’il pouvait se disposer comme il le désirait. Le maître sourit alors et se leva. Il enleva son pantalon gênant et allongeant délicatement l’esclave sur le dos. Il se mit à genou au niveau de sa tête. Son sexe était au niveau du visage de Miruku. L’ainoko murmura :

« Tu sais, tu ne peux pas te traire toi-même, ce qui n’empêche que tu peux très bien te soulage seule, plus bas... »

Il lâcha le sein de la jeune femme et prit sa main en l’amenant plus bas et la poser sur son short. L’ainoko se remit au niveau de la tête de Miruku et se pencha alors pour recommencer à sucer son sein. Le maître aimait voir les esclaves se donner du plaisir seule, tout en lui en donnant comme cette vachette semblait savoir faire. Ayant pris une bonne gorgée de lait, le maître se redressa et mit son sexe sur le visage de la vachette pour qu'elle le prenne à nouveau.

N’allez pas croire qu’il est habituelle pour la jeune femme de demander comme cela quelque chose au autre, que du contraire, elle est même du genre a se taire et a ne rien dire, a ne surtout rien tenter, mais la elle en avait envie, un manque qui venait de naître en elle, sans qu’elle n’en comprenne la cause… Comme si son corps réclamait quelque chose qui lui manquait… Elle aimait sentir quand il tira un peu plus fort sur ces seins, elle ne l’en suce qu’un peu plus fort…

Un peu troublée elle le regard se relever, son regard bleu poser sur l’homme, mélange d’innocence et d’envie… Elle se laisse allonger, sans perdre un instant le rouge qui viens sur ces joues… Elle n’a pas honte de ce qu’elle fait, simplement cette homme la trouble sans qu’elle ne sache pourquoi…
Quand elle vit le sexe de l’homme prés d’elle, elle sortis la langue pour le lécher doucement, avant de rougir un peu plus sous ces paroles.. Ne les comprenant pas entièrement, mais sentant le sous entendus…

Un frison quand l’homme prit sa main… Devenant encore plus rouge en sentant l’endroit ou il la mettait, elle pouvait sentir que son intimité était humide… Doucement la mains de la jeune femme viens caresser son clito la faisant gémir en doucement… La jeune femme ne savait plus trop bien ou elle en était, juste qu’elle se sentait bien… Les doigts de la jeune femme se faisait assez actif la faisant de plus en plus gémir, pincent son clito, elle se cambra doucement, ouvrant la bouche pour recevoir le sexe de l’homme, elle ne savait pas ce que diffusait son lait…

La bouche de la jeune femme accueille avec plaisir le sexe de l’homme, son bas ventre se soulevant un peu alors qu’elle fait entrer en elle un doigts, son string était tremper elle le sentait, doucement un deuxième doigts entra en elle bougeant rapidement, elle gémissait, enfoncent le plus possible le sexe, sa langue entourant le sexe de l’homme, alors que ces pommettes était rouge vif… Ca la troublait, toujours cette timidité dans les geste, mais aussi cette envie palpables…

Il ne comprenait pas pourquoi il n’était pas violent ce jour là. Il ne comprenait pas pourquoi il avait autant envie de cette vachette. Etait-ce ses petites cornes qui l’attiraient ? Son jeune visage attirant ? Ou peut-être que c’était la vue de sa poitrine qui l’avait attiré. Fuubuki ne connaissait pas la raison de sa gentillesse et cela l’agaçait assez pour qu’il pince inconsciemment plus fort les mamelles de la vachettes. Elle était douce et timide, entièrement soumise à lui. Elle lui avait même proposé un soulagement, plus bas. Le kakon avait accepté et ne regrettait pas sa décision. Pour une raison inconnue, il la désirait appréciait, tout ce qu’elle lui faisait. Lorsqu’il ne suçait pas son lait, il la trayait en soupirant, laissant couler le liquide blanc sur la poitrine de la jeune femme, sur son ventre. Les mains du kakon était mouillée, mais ce n’était pas important. Ce lait était délicieux, aphrodisiaque avec les hormones qu’il contenait. Plus l’ainoko en buvait, plus il se sentait enivré par le désir charnel.

Sous son ordre, ou sa demande, la vachette commençait à se caresser. Il avait senti qu’elle le voulait depuis longtemps, même si elle n’osait pas le dire, quoi de plus normal que de la laisser faire comme elle voulait tant que lui avait du plaisir ? Fuubuki soupirait de plus belle alors que la langue de la vachette englobait son sexe. Malgré sa timidité, elle était sure dans son geste, elle ne tremblait que d’excitation. Le kakon laissa un moment les mamelles qui avaient perdues la moitié du volume de départ et se pencha en avant, enfonçant plus loin son membre en érection dans la bouche de la vachette. Il se penchait pour regarder sa main se toucher. Bien vite, il prit le haut de son mini-short blanc et le baissa doucement pour apercevoir son string. Excité par la vision de la lingerie mouillée, il entra sa main dedans pour la poser sur celle de Miruku. Elle était humide, tout comme la sienne qui était trempée de lait. L’homme-corbeau retira sa main en souriant et lécha sa main trempée. Il baissa ensuite le string également, le laissant à mi-genou avec le short. De là où il était, il ne voyait pas l’intimité, juste la main qui faisait entrer ses doigts dans un rythme régulier. Il revint alors à genou à sa position initiale et reprit un sein dans chaque main.

Est-ce que ta poitrine te fait moins mal? De ton côté, tu as parfaitement réussi à me soulager en tout cas…

Miruku ne comprenait pas le pourquoi de la gentillesse du Kakon, étant plus habituée a la brutalité qu’a la douceur, c’était si facile de la manipuler quand on était doux, a cet instant elle était prêtes a tout pour la kakon, juste parce qu’il avait été gentil avec elle… Un petit cris quand il lui pince un peu plus fort le tétons, mais elle ne dit rire parce que dans un sens cela lui plaisait bien… La jeune femme sentait couler sur elle son lait, mais cela ne la gênait pas, c’était bon pour la peau….

Elle ne pouvait s’empêcher de gémir sous les caresse qu’elle se prodiguait, elle ne le faisait pas souvent, mais elle aimait beaucoup cela… Ces doigts cherchant le point le plus se sensible et jouant avec …. Un gémissement étouffer quand elle sentit le sexe entrer un peu plus en elle, malgré qu’elle aille un peu l’impression d’étouffer, elle ne le suça que plus fort c’est doigts s’agitant un peu plus vite en elle…

Elle rougit un peu plus fort en sentant son short glisser pourtant elle ne cessa un instant ces mouvement, ces doigts fouillant en douceur son intimité… Un gémissement encore en sentant la main de l’homme se glisser sur la sienne… Elle se troubla un instant de se retrouver bas nu, mais n’en continua pas moins, de se caresser ces doigts s’activant encore plus vite son pouce caressant soin clito, pour la faire se cambrer un peu plus…

Un soupire quand il reprit ces seins, la jeune femme avait chaud, bien trop chaud et elle ne savait pas vraiment comment apaiser cette chaleur, c’est seins ne lui faisait plus mal, juste un bien fous sous les mains de l’homme…
Un instant retirer de sa bouche le sexe de l’homme et se relécher les babine, effleurant un instant de la langue son gland….

« Oui… j’ai…plus…Mal.. Mai..mais j’ai.. chaud.. très .. chaud… »

Les doigts de la jeune femme s’agitèrent un peu plus, s’enfonçant plus dans son intimité, sa bouche revenant prendre le sexe de l’homme, pour presque le dévorer…

Le kakon ne pensait déjà plus à ce qui était bien ou mal. Tout lui était permis sur une esclave, consentante ou pas et en plus, celle-ci ne le repoussait pas. Ce n’était que chose normale, après tout, il lui rendait un grand service en la soulageant d’une douleur énorme. Il n’avait pas eu à se forcer bien entendu, toucher une poitrine aussi bien formée, il ne s’en privait pas lorsqu’il en avait l’occasion. Profiter des jeunes femmes, il le faisait bien souvent et c’était l’une des rares fois qu’il était dans un cas de légalité. Les gens de sa famille, s’ils l’avaient vu auraient dit qu’il faisait honte à la famille en agissant avec cette douceur, cela ne lui ressemblait pas, mais d’un autre côté, cela ne le dérangeait pas non plus d’être « gentil » quelques fois. Bien sur, il avait une rémunération, il en aurait toujours cherché une et la kakon était bien satisfait de celle-ci.

Le lait avait un débit moins important qu’au départ, ce qui ne l’empêchait pas de couler, mouillant le haut du corps de l’esclave-vachette. Fuubuki commença à mettre à l’aise la vachette au fur à mesure, faisant glisser vers le bas son short et son string. Peut-être qu’elle était gênée de se trouver nue face à lui, en tout cas, elle ne le montra pas, enfonçant ses doigts toujours plus vite et le suçant avec gourmandise. Au bout d’un moment, il faudrait mettre la jeune femme à quatre pattes pour pouvoir tirer le lait de ses mamelles car maintenant, elles étaient bien soulagées de tout le poids. Le lait, on pouvait le voir partout autour d’eux, autant sur le corps de Miruku que sur l’herbe et aussi sur la bouche du kakon qui s’était abreuvé de ce breuvage miraculeux. Ses mains massaient la poitrine de la vachette, il était clair qu’il ne cherchait plus à lui enlever son lait. Il demanda alors si elle allait mieux et toujours avec cette hésitation qui l’empêchait de finir une phrase sans faire de petites poses, l’esclave lui expliqua que maintenant, elle avait de plus en plus chaud. Lui aussi avait chaud, son t-shirt blanc commençait à être de trop alors que la température n’était pas fantastiquement élevée. Le kakon gémit en sentant la bouche de la vachette happer son sexe comme si elle était morte de faim et il se baissa pour lécher les tétons pointant de l’esclave. Fuubuki changea alors de position. Il arriva face à Miruku et posa un genou de chaque côté de son visage. Ses deux mains en avant, il la laissa reprendre dans sa bouche son sexe et commença des va et vient très lent et doux pour ne pas étouffer la vachette. Il faisait comme si il était en train de faire la chose, mais, ce n’était qu’un avant goût. Le kakon cherchait son plaisir. Bien vite, Fuubuki exultait de plaisir et il s’arrêta pour ne pas tout gâcher en craquant déjà. Se reculant, ses genoux étaient maintenant au niveau du ventre de Miruku.

« Tu as chaud ? Je peux toujours t’aider si tu le veux… »

Ses deux mains prirent la poitrine ronde et il commença à les sucer longuement, prenant encore un peu de lait pour s’exciter d’avantage. L’un des deux lâcha le sein et alla rejoindre la main de l’esclave qui se doigtait rapidement en gémissant. S’ajoutant à elle, il entra deux doigts, pour un total de quatre, le passage était glissant, elle put l’accueillir sans problème, avec de la reconnaissance aussi.

« Ne t’inquiètes pas, tout ira bien. »

Le bien le mal la jeune femme ne savait même pas ce que cela voulait dire, pour elle c’était juste des raison d’envie, de plaisir et de déplaisir… La le jeune homme lui faisait du bien, elle aimait ce qu’il faisait elle n’allait pas dire non… Elle trouvait le Kakon gentil et c’est tous ce qui lui importait, le reste elle s’en fichait.. Complètement…

Elle aimait qu’il masse sa poitrine les mouvement était si doux, si agréable, qu’elle en gémissait un peu plus fort… La jeune vachette aimait bien entendre le maître pousser des petit gémissement cela voulait dire qu’il aimait qu’elle le prenne dans sa bouche… Un gémissement quand il lécha son tétons, c’est si doux la bouche d’un homme sur son sein…

Un frison quand il change de position il va la laisser ? Non elle peu reprendre avec plaisir le sexe dans sa bouche, l’ouvrant le plus possible, gémissant doucement quand il le fait aller et venir dans sa bouche, troubler par cette façon de faire… elle aimait bien qu’il ne cherche pas a l’étouffer… Elle sentit le sexe de l’homme devenir légèrement plus dure comme si il allait craquer, quand il se retira elle poussa un petit soupire de dépit…

« Oui. »

Oui elle voulait qu’il l’aide encore… Humm cette bouche cette main sur ces seins, la vachette sentit le rouge revenir a ces joue, alors qu’elle se cambre doucement sous la bouche et ces propres doigts qui joue toujours en elle… Elle sentit les doigts de l’homme venir rejoindre ces doigts la faisant gémir un peu plus fort se cambrant comme pour l’inciter a aller plus loin… La jeune vachette n’avait plus de peur, il aurais put lui demander ce qu’il voulait qu’elle l’aurais fait…

« J’ai..pas ..peur.. je vous fait.. Con.confiance… »

La jeune femme gémit un peu plus fort, son corps appellent quelque chose, c’est la premier fois pour elle qu’elle désire vraiment quelqu’un, sa deuxième main venant se poser sur la tête de l’home, dont elle caressa en douceur les cheveux… Avant de descendre pour prendre en douceur son sexe entre ces doigts…

Les hormones de la vachette avaient joué leur rôle, Fuubuki était définitivement charmé par on ne sait quoi, en tout cas, il avait envie de cette jeune femme comme il n’avait jamais eu envie de personne. Il n’avait jamais senti une telle tension, aussi intense. Le maître kakon avait pris une nouvelle possession, comme si il voulait pénétrer la bouche de la jeune esclave. C’est en quelque sorte ce qu’il fit, mais il faisait attention à ne pas lui faire de mal. L’ainoko aurait pu jouir, mais il se contint préférant reporter ce moment à après. Après avoir prévenu la vachette qu’il pourrait continuer de la soulager, il se positionna au-dessus d’elle, s’occupant avec soin de sa grosse poitrine. L’homme-corbeau raffolait de son lait, il en récolterait après, si elle lui donnait la permission.

« Quel est ton nom, jeune esclave ? »

Le maître regardait la vachette avec attention. Elle lui faisait confiance, était-elle donc folle ? Bizarrement, cela le toucha profondément que quelqu’un lui dise ça, le kakon n’avait jamais eu la confiance de personne, vu sa réputation dans la société. Sa main avait rejoint celle de Miruku, la pénétrant avec ses deux doigts, en même temps qu’elle le faisait. Cette caresse était jouissive, toucher son corps aurait pu provoquer de multiples orgasmes à l’ainoko. Fuubuki sentit alors la main de la vachette caresser ses cheveux, il donna alors un grand coup de langue sur son téton, puis la regarda. La main de l’esclave avait laissé son intimité aux soins de Fuubuki et elle prenait maintenant son sexe entre ses doigts. Le maître kakon ne paraissait plus aussi effrayant qu’au départ, son visage était rouge de désir, comme la vachette. Tous deux affichaient cette expression de jeune vierge qu’on va bientôt dépuceler.

«Permets moi enfin, de te soulager, en te donnant un énorme plaisir.»

Il prit la main de Miruku et la descendit en même temps qu’elle descendait son sexe. Maintenant face à l’intimité de la jeune femme, il la regarda dans les yeux et étrangement, lui sourit gentiment.

« J’y vais, petite vachette… »

Lentement, il la pénétra en soupirant doucement. Sa bouche reprit la mamelle dans sa bouche et il la suça avec tendresse.

Miruku n’avait aucune conscience de ce que diffusait son lait a cet instant, elle savait bien ce qu’elle pouvait en faire, mais elle n’avait pas encore comprit qu’il agissait tout seul par moment… Son nm, c’est vrai qu’elle ne l’avait pas donner c’était pas bien, elle aurais du mais elle avait été emporter par le moment sans plus penser a rien…

« Miruku...Minoue… Maître »

Miruku cela signifie tout simplement lait, minoue vie, lait de vie c’est comme cela que sa mère l’avait appeler… Un sourir doux était venus garnir les lèvres de la jeune femme, au fond des yeux on pouvait lire la confiance, et le désir aussi, un regard doux , un regard brillant… Elle aimait que le corbeau la touche, pourtant habituellement elle n’aimait pas les corbeau , il lui faisait peur , mais pas celui la, il était gentil avec elle, elle ne risquait rien avec lui n’est pas… Elle le désirait c’est tous ce qu’elle savait…
Cette langue sur ces tétons c’était si bon…

Il était beau comme cela, avec son visage emplis de désir rougit par l’envie… Doucement hocher la tête sa clochette sonnant doucement, oui elle lui faisait confiance, pourtant elle avait un peu peur, parce que son ancien maître lui faisait toujours du mal en la prenant… Elle le laissa faire, ouvrant un peu les cuisses… Le sourit du kakon la rassura…
Et le cris qu’elle poussa quand il entra en elle, fut un cris qui mêla sa surprise aux plaisir, c’était pour elle un première fois, la premier fois quelques-uns lui donnait du plaisir en la prenant comme cela

La jeune femme passa ces bras autour du cou de l’homme, lui caressant les cheveux mêlant ces doigts dans les cheveux noir du corbeau si doux, le plaisir montait rapidement, alors qu’elle se cambrait sous les coup de reins du Kakon…

« C’est… Bon…en..encore…Sil..sil vous plait… »

La jeune femme avait parler avec ce plaisir qu’elle prenait et la surprise qu’elle avait de trouver cela si bon, sa queue venant s’enrouler autour de la jambe de l’homme…

Elle s’appelait donc Miruku… le kakon ne nota pas la véritable signification du nom, se contentant juste d’en retenir la jolie sonorité. Il lui allait bien. En même temps, il voyait rarement des gens à qui leur nom ne leur va pas, bref. Le maître kakon, après avoir sucé avec avidité le lait de la vachette, en voulait plus. C’était en partie de la faute de la jeune femme en question d’ailleurs, ses hormones s’étaient mêlés au lait et cela avait donné un résultat, plutôt imprévu. Au départ, il pensait rendre service, la prendre ensuite en guise de remerciement, puis basta. Mais là, il la désirait, pourtant, elle n’avait rien de particulier, des esclaves plus jolies, il y en avait, mais là, il lui trouvait un certain charme, elle en avait la vachette, et il la voyait sous son meilleur jour maintenant. Le kakon rassura Miruku de sa voix douce, elle ne devait pas avoir peur, lui faire entièrement confiance, il ne lui ferait jamais de mal, pas maintenant. Fuubuki regarda la vachette et pour la première fois, il embrassa l’esclave en la pénétrant. Ce doux baiser la mettait en confiance, lui permettant d’accueillir la chose avec plus de facilité. Il avait senti les cuisses de la jeune femme s’écarter un peu plus alors qu’il entrait la colonne de chair chaude en elle. Et maintenant, il prenait appui sur l’herbe et allait venait en elle. Il restait attentif à l’expression du visage de Miruku. Si elle grimaçait, il ralentirait, si elle souriait, il continuait, si elle gémissait, il accélérerait. L’homme corbeau laissa les bras de l’esclave s’enroule autour de son cou, caresser ses cheveux, il aimait ça et on le lui faisait rarement avec une véritable tendresse comme ici. Il sentit avec étonnement une sorte de corde s’enrouler autour de sa jambe. C’était la queue de la vachette, cela le fit sourire et il continuait son acte. Fuubuki Kakon appréciait terriblement, non pas qu’il appréciait plus que lorsque ça avait été avec Tenshi, celle-là était la crème des crèmes, mais Miruku était parfaitement apte ; comme n’importe quelle jeune femme, à combler un ainoko comme lui.

« Ah oui… Miruku… Ah ! »

Le kakon sentait la production de mouille s’accentuer, son membre pouvait glisser plus facilement, mais il n’allait pas très vite pour ne pas brutaliser la vachette, il y avait certaines limites. Le kakon caressa avec douceur le visage de la vachette, sa poitrine et déposa ses lèvres sur son sein.
[b]

La petite vachette était bien décidée a prendre tout le plaisir qu’elle pouvait a cet accouplement, parce qu’elle savait qu’il y avait bien peu de chance qu’elle puisse en avoir un autre comme cela, aussi doux, bien que l’homme fut fougueux… Mais il ne cherchait pas a lui faire de mal en la prenant, pas comme son ancien maître qui toujours criait, l’insultait quant il s’enfonçait en elle, il prenait soin aussi a toujours la descendre plus bas que terre…
Ce baiser elle ne fut surprise, normalement on ne l’embrassait pas, elle n’avait jamais goûter les lèvres d’un homme, ni même d’une femme, sa maîtresse ne voulait pas qu’elle l’embrasse… Elle ne savait pas trop ce qui lui arrivant mais ces cheveux sous ces doigts si doux… La jeune femme gémit un peu plus fort, elle n’avait pas du tout mal, et pour une fois elle prenait vraiment du plaisir a la chose…

L’entendre prononcer son nom, elle rougit doucement, pourquoi elle a si confiance en lui elle ne sait pas.. Mais le plaisir monte rapidement, comme jamais elle n’en a éprouver… Les hanches de la jeune femme venait se cambrer, chercher le sexe de l’homme, comme pour l’inciter à aller encore plus vite, toujours plus vite, les mains de la jeune femme viennent-elle aussi découvrire le visage du kakon en douceur, traçant le pourtour de ces lèvres…. Alors que son visage était rouge de plaisir et ces gémissements se transformée en petits cris…

De sa main attire le visage de l’homme prés du sien, pour un baiser un peu hésitant timide mais passionner, étouffant sur ces lèvres un cri plus fort de plaisir, entourer l’homme de ces jambes, ne sachant trop comment elle avait fait descendre son short et le string, mais en tous cas c’était fait, elle ondulait un peu plus contre lui poussant un cris de plaisir alors que son corps se cambrait de jouissant lui tirant un cris de plaisir qui résonna dans le parc.. Surprise par la jouissance, elle se détendis, les yeux grand ouvert, haletante… Offerte a ce que voulait l’homme…

Fuubuki, pour la première fois, se montrait terriblement doux et gentil avec une esclave. La vachette avait attendri un moment son âme impitoyable et cela se voyait. Il était attentif, caressait la jeune femme pour la détendre, l’embrassa même, chose qui parut l’étonner. Oui, il avait remarqué ces lèvres depuis le début et il avait eu envie de les embrasser. Le kakon allait et venait sans brusquer un seul moment. Il laissait le loisir à la vachette de le caresser également, touchant son visage comme elle l’entendait. Fuubuki ne laissait d’habitude pas n’importe qui le toucher comme ça, Miruku le pouvait, pourquoi elle, allez savoir. Les lèvres du kakon étaient affectueuses, il acceptait le baiser doux de Miruku, même si elle était encore hésitante, lui donna de l’assurance en l’embrassant un peu plus intensément. Il glissa lentement sa langue à la commissure des lèvres de la vachette, puis le entrouvrit pour atteindre sa jumelle et la caresser doucement. La jeune femme ne devait pas être habitué à ce genre de tendresse.
Le kakon bougeait son corps en même temps que la vachette, ils étaient à l’unisson, ondulant avec grâce et gémissant de plaisir. Fuubuki entendit la jeune femme jouir avec surprise, mais un sourire doux se dessinait sur ses lèvres. Paternellement, il s’arrêta et regarda la vachette.

« Soulagée alors mademoiselle ? »

Il caressa sa joue et se retira lentement pour laisser le temps à la jeune femme de savourer un véritable orgasme. Lui était tellement habitué, il savait ce que cela représentait lorsque c’était l’une des premières fois. Sa main attrapa négligemment le sein de Miruku et il caressa ses tétons pour continuer de la détendre.

Pourquoi le jeune homme était aussi gentil avec elle, c’est la premières fois qu’on était aussi gentil avec elle… Les vas et viens de l’homme était si doux, pourtant puissant, elle ne comprenait plus rien… Pas plus qu’elle ne comprenait le plaisir qu’elle avait a sentir sur ces lèvres la bouche de l’homme… Entrouvrir les lèvres pour sentir la langue de l’autre venir s’enrouler autour de la sienne, si douce… Les frissons qui parcours sont corps son si intense…

La jeune femme avait le souffle court, ces yeux bleus obscurcissent par le plaisir, elle sentait son corps trembler de bien être, si douce, si fort, elle avait du mal a s’en remettre… Un sourire lumineux naquit sur les lèvres de la jeune femme, alors qu’elle se laissait caresser la joue en souriant, ne plus l’avoir en elle, créa comme un vide en elle, si douloureux et si doux a la fois, sur ces joues elle sentit une larme couler, pas de douleur cette fois mais parce qu’elle se sentait bien, si bien…. La main de l’homme sur son sein la fit gémir doucement, son corps était détendu comme jamais…

Doucement lever la main pour caresser la joue de l’homme avant de l’attirer a elle, l’embrassant un peu plus, mêlant sa langue a la sienne, avant de venir mordiller les lèvres du kakon, pour exprimer quelque chose qu’elle ne comprenne pas, quelque chose qu’elle avait du mal a comprendre …

« Encore ? »

Oui elle en voulait encore, doucement le corps de la jeune femme se cambra vers celui de l’homme, détendus, il lui semblait que son corps était encore plus sensible que d’habitude… Doucement elle vient poser un baiser sur le coup de l’homme, doucement, tendrement… Oui parce qu’elle ne pouvait pas faire autrement que de ressentir de la tendresse pour lui, mais aussi une envie qui la reprenne…

L’ainoko était très doux et avec cette douceur, il mena la vachette à un moment de jouissance, qu’on pourrait presque qualifié de pur, tant la douceur qu’il employait ressemblait à celle d’un amant avec sa compagne. Le kakon lui n’avait pas eu le temps d’atteindre le septième ciel, mais était satisfait que la jeune femme ait pu l’atteindre. Se retirant alors, il continua de caresser la poitrine de Miruku. Il la regardait avec une certaine tendresse qu’il finirait par perdre à nouveau, c’était inévitable. Le kakon fut surpris lorsque l’esclave l’embrassa, mais n’en fut pas moins content. Il aimait ses lèvres, sa langue, le goût de sa salive. La jeune femme lui demanda alors d’un mot, de recommencer. Etonné, l’homme-corbeau regardait ses yeux bleus embrumés par le désir, alors qu’elle revenait vers lui pour déposer un baiser dans son cou. L’ainoko enlaça soudain la vachette, mouillant son haut blanc de lait, mais cela n’était pas important et ça ne se verrait pas. Il murmura alors :

« Il ne faut pas abuser des bonnes choses petite vachette. Au départ, je voulais me promener dans ce parc pour ensuite aller au temple récupérer un objet. Accompagne moi et peut-être, que tu pourras à nouveau sentir cette douceur… »

Caressant la joue de la vachette, il la pénétra en faisant deux trois va et vient, puis se retira sans rien dire. C’était une sorte de promesse, la promesse que dans un avenir proche, elle allait de nouveau sentir la douceur du kakon. L’homme corbeau se mit alors debout, puis prit le short et le string de Miruku pour les lui donner. Ils étaient encore mouillés, mais elle allait devoir faire avec. Lui alla chercher son pantalon dans lequel était resté coincé son boxer, et l’enfila en souriant à l’esclave. Il s’approcha d’elle et s’accroupit à son nouveau pendant qu’elle enfilait ses habits et suça une dernière fois son sein, avant de donner cette fois son soutien-gorge à la vachette. Il espérait que sa poitrine n’allait pas se remplir trop vite, devoir traire quelqu’un au temple, ce n’était pas très commun. Il se pencha alors vers l’oreille de Miruku :

« Pour toi comme pour tous, je suis maître Fuubuki. »

Elle ne savait pas trop ce qu’elle était à cet instant, elle savait juste que l’homme ne lui faisait plus peur, qu’elle lui faisait confiance… Elle aimait sentir la main de l’homme…. Elle aimait aussi le regarder, sans vraiment savoir pourquoi.. Bien qu’elle aille une certaine expérience du corps des hommes c’est la premières fois qu’elle peut regarder aussi calmement, sans se faire du mal, ou sans avoir mal… Elle le sentit torse de l’homme tout contre elle, elle pouvait sentir le cœur de l’homme battre, doucement, mais sûrement, elle en poussa un soupire de plaisir… Ne pas abuser des bonnes choses il avait raison, pourtant elle pouvait s’empêcher d’en vouloir encore…

L’accompagner au temple, le sourie de la jeune femme s’agrandit, si doux son visage quand elle sourit… Oui elle voulait bien l’accompagner, parce qu’elle savait qu’a la maison elle serait toute seule, Ran et Yuya étant partis ensemble quelque pars… Elle pourra encore sentir la douceur… S’il le disait elle lui faisait confiance…
Un petit cri d’envie lui échappe quand il la pénètre quelque fois avant de se retirer… Ca lui donnait encore envie de le sentir en elle…

En souriant elle prit de ces mains ces vêtements humides… Et les passa sur sa peau il allait sécher assez vite et puis cela ne se voyait pas… Il faudra qu’elle se recoiffe aussi parce que ces cheveux bleu son un peu décoiffer.. Un sourire au Kakon, quand il téta encore une fois son sein.. C’était si agréable, plus que de remettre son sous-tif, mais elle le remit sans rien dire… Remettant aussi son haut en douceur… La jeune femme produisait toujours du lait, mais après qu’il l’aille trait elle serait tranquille jusqu'à demain avant d’avoir mal…

« Oui maître Fuubuki »

la jeune femme avait réussit a dire la phrase sans trembler, sans avoir peur, sa voie avait fait rouler avec plaisir le nom de l’homme sur sa langue, comme si elle le dégustait… Avant de poser sa main sur sa clochette, elle était heureuse d’aller au temple avec quelqu’un…. Surtout avec lui…

« Je… je suis …heu..heureuse d’aller avec ..vous au..aux temples… »

Doucement elle vient frotter sa tête contre la joue de l’homme posant un baiser léger sur la joue, elle lui aurait bien prit la main aussi mais elle n’osait pas, cela ne se faisait pas, il était un maître et elle une esclave, elle ne pouvait pas faire n’importe quoi.. Elle sourit faisant un instant sonner la clochette qu’elle portait au cou, sa queue bougeant doucement…
Surmontant sa timidité elle osa lui prendre la main en douceur, comme pour se cacher derrière lui si quelque chose arrivait.. Juste un instant juste un effleurement…

[Suite --> https://migoto-no-shima.forumsactifs.com/salles-de-prieres-f48/o-chere-divinite-comblez-nous-de-grace-pv-miruku-t503.htm#5456 ]

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