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*ah... Ma tête!*
La jeune femme se pris la tête à une main, son crane lui fessait un mal fou, elle se demandait si elle n'était pas tombée sur le plancher durant la nuit... Quelle nuit aussi! C'était un rêve atroce, Kumi avait été attaché et Kuro, l'homme qu'elle servait, la regardait du regard mal saint, as son bras était deux femmes, surement des prostitué vue leur habillement... Sous les yeux de son ami qui l'avait trahi, elle fut battue, secoué et torturé... Un cauchemar qui la suivrait surement plusieurs nuits.
Kumi était restée les yeux clos, elle remarqua des bruits inhabituels au bruit qu'elle entend quand elle se réveille chez Kuro, habituellement on y entend que des voitures passées très rarement et quelques oiseaux, mais aucun cri, aucune annonce, rien de ce qu'elle entendait, l'humaine n'était pas très rassurée parce qu'elle entendait, elle ouvrit un oeil, puis deux, devant elle se dressait des gens avec des attributs qu'on ne trouvait jamais sur une personne normal, ils possédaient des attributs d'animaux! Sur le coup, elle referma les yeux.
*C'est sur, je dors encore! Bon allé, il faut me lever maintenant!*
Elle allait étirer ses bras, mais quelque chose l'en empêchait, c'était froid et métallique... C'était bien ce qu'elle pensait, après un petit touché ses poignet était enchaîné... au sol? Peu à peu, elle rouvrit les yeux, les hommes et femmes aux attributs d'animaux était toujours là! Ses yeux étaient écarquillés, elle ne le croyait pas, mais comment ne pas croire ce que l'on voit et touche?
*Mais ou ai-je atterri?!*
L'étonnement était bien là, sa mémoire revenait peu à peu, elle s'était présentée avec une enveloppe remise par l'homme qu'elle servait et puis le noir total... Elle réalisa alors qu'elle était bien loin de chez elle, d'autres humains étaient proches, eux aussi enchaîné et certaine bête aussi...
"VENEZ VOIR LE NOUVEL ARIVAGE DE NOS BELLES ET BEAUX ESCLAVES À PRIX MODÉRÉ!!"
*Esclaves!?*
Les yeux de Kumi s'affola, bien évidemment, on l'avait enchaîné avec des raisons, pour pas qu'elle ne se sauve! Enchainé comme elle l'était, il lui était bien impossible de bouger, seulement ses bras le pouvait et encore, elle était à peine capable de toucher son front, le buste droit... Les bêtes à deux pattes, qu'on ne pouvait certainement pas appeler Humain, défilait, parfois en prenant une autre bête et parfois un humain, c'était désespèrent, comment un être humain pouvait être rabaissé aux niveaux d'esclaves!
La pauvre humaine soupira, elle pensait à son ami Kuro, elle hésitait entre l'accusé de ce qu'il lui arrive, ou bien si elle devait lui pardonner... Pour certain, ce serait d'aucune importance, mais pour la jeune femme, c'était très important, choisir être la rage ou l'amour, les deux lui auraient fais mal... Mais si elle accusait son ami à tord... Kumi se sentit observer, elle releva rapidement la tête...
Son regard mauve dégageais de la rage, si elle avait pu, elle aurait grogné! Ses yeux exprimaient bien le fait du " Tu me touches, je te mord!". Peut-être était-ce le fait qu'elle ne comprenait rien de ce qu'il lui arrivait, mais elle n'était pas d'humeur à se faire toucher! Mais elle finit par se calmer, une fois qu'on avait arrêté de la regarder, elle fixa le sol à la recherche d'une réponse, puis une ombre se leva sur elle...
La jeune femme se pris la tête à une main, son crane lui fessait un mal fou, elle se demandait si elle n'était pas tombée sur le plancher durant la nuit... Quelle nuit aussi! C'était un rêve atroce, Kumi avait été attaché et Kuro, l'homme qu'elle servait, la regardait du regard mal saint, as son bras était deux femmes, surement des prostitué vue leur habillement... Sous les yeux de son ami qui l'avait trahi, elle fut battue, secoué et torturé... Un cauchemar qui la suivrait surement plusieurs nuits.
Kumi était restée les yeux clos, elle remarqua des bruits inhabituels au bruit qu'elle entend quand elle se réveille chez Kuro, habituellement on y entend que des voitures passées très rarement et quelques oiseaux, mais aucun cri, aucune annonce, rien de ce qu'elle entendait, l'humaine n'était pas très rassurée parce qu'elle entendait, elle ouvrit un oeil, puis deux, devant elle se dressait des gens avec des attributs qu'on ne trouvait jamais sur une personne normal, ils possédaient des attributs d'animaux! Sur le coup, elle referma les yeux.
*C'est sur, je dors encore! Bon allé, il faut me lever maintenant!*
Elle allait étirer ses bras, mais quelque chose l'en empêchait, c'était froid et métallique... C'était bien ce qu'elle pensait, après un petit touché ses poignet était enchaîné... au sol? Peu à peu, elle rouvrit les yeux, les hommes et femmes aux attributs d'animaux était toujours là! Ses yeux étaient écarquillés, elle ne le croyait pas, mais comment ne pas croire ce que l'on voit et touche?
*Mais ou ai-je atterri?!*
L'étonnement était bien là, sa mémoire revenait peu à peu, elle s'était présentée avec une enveloppe remise par l'homme qu'elle servait et puis le noir total... Elle réalisa alors qu'elle était bien loin de chez elle, d'autres humains étaient proches, eux aussi enchaîné et certaine bête aussi...
"VENEZ VOIR LE NOUVEL ARIVAGE DE NOS BELLES ET BEAUX ESCLAVES À PRIX MODÉRÉ!!"
*Esclaves!?*
Les yeux de Kumi s'affola, bien évidemment, on l'avait enchaîné avec des raisons, pour pas qu'elle ne se sauve! Enchainé comme elle l'était, il lui était bien impossible de bouger, seulement ses bras le pouvait et encore, elle était à peine capable de toucher son front, le buste droit... Les bêtes à deux pattes, qu'on ne pouvait certainement pas appeler Humain, défilait, parfois en prenant une autre bête et parfois un humain, c'était désespèrent, comment un être humain pouvait être rabaissé aux niveaux d'esclaves!
La pauvre humaine soupira, elle pensait à son ami Kuro, elle hésitait entre l'accusé de ce qu'il lui arrive, ou bien si elle devait lui pardonner... Pour certain, ce serait d'aucune importance, mais pour la jeune femme, c'était très important, choisir être la rage ou l'amour, les deux lui auraient fais mal... Mais si elle accusait son ami à tord... Kumi se sentit observer, elle releva rapidement la tête...
Son regard mauve dégageais de la rage, si elle avait pu, elle aurait grogné! Ses yeux exprimaient bien le fait du " Tu me touches, je te mord!". Peut-être était-ce le fait qu'elle ne comprenait rien de ce qu'il lui arrivait, mais elle n'était pas d'humeur à se faire toucher! Mais elle finit par se calmer, une fois qu'on avait arrêté de la regarder, elle fixa le sol à la recherche d'une réponse, puis une ombre se leva sur elle...
Invité
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Ah ! Rien n'est mieux que le fait de se balader, tranquillement...Au Marché des Esclaves. Comment ? Cela casse l'ambiance pépère du début ? Bof, au point où on en est, c'ets pas ça qui va vous tuer.
Quoiqu'il en soit, je me présente : Kanata Haru. Aujourd'hui est un jour spécial. Moi, anarchiste de base, chieur invétéré, perroquet qu'on veut étripé, j'ai ENFIN accepté de faire comme tout le monde, et de me prendre un esclave. Le Hic ? Il est très simple...moyens finances, j'ai pas envi de claquer les sous gagnaient par chance que j'ai, et surtout pas, pour m'acheter un esclave. Ben quoi ? Je suis plus "humain" que certain il faut croire...ok, c'ets surtout que je suis radin, égoïste et tout le bataclan.
Bref, passons. Je me promenais dans les ruelles du Marché, cherchant la perle rare qui ne me coutera pas trop chère. Je m'amusais à siffloter divers airs de musique, que, étrangement, j'imitais à la perfection. Comme quoi, y'a parfois du bon à être un perroquet.
Soudain, un bruit tonitruant se fit entendre. Tiens ? On est le jour des arrivages frais d'esclaves ? Alala...pauvres Japonais, ils doivent nous en vouloir de leur piquer leur citoyen, surtout quand on voit le résultat.
Voyons-voir ce qu'il y a de pas mal cette fois-ci...je profite de leur soldes, cool, non ? Tiens, je pourrais peut-être aller voir à l'Eden de combien est la baisse de ma vieille consommation. Non, je ne suis pas un drogué, mais j'aime bien me laissé aller de temps à autre, ça va de pair avec les anciennes conneries de mon existence. Et puis, le gérant de l'Eden est un des rares Ankokus que je peut blairer, autant en profiter.
Bon, reprenons voulez-vous. Non, pas celle-là, ses seins ne sont pas naturelle. Ce gars ? Bof, il manque de carrure. Peut-être cette fille...non, poitrine trop petite. Un Bonnet A, quel idée d'être aussi mal gâtée. Oh...joli regard. Un peu trop colérique. Bof, pour le moment, je retiens la miss aux améthystes.
Ayant retenue une jeune fille, je fit un autre tour des différents étalages. C'ets une bonne heure après que je revint, remarquant que la miss que j'avais repéré étant encore présente sur le présentoir, toujours aussi mal attachée.
Sans le moindre doute, j'avais choisit...même s'il restait une dernière étape à tester : son caractère. C'est dans une telle optique que je me retrouva face à elle, même si mon corps assez massif lui cachait le soleil, faisant un peu d'ombre.
Je m'agenouillais à son niveau, et, tout en la fixant droit dans les yeux, lui disait :
"Yo ! Dit-moi, t'a plutôt l'air dans l'pétrin là...c'est la première fois que tu te retrouves au Marché ?"
Ma voix était similaire à celle d'un gars venant tout droit de cet endroit qu'ils nomment le Kansai. Je sais pas, ma mère avait un esclave qui était originaire de là-bas, et je kiffait son accent. Et puis, tant qu'à imiter une voix, pourquoi pas celle d'un humain ? Ma voix à moi est bien trop rauque pour être agréable, elle n'a pas ce petit côté chantant...alors bon.
C'est ainsi que je me retrouva à m'assoir à ses côtés, en attendant sa réponse...selon cette-dernière, et celles à venir, peut-être que je l'emmènerait avec moi. Et puis, si elle ne connait pas l'île, je pense que j'apprécierais de lui faire un p'tit cour d'histoire, et un autre sur le système social. Et puis, je pourrais l'emmener au Temple, voir nos charmantes divinités...ouais, mais si c'est pas une habituée. Cela me saoulerait d'avoir à faire à quelqu'un ayant l'habitude de sa situation, et ayant perdu son esprit et sa verve. Bof, attendons la suite.
Quoiqu'il en soit, je me présente : Kanata Haru. Aujourd'hui est un jour spécial. Moi, anarchiste de base, chieur invétéré, perroquet qu'on veut étripé, j'ai ENFIN accepté de faire comme tout le monde, et de me prendre un esclave. Le Hic ? Il est très simple...moyens finances, j'ai pas envi de claquer les sous gagnaient par chance que j'ai, et surtout pas, pour m'acheter un esclave. Ben quoi ? Je suis plus "humain" que certain il faut croire...ok, c'ets surtout que je suis radin, égoïste et tout le bataclan.
Bref, passons. Je me promenais dans les ruelles du Marché, cherchant la perle rare qui ne me coutera pas trop chère. Je m'amusais à siffloter divers airs de musique, que, étrangement, j'imitais à la perfection. Comme quoi, y'a parfois du bon à être un perroquet.
Soudain, un bruit tonitruant se fit entendre. Tiens ? On est le jour des arrivages frais d'esclaves ? Alala...pauvres Japonais, ils doivent nous en vouloir de leur piquer leur citoyen, surtout quand on voit le résultat.
Voyons-voir ce qu'il y a de pas mal cette fois-ci...je profite de leur soldes, cool, non ? Tiens, je pourrais peut-être aller voir à l'Eden de combien est la baisse de ma vieille consommation. Non, je ne suis pas un drogué, mais j'aime bien me laissé aller de temps à autre, ça va de pair avec les anciennes conneries de mon existence. Et puis, le gérant de l'Eden est un des rares Ankokus que je peut blairer, autant en profiter.
Bon, reprenons voulez-vous. Non, pas celle-là, ses seins ne sont pas naturelle. Ce gars ? Bof, il manque de carrure. Peut-être cette fille...non, poitrine trop petite. Un Bonnet A, quel idée d'être aussi mal gâtée. Oh...joli regard. Un peu trop colérique. Bof, pour le moment, je retiens la miss aux améthystes.
Ayant retenue une jeune fille, je fit un autre tour des différents étalages. C'ets une bonne heure après que je revint, remarquant que la miss que j'avais repéré étant encore présente sur le présentoir, toujours aussi mal attachée.
Sans le moindre doute, j'avais choisit...même s'il restait une dernière étape à tester : son caractère. C'est dans une telle optique que je me retrouva face à elle, même si mon corps assez massif lui cachait le soleil, faisant un peu d'ombre.
Je m'agenouillais à son niveau, et, tout en la fixant droit dans les yeux, lui disait :
"Yo ! Dit-moi, t'a plutôt l'air dans l'pétrin là...c'est la première fois que tu te retrouves au Marché ?"
Ma voix était similaire à celle d'un gars venant tout droit de cet endroit qu'ils nomment le Kansai. Je sais pas, ma mère avait un esclave qui était originaire de là-bas, et je kiffait son accent. Et puis, tant qu'à imiter une voix, pourquoi pas celle d'un humain ? Ma voix à moi est bien trop rauque pour être agréable, elle n'a pas ce petit côté chantant...alors bon.
C'est ainsi que je me retrouva à m'assoir à ses côtés, en attendant sa réponse...selon cette-dernière, et celles à venir, peut-être que je l'emmènerait avec moi. Et puis, si elle ne connait pas l'île, je pense que j'apprécierais de lui faire un p'tit cour d'histoire, et un autre sur le système social. Et puis, je pourrais l'emmener au Temple, voir nos charmantes divinités...ouais, mais si c'est pas une habituée. Cela me saoulerait d'avoir à faire à quelqu'un ayant l'habitude de sa situation, et ayant perdu son esprit et sa verve. Bof, attendons la suite.
Kanata Haru
Ainoko Libre
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156
Réputation :
0
Maître de :
Rien, si ce n'est mes choix...Et, officiellement, Maître de Mikomi, et Sukô.
Esclave de :
Ma foi ? Mes responsabilités ? Peut-être, oui. (Et je n'appartiens pas à Sukô !)
Commentaires :
A Droit à un Bonus au Choix
L'esclavage, en voilà des idées, Kumi n'était plus très en alerte de ce qui se passait autour d'elle, elle gardait dans l'idée qu'elle devait les ignorer, elle voulait à tout pris savoir pourquoi on l'avait mené ici et qui était tous ces personnages sortant de l'iréel! Des attributs d'animaux, comment les gènes d'humain et ceux d'animaux aurait pu ce mélenger? Même sans y penser on pouvait le savoir, c'était surement un coup de sa race...
La jeune femme soupiras, tout ça la décourageait, elle repensa à son père, celui-ci lui aurait surement dit de ne pas s'en faire, que le destin s'arrange toujours pour qu'il y aille un juste milieu... Baliverne! Le juste milieu, il est passé depuis un bon moment, l'esclavage voulait dire qu'ici, elle ne valait rien, qu'elle devait soumission, où est la justice ici? Surement du coter de ses monstres...
Finalement, l'humaine releva les yeux, sur le coup, on aurait pu croire voir un humain, ce qui aurait surement rassuré notre Kumi, mais sa peau de couleur grise en disait beaucoup, sois il fessait partie de ces monstres, sois c'était un mort-vivant... Ou s'arrêtera la stupidité de cette jeune femme! Bien sûr qu'elle était au courant que ça n'existait pas, mais d'un côté, qui aurait pu croire que de tel créature puisse existé? Les yeux de Kumi étaient ronds, un peu surprise de voir quelqu'un d'aussi près, surtout ce genre d'homme gris qu'on n'aimerait pas fréquenter...
"Yo ! Dit-moi, t'a plutôt l'air dans l'pétrin là..."
*Tiens je m'en était pas rendu compte...*
Sarcastique, en voilà un défaut! Elle lui lança un regard qui disait "Je le savais, merci", elle ne se gênait pas, après tout, elle était humaine, c'était dans ses gênes et on n'y pouvait rien. Quelque chose l'agaça, l'accent du monstre gris lui semblait assez familier, il ne pouvait surement pas venir de chez elle, il ne serait surement jamais revenue...
"c'est la première fois que tu te retrouves au Marché ?"
-C'est la première fois tout court que je viens ici, oui!
Ho! Première phrase depuis son arriver et elle prenait un air agressif, l'homme la regardait toujours dans ses yeux, mais qu'es qui lui voulait à la fin! elle n'aimait pas être regardée, surtout par ces bêtes sortie tout droit d'un livre fantastique, sauf qu'il ne se battrait pas pour la liberté de la princesse, ils sortent de l'argent pour s'en acheter une plutôt...
Kumi baissa la tête et soupira, non pas par soumission, celui-ci pourrait toujours courir pour l'avoir, mais par découragement. Plus elle n'en voyait, moins elle comprenait, qui était-ce ces gens? Pourquoi est-elle passé de son statue d'humaine à esclave? Et surtout, où est-elle rendu pour atterrir dans un monde aussi dégénéré que celui-ci!?
La jeune femme soupiras, tout ça la décourageait, elle repensa à son père, celui-ci lui aurait surement dit de ne pas s'en faire, que le destin s'arrange toujours pour qu'il y aille un juste milieu... Baliverne! Le juste milieu, il est passé depuis un bon moment, l'esclavage voulait dire qu'ici, elle ne valait rien, qu'elle devait soumission, où est la justice ici? Surement du coter de ses monstres...
Finalement, l'humaine releva les yeux, sur le coup, on aurait pu croire voir un humain, ce qui aurait surement rassuré notre Kumi, mais sa peau de couleur grise en disait beaucoup, sois il fessait partie de ces monstres, sois c'était un mort-vivant... Ou s'arrêtera la stupidité de cette jeune femme! Bien sûr qu'elle était au courant que ça n'existait pas, mais d'un côté, qui aurait pu croire que de tel créature puisse existé? Les yeux de Kumi étaient ronds, un peu surprise de voir quelqu'un d'aussi près, surtout ce genre d'homme gris qu'on n'aimerait pas fréquenter...
"Yo ! Dit-moi, t'a plutôt l'air dans l'pétrin là..."
*Tiens je m'en était pas rendu compte...*
Sarcastique, en voilà un défaut! Elle lui lança un regard qui disait "Je le savais, merci", elle ne se gênait pas, après tout, elle était humaine, c'était dans ses gênes et on n'y pouvait rien. Quelque chose l'agaça, l'accent du monstre gris lui semblait assez familier, il ne pouvait surement pas venir de chez elle, il ne serait surement jamais revenue...
"c'est la première fois que tu te retrouves au Marché ?"
-C'est la première fois tout court que je viens ici, oui!
Ho! Première phrase depuis son arriver et elle prenait un air agressif, l'homme la regardait toujours dans ses yeux, mais qu'es qui lui voulait à la fin! elle n'aimait pas être regardée, surtout par ces bêtes sortie tout droit d'un livre fantastique, sauf qu'il ne se battrait pas pour la liberté de la princesse, ils sortent de l'argent pour s'en acheter une plutôt...
Kumi baissa la tête et soupira, non pas par soumission, celui-ci pourrait toujours courir pour l'avoir, mais par découragement. Plus elle n'en voyait, moins elle comprenait, qui était-ce ces gens? Pourquoi est-elle passé de son statue d'humaine à esclave? Et surtout, où est-elle rendu pour atterrir dans un monde aussi dégénéré que celui-ci!?
Invité
Invité
Je remarqua avec aisance le regard noir de la jeune miss, vis à vis de ma première réplique. Ben quoi ? Si on a pût le droit de faire des constatations, où va le monde ? Non mais oh, j'essayes juste d'être sociable et sympathique moi, je suis pas l'un de ces bourrins de Kaijuu qui cogne, grogne, et parle après. Vous savez, un peu comme les "Gryffondor" dans ce bouquin là, oui, je parle bien de ce classique épouvantable, Harry Potter. Bof, moi, j'étais plus pour le "Sociopathe, Psychopathe, Mégalomane Attardé à Face de Serpent". Je sais pas, mais lui au moins, il faisait pas dans l'hypocrisie et les gnangnans. Hein ? Comment ça je m'écarte du sujet et je raconte que des conneries ? Je vous jure, sur la tête de mon père, que je peux ne pas raconter de connerie, je peux même me taire ! La preuve, je laisse la main à la narratrice :
Bon, vu que mister veut prouver qu'il est doué et talentueux dans le domaine du silence parabolique, ben oui, il n'a plus de réseau en réalité, je vais vous expliquer ce qui se passe.
Ignorant superbement le regard "de la mort qui tue" genre "avada kedavra", notre perroquet à la grande gueule continua sur sa lancée. Et...
Je ne fut pas le moins du monde surprit par sa réplique, au combien peu soumise, superbement déclaré, un tac-o-tac que j'aurai aimé gratter. Hein ? J'ai pas tenu mon pari ? Et Alors ? Mon père va clamser ? Super, cela me fera une belle jambe tiens !
Bref, passons sur vos commentaires désobligeants. Je la fixait toujours droit dans les yeux, l'or affrontant l'améthyste, un duel acharné, que je laissa rapidement de côté pour sortir une clope de mon veston de cuir, et l'allumait avec mon briquet.
Tirant sur ma cigarette, j'expirai la fumée, de façon à déranger le canidé et son odorat sur-développé, qui venait de passer. Quoi ? Je n'aime pas les Kaijuu, je l'ai déjà dit, non ?
Bref, tout en clopant comme un pompier irrité, alors que je suis super calme et du genre à ne jamais stressé, je poursuivait :
"Je vois...J'me dissait aussi que t'avais l'air un peu paumée. J'me présente : Kanata Haru, ainoko du Perroquet. Mon job : imiter. Et toi, tu te nommes comment, Miss "C'est la première fois tout court que je viens ici" ?"
Je vous donne une info ? La citation de la miss, je l'ai dise avec sa voix...je trouve ça tellement amusant de voir les gens enrager car je les imite...enfin, théoriquement, c'est pas mon métier, juste un hobby. Comment ça "phobby" ? Et ! Je ne vous permet pas ! Ce n'est pas parce qu'on me donne le nom de "zombie" pas net et de "coureur" que c'est forcément vrai ! Et puis, à part ces yeux et ses belles jambes, super bien proportionnée soit dit au passage, elle n'a rien pour elle. Ok, elle a de fines lèvres qui appelle à la luxure, mais ça, c'ets le cas de bon nombres de lèvres, les miennes y comprise d'ailleurs.
Et puis, je suis bien mieux foutu. D'ailleurs, j'aime bien voir ces petits me mater sans discrétion...Faut dire qu'avec un pantalon de cuir moulant, une veste de cuir noir ouverte sur le devant en vêtement, y'a de quoi reluquer. Non, je ne suis pas exhibitionniste, j'aime garder secret les parties de mon anatomie les plus intéréssante à observer.
Mais bon, ma subtilité ne pouvant être comprise par de tels incultes, je décidâmes de me lever, et d'aller faire un coucou au marchand. Lui parlant deux ou trois secondes, je revint vers la miss, me réinstalla, et déclara :
"Tout t'expliquer ici, ce serait chiant. J'ai prit la liberté de t'acheter, histoire qu'on te foute la paix, et à moi aussi par la même. Parait que ne pas avoir d'esclaves, c'est être louche. Et puis, je déteste voir ces ours et ses cabots me tourner autour, ça me donne la migraine."
Je m'étirais, sans la moindre gêne. Je voyait, au loin, le marchand arriver avec les clés, prêt à ouvrir le cadenas retenant ma "douce" et "tendre" esclave au sol.
Terminant ma putain de clope, que je jeta sur la queue d'un petit chaton en vadrouille -oh, ça fait un peu de fumée !- je me relevait une dernière fois en déclarant :
"On va se balader, histoire que tu vois un peu la ville. Et puis, ça permettra de te dire qui nous sommes, et le "pourquoi du comment" de ton statut. faut dire que votre président et ses ministres là, ils ont été très cons y'a 20 ans. Genre, "Nous sommes les maîtres, et vous des créatures de labo bon à finir dans un zoo". Enfin, je ne fait qu'imiter...tu t'en doutes l'amie."
Encore une fois, j'avais imité leur chef de l'époque avec ma superbe voix modulable. Ce que je peux m'aimer...Et puis, avoir attendu la fin de journée avait fait en sorte qu'elle ne me coûte que très peu...encore une voix, I am a Best !
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Bon, vu que mister veut prouver qu'il est doué et talentueux dans le domaine du silence parabolique, ben oui, il n'a plus de réseau en réalité, je vais vous expliquer ce qui se passe.
Ignorant superbement le regard "de la mort qui tue" genre "avada kedavra", notre perroquet à la grande gueule continua sur sa lancée. Et...
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Je ne fut pas le moins du monde surprit par sa réplique, au combien peu soumise, superbement déclaré, un tac-o-tac que j'aurai aimé gratter. Hein ? J'ai pas tenu mon pari ? Et Alors ? Mon père va clamser ? Super, cela me fera une belle jambe tiens !
Bref, passons sur vos commentaires désobligeants. Je la fixait toujours droit dans les yeux, l'or affrontant l'améthyste, un duel acharné, que je laissa rapidement de côté pour sortir une clope de mon veston de cuir, et l'allumait avec mon briquet.
Tirant sur ma cigarette, j'expirai la fumée, de façon à déranger le canidé et son odorat sur-développé, qui venait de passer. Quoi ? Je n'aime pas les Kaijuu, je l'ai déjà dit, non ?
Bref, tout en clopant comme un pompier irrité, alors que je suis super calme et du genre à ne jamais stressé, je poursuivait :
"Je vois...J'me dissait aussi que t'avais l'air un peu paumée. J'me présente : Kanata Haru, ainoko du Perroquet. Mon job : imiter. Et toi, tu te nommes comment, Miss "C'est la première fois tout court que je viens ici" ?"
Je vous donne une info ? La citation de la miss, je l'ai dise avec sa voix...je trouve ça tellement amusant de voir les gens enrager car je les imite...enfin, théoriquement, c'est pas mon métier, juste un hobby. Comment ça "phobby" ? Et ! Je ne vous permet pas ! Ce n'est pas parce qu'on me donne le nom de "zombie" pas net et de "coureur" que c'est forcément vrai ! Et puis, à part ces yeux et ses belles jambes, super bien proportionnée soit dit au passage, elle n'a rien pour elle. Ok, elle a de fines lèvres qui appelle à la luxure, mais ça, c'ets le cas de bon nombres de lèvres, les miennes y comprise d'ailleurs.
Et puis, je suis bien mieux foutu. D'ailleurs, j'aime bien voir ces petits me mater sans discrétion...Faut dire qu'avec un pantalon de cuir moulant, une veste de cuir noir ouverte sur le devant en vêtement, y'a de quoi reluquer. Non, je ne suis pas exhibitionniste, j'aime garder secret les parties de mon anatomie les plus intéréssante à observer.
Mais bon, ma subtilité ne pouvant être comprise par de tels incultes, je décidâmes de me lever, et d'aller faire un coucou au marchand. Lui parlant deux ou trois secondes, je revint vers la miss, me réinstalla, et déclara :
"Tout t'expliquer ici, ce serait chiant. J'ai prit la liberté de t'acheter, histoire qu'on te foute la paix, et à moi aussi par la même. Parait que ne pas avoir d'esclaves, c'est être louche. Et puis, je déteste voir ces ours et ses cabots me tourner autour, ça me donne la migraine."
Je m'étirais, sans la moindre gêne. Je voyait, au loin, le marchand arriver avec les clés, prêt à ouvrir le cadenas retenant ma "douce" et "tendre" esclave au sol.
Terminant ma putain de clope, que je jeta sur la queue d'un petit chaton en vadrouille -oh, ça fait un peu de fumée !- je me relevait une dernière fois en déclarant :
"On va se balader, histoire que tu vois un peu la ville. Et puis, ça permettra de te dire qui nous sommes, et le "pourquoi du comment" de ton statut. faut dire que votre président et ses ministres là, ils ont été très cons y'a 20 ans. Genre, "Nous sommes les maîtres, et vous des créatures de labo bon à finir dans un zoo". Enfin, je ne fait qu'imiter...tu t'en doutes l'amie."
Encore une fois, j'avais imité leur chef de l'époque avec ma superbe voix modulable. Ce que je peux m'aimer...Et puis, avoir attendu la fin de journée avait fait en sorte qu'elle ne me coûte que très peu...encore une voix, I am a Best !
Kanata Haru
Ainoko Libre
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Maître de :
Rien, si ce n'est mes choix...Et, officiellement, Maître de Mikomi, et Sukô.
Esclave de :
Ma foi ? Mes responsabilités ? Peut-être, oui. (Et je n'appartiens pas à Sukô !)
Commentaires :
A Droit à un Bonus au Choix
Ah, tout l'écoeurait ici, les chaînes qui la retenaient, son nouveau statu, les habitants irréels de l'île... Tout lui semblait sortie ors de l'ordinaire, c'était totalement un autre monde, ors du commun, totalement à l'écart, mais plus elle réfléchissait, plus elle se demandait pourquoi n'avait-elle jamais entendu d'une tel île, cela l'intriguait, une île préservée en secret...
Le regard agressif de la jeune femme se posa sur celui de l'homme gris, combien de temps les deux allaient-ils supporter le regard de l'autre? Vainqueur, Kumi, l'homme avait retiré son regard pour s'allumer une cigarette, il expirait vulgairement la fumée, mais à quoi jouait-il? Ah, aucune idée et Kumi ne voulait pas savoir, elle n'avait pas besoin d'être plus confuse... Le "Gris", qui semblait un peu frustré, repris la parole :
"Je vois...J'me disait aussi que t'avais l'air un peu paumée. J’me présente : Kanata Haru, Ainoko du Perroquet. Mon job : imiter."
*Ainoko?!*
Ah, elle le savait bien, plus elle discuterait, moins elle comprendrait, enfin elle avait compris quelque chose au moins cette fois, la race n'était pas, comme elle s'en doutait, humaine, elle portait surement le nom de "Ainoko" et le nom de celui qui se tenait, je dois dire, assez, même voir trop, proche d'elle, Kanata Haru...
"Et toi, tu te nommes comment, Miss "C'est la première fois tout court que je viens ici" ?"
C'était donc vrai, il pouvait imiter les voix, il venait juste d'imiter celle de la jeune femme, elle fut surprise sur le coup d'entendre sa propre voix, par la suite elle pouffa de rire. Peut-être que Kanata ne s'attendait pas à cette réaction, mais entendre sa propre voix, cette petite voix qui sonne un peu comme un enfant frustré, elle avait de la misère à croire que c'était sa propre voix...
Enfin, elle devait passer pour une folle, une esclave rire était surement inhabituel, surtout ici, elle se sentait un peu regardé, mais elle ça, ça lui passait deux mètres au-dessus de sa tête, le monde pouvait penser ce qu'il voulait, elle s'en contre foutait... Son visage repris un peu son sérieux, elle n'adressait pas de sourire, mais c'était un visage un peu plus amical que plutôt.
-On ma nommé Kumi, Kumi Matsu.
La jeune femme observait toujours le "Ainoko " qui se tenait là, si l'on excluait le teint inquiétant de celui-ci, elle voyait mal ce qu'il le liait à cette race, il avait des airs plus humains qu'autre chose... Enfin, il partie, était-ce fini? Non, il était parti parler avec l'Ainoko qui tenait Kumi prisonnière ici et revint peu de temps après...
"Tout t'expliquer ici, ce serait chiant. J'ai prit la liberté de t'acheter, histoire qu'on te foute la paix, et à moi aussi par la même. Parait que ne pas avoir d'esclaves, c'est être louche. Et puis, je déteste voir ces ours et ses cabots me tourner autour, ça me donne la migraine."
Il l'avait acheté? Alors, c'était vrai, elle serait une esclave? Ah... La nouvelle qui s'offrait à elle lui déplaisait déjà... S'il s'attendait à avoir une petite esclave soumise et qui ne réplique jamais, il s'était trompé, Kumi était plutôt instable en ce moment... Il lui expliquerait? Ah! Enfin une bonne nouvelle, elle comprendrait enfin qu'es qui se passait ici!
Quelqu'un vint la détaché du sol, elle ne savait pas s'il avait peur qu'elle ne s'échappe, mais s'était peu probable, ou irait-elle? Kumi frotta un peu ses poignets, on lui avait retiré les chaînes au poignet et aux cheville, mais elle avait un collier, elle posa ses doigts dessus, elle ne comprenait pas l'utilité de celui-ci, mais bon, elle ne serait surement pas capable de la retirer, vue qu'on lui avait attaché à l'arrière de la tête... L'humaine ce leva assez vite, pas qu'elle était pressée, mais elle avait bien hâte de partir de cet endroit...
Le regard agressif de la jeune femme se posa sur celui de l'homme gris, combien de temps les deux allaient-ils supporter le regard de l'autre? Vainqueur, Kumi, l'homme avait retiré son regard pour s'allumer une cigarette, il expirait vulgairement la fumée, mais à quoi jouait-il? Ah, aucune idée et Kumi ne voulait pas savoir, elle n'avait pas besoin d'être plus confuse... Le "Gris", qui semblait un peu frustré, repris la parole :
"Je vois...J'me disait aussi que t'avais l'air un peu paumée. J’me présente : Kanata Haru, Ainoko du Perroquet. Mon job : imiter."
*Ainoko?!*
Ah, elle le savait bien, plus elle discuterait, moins elle comprendrait, enfin elle avait compris quelque chose au moins cette fois, la race n'était pas, comme elle s'en doutait, humaine, elle portait surement le nom de "Ainoko" et le nom de celui qui se tenait, je dois dire, assez, même voir trop, proche d'elle, Kanata Haru...
"Et toi, tu te nommes comment, Miss "C'est la première fois tout court que je viens ici" ?"
C'était donc vrai, il pouvait imiter les voix, il venait juste d'imiter celle de la jeune femme, elle fut surprise sur le coup d'entendre sa propre voix, par la suite elle pouffa de rire. Peut-être que Kanata ne s'attendait pas à cette réaction, mais entendre sa propre voix, cette petite voix qui sonne un peu comme un enfant frustré, elle avait de la misère à croire que c'était sa propre voix...
Enfin, elle devait passer pour une folle, une esclave rire était surement inhabituel, surtout ici, elle se sentait un peu regardé, mais elle ça, ça lui passait deux mètres au-dessus de sa tête, le monde pouvait penser ce qu'il voulait, elle s'en contre foutait... Son visage repris un peu son sérieux, elle n'adressait pas de sourire, mais c'était un visage un peu plus amical que plutôt.
-On ma nommé Kumi, Kumi Matsu.
La jeune femme observait toujours le "Ainoko " qui se tenait là, si l'on excluait le teint inquiétant de celui-ci, elle voyait mal ce qu'il le liait à cette race, il avait des airs plus humains qu'autre chose... Enfin, il partie, était-ce fini? Non, il était parti parler avec l'Ainoko qui tenait Kumi prisonnière ici et revint peu de temps après...
"Tout t'expliquer ici, ce serait chiant. J'ai prit la liberté de t'acheter, histoire qu'on te foute la paix, et à moi aussi par la même. Parait que ne pas avoir d'esclaves, c'est être louche. Et puis, je déteste voir ces ours et ses cabots me tourner autour, ça me donne la migraine."
Il l'avait acheté? Alors, c'était vrai, elle serait une esclave? Ah... La nouvelle qui s'offrait à elle lui déplaisait déjà... S'il s'attendait à avoir une petite esclave soumise et qui ne réplique jamais, il s'était trompé, Kumi était plutôt instable en ce moment... Il lui expliquerait? Ah! Enfin une bonne nouvelle, elle comprendrait enfin qu'es qui se passait ici!
Quelqu'un vint la détaché du sol, elle ne savait pas s'il avait peur qu'elle ne s'échappe, mais s'était peu probable, ou irait-elle? Kumi frotta un peu ses poignets, on lui avait retiré les chaînes au poignet et aux cheville, mais elle avait un collier, elle posa ses doigts dessus, elle ne comprenait pas l'utilité de celui-ci, mais bon, elle ne serait surement pas capable de la retirer, vue qu'on lui avait attaché à l'arrière de la tête... L'humaine ce leva assez vite, pas qu'elle était pressée, mais elle avait bien hâte de partir de cet endroit...
Invité
Invité
C'est définitif, je suis trop bon ! Franchement, je sens que je vais apprécier cette fille ! Ben quoi ? Généralement, quand je les imite, les gens deviennent fou de rage et me court après dans l'espoir de me zigouiller...dommage pour eux, les trucs qui dorme sous mon épiderme m'aident à me faire la malle à l'anglaise. Hein ? On dit "filer à l'anglaise" ? Rien à foutre, je suis celui que je suis : Nah !
Bref, le son de son rire m'enchantait. Comment dire, je me refusais à avoir une esclave coincé et étroite d'esprit...surtout avec mon caractère libertin, franchement, cela la foutrait mal d'avoir une miss intello qui me court sur le coco ! Imaginez la scène ?! Plus le droit de draguer sans se faire remarquer !! Une calamité...que les coincés.
Mais bon, j'obtins enfin son nom, et son regard se faisait de plus en plus amical. Hé hé, comment me détester ? Je suis un gars trop bon, trop gentil, trop cool, trop classe pour cela voyons ! Hein ? Trop exubérant ? Allez voir ailleurs si j'y suis : ok ? Sifflant en premier lieu, de manière très musicale je vous en convient, je répondit, toujours avec cette voix du Kansai :
"Un joli nom pour de beaux yeux..."
A ce moment précis, le vendeur arriva, et s'occupa de son job. Elle ne fit aucune remarque sur mes dires suivants sa libération, mais bon, je vais mettre cela sur le fait qu'elle vient d'être libérée, et qu'elle ne sait pas vraiment ce qu'il l'attend. Mais bon, théoriquement, elle ne pouvait pas espérer mieux.
Tiens ? Elle bidouille le collier...Ah ! Quel idiot, j'ai oublié de lui dire à quoi ce truc-muche ! Faut dire que sur elle, il possède un certain côté artistique, même si bon, sa symbolique n'est pas ce qu'elle va apprécier...
"Ce collier indique que tu as déjà un Maître. Ainsi, aucunes personnes, sans mon autorisation, ou la tienne, n'aura le droit de te toucher. Mon nom est inscrit dans le revers...Ne t'inquiètes pas, je n'aime pas ceux qui ont une puce GPS intégré, tu as donc un collier tout simple, sans la moindre équivoque."
Que je peux m'idolâtrer. Le timbre de ma voix est parfait, même si théoriquement, il ne m'appartient pas. Mais bon, qu'est-ce que vous voulez ? Les gens ont du mal à apprécier quelqu'un qui a une voix rauque de naissance, devenu encore plus sombre et rauque à cause de la fumette !
Observant du coin de l'œil les dégâts causés par mon mégot, elle a bien cramé la queue du chaton, je me retourna vers elle, et lui déclara :
"Bon, on y va. Je t'emmène au café, histoire de boire un coup et de répondre à ta question belle Kumi."
A peine ai-je finit de dire cela, que je lui prend la main et la guide hors de cet endroit...ma foi, amusant pour obtenir de nouveaux timbres de voix.
[Je te laisse répondre, et je commence un topic au Raven's Claw ^^
Au passage, Bonne Année ! Ah ! Et désolé, c'est court et moins drôle que les précédents...j'ai le contre-coup du réveillon et des 5h00 de sommeil ^^" lol ]
Bref, le son de son rire m'enchantait. Comment dire, je me refusais à avoir une esclave coincé et étroite d'esprit...surtout avec mon caractère libertin, franchement, cela la foutrait mal d'avoir une miss intello qui me court sur le coco ! Imaginez la scène ?! Plus le droit de draguer sans se faire remarquer !! Une calamité...que les coincés.
Mais bon, j'obtins enfin son nom, et son regard se faisait de plus en plus amical. Hé hé, comment me détester ? Je suis un gars trop bon, trop gentil, trop cool, trop classe pour cela voyons ! Hein ? Trop exubérant ? Allez voir ailleurs si j'y suis : ok ? Sifflant en premier lieu, de manière très musicale je vous en convient, je répondit, toujours avec cette voix du Kansai :
"Un joli nom pour de beaux yeux..."
A ce moment précis, le vendeur arriva, et s'occupa de son job. Elle ne fit aucune remarque sur mes dires suivants sa libération, mais bon, je vais mettre cela sur le fait qu'elle vient d'être libérée, et qu'elle ne sait pas vraiment ce qu'il l'attend. Mais bon, théoriquement, elle ne pouvait pas espérer mieux.
Tiens ? Elle bidouille le collier...Ah ! Quel idiot, j'ai oublié de lui dire à quoi ce truc-muche ! Faut dire que sur elle, il possède un certain côté artistique, même si bon, sa symbolique n'est pas ce qu'elle va apprécier...
"Ce collier indique que tu as déjà un Maître. Ainsi, aucunes personnes, sans mon autorisation, ou la tienne, n'aura le droit de te toucher. Mon nom est inscrit dans le revers...Ne t'inquiètes pas, je n'aime pas ceux qui ont une puce GPS intégré, tu as donc un collier tout simple, sans la moindre équivoque."
Que je peux m'idolâtrer. Le timbre de ma voix est parfait, même si théoriquement, il ne m'appartient pas. Mais bon, qu'est-ce que vous voulez ? Les gens ont du mal à apprécier quelqu'un qui a une voix rauque de naissance, devenu encore plus sombre et rauque à cause de la fumette !
Observant du coin de l'œil les dégâts causés par mon mégot, elle a bien cramé la queue du chaton, je me retourna vers elle, et lui déclara :
"Bon, on y va. Je t'emmène au café, histoire de boire un coup et de répondre à ta question belle Kumi."
A peine ai-je finit de dire cela, que je lui prend la main et la guide hors de cet endroit...ma foi, amusant pour obtenir de nouveaux timbres de voix.
[Je te laisse répondre, et je commence un topic au Raven's Claw ^^
Au passage, Bonne Année ! Ah ! Et désolé, c'est court et moins drôle que les précédents...j'ai le contre-coup du réveillon et des 5h00 de sommeil ^^" lol ]
Kanata Haru
Ainoko Libre
Nombre de messages :
156
Réputation :
0
Maître de :
Rien, si ce n'est mes choix...Et, officiellement, Maître de Mikomi, et Sukô.
Esclave de :
Ma foi ? Mes responsabilités ? Peut-être, oui. (Et je n'appartiens pas à Sukô !)
Commentaires :
A Droit à un Bonus au Choix
[Bonne année à toi aussi ^^]
La jeune femme continuais de toucher le collier qu'on lui avait imposé, elle n'aimait pas la sensation d'être serré au niveau du cou, comme si on l'étranglait... Et s'il se mouillait, allait-il rapetisser? L'idée de se faire étrangler par un collier la rendait plutôt...inquiète... Elle oublia vite ces penser qui commençait à lui faire peur en entendant l'homme sifflé, ses yeux, qu'elle avait abaissée pendant qu'elle réfléchissait remonta vers le visage de celui-ci, le teint de peau de ce "Ainoko " allait surement toujours lui faire un peu peur, et avec raison, qui, sur terre, peux bien avoir un teint si... si... si zombie, voilà a quoi on pouvait comparer sa peau...
"Un joli nom pour de beaux yeux..."
Elle n'aurait jamais cru se faire faire un compliment, surtout pas ici, dans cet endroit où humain est traité en moins que rien... Ces quelques mots la fit sourire, un sourire timide oui, mais il restait un sourire tout de même! Son sourire était doux, peut-être était-ce un peu bizarre comme situation, mais que voulez-vous, il fallait s'attendre à tout avec elle, la voir rire dans un tel lui prouve déjà qu'elle était détendue, mais toujours un peu nerveuse devant ce nouveau monde, alors la voir sourire, on devait se dire qu'elle était folle... Et alors? Haru sembla avoir vu le désarroi qu'avais Kumi envers le collier, ce qui le mena à expliquer la raison pour laquelle elle le portait...
"Ce collier indique que tu as déjà un Maître."
*Un maitre?!*
Quelque chose la frappa, il pouvait bien s'imaginer des choses, mais jamais, au grand jamais, Elle s'abaisserait à l'appeler "Maitre", ce mot lui donnait des frissons dans le dos, qu'il aille droit de vie ou de mort sur elle, Kumi s'en foutait bien, elle l'appellerait par n'importe quel nom, mais il devra attendre que les Alligators deviennent végétariens et demande une salade pour diner avant quelle l'appelle ainsi...
" Ainsi, aucunes personnes, sans mon autorisation, ou la tienne, n'aura le droit de te toucher."
*Mon autorisation?*
C'était une chose qu'elle n'aurait pas pensé avoir, le droit de donner son désaccord sur des mouvements porté vers elle... Elle se dit que, peut-être, et je précise bien le peut-être, qu'elle devrait attendre de savoir ce qu'elle pouvait et ne pouvait pas faire, avant de chialé surtout, la preuve, elle pensait qu'elle n'aurait aucun respect, mais lui, il ne semblait pas lui vouloir du mal... Enfin c'était ce que pensait Kumi et baka comme elle est, elle pouvait très bien se tromper...
" Mon nom est inscrit dans le revers...Ne t'inquiètes pas, je n'aime pas ceux qui ont une puce GPS intégré, tu as donc un collier tout simple, sans la moindre équivoque."
La jeune femme passa ses doigts à l'arrière du collier, comme il l'avait dit, son nom y était graver... Après ses explications, le collier semblait moins la déranger, après tout, si elle le retirait, ce qui était presque qu'impossible, elle aurait beaucoup de problèmes, autant avec Haru, qu'avec ceux qui devaient faire respecter les lois ici... Son regard couleur lilas ce posa encore sur l'homme, elle commençait un peu à s'habituer au teint de celui-ci, ce teint qui lui donnait un air de mort...
"Bon, on y va. Je t'emmène au café, histoire de boire un coup et de répondre à ta question belle Kumi."
Il lui prit la main, elle fut un peu surprise du contact de la main froide de celui qui l'avait acheté à la sienne qui était chaude, il commença à l'entrainer, elle le suivie sans attendre, après tout, elle n'avait rien à craindre, il ne semblait pas lui vouloir du mal, mais surtout, cet homme avait une poigne forte, il lui serait dur de s'en libérer...
La jeune femme continuais de toucher le collier qu'on lui avait imposé, elle n'aimait pas la sensation d'être serré au niveau du cou, comme si on l'étranglait... Et s'il se mouillait, allait-il rapetisser? L'idée de se faire étrangler par un collier la rendait plutôt...inquiète... Elle oublia vite ces penser qui commençait à lui faire peur en entendant l'homme sifflé, ses yeux, qu'elle avait abaissée pendant qu'elle réfléchissait remonta vers le visage de celui-ci, le teint de peau de ce "Ainoko " allait surement toujours lui faire un peu peur, et avec raison, qui, sur terre, peux bien avoir un teint si... si... si zombie, voilà a quoi on pouvait comparer sa peau...
"Un joli nom pour de beaux yeux..."
Elle n'aurait jamais cru se faire faire un compliment, surtout pas ici, dans cet endroit où humain est traité en moins que rien... Ces quelques mots la fit sourire, un sourire timide oui, mais il restait un sourire tout de même! Son sourire était doux, peut-être était-ce un peu bizarre comme situation, mais que voulez-vous, il fallait s'attendre à tout avec elle, la voir rire dans un tel lui prouve déjà qu'elle était détendue, mais toujours un peu nerveuse devant ce nouveau monde, alors la voir sourire, on devait se dire qu'elle était folle... Et alors? Haru sembla avoir vu le désarroi qu'avais Kumi envers le collier, ce qui le mena à expliquer la raison pour laquelle elle le portait...
"Ce collier indique que tu as déjà un Maître."
*Un maitre?!*
Quelque chose la frappa, il pouvait bien s'imaginer des choses, mais jamais, au grand jamais, Elle s'abaisserait à l'appeler "Maitre", ce mot lui donnait des frissons dans le dos, qu'il aille droit de vie ou de mort sur elle, Kumi s'en foutait bien, elle l'appellerait par n'importe quel nom, mais il devra attendre que les Alligators deviennent végétariens et demande une salade pour diner avant quelle l'appelle ainsi...
" Ainsi, aucunes personnes, sans mon autorisation, ou la tienne, n'aura le droit de te toucher."
*Mon autorisation?*
C'était une chose qu'elle n'aurait pas pensé avoir, le droit de donner son désaccord sur des mouvements porté vers elle... Elle se dit que, peut-être, et je précise bien le peut-être, qu'elle devrait attendre de savoir ce qu'elle pouvait et ne pouvait pas faire, avant de chialé surtout, la preuve, elle pensait qu'elle n'aurait aucun respect, mais lui, il ne semblait pas lui vouloir du mal... Enfin c'était ce que pensait Kumi et baka comme elle est, elle pouvait très bien se tromper...
" Mon nom est inscrit dans le revers...Ne t'inquiètes pas, je n'aime pas ceux qui ont une puce GPS intégré, tu as donc un collier tout simple, sans la moindre équivoque."
La jeune femme passa ses doigts à l'arrière du collier, comme il l'avait dit, son nom y était graver... Après ses explications, le collier semblait moins la déranger, après tout, si elle le retirait, ce qui était presque qu'impossible, elle aurait beaucoup de problèmes, autant avec Haru, qu'avec ceux qui devaient faire respecter les lois ici... Son regard couleur lilas ce posa encore sur l'homme, elle commençait un peu à s'habituer au teint de celui-ci, ce teint qui lui donnait un air de mort...
"Bon, on y va. Je t'emmène au café, histoire de boire un coup et de répondre à ta question belle Kumi."
Il lui prit la main, elle fut un peu surprise du contact de la main froide de celui qui l'avait acheté à la sienne qui était chaude, il commença à l'entrainer, elle le suivie sans attendre, après tout, elle n'avait rien à craindre, il ne semblait pas lui vouloir du mal, mais surtout, cet homme avait une poigne forte, il lui serait dur de s'en libérer...
Invité
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Topic Clos Master ! ^^
Sinon, suite du rp => https://migoto-no-shima.forumsactifs.com/le-raven-s-claw-f112/des-explications-s-imposent-pv-kumi-t541.htm#5776
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Kanata Haru
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Maître de :
Rien, si ce n'est mes choix...Et, officiellement, Maître de Mikomi, et Sukô.
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Ma foi ? Mes responsabilités ? Peut-être, oui. (Et je n'appartiens pas à Sukô !)
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