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Forum RPG d'Urban-Fantasy tranche de vie.

Évènement en prévision - "Fun à Bleu Lointain"
Saol Eile, un monde à la fois fantastique et si proche du nôtre. Un monde où vivent les êtres mythiques du folklore et des légendes.
Alors que sa population ne cesse de diminuer, la grande enchanteresse Kassandra sacrifie sa vie pour offrir à son peuple un espoir. Cet espoir, ce sont les humains, ceux de notre monde d’aujourd’hui.

Dans la grande cité-état de Ta Suil, les Apprentis de Kassandra, ses héritiers, ont créé des portails magiques pour aller n’importe où sur Terre et faire venir des humains pour sauver la population des êtres mythiques.
L’Agence, l’organisme qui supervise et aide les humains à s’installer, est maintenant pleinement opérationnelle et compte faire venir encore plus de nouveaux habitants.

Et vous, qui serez-vous sur ce monde ? Un être mythique appartenant à l’une des très nombreuses espèces et potentiellement désireux d’avoir une descendance ? Un être humain fraichement débarqué et découvrant un monde d’êtres de légendes ? Venez découvrir ce nouveau monde fascinant…

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Premiers achats [Terminé]
Ven 29 Aoû - 23:03
Une fois de sortie de la cabine avec els loques que lui avait choisit son maitre sur elle, la jeune femme le retrouva, des sacs dans la main. Elle lui demanda alors timidement si elle pouvait garder ses chaussures qui étaient encore en état de servir contrairement à sa robe noire. L’ainoko la regarda avec un sourire amusé et ne lui répondit, se contentant de la tirer par le bras pour la mener à la sortie du magasin. Les moindres mouvements avec les vêtements rugueux semblaient irriter la peau de la jeune femme qui faisait pourtant tout, dans sa vie passée pour s’en occuper et la garder douce comme une peau de pêche…. Il semblerait que ses efforts d’antan soient ruinées en quelques jours rien que par le fait de porter ces vêtements… Elle se félicita à cet instant d’avoir gardé ses sous vêtements…

Une fois sortie du magasin, en ayant pris soin de reprendre les chaines qu’il avait laisse à l’entrée du magasin, il s’arrêta et la regarda un instant. Il s’approcha alors d’elle et prit dans sa main le visage de la jeune esclave, la fixant pendant un moment. Kiara soutint le regard de son maitre sur un air de défi, il devait très bien savoir pourtant qu’elle ne baisserait pas le regard. Elle avait l’impression de se retrouver quelques minutes plus tôt quand il semblait l’examiner avant de l’acheter au marché. Mais finalement, il ne fit rien et la lâché pou lui lancer le sec de vêtement qu’il tenait. Kiara attrapa le sac et regarda ce qu’il contenait : des habits aussi laids que ceux qu’elle portait sur elle en ce moment même… Alors qu’elle examinait ces vêtements, son maitre lui répondit qu’elle pourrait garder sa paire de chaussures et ajouta un « mais » sans suite à la fin de sa phrase…. La jeune esclave releva la tête pour regarder l’ainoko ; il arborait un sourire moqueur sur les lèvres en regardant sa robe qu’elle avait mis sous son bras. Puis après un petit moment de silence il lui demanda pourquoi elle s’acharnait à vouloir garder ce qu’il considérait comme des détritus et lui dit ensuite de les mettre dans le sac vide qu’il lui tenait. Tout en obtempérant et en mettant ses vêtements dans le sac vide, elle lui répondit :

-Parce que j’y tiens tout simplement…

Après qu’elle ait mis ses affaires dans le sac, l’ainoko l’attacha de nouveau et lui mit cette fois ci une seule menotte pour enfin la tirer vers le centre commercial. A présent l’ainoko marchait d’un pas normal et non rapide comme il l’avait fait tout à l’heure si bien que la jeune femme avait failli tomber à maintes reprises. Ils se dirigèrent donc vers le centre commercial, certainement pour acheter les vêtements dont il lui avait parlé tout à l’heure, ceux qu’elle mettrait pour des réceptions ou autre occasions… Le centre commercial ne se situait qu’à quelques pas à présent et alors qu’ils allaient entrer dedans, son maitre lui dit qu’il verrait si elle avait bon gout… Pour la jeune esclave, il n’y avait pas à douter de ses gouts, elle n’était pas la fille populaire que tout le monde admire dans son bahut pour rien… Son maitre choisit une boutique dont la vitrine semblait assez classique à la jeune femme, trop classique même à son gout... Mais il lui était déjà arrivé de trouver des robes toutes simples qui, une fois passé entre ses doigts de fée retrouvait une nouvelle classe et originalité. C’était d’ailleurs un des rares travaux manuels que la jeune femme réalisait… Une fois dans al boutique, L’ainoko la prévint de ne pas essayer de s’enfuit une fois détachée et de se choisir une ou deux robes pur ensuite aller les essayer… La jeune esclave fit un mouvement de tête montrant son accord : lui demander à elle de se choisir des vêtements c’était comme demander à un enfant de manger tous les bonbons d’une boite… Ca tombait sous le sens que la réponse serait affirmative ! Alors, il la détacha et sortit du magasin. La jeune femme jeta un coup d’œil a l’homme qu’il lui avait designer tout à l’heure et qui, effectivement, la suivait du regard… Ca ne serait pas le moment en effet de s’enfuir, si elle devait le faire, la jeune femme la jouerait beaucoup plus finement que cela…

Ainsi Kiara commença à fouiller dans les rayons, au début, elle en trouva que des robes tout à fait communes auxquelles elle ne trouvait pas la moindre trace de charme d’élégance ou d’originalité… Elle passa donc vite aux rayons suivants et finit par trouver une jolie petite robe rouge à bustier, assez courte, elle s’arrêtait juste au dessus de son genou. Avec quelques retouches de sa part, la jeune femme se dit qu’elle pourrait en faire une très jolie robe. Elle ne prit pas la peine de regarder le prix, après tout s’il voulait qu’elle soit présentable et élégante il faudrait qu’il en mette un minimum de sa poche… Après cette petite trouvaille, elle se dirigea vers un autre rayon mais ne trouva rien à son gout… Au rayon suivant, elle trouva une robe dont le haut était un corset rouge et le bas un jupon noir plutôt long cette fois-ci. Elle avait toujours trouvé les corsets élégants mais n’en avait jamais vraiment acheté, c’était le moment d’essayer après tout ! Une fois de plus, elle ne jeta pas un regard au prix et se dirigea vers une cabine. Une fois dans celle-ci, elle commença d’abord à enfiler la robe rouge dont le bustier lui laissait les épaules nues. La jeune femme se regarda un instant dans le miroir puis entendit soudainement la voix de son maitre qui s’impatientait derrière le rideau. Elle se rendit alors compte que s’il ouvrait tout de suite le rideau, il verrait les bretelles de son soutient gorge et la punirait une fois de plus. Elle commença donc à essayer d’enlever en vitesse son soutient gorge mais avec un semblant de panique, la jeune femme n’arrivait à rien.

-Je... Oui je me dépêche !

Il n’avait pas remarqué qu’elle ‘lavait gardé et c’était très bien ainsi, Kiara ne tenait pas particulièrement à ce qu’il s’en rende compte des maintenant. Il avait certainement entendu dans sa voix un brin de peur ou bien de panique mais c’était pour le moment le dernier des soucis de la jeune femme. Finalement, Kiara réussit enfin, renfila sa robe et posa par terre son soutient gorge sans penser à le cacher dans la précipitation. Elle ouvrit alors le rideau et se montra à son maitre.

-Hmmm… alors?

Peut-être la jeune femme avait pris une robe un peu trop courte et sexy pour une esclave mais elle ne pouvait s’empêcher de mettre autre chose que cela si elle devait aller à des réceptions. Elle attendit la réaction de son maitre et se tourna sur elle-même en espérant qu’elle lui plaise et qu’il la lui achète. La jeune femme pouvait difficilement croire qu’il ne l’aimerait pas tant elle mettait sa ligne en valeur mais elle s’attendait a tout de sa part désormais…


Dernière édition par Kiara Ryuki le Ven 5 Sep - 17:14, édité 1 fois
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Pris dans un élan de bonté, Fuubuki était allé rapidement voir un tisserand pour qu'il répare la robe de son esclave. Il était ensuite revenu rapidement pour que l'envie de déchirer la robe en petits morceaux ne naisse pas en regardant l'autre travailler dessus. Non, il s'adoucissait et ce n'était pas bon, pas bon du tout. Le jeune ainoko avait déjà fait preuve de trop de gentillesse en la laissant garder ses chaussures et maintenant il payait d'avantage pour qu'elle garde un vêtement auquel elle "tenait". Tenir à des objets ainsi, c'était tellement pitoyable, il en avait presque la nosé rien que d'y penser, mais Kiara était ainsi, elle aurait fait une tête d'enterrement si il lui avait retiré ses affaires. Hey, mais c'était lui le maitre ici, pas elle! Pourquoi craignait-il de voir son regard noir? Non, il n'en avait pas peur du tout d'ailleurs, il pouvait la mater comme il le voulait

Mécontent par ce dont il venait de s'apercevoir, Fuubuki alla dans le fond du côté des cabines et fit connaitre son impatience à son esclave. Dans sa légère colère, il ne remarqua pas le ton troublé dans la voix de Kiara et croisa les bras en tapant nerveusement du pied. La demoiselle ouvrit alors précipitamment le rideau pour se montrer à lui. Immédiatement, toutes les pensées mauvaises du jeune maitre disparurent face à la beauté de la jeune femme. Oui, elle était réellement magnifique, peut-être pas parfaite à cause de ses cheveux mal ordonnés, mais tout de même. L'ainoko la regarda se tourner pour qu'il regard bien sous tous les angles et ne trouva rien à redire. Petit bémol, la tenue pouvait se montrer un peu trop entreprenante pour une simple esclave, mais ce n'était pas grave, elle se démarquerait de toutes les autres par son arrogance naturelle, et par sa beauté.

Un trace blanche par terre attira soudain l'attention du kakon. Est-ce que ça n'était pas... Mais oui, c'était bien ce soutien-gorge blanc qu'il avait voulu qu'elle retire. Elle l'avait donc gardé? Ah et puis, si elle le gardait, ça lui éviterait d'en acheter. Elle n'aurait que ça comme sous-vêtements et le reste du temps lorsqu'elle les aurait à laver, elle n'aurait rien du tout. Fuubuki détourna alors les yeux en faisant mine d'avoir mal vu et dit sur un ton évasif.


"Ca peut aller, j'ai pas envie de perdre du temps alors on va prendre ça, comme ça c'est fait... Rien d'autre d'intéressant? Sinon, on passe à la caisse, laisse moi juste regarder le prix..."

Le sourire pervers de Fuubuki indiquait bien qu'il allait profiter de la situation, voir son esclave en bustier l'excitait beaucoup et l'envie de la toucher était devenue pressante, c'est pourquoi, il se mit dans son dos pour faire mine de regarder l'étiquette et se pencha un peu pour poser sa main sur son sein, par-dessus le vêtement.

"Moui, il est plutôt doux le tissu, bonne qualité, et le prix est... bon ça passe... Bon rhabille toi et ramène moi tout ça à la caisse et dépêche toi. Jamais vu une esclave aussi lente à s'habillier et à se déshabiller!"

Ayant satisfait son sens du touché, l'ainoko laissa le soin à son esclave d'amener ses vêtements. Le jeune maitre arriva à la caisse et tapota nerveusement sur le comptoir. Puis soudain, une pulsion le fit revenir vers la cabine où Kiara s'affairait probablement à se déshabiller et ouvrit d'un coup le rideau pour apercevoir clairement le soutien-gorge. Ses yeux s'étaient à nouveau teinté de folie, à croire qu'il était réellement dangeureux avec ses changements brusques de personnalité. Sa main attrapa la gorge de son esclave et commença à la serrer fort. Ses narines se dilataient alors qu'il respirait férocement et d'une voix terrifiante il lui dit en la regardant avec des yeux amplis de folie.

"Ne t'avises plus jamais... de te jouer de moi... Ne crois pas que ce que tu m'as caché n'est pas arrivé dans mon champ de vision, je l'ai clairement vu... Alors c'est bien de me prendre pour un imbécile, mais certaines choses... ont des limites, comme par exemple ma patience face à ton arrogance..."

Sa poigne se resserra encore plus fort que la dernière fois, jusqu'à voir ce visage magnifique changer légèrement de couleur. A ce moment là, il la lacha et prit ses vêtements fraichement pris des rayons ainsi que les autres miteux et cracha:

"Si tu aimes tant tes sous-vêtements, va s'y, met les, tu pourras les montrer à tout le monde comme ça!"

Fuubuki sourit dans sa colère en regardant de haut la demoiselle qu'il avait en face de lui. Décidément, jamais une esclave ne lui avait donné autant de fil à retordre. Le jeune kakon alla à la caisse pour payer, puis alla chercher Kiara qui était toujours au fond de la boutique pour la menotter d'une main et la tira derrière lui en prenant au passage le sac rempli des autres habits miteux. Le vendeur sembla étonné de voir l'esclave si peu vêtue, mais ne dit rien, ses yeux disaient tout. Le maitre n'attendait qu'une chose, entendre une voix suppliante parvenir à ses oreilles, peut-être des pleurs, ah, ça serait tellement beau, de rire en la voyant pleurer... En tout cas, il savait qu'elle ne pourrait se décider à sortir ainsi vêtu. Ils étaient maintenant devant l'entrée du magasin, là où allait se jouer les futures moments de Kiara. Des moments de solitude ou bien à peu près habillée? Un rictus mauvais se dessina sur les lèvres du démon qui était dos à son esclave.


Dernière édition par Fuubuki le Sam 30 Aoû - 20:51, édité 1 fois
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Une fois le rideau de sa cabine ouvert, la jeune esclave resta un moment sans rien faire devant son maitre puis tourné sur elle-même : petit reflexe pour demander l’avis de la personne qui la regardait sur sa tenue… La plupart du temps, on lui disait : « Kiara tu es magnifique comme ca, tout te va !! ». Mais elle doutait que cette fois-ci, son maitre lui dise ça… Au mieux il lui dirait que c’était bien mais rien de plus à son avis… De toute manière elle n’en attendait pas beaucoup plus de sa part… Kiara attendit la réaction de son maitre qui ne lui semblait pas vraiment emballer ; il lui répondit sur un ton évasif que ca allait et lui demanda si elle avait autre chose d’intéressant a lui montrer. La jeune femme se retourna et montra l’autre robe, au corset rouge et au jupon noir qu’elle avait choisit. Et remarqua alors que son soutient gorge [noir d’ailleurs au passage….lol]. Il continua ensuite en lui disant qu’il voulait regarder le prix. Le sourire qu’elle vit sur les lèvres de son maitre ne plut guère a la jeune femme qui se media de suite de ce qu’il allait faire mis a part regarder l’étiquette de plus près. Il s’approcha et se mit derrière elle de sorte à voir l’étiquette et la jeune esclave sentit alors une nouvelle fois sa main sur sa poitrine à travers le bustier. Il fit mine alors de commenter la douceur et la qualité du tissu mais tous deux savaient très bien que ce n’était pas le but premier de ce contact sur sa poitrine… Kiara essaya à tout prix de garder son calme bien qu’elle ait énormément de mal… enfin il lui dit de se rhabiller rapidement et de le rejoindre à la caisse… heureusement, il n’était pas aller plus loin, la jeune esclave n’aurait certainement pas pu garder son calme plus longtemps…

La jeune femme se demanda alors s’il avait vu la deuxième robe qu’elle avait choisi quand elle enlevait la robe rouge qu’elle venait d’essayer. Alors quelle remettait son soutient gorge avant d’enfiler les loques qu’il venait de lui acheter, quand le rideau s’ouvrit brusquement et son maitre apparut alors, les yeux emplies de rage et s’approcha d’elle pour la prendre par la gorge et la plaquer au mur. Cette fois-ci, l’étreinte autour de la gorge de la jeune femme était beaucoup plus forte que la précédente et c’était à peine s’il ne la soulevait pas du sol. Il lui dit alors, d’une voix qui lui donnait la chair de poule de en plus jamais s’aviser de le prendre pour un imbécile et qu’il avait clairement vu qu’elle avait encore une fois faillit à ses ordres. Tandis qu’il continuait de parler en disant que sa patience avait des limites, la jeune femme commençait à suffoquer, ne parvenant plus vraiment à respirer. Une fois sa phrase terminée, il resserra son étreinte autour du cou de la jeune femme qui se sentait extrêmement faible tout à coup. Elle avait besoin d’air, et tout de suite, s’il en voulait pas aller s’acheter une nouvelle esclave des maintenant ! Son maitre sembla comprendre que Kiara parviendrait dans peu de temps à ses limites avant de tomber dans l’inconscience et relâcha son étreinte. La jeune femme s’effondra par terre en tenant son cou dans ses mains et en prenant de grandes bouffées d’air. Elle l’entendit alors lui dire que si ses sous vêtements lui plaisaient tant, qu’elle les garde pour les montrer à tout le monde. Sur le coup, le temps de reprendre ses esprits, la jeune femme ne réagit et ne comprit pas vraiment pourquoi elle devrait les montrer à tout le monde. Elle réalisa quand elle le vit prendre toutes ses affaires, la laissant sans rien dans la cabine d’essayage…

La jeune femme se demanda alors ce qu’il manigançait… Il n’allait tout de même pas la trimballer dans le centre commercial en sous vêtements ! Tandis qu’il était parti a la caisse pour payer, la jeune femme essayait de trouver une solution à ce problème insoluble... Comment pourrait-elle se sortir de cette situation ? Si elle avait tous ses esprits, elle aurait pu trouver une pirouette mais elle était encore sous le choc de ce qu’il venait de lui faire et d’ailleurs, elle ne s’était toujours pas relevée… La jeune esclave revit bientôt son maitre revenir vers elle, elle resta a genou, dans la cabine en le voyant et sans ménagement, il la tira pour la relever et la menotter. Apres cela, il al tira à travers le magasin, la jeune femme essayait de le retenir pour en pas en sortir mais de toute manière, elle n’était pas en forme et d’ailleurs même en pleine forme elle n’aurait certainement pas pu rivaliser avec la force de son maitre…

« Non… arrêtes !!!! Ne me fais pas sortir comme ça ! »

Bien évidemment, son maitre n’en avait que faire de ce qu’elle disait et la jeune femme sentait déjà les regards sur elle. Elle avait beau être jolie, cela ne l’empêchait pas d’être un minimum pudique… Bientôt ils arriveraient à l’entrée du magasin et entrerait dans la grande galerie, bondée, elle sentirait alors des dizaines d’yeux la regarder sans vergogne. Il lui vint alors une idée, la jeune femme, tout en essayant de l’empêcher de l’emmener vers la galerie, lui dit :

« On va penser que tu n’as pas les moyens d’entretenir tes esclaves si on me voit sortir ainsi ! »

Peut-être ce qu’elle venait de dire n’aurait pas vraiment d’effet sur lui mais ca valait le coup de tenter… La jeune esclave attendit une quelconque réaction de la part de son maitre, ils étaient à présent à l’entrée du magasin et n’étaient qu’a quelques pas de la galerie.
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Plus les choses allaient et plus Fuubuki dévoilait aux yeux de son esclave sa folie, qu'elle avait déjà entrevue auparavant. L'ainoko montrait sa nature lunatique, violente sans s'en cacher et Kiara avait déjà compris à quoi elle avait à s'en tenir avec lui même si chaque violence était toujours aussi douloureuse à ressentir. Alors que tout semblait aller pour le mieux, qu'il regardait Kiara vêtue des habits qu'elle avait choisi, habits qui lui allaient comme un gant, même si il se refusait de l'admettre ouvertement. Le maitre profita de l'accoutrement de la belle pour assouvir quelques envies et la pressa ensuite pour aller au comptoir. Hélas, la paix fut de courte durée, Fuubuki revint avec une rage soudaine qui avait pris possession de son corps, étranglant son esclave au point d'approcher de son étouffement définitif. La colère avait été causé par une simple désobéissance au sujet de sous-vêtements, simplement ça et il était près à tuer... Remarque, il avait déjà tué pour bien moins grave, comme un type qui le bousculait de nuit alors qu'il était saoul, ou autres variantes.

Fuubuki dit alors à sa nouvelle possession de rester en sous-vêtements, puisqu'elle tenait à les garder et partit avec tous les vêtements qui lui appartenaient vers la caisse pour payer rapidement et revenir saisir son esclave, à nouveau enchainée par ces satanées menottes. La demoiselle essaya de l'arrêter, au départ en lui parlant comme à un ami, une phrase qu'il ignora tout simplement, se contentant de tirer d'un coup brutal sur la chaine pour lui rappeler qu'elle n'était pas en position de discuter et encore moins de l'appeler comme si il était son égal. Alors qu'il continuait de tirer sur la chaine, menant lentement les deux êtres vers la porte, Kiara tenta un dernier assaut désespéré en essayant de lui faire attendre raison. Un argument tout à fait désespéré en effet qui fit rire Fuubuki de manière inquiétante.


"Ne t'inquiètes pas pour mon image, je sais l'entretenir. Pense plutôt à toi dans ce cas. Tous ces yeux qui vont se poser sur ta peau, ton corps, ça devrait te faire plaisir non?"

Et les voilà enfin sortis. Comme prévu, dans une galerie remplie de monde, les trois quart qui passaient par là remarquèrent une esclave près de son maitre, une esclave fort peu vêtue et qui attirait l'attention ainsi que le désir. Un homme tenta même de demander à Fuubuki qu'il n'avait jamais vu, de lui vendre son esclave. La réponse fut donnée par un coup de poing qui cassa le nez de l'individu d'une autre grande famille d'ainoko.

"Mon esclave n'est pas à vendre, reviens dans cent ans et réessaye..."


L'ainokoko remarqua alors que dans cent ans, Kiara ne serait probablement plus de ce monde et lui approcherait de la fin de sa vie. La proposition était donc complètement déplacée. Nullement gêné par le type qui gémissait à côté de lui, le maitre, le dos droit, l'air fier, s'avança dans la foule, tenant les sacs à la main. Derrière lui, il laissait trainer Kiara et prenait un malin plaisir à avancer lentement pour qu'elle se fasse humilier encore un peu. Puis au bout de trois bonnes minutes, après être passée sous une centaine de mains, Fuubuki la fit avancer devant lui en évitant le plus possible le contact humain cette fois. C'était une leçon qu'elle retiendrait. Elle aurait nourrissait probablement une haine sans égale à son égard désormais. Arrivant au niveau du magasin du tisserand, Fuubuki s'arrêta dans un coin où il y avait moins de monde et regarda Kiara.

"Je ne sais même si tu mérites tout ce que je fais pour toi... Bon agenouille toi et excuse toi auprès de ton maitre."

Appuyant sur la tête de la jeune femme, l'ainoko l'agenouilla devant lui et la regarda d'un air calme. Elle devait ravaler sa fierté pour vivre dans cette société ou sinon elle finirait au fond d'un caveau une nuit, ce qu'il devait éviter à tout prix. Le jeune maitre s'impatienta alors, se demandant en même temps si l'artisan avait fini son ouvrage, si la robe était maintenant parfaite. Il dit alors sur un ton mystérieux:

"J'ai quelque chose qui pourrait t'intéresser alors réfléchis bien à ce que tu vas dire."


Si elle l'appelait enfin maitre avec une voix sincère, Fuubuki pourrait peut-être lui rendre sa robe, ou au moins la lui montrer en bon état et lui faire comprendre qu'elle pourrait la remettre un jour peut-être.
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Kiara avait beau essayer d’arrêter son maitre dans son élan, elle n’y arrivait pas et la chaine restait irrésistiblement tendue entre les deux jeunes gens. La jeune esclave avait beau tirer dessus, il continuait inlassablement de la tirer vers la sortie. Quand elle lui dit d’arrêter et de ne pas la laisser sortir ainsi, son maitre eut pour simple réaction de tirer de plus belle sur la chaine et faillit faire tomber la jeune femme. Un plus tard dans leur traversée du magasin, la jeune esclave trouva un dernier argument désespéré pour le faire arrêter mais cela eut pour effet de le faire rire et il lui dit qu’il savait très bien gérer son image mais que c’était elle qui devrait y faire attention et qu’elle devrait être contente que tous ces yeux se posent sur elle. Kiara le regarda avec dégout et finit par lui répondre :

-Non pas vraiment… Je ne suis pas le genre exhibitionniste et ce que j’aime, c’est les fringues, pas la quasi nudité en public…

La jeune esclave lui avait répondu sur un ton mauvais qui lui montrait bien son total désaccord avec ce qu’il voulait faire. Mais une fois de plus, cela n’eut aucun effet et la jeune femme s’en doutait bien de toute manière… Ainsi, ils arrivèrent dans la galerie pleine de monde évidemment… Sinon cela n’aurait pas été assez divertissant pour son maitre… Comme prévu pratiquement tous les regards se retournaient vers elle, autant ceux des maitres que ceux des esclaves… Certains regards montraient de l’intérêt et une pointe de perversité la plupart du temps, d’autres se contentaient d’être étonné et de passer leur chemin, certains autre semblaient dédaigneux à son égard mais ce n’était pas vraiment de sa faute si elle se retrouvait dans cette tenue… elle ne l’avait pas voulu après tout… Chez un ainoko qui semblait être un maitre, elle remarqua particulièrement cette pointe de perversité dans ses yeux, il en profita même pour effleurer sa poitrine et demander à son maitre de la racheter. La jeune esclave le regarda avec mépris et fut surprise de voir que Fuubuki lui donna un coup de poing et lui cassa le nez toute n lui disant qu’elle n’était pas à vendre. A cet instant, la jeune esclave eut une pointe de ce qui pourrait être de la reconnaissance envers son maitre, ravie de voir cet immonde individu par terre, le nez en sang…

Son maitre continua sa marche, impassible au fait que certains derrière lui en profitait pour reluquer son esclave de la tête aux pieds et se permettaient même, parfois de la toucher. La jeune femme lançait à tous ces gens des regards qui en disaient long sur ce qu’elle pensait… Evidemment, c’était bien la le seul moment ou l’ainoko ne marchait pas à un pas rapide, la jeune esclave se doutait qu’il en faisait exprès pour faire durer le moment. Pares un moment, il la fit passer devant lui et la jeune femme avait beau presser le pas pour arriver au plus vite la ou il voulait qu’ils aillent, il la retenait encore avec sa fichue chaine… Kiara essayait de se contenir de ne pas hurler ou de fondre en larmes mais elle avait de plus en plus de mal avec le temps. Hors de question de montrer à son maitre qu’il avait réussi à l’atteindre cela lui ferait bien trop plaisir ! Une fois arrivé a la hauteur d’un magasin de tisserand, Fuubuki la fit s’arrêter en tirant d’un coup sec sur la chaine qui les liait et l’amena dans un coin ou il y avait un peu moins de monde. La jeune esclave gardait le regard à terre et le posa sur son maitre quand il lui adressa la parole pour lui dire qu’il ne savait pas si elle méritait ce qu’il faisait pour elle… la jeune femme ne comprenait pas vriament… Mis a part la trimballer a moitié nue dans une galerie marchande pour l’humilier, l’étrangler et la frapper, elle ne voyait pas vriament ce qu’il avait fait… C’est alors qu’il lui demande de s’agenouiller pour s’excuser… Kiara lui lança un regard noir mais n’eut pas le temps de répondre qu’il appuya sur sa tête pour la faire s’agenouiller. La jeune femme n’en pouvait plus, autant physiquement que mentalement… Elle était a bout de nerfs… Agenouillée face à son maitre, Kiara gardait la tête basse et essayait de prendre sur elle pour ne pas craquer. Son poing tremblait et les larmes commençaient à monter… Ravaler sa fierté était un acte bien difficile pour la jeune esclave… Alors qu’elle essayait de se calmer, il lui dit qu’elle devrait réfléchir à ce qu’elle allait dire car il pourrait avoir quelque chose d’intéressant pour elle… Elle ne prêta pas vraiment attention à ce qu’il venait de dire et avala sa salive pour finalement dire d’une voix faible, la tête toujours basse :

-Je…

Les mots n’arrivaient pas a sortir et les larmes commençait réellement à lui embuer la vue mais la jeune esclave prit son courage à deux mains pour terminer ce qu’elle devait dire pour sortir de cette situation humiliante au plus vite. Elle reprit alors, d’une voix faible et tremblante :

-Je… Je m’excuse…
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Bien déterminé à aller au bout de cette idée-ci, Fuubuki tira son esclave hors du magasin, dans un accoutrement des plus légers. La raison de cela: une désobéissance de la part de Kiara, ce qui entrainait maintenant une grande humiliation pour elle. Ne tenant compte que du type qui avait essayé de la lui acheté, le remettant rapidement à sa place, le kakon s'était ensuite plongé lentement dans la foule, laissant les gens toucher son esclave à leur guise, le temps qu'ils passaient du moins.

Une fois arrivés d'un côté où les passages étaient légèrement moins fréquent, Fuubuki s'arrêta en exigeant des excuses, forçant Kiara à se mettre à genou devant lui. La voix faible de son esclave montrait qu'elle avait été secouée par cette traversée, presque à bout. Tous ces évènements s'étaient enchainés sans lui laisser le temps de se reposer un peu, depuis l'endroit où il l'avait acheté, jusqu'ici, elle n'avait fait qu'être trainée derrière lui, sans pitié. Fuubuki put voir des larmes retenues dans les yeux brillants de la jeune femme qui évita son regard pour ne pas montrer cette faiblesse. Elle réussit alors à s'excuser avec un grand effort de volonté. Fuubuki s'accoupit alors à sa taille et lui posa la main sur la joue en lui souriant gentillement.


"Alors, tu vois que ce n'était pas si dur..."

Se relevant immédiatement ensuite, il releva Kiara qu'il attacha rapidement à un crochet prévu pour accrocher la laisse des chiens, puis entra voir l'autre. Quelques minutes plus tard, le jeune maitre ressortit avec un sac, en plus des autres qu'il portait, puis le tendit à Kiara pour qu'elle puisse regarder le contenu, le sortir elle-même et constater les choses. La robe avait été réparée de telle sorte qu'on ne voyait même plus l'emplacement des anciens trous. Lavée et repassée en fort peu de temps, on ressentait un peu d'humidité, mais rien de trop grave. Fuubuki regarda Kiara qui tenait sa robe, puis lui dit sur un ton neutre:

"Bon, range moi ça et renfile ce que jt'ai acheté..."


Il enleva la menotte à Kiara et lui donna l'habit précédemment porté, savant pertinemment qu'elle ne pourrait fuir avec le peu de force qu'elle avait. Elle n'avait même pas mangé depuis le temps et devait probablement être affamée. L'ainoko regarda autour de lui et repéra un vendeur de sandwish, le truc parfait pour sa chère esclave qui se rhabillait.

Eloignant des gêneurs qui voyaient une femme à moitié nue, l'ainoko attendit presque trop patiemment que Kiara se rhabille. La menotte fut remise à son poignet, mesure de sécurité car il aurait vite fait de la perdre dans cette foule. Les sacs de vêtements lui furent confiés, après tout, c'était elle qui portait tout ça, pas lui. Si jamais elle les perdait, il ne racheterait que dans plusieurs mois, mois durant lesquels elle devrait se contenter d'un même habit si jamais elle ne trouvait rien d'autre.

Ensuite, il alla vers le vendeur de sandwish qui était heureusement de ce côté de la grande galerie et acheta deux sandwish jambon fromage, crudité. Il les porta cette fois-ci et alla au milieu du centre commercial, là où il y avait de nombreux bancs pour se reposer. Dégageant une bande d'esclaves, l'ainoko put se trouver une place et à côté de lui, Kiara put s'assoir. Semblant réfléchir, il finit par lacher:


"Tiens mange ça, y a une bouteille d'eau aussi... Me regarde pas comme ça, c'est pas empoisonné, y a pas de questions pièges, je veux juste que tu manges. Ca me sert à rien une esclave qui peut plus rien faire à cause de la fatigue..."

Fuubuki prit à son tour son sandwish et prit une bouchée comme pour donner l'exemple à Kiara. C'était correct, même si la cuisine dans son manoir était beaucoup plus exquise. Parlant après avoir avalé une bouchée, le jeune maitre expliqua la suite des évênements.


"Bon, on a acheté ce qui nous fallait en matière de vêtements. Maintenant, je sais pas trop où aller, n'ayant pas tellement envie de retourner chez moi immédiatement... Bon esclave, mange plus vite que ça."


Une petite tape vint se poser sur la tête de Kiara, rien de bien méchant. Il la regarda ensuite avec peu de discrétion et se remit à sourire en s'apercevant qu'il était tombé sur une fort belle plante.
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Kiara avait eu besoin de beaucoup de volonté pour s’excuser à genou devant son maitre mais elle avait finalement réussi à le faire, bien qu’elle l’ait dit d’une voix faible et plein de sanglots qu’elle refoulait. La jeune femme gardait la tête baissée, pour ne pas montrer ce moment de faiblesse à son maitre mais celui-ci s’accroupit à sa hauteur et posa sa main sur sa joue, lui remontant légèrement la tête pour voir ses yeux. Kiara s’attendait à voir un sourire satisfait sur ses lèvres et une expression qui montrait sa satisfaction d’avoir enfin réussit à la faire chuter mais il n’en était rien… L’ainoko affichait sur sa bouche un sourire gentil, presque compatissant aurait elle-même dit. La jeune femme ravala un sanglot et le regarda avec une pointe de perplexité dans les yeux malgré que ses yeux soient tout à fait embués. Il lui dit alors que finalement, ce n’était pas si difficile… Kiara n’était pas vraiment du même avis, elle avait du faire d’énormes efforts pour ravaler sa fierté et prononcer ces mots en étant agenouillées…

Après cette phrase qui se voulait rassurante, l’ainoko se releva et fit relever son esclave fraichement achetée et l’attacha à un piquet devant le magasin du tisserand… Contrainte de rester ainsi dans cette tenue accroché à un piquet, la jeune femme essayait de se faire la plus petite possible et si elle avait pu, elle se serait creusé un trou dans la galerie pour pouvoir se cacher du regard des autres. Apres quelques minutes qui lui semblaient être une éternité, son maitre revint avec un sac de plus à la main et le tendit à son esclave. Kiara le regarda d’un air surpris et prit le contenu dans ses mains, elle se retrouva alors avec la robe qu’elle portait durant son enlèvement, mais sans tache et recousue, la retrouvant ainsi parfaite, comme au premier jour. Son regard n’arrêtait pas de passer de la robe a son maitre et vice versa. Pourquoi avait-il fait cela pour elle ? Il était absolument imprévisible, a un moment il l’humiliait au possible et la seconde d’après il la regardait gentiment et lui offrait sa robe, remise en état.

-P... Pourquoi avoir fait ca pour moi ?

Alors que la jeune femme admirait la beauté de sa robe, l’ainoko lui dit de la ranger et d’enfiler les vêtements qu’il venait de lui acheter. Il lui détacha alors la menotte et la jeune femme s’exécuta et remit ses habits de travail tout en remarquant que son maitre prenait bien soin d’éloigner ce qui s’attardait n peu trop a leur hauteur en la regardant et cela eut pour effet d’arracher un sourire à la jeune femme. Une fois rhabillée, il lui remit la menotte et lui tendit les sacs de vêtements qu’il tenait plus tôt dans sa main. Une fois la situation redevenue « normale » il l’emmena jusqu’à un vendeur de sandwich auquel il commanda deux jambon fromage, crudité et la tira ensuite vers un banc occupé par des esclaves qu’il ne se priva pas de faire dégager. Il s’y assit et la jeune femme fit de même, faisant profil bas et gardant les yeux rivés sur le sol. Il lui tendit alors le sandwich en lui disant de le manger. Effectivement la jeune esclave se rendit compte qu’elle n’avait pas mangé la moindre chose depuis un moment et cela avait certainement du avoir un effet important sur sa forme et sa vitalité… Kiara prit le sandwich qu’il lui tendait et le regarda prendre une bouché, elle en fit alors de même. Le sandwich n’était pas mauvais du tout, il était même bon et cela lui convenait parfaitement pour reprendre un peu de force. Il lui expliqua alors qu’il n’avait pas vraiment envie de rentrer chez lui et qu’il ne savait pas trop ou ils pourraient aller avant de lui dire de manger plus vite… Pas de chance pour lui, sa patience serait peut être mis encore à l’épreuve car la jeune femme avait pour habitude de manger lentement et on lui avait déjà fait plusieurs fois la remarque… Elle sentit alors une tape derrière la tête et sentit son regard sur elle, il arborait d’ailleurs un drôle de sourire… Kiara avala son morceau de sandwich et lui demanda :

-Qu’y a–t-il ?

Elle le regarda un instant avant de croquer une nouvelle fois dans son sandwich pour essayer de se dépêcher un peu car si elle commençait à parler, elle mettrait encore plus de temps ! La jeune femme essayait de se dépêcher de mâcher pour pouvoir lui obéir mais le rythme restait tout de même lent, peut-être attirerait-elle une nouvelle fois els foudres de son maitre en attisant une fois de plus son impatience ?
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Fuubuki avait fait subir à Kiara une telle humiliation qu'elle devait probablement le haïr de tout son être. Mais à bout de force, celle-ci commençait à faiblir et ne répondait presque plus à ce qu'il disait comme elle le faisait au départ. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle Kiara s'était finalement excusée avec la plus grande difficulté tout de même, et avec des sanglots dans sa voix. L'ainoko, pour la première fois, avait eu un acte de douceur envers son esclave et lui avait souri normalement. Ce sourire était tellement rare sur son visage, uniquement lorsqu'il n'est pas dans une phase de sadisme ou de délire complet. Le jeune maitre alla donc dans la boutique récupérer la robe de son esclave, payant assez peu l'artisan parce qu'il avait pris plus de temps que prévu et parce qu'il ne voulait pas payer trop cher pour une robe non plus, puis revint pour tendre le sac à Kiara pour qu'elle constate d'elle-même son "cadeau". L'ainoko soupira en croisant les bras et reprit son air hautain lorsqu'elle lui demanda pourquoi il avait fait ça.

"Ne te méprend pas, met toi bien dans le crâne que c'est pas pour toi que je l'ai fait, mais mon image. Cette robe avait encore du potentiel donc j'ai préféré ne pas la gacher en la jetant, cela me fait des économies en plus."

Bien entendu, la moitié de ce qu'il avait dit était faux, mais il ne pouvait pas avouer avoir fait ça pour elle, question d'honneur ou quelque chose dans ce genre là. En attendant qu'elle s'habille, Fuubuki prit son travail très sérieux d'éloigner tous les gêneurs qui voudraient toucher à son esclave. Allez chercher l'erreur, quelques minutes plus tôt, il la laissait trainer derrière lui dans la foule, exprès pour qu'elle se fasse humilier. Enfin, sa vengeance avait été accompli, plus de raison pour l'instant, de lui faire de mal. Elle semblait bien calmée et c'est bien cela qui l'inquiétait. Elle était trop calme et devait être à bout de force. Le maitre menotta Kiara et la tira à nouveau vers le marchand de sandwich, puis ils allèrent s'assoir sur un banc. Commençant à manger, le maitre regardait en même temps sa fraiche acquisition qui lui plaisait bien au final. Son regard tourné vers elle ne lui échappa nullement c'est pourquoi elle lui demanda ce qu'il y avait. Fuubuki donna une petite tape sur sa tête, rien de méchant, en répondant:

"Mêle toi de ce qui te regarde et mange plus vite que ça."

Pas pousser grand-mère dans les orties non plus. Il lui donnait à manger et était déjà assez patient de l'attendre ainsi, non elle allait pas non plus commencer à poser des questions! Lorsqu'il voyait ces maitres qui discutaient de tout et de rien avec leurs esclaves, il sentait un dégout monter en lui. Les valeurs de la société s'estompaient, il y avait toujours des gens gentils pour tout briser. Un esclave est fait pour servir, pas pour être notre ami, c'était pourtant bien clair depuis le départ! Jetant un nouveau coup d'oeil à Kiara, l'ainoko vit qu'elle n'avait même pas atteint la moitié. Il posa alors la main sur le sandwich et le poussa violemment dans sa bouche, avant de se lever.

"Prend les sacs, on y va."

Sans laisser le temps à Kiara de faire réellement quoique ce soit, Fuubuki était déjà parti. L'esclave devait tenir d'une main le sandwich entamé et de l'autre les trois sacs contenant des vêtements. Finalement, Fuubuki avait décidé de rentrer. Toutes ces personnes, ce soleil tapant, il détestait tout ça même si au départ il avait voulu faire un effort pour montrer certains lieux à Kiara. Ah enfin, à quoi bon montrer des choses à une esclave? Il se demandait d'où lui venait ces pensées digne... des êtres bénéfiques comme ces fichus Yume qu'il ne supportait d'ailleurs pas du tout. Les deux se dirigeaient vers la sortie du centre-commercial, de nouveau vers la grande place où ils bifurqueraient à droite pour prendre plusieurs successions d'avenues et enfin tomber sur son manoir entouré d'un grillage, de quoi dissuader les gens d'essayer d'y entrer par effraction. Lorsque les portes furent passées, Fuubuki se tourna vers Kiara et lui expliqua:

"Finalement on rentre. Tu poseras tes affaires dans le coin qui te sera désigner, puis tu pourras commencer à travailler, bon programme n'est-ce pas?"

Et il avait bien fait exprès de montrer, qu'il n'y aurait pas de repos pour elle, qu'elle serait exténuée à la fin de la journée éprouvante et qu'elle sera ainsi bien calme le soir.
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La jeune femme admirait avec surprise la beauté retrouvée de sa robe qu’elle avait acheté après quelques mois d’économies et ne pouvait croire que son maire lui faisait un tel cadeau en la réparant, c’était pourquoi elle n’avait pu s’empêcher de lui demander pourquoi il avait fait cela pour elle. Avant de lui répondre, l’ainoko soupira et lui dit sur un ton de nouveau hautain et supérieur qu’il n’avait en aucun fait cela pour elle mais pour son image et que sa robe était juste un moyen de faire des économies… IL ne fallait pas s’attendre à un geste de sa part de toute manière… Kiara aurait du s’en douter… La jeune esclave ne réagit pas et regarda encore un peu sa robe avant de la ranger dans son sac et de se rhabiller comme il venait de lui ordonner.

Plus elle passait de temps avec son maitre, plus elle se rendait compte qu’il était absolument instable. A chaque seconde, il changeait d’attitude envers son esclave, ce qui fait que cela le rendait totalement imprévisible et la jeune femme aurait certainement énormément de mal à le cerner et à essayer de le manipuler… Une fois habillée, il l’emmena acheter un sandwich et tous deus s’assirent sur un banc. Le fait de manger fit énormément de bien à la jeune femme qui sentait déjà que les fatigue commençait peu à peu à s’effacer bien qu’elle soit toujours présente évidemment… Alors que tous deux mangeaient leur sandwich a des vitesses racialement différentes, elle sentait le regard de son maitre sur elle et lui demanda ce qu’il avait. Elle eut d’abord pour réponse une tape derrière la tête puis un « même toi de ce qui te regarde et mange plus vite que ça »… Il semblerait qu’il ai retrouve son mauvais caractère en l’espace de quelques secondes une nouvelle fois… Kiara soupira et se contenta de manger son sandwich en regardant autour d’elle. Il semblait que certains maitres traitaient leurs esclaves comme un ami… Ce n’était malheureusement pas le cas du sien qui mettait un point d’honneur a bien vouloir lui montrer qu’il était supérieur à elle…

Les deux jeunes gens continuèrent de manger en silence leur sandwich mais Kiara sentait toujours le regard de son maitre sur elle mais ne disait rien, comme il lui avait demandé de le faire en lui disant de se mêler de ce qui la regardait… Alors qu’elle atteignait à peine la moitié de son sandwich, Kiara remarqua que l’ainoko, lui avait déjà finit le sien et il lui montra son impatience en lui enfonçant sa moitié de sandwich dans la bouche. La jeune femme le retira rapidement sa bouche en suffoquant un peu et le regarda avec étonnement, celui-ci se leva sans un regard et lui dis de prendre les sacs. Kiara ne put que suivre le mouvement, prit en vitesse les sacs et de l’autre main tenait son sandwich.

Fuubuki entraina Kiara vers la sortie du centre commercial, la jeune femme essayait de manger son sandwich tout en marchant à sa vitesse mais elle avait du mal à suivre son rythme. Une fois sur la place qu’ils avaient traversé quelques dizaines de minutes plus tôt, ils bifurquèrent vers la droite pour ensuite traversé plusieurs avenues. La jeune femme se demandait ou il l’entrainait une fois de plus, il venait de lui dire qu’il n’avait pas envie de rentrer tout de suite mais pourtant, il lui semblait qu’ils se dirigeaient à présent vers l’endroit qu’il lui avait indiqué au loin quand ils étaient sur le pont… Enfin le sens de l’orientation de l’esclave n’était pas vraiment au point donc il ne serait pas étonnant qu’elle se trompe… Apres une quinzaine de minute de marche, ils arrivèrent devant ce qui semblait être un manoir de part sa taille et son architecture entouré d’un grand grillage qui dissuaderait les plus téméraires et agiles de vouloir s’infiltrer dans ces terres. Quand ils passèrent l’énorme portail de fer forgé, son maitre s’arrêta un instant, la jeune esclave avala une de ses dernières bouchées de sandwich en l’écoutant lui dire que finalement ils rentraient et qu’elle devrait déposer ses affaires puis commencer à travailler en tant qu’esclave. Kiara regarda avec de grands yeux le manoir… Il n’était quand même pas…à lui ?

-Ce manoir est…à toi ? Et qu’est ce que je suis censée faire comme travail ? Je ne suis quand même pas toute seule dans cet énorme manoir quand même !?!

En étant esclave ici, elle supposait qu’il faudrait qu’elle fasse les taches ménagères…. Si elle devait faire le ménage, seule, là dedans, ca lui prendrait le reste de sa vie ! Fubuuki se dirigea alors vers l’entrée du manoir par un chemin de dalles arrivant sur un escalier montant à la grande porte. On pouvait dire que les terres autour du manoir semblaient être impeccablement entretenues, aucun brin d’herbe ne semblait dépasser les autres.
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