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Kagen, lieu de plaisir et de luxure, quartier particulièrement dangereux de nuit, voilà où se déroule la scène qui va avoir lieu. Un homme aux ailes de papillon sortait d'une maison close avec un sourire satisfait sur le visage, laissant deviner le bon temps qu'il venait de passer avec une esclave ou autre présente. Vivant dans l'insouciance d'être suivi, surveillé en permanence, l'inconnu bifurqua dans une ruelle sombre, sans se douter que bientôt, sa vie ne serait que souvenir du passé. La lune était haute dans le ciel, de plus, elle était pleine, ce qui ne présageait rien de bon. Une légende urbaine disait que les jours de pleine lune étaient les plus dangereuses à cause d'un mystérieux chanteur qui apportait la mort aux imprudents. Et ce type était un imprudent, de plus, il était une cible de la famille Kakon, ce qui doublait ses chances de ne pas revoir le lever du soleil.
Soudain, dans un coin encore moins éclairé que les autres, une douce voix s'éleva, une mélodie chantée avec un air mélancolique, presque triste, qui contrastait avec les paroles crues et effrayantes.
"Laisse moi te briser les os,
déchirer ta peau.
Laisse moi sucer ton sang
et réduire à néant,
Ta vie de misérable.
Ta mort m'indiffère,
Tu seras le témoin exécrable,
De la chaleur des flammes de l'enfer!"
Jallissant de l'ombre, une forme fantomatique dont on distinguait l'habit blanc neige et les yeux rouges de démon, se jeta sur l'homme papillon n'eut le temps de se défendre et se vit jeter à terre. Le fantôme blanc le regardait avec un sourire dément et lui saisit une aile avec brutalité. Le sourire blanc s'élargit alors qu'il tirait violemment dessus, déchirant la membrane fine et sa bouche s'ouvrit à nouveau pour entamer un nouveau chant:
"Saleté de la famille Hikari,
Tu vas mourir ici,
Car ainsi a t-il décidé,
ce destin qui t'es lié,
Et plus tu te débattras,
plus mon âme de joie s'emplira!"
Un cri strident brisa la paisible nuit, mêlant souffrance et désespoir, une mélopée mélodieuse aux oreilles du chanteur du crépuscule. Dans sa main, un bras inerte séparé de son corps et dans l'autre, une partie de l'aile du malheureux. Fuubuki éclata de rire en le montrant du doigt, cet être misérable qui tremblait devant lui, les larmes de douleur et de rage dans ses yeux haineux. D'une voix douce, le chanteur reprit en parlant:
"Ce soir est le dernier,
Ne cherche pas à lutter,
Maintenant dit au revoir,
A cette existence qui est tienne,
Tu n'as hélas pas le pouvoir,
D'échapper à mes ailes!"
Deux grands battants noirs entourèrent le membre de la famille Hikari, cachant de la vue d'un quelconque témoin l'atrocité de ce qui se passait. A nouveau un cri déchirant retentit, puis le calme tomba sur la rue. Fuubuki replia ses ailes noires de corbeau, léchant le sang qui coulait de sa main, avec un grand sourire de satisfaction. Il murmura alors avec un regard méprisant dirigé vers le corps:
"J'espère que tu as aimé la douleur sale vermine."
Soudain, un bruit étranger à la situation attira l'attention de Fuubuki. Il se tourna dans tous les sens, tout son être aux aguets. D'une voix chantante, il lança gaiement:
"Montre toi, inconnu qui te cache dans les parages, je ne vais pas te faire de mal... du moins, je ne pense pas..."
Soudain, dans un coin encore moins éclairé que les autres, une douce voix s'éleva, une mélodie chantée avec un air mélancolique, presque triste, qui contrastait avec les paroles crues et effrayantes.
"Laisse moi te briser les os,
déchirer ta peau.
Laisse moi sucer ton sang
et réduire à néant,
Ta vie de misérable.
Ta mort m'indiffère,
Tu seras le témoin exécrable,
De la chaleur des flammes de l'enfer!"
Jallissant de l'ombre, une forme fantomatique dont on distinguait l'habit blanc neige et les yeux rouges de démon, se jeta sur l'homme papillon n'eut le temps de se défendre et se vit jeter à terre. Le fantôme blanc le regardait avec un sourire dément et lui saisit une aile avec brutalité. Le sourire blanc s'élargit alors qu'il tirait violemment dessus, déchirant la membrane fine et sa bouche s'ouvrit à nouveau pour entamer un nouveau chant:
"Saleté de la famille Hikari,
Tu vas mourir ici,
Car ainsi a t-il décidé,
ce destin qui t'es lié,
Et plus tu te débattras,
plus mon âme de joie s'emplira!"
Un cri strident brisa la paisible nuit, mêlant souffrance et désespoir, une mélopée mélodieuse aux oreilles du chanteur du crépuscule. Dans sa main, un bras inerte séparé de son corps et dans l'autre, une partie de l'aile du malheureux. Fuubuki éclata de rire en le montrant du doigt, cet être misérable qui tremblait devant lui, les larmes de douleur et de rage dans ses yeux haineux. D'une voix douce, le chanteur reprit en parlant:
"Ce soir est le dernier,
Ne cherche pas à lutter,
Maintenant dit au revoir,
A cette existence qui est tienne,
Tu n'as hélas pas le pouvoir,
D'échapper à mes ailes!"
Deux grands battants noirs entourèrent le membre de la famille Hikari, cachant de la vue d'un quelconque témoin l'atrocité de ce qui se passait. A nouveau un cri déchirant retentit, puis le calme tomba sur la rue. Fuubuki replia ses ailes noires de corbeau, léchant le sang qui coulait de sa main, avec un grand sourire de satisfaction. Il murmura alors avec un regard méprisant dirigé vers le corps:
"J'espère que tu as aimé la douleur sale vermine."
Soudain, un bruit étranger à la situation attira l'attention de Fuubuki. Il se tourna dans tous les sens, tout son être aux aguets. D'une voix chantante, il lança gaiement:
"Montre toi, inconnu qui te cache dans les parages, je ne vais pas te faire de mal... du moins, je ne pense pas..."
Dernière édition par Fuubuki le Dim 31 Aoû - 5:06, édité 1 fois
Invité
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La jeune femme en avait marre, non pas que sa maîtresse ne lui plaisait pas au contraire elle ne lui plaisait que trop, il ne fallait pas qu’elle reste avec elle.. Enfin si elle en avait bien envie, mais elle avait quelque chose qu’elle devait récupérer quelque chose de très important et elle le ferais seule, comme toujours… Bon première chose faire le mur.. Problème ces vêtement, un robe tunique japonaise assez court et des sous –vêtements pas très couvrant… Un string et un sous –tiens gorge d’un blanc étincelant… Un instant elle chercha des bas opaque , qu’elle fini par trouve,r un paire de soulier a talon plat, bon elle est prêts… Bien que la robe bleu et argent aurais put être plus longue…
Bon la maîtresse est partie quelque par.. Elle ne sait pas trop ou.. Les porte son fermée, mais pas les fenêtre… Elle devrait pouvoir sortir par la… Même si elle se trouve au troisième étage.. Ouvrire la fenêtre.. Et regarder en bas.. En douceur se suspendre a la fenêtre et ce laisser tomber.. Quand elle atterris elle sent les os de ces jambes craquer… Un gémissement de douleur lui échappe… Mais elle ne pleure pas, elle remets simplement les os en place, toujours en se mordant les lèvres.. Quelque minute plus tard ces os s’on ressouder ces blessures disparues…
Enlever la poussières sur ces vêtements, et se mettre a sourire, elle a cacher quelque chose dans son ancienne maison, il faut qu’elle le retrouve, il le faut absolument qu’elle le trouve ce collier, le seul lien avec son ancienne vie… Courir a travers les ruelles et éviter les gens, son agilité de lézard, lui permet d’aller ou elle veut ou presque, sa souplesse de danseuse de passer les mur…
Enfin elle a trouver ce qu’elle cherchait… Un instant elle contemple le collier avant de le passer, un simple petit médaille en forme de lézard.. avec son nom.. Bon il faut qu’elle reparte.. Et qu’elle rentre chez elle… Chez elle mais oui c’est cela, un jours elle sera totalement libre et elle pourra vivre vraiment avec sa maîtresse..
Courir encore dans les ruelles et se perdre.. Bruit de meurtre, elle se raidit légèrement, quelque chose d’étrange se passe dans ces ruelles, et la curiosité… La jeune femme jettes un coup d’œil, un Kakon, un ange noir comme elle les appelait a cause de leur ailes.. Etrange chanson qu’il chantait, d’après le sang qu’elle voyait couler il venait de tuer quelqu’un… Une fée c’est bête de tuer les fée, les fée ça donne des belle chose… et puis ca se mange… Mince fichu instinct, la langue bifide de la jeune femme sortit un instant de sa bouche, comme si elle cherchait a attraper quelque chose…
Un mouvement et elle marche sur un canettes, mince elle sera repérée.. La jeune femme pense un instant a fuir.. Mais a quoi bon… D’un mouvement souple elle sort de sa cachette.. Son regard vert, se voulant sur mais elle n’était qu’effrayée, déjà le sang elle aime pas trop… Un instant elle croisa le regard du jeune home, posant un main sur son cœur… Sans pouvoir s’en empêcher… Elle lâcha un mots de sa voie un peu timide…
« J’ai pas envie d’obéir a un pas des couille…»
La jeune femme eu un sourire , montrant un assurance qu’elle n’avait pas, alors qu’elle tirait la langue a l’homme, cette langue bifide comme celle des serpents… Avant de s’enfuir… Elle vas se remettre a courir la gamine… Oui.. Yui n'avait pas vraiment le sens des mesures...
Invité
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Après un assassinat dans une gaieté inquiétante, Fuubuki s'était retourné pour voir d'où venait un bruit suspect qui indiquait la présence d'une autre personne qui s'enfuirait si elle mesurait tout le danger de rester là à le regarder. Bientôt, il put distinguer une forme qui ne chercha pas à se cacher. Ses yeux rouges sondaient l'obscurité pour essayer de la voir clairement, et un sourire mauvais étira ses lèvres. Sa voix s'éleva, toujours cette même voix, beaucoup trop belle pour un être aussi abject.
"Une ainoko en émoi,
Un coeur fou de joie.
Laisse moi honorer ta beauté,
dans ce coin reculé.
Sous cette lune argenté,
Offre moi ce corps,
que je puisse m'amuser,
avec un joli trésor!"
Malheureusementl demoiselle semblait être sure d'elle, du moins, elle en donnait l'impression, campant sur ses positions, le défiant de son regard insolant. Sa voix timide indiqua pourtant qu'elle n'était pas aussi sure d'elle. A l'écoute de l'inconnue, Fuubuki éclata de rire, un rire fou, une folie illustrée par toute sa personne. Léchant à nouveau sa main pour sentir ce doux parfum de sang frais sur sa langue, le jeune homme s'avança lentement en chantonnant gaiement:
"Tu oses m'insulter,
Toi dont le destin est lié,
A celui de quelque maître ou maitresse?
Tu joues la tigresse,
Mais tu n'es rien,
Même pas au niveau d'un chien!
Je vais t'apprendre ta place,
et punir ton audace!"
Une langue de serpent fut tirée vers lui, ce qui amusa d'autant plus le membre de la famille Kakon qui prenait un malin plaisir à la voir résister ainsi au lieu de déguerpir ou bien de s'effondrer en pleurant. Les jeunes demoiselles avec du caractère, il les récompensait en les faisant souffrir le plus possible. A mi-chemin, l'ainoko disparut de la vision de l'inconnue. Il s'était à nouveau plongé dans le réseau d'ombres qui s'étendait partout sur la rue, lui permettant de surgir là où il voulait. A cela, s'ajoutait une vitesse surhumaine qui lui permettait d'atteindre ses proies avec rapidité et efficacité, particulièrement utile pour les assassinats.
Mais cette fois-ci, sa proie était une ainoko asservie, probablement sans défense, et elle allait subir de très bonne chose... Deux mains pâles sortirent du sol et aggripèrent les chevilles de Yui. Il tira sur ses bras pour sortir son corps au fur à mesure. Son buste était déjà à moitié hors du sol et son regard rouge était planté sur le visage de la femme-lézard.
"Fuu, fuu, fuu, un diner apétissant, après un petit travail... Sois coopérative et tu ne souffiras... pas trop."
"Une ainoko en émoi,
Un coeur fou de joie.
Laisse moi honorer ta beauté,
dans ce coin reculé.
Sous cette lune argenté,
Offre moi ce corps,
que je puisse m'amuser,
avec un joli trésor!"
Malheureusementl demoiselle semblait être sure d'elle, du moins, elle en donnait l'impression, campant sur ses positions, le défiant de son regard insolant. Sa voix timide indiqua pourtant qu'elle n'était pas aussi sure d'elle. A l'écoute de l'inconnue, Fuubuki éclata de rire, un rire fou, une folie illustrée par toute sa personne. Léchant à nouveau sa main pour sentir ce doux parfum de sang frais sur sa langue, le jeune homme s'avança lentement en chantonnant gaiement:
"Tu oses m'insulter,
Toi dont le destin est lié,
A celui de quelque maître ou maitresse?
Tu joues la tigresse,
Mais tu n'es rien,
Même pas au niveau d'un chien!
Je vais t'apprendre ta place,
et punir ton audace!"
Une langue de serpent fut tirée vers lui, ce qui amusa d'autant plus le membre de la famille Kakon qui prenait un malin plaisir à la voir résister ainsi au lieu de déguerpir ou bien de s'effondrer en pleurant. Les jeunes demoiselles avec du caractère, il les récompensait en les faisant souffrir le plus possible. A mi-chemin, l'ainoko disparut de la vision de l'inconnue. Il s'était à nouveau plongé dans le réseau d'ombres qui s'étendait partout sur la rue, lui permettant de surgir là où il voulait. A cela, s'ajoutait une vitesse surhumaine qui lui permettait d'atteindre ses proies avec rapidité et efficacité, particulièrement utile pour les assassinats.
Mais cette fois-ci, sa proie était une ainoko asservie, probablement sans défense, et elle allait subir de très bonne chose... Deux mains pâles sortirent du sol et aggripèrent les chevilles de Yui. Il tira sur ses bras pour sortir son corps au fur à mesure. Son buste était déjà à moitié hors du sol et son regard rouge était planté sur le visage de la femme-lézard.
"Fuu, fuu, fuu, un diner apétissant, après un petit travail... Sois coopérative et tu ne souffiras... pas trop."
Invité
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Etrange voie que l’on aurais put écouter des heures si elle ne disait pas se genre de chose… Honoré sa beauté, mais il ne l’avait pas regarder, elle n’était pas belle, trop fine, trop mince… Lui offrire son corps, mais enfin il la prenait pour quoi, ou pour qui elle n’était pas un pute qui passe de droite a gauche, et puis les homme ne lui plaisait pas.. Mais alors la pas du tout…
Oula le rire qui tue quand même, un chose est certaine dans l’esprit de la jeune femme, cette homme est fou, complètement fou, mais il ne faut pas qu’elle aille peur, la peur ça fait tourner la tête des fous, ça leur donne envie de donner la chasse… Beurk du sang c’est pas terrible comme goût, enfin c’est a voir le sang de qui et de quoi des fois cela allait.. Personnellement elle n’aimait pas trop la viande grillée, la préférant bien saignante, mais le sang des autre hybride jamais elle n’y avait gouter…
Il faut reculer le plus vite possible, si elle se laisse avoir par cet homme elle mal très mal…. D’un mouvement redresser la tête, non elle n’appartenait a personne elle était libre malgré ces chaînes, c’est lui qui était plus liée qu’elle, a une famille a un devoir… Tout le monde porte des chaîne de soie ou autre, mais des chaînes quand même…. Un chien bien sur que non elle n’était pas un chien, mais un simple lezard qui se glissait partout sans qu’on ne le remarque… La punir, seule celle a qui elle appartenait avait le droit de la punir…
Mince ou est passer cet idiot, la jeune femme laisse tous ces sens scruter l’ombre, elle ne savait plus ou elle était, elle ne savait même plus ce qu’elle pouvait faire… Des mains sur ces chevilles la jeune femme poussa un cris de surprise, cherchant a s’en aller… Non vraiment cet homme est moche.. La panique s’empara de la jeune femme, et sans qu’elle ne réfléchisse elle recula, ces cheville prise dans la poigne d’acier la fire tomber, sur les fesse, offrant a l’homme une vision du string qui couvrait les endroit secret de son corps… Cet endroit qu’aucun homme n’avait jamais toucher…
Il faut qu’elle recule, la jeune femme se débattait comme un beau diable dans sous la poigne de l’homme, doucement se redresse, chercher a le frapper, il faut qu’elle fuie, mais la jeune femme était silencieuse, pas un bruit ne sortait de sa bouche.. Les ongle de la jeune femme cherchait a faire lâcher les poignet mais oui c’est cela elle vas coopérer, elle veut juste fuir rien d’autre.. Il la prend pour quoi un paillasson qui reste sans rien faire…
Mais dans qu’elle merde elle s’est encore mise..
Oula le rire qui tue quand même, un chose est certaine dans l’esprit de la jeune femme, cette homme est fou, complètement fou, mais il ne faut pas qu’elle aille peur, la peur ça fait tourner la tête des fous, ça leur donne envie de donner la chasse… Beurk du sang c’est pas terrible comme goût, enfin c’est a voir le sang de qui et de quoi des fois cela allait.. Personnellement elle n’aimait pas trop la viande grillée, la préférant bien saignante, mais le sang des autre hybride jamais elle n’y avait gouter…
Il faut reculer le plus vite possible, si elle se laisse avoir par cet homme elle mal très mal…. D’un mouvement redresser la tête, non elle n’appartenait a personne elle était libre malgré ces chaînes, c’est lui qui était plus liée qu’elle, a une famille a un devoir… Tout le monde porte des chaîne de soie ou autre, mais des chaînes quand même…. Un chien bien sur que non elle n’était pas un chien, mais un simple lezard qui se glissait partout sans qu’on ne le remarque… La punir, seule celle a qui elle appartenait avait le droit de la punir…
Mince ou est passer cet idiot, la jeune femme laisse tous ces sens scruter l’ombre, elle ne savait plus ou elle était, elle ne savait même plus ce qu’elle pouvait faire… Des mains sur ces chevilles la jeune femme poussa un cris de surprise, cherchant a s’en aller… Non vraiment cet homme est moche.. La panique s’empara de la jeune femme, et sans qu’elle ne réfléchisse elle recula, ces cheville prise dans la poigne d’acier la fire tomber, sur les fesse, offrant a l’homme une vision du string qui couvrait les endroit secret de son corps… Cet endroit qu’aucun homme n’avait jamais toucher…
Il faut qu’elle recule, la jeune femme se débattait comme un beau diable dans sous la poigne de l’homme, doucement se redresse, chercher a le frapper, il faut qu’elle fuie, mais la jeune femme était silencieuse, pas un bruit ne sortait de sa bouche.. Les ongle de la jeune femme cherchait a faire lâcher les poignet mais oui c’est cela elle vas coopérer, elle veut juste fuir rien d’autre.. Il la prend pour quoi un paillasson qui reste sans rien faire…
Mais dans qu’elle merde elle s’est encore mise..
Invité
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Contre toute attente, Fuubuki se retrouvait devant une femme lézard, qui avait assisté à son acte héroïque. Ne pouvant la laisser partir ainsi, puisqu'elle avait été témoin de quelque chose dont elle n'aurait pas du être témoin, le jeune ainoko avait entamé de nouveaux vers, expliquant son envie de l'utiliser comme un vulgaire objet, de se servir de ce corps pour assouvir des pulsions naturelles. La jeune femme ne se laissa pas faire, lui lançant des paroles peu convainquantes. Elle ne semblait même pas sure de ce qu'elle avançait, ce qui montrait la faiblesse de sa personne. Bien vite, le jeune maitre s'était fondu dans son élément de prédilection, à l'abri de tous les regards se dirigeant vers la nouvelle victime qui allait avoir une toute autre sensation que la précédente. Douleur et souffrance étaient tout de même au programme, Fuubuki avait l'âme sanguinaire ce soir là et voulait voir du sang couler, beaucoup de sang. L'autre ne lui avait pas suffit, même si le liquide rouge avait un gout merveilleux. La chair fraiche l'appelait et il répondait à l'appel.
Sortant de l'ombre sous les pieds de l'esclave, le chanteur du crépuscule lui avait saisit les chevilles. La jeune femme s'était légèrement reculée et tomba sur les fesses en dévoilant un sous-vêtement plutôt coquin, aux yeux rouges du démon. La demoiselle se débattit comme une diablesse, mais la force du Kakon était démesurée comparée à la sienne. Ne semblant absolument vouloir lui obéir, Yui continua son manège qui faisait de plus en plus rire l'ainnoko. Le jeune homme s'était entièrement extirpé de l'ombre et était maintenant à quatre pattes comme un prédateur. Ses grands ailes noires s'ouvrirent et il poussa un grand soupir de soulagement. Les tenir fermer trop longtemps lui déplaisait beaucoup. Il voulait sentir la liberté et non la charogne trop renfermée.
Se jetant sur l'esclave comme un démon ailé, Fuubuki commença à se saisir de ses vêtements, tirant fort dessus pour les déchirer et dévoiler la peau fraiche de la demoiselle à ses yeux. Il avait envie de tout ce corps qui semblait tellement fragile, il voulait voir ce visage résistant céder à ses caprices. Un gros trou au niveau de sa poitrine laissait maintenant voir son soutien-gorge blanc. Sans patienter un seul instant, les mains du Kakon se jetèrent sur la poitrine de la belle, arrachant également le sous-vêtement, pour se saisir de ses seins à l'air libre. Une si belle chair, il pourrait la dévorer tout cru, cela ne lui déplairait absolument pas. Mais il avait en tête d'autres motivations, le repas, il y songerait après. Le chanteur se mit à fredonner un air joyeux, alors qu'il essayait de déchirer d'avantage, et mettre à nu la femme lézard qui lui était offerte par une divinité quelconque.
Sortant de l'ombre sous les pieds de l'esclave, le chanteur du crépuscule lui avait saisit les chevilles. La jeune femme s'était légèrement reculée et tomba sur les fesses en dévoilant un sous-vêtement plutôt coquin, aux yeux rouges du démon. La demoiselle se débattit comme une diablesse, mais la force du Kakon était démesurée comparée à la sienne. Ne semblant absolument vouloir lui obéir, Yui continua son manège qui faisait de plus en plus rire l'ainnoko. Le jeune homme s'était entièrement extirpé de l'ombre et était maintenant à quatre pattes comme un prédateur. Ses grands ailes noires s'ouvrirent et il poussa un grand soupir de soulagement. Les tenir fermer trop longtemps lui déplaisait beaucoup. Il voulait sentir la liberté et non la charogne trop renfermée.
Se jetant sur l'esclave comme un démon ailé, Fuubuki commença à se saisir de ses vêtements, tirant fort dessus pour les déchirer et dévoiler la peau fraiche de la demoiselle à ses yeux. Il avait envie de tout ce corps qui semblait tellement fragile, il voulait voir ce visage résistant céder à ses caprices. Un gros trou au niveau de sa poitrine laissait maintenant voir son soutien-gorge blanc. Sans patienter un seul instant, les mains du Kakon se jetèrent sur la poitrine de la belle, arrachant également le sous-vêtement, pour se saisir de ses seins à l'air libre. Une si belle chair, il pourrait la dévorer tout cru, cela ne lui déplairait absolument pas. Mais il avait en tête d'autres motivations, le repas, il y songerait après. Le chanteur se mit à fredonner un air joyeux, alors qu'il essayait de déchirer d'avantage, et mettre à nu la femme lézard qui lui était offerte par une divinité quelconque.
Invité
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La jeune femme avait un pouvoir assez pratique, elle pouvait soigner ces blessures c’est pour cela qu’elle avait un corps parfait, un corps souple… C’est pour cela qu’on ne voyait pas de blessures sur son corps, une fois elle s’était coupée un doigts, le temps qu’elle préviennes quelqu’un son doigts avait repousser, bien sur elle avait put tenter d’autre chose mais cela lui faisait un mal de chien a chaque fois.. Alors fallait mieux ne plus le faire, de toute façon elle savait maintenant qu’elle était ces limites tant qu’on ne touchait pas a sa colonnes vertébral ni a son cerveau tout allait bien… Oui parce que sinon elle ne pourrais plus reprendre forme.. Et cela l’ennuierais vraiment, comme on le dit un lézard a plusieurs vie mais faut pas pousser non plus, elle n’est pas immortelle… Pas plus que les autres…
Mon dieu que cette homme était fort elle n’avait aucune chance de se sortir de ces griffes, elle aurais du se laisser faire, peut être que cela sera moine douloureux… Moui mais malgré sa douceur, elle n’aimait pas qu’on la touche sans qu’elle n’en donne la permission et la seule personne qui avait le droit a son corps c’était sa maîtresse et personne d’autre…
Disons que c’est assez effrayant de voir l’homme sortir de l’ombre…. Elle ne supportait pas plus le rire qui semblait secouer l’homme, elle ne voulait pas qu’il la touche c’est tout… Quand les ailes de l’homme s’ouvrire la jeune femme frissonna un peu plus cela lui donnait un impression d’oppression comme si le malheur allait s’abattre sur elle…
Un cris quand il lui sauta dessus, un cris qui se répétait dans le silence de la ruelles… Ces vêtements ne tenait pas le coup, et pourtant la jeune femme ne restait pas tranquille, sentant les larmes perler a ces paupières, son il ne faut pas pleure, surtout pas… Un cris alors qu’elle se cambre sous la main de l’homme… elle ne supportait pas de se savoir nue sur le regard de cette homme, il fallait qu’elle fuie…
Ces maisn lui faisait peur, trop masculine a son goût, elle préférais de loin les belle main finie de sa maîtresse…
La robe de la jeune femme n’était pas vraiment du solide, et sous les mouvement de l’homme, elle se déchira assez vite… Pourtant elle ne cessait de se débattre, de pousser l’homme de ces mains, elle savait a qu’a présent l’homme pouvait voir son corps, si elle ressemblait a une humain, son ventre ces seins même était couvert d’une fini couche d’écailles sensible, un peu plus que celle de la peau, et surtout plus douloureuse, un fois elle s’en était arracher un du dos elle avait crus mourir… Il ne fallait pas qu’elle reste, le regard de l’homme lui faisait peur, comme ces mains…
D’un mouvement brusque la main droite de la jeune femme viens frapper la joue de l’homme, les ongles en avant comme les griffes d’un chat labourant la joue de l’homme, c’est qu’elle avait les ongles long la jeune damoiselle, c’est qu’elle les avait long et dure les ongles la damoiselles… Oui elle était du genre a se débattre plus par peur que par rebellions d’ailleurs.. Plus que des cris a présent c’était des sifflements de peur qu’elle poussait elle voulait qu’il la lâche, le corps de l’homme était trop prés du siens, et ces jambes dans ces mouvement fou venait de frôler sans cesse le bas ventre de l’homme…
Mon dieu que cette homme était fort elle n’avait aucune chance de se sortir de ces griffes, elle aurais du se laisser faire, peut être que cela sera moine douloureux… Moui mais malgré sa douceur, elle n’aimait pas qu’on la touche sans qu’elle n’en donne la permission et la seule personne qui avait le droit a son corps c’était sa maîtresse et personne d’autre…
Disons que c’est assez effrayant de voir l’homme sortir de l’ombre…. Elle ne supportait pas plus le rire qui semblait secouer l’homme, elle ne voulait pas qu’il la touche c’est tout… Quand les ailes de l’homme s’ouvrire la jeune femme frissonna un peu plus cela lui donnait un impression d’oppression comme si le malheur allait s’abattre sur elle…
Un cris quand il lui sauta dessus, un cris qui se répétait dans le silence de la ruelles… Ces vêtements ne tenait pas le coup, et pourtant la jeune femme ne restait pas tranquille, sentant les larmes perler a ces paupières, son il ne faut pas pleure, surtout pas… Un cris alors qu’elle se cambre sous la main de l’homme… elle ne supportait pas de se savoir nue sur le regard de cette homme, il fallait qu’elle fuie…
Ces maisn lui faisait peur, trop masculine a son goût, elle préférais de loin les belle main finie de sa maîtresse…
La robe de la jeune femme n’était pas vraiment du solide, et sous les mouvement de l’homme, elle se déchira assez vite… Pourtant elle ne cessait de se débattre, de pousser l’homme de ces mains, elle savait a qu’a présent l’homme pouvait voir son corps, si elle ressemblait a une humain, son ventre ces seins même était couvert d’une fini couche d’écailles sensible, un peu plus que celle de la peau, et surtout plus douloureuse, un fois elle s’en était arracher un du dos elle avait crus mourir… Il ne fallait pas qu’elle reste, le regard de l’homme lui faisait peur, comme ces mains…
D’un mouvement brusque la main droite de la jeune femme viens frapper la joue de l’homme, les ongles en avant comme les griffes d’un chat labourant la joue de l’homme, c’est qu’elle avait les ongles long la jeune damoiselle, c’est qu’elle les avait long et dure les ongles la damoiselles… Oui elle était du genre a se débattre plus par peur que par rebellions d’ailleurs.. Plus que des cris a présent c’était des sifflements de peur qu’elle poussait elle voulait qu’il la lâche, le corps de l’homme était trop prés du siens, et ces jambes dans ces mouvement fou venait de frôler sans cesse le bas ventre de l’homme…
Invité
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Un personnage horrible était en train d'agresser une demoiselle dans une rue sombre du quartier chaud de l'ile. Un regard rouge comme la braise, une poigne aussi dure que le granit, le jeune ainoko avait réussi à stopper l'avancée de l'esclave et s'était jeté sur elle en entamant un déhabillement peu habile, ponctué de bruit de déchirement de tissu qui jonchaient maintenant les dalles de la rue. Se débatant comme une force née, Yui ne parvenait pas à repousser les assauts répétés du Kakon qui était bien décidé à obtenir ce qu'il voulait. Chantonnant gaiement, il avait vite fait de mettre la demoiselle à moitié à nue, sans qu'elle ne puisse rien faire.
Soudain, une main s'abattit sur sa joue et une douleur cuisante se fit ressentir. L'ainoko, la main sur les seins de la femme-lézard, porta ses doigts à sa joue, sentant un liquide chaud couler le long de celle-ci. Lorsqu'il porta ses doigts dans son champ de vision, un sourire irresistible élargi encore plus ses lèvres et il éclata de rire en regardant de ses yeux de fou, Yui, l'esclave qui avait porté la main sur lui. Sa main remonta vers son front et il se pencha en arrière en riant de plus belle, et se repencha subitement vers la jeune femme, le visage à quelques centimètres du sien.
"Laisse moi te briser les os,
déchirer ta peau.
Laisse moi sucer ton sang
et réduire à néant,
Ta vie de misérable.
Ta mort m'indiffère,
Tu seras le témoin exécrable,
De la chaleur des flammes de l'enfer!"
A nouveau, la chanson retentit et avait d'autant plus d'impact que cette fois, il semblait réellement fou. La main de l'ainoko s'abattit à plusieurs reprises sur les joues de l'esclave, puis saisit à nouveau son sein recouvert de fines écailles. Son autre main descendit plus bas et remonta l'habit pour pouvoir toucher sans gène le string, appuyant légèrement vers le milieu pour imprimer la forme de la fente sur le sous-vêtement. Sa main s'agita d'avantage, sentant ses doigts se mouiller légèrement en même temps que le string qu'il finit par arracher comme précédemment. Maintenant, son habit ne ressemblait plus à rien, troué et déchiré un peu partout, Yui n'était plus tellement présentable. L'ainoko continuait à régulièrement lui envoyer des gifles, lui mordant en même temps le téton, il utilisait ce corps comme un simple objet, un jouet qui lui était offert par une divinité et cela lui plaisait.
"Ce corps qui est tien, maintenant est entièrement mien. Je l'utiliserai jusqu'à épuisement, jusqu'à évanouissement, et tu vas apprendre ce qu'il en coute, de porter ta main sale d'esclave...Sur la joue d'un maitre à la voix suave!"
Soudain, une main s'abattit sur sa joue et une douleur cuisante se fit ressentir. L'ainoko, la main sur les seins de la femme-lézard, porta ses doigts à sa joue, sentant un liquide chaud couler le long de celle-ci. Lorsqu'il porta ses doigts dans son champ de vision, un sourire irresistible élargi encore plus ses lèvres et il éclata de rire en regardant de ses yeux de fou, Yui, l'esclave qui avait porté la main sur lui. Sa main remonta vers son front et il se pencha en arrière en riant de plus belle, et se repencha subitement vers la jeune femme, le visage à quelques centimètres du sien.
"Laisse moi te briser les os,
déchirer ta peau.
Laisse moi sucer ton sang
et réduire à néant,
Ta vie de misérable.
Ta mort m'indiffère,
Tu seras le témoin exécrable,
De la chaleur des flammes de l'enfer!"
A nouveau, la chanson retentit et avait d'autant plus d'impact que cette fois, il semblait réellement fou. La main de l'ainoko s'abattit à plusieurs reprises sur les joues de l'esclave, puis saisit à nouveau son sein recouvert de fines écailles. Son autre main descendit plus bas et remonta l'habit pour pouvoir toucher sans gène le string, appuyant légèrement vers le milieu pour imprimer la forme de la fente sur le sous-vêtement. Sa main s'agita d'avantage, sentant ses doigts se mouiller légèrement en même temps que le string qu'il finit par arracher comme précédemment. Maintenant, son habit ne ressemblait plus à rien, troué et déchiré un peu partout, Yui n'était plus tellement présentable. L'ainoko continuait à régulièrement lui envoyer des gifles, lui mordant en même temps le téton, il utilisait ce corps comme un simple objet, un jouet qui lui était offert par une divinité et cela lui plaisait.
"Ce corps qui est tien, maintenant est entièrement mien. Je l'utiliserai jusqu'à épuisement, jusqu'à évanouissement, et tu vas apprendre ce qu'il en coute, de porter ta main sale d'esclave...Sur la joue d'un maitre à la voix suave!"
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Dieu qu’elle pouvait ne pas aimer l’homme qui la dominait, qu’il la laisse partir, elle n’est pas un jouet en plastique que l’on peu manipuler, vingdiju elle a des sentiments et son corps souffre quand on l’écrase au sol…
C’est que ca fait peur… Très peur… Cette homme était complètement fou… Elle sentait le froid sur sa peau, et le rouge lui monter au joue, elle n’aimait pas que son corps soient exposer au yeux d’un étranger, elle n’aimait pas plus que ce même étranger, lui veuille du mal..
Oula le sourire qui la terrorise, il est fou cette fois c’est certain… Le souffle de la jeune femme se fit plus court et la peur avait prit totalement possession de son regard… Il était prés bien trop prés, et son regard rouge bien trop fou…. Lui briser les os qu’il le fasse, il se ressouderons, ça fait mal pourtant , déchirer sa peau, ça repoussera aussi… La réduire a néant se sera un peu plus ennuyeux… Mais oui c’est cela, si je ne te suis rien dégage…
La douleur brûlante quand la main s’abattit sur sa joue, des larmes qui coule sur ces joues… Non il ne faut pas qu’elle pleure… Mais il lui faisait mal, son corps se cambrait pour chercher a fuir.. Pour ne plus qu’il ne la touche, cette envie de hurler la douleur, mais elle n’est pas du genre a crier, elle ne dirais rien, jusque des grondement de douleur… Cette main sur son intimité, elle sentait son jardin secret qui mouillait doucement fichu corps qui réagis alors qu’elle ne voulait pas…
Un cris quand elle sentit son string se faire arracher , un cris encore quand elle sentit les dents de l’homme sur ces tétons.. La jeune femme ferma les yeux, cherchant encore a s’enfuir, elle ne vas pas supplier, sous les baffe, elle s’est mordue les lèvres qui saigne doucement…
« Non.. je vous appartiens pas… »
La jeune femme ne voulait pas lui appartenir… Sa voie avait été rauque, douloureuse, mais agressive aussi, il faut qu’elle fuie… Il faut qu’elle réfléchisse, mais comment faire…. Elle n’était pas une esclave, elle était libre, pensée qui ne l’arrange en rien… Doucement elle laissa son corps se détendre, ces mains retomber sur le sol, comme si elle ne voulait plus lutter, doucement laisser tomber la tête sur le coté, ces yeux a moitié fermer, les larmes coulant doucement sur ces joues…
Si il relâche son attention, elle fuiera….
C’est que ca fait peur… Très peur… Cette homme était complètement fou… Elle sentait le froid sur sa peau, et le rouge lui monter au joue, elle n’aimait pas que son corps soient exposer au yeux d’un étranger, elle n’aimait pas plus que ce même étranger, lui veuille du mal..
Oula le sourire qui la terrorise, il est fou cette fois c’est certain… Le souffle de la jeune femme se fit plus court et la peur avait prit totalement possession de son regard… Il était prés bien trop prés, et son regard rouge bien trop fou…. Lui briser les os qu’il le fasse, il se ressouderons, ça fait mal pourtant , déchirer sa peau, ça repoussera aussi… La réduire a néant se sera un peu plus ennuyeux… Mais oui c’est cela, si je ne te suis rien dégage…
La douleur brûlante quand la main s’abattit sur sa joue, des larmes qui coule sur ces joues… Non il ne faut pas qu’elle pleure… Mais il lui faisait mal, son corps se cambrait pour chercher a fuir.. Pour ne plus qu’il ne la touche, cette envie de hurler la douleur, mais elle n’est pas du genre a crier, elle ne dirais rien, jusque des grondement de douleur… Cette main sur son intimité, elle sentait son jardin secret qui mouillait doucement fichu corps qui réagis alors qu’elle ne voulait pas…
Un cris quand elle sentit son string se faire arracher , un cris encore quand elle sentit les dents de l’homme sur ces tétons.. La jeune femme ferma les yeux, cherchant encore a s’enfuir, elle ne vas pas supplier, sous les baffe, elle s’est mordue les lèvres qui saigne doucement…
« Non.. je vous appartiens pas… »
La jeune femme ne voulait pas lui appartenir… Sa voie avait été rauque, douloureuse, mais agressive aussi, il faut qu’elle fuie… Il faut qu’elle réfléchisse, mais comment faire…. Elle n’était pas une esclave, elle était libre, pensée qui ne l’arrange en rien… Doucement elle laissa son corps se détendre, ces mains retomber sur le sol, comme si elle ne voulait plus lutter, doucement laisser tomber la tête sur le coté, ces yeux a moitié fermer, les larmes coulant doucement sur ces joues…
Si il relâche son attention, elle fuiera….
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Au lieu de l'énerver d'avantage, les paroles de la demoiselle le faisait rire, toujours plus fort. Elle essayait de le repousser de tout son corps, ainsi qu'avec des mots, mais au final, il était beaucoup trop fort physiquement et peut-être mentalement pour elle. Lorsqu'il s'était fixé quelque chose, il devait l'accomplir à tout prix, les conséquences importaient fort peu au final. Le jeune ainoko regardait le corps qu'il approchait toujours d'avantage de la nudité, finissant d'arracher des lambeaux de tissu par-ci par là. Yui se trouva alors complètement nue de la tête aux pieds. Le regard rouge du démon parcourut tout son corps en se passant la langue sur ses lèvres fines. Ses mains tachées de sang avaient un peu sali la peau couverte de petites écailles de la jeune femme.
La gifle avait eu pour résultat de faire couler une larme de l'oeil de la victime, même si il était clair qu'elle essayait de retenir le plus possible ce genre de choses. La voir dans cet état excitait toujours d'avantage le kakon. Ce dernier défit précipitamment sa ceinture et descendit sa braguette pour sortir un membre de taille. Ses mains écartèrent immédiatement les cuisses qui protégeaient une intimité mouillée et il la pénétra sans autre cérémonie, jubilant de joie. Fuubuki riait comme un dément, il aimait ce corps qu'il avait à sa merci, le touchait sans retenue, en particulier cette belle poitrine qu'il avait en vue et pour casser toute résistance, il n'hésitait pas à en venir à la violence, la frappant sans gêne au visage. La demoiselle s'était finalement calmée, la tête sur le côté et les mains par terre. Son corps s'était légèrement décrispé, comme si elle avait abandonné toute idée de résistance. L'ainoko espérait que ce fusse le cas, car cela rendrait la tache que plus aisée.
Ses lèvres parcouraient la peau de Yui, la mordant quelques fois sauvagement par plaisir. Ses mouvements de bassin étaient brusque et violents, il ne retenait rien, cherchant son plaisir avant tout, le sien, il s'en fichait qu'elle ait mal ou qu'elle aime ça. Le kakon se retira soudain et laissa tomber son pantalon en se relevant, pour s'accroupir à nouveau au niveau du visage de la belle. Lui saisissant le menton, il la tourna vers lui et sourit avec un air malfaisant, engouffrant sans rien dire son membre dans la bouche de la victime malgré elle. Le jeune ainoko riait comme un fou, respirait de plus en plus fort alors qu'il bougeait son bassin, étouffant quelques fois la demoiselle en s'enfonçant plus loin dans sa gorge. Il attendit d'atteindre un moment de jouissance, de se vider dans sa bouche avant de se retirer pour recommencer à la prendre plus bas.
La gifle avait eu pour résultat de faire couler une larme de l'oeil de la victime, même si il était clair qu'elle essayait de retenir le plus possible ce genre de choses. La voir dans cet état excitait toujours d'avantage le kakon. Ce dernier défit précipitamment sa ceinture et descendit sa braguette pour sortir un membre de taille. Ses mains écartèrent immédiatement les cuisses qui protégeaient une intimité mouillée et il la pénétra sans autre cérémonie, jubilant de joie. Fuubuki riait comme un dément, il aimait ce corps qu'il avait à sa merci, le touchait sans retenue, en particulier cette belle poitrine qu'il avait en vue et pour casser toute résistance, il n'hésitait pas à en venir à la violence, la frappant sans gêne au visage. La demoiselle s'était finalement calmée, la tête sur le côté et les mains par terre. Son corps s'était légèrement décrispé, comme si elle avait abandonné toute idée de résistance. L'ainoko espérait que ce fusse le cas, car cela rendrait la tache que plus aisée.
Ses lèvres parcouraient la peau de Yui, la mordant quelques fois sauvagement par plaisir. Ses mouvements de bassin étaient brusque et violents, il ne retenait rien, cherchant son plaisir avant tout, le sien, il s'en fichait qu'elle ait mal ou qu'elle aime ça. Le kakon se retira soudain et laissa tomber son pantalon en se relevant, pour s'accroupir à nouveau au niveau du visage de la belle. Lui saisissant le menton, il la tourna vers lui et sourit avec un air malfaisant, engouffrant sans rien dire son membre dans la bouche de la victime malgré elle. Le jeune ainoko riait comme un fou, respirait de plus en plus fort alors qu'il bougeait son bassin, étouffant quelques fois la demoiselle en s'enfonçant plus loin dans sa gorge. Il attendit d'atteindre un moment de jouissance, de se vider dans sa bouche avant de se retirer pour recommencer à la prendre plus bas.
Invité
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Se retrouvée nue ou presque, parce que les lambeaux qui couvrais son corps ne servait a rien, elle ne supportait pas.. Elle détestait même cela en fait… Se regard elle n’avait qu’une envie lui arracher les yeux avec ces doigts, d’enfoncer ces doigts dans ces orbites, pour entendre l’homme crier de douleur…. Mai selle ne pouvait pas se débattre pour l’instant l’homme l’écrasait de trop elle ne pouvait rien faire de plus…
Quand elle entendis la braguette du pantalon de l’homme s’ouvrire la jeune femme paniqua un peu plus son cœur s’emballa plus vite a un t’elle point qu’elle avait l’impression qu’il allait éclater… elle n’osait pas regarder, la rare fois ou elle avait vus un membre masculin dresser, elle avait été effrayée par la taille de celui si, jamais il ne pourra entrer en elle sans lui faire mal… Elle lutta un instant pour garder les cuisses fermée mais l’homme était bien trop fort…
Un cris qui résonne dans la nuit, ça fait mal.. et c’est étrange cette paroi que sa mairesse avait déjà brisée un fois et qui montrait qu’elle était vierge c’était reformée pour être de nouveau brisée… La jeune femme savait qu’a sa mouille se mêlait a présent du sang.. Dieu que cela pouvait faire du mal elle avait l’impression que l’homme allait lui défoncer le corps, elle ne pouvait s’empêcher de gémir de douleur, ne prenant aucun plaisir a ce rapport…
A chaque fois que l’homme frappait elle gémissait… se cambrait pour apaiser les coup, son corps avait mal, très mal, il criait , mais elle cherchait a contrôler les son qui sortait de sa bouche…
Dieu que ces lèvres lui donnait envie de vomir, qu’est qu’elle avait envie de bouffer cette homme, la colère et la peur pouvait se lire dans le regard de la jeune femme… Chaque coup de bassin, lui donnait l’impression de la déchirer, si il continuait il allait la tuer… Un soupire de soulagement quand il se retira d’elle qu’il s’en aille, qu’il s’en aille…
Mais non elle sentit la main de l’homme sur son menton.. Son machin s’enfoncer dans sa bouche gout de sa mouille du sang et d’autre chose, elle avait envie de vomir, ces yeux s’ouvrire démesurément, envie de faire quelque chose…. Envie de lui couper ce rire, envie de le castrer aussi….
La jeune femme gémissait… Puis brutalement ces mains se détendirent, ces main saisissant sans aucune hésitation les bourse de l’homme qu’elle serra de toute ces force, ces dent se plantèrent sans peur dans le membre de l’homme comme pour le broyer…
Elle savait qu’il aurais mal.. D’un bond elle se redresse.. Fuir, même nue mais fuir, la mouille et le sang coulait sur les cuisses de la jeune femme, mais elle n’hésita pas deux secondes, pour s’enfuir, elle savait que les morsure de l’homme se soignait déjà que les trace disparaissait, pour son hymen se serais plus lent un jours ou deux… Fuir le plus vite possible… En espérant ne pas prendre un ruelle sans issus… Courir, pied nus… et marcher sur quelque chose de pointue.. Mais elle s’en fiche… Ca la ralentit mais elle veut pas cesser…
Quand elle entendis la braguette du pantalon de l’homme s’ouvrire la jeune femme paniqua un peu plus son cœur s’emballa plus vite a un t’elle point qu’elle avait l’impression qu’il allait éclater… elle n’osait pas regarder, la rare fois ou elle avait vus un membre masculin dresser, elle avait été effrayée par la taille de celui si, jamais il ne pourra entrer en elle sans lui faire mal… Elle lutta un instant pour garder les cuisses fermée mais l’homme était bien trop fort…
Un cris qui résonne dans la nuit, ça fait mal.. et c’est étrange cette paroi que sa mairesse avait déjà brisée un fois et qui montrait qu’elle était vierge c’était reformée pour être de nouveau brisée… La jeune femme savait qu’a sa mouille se mêlait a présent du sang.. Dieu que cela pouvait faire du mal elle avait l’impression que l’homme allait lui défoncer le corps, elle ne pouvait s’empêcher de gémir de douleur, ne prenant aucun plaisir a ce rapport…
A chaque fois que l’homme frappait elle gémissait… se cambrait pour apaiser les coup, son corps avait mal, très mal, il criait , mais elle cherchait a contrôler les son qui sortait de sa bouche…
Dieu que ces lèvres lui donnait envie de vomir, qu’est qu’elle avait envie de bouffer cette homme, la colère et la peur pouvait se lire dans le regard de la jeune femme… Chaque coup de bassin, lui donnait l’impression de la déchirer, si il continuait il allait la tuer… Un soupire de soulagement quand il se retira d’elle qu’il s’en aille, qu’il s’en aille…
Mais non elle sentit la main de l’homme sur son menton.. Son machin s’enfoncer dans sa bouche gout de sa mouille du sang et d’autre chose, elle avait envie de vomir, ces yeux s’ouvrire démesurément, envie de faire quelque chose…. Envie de lui couper ce rire, envie de le castrer aussi….
La jeune femme gémissait… Puis brutalement ces mains se détendirent, ces main saisissant sans aucune hésitation les bourse de l’homme qu’elle serra de toute ces force, ces dent se plantèrent sans peur dans le membre de l’homme comme pour le broyer…
Elle savait qu’il aurais mal.. D’un bond elle se redresse.. Fuir, même nue mais fuir, la mouille et le sang coulait sur les cuisses de la jeune femme, mais elle n’hésita pas deux secondes, pour s’enfuir, elle savait que les morsure de l’homme se soignait déjà que les trace disparaissait, pour son hymen se serais plus lent un jours ou deux… Fuir le plus vite possible… En espérant ne pas prendre un ruelle sans issus… Courir, pied nus… et marcher sur quelque chose de pointue.. Mais elle s’en fiche… Ca la ralentit mais elle veut pas cesser…
Invité
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Ce corps nu était tout simplement parfait pour ses envies perverses. Elle se laissait faire, souffrant pourtant le martyre avec ce qu'il lui faisait. Lui était aux anges et elle était aux enfers, les opposés complets. Pas un instant Fuubuki pensait qu'elle allait se rebeller à nouveau, pensant qu'elle avait accepter son pauvre sort qui était d'assouvir son besoin de plaisir, de se satisfaire lui-même. Lorsque son membre était entré en elle, le jeune ainoko avait senti une résistance, un sourire malsain sur ses lèvres indiqua qu'il prenait un malin plaisir à lui retirer ce qu'une demoiselle perd en général une seule fois dans sa vie. Mais pour celle-ci c'était la deuxième, mais cela ne faisait aucune différence, la douleur était la même, surtout lorsque tout était brutalité au lieu d'être douceur.
Le son des gémissements que Yui poussait lorsqu'il la frappait faisait frissonner tout son être et il continuait à frapper, juste pour que ce son mélodieux atteigne à nouveau ses oreilles, battant légèrement des ailes par excitation. L'ainoko sembla s'être un peu calmé en se retirant et pourtant, il se rapprocha du visage de l'esclave et reprit de nouveau pour son plaisir à lui.
Soudain, contre toute attente, il sentit les doigts de la demoiselle sur ses bourses. Son sourire s'étira légèrement, pensant qu'elle s'était réellement avouée vaincue au point d'en réclamer d'avantage, mais la douleur qu'il ressentit alors lui arracha un grand cri presque inhumain. Des dents se plantant dans la chair de son membre gonflé de sang, des doigts qui écrasaient ses bijoux, cette douleur était insoutenable. Le maitre tomba en arrière en se tenant l'entre-jambe, le regard rouge, voilé par des larmes de douleur. Il voyait qu'elle s'enfuyait, mais ça n'allait pas se passer comme ça non, il allait la rattraper, elle n'avait nulle part où aller nue vêtue comme cela, elle allait payer pour ce méfait. La douleur était toujours présente et à chaque pas en avant, l'homme corbeau grognait de plus belle. Il se fondit dans une ombre, ses yeux rouges injectés de sang et chercha l'endroit où la traitresse s'était enfuie. Elle n'était pas allée bien loin et il reparut devant elle pour lui barrer le passage.
Son sourire avait complètement disparu, ses sourcils froncés, ses yeux rouges de tueur qui trahissaient sa douleur et sa colère meurtrière. Doucement, il répétait les mêmes mots.
"Je vais te tuer, t'étriper, te détruire, te pourrir, te massacrer, te déchiqueter, te tuer, t'étriper..."
Sa vitesse sur humaine lui permit de s'approcher en une fraction de seconde de l'ainoko asservie et lui donna un violent coup de poing dans le ventre qui la projeta contre le mur. L'air menaçant, l'homme retira son pantalon, bien décidé à la faire payer pour la douleur qu'il ressentait. Des traces rouges de dents étaient autour de son membre et ses bourses, il ne pouvait pas bien voir, mais devinait qu'elles ne devaient pas avoir une couleur normale. Son pied vint s'écraser contre le visage de l'esclave et il la retourna, l'écrasant contre le mur. Son membre criait vengeance et maintenant qu'il l'avait à nouveau à sa merci, il savait quoi faire pour qu'elle souffre d'autant plus. Son gland s'appuya contre son orifice anale, augmentant la pression. Ses mains écartaient ses fesses rondes pour essayer de faciliter le passage et au bout d'une dure lutte, il la pénétra avec violence et commença à ramoner l'orifice sans ménagement. Du sang coulait à nouveau, il le sentait et son index en recueillit et le ramena à la bouche de Yui pour qu'elle goute elle-même à son sang d'esclave asservie.
"Goutte ton propre sang mélangé à ta mouille et à ta souillure."
La main libre de l'ainoko prit la gorge de la belle et appuya dessus, comme si il voulait l'étouffer, ce qui n'était pas faux, mais il n'avait pas l'intention de la tuer, du moins pas encore. Il voulait entendre des gémissements de douleur, qu'elle le supplie d'arrêter, même si elle ne semblait pas de ce genre là. Elle allait regretter d'avoir été présente ce soir là.
Le son des gémissements que Yui poussait lorsqu'il la frappait faisait frissonner tout son être et il continuait à frapper, juste pour que ce son mélodieux atteigne à nouveau ses oreilles, battant légèrement des ailes par excitation. L'ainoko sembla s'être un peu calmé en se retirant et pourtant, il se rapprocha du visage de l'esclave et reprit de nouveau pour son plaisir à lui.
Soudain, contre toute attente, il sentit les doigts de la demoiselle sur ses bourses. Son sourire s'étira légèrement, pensant qu'elle s'était réellement avouée vaincue au point d'en réclamer d'avantage, mais la douleur qu'il ressentit alors lui arracha un grand cri presque inhumain. Des dents se plantant dans la chair de son membre gonflé de sang, des doigts qui écrasaient ses bijoux, cette douleur était insoutenable. Le maitre tomba en arrière en se tenant l'entre-jambe, le regard rouge, voilé par des larmes de douleur. Il voyait qu'elle s'enfuyait, mais ça n'allait pas se passer comme ça non, il allait la rattraper, elle n'avait nulle part où aller nue vêtue comme cela, elle allait payer pour ce méfait. La douleur était toujours présente et à chaque pas en avant, l'homme corbeau grognait de plus belle. Il se fondit dans une ombre, ses yeux rouges injectés de sang et chercha l'endroit où la traitresse s'était enfuie. Elle n'était pas allée bien loin et il reparut devant elle pour lui barrer le passage.
Son sourire avait complètement disparu, ses sourcils froncés, ses yeux rouges de tueur qui trahissaient sa douleur et sa colère meurtrière. Doucement, il répétait les mêmes mots.
"Je vais te tuer, t'étriper, te détruire, te pourrir, te massacrer, te déchiqueter, te tuer, t'étriper..."
Sa vitesse sur humaine lui permit de s'approcher en une fraction de seconde de l'ainoko asservie et lui donna un violent coup de poing dans le ventre qui la projeta contre le mur. L'air menaçant, l'homme retira son pantalon, bien décidé à la faire payer pour la douleur qu'il ressentait. Des traces rouges de dents étaient autour de son membre et ses bourses, il ne pouvait pas bien voir, mais devinait qu'elles ne devaient pas avoir une couleur normale. Son pied vint s'écraser contre le visage de l'esclave et il la retourna, l'écrasant contre le mur. Son membre criait vengeance et maintenant qu'il l'avait à nouveau à sa merci, il savait quoi faire pour qu'elle souffre d'autant plus. Son gland s'appuya contre son orifice anale, augmentant la pression. Ses mains écartaient ses fesses rondes pour essayer de faciliter le passage et au bout d'une dure lutte, il la pénétra avec violence et commença à ramoner l'orifice sans ménagement. Du sang coulait à nouveau, il le sentait et son index en recueillit et le ramena à la bouche de Yui pour qu'elle goute elle-même à son sang d'esclave asservie.
"Goutte ton propre sang mélangé à ta mouille et à ta souillure."
La main libre de l'ainoko prit la gorge de la belle et appuya dessus, comme si il voulait l'étouffer, ce qui n'était pas faux, mais il n'avait pas l'intention de la tuer, du moins pas encore. Il voulait entendre des gémissements de douleur, qu'elle le supplie d'arrêter, même si elle ne semblait pas de ce genre là. Elle allait regretter d'avoir été présente ce soir là.
Invité
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La douleur c’est quelque chose qu’elle connaissait, mais elle n’en avait pas peur, enfin habituellement, la elle était terrifiée, non c’est pas la douleur qui lui faisait peur, c’était l’homme ,son regard son rire tous cela était quelque chose de terrorisant, quelque chose qui menaçait de la bloquer, mais elle en voulait pas, elle voulait se battre encore et encore….
Le cris de douleur de l’homme quand elle l’avait mordu lui avait fait un plaisir fou, elle adorais l’entendre crier comme cela, ca lui avait donner un instant l’impression d’être la plus forte, même si elle savait que c’était faux…
Le voir tomber aurais put la faire rire, mais elle savait qu’elle n’avait aucune chance….
Fuir c’est tous ce qui comptait, fuir très loin… Mince le voilà.. Quand il se plante devant elle, elle ne montre rien de la peur qui ravage son ventre, elle se contente de plonger ces yeux vert dans le regard de l’homme… Elle ne le détournerais pas.. IL ne lui faisait pas peur, enfin si mais bon ça il ne faut pas le dire… La colère brillait aussi dans le regard de la petite ainako, mais elle ne plierais pas devant l’homme… Tuer étriper, massacre, joli programme qui lui glaçait les sang, encore plus… Une lézarde au sang chaud c’est rare mais c’est ce qu’elle est…
Le coup de poings dans son ventre lui coupa le souffle et la douleur qu’elle ressentit en percutant le mur la fit crier doucement…. La jeune femme sentait des larmes de douleur perlant a ces paupières, un instant elle vit les marque de ces dents avait laisser sur le sexe, un sourire naquit sur ces lèvres bien maigre satisfaction… de la douleur encore quand elle sentit le pieds dans sa figure, mais elle en cria pas.. Elle ne voulait pas… Le mur il est froid et dure….
Non pas par la… La jeune femme se mordit les lèvres sachant ce qui allait se passer, de nouveau elle laissa son corps se détendre le plus possible sachant que si elle se raidissait elle aurais encore plus mal… La jeune femme gémissait de douleur en sentant le membre entrer dans son anus, les larmes de douleur coulait de nouveau, alors qu’elle cherchait le plus possible a ne pas bouger.. Parce qu’elle savait que cela lui serais encore plus douloureux… Des petit cris de douleur, cris de bête qui résonne quand il commence a la ramoner…. Des blessure ouverte et son anus qui saigne doucement… Putain ça fait un mal de chien …
Non elle voulait pas goutter, mais le doigts entre dans sa bouche et encore un fois elle plante ces dents dans le doigts de l’homme, pour contrôler la douleur pour s’empêcher de crier, son corps ondulait doucement cherchant a fuir…
Quand elle sentit l’homme presque l’étrange ces mains se portée a la sienne cherchant a desserrer la poigne…. Il faut qu’elle s’enfuie.. La respiration de la jeune femme se faisait haletante, rapidement, ces gémissement de douleur plus profond…
Le cris de douleur de l’homme quand elle l’avait mordu lui avait fait un plaisir fou, elle adorais l’entendre crier comme cela, ca lui avait donner un instant l’impression d’être la plus forte, même si elle savait que c’était faux…
Le voir tomber aurais put la faire rire, mais elle savait qu’elle n’avait aucune chance….
Fuir c’est tous ce qui comptait, fuir très loin… Mince le voilà.. Quand il se plante devant elle, elle ne montre rien de la peur qui ravage son ventre, elle se contente de plonger ces yeux vert dans le regard de l’homme… Elle ne le détournerais pas.. IL ne lui faisait pas peur, enfin si mais bon ça il ne faut pas le dire… La colère brillait aussi dans le regard de la petite ainako, mais elle ne plierais pas devant l’homme… Tuer étriper, massacre, joli programme qui lui glaçait les sang, encore plus… Une lézarde au sang chaud c’est rare mais c’est ce qu’elle est…
Le coup de poings dans son ventre lui coupa le souffle et la douleur qu’elle ressentit en percutant le mur la fit crier doucement…. La jeune femme sentait des larmes de douleur perlant a ces paupières, un instant elle vit les marque de ces dents avait laisser sur le sexe, un sourire naquit sur ces lèvres bien maigre satisfaction… de la douleur encore quand elle sentit le pieds dans sa figure, mais elle en cria pas.. Elle ne voulait pas… Le mur il est froid et dure….
Non pas par la… La jeune femme se mordit les lèvres sachant ce qui allait se passer, de nouveau elle laissa son corps se détendre le plus possible sachant que si elle se raidissait elle aurais encore plus mal… La jeune femme gémissait de douleur en sentant le membre entrer dans son anus, les larmes de douleur coulait de nouveau, alors qu’elle cherchait le plus possible a ne pas bouger.. Parce qu’elle savait que cela lui serais encore plus douloureux… Des petit cris de douleur, cris de bête qui résonne quand il commence a la ramoner…. Des blessure ouverte et son anus qui saigne doucement… Putain ça fait un mal de chien …
Non elle voulait pas goutter, mais le doigts entre dans sa bouche et encore un fois elle plante ces dents dans le doigts de l’homme, pour contrôler la douleur pour s’empêcher de crier, son corps ondulait doucement cherchant a fuir…
Quand elle sentit l’homme presque l’étrange ces mains se portée a la sienne cherchant a desserrer la poigne…. Il faut qu’elle s’enfuie.. La respiration de la jeune femme se faisait haletante, rapidement, ces gémissement de douleur plus profond…
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Après avoir subi une humiliation, l'ainoko de la famille Kakon n'était plus d'humeur à rire. Non, il avait souffert, il l'avait fait souffrir également, donc au final, il méritait son sort, mais le maitre n'était pas en état de penser de cette manière. Il n'était pas habitué à ce qu'on se dérobe à lui et lorsqu'il voulait quelque chose, il était prêt à remuer ciel et terre pour l'avoir. En ce moment, son obsession était cette fille. Elle lui avait fait très très mal et allait payer en souffrant d'avantage. Fuubuki n'avait pas réellement chercher à lui infliger une quelconque douleur, c'était elle qui se débattait et qui se refusait après tout.
L'homme corbeau avait rattrapé aisément la femme lézard et ne cacha pas sa colère face à elle. La violentant sans se retenir, il l'envoya contre le mur et continua à la frapper avant de la retourner pour passer par un lieu moins apte à accepter immédiatement son membre. Il força le passage avec violence et obligea Yui à accepter à nouveau sa présence en elle. Un petit filet de sang coulait de l'orifice fraichement dépucelé et il en recueillit pour lui faire gouter. Comme prévu, la demoiselle le mordit et il ferma les yeux en se mordant la lèvre pour ne pas crier, mais ne dit rien, la laissant faire pour le moment. Il retira son doigt en tirant dessus, puis posa sa main sur son sein, en appuyant fort dessus, comme si il voulait l'écraser. Le téton durcit était pincé sans relache, provoquant probablement une certaine douleur chez l'ainoko asservie, mais elle l'avait mérité, oui, elle méritait tout ce qu'il lui faisait.
Et pourtant au fond, il savait qu'elle n'avait été que là au mauvais moment, au mauvais endroit, mais l'autre partie de lui, celle qui aurait pu être clémente, était enfouie profondément en lui, laissant le tueur, voleur, violeur en surface pour satisfaire le besoin du corps qui réclamait toujours d'avantage de plaisir, comme si ses esclaves ne lui suffisaient pas alors qu'elles faisaient tout ce qu'il voulait d'elles. Forcer une jeune femme, forcer le passage en la voyant résister, c'était tellement plus excitant, Fuubuki retrouva enfin son sourire sadique. D'une voix mielleuse, il dit à l'oreille de Yui:
"Mmh, un véritable régal. Rien n'a d'égal, que cette sensation que tu me donnes. Va s'y, regarde moi de ces yeux méchants, j'aime tes gémissements, continue de gémir plus fort!"
Le violeur donna un coup de bassin violent en avant pour la faire obéir, continuant de ramoner son orifice qui était maintenant bien dilatée. L'ainoko se permit même de jouir en criant de joie, puis reprit, de nouveau dans le vagin qui lui avait tout de même manqué. Cela faisait longtemps qu'il n'avait eu tant de plaisir et c'était grace à cette femme lézard aux écailles luisantes qu'il retrouvait le bonheur charnel alors qu'elle connaissait quant à elle, un véritable supplice. Il lui murmura alors avant de lui mordre l'oreille:
"Je te l'ai dit... je te déchirerai de partout, de l'intérieur également si il le faut, pour que tu ressentes la douleur que j'ai ressentie..."
Sa main se posa sur le clitoris de la belle et le stimula légèrement avant de le pincer à son tour, tout comme le téton précédemment.
L'homme corbeau avait rattrapé aisément la femme lézard et ne cacha pas sa colère face à elle. La violentant sans se retenir, il l'envoya contre le mur et continua à la frapper avant de la retourner pour passer par un lieu moins apte à accepter immédiatement son membre. Il força le passage avec violence et obligea Yui à accepter à nouveau sa présence en elle. Un petit filet de sang coulait de l'orifice fraichement dépucelé et il en recueillit pour lui faire gouter. Comme prévu, la demoiselle le mordit et il ferma les yeux en se mordant la lèvre pour ne pas crier, mais ne dit rien, la laissant faire pour le moment. Il retira son doigt en tirant dessus, puis posa sa main sur son sein, en appuyant fort dessus, comme si il voulait l'écraser. Le téton durcit était pincé sans relache, provoquant probablement une certaine douleur chez l'ainoko asservie, mais elle l'avait mérité, oui, elle méritait tout ce qu'il lui faisait.
Et pourtant au fond, il savait qu'elle n'avait été que là au mauvais moment, au mauvais endroit, mais l'autre partie de lui, celle qui aurait pu être clémente, était enfouie profondément en lui, laissant le tueur, voleur, violeur en surface pour satisfaire le besoin du corps qui réclamait toujours d'avantage de plaisir, comme si ses esclaves ne lui suffisaient pas alors qu'elles faisaient tout ce qu'il voulait d'elles. Forcer une jeune femme, forcer le passage en la voyant résister, c'était tellement plus excitant, Fuubuki retrouva enfin son sourire sadique. D'une voix mielleuse, il dit à l'oreille de Yui:
"Mmh, un véritable régal. Rien n'a d'égal, que cette sensation que tu me donnes. Va s'y, regarde moi de ces yeux méchants, j'aime tes gémissements, continue de gémir plus fort!"
Le violeur donna un coup de bassin violent en avant pour la faire obéir, continuant de ramoner son orifice qui était maintenant bien dilatée. L'ainoko se permit même de jouir en criant de joie, puis reprit, de nouveau dans le vagin qui lui avait tout de même manqué. Cela faisait longtemps qu'il n'avait eu tant de plaisir et c'était grace à cette femme lézard aux écailles luisantes qu'il retrouvait le bonheur charnel alors qu'elle connaissait quant à elle, un véritable supplice. Il lui murmura alors avant de lui mordre l'oreille:
"Je te l'ai dit... je te déchirerai de partout, de l'intérieur également si il le faut, pour que tu ressentes la douleur que j'ai ressentie..."
Sa main se posa sur le clitoris de la belle et le stimula légèrement avant de le pincer à son tour, tout comme le téton précédemment.
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Douloureux pour douleurs, sauf que le tribut qu’elle paient n’est pas a la hauteur de la douleur qu’elle lui a fit subir, il est bien plus élever plus douloureux… Elle sait qu’elle ‘aurais pas du faire cela que si elle avait chercher a été bien élevée elle n’aurais pas subit tout ces douleurs, mais elle ne voulait pas se laisser faire, elle était libre de se débattre, libre de ne pas accepter que quelqu’un d’autre que sa maîtresse ne la prenne… Et puis elle préférais les courbe féminine que la plate silhouette des homme…
La deuxième fois si elle avait mordus c’est autant pour faire passer sa colère que pour oublier sa douleur, elle ne savait plus trop ce qu’elle faisait… son corps n’était que souffrance et elle avait l’impression que son anus, allait éclater que ces entrailles allait partir en morceaux, c’est comme si on la déchirait de l’intérieur…
Elle gémit plus fort quand le doigts de l’homme lui fut retirer elle n’avait plus se morceau de chair pour étouffer ces cris… Son seins était presser, rien a voir avec la prise douce de sa maîtresse…. Le corps de la jeune femme tremblait doucement, sous la douleur, si son intimité mouillait c’est seulement parce que son corps réagis au traitement…
Qu’est ce qu’elle avait fait pour mériter cela a par être ici, bien sur elle avait mordu, mais c’est lui qui avait commencer, c’est lui qui l’avait attaquer elle n’avait fait que se défendre… Le regarder…. Gémir, elle ne voulait pas.. Sans réfléchir elle ferma les yeux, pour contrôler la douleur qui montait en elle…
Les mouvement du bassin de l’homme la firent gémire , crier doucement , mais la jeuen femme décida de ne plus crier, elle se mordis les lèvres a sang, ne pouvait s’empêcher de gémir… Chaque coup de l’homme la massacrait de l’intérieur….
Quand elle sentit le sperme de l’homme se rependre en elle la jeune femme se cambra en elle, la sensation était des plus horrible qui lui donnait l’impression d’être emplie de l’intérieur, dieu qu’elle pouvait ne apprécier cette chose d’un homme…
Elle crut qu’il en avait fini, mais elle le sentit revenir dans son vagin, la faisant encore gémir, ces yeux se rouvrire, agrandit par la peur et la colères, obscurcit par la douleur…
Un cris quand il posa sa min sur son clito, encore un fois elle chercha a l’enlever ces ongle se plantant dans la main de l’homme, griffant sa peau jusqu’au sang… Encore un cris de douleur alors qu’elle se débattait toujours, haletante, elle avait du mal a entendre les paroles de l’homme… Elle voulait juste lui faire aussi mal qu’il ne lui faisait… Juste le blesser.. Sa main remontant sur l’avant bras de l’homme griffant toujours… Comme une forcenée….
La deuxième fois si elle avait mordus c’est autant pour faire passer sa colère que pour oublier sa douleur, elle ne savait plus trop ce qu’elle faisait… son corps n’était que souffrance et elle avait l’impression que son anus, allait éclater que ces entrailles allait partir en morceaux, c’est comme si on la déchirait de l’intérieur…
Elle gémit plus fort quand le doigts de l’homme lui fut retirer elle n’avait plus se morceau de chair pour étouffer ces cris… Son seins était presser, rien a voir avec la prise douce de sa maîtresse…. Le corps de la jeune femme tremblait doucement, sous la douleur, si son intimité mouillait c’est seulement parce que son corps réagis au traitement…
Qu’est ce qu’elle avait fait pour mériter cela a par être ici, bien sur elle avait mordu, mais c’est lui qui avait commencer, c’est lui qui l’avait attaquer elle n’avait fait que se défendre… Le regarder…. Gémir, elle ne voulait pas.. Sans réfléchir elle ferma les yeux, pour contrôler la douleur qui montait en elle…
Les mouvement du bassin de l’homme la firent gémire , crier doucement , mais la jeuen femme décida de ne plus crier, elle se mordis les lèvres a sang, ne pouvait s’empêcher de gémir… Chaque coup de l’homme la massacrait de l’intérieur….
Quand elle sentit le sperme de l’homme se rependre en elle la jeune femme se cambra en elle, la sensation était des plus horrible qui lui donnait l’impression d’être emplie de l’intérieur, dieu qu’elle pouvait ne apprécier cette chose d’un homme…
Elle crut qu’il en avait fini, mais elle le sentit revenir dans son vagin, la faisant encore gémir, ces yeux se rouvrire, agrandit par la peur et la colères, obscurcit par la douleur…
Un cris quand il posa sa min sur son clito, encore un fois elle chercha a l’enlever ces ongle se plantant dans la main de l’homme, griffant sa peau jusqu’au sang… Encore un cris de douleur alors qu’elle se débattait toujours, haletante, elle avait du mal a entendre les paroles de l’homme… Elle voulait juste lui faire aussi mal qu’il ne lui faisait… Juste le blesser.. Sa main remontant sur l’avant bras de l’homme griffant toujours… Comme une forcenée….
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Ne tenant absolument pas compte de la douleur que pouvait ressentir l'esclave, ou la femme en elle-même, le kakon continuait de sourire de manière triomphante, tenant dans ses mains un bon trophée de chasse qu'il utilisait comme bon lui semblait. Malgré la demoiselle, les gémissements s'échappaient de sa bouche, alors qu'elle se mordait les lèvres jusqu'au sang pour éviter de crier. Détruisant littéralement l'anus de la belle, l'ainoko accéléra ses mouvements de brute, adorant sentir ces parois serrées et chaudes qu'il se devait de forcer pour passer. Finalement, il finit par jouir en elle avec grand plaisir et se retira pour reprendre de plus belle passant cette fois-ci par le vagin de la femme-lézard. Sa main pinçait son clitoris et en réponse, Yui commença à le griffer sauvagement. Le maitre lui tira alors les cheveux, cambrant son corps en arrière et continua de la prendre ainsi. Mince, les ongles de celle-ci continuaient de lui lacérer le bras, elle était persistante! Fuubuki n'eut plus que la situation de lui saisir les deux poignets et de les tirer en arrière, s'aidant ainsi pour la pénétrer plus profondément encore. En fin de compte, c'était un point positif et il l'utilisait à son avantage.
L'ainoko ne se montrait absolument pas patient et jouit de nouveau en elle, se souçiant à peine de la mettre enceinte, puis se retira enfin. Appuyant sur sa tête, il la fit s'assoir contre le mur et lui attrapa à nouveau les poignets. En regardant plus bas, il pouvait voir de son vagin et son anus dégouliner un liquide blanchatre, mélange de sa semence et de la mouille de la demoiselle.
"Cette fois ne t'avise pas de mordre, tu vas me nettoyer tout ça, esclave."
Ce n'était pas son esclave, mais il profitait d'elle et la considérait comme une moins que rien, donc au final, ses paroles avaient un peu de sens. Engouffrant à nouveau son membre dans la bouche de la belle, il commença des va et vient en espérant cette fois profiter de cette cavité bucale de manière plus agréable que précédemment. Il en avait eu assez, du moins, il aurait encore une dernière chose à faire avant de la laisser.
Prenant méchammenet les deux seins de la demoiselle, il s'en servit pour se donner du plaisir et atteindre la jouissance encore une fois, couvrant cette fois le visage et la poitrine de Yui de sa semence avec un grand éclat de rire. Qu'est-ce qu'elle pouvait être mignonne à voir comme ça, on aurait réellement dit une bonne esclave soumise, mais elle ne l'était hélas pas, ayant manifestée depuis le début beaucoup de résistance face à ses désirs. Fuubuki resta alors debout et la regarda de ses yeux rouges, pensif. Devait-il continuer encore ou pouvait-il s'arrêter maintenant? Elle avait eu la souffrance méritée, elle avait même gouté à son anus et à son sang, donc devait être absolument dégoutée. De plus, il l'avait semble t-il dépucelé de deux orifices. Mouais, elle devait probablement souffrir et cela était parfait. Relevant le visage de la jeune femme avec sa main puissante, l'ainoko la regarda longuement dans les yeux. Il lui demanda avec un sourire doux:
"Tu en as eu assez ma chérie?"
En fonction de sa réponse, il allait décider de la suite des évènements. Si elle lui crachait dessus, qu'elle lui manifestait sa haine, alors il continuerait jusqu'à détruire ce barrage. Si elle le suppliait de s'arrêter, dans ce cas, son regard plaintif, le souvenir de son corps souillé lui suffirait amplement. C'était à elle de décider de son propre destin.
L'ainoko ne se montrait absolument pas patient et jouit de nouveau en elle, se souçiant à peine de la mettre enceinte, puis se retira enfin. Appuyant sur sa tête, il la fit s'assoir contre le mur et lui attrapa à nouveau les poignets. En regardant plus bas, il pouvait voir de son vagin et son anus dégouliner un liquide blanchatre, mélange de sa semence et de la mouille de la demoiselle.
"Cette fois ne t'avise pas de mordre, tu vas me nettoyer tout ça, esclave."
Ce n'était pas son esclave, mais il profitait d'elle et la considérait comme une moins que rien, donc au final, ses paroles avaient un peu de sens. Engouffrant à nouveau son membre dans la bouche de la belle, il commença des va et vient en espérant cette fois profiter de cette cavité bucale de manière plus agréable que précédemment. Il en avait eu assez, du moins, il aurait encore une dernière chose à faire avant de la laisser.
Prenant méchammenet les deux seins de la demoiselle, il s'en servit pour se donner du plaisir et atteindre la jouissance encore une fois, couvrant cette fois le visage et la poitrine de Yui de sa semence avec un grand éclat de rire. Qu'est-ce qu'elle pouvait être mignonne à voir comme ça, on aurait réellement dit une bonne esclave soumise, mais elle ne l'était hélas pas, ayant manifestée depuis le début beaucoup de résistance face à ses désirs. Fuubuki resta alors debout et la regarda de ses yeux rouges, pensif. Devait-il continuer encore ou pouvait-il s'arrêter maintenant? Elle avait eu la souffrance méritée, elle avait même gouté à son anus et à son sang, donc devait être absolument dégoutée. De plus, il l'avait semble t-il dépucelé de deux orifices. Mouais, elle devait probablement souffrir et cela était parfait. Relevant le visage de la jeune femme avec sa main puissante, l'ainoko la regarda longuement dans les yeux. Il lui demanda avec un sourire doux:
"Tu en as eu assez ma chérie?"
En fonction de sa réponse, il allait décider de la suite des évènements. Si elle lui crachait dessus, qu'elle lui manifestait sa haine, alors il continuerait jusqu'à détruire ce barrage. Si elle le suppliait de s'arrêter, dans ce cas, son regard plaintif, le souvenir de son corps souillé lui suffirait amplement. C'était à elle de décider de son propre destin.
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Elle ne crierais pas, elle ne baissera pas la tête, elle ne dira rien, mais un jours elle se vengera c’est sur, la jeune femme n’est pas quelqu’un de violent dans l’absolu, mais a certain moment elle peut devenir méchante, surtout quand la peur dévore le corps… Elle sent son corps se cambre, ces ongles s’enfoncer dans la peau de l’homme, mais qu’elle importance, elle veut qu’il souffre autant que son corps souffre pour l’instant…
Elle poussa un cris de rage et de douleur quand il lui emprisonna ces poignet mais qu’il la laisse il ne lui a pas déjà fait a assez mal comme cela… Elle continuait a gémir étouffant le plus possible ces cris pour en pas lui donner plus de satisfaction que cela.. Quand elle sentit au fond de son corps se reprendre ce liquide chaud elle frissonna… Si elle était enceinte, Non elle tuerais l’enfant dans son ventre, elle se percerais le ventre d’un épée… Elle le tuerais, elle ne porterais pas l’enfant de cette chose qui lui fait un mal de chien…
La jeune femme lutta encore, bien que plus mollement quand il voulut l’asseoir, non elle ne voulait plus avoir cette chose en elle… Même pas dans sa bouche elle se sentait souillée ces liquide qui coulait hors d’elle, elle ne les supportait pas… Pourtant elle ne dit rien, elle ne cherchait même pas a mordre quand le sexe entra en elle, parce qu’elle ne voulait pas mordre, mais sa bouche reste immobile tous comme sa langue…Qu’il fasse ce qu’il veut, elle veut juste que cela se finisse…. Juste rester immobile… Parce qu’elle savait qu’elle ne pouvait pas s’en sortir…
Un gémissement encore qu’elle étouffait quand il lui saisit les siens, mais elle ne bougeait plus, faite que cela se termine vite… Fermer les yeux quand la semence se répand sur son visage, mais ne pas baisser la tête, la garder dresser, son regard quand ces paupières plongeant dans celui de l’homme, il l’avait blessée, mise plus bas que tête, mais il n’aurais pas sa fierté.. La jeune femme avait le souffle court… Elle ne bougeais pas.. Mais son regard brillait encore de haine, de douleur de peur…. Son corps n’était qu’un plaie qui lui faisait un mal de chien, elle ne pourrais même pas se redresser… Un mouvement de recul quand l’homme lui prit le menton, elle ne voulait plus de ces mains sur lui…
Elle était pas sa chérie, pourtant dans un sifflement, elle lâcha un
« Oui »
Elle avait cracher le mot, d’un voie froid et tremblante qui comme ces yeux mêlait la peur et la colère elle ne voulait pas que cela recommence, surtout pas…. Elle ne voulait pas supplier jamais, le regard de la jeune femme s’adoucis pourtant un instant laissant voir la peur qui la dévorait et la douleur, mais la haine lui permets de continuer….
« Sil vous plait. »
D’un mouvement reculer sa tête et la laisser retomber qu’il parte qu’il la laisse, mais qu’il parte…
Elle poussa un cris de rage et de douleur quand il lui emprisonna ces poignet mais qu’il la laisse il ne lui a pas déjà fait a assez mal comme cela… Elle continuait a gémir étouffant le plus possible ces cris pour en pas lui donner plus de satisfaction que cela.. Quand elle sentit au fond de son corps se reprendre ce liquide chaud elle frissonna… Si elle était enceinte, Non elle tuerais l’enfant dans son ventre, elle se percerais le ventre d’un épée… Elle le tuerais, elle ne porterais pas l’enfant de cette chose qui lui fait un mal de chien…
La jeune femme lutta encore, bien que plus mollement quand il voulut l’asseoir, non elle ne voulait plus avoir cette chose en elle… Même pas dans sa bouche elle se sentait souillée ces liquide qui coulait hors d’elle, elle ne les supportait pas… Pourtant elle ne dit rien, elle ne cherchait même pas a mordre quand le sexe entra en elle, parce qu’elle ne voulait pas mordre, mais sa bouche reste immobile tous comme sa langue…Qu’il fasse ce qu’il veut, elle veut juste que cela se finisse…. Juste rester immobile… Parce qu’elle savait qu’elle ne pouvait pas s’en sortir…
Un gémissement encore qu’elle étouffait quand il lui saisit les siens, mais elle ne bougeait plus, faite que cela se termine vite… Fermer les yeux quand la semence se répand sur son visage, mais ne pas baisser la tête, la garder dresser, son regard quand ces paupières plongeant dans celui de l’homme, il l’avait blessée, mise plus bas que tête, mais il n’aurais pas sa fierté.. La jeune femme avait le souffle court… Elle ne bougeais pas.. Mais son regard brillait encore de haine, de douleur de peur…. Son corps n’était qu’un plaie qui lui faisait un mal de chien, elle ne pourrais même pas se redresser… Un mouvement de recul quand l’homme lui prit le menton, elle ne voulait plus de ces mains sur lui…
Elle était pas sa chérie, pourtant dans un sifflement, elle lâcha un
« Oui »
Elle avait cracher le mot, d’un voie froid et tremblante qui comme ces yeux mêlait la peur et la colère elle ne voulait pas que cela recommence, surtout pas…. Elle ne voulait pas supplier jamais, le regard de la jeune femme s’adoucis pourtant un instant laissant voir la peur qui la dévorait et la douleur, mais la haine lui permets de continuer….
« Sil vous plait. »
D’un mouvement reculer sa tête et la laisser retomber qu’il parte qu’il la laisse, mais qu’il parte…
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Bien bien, une nuit qui s'était avérée bien fructueuse après tout. Il avait pensé qu'après avoir buté le type de la famille Hikari, ce papillon insignifiant, il se serait contenté de rentrer dans son manoir pour passer toute la nuit avec une ou plusieurs de ses esclaves. En tout cas, il était bien content de s'être trompé sur ce programme peu prometteur, trop banal à son gout. Essayer une chair fraiche à la place, il n'y avait rien de tel pour se faire plaisir et il ne s'était pas retenu, bien que certains évènements lui avaient fortement déplus. D'habitude, lorsqu'il profitait de quelqu'un, la personne se laissait faire, enfin, elle criait peut-être, mais ne lui endommageait rien au niveau de l'entre-jambe. C'était bien la première fois qu'il ressentait cette souffrance durant l'acte, un souvenir qui resterait gravé dans sa mémoire. La seule possibilité de laver son honneur avait été de continuer de profiter de la coupable, le plus possible, en lui offrant de la souffrance pour qu'elle se repentisse de ce péché.
Et au final, il avait bien réussi son coup. Elle avait été dépucelé, souillée, n'avait plus de vêtements à porter et était au milieu d'une rue sombre, à la merci d'autres personnes si jamais elles étaient intéressées. Fuubuki avait alors donné un choix à la demoiselle, le choix de renouveller le cauchemar, ou bien de l'achever ici même, là où tout avait également commencé.
La réponse ne tarda pas à venir et elle répondit qu'elle en avait eu assez, de manière froide, mais c'était suffisant. Le jeune ainoko fit une moue déçue. Il aurait bien préféré qu'elle le provoque pour continuer un peu, mais bon, il avait fait un choix, lui laisser la liberté en fonction de sa réponse, et ça avait été la bonne réponse. La suite lui fit presque monter les larmes aux yeux et il se mit à rire en imitant la voix de l'esclave, il répéta son "s'il vous plait" en pleurnichant. Puis reprenant son sérieux, enfin, toujours avec un sourire un peu trop prononcé, le maitre se retourna pour enfiler son boxer et son pantalon et se fondant à moitié dans l'ombre, il murmura de dos, assez fort pour que Yui puisse l'entendre:
"A la prochaine ma jolie, j'ai déjà hâte de te revoir!"
Puis sans un bruit, il disparut complètement dans l'ombre du mur froid, laissant l'esclave seule avec elle-même, mais au moins, elle était libre et vivante.
Et au final, il avait bien réussi son coup. Elle avait été dépucelé, souillée, n'avait plus de vêtements à porter et était au milieu d'une rue sombre, à la merci d'autres personnes si jamais elles étaient intéressées. Fuubuki avait alors donné un choix à la demoiselle, le choix de renouveller le cauchemar, ou bien de l'achever ici même, là où tout avait également commencé.
La réponse ne tarda pas à venir et elle répondit qu'elle en avait eu assez, de manière froide, mais c'était suffisant. Le jeune ainoko fit une moue déçue. Il aurait bien préféré qu'elle le provoque pour continuer un peu, mais bon, il avait fait un choix, lui laisser la liberté en fonction de sa réponse, et ça avait été la bonne réponse. La suite lui fit presque monter les larmes aux yeux et il se mit à rire en imitant la voix de l'esclave, il répéta son "s'il vous plait" en pleurnichant. Puis reprenant son sérieux, enfin, toujours avec un sourire un peu trop prononcé, le maitre se retourna pour enfiler son boxer et son pantalon et se fondant à moitié dans l'ombre, il murmura de dos, assez fort pour que Yui puisse l'entendre:
"A la prochaine ma jolie, j'ai déjà hâte de te revoir!"
Puis sans un bruit, il disparut complètement dans l'ombre du mur froid, laissant l'esclave seule avec elle-même, mais au moins, elle était libre et vivante.
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